Benjamin Griveaux aurait pu s'inspirer d'une actrice hollywoodienne dont la carrière n'a pas été ébranlée mais bien au contraire relancée après une affaire de calendrier nu.
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Se masturber à 4 ans, ça paraît bizarre ? Et pourtant, c'est l'âge auquel cette madmoiZelle a commencé à se toucher. Aujourd'hui elle en a 18, et elle se souvient de quand elle se masturbait avec ses copines.
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La masturbation et le couple, quel grand sujet ! Mymy aborde aujourd’hui LA question épineuse : comment et surtout quand se faire kiffer quand on partage un logement ? À lire sur Rockie
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Si le pénis ne risque rien au repos, des accidents de coït ou de masturbation peuvent se produire durant l’érection, la fameuse fracture du pénis. La douleur est intense et doit être soignée rapidement pour endiguer tout risque de séquelles.
Fracture du pénis : un phénomène singulierLa verge ne possédant pas d’os, on ne peut donc pas parler de « fracture » au sens propre. Durant l’érection, les corps caverneux, entourés par l’albuginée qui se gonflent de sang pendant l’érection peuvent se déchirer en cas de faux mouvement.
Évidemment, il faut que ce faux mouvement soit très brutal pour arriver à rompre les corps caverneux. Dans ce cas, la verge se plie (aïe) sous le choc, exactement comme lors de la fracture d’un os. Le bruit est d’ailleurs significatif. Puis, le sang se répand et provoque un hématome. Cet accident est extrêmement douloureux mais, pour autant, il n’y a pas de temps à perdre en réconfort. Il faut immédiatement se rendre aux urgences.
Une longue récupérationUne fois aux urgences, les médecins peuvent suivre deux protocoles selon l’importance de la déchirure. Soit ils soignent à coup d’antalgiques et d’anti-inflammatoires. On laisse alors le pénis au repos tout en suivant le traitement jusqu’à ce qu’il retrouve un aspect « normal » (taille et couleur)
Si le traumatisme est plus important, c’est l’intervention...Lire la suite sur Union
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Dans un élan d'envie et de fougue, Josée a testé et approuvé la sodomie, non sans un petit dommage collatéral...
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Les hommes hétérosexuels ont donc refusé ce plaisir, refusé toute idée de pouvoir éprouver une excitation à cet endroit.
Aujourd’hui, on accepte de plus en plus que l’anus soit pour l’homme une zone érogène à part entière. Et qu’on soit gay, bi, hétéro, il s’agit là d’un plaisir dont il serait vraiment dommage de se priver…
L’anal, une pratique taboueLe plaisir anal chez l’homme : voilà une discussion intime qui, était rarement abordée à l’intérieur d’un couple. Peu d’hommes, en effet, acceptaient de dévoiler à leur partenaire (et à eux-mêmes), que leur anus pouvait être une source de plaisir. Tout comme leurs seins qui renvoyaient trop à une image de jouissance « féminine »
Dans la tradition purement machiste, l’homme étant fait pour « mettre » et non pas se « faire mettre » , ce qui acceptent de se faire mettre seraient des homosexuels… Longtemps aussi, dans diverses sociétés, le plaisir anal chez le passif était jugé comme signe de faiblesse, soumission et « d’attitude féminine »
Tabou, préjugé, culpabilité, peur d’être jugé comme ayant des tendances homosexuelles… Pendant longtemps donc, le mâle « erectus« a refusé toute approche érotisé de son anus.
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Le troisième numéro de la revue-livre-artistico-érotique est dans la phase finale de son crowdfunding. Cet ouvrage très spécifique et indescriptible rassemble une curation d’artistes de tous bords et de tout genre du monde entier.
Un aperçu des pages de Berlingot #3Compilant le travail de 45 artistes internationaux (majoritairement hors de l’Europe), Berlingot explore depuis 2017 la fluidité du genre et des sexualités à travers l’Art. Berlingot, c’est 116 pages à déguster, pour découvrir les photographies, illustrations, sculptures, peintures, broderies, performances et quelques mots glissés…
Seulement voilà, comme la plupart des projets adulte, le seul moyen de le faire exister est de passer par des plateformes de financement participatif. En effet, aucun éditeur n’a souhaité prendre le projet Berlingot sous son aile, et ce malgré le succès des deux précédents numéros.
Si vous voulez soutenir une création inclusive, érotique, diversifiée : n’hésitez pas à prendre votre exemplaire, il est encore temps !
La liste des artistes présents dans le numéro 3Pour soutenir Berlingot #3 rendez-vous sur sur We Make It
Berlingot #2 est toujours disponible chez Espace Libido.
La conversation continue sur un ton amical. Vous vous sentez plus à l’aise, plus en confiance. Vous vous posez toutes sortes de questions : comment s’appelait cette personne avant ? À quoi ressemblait-elle ? Et comment se passent ses relations, maintenant ? D’ailleurs, est-ce qu’elle a des relations ? … Vous lui demandez :
Vous avez répondu A, B, C, D : La curiosité mal placée joue de très vilains tours et votre interlocuteur·rice vous rembarre sèchement. Iel vous réplique qu’iel ne vous doit rien, que son passé / ses relations personnelles / sa sexualité / ce qu’iel fait de son corps ne vous regarde pas, et vous demande ensuite si vous posez ces questions à toutes les personnes que vous rencontrez en soirée ou si ce n’est que pour les personnes que vous considérez comme une attraction publique ? Vous êtes si mal à l’aise que vous aimeriez disparaître sous terre, mais à défaut, vous bafouillez des excuses, souhaitez bonne soirée et partez vous enterrer au fond du canapé. Le canapé est doux, réconfortant, et surtout ne pose pas de questions rhétoriques désagréables ; mais il ne vous fait pas oublier que l’interaction a été un échec cuisant et, au-delà de votre grand sentiment de honte, vous tremblez de recroiser votre ancien·ne interlocuteur·rice lors de soirées futures.
E : Bonne réponse, les personnes trans aussi ont droit à leur lot de banalités dans les conversations.
L’article Instantrans : Panic at the disco #2 est apparu en premier sur Hétéroclite.
Le droit d’asile est la protection qu’accorde un État à un étranger qui ne peut, contre la persécution, bénéficier de celle des autorités de son pays d’origine. Ce droit est régi par la Convention du 28 juillet 1951, dite Convention de Genève. En France il existe deux types d’asile : le statut de réfugié·e qui permet de vivre en France durant 10 ans, ou la protection subsidiaire qui autorise à rester en France entre 1 et 4 ans.
La Convention de Genève prévoit que l’octroi de l’asile est notamment possible si la personne est menacée en raison de son appartenance à un « certain groupe social ». Depuis 2002, le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) reconnaît que l’orientation sexuelle peut constituer l’appartenance à un groupe social particulier. Une directive européenne du 13 décembre 2011 va également en ce sens, incluant les personnes transgenres : « un groupe social spécifique peut être un groupe dont les membres ont pour caractéristique commune une orientation sexuelle ; (…) il convient de prendre dûment en considération les aspects liés au genre, y compris l’identité de genre, aux fins de la reconnaissance de l’appartenance à un certain groupe social ou de l’identification d’une caractéristique d’un tel groupe. »
La difficulté est qu’il faut convaincre l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides), qui rendra une décision positive ou non, de son appartenance à ce « certain groupe social ». Comment prouver que l’on est transgenre, lesbienne, gay ? C’est là que le bât blesse. Les personnes en demande d’asile sont soumises à des entretiens très intimes, ressassant des scènes douloureuses devant des inconnu·es. La Cour de Justice de l’Union Européenne a même dû intervenir pour interdire certaines pratiques des États-membres, comme les questions sexuelles ou la phallométrie, qui déduit l’homosexualité des requérants de l’intensité de leur érection devant des images pornographiques.
Il faut évoluer sur cette question de la preuve et arrêter de créer un nouveau traumatisme chez les étranger·es que nous accueillons. À ce titre, le HCR rappelait très justement que lorsqu’une personne s’identifie elle-même en tant que personne LGBT, cela devrait être considéré comme une indication de son orientation sexuelle ou de son identité de genre.
L’article Réfugié·es LGBT : L’épineuse question de la « preuve » est apparu en premier sur Hétéroclite.
Le Kamasutra, ce livre ressource de la tradition indienne, recueil de positions sexuelles, est aujourd’hui réputé dans le monde entier. Si certaines positions, telles que le missionnaire ou le lotus sont très connues, le Kamasutra ne se contente pas que du sexe monogame. Plusieurs positions existent et sont spécialement adaptées aux couples adeptes du triolisme avec 2 hommes et 1 femme. Union vous propose le meilleur des positions pour la double pénétration.
La position du SandwichLa position du sandwich est sans doute celle la plus plébiscitée par les amateurs de triolisme. Grâce à elle, chaque amant de prendre du plaisir. Elle permet aux deux hommes de se concentrer sur le plaisir de la femme. Mais attention, il faut qu’ils soient très doux tous les deux : la double pénétration peut être extrêmement douloureuse !
Dans cette position le trio s’organise ainsi : un homme est allongé et il prend la femme, allongée sur lui sur le ventre, dans le vagin. Le second amant arrive et sodomise la femme très lentement en s’allongeant sur elle.
L’amante peut se mettre allongée de dos sur le premier homme, inversant ainsi les pénétrations et procurant un plaisir différent : la pénétration anale sera plus intense dans cette position.
Au delà du simple plaisir physique, il est possible que les deux hommes rivalisent de coups de reins pour augmenter encore le plaisir de l’amante, comme s’ils étaient en compétition. Ce ne sera pas pour lui déplaire mais attention aux douleurs !
Lire la suite sur UnionCet article Double pénétration : les meilleures positions du Kamasutra ! est apparu en premier sur Union.
De plus en plus de femmes trouvent des alternatives aux protections jetables type serviettes ou tampons pendant leur période de règles.
On vous explique pourquoi les culottes menstruelles font partie d’un des grands succès commercial de ces dernières années en 5 points. Éclairage avec Claudette, créatrice de la marque Fempo.
Pour celles qui utilisent des serviettes et des tampons, leur usage demande d’aller régulièrement en acheter, vérifier les stocks dans les placards, les changer de sacs si besoin et de constater au cours de la journée leur état. Claudette précise : « les femmes ont parfois du mal à être sereines avec ce type de protection qui demande un réel investissement en temps pour ne pas tâcher les sous-vêtements ou les vêtements. »
2. Parce que les protections « classiques » ne sont pas adaptées à chaque morphoLes protections jetables type serviettes ou tampons peuvent provoquer des irritations (voire même des chocs toxiques dans certains cas). Qui plus est, elles ne sont pas adaptées à toutes les morphologies.
Ça gratte, ça démange, ça accroche, ça tire… bref, ça manque de douceur.
Vous pensiez que vous allez mariner toute la journée dans votre sang avec une culotte menstruelle ?...Lire la suite sur Union
Cet article La folie des culottes menstruelles, pourquoi ça cartonne ? est apparu en premier sur Union.
Je tiens à soutenir le député Viersen pour sa prise de position en faveur des femmes dans la prostitution lors du débat du 5 février à la Chambre des Communes du Canada. Étant moi-même une survivante de la prostitution, je constate que le député a voulu démontrer le non-sens total que représente la défense du « droit » des hommes d'acheter l'accès au corps de femmes vulnérables.
- Paroles de femmes prostituées et de "survivantes"Quand on m’a proposé de tester le Lubrifiant Mixte Naturel de notre partenaire Yes For Lov, j’avoue qu’au début je n’étais pas trop chaude. Non pas parce que je n’aimais pas la marque, mais parce que je n’ai pas trop l’habitude de tester des produits intimes. Mon truc habituellement, c’est plutôt les tests de resto. […]
Cet article Test du Lubrifiant Mixte Naturel est apparu en premier sur Desculottées.
D’aucuns accusent les films porno d’offrir une vision décalée de la sexualité.
Ce n’est pas tout à fait juste.
Il faudrait plutôt souligner à quel point les films porno donnent à la jeunesse une vision malsaine et irréaliste de la vitesse à laquelle un plombier peut arriver chez-vous…
L’article Les films porno donnent à la jeunesse… est publié dans le site cercle O - L'échange de pouvoir érotique.
La page Instagram d’Alisa Krieger affiche déjà une trentaine de milliers d’abonnés. Cette jeune artiste russe utilise son art pour transmettre à sa communauté un message d’amour et de bienveillance envers soi et la personne qu’on aime. Les dessins érotiques d’Alisa expriment la puissance de la passion, du sentiment, de l’amour et du sexe, mais […]
Cet article Alisa Krieger, l’artiste russe qui nous mène au septième ciel est apparu en premier sur Desculottées.
« La souffrance est la récompense, Maîtresse. »
Cette phrase, celle d’un soumis à sa maîtresse, est caractéristique d’une pratique sexuelle de plus en plus répandue, le BDSM (Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sado-Masochisme)
C’est dans ce domaine qu’exerce Lady Bellatrix , dominatrice professionnelle depuis plus de 10 ans. Cette Canadienne d’origine a appris tout ce qu’elle sait sur le BDSM lorsqu’elle vivait en Angleterre et vit désormais à Paris. D’où son surnom de « Maîtresse Parisienne » qu’elle préfère à celui « Queen of Mean » . Elle a accepté de nous ouvrir les portes de son donjon et nous parler de son métier de domina et la routine quotidienne qui en découle.
Dans l’intimité d’une dominatrice professionnelleLe matin, petit-déjeuner, 10 heures, Bellatrix se prépare et prépare ses accessoires. « Le nettoyage c’est ce qui prend le plus de temps » dit-elle. « Je dois nettoyer et mes sextoys, et mes combinaisons, tous les jours et après chaque session. » À 12h, la « journée de travail » commence : « Je ne reçois qu’entre 12h et 20h« . Lorsque n’est pas en session de domination, elle fait de la webcam ainsi que de la domination...Lire la suite sur Union
Cet article Une journée avec une dominatrice professionnelle est apparu en premier sur Union.
Tron, Cantat, DSK, Polanski : Ces quatre affaires ont rythmé les deux dernières décennies médiatiques en France et, au-delà des hommes mis en cause, ont été l'occasion de mettre les violences faites aux femmes en avant.fets. Il s'agit de parler des violences dont il est question, en plus de rappeler au lecteur les détails juridiques des affaires, mais surtout d'analyser le discours médiatique qui les entoure et l'impact social ou politique qu'il a pu avoir.
- Violences et harcèlementLe site canadien jalf.com (Jouez Avec Le Fantasme) est sorti au début des années 2000 et se propose de sortir des sentiers battus des sites de rencontre libertin classiques.
Rencontre avec son gérant, Martin, qui nous explique le principe de son site !
JALF : Notre site est spécialisé dans la découverte et la réalisation des fantasmes de nos membres. Nous offrons toute une panoplie d’outils pour faciliter la communication autour des fantasmes des gens, et sortir des grands classiques, en particulier de la pratique échangiste, qui semble être la norme.
Au final, le libertinage, c’est juste la liberté sexuelle. Ça n’a ni case, ni limite.
JALF : Pratiquement tous les fantasmes sont populaires sur notre site – car chaque personne est différente ! Il y a autant de célibataires à la recherche d’un plan cul que de couples qui désirent avoir un ou plusieurs partenaires pour du triolisme ou des gangbangs, que des pratiquant du BDSM, des fétichistes et autres fantasmes qui sont plus rares sur les autres plateforme. Nous sommes une des seules à avoir autant de possibilités.
UNION : Une belle anecdote à nous raconter sur une aventure réalisée ?JALF : Un couple qui se sont connu sur la plateforme il y a plusieurs années ! La dame était du Québec, et lui, de la France. Ils ont passé des centaines...Lire la suite sur Union
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Des mecs, des gros plans et de l’intimité. Bienvenue dans l’univers porn d’Ivan Sobris. Le réalisateur vient de lancer son site internet avec en prime, de toutes nouvelles productions.
Ivan Sobris est un humaniste. Avec ses courts-métrages porn, le réalisateur et documentariste franco-australien explore la diversité de la sexualité gay. S’il fallait retenir une chose de la toute jeune carrière d’Ivan, ce serait sans aucun doute sa série de “Porntraits” qu’il développe depuis mai 2018.
Extrait de « Alexis Tivoli’s Porntrait » d’Ivan Sobris.Un mannequin qui pose nu devant un portraitiste sexy à lunettes avec River Wilson, un rendez-vous intime dans la chambre d’Alexis Tivoli pour entrevoir comment il aime se faire plaisir, Anteo Chara à poil sur une plage de sable fin… Dans les quatre “Porntraits” à découvrir sur son site internet, Ivan Sobris filme sans pudeur l’intimité d’hommes souvent seuls – mais pas que.
Extrait de « Drawing Nudes » d’Ivan Sobris.On y découvre des corps – poilus ou glabres, la jouissance pour finalité et on s’extasie sur la diversité que peut prendre le plaisir en solitaire. Si le 28 mai – journée mondiale de la masturbation – se mettait à chercher un ambassadeur, Ivan Sobris ferait sans aucun doute partie des candidats.
Dans chacun de ces portraits, Ivan expose les corps d’hommes avec une légèreté et une précision, qui plongent le spectateur dans leur intimité profonde. Une intimité à laquelle on se sent convié. Les silences et les non-dialogues rendent les scènes de sexe torrides et intenses. On y entend des rires parfois. On se retrouve dans du sexe vrai. Dans du plaisir authentique. Ivan fait ressortir la beauté du sexe avec une esthétique particulièrement soignée. Et ca fait un bien fou.
Ivan et ses hommes Extrait de « The day before » d’Ivan Sobris.Plusieurs têtes ont l’habitude de passer devant la caméra du réalisateur franco-australien. C’est le cas d’Anteo Chara et d’Alexis Tivoli qui signent “Visiting Paris” et “The day Before”. Le court-métrage “The day Before” n’est autre que les coulisses du tournage de “Visiting Paris”, où dans une pièce éclairée par des néons rouge, les deux acteurs apprennent à se connaître. Et à en croire les commentaires d’Ivan, l’alchimie prend bien.
The evening before the shoot @AnteoCharaXXX and @AlexisTivoli met for the first time. No need to say that the chemistry was there – @ivansobris pic.twitter.com/BtCsLhP6Ym
— Ivan Sobris (@ivansobris) July 12, 2018
Mario est colombien, résidant en France depuis quelques années (vous excuserez son petit accent) et il m’a écrit pour me dire “Si je te dis que j’ai 37 ans et que j’ai 3 enfants, tu trouveras ça normal. Mais si je te dis que je suis papa de 2 jumeaux de 22 ans, alors là, tu trouveras ça peut-être plus bizarre”.
L’histoire est particulière en plusieurs points : tout d’abord, alors qu’il avait 15 ans, Mario a appris que son ex-copine de l’époque, 15 ans également, allait accoucher 15 jours avant d’avoir… cerise sur le gâteau : des jumeaux.
Ensuite, comment ça se passe, dans ce pays très catholique, quand tu mets enceinte ta copine alors que tu n’es pas ni majeur, ni marié ? Le moins qu’on puisse dire c’est que ce ne fut facile pour personne : beaucoup de honte, de ressentiment et tellement d’émotions négatives, avec lesquels Mario, aujourd’hui adulte, continue de se battre.
Je ne vous en dis pas plus, si ce n’est que le récit de Mario est passionnant. Un immense merci à lui d’être venu nous confier son récit, et à Anne-Laure, sa compagne, de l’avoir incité à le faire.
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Dans le porno, il y a le genre bateau, celui qui ne se pose pas beaucoup de questions et répète ce qui se faisait, avec juste un appareil de meilleure définition d’images. Il y a le genre intello, celui qui va utiliser le sexe comme support à un message artistique, une volonté créatrice qui justifie le caractère pornographique, un travail d’étudiant·e en Beaux-Arts, un truc de sapio, du post-masturbatoire. Et il y a le genre néo-mastubatoire, celui qui va interroger les actes représentés, mais en les assumant pour eux-mêmes, pour ce qu’ils sont : l’expression d’une sexualité libérée et joyeuse, qui apporte plaisir et qui dérange aussi par sa simple existence. Ce dernier genre porte la subversion en lui-même, redéfinissant la pornographie et les attentes du public, les bousculant parfois, pour mieux les satisfaire au final.
Troy Francisco va prendre de plus en plus de place. Il entre dans le porno pour devenir le nouveau performeur de référence. Ses collègues féminines l’apprécient et le recommandent alentour. Lena Paul semble être celle qui a découvert ce talent et comme je la respecte énormément, je ne peux que lui faire confiance. Toujours avec les bons coups cette Lena. Vous pouvez suivre le OnlyFans de Troy ou acheter ses vidéos sur ManyVids.
Horny Kira est horny. Pas le temps de rentrer à la maison pour soulager ses envies de jouir. Elle entraîne un collègue dans la salle de réunion et lui montre qui est la cheffe. Michel l’assistant de direction préfère ce traitement aux tâches répétitives à la photocopieuse. Faudra quand même pas oublier d’apporter son café à Kira après cet atelier de team building.
Les forces démoniaques m’ont entraîné dans un monde merveilleux. Je vénère désormais Bambi Baphomet, idole de mes cauchemars délicieux. Mon culte lui est offert pour ses messes noires. Meine Goth ! Son sourire ouvre les enfers brûlants de mes fantasmes, je me plie à sa volonté. Inutile de lancer les Templiers à ma rescousse, je suis perdu à jamais. Vous pouvez nous rejoindre sur APClips.
La série Super Host de Lightsouthern Cinema n’est pas sponsorisée par AirBnB. Ici les hôtes et invités forment une joyeuse communauté australienne où le plaisir n’a pas de barrière. Sur le lit, la fameuse touriste berlinoise, Laney Day, mate avec Jenny A, Luc Dean et Taylor Oz passer un bon moment. Le bi fera 2020, je force avec ça, mais c’est vrai. Et je reforce avec Adult Time puisque vous pouvez y voir les œuvres de Michelle Flynn.
Écrasée par le boule de Scarlit Scandal, ma tête explose et je pars faire le tour de l’Univers. Je touche du doigt les naines rouges et échappe aux trous de ver. Je rencontre Dieu et comprends tout. Je ne suis plus que lumière, je dépasse sa vitesse et explore l’espace-temps à ma guise. Tel un Joseph Cooper du fap, je reviens à la vie, parmi mes congénères, et répète ce gif de Scarlit à l’infini. Le bonheur est ici.
2008, Tera Patrick est déjà dans le métier depuis presque dix ans. Elle brille au sommet des porn stars de ce temps jadis, celles qui faisaient beaucoup d’argent sans trimer autant qu’aujourd’hui. Désormais, elle coule une douce retraite, dont elle ressort de temps à autre, en Italie avec son mari et sa descendance. Elle prend en photo la grosse bite de Brandon Iron, parce qu’à l’époque l’iPhone 11 n’existait pas. On retrouve ces pépites sur… devinez quel Netflix du porn ? Eh oui, Adult Time.
Le fap, c’était bien avant, c’est bien maintenant et vivement demain.
Photo de une : Laney Day pour Lightsouthern.
Nommée dans la catégorie « révélation scène de l'année », la chanteuse de 23 ans a conclu sa performance par un baiser engagé avec une de ses danseuses...
L’article 35e Victoires de la musique : le baiser d’Hoshi pour célébrer « l’amour » est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Vous aviez été nombreux à réagir à la suite de notre article sur la double pénétration vue par les femmes. Mais beaucoup d’interrogations et de craintes subsistent malgré tout. Union a donc mené l’enquête afin de savoir ce que disait la médecine sur la double pénétration !
Une définition large a prioriPour commencer, la médecine possède une définition très vaste de la double pénétration. Il s’agirait d’une « activité sexuelle dans laquelle l’amant(e) est pénétré par deux orifices naturels en même temps »
Cela signifie donc que la double pénétration ne se limite pas à un coït anal et vaginal, mais peut donc être une fellation et un coït vaginal en même temps ou encore une sodomie combinée à une fellation. Cependant, cette définition ne prend pas en compte la double pénétration simultanée des mêmes orifices (double pénétration vaginale ou anale) qui, bien que peu répandue, existe.
Ce qu’il se passe dans le corpsQu’est-ce que l’on ressent lors de la double pénétration anale/vaginale ?
Le vagin, une fois excité, atteint en moyenne 11 à 12 centimètres de profondeur. Et naturellement, de la cyprine, un lubrifiant féminin est produit par le vagin afin de faciliter la pénétration. Néanmoins, dans le cadre d’une double pénétration, il est tout de même...Lire la suite sur Union
Cet article Double pénétration : nos conseils avant de se lancer ! est apparu en premier sur Union.
« Un mariage, c'est une union entre un homme et une femme », a déclaré le président russe lors d'une rencontre avec un groupe de travail formé pour plancher sur son souhait d'amender la Constitution.
L’article Poutine : pas de mariage ni d’adoption pour tou-te-s, « tant que je serai président » est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Oyez, oyez. En janvier, la décennie s’est achevée (les puristes diront qu’elle s’achève à la fin de 2020, puisque le calendrier commence à l’an 01 et pas l’an 00, mais cessez donc de faire vos rabat-joies, que diable !). J’imagine que, comme moi, vous avez croisé sur les réseaux sociaux des tops, des rétrospectives, des classements, bref, des retours sur tous les pans de la culture : musicale, cinéphile, littéraire, etc. Il manquait néanmoins un énorme pan, que dis-je un pan, un cap, un pic, une péninsule de culture que les médias rechignent à traiter, mais qui est le cheval de bataille de notre magazine : le porno ! Et ça tombe bien car le Tag Parfait fête ses 10 ans très bientôt, du coup cette rétrospective tombe à point nommé.
Longue a été l’hésitation. #Squirt ou #Rimjob, that is the question. D’un coté, une vraie performance, une prouesse, un miracle, qui n’était autrefois qu’une rumeur, un mythe, une légende urbaine. Le squirt est devenu, à l’heure où je vous écris, un passage presque obligé du porn. Là où il était autrefois rare, il est maintenant un banal événement, une ligne sur un scénario, un ajout en bas de page du contrat. L’acte en soi reste toujours aussi cinégénique, mais il est aujourd’hui sur-exposé, certaines actrices comme Adriana Chechik l’ayant pris comme « signature move ».
Would you be my #valentine ? 1 or 2? Makeup by lucyritam photo by darkkoproductions @adrianachechik https://t.co/o4PcupKalk pic.twitter.com/5nqozEFzkZ
— adrianachechik (@PornModels2020) February 12, 2020
En revanche, le rimjob est banal, un acte que tout le monde est en mesure de pratiquer, rien de techniquement extraordinaire, et pourtant il a été si peu exploité par nos aïeux. Mais le passé est le passé, et l’avenir nous appartient. Le rimjob a réussi à se faufiler par la petite porte, et l’entrée des artistes n’est plus tabou, elle ne vient plus déstabiliser la virilité (toxique?) de nos hardeurs hétéros. Et c’est tant mieux, car cette petite porte ouverte ces dernières années donne sur un autre plaisir, où perdurent encore quelques tabous, qui je l’espère ne résisteront pas à la décennie future : les années 2020 seront prostatiques, ou ne seront pas.
Producteur de la décennieEn dépit du fait que nous partagions le même prénom, c’est sans favoritisme aucun que j’ai choisi Greg Lansky pour être l’homme derrière le fap des années 2010. Il aura suffit d’une idée, ce genre de petit coup de génie qui parait si simple avec le recul : prendre le genre le plus mal traité, et lui redonner ses lettres de noblesse. C’est dans cette optique que Greg lance Blacked, qui produira des films avec uniquement des acteurs noirs. Auparavant cantonnés aux rôles de gangsters, de banlieusards ou d’évadés rentrant par effraction chez Lisa Ann, les hardeurs sont ici en costumes, ont des belles voitures et de magnifiques appartements. Ils ont réussis, et peuvent séduire les plus belles femmes.
We're still mesmerized by our new #VixenAngel, @Gianna_DiorXXX! RT if you're with us! pic.twitter.com/efzoTkqF8q
— VIXEN (@VIXEN) February 10, 2020
Cette formule marchera, et permettra à Lansky de développer sa seconde force : son casting. Après Blacked, il lance Tushy, puis Vixen et ses Vixen Angels, la crème de la crème des actrices, qu’il expose sur Instagram comme de véritables tops models. Dernier coup de génie, les versions « raw » de Blacked et Tushy, avec une caméra plus proche de l’action, un simple spot blanc comme éclairage et quelques scènes tournées à l’iPhone, avec bandes noires sur les cotés. Ce réalisme cru dans une ambiance pourtant soignée fonctionnant parfaitement, Lansky prouve encore une fois que s’il y a bien un visionnaire dans le porno, c’est lui.
Couple de la décennie« LeoLulu »… Beaucoup d’L pour ce couple angélique (pas peu fier de ce jeu de mots). Les mots me manquent pour les décrire, non pas par manque d’inspiration, mais justement parce que c’est ce qu’ils veulent, et c’est ce qui marche. Laissez-moi me lancer dans une comparaison pas si hasardeuse. Si je vous demandais de décrire le tueur d’Halloween, vous ne pourriez pas, car il n’est rien d’autre qu’une ombre, une projection du mal, l’incarnation d’une force obscure et inarrêtable dont on ne voit jamais le visage.
Leo sur le balconEh bien il est pour moi tout aussi impossible de décrire LeoLulu, car ils sont la projection d’un rêve, d’un fantasme, d’un idéal. Ils sont beaux, ils sont heureux, tout autour d’eux rayonne. Ils produisent des vidéos à un rythme affolant sans perdre en intensité, collaborent avec des stars mainstream et des grosses plateformes. Et, chose inimaginable avant 2010 et l’arrivée massive du porno amateur, tout cela sans jamais montrer leurs visages. Et même si j’imagine que l’absence de faciès soit une volonté d’anonymat et non un parti pris artistique, LeoLulu ont, comme John Carpenter, réussi à créer une allégorie, une incarnation d’une force lumineuse et irrésistible : l’amour.
Vidéo amateur de la décennieIl y a toujours eu un paradoxe dans le gonzo. L’absence de scénario indique clairement au spectateur qu’il regarde un porno. Débarrassé de l’effort intellectuel nécessaire à l’assimiler que « ce monsieur est un plombier » ou que « cette dame est une ménagère insatisfaite par son mari », le spectateur peut directement profiter du spectacle. D’un autre côté, l’absence d’apanage met en lumière que ces deux individus ne sont pas intimes, qu’ils n’ont pas la proximité d’un couple ou l’étincelle que pourraient avoir une ménagère et un plombier. Qui sont-ils donc pour s’infliger mutuellement de pareilles pratiques ? Un pied sur le visage ici, un face sitting là, une sodomie finalement ?
Luna gameuseUne sodomie, justement, c’est le sujet principal de la vidéo amateur de la décennie. Luna et James (qui poursuivent désormais leur route en solo, ndlr) nous avaient prouvé avec leurs Sex Diaries qu’ils étaient un couple amoureux, on pouvait donc accepter sans broncher que James interrompe la partie de Sekiro de Luna pour enchaîner sur un rapport anal. Loin de la sodomie crue servie dans beaucoup de gonzos, elle est ici demandée, préparée avec amour puis dégustée avec passion, le tout filmé en POV dans un décor cosy. L’acte passe naturellement à la caméra, sans qu’on ne se pose de question. En résolvant l’équation du gonzo, les amateurs Luna et James ont démontré qu’ils pouvaient faire mieux que les pros.
Acteur de la décennieSi je vous dis latino, vous penserez sans doute à un grand brun musclé, bronzé avec une barbe de trois jours. Queue nenni. Le latino dont nous parlons aujourd’hui est maigre, pâlichon et imberbe comme un lycéen : Jordi El Nino Polla, Jordi ENP pour les intimes. Il débute sa carrière en 2013, mais ce n’est qu’en 2016 avec les productions Brazzers qu’il perce vraiment.
What do you mean no running when wet?!@Nicolette_Shea @jordiporn @thesavannahbond pic.twitter.com/JiQdeWifVL
— Brazzers (@Brazzers) January 16, 2020
Son aspect jeune et loin des clichés du hardeur classique permet au spectateur de s’identifier plus facilement à ce « gringalet » dont les vêtements cachent néanmoins un sexe d’une bien belle taille. Son style lui permet d’être aussi à l’aise avec des teens petites et menues qu’avec des Milfs beaucoup plus impressionnantes, par leurs mensurations et leur expérience. Jordi est un véritable tout terrain, une bouffée de fraîcheur dans un milieu où les acteurs tendaient à être des monstres de muscle et de virilité.
Actrice de la décennieQui d’autre que Mia Khalifa ? Ce choix est bien entendu partial – beaucoup d’autres actrices ont marqué cette décennie – mais soyons honnêtes, qui ne se rappelle pas de Mia ? Un visage timide planté sur un corps de bimbo, Mia Khalifa est l’anti-thèse parfaite de LA pornstar des années 2000, Sasha Grey. Avec son physique fin et son regard à vous arracher la chemise, Sasha a eu une carrière prolifique, 300 films en 5 ans d’activité, alors que les vidéos de Mia se comptent sur les doigts de votre main libre et ont été faites en l’espace d’un an. Sasha était une intellectuelle, Mia est fan de sport. Sasha était une assoiffée de sexe, Mia est tour à tour une étudiante, un rat de bibliothèque ou une fille en hijab. Hijab qui lui vaudra à la fois son succès, mais aussi des menaces de mort.
Mia dans une vidéo postée sur son compte twitter en 2019Mia sera sûrement autant connue pour ses vidéos que pour ses polémiques : elle a dernièrement donné une interview de près d’1h30 sur son passé, où elle dit regretter son expérience dans le porn. Même si elle présente cela comme un vécu personnel et non un jugement sur le milieu, cette interview lui a valu un retour de bâton par certains membres de la profession qui critiquent sa position et le fait qu’elle continue d’exploiter son nom de scène tout en reniant son parcours. En tout cas, qu’on aime ou pas Mia, elle aura comme Sasha dépassé les limites du porn, et sera devenue un visage connu de toute une génération.
Réalisatrice de la décennieEt oui, nous parlons bien de réalisatrice, dans du porno mainstrean. Je ne saurais décrire Kayden Kross mieux que le camarade Saint-Sernin dans ses nombreux articles, mais une image vaut mille mots, il vous suffira donc de cliquer sur play sur une de ces vidéos pour comprendre ce dont nous parlons. Kayden a du talent, mais elle a surtout compris une chose fondamentale : le porno, c’est du cinéma. L’histoire n’est pas là pour justifier l’action, le décor pour combler le vide. Tout ici est harmonisé pour donner au spectateur des émotions, des sentiments, des ressentis. Kayden est une professionnelle dans le plus beau sens du terme : elle travaille tous les aspects de son film, de la lumière au scénario en passant par le cadre et les mouvements de caméra, tout ça dans un seul but : faire passer à travers l’écran une intention. Et ça, c’est le propre même du cinéma.
Vidéo de la décennieBack at that stripper stage pic.twitter.com/eSQdzCdf5X
— Kayden Kross (@Kayden_Kross) January 12, 2020
La vidéo de la décennie ne pouvait être qu’une orgie, mais pas n’importe laquelle : After Dark partie 5. Produite par (comme par hasard) Greg Lansky, avec (comme par hasard) Kayden Kross à la réalisation, on parle ici d’une partie fine avec tout le gratin du fap : Tori Black, Mia Malkova, Vicki Chase, Kira Noir, Ana Foxxx, Abella Danger, Jessa Rhodes, Angela White, Ricky Johnson, Mick Blue, Bambino, Ryan Driller et Alex Jones. Précédée de 4 autres parties, After Dark partie 5 conclut une tragédie grecque avec une heure d’orgie romaine, 13 corps se mélangeant sur une table drapée de blanc, un décor sommaire, et une caméra tournant calmement autour du spectacle. Filmer sans fioriture une orgie aussi dantesque, ça donne plus qu’un bon porn, ça donne un beau porn.
Mon tour de cette décennie touche à sa fin. Les années 2010 auront su rappeler que le porno n’est pas art mineur, ou à part, mais bien un art cinématographique. Il est donc, comme le cinéma classique, un art technologique. Le porno s’est adapté exactement comme le reste du cinéma : on peut projeter sur grands écrans des films tournés au smartphone, et consommer sur nos smartphones des films tournés en 4K. L’accès au numérique permet à tout le monte de tourner et d’uploader des vidéos, et cela a permis à beaucoup plus de pratiques, de sexualités, de physiques, d’être mis en avant*. Une lumière d’espoir est arrivée, et même si le chemin est encore très long, les stéréotypes, les clichés, et les discriminations commencent à se dissiper, et les esprits commencent à s’ouvrir. Est-ce grâce à la diversification du porn que les esprits s’ouvrent, ou le contraire ? Surement un peu des deux. Et même si les créateurs dépendent toujours des plateformes, des studios, des études marketing ou des algorithmes, on peut espérer que, durant cette décennie 2020, le porn se surpasse et nous fasse atteindre à nous, fappeurs et fappeuses, le summum du plaisir.
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À côté du mythe de « la minorité silencieuse », les normes de genre occidentales jouent un rôle dans le racisme anti-asiatique. L’artiste et militant.e Kelsi Phung détaille pour Komitid les difficultés qu’iel rencontre en France pour faire coexister son identité de genre et son identité vietnamienne.
Ah, les Français et la bouffe ! Une grande histoire d'amour... et de sexe. Découvre l'étude IFOP sur le sujet !
Cet article Plutôt coucher ou manger ? Les Français ont tranché ! est apparu en premier sur madmoiZelle.com.
Envie d’offrir un cadeau sexy à votre partenaire ? Mais vous avez peur que le sextoy rose ou la lingerie fine termine au fond des placards sans connaître son heure de gloire ? Pensez alors à offrir une “expérience” plutôt qu’un objet… de quoi conserver des souvenirs torrides pour alimenter votre imaginaire durant l’année entière.
Voici une liste d’aventures coquines qui pourra vous donner des idées (surtout que la Saint-Valentin approche…) !
1. Un escape game (coquin)S’échapper d’une salle dans un temps imparti ? Vous avez certainement dû expérimenter ce concept qui a le vent en poupe pour souder les liens en famille ou entre amis. Mais vous pouvez aussi y participer à deux et en profiter pour challenger votre couple. Un point bonus si la thématique est érotique !
L’avis de Fred Radet , créateur de l’escape game “69 Nuances de Grey” (66, boulevard Voltaire – Paris, 11e / environ 40-50 € par personne)
« J’ai essayé de nombreux escapes games en Europe avant de me lancer dans l’activité. Comme en France, le sexe est un de nos sujets de conversation préféré, je me suis dit que l’on ne pouvait pas passer à côté de ce thème-là ! Pour cette salle, je n’ai pas réalisé tout ce que j’avais en tête et j’ai dû composer avec les objets que l’on trouve dans le commerce – comme des godes en plastique ou des masturbateurs – pour ne pas avoir des frais de construction irréels. »
Est-ce que l’escape game cartonne ? : « Oui, chez les couples comme chez les groupes d’amis. »
Jamais en famille ? : « J’ai eu une fois l’exemple de trois générations : la fille, la mère, la grand-mère qui sont venues jouer...Lire la suite sur Union Cet article 8 aventures coquines à offrir à votre chéri.e ! est apparu en premier sur Union.
Ce samedi 15 février, venez vous CUL-tiver et parler sexualité grâce à l’événement CULture et Porno organisé par le collectif Soeurs Malsaines, au Hasard Ludique, dans le 18è arrondissement. de Paris Durant cet après-midi, le rôle du porno dans nos sexualités sera interrogé et débattu, et vous pourrez voir en expositions de nombreux artistes érotiques. […]
Cet article “CULture et porno” : débats et expos sexo au cœur de Paris est apparu en premier sur Desculottées.
Dimanche 9 février sur Europe 1, interrogée sur la sexualité des personnes en situation de handicap, Sophie Cluzel estimait que « la société a mûri ». Elle a également annoncé avoir saisi le Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE) pour proposer d’autoriser les assistants sexuels sous certaines conditions. Ces déclarations interviennent dans le cadre de la Conférence Nationale sur le Handicap qui a eu lieu le 11 février. La secrétaire d’État ré-ouvre ainsi le débat sur la légalisation de cette pratique et sur la prostitution d’une manière plus générale.
Un débat vieux de 13 ansLes débats autour de l’assistanat sexuel des personnes en situation de handicap ne datent pas d’hier. À Strasbourg, en 2007 déjà, s’est tenu un colloque intitulé « Dépendance physique : intimité et sexualité » qui évoquait la question des accompagnants sexuels. En 2012 ensuite, Roselyne Bachelot, alors Ministre de la Santé, avait remis le débat sur la table. Dans la continuité de la loi de 2005 relative à l’égalité des personnes handicapées, la ministre souhaitait alors légiférer sur l’accompagnement sexuel. Le CCNE avait alors refusé « en raison du principe de marchandisation du corps humain ».
Ce même principe qui fera adopter à la France en avril 2016 la loi de « lutte contre le système prostitutionnel » Cette loi pénalise les clients de la prostitution en faisant de l’achat de services sexuels un délit. Légiférer sur l’assistance sexuelle nécessiterait donc de revenir sur la loi de la pénalisation des clients, car l’accompagnement sexuel rentre dans la case du travail sexuel.
Différents points de...Lire la suite sur UnionCet article Assistant sexuel : le débat est relancé.. et ça dérange ! est apparu en premier sur Union.
Du 3 mars au 5 avril, la pièce "les survivantes", co-écrite par Isabelle Linnartz et Blandine Métayer à partir des témoignages de personnes en situation de prostitution accompagnées par notre association et publiés dans Prostitution et Société, est jouée au théatre 13 Jardin à Paris.
Une pièce exceptionnelle, qui allie écriture et mise en scène artistiques, comédien·nes de très haut niveau et réalité de l'expérience vécue, que le Mouvement du Nid est fier de co-produire.
A ne pas manquer !
Inspirée de témoignages recueillis par le Mouvement du Nid, Les Survivantes retrace le parcours de cinq femmes tombées dans la prostitution. La souffrance, la peur mais aussi l'humour qui caractérisent ces personnes prostituées et leurs espoirs sont toujours au cœur du combat ... Face à elles, au milieu d'elles, un homme...
Entre le va et vient des camions et le bruit lancinant de l'autoroute, quel avenir attend les survivantes de la prostitution ? Cachées dans les profondeurs d'une station-service près de la frontière belge, cinq femmes au parcours différent vont se révéler dans un même combat : sortir de l'enfer de la prostitution. Face à un homme qui incarne tour à tour trois clients et un proxénète, elles vont nous livrer leur histoire, détruisant les mécanismes fantasmagoriques savamment entretenus par une société complice. Les doutes, les blessures physiques et morales, la vacuité de leur corps transformé en objet sont les seules références objectives à cette tragédie humaine.
Aujourd'hui plus que jamais, la migration des populations et les pays en guerre favorisent la traite des êtres humains et l'esclavage sexuel. La marchandisation des corps via les réseaux sociaux s'est banalisée au même titre que la violence qui les accompagne. Il y a donc urgence à sortir du silence qui entoure encore l'un des tabous les plus tenaces, la prostitution, en donnant la parole à ces femmes.
Chaud et froid au bord de cette autoroute sans destination... On y passe, on y vit, on y meurt ?
Non, on s'en sort.
Pour réserver votre place : https://www.theatre13.com/saison/spectacle/les-survivantes--2
Du 3 mars au 5 avril 2020, du mardi au samedi à 20h, le dimanche à 16h, au théatre 13 Jardin, 103 boulevard Auguste Blanqui, Paris 13e, Métro Glacière (attention bien entrer l'adresse exacte dans les GPS°
Journalistes : écrire à communication@mouvementdunid.org et télécharger le dossier de presse ici ->
Pour les associations de lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants qui souhaitent obtenir un tarif de groupe, merci d'écrire à communication@mouvementdunid.org
LES SURVIVANTES
Texte d'Isabelle Linnartz et Blandine Métayer
Mise en scène Isabelle Linnartz
Compagnie les Turbulentes
1h20 sans entracte – tout public à partir de 12 ans
Avec Amel Charif (Clara), Gigi Ledron (Mimi), Isabelle Linnartz (Birgit), Jean-Claude Leguay (Le Père, l'Employé de banque, le Comédien, le Mac, le Marin), Blandine Métayer (Rose), Catherine Wilkening (Carmen)
Collaboration artistique Paula Brunet Sancho, Lumière Arnaud Jung, Scénographie Catherine Bluwal, Création sonore et composition musicale Sheldon
Production Compagnie Les Turbulentes. Coproduction Le Mouvement du Nid. Spectacle créé en collaboration avec le Théâtre 13 / Paris
Réservations : www.theatre13.com ou 01 45 88 62 22 (du lundi au samedi de 14h à 19h, le dimanche de 14h à 15h)
Prix des places : 22€ ; tarif réduit 16€ (le 13 de chaque mois : tarif unique à 13€), 11€ (scolaires), 7€ (allocataires du Rsa)
Tatoueuse dans la vie quotidienne, Pretty-isil publie souvent des photos en lingerie sur Instagram. Modèle grande taille, elle fait partie de celles qui militent pour plus de représentation des différents types de corps sur les réseaux sociaux. Mais comme bon nombre de femmes qui se dévoilent, elle est régulièrement victime de la censure. Son dernier post concerné ? Une ode aux seins différents de ceux habituellement encensés. Les siens ne sont pas de petites pommes bien fermes. Elle les décrit comme « gros, plats, sans tenue, avec de grosses aréoles et de petits tétons », et dans son post, elle expliquait comment elle avait appris à les accepter et à les aimer. Le genre de message feel-good, qui aide à se sentir mieux dans sa peau… Mais victime de la censure de Facebook / Instagram, une fois de plus.
Modèle : pretty_isil
Ce sont les résultats de la deuxième édition du Baromètre réalisé par l'Ifop pour L'Autre cercle, auprès d'un échantillon national représentatif.
L’article Discrimination : 25% des LGBT+ victimes d’insultes ou moqueries sur leur lieu de travail est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Le prévenu était poursuivi pour avoir passé à tabac un jeune homme, le 26 juillet dernier, dans un flot d'injures homophobes.
L’article Belgique : 12 mois de prison ferme pour une agression homophobe à Tubize est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Kurde iranien et réfugié politique en France, le réalisateur retourne au Kurdistan irakien où il a grandi et présente à sa famille Kojin, un jeune homosexuel de 23 ans. L’occasion de dresser le portrait de cette société où l’homosexualité « n’existe pas ».
L’article Cinéma : « Toutes les vies de Kojin » ou le calvaire d’un jeune gay au Kurdistan irakien est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
« Nous, on ne fête pas la Saint-Valentin, c’est une fête marketing, alors non merci. L’amour c’est tous les jours de l’année qu’on le célèbre ». Qui n’a pas déjà tenu ce discours ou entendu d’autres le prononcer ? Il y a de bonnes raisons de dire cela, c’est vrai. Seulement, célébrez-vous vraiment votre amour chaque jour de l’année ? Entre […]
Cet article Pourquoi fêter la Saint-Valentin n’est pas si ringard est apparu en premier sur Desculottées.
Cet article est paru dans le magazine Causette de janvier 2020. Il a par la suite été publié sur le blogue du Dr Kpote, Monsieur sexuel.
Forcément quand j’ai reçu l’invitation d’une médiathèque dans le Rhône pour une soirée d’échanges sur la sexualité et les ados, en pleine semaine de promo du Beaujolais Nouveau, j’ai présumé que ma petite virée au pays de Guignol aurait peut-être un goût de banane. D’ailleurs, j’ai eu une pensée pour cette scène de Sex Education où Eric se mue en prof de fellation pour donner un cours collectif aux filles du lycée en les invitant à sucer goulument ce fruit, le plus phallique du verger. J’ai évoqué cet épisode de la série auprès de parents d’ados en aparté : ce cours là, leur progéniture ne l’a pas fait sécher et il est bien plus intégré que celui sur les probabilités !
Le lendemain de cette soirée, qui s’est terminée sur des échanges de pratiques entre professionnel.le.s de la prévention, souvent isolé.e.s sur leur territoire respectif, il était prévu que j’anime une séance d’information en non mixité, avec les jeunes de l’Espace Jeunesse. Le rendez-vous était fixé dans un appartement municipal, parfaitement aménagé pour recevoir des groupes. Ponctuels, un animateur est arrivé avec huit garçons de 14 ans.
Installés autour d’une table ronde, on pouvait tous se regarder les yeux dans les yeux, sans tricher. L’éducateur et l’animateur sont restés en retrait pour libérer la parole tout en gardant un œil bienveillant sur le groupe. La présence d’adultes référents lors de mes animations est plus que souhaitable, surtout celles et ceux qui côtoient les jeunes toute l’année. Ce qui est échangé sur un sujet aussi intime que la sexualité réclame un temps d’assimilation, afin d’être repris par la suite et déconstruit. Faire émerger la parole juste pour « faire parler » des gamins qui n’ont rien demandé, ça ne m’intéresse pas. On ne va tout de même pas sortir la gégène et les injections de penthotal pour justifier nos actions auprès de l’ARS (Agence Régionale de Santé).
Pour être efficace, la prévention doit se faire sur la durée et se répéter à l’envie.
Comme souvent, le débat sur le consentement a été vif, les jeunes n’étant pas tous d’accord sur le niveau de pression acceptable pour obtenir l’accord de son ou sa partenaire. La science du forceur à faire céder l’autre n’étant pas exacte, chacun y est allé de sa capacité à jouer les commerciaux de l’égo, étalant ses techniques de vente du rapport sexuel, le pied dans la porte, à l’ancienne. Là où fût un temps on marivaudait, puis baratinait, aujourd’hui on fait plutôt le « charo ». Comme je les questionnais pour savoir s’il pouvait y avoir du plaisir sous la pression et le chantage, ils n’étaient plus aussi certains de leur fait. Mais que connaissaient-ils réellement du plaisir féminin hors pénétration ?
Visiblement, ils butaient un peu sur l’anatomie, confondant vagin et vulve.
J’ai alors extrait de mon sac une vulve moulée dans du silicone avec un clitoris escamotable, gland et bulbes vestibulaires compris. La bande a hurlé comme un seul homme, aussi excitée qu’une tribune d’ultras au coup de sifflet final de la coupe du monde de 2018. Intelligemment, l’éduc a laissé faire, parce qu’on savait tous qu’il fallait en passer par là. Ils ont voulu la palper et avaient bien du mal à comprendre comment était fichu le clitoris, visible grâce à la transparence du silicone. La vulve est passée de mains en mains et tous ont branlé les lèvres, jaugeant au passage leurs connaissances en la matière. C’était la première fois où, en petit comité, je testais l’outil en le faisant circuler. Les gestes étaient gauches, un peu brutaux mais cet acte cathartique a eu le mérite de les calmer.
Comme ils se demandaient comment j’avais obtenu cet obscur objet du désir, je leur ai expliqué qu’une association de prévention canadienne, Sex-Ed+, me l’avait gracieusement envoyé.
Biberonnés au porno sur Brazzers, la nouvelle plateforme en vogue qui squatte les sites de streaming, ils doutaient de la forme des lèvres de ma vulve en silicone, loin des stéréotypes filmés. Je leur ai assuré que le moulage avait été fait sur une vraie vulve. – Quoi la meuf vous envoie un moule de sa teucha ? Et votre femme n’a rien dit ?! Celui qui avait décrété que j’étais donc hétéro et marié, s’est mis à renifler le moule à la recherche d’un reste de fragrance de cyprine, provoquant l’hilarité de ses potes. Forcément, il a aussi fait semblant de lécher, tout en y fourrant son nez. Il y avait un petit côté bulldog anglais dans sa façon de cunnilinguer qui ne faisait pas vraiment rêver. Comme il se plaignait que « ça ne sentait pas la chatte », j’ai embrayé sur les odeurs corporelles et l’hygiène personnelle. Excitantes ou incommodantes, les odeurs jouent un rôle essentiel dans la relation à l’autre.
Malheureusement, dans notre société très aseptisée, on tend à les masquer tout en codifiant le corps et la beauté. L’un d’eux m’a donné l’exemple des poils qu’il convenait de raser. En deux heures, les jeunes avaient tout donné et comme les odeurs ne les faisaient pas trop kiffer, je les ai invité à partager ce qu’ils avaient envie de retenir de cette séance. À ma grande surprise, ils n’ont pas évoqué la vulve siliconée mais le consentement. Même le plus charo d’entre eux, forçant jusqu’à sa posture, a tenu à rajouter qu’on ne devrait pas obtenir une relation en insistant.
Cette belle conclusion m’a redonné la banane, quelque peu entachée, quand je les ai vu, dehors, questionné par une voiture de police qui devait les trouver trop excités, préservatifs à la main. J’ai salué le travail de l’équipe éducative qui avait réussi à motiver huit jeunes à venir échanger autour d’une table plutôt que de taper un foot. Le geek qui me maintient que c’est l’IA qui va sauver l’humanité, je lui glisse une peau de banane sous le pied.
Le billet Les mains dans la vulve. Article du Dr Kpote avec un caméo de SEX-ED + apparaît en premier sur SEX-ED +.
Il y a du nouveau dans le monde de la cam française ! Streamate, service bien connu des cam girls et cam boys internationaux, fait son arrivée sur le marché français. Au programme, un site qui a fait ses preuves dans le domaine du streaming sexy, qui compte bien séduire les performeuses et performeurs français… Au même titre que les spectateurs et spectatrices de l’Hexagone !
En matière de webcam coquine, Streamate est loin d’être un débutant. Si le site reste moins connu que Chaturbate, la référence en la matière, le service a au fil des années gagné en popularité. Lancé en 2003, le site possède en effet un avantage de taille. Il s’agit de la plus grande plateforme de webcams pour adultes au monde, avec pas moins de 1 500 modèles en ligne tout au long de la journée, et pas moins de 600 millions de visiteurs par mois : un trafic qui force le respect !
À nous les petites FrançaisesTROP HÂTE DE VOUS VOIR CE SOIR A PARTIR DE 21H30 SUR STREAMATE ! JE SERAI EN DIRECT POUR UN SHOW STAR DU X ! NE ME RATES PAS ET INSCRIS TOI GRATUITEMENT ICI :https://t.co/mTtn0W0hSH pic.twitter.com/F2ujWUCiv6
— Laly Officiel (@LalyOfficiel1) February 7, 2020
Après avoir séduit le monde entier grâce à sa diversité de modèles, Streamate se lance un nouveau défi. Depuis le mois de novembre 2019, le site possède une plateforme totalement francophone, plus facile d’utilisation pour les adeptes de la webcam qui ne maîtrisent pas la langue de Shakespeare. Au programme : toujours la même interface, simple d’utilisation, mais cette fois-ci en français. Le tout avec un avantage de taille : les performeurs et performeuses francophones bénéficient d’une meilleure mise en avant, afin de faciliter l’expérience des camgirls et camboys comme celle des spectateurs.
En pratique, ça donne quoi ?Parlez-vous français?
— Streamate France (@StreamateFrance) October 15, 2019
Rejoignez notre projet dédié aux modèles francophones pour profiter de:
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Pour vérifier que l’expérience proposée par le service est optimale, rien de tel que de tester les choses par nous-même. A commencer bien sûr par la création d’un profil. L’inscription se fait en quelques secondes – mail, pseudo, mot de passe – mais nécessite de lier une carte bancaire ou un compte paypal à son compte pour pouvoir aller plus loin. Une pratique qui risque de décourager certains adhérents, mais qui facilite la tâche au moment de laisser des pourboires aux performeurs et performeuses. Dans tous les cas, si vous voulez communiquer avec les modèles, il est obligatoire d’avoir un compte, et donc d’y lier un moyen de paiement.
Une fois cette étape terminée, il est possible d’accéder à tous les salons proposés par les camgirls et camboys. Sur la version française, tous ceux proposés en tête de liste sont francophones. Il s’est d’ailleurs facile de les repérer, puisqu’ils sont dotés d’un petit bandeau bleu-blanc-rouge (Cocorico !). Il suffit ensuite de cliquer sur la vignette de votre choix pour pouvoir accéder à la diffusion, demander un show privé ou offrir un tip du montant de votre choix à votre interlocuteur·trice.
Avec Streamate, il est désormais possible de mater des boulis francophones. Streamate recrute des modèles !Vous avez déjà une expérience dans le monde de la cam, ou bien l’aventure vous tente ? Afin d’agrandir son offre de performeurs et performeuses francophones, Streamate est à la recherche de nouveaux camboys et de nouvelles camgirls. Pour vous inscrire et diffuser vos shows, c’est simple, il vous suffit de cliquer sur ce lien. La plateforme propose de nombreux avantages, à commencer par un revenu horaire garanti pour les modèles expérimenté·e·s. Rendez-vous de l’autre côté du miroir !
La justice mauritanienne a condamné huit hommes à deux ans de prison ferme pour « actes contraires à la morale », après la diffusion d'une vidéo les montrant participer à une fête initialement présentée comme un premier « mariage gay ». Il s'agissait pourtant d'un anniversaire. Une femme, accusée d'y avoir participé, a également été …
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Une étude canadienne a révélé au grand jour le secret pour du sexe satisfaisant, et il tient en un minimum de 6 minutes de rapports intimes et affectueux, avant ou après le coït !
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La double pénétration pourrait faire partie des fantasmes sexuels les plus répandus parmi la gent féminine. Une étude menée en 2016 auprès de 1059 femmes le confirmerait. A la question suivante : « Quel est votre fantasme ? » 42 % des réponses étaient celui du plan à trois avec une double pénétration. Chez les hommes, sans surprise, c’est le fantasme d’un plan à trois avec deux filles qui serait très largement répandu.
Si beaucoup rêvent de cette situation, certaines n’attendent plus et sautent le pas. Que ce soit avec leur copain, des connaissances, ou de parfaits inconnus, elles témoignent aujourd’hui afin de donner des conseils, parler de leurs expériences, comment elles l’ont vécu.
Double pénétration : une « appréhension de la douleur »Eva à 45 ans. En couple depuis 2 ans, elle a toujours eu comme fantasme de se faire pénétrer par deux hommes en même temps. « Lorsque j’en ai parlé à mon copain pour la première fois, il m’a avoué n’avoir aucun problème avec cela. » dit-elle. « En réalité, c’était moi qui avais peur, j’avais une appréhension de la douleur« . Et la douleur, c’est une des peurs les plus fréquentes chez les femmes. « Je me suis surtout préparée psychologiquement. J’imaginais régulièrement le scénario, c’était très sensuel, très romantique dans ma tête. C’est une sensation de plénitude en fait, d’être comblée de partout » déclare-t-elle.
Sensation également partagée par Clara, 26 ans : « Pendant ce moment, on lâche prise, on ne s’appartient plus, on est totalement dominée et comblée« . Une sensation partagée par beaucoup de femmes qui ont déjà pratiqué la double pénétration, celle...Lire la suite sur Union
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C'est un échec pour la droite populiste opposée au texte. Les votants ont dit « oui » à 63,1% à cette nouvelle législation.
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Le 23 janvier dernier, une femme a volé 40 sextoys et distribué une partie d’entre eux à ses voisines, et l’autre partie à un club de massages en Espagne. C’est aussi cela qu’on appelle la solidarité féminine ou sororité ! Des sextoys de la marque Satisfyer Les caméras de sécurité la montrent en train d’entrer […]
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Les dimanches sont bien tristes depuis la fin des galettes des rois et des crêpes de la Chandeleur. Quelles excuses imaginer pour profiter de doux après-midi hivernaux réconfortants et gourmands ? Le marketing n’a pas encore inventé la fête du cookie ? Pourtant, ce serait idéal pour accompagner le fap dominical inspiré par les gifs… Bien que les miettes ne garantissent pas un focus optimal. Veillez à ne pas en mettre partout !
Solo en solo, Luna Okko possède une nouvelle chaîne, un nouveau complément à son pseudo. Elle continue la route et compte bien rider la home de Pornhub sur sa planche dorée de succès. Ad astra, c’est reparti pour notre Française, vers les sommets du porn sa place l’attend.
Si seulement The Witcher sur Netflix avait basculé dans le porno. Yennefer donne déjà beaucoup de sa personne dans la série, mais ce n’est jamais suffisant pour les insastifait·es. Il y a bien toutes ces versions cul du personnage du jeu vidéo, mais ça n’a pas la même saveur. Alors, on se rabat chez Bare Maidens et son univers fantasy. Le combat à l’épée est palpitant et ça fera patienter les fans de Kaamelott trop excités par le trailer. Winter is coming.
Axel Abysse, anal king français, est l’ami du petit-déjeuner. Il a même apporté le bol. Le mélange des saveurs est surprenant, mais ne dit-on pas que c’est le repas le plus important de la journée ? Dans ce remake de la légendaire scène de Roxy Raye, aka Lady FruitLoops, pour Evil Angel (avec Chanel Preston), on retrouve la passion pour l’extrême d’Axel qu’il n’arrête d’explorer dans des vidéos réjouissantes où le sale le dispute à la bonne humeur.
2020 sera l’année du porno bi. Quand on utilise bi dans ce contexte, cela réfère à la bisexualité masculine, car deux femmes avec un mec, cela rélève juste de la banalité qui ne nécessite pas de qualification spécifique visiblement. Étrange monde que celui des tags ! Les Sexy Hippies et leur magnifique énergie proposent un bel échange en foursome sur leur ManyVids. Les forces de l’Univers pénètrent tous les corps sans distinction, c’est l’amour qui coule dans les veines et dans les fesses. Une si merveilleuse symbiose mérite votre attention.
Qui peut s’asseoir à la table de Nikki Hearts et revendiquer un meilleur coup de reins ? Kissa Sins reçoit les assauts avec intensité et un plaisir non dissimulé. Dans sa série DykedDown, Nikki dévoile sa vision du sexe queer et une utilisation du strap-on diablement efficace. Nous sommes bien loin des tentatives maladroites de certains studios mainstream.
Difficile de maîtriser la séduction en mangeant une datte. Janice Griffith s’y frotte et s’y pique. Dans ces bloopers d’une scène avec l’irrésistible Oliver Davis, les rires fusent et c’est rare de trouver ce genre de contenu. Alors profitons-en en dégustant de bons cookies. Le porno, c’est toujours mieux quand ça rigole avant, pendant ou après.
Reste plus qu’à inventer une nouvelle fête pour la semaine prochaine. Vous aimez les Paris-Brest ?
Image de une : Kissa Sins et Nikki Hearts pour DykedDown
“Rien ne sert de courir ; il faut partir à point” disait Jean de La Fontaine et cette maxime de vie s’applique parfaitement à la sexualité. Pourtant, les personnes dont le premier rapport sexuel arrive à un âge plus avancé que la moyenne sont souvent incomprises, jugées, considérées “coincées” ou anormales. Nous avons interrogé des […]
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La loi contre les contenus haineux sur Internet, portée par la rapporteuse Laëtitia Avia, vise à contraindre les grandes plateformes numériques (Twitter, Facebook, Instagram etc..) et aux moteurs de recherche, à modérer les contenus publics « manifestement illicites » qui y sont postés, dans un délai maximum de 24h, sous peine de lourdes sanctions financières. …
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Après une longue traversée du désert, cette madmoiZelle a retrouvé sa confiance en elle et son désir le temps d'une partie de jambes en l'air avec son amoureux. Et ça lui a VRAIMENT fait du bien.
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Peu de gens le savent, mais c’est dès l’adolescence que les jeunes peuvent agir sur leur capital fertilité, et ainsi diminuer leurs risques de rencontrer des difficultés lorsqu’ils souhaiteront devenir parents.
Les responsables du collectif « Protège ta fertilité » veulent sensibiliser les jeunes à la question de la fertilité avant qu’il ne soit trop tard : « En France, on sensibilise les jeunes dès le collège pour leur apprendre comment ne pas avoir d’enfant, notamment au travers des différentes techniques de contraception. Mais finalement, à aucun moment nous ne leur enseignons que leur fertilité est précieuse et qu’il faut la protéger », explique Nicolas Chevalier, gynécologue au centre AMP Saint Roch de Montpellier.
Une fertilité de plus en plus compliquéeOr, lorsqu’ils se sentent enfin prêts à se lancer dans l’aventure, de plus en plus de couples ont du mal à concevoir un enfant. Selon le Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire (BEH) en 2012 en France, 18 à 24 % des couples ont été confrontés à des problèmes d’infertilité, soit près d’un couple sur 5. Une des principales causes de ces difficultés à concevoir : le recul de l’âge moyen pour le premier enfant. En 2017, ce dernier était d’environ 30 ans selon l’Institut National d’Études Démographiques (INED), contre 26 ans en moyenne en 1975.
Ce recul s’explique en partie par l’envie de notre jeunesse de consacrer davantage de leur temps libre à diverses activités ou encore d’atteindre une certaine stabilité financière. Mais le Lire la suite sur Union
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À Genève, grâce aux politiques moins répressive du Travail sexuel, la stigmatisation est beaucoup moins forte qu’en France. Il y a même un centre d’archives Grisélidis Réal qui a ouvert grâce à l’Aspasie pour que les Genevois.e.s puissent hériter des savoirs et récits de vie de cette célèbre activiste, artiste et TDS ! C’est sans doute pour cela que l’inclusion des travailleur.se.s du sexe au Fesses-tival se fait de manière tout à fait évidente.
Un Fesses-tival qui a bien gonflé… et qui s’est pornifié !Grâce à l’engouement suscité par la première édition à Ressources Urbaines, le Fesses-tival 2019 a pu construire de nouveaux partenariats, avec le Cinéma le Spoutnik dans lequel il y a eu des projections, ainsi qu’avec le Zoo dans lequel on a pu danser toute la nuit du samedi ! Avec en plus une subvention et l’organisation d’événements de soutien, la programmation a pu se densifier et devenir plus internationale.
Le Fesses-tival nous a permis de voir une diversité des médiums de représentations des corps et des sexualités : exposition, installations, projections de courts-métrages, performances, fanzines, musique, ateliers et tables-rondes.
Dans ces espaces non policés, les pornographies peuvent exister. Qu’on le brode, qu’on le filme, qu’on le dise, qu’on le monte, qu’on le performe, qu’on le mate, au Fesses-tival, le porno n’est pas au placard. Chez les sexwokers, les rumeurs vont vite lorsqu’on trouve des espaces qui échappent aux politiques de contrôle des corps… Une bulle d’air pour les ami·es sans arrêt censuré·es en France et sur les internets.
Des porno culinaires et de belles mises en bouchePour m’allécher, rien de tel que de réunir mes deux vices : le cul et la bouffe ! Brunch on Bikes de Ethan Folk et TY Wardwell – ou la recette d’un porno réussi :
– 4 performeurs audacieux
– 1 préparation de pancakes inventive
– 1 livraison à vélo nus sous un tablier
– 1 brunch kinky
– 1 louche d’humour
Du porno sans prétention qui s’empare de manière dirty du code de “la ménagère”. Se plugger le cul avec un fouet de cuisine pour battre les oeufs est sur ma to do list depuis ! Miam.
Plus tard, je croise Marianne Chargois qui vient de performer Golden Flux « Ce qui est important pour moi dans les créations, c’est l’agentivité », me dit-elle. « Les points de vue faussement neutres qui usent de lexiques émotionnels pour faire croire que les travailleur·ses du sexe seraient des victimes incapables de penser par elles-mêmes, ce n’est pas féministe ! »
Dans sa performance sur l’urophilie, Marianne nous révèle des aspects de son métier de dominatrice qu’on voit peu dans les représentations médiatico-culturelles habituelles. On y découvre des extraits de séances de food fetish filmées à la gopro, on y entend le point de vue d’une travailleuse du sexe sur sa pratique, et, dans cette performance olfactive, on reçoit de belles vapeurs de champagne. Vu les applaudissements chaleureux de la salle, j’imagine que je ne suis pas la seule à avoir adoré.
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Je n’ai su prendre des notes pendant L’Annonce de Carré Rose Films : la caméra proche du documentaire et les performeur.se.s m’ont laissé la bouche ouverte et pleine de salive.
Du mythe du poète maudit à celui de la pute vénaleLors de la table ronde intitulée “Le comique sexuel, normatif ou subversif ? Discussion sur la pornographie française des années 1970”, Solène Humair nous rappelle qu’il y a eu un âge d’or du porno lorsque Michel Guy, secrétaire d’État à la culture, avait supprimé en toute forme de censure du porno. On pouvait donc avoir des scènes pornographiques dans des films de fiction, plutôt que des ellipses ou des métaphores du sexe.
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La production de porno est par conséquent devenue très importante et, à mon grand désespoir, le même ministre a eu peur que la production de représentations non-porno disparaissent. C’est pourquoi, il a créé des mesures prohibitionnistes que l’on subit encore aujourd’hui :
– des visas d’exploitation à 33%
– les projections de porno dans des espaces spécifiques
– interdiction d’obtenir des subventions
La production de porno française a donc privilégié les exports. Fini le porno en circuit court ! Dans les années 80, l’apparition des VHS a permis de contourner la loi injuste sur les visas d’exploitation. Et les pornographies sont passé de l’espace public à l’espace privé. Et c’est encore valable aujourd’hui avec les tubes et les liveshows.
En suivant, j’ai assisté à une conférence intitulée “Les images pornographiques peuvent-elles être éthiques et inclusives ?” avec Diamonds Bitch et Saphir Cocks, membres de Rubis Collective, Hazbi, programmateurice des Porny Days et de la Fête du Slip, Méli Boss, membre du collectif OIL Productions, et Naïma Pollet, co-directrice du Fesses-tival pour la modération.
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À la table, tout le monde n’avait pas le même rapport à l’éthique et chacun.e avait sa propre définition du terme, marketé à tort et à travers.
“Ce sont les censeurs qui définissent ce qui est de l’art ou du porno”, Rubis Collective
Les membres du Rubis Collective ont rappelé certaines lois spécifiques de censure et de freins du porno (voir plus haut). À cause de ses mesures, les conditions de travails des TDS sont moins bonnes. Pour eux, si on veut offrir de meilleurs conditions de travail au performeur.se.s porno, il faut réinvestir dans le porno.
Et si on se retrouvait tous à Genève pour parler porno? pic.twitter.com/EkvxyKyGpX
— Rubiscollective (@rubiscollectiv) September 13, 2019
“Le piratage de porno, tout le monde s’en fout alors que lorsque qu’il s’agit de musique, cela devient un sujet de société, il faut que le regard social sur le porno change.”
Heureusement, les espaces où on questionne les pornographies, comme le Fesses-tival, permettent de contrebalancer ce phénomène de consommation intime et cachée de porno. Peut-être que de sensibiliser les personnes au fait qu’il s’agit d’un travail et d’une économie les incitera à consommer de manière plus éthique – par exemple en payant pour regarder le produit d’un travail sexuel. Les modes de consommation ont évolué au cours de ces dernières années grâce à des prises de conscience de la clientèle, pourquoi n’en serait-il pas de même pour le porno ?
Pour Hazbi, “projeter du porno n’est pas anodin, il s’agit d’ouvrir la sexualité des gens”, l’enjeu est d’ouvrir des espaces où les sexualités ne sont pas toujours représentées de la même manière et sous les mêmes formats, de montrer une diversité de corps et de pratiques. Il précise être très choqué des politiques de censure de certaines pratiques au Royaume-Uni qui interdit le fisting ou encore le squirt. Une spectatrice est intervenue pour dire qu’on ne pouvait pas parler d’éthique sans parler d’argent et a posé la question de la rémunération des performeur.e.s porno.
Méli Boss partage une anecdote :une de ses actrices avait, parce qu’elle a pris du plaisir, refusé l’argent. Cela m’a frappée. Et je me suis souvenue que les artistes sont conditionnés à accepter de travailler souvent sans rémunération sous prétexte qu’ils “vivent leur passion” ou encore qu’ils “aiment leur travail”. L’Art est un marché qui tire profit du “plaisir” non rémunéré de ses travailleurs. On retrouve une culpabilisation sociale similaire chez les travailleur.se.s du sexe qui sont poussés à faire du bénévolat. Il est important de ne pas casser le marché du porno en acceptant de travailler gratuitement, même si les images sont belles ou on y prend du plaisir. Simplement parce que cela participe à une baisse des conditions de travail de l’ensemble des travailleurs.e.s du sexe, et quand on fait du porno, on doit en avoir conscience.
document.createElement('video'); https://oilproductions.ch/wp-content/uploads/2019/04/EXODIA-blue-repass-low.mp4De plus en plus de festivals émergent pour questionner les pornographies et les regarder dans des espaces publics. Ils sont hélas souvent cantonnés à des lieux dits « alternatifs » et souffrent de manque de financements. Lorsqu’ils sont subventionnés via des lieux artistiques, ils peuvent s’éteindre à chaque instant, selon le conservatisme et le clientélisme de certains établissements. Alors, si vous souhaitez voir perdurer ces espaces où les représentations des sexualités sont possibles : n’hésitez pas à les soutenir et à les défendre.
J’avoue que j’aurais adoré une sexparty pour mettre en pratique ces lumières. Peut-être l’année prochaine ?
Le festival prépare actuellement l’édition 2020 : envoyez un mail à : projet@lefessestival.ch
Océane a couché avec un ami à elle. Et ça l'a menée à remettre en questions plein de certitudes sur les liens fille/garçon et la place qu'elle donne à la sexualité !
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Pour la Saint Valentin, Queen Camille ouvre son cœur et rend hommage à la rencontre qui a changé sa vie. Une histoire d'amour incroyable qui redonne espoir en la beauté des sentiments...
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Cette madmoiZelle a commencé récemment à utiliser des sextoys avec son partenaire, et elle a totalement adopté cette pratique ! Découvre comment elle s'est mise aux sextoys en couple.
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Je suis à chaque fois frappée par le vocabulaire entourant les femmes qui témoignent avoir été victimes de violences sexuelles. Elles seraient « dignes » nous dit-on. Elles auraient témoigné avec un « courage plein de dignité ». Le mot courage revient beaucoup également sans que personne ne s’étonne qu’il faille du courage pour parler de viol. On devrait dire qu’on a été violée comme on a été agressée dans la rue parce qu’il n’y a aucune honte à avoir, ni aucun courage spécifique à témoigner si ce n’est que nous sommes encore dans une société qui en veut, profondément, aux victimes de viol de l’avoir été.
Une femme perd extrêmement facilement sa dignité pour peu qu’elle ait eu une attitude en rapport avec le sexe, qui va de respirer à être violée, en passant par mettre des jupes – courtes ou pas – , des pantalons – moulants ou pas, des cheveux qui volent au vent ou des cheveux laissant voir la nuque, un foulard trop relâché ou trop coloré, des rapports sexuels avec des hommes, des rapports sexuels avec des objets, des rapports sexuels tout court, lorsqu’elles parlent de leur anatomie, de leurs règles, du fait que parfois elles vont aux toilettes ou se mouchent. Une femme ca se salit facilement et encore plus si elle est mise au contact de la bite d’un homme ; c’est d’ailleurs assez fascinant cette capacité que les bites d’hommes auraient à salir les femmes sans se salir elles-mêmes. Sans doute un autowash intégré allez savoir. C’est captivant d’écouter ces hommes dire qu’ils ne voudraient pas coucher avec des femmes qui ont eu beaucoup de partenaires sexuels masculins ou qui ont été violées (c’est visiblement un peu pareil pour eux) comme s’ils avaient intégré qu’être en contact avec un pénis d’homme, ça salit. Tiennent-ils le leur avec une pince lorsqu’ils urinent ? sont-ils dépourvus de cette capacité à être salis ?
Et donc lorsqu’une femme est violée, par une sorte de double alto arrière mental, elle est « salie ». Pas le violeur hein, lui ca va. Juste sa victime. Elle doit donc tout faire pour retrouver sa dignité perdue et pour cela, disons-le tout net, le suicide reste encore une bonne solution. On aime bien ça les victimes de viol suicidées, déjà elles évitent de nous faire chier avec leurs souffrances, ca coûte pas cher à la sécu et on peut faire de grandes phrases sur « le viol on ne s’en remet jamais » (tant pis pour celles et ceux qui aimeraient bien s’en remettre). La victime suicidée est silencieuse, donc on peut lui faire dire ce qu’on veut et ca c’est toujours confortable.
Alors beaucoup de victimes vont polir leur discours, le rendre acceptable et tolérable. Exprimer une douleur bourgeoise tout en maitrise de soi et en contention pour ne surtout pas passer pour ne hystérique. L’historien Alain Corbin émettait l’hypothèse que si, au 19eme, on enfermait les prostituées dans des couvents, à leur faire ravauder des draps, c’était pour qu’au contact de ces linges blancs, elles retrouvent en quelque sorte une pureté d’âme. C’est ce qu’on cherche chez la victime de viol ; qu’elle recouvre ce qu’elle aurait irrémédiablement perdu, sa propreté, sa pureté virginale. Personne pour se dire qu’au fond le seul à être sali, et durablement c’est le violeur. Alors on polit longuement nos discours. On ne rentre pas dans les détails, on fait preuve d’un chagrin manifeste mais pas trop expansif non plus. On ne souhaite ô combien jamais la mort d’un violeur (sauf si on est la mère d’un enfant violé à la limite). On exprime une souffrance tout en yeux écarquillés, en mains tordues sur lesquelles la caméra fait un gros plan et jamais, personne ne dit qu’elle a passé sa nuit à hurler en se souvenant car ca ne ferait pas bien sérieux tout cela.
Je maitrise tellement bien le phénomène que beaucoup pensent que je n’ai jamais été violée, y compris chez certaines féministes. Je ne sais si ca me donne droit à une médaille ou quoi (j’accepte, je suis vénale).
Jusque dans l’expression de la possible souffrance après un viol, les femmes doivent conserver un certain quant à soi, une pudeur bourgeoise ; il faut montrer qu’on souffre certes mais pas trop pour ne pas tomber dans l’hystérie qui mène tout droit à l’accusation de mythomanie.
Beaucoup ont lu, avec parfois délectation les écrits de Matzneff sur les viols qu’il a pratiqués. Je sais qu’une victime ne pourrait raconter cela ; ce serait vu comme sordide, elle étalerait trop son intimité. Quand même il y a des limites.
Il n’y a pas de dignité perdue après un viol.
Même après avoir eu la bite de ton père dans la bouche
Même après t’être chiée dessus de douleur
Même après l’avoir supplié de te baiser parce que sinon il te tuait
Même après lui avoir léché les semelles car il te le demandait.
Même parce que tu as eu peur, une peur si atroce que tu te réveilles 15 ans après en chialant de douleur et que tu n’en parles à personne, parce que ca te semble un peu ridicule tout de même.
Il n’y a pas de dignité à recouvrer après un viol surtout face à une société qui ne le mérite pas à ne pas nous croire, à nous traiter de putes, de menteuses et de salopes.
Nous sommes entretenues dans l’idée que nous aurions perdu quelque chose, que nous aurions nos preuves à faire, que vraiment nous devons montrer qu’on n’a jamais été d’accord. La manifestation d’une souffrance contenue en est une. Mais nous devons aussi montrer qu’on reste fréquentable, baisable pour le prochain homme qui passe et donc se garder de tout propos agressif, misandre, qui, on le sait, pourrait les faire fuir.
Dire que les femmes qui témoignent de violences sexuelles sont dignes me fait toujours penser à plusieurs choses ;
- qu’elles ont vécu des choses indignes ; mais indignes pour qui ?
- qu’il y aurait une bonne attitude à avoir pour témoigner, rester dans le témoignage plein de sobriété avec une ou deux phrases choc tout de même, et si on peut te tirer trois larmes mais pas plus c’est pas plus mal.
Ou sont les femmes folles d’avoir été violées ?
Ou sont les femmes qui ne rêvent que d’arracher les couilles de leur violeur ?
Ou sont les femmes qui ne voudront plus jamais d’un homme dans leur vie ?
Ou sont les femmes qui n’en ont à peu près rien à foutre d’avoir été violées, même si elles considèrent cela grave par ailleurs ?
Ou est la dignité d’une société qui nous méprise, nous chie à la gueule, nous dit qu’on doit faire les efforts pour ne pas être violées, qu’on doit ensuite – parce que ca arrivera forcément – raconter, dire mais pas trop pour ne pas effrayer le tout venant avec nos horreurs.
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Votre ex vous manque et vous recouchez avec lui régulièrement ? Diantre ! Pour certains, ce serait comme remuer le couteau dans la plaie mais pour les scientifiques de l’Université d’Arizona, le discours prend une autre tournure : d’après leur ancienne étude (2012), 20% des participants qui trouvaient comment revoir leur ex et coucher avec lui ou elle (quelques mois après leur rupture) et ne s’en portaient pas plus mal. Au contraire ! Un avis que partage la psychologue américaine, Stéphanie Spielmann, si l’on en croit ses récents travaux…
Coucher avec son ex ? Ca pourrait rendre heureux…Accompagnée de ses collègues, Samantha Joël et Emily Impett, la psychologue s’attaque à cette croyance populaire. Toutes les trois mobilisent 113 personnes séparées depuis quelque temps. Durant quatre semaines, les différents participants se sont livrés sur leur ancienne relation, répondant aux questions telles que : « Êtes-vous encore très attaché(e) à votre ex », « l’avez-vous déjà contacté(e) depuis votre...Lire la suite sur Union Cet article Une mauvaise idée de coucher avec son ex ? Pas selon une étude… est apparu en premier sur Union.
Pigo Lin aime le sexe et c’est à travers ses dessins érotiques qu’il trouve un terrain de liberté et créativité pour l’exprimer sans limites. Cet artiste taiwanais projette son désir dans ses œuvres et sa vision d’une sexualité féminine impétueuse, sensible et infinie. À travers l’usage de métaphores, son érotisme influencé par le manga, pousse […]
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Pas de sexe avant le troisième date ? En Outre-Atlantique certainement. Mais dans l’Hexagone, 44% des Français ne se limitent pas à ses règles du « premier rendez-vous » et couchent dès le premier soir (source : Ifop).
La tendance du « coup d’un soir » plus masculine que féminineSans grande surprise, les hommes se retrouvent sur le podium : 55% de la population masculine s’envoie en l’air après une première rencontre. Chez les femmes, la proportion du « sexe dès le premier soir » tombe à 34%.
Un tel écart s’expliquerait par les injonctions faites à la gent féminine : une femme qui couche le premier soir serait perçue comme une « fille facile », une femme qui ne se respecte pas, et puis, elle pourrait avoir le « vagin élargi » ce qui veut dire plus aucune sensation…
Au-delà des idées toutes faites, s’ajoute la déception des expériences passées ! Près d’une femme sur deux déclare avoir été déçue lors de leur premier rapport après une rencontre. Rien à voir avec les hommes qui étaient 75% à se dire satisfait. Un jeu de séduction bâclé et des conversations trop courtes avant un partage dans l’intimité traduiraient cette différence. À croire que les femmes chercheraient davantage une relation de couple…
Mais pas vraiment ! Par exemple, 44% des femmes préfèrent dormir seules tandis que les hommes seraient seulement 29%. Pourtant, Lire la suite sur Union
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Vous souhaitez redonner un élan « coquin » à votre couple à l’occasion de la Saint-Valentin, mais vous avez peur de la réaction de votre cher et tendre si vous lui offrez un sextoy ? Pas de panique ! Pour ceux qui craignent les angoisses de leur.e chéri.e face aux jouets de silicone, un sondage Ifop de 2017 pour Dorcelstore.com nous éclaire sur le rapport des Français face à leurs accessoires coquins préférés (eh non ! Les sextoys ne nous ont pas encore remplacés).
Un sextoy, mais c’est pour être utilisé en solo ? Pas vraiment, cela peut, mais c’est aussi une formidable expérience de couple. L’étude révèle même que l’utilisation en duo (45%) est plus élevée que celle en solo (29%). Et les Françaises ne sont que 6% seulement à les avoir uniquement utilisés sans leur partenaire. La plupart l’utilise parfois en duo, parfois en solo. Pas de concurrence entre une bite et le dernier rabbit, donc.
Un sextoy, mais c’est parce qu’il y a un problème dans le couple ? C’est surtout pour éviter qu’il y en ait. Deux tiers des propriétaires de sextoys trouvent que ces jouets contribuent à leur bien-être sexuel, notamment en renforçant la sensualité et le jeu avec leur partenaire. C’est plutôt pour « prendre soin de sa sexualité » que pour la « réparer ».
Un sextoy, mais ça va modifier notre sexualité de tous les jours ? En réalité, les sextoys s’utilisent plutôt occasionnellement, comme une expérience. Seulement 4% des femmes et 5% des hommes l’utilisent à un rythme hebdomadaire. Et puis, il faut les nettoyer après chaque usage, savoir où ils sont rangés, sortir le lubrifiant… c’est parfois plus simple un petit quicky à deux.
Enfin, rassurez-vous, 75% des Françaises en couple actuellement se disent prêtes à...Lire la suite sur Union
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En vacances dans l'archipel, la boxeuse britannique April Hunter a partagé sur les réseaux une photo où elle embrasse sa petite amie, avant de retirer la publication par crainte des représailles des autorités maldiviennes.
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Parfois les scènes qui imprègnent notre rétine sont découvertes au hasard. J’ai probablement vu Demonlover, film d’espionnage industriel dans le milieu du porno réalisé par Olivier Assayas et sélectionné en compétition au festival de Cannes 2002, à la télévision, sur le câble. Je l’ai vu d’un œil, sans comprendre les tenants et les aboutissants de cette intrigue complexe mais hypnotisée par l’image. Par la beauté froide de Connie Nielsen et la sensualité dévastatrice de Charles Berling.
Une scène, en particulier, a fait monter chez moi la température. C’est une scène où il ne se passe rien. Les personnages interprétés par Connie Nielsen et Charles Berling sont à Tokyo, au Japon, pour finaliser un contrat. La réunion s’éternise dans une boîte de nuit. Plus tard, à l’hôtel, Connie Nielsen se fait faire un massage pour oublier La pression des deals qui valent
des millions qui pèse sur les épaules. Elle commence à regarder un porno à la télé et continue de boire seule. Elle rejoint la chambre de son collègue pour discuter affaires.
Quand elle entre dans sa chambre, il est allongé sur le lit et regarde le même porno qui avait retenu son attention. Elle s’assied puis s’allonge sur le lit. Leur discussion s’arrête. Il lui caresse l’épaule et puis la nuque et le visage. Elle retient sa main. Il lui effleure les seins à travers sa robe fluide. Et puis la porte s’ouvre, une autre personne entre en jeu et la magie
est finie. Il ne se sont pas parlé. Ils n’en parleront pas. C’était une parenthèse. Ensuite reprend l’intrigue violente. Mais la tension est grande et reste dans l’air. Demonlover est un film froid, un film dans les tons bleu glacial.
Du cuir noir, des buildings en verre, des taxis, des réunions à n’en plus finir où chacun reste sur la défensive, la loi de l’offre de la demande et puis internet et la torture en quelques clics. Cette scène pourtant, les mains de Charles Berling dont on imagine la chaude et pénétrante caresse, est à l’inverse de tout l’univers qui est planté. Il n’en faudra pas plus. Le plus, sans l’implication, il est partout. Mais ce geste d’une intimité désarmante, ces caresses sensuelles, elles dépassent tout ce que l’entreprise Demonlover propose. Ce peau contre peau et le tissu fin qui glisse, cette promesse lourde qui n’a jamais été tenue… tout cela reste longtemps comme une obsession.
Des dizaines de fois j’ai écrit dans ma tête la suite de cette scène. J’ai senti sur ma peau les mains de Charles Berling, le parfum du scotch dans son haleine et le corps fourbu par le décalage horaire. J’ai imaginé la fuite au petit matin et la douche qui aurait suivi. J’ai imaginé ces caresses durer et la sensation fantôme qu’elles auraient laissées sur mon corps. Il n’a fallu que quelques secondes à Olivier Assayas pour créer ce sentiment, cette frustration, cette envie qui fait pulser le sexe et dépasse largement le cadre du cinéma. Le film est un bijou mais cette scène… elle vit bien au-delà de l’écran.
Les tags de DemonLover d’Olivier Assayas : #charlesberlingshands #japaneseporn #foreplay #bondage #teaseanddenial
Vous avez réussi à faire passer l’amendement ouvrant la PMA à toutes les femmes en 1ere lecture à l’Assemblée nationale mais on voit qu’aujourd’hui le Sénat tente d’exclure du remboursement des soins les couples lesbiens et les femmes seules. Quelle est votre position par rapport à cet amendement ? Est-ce en accord avec les principes d’égalité et de non-discrimination ?
Jean-Louis Touraine : Je suis défavorable à la restriction que voudrait imposer le Sénat. En quelques mots, l’ouverture de la PMA à toutes les femmes devenait obligatoire, ou du moins parfaitement logique, dès lors que non seulement le mariage pour les couples homosexuels est autorisé mais aussi la possibilité pour les couples homosexuels comme pour les femmes seules de pouvoir adopter. Nous devons donc offrir des conditions satisfaisantes pour les uns et les autres. Le Conseil d’État lui-même a recommandé que soit appliquée la tradition de solidarité qui prévaut dans notre pays depuis 1945 et symbolisée par la Sécurité sociale. On ne doit donc pas établir de discrimination inégalitaire.
Que dire de l’argument avancé qu’il ne s’agirait pas d’un acte médical pour les lesbiennes et les femmes seules contrairement aux couples hétéros stériles ?
Les sénatrices et sénateurs se sont senti·es obligé d’interdire également cette prise en charge pour les couples hétérosexuels qui n’ont pas de stérilité médicalement prouvée. Sinon, tout le monde aurait hurlé à l’inégalité. Le Sénat tente donc de démontrer qu’il y a une différence entre celles et ceux qui sont médicalement stériles et celles et ceux qui ne le sont pas, qu’ils et elles soient hétéros ou homos. Mais cette restriction tient difficilement la route car l’accès à la PMA a toujours été étendu aux couples hétérosexuels qui au bout de 2-3 ans, n’ont pas pu procréer, alors même que les examens médicaux n’établissaient pas la stérilité. Si cela cessait, on aurait un transfert encore plus important de couples allant requérir la PMA à l’étranger.
D’ailleurs, en vérité, aujourd’hui même, la prise en charge pour des femmes homosexuelles qui effectuent une PMA à l’étranger ou de manière artisanale est en partie effective en France. L’acte lui-même est à leur charge. Mais les examens préalables et le suivi ensuite sont pris en charge par la Sécurité sociale.
Je ne doute pas que l’amendement initial sera rétabli lors de la deuxième lecture du texte à l’Assemblée nationale. Mais des sénatrices et sénateurs qui ont du mal à intégrer les nouvelles façons de faire famille ont voulu envoyé un signal.
On parle d’ouverture de la PMA à toutes les femmes mais pour être précis les personnes trans ont été exclues de cette ouverture de la PMA. Pourquoi ?
Moi, j’ai défendu cette ouverture avec beaucoup de conviction. Nous étions plusieurs député·es à soutenir et à proposer des amendements dans ce sens. En auditionnant des groupes de personnes trans ou des associations qui les représentent, je me suis rendu compte à quel point ces personnes se sentent marginalisées et ont une souffrance importante. J’ai toujours très présente à l’esprit cette remarque qui a été faite il y a quelques mois par une association qui nous disait : « Mettez-nous à notre place, nous sommes aujourd’hui rejeté·es par la société exactement au même titre que l’ont été les homosexuel·les dans les décennies écoulées ». Lorsqu’on entend cela, on se dit que si les personnes trans se sentent autant discriminées que l’ont été dans le passé les homosexuel·les, c’est vraiment que notre pays à manquer de fraternité et de solidarité. Il est donc urgent de compenser cette situation. Nous avons essayé de défendre cette idée auprès de la ministre de la Santé et des autres député·es, nous avons eu un écho favorable de la part de certain·es mais pas majoritaire, pas suffisant.
Ce refus de l’ouverture de la PMA aux personnes trans s’ajoute à une liste déjà longue de restrictions en matière de procréation.
Tout à fait. Mon opinion, c’est qu’obligatoirement cette discrimination-là devra rapidement être levée. Faute de quoi, la France risque d’être condamnée par des instances internationales. Cette évolution ne pourra pas manquer de se faire prochainement. La preuve que j’ai pour dire cela, c’est que j’ai entendu pas mal de personnes qui avaient manifesté contre le mariage pour tous, qui maintenant ne manifestent pas contre la PMA pour toutes, et qui sont venues dire qu’elles reconnaissaient s’être trompées à l’époque.
La question de la mutilation des personnes intersexes, pour laquelle la France a déjà été condamnée trois fois par l’ONU, n’a pas non plus été prise en compte dans le projet de loi. Pourquoi ?
Il y a une disposition, mais beaucoup trop timide, qui consiste simplement à faire en sorte que les familles aillent voir systématiquement les centres de référence. Je dis que c’est beaucoup trop timide car les centres de référence sont disparates. On y trouve une compétence scientifique, médicale. Mais la compétence humaine vis-à-vis de ces personnes n’y est pour l’instant pas garantie.
Déterminer de manière irréversible, par une intervention chirurgicale, une orientation vers l’un ou l’autre des sexes va entraîner une souffrance de l’enfant. Ce n’est pas approprié que les parents décident : chacun connait autour de soi des familles qui ont eu deux filles et voudrait un garçon, ou l’inverse. Si le troisième enfant naît intersexe, le choix risque de se faire vers le désir parental. Or, c’est le désir de l’enfant qui compte. De la même façon, les chirurgiens, avec beaucoup de bonnes intentions, peuvent faire ce qui leur parait anatomiquement le plus aisé, ce qui donnera le meilleur résultat esthétique ou fonctionnel. Mais est-ce la question ? La question est de savoir si cet enfant plus tard sera en adéquation entre son sexe anatomique qui a été reconstitué et sa perception d’être fille ou garçon.
Il importe donc de conseiller partout de ne pas entreprendre des interventions trop précoces. Ca n’oblige pas bien évidemment à attendre la majorité. C’est bien avant 18 ans que tout cela se passe et même souvent avant la puberté. C’est généralement entre 7 ans et l’âge de la puberté que les enfants perçoivent cette distinction et instinctivement se sentent fille ou garçon.
Vous soutenez la reconnaissance des enfants né·es de GPA. Êtes-vous favorable à la transcription totale de l’acte de naissance étranger, afin de protéger juridiquement ces enfants ?
Oui, j’ai présenté un amendement en ce sens. Il a d’ailleurs été voté par les député·es, prouvant bien qu’il a une grande logique. Malheureusement, certain·es ont voulu le remettre en question et ont forcé à une deuxième vote. Une influence a été exercée sur certains groupes de l’Assemblée nationale sous le prétexte fallacieux que reconnaitre les vrais parents d’enfants né·es de GPA, ceux qui les élèvent, ceux qui les aiment, ceux qui s’en occupent, ouvrirait la porte à l’autorisation de la GPA en France. C’est faux : il y a des pays qui ont reconnu la parentalité des enfants de GPA telle qu’elle est reconnue dans le pays où les enfants sont né·es sans pour autant forcément autoriser la GPA.
On a le droit d’avoir les uns les autres des positions sur la GPA mais je pense que c’est complètement insensé de pénaliser des enfants au prétexte que l’on a telle opinion négative sur la GPA. Si on doit signifier des choses aux parents, on le fait mais on ne prive pas de droits des enfants. Le législateur doit d’abord protéger les enfants. Là, en l’occurrence, on prive les enfants de droits fondamentaux. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si la France a été condamnée à plusieurs reprises par la Cour européenne des droits de l’Homme. Je pense que c’est humiliant pour un pays qui prétend donner exemple et modèle et souhaite accueillir des organismes de réflexion sur les droits de l’enfant. La France n’est pas le pays au monde – et je suis navré de le dire parce que je suis extrêmement fier de mon pays – qui protège le mieux ses propres enfants.
L’article Jean-Louis Touraine nous parle du projet de loi relatif à la bioéthique est apparu en premier sur Hétéroclite.
La vidéo a été tournée le 18 janvier, en marge d’une manifestation des gilets jaunes à Paris. On y voit des policiers interpeller un manifestant et le frapper, alors que l’homme est au sol. Devant la polémique provoquée par de telles images, dans un climat social tendu où les violences policières tendent à se multiplier de manière alarmante, Stanislas Gaudon, porte-parole du très à droite syndicat de police Alliance, était invité à s’expliquer sur l’antenne de France Info dès le lendemain. Pour justifier le recours à la force déployée par ses collègues, le syndicaliste a alors expliqué que le manifestant avait craché du sang au visage du policier qui l’interpellait en déclarant : « J’ai le sida, tu vas crever ». Très rapidement, cette déclaration a été reprise par plusieurs médias, sans même que son bien-fondé soit remis en cause. Or, non seulement le manifestant incriminé conteste les faits, mais la justification, qui nous replonge dans les heures les plus sombres de la lutte contre le VIH, ne tient pas la route une seule seconde d’un point de vue scientifique.
La salive n’est pas un mode de propagation du virus
Comme toutes les associations de lutte contre le sida s’évertuent à le rappeler, et notamment AIDES dans un communiqué publié le 20 janvier : « La salive ne transmet pas le VIH. De plus, le VIH a une très faible résistance à l’air libre. Après 5 à 10 secondes à l’air libre, une goutte de sang ne contient plus de virus. » C’est comme si trente années de prévention et d’information s’envolaient en fumée, comme si l’on se retrouvait en 1994 lors du premier Sidaction où Clémentine Célarié embrassait Patrice Janiaud, séropositif, en direct à la télévision pour faire taire les peurs irrationnelles.Malheureusement, cette affaire ne fait que mettre à jour le désengagement des pouvoirs publics dans l’information et la prévention autour du VIH. Depuis que les traitements ont permis d’améliorer l’espérance de vie des personnes contaminées, depuis que le spectre d’une mort rapide ne plane plus systématiquement sur les personnes atteintes du VIH, les campagnes de prévention se sont peu à peu réduites, replongeant une partie de la population dans une ignorance proche de celle des années 1980-1990. Ainsi, les associations ne cessent de répéter qu’aujourd’hui, une personne porteuse du VIH sous trithérapie, dont la charge virale est indétectable, ne transmet pas le virus. C’est ce qu’on appelle le TasP pour Treatment as Prevention (traitement comme prévention). Néanmoins, malgré les avancées scientifiques, des mythes persistent et constituent le socle de la sérophobie dont sont victimes au quotidien les personnes séropositives. Et l’emballement médiatique autour des déclarations du syndicat de police Alliance contribue grandement à les véhiculer.
Pour plus d’informations sur les modes de transmission du VIH et les moyens de prévention : www.aides.org
L’article Crachat et sérophobie : le syndicat Alliance pris en flagrant délit de désinformation est apparu en premier sur Hétéroclite.
En décembre 2019, à Tôkyô, le fan d’une star aux gros seins débourse un million de yens afin de pouvoir la téter en réalité virtuelle. Le plus étrange, c’est que cette star japonaise est en réalité… ?
Note TAKEHANA est ce qu’on appelle une V-Tubeuse (You Tubeuse virtuelle) c’est-à-dire qu’elle anime une chaîne YouTube sous la forme d’un personnage de dessin animé. Avec sa forte poitrine, sa voix de pinson et ses oreilles de chat, elle fait partie des stars les plus populaires sur l’Internet japonais. Sa première apparition en ligne date du 24 juin 2018. Habillée en soubrette, Note TAKEHANA remue ses formes suggestives dans un décor de maid café. Il est possible de lui «parler» (écrire) en direct lors de sessions au cours desquelles Takehana accueille les internautes comme s’ils étaient des clients réguliers. Elle leur dit des choses gentilles et répond aux questions. Parfois aussi elle chante (karaoke) ou joue à des jeux vidéo en faisant des commentaires. Son style mignon lui vaut les faveurs de 37 000 adeptes, parmi lesquels beaucoup rêvent de l’approcher. En décembre 2019, l’un d’entre eux a la chance de pouvoir téter son lait. La séance d’allaitement lui coûte plus 8300 euros (un million de yens).
Un crowdfunding pour obtenir trois millions de yens
Cette séance exceptionnelle est proposée dans le cadre d’une campagne de financement partificipatif visant à améliorer l’apparence de la star : elle n’existait jusqu’ici que sous la forme relativement «plate» d’une image animée. Il lui faut trois millions de yens pour passer en version 3D et, ainsi, faire valoir son bonnet généreux. Les supporters de la star sont invités à lui permettre de réaliser son voeu : «aidez-moi à passer dans le monde en trois dimensions», demande-t-elle (vidéo ci-dessus). En contrepartie de leurs dons, Takehana s’engage à leur faire parvenir des cadeaux : lettre de remerciement signée de sa main, porte-clé à son image, housse de polochon imprimé (daki makura), portrait d’elle sur papier photo (bromide)… Les contributeurs qui versent 1600 euros (200 000 yens) peuvent même recevoir un appel personnalisé : Takehana propose d’assurer un service de réveil matin par téléphone. Et si jamais leur don dépasse 8000 euros ? Elle offre un allaitement (junyû) au cours d’une séance «d’incarnation virtuelle» (bâcharu juniku).
Une offre privilège pour le plus généreux donateur
Surprise. A peine la campagne a-t-elle démarrée qu’un fan achète le «ticket» le plus cher, réservé à une seule et unique personne : il sera l’heureux élu de la séance d’«allaitement» par la star virtuelle. Nous sommes le 29 mars 2019. Takehana, héberluée, annonce la nouvelle sur son compte Twitter : «Hein ? C’est pas vrai ?» (?e?? uso?). 15 000 retweets.
Séance d’allaitement au biberon virtuel
La nouvelle est immédiatement relayée par la presse qui s’étonne : contrairement à ce que l’on pourrait croire, la séance d’allaitement ne sera pas faite au sein mais au biberon en 3D. Pourquoi ? Faudrait-il ménager la jalousie possible des autres adeptes de Takehana ? Ou serait-ce un effet du succès formidable rencontré par le biberon pour adultes au Japon ? Il s’avère en effet que, depuis 2018, la firme Morinaga, spécialisée dans les produits laitiers, commercialise un «lait en poudre pour adulte» (otona tame no kona miruku) surnommé «Milk Life» (miruku seikatsu), parce qu’il est censé rallonger la vie. Il fallait bien ouvrir un nouveau marché dans le contexte de la dénatalité… Maintenant, quand on tape «idole à gros seins» (honyû idol) sur Internet, on voit des photos et vidéos de Japonais-es adultes qui boivent au biberon.
Les seins secrets de Takehana
Pour en revenir à Takehana. Suite au succès faramineux de sa campagne de financement, elle obtient bien plus que les 3 millions espérés : 5, 77 millions de yens. Ce qui lui permet non seulement de s’offrir une magnifique paire de seins en 3D mais quantité de tenues nouvelles, dont une robe de mariée, afin que les fans puissent symboliquement l’épouser. Le jour du lancement, le plus chanceux d’entre eux se voit enfin offrir la séance d’allaitement au biberon virtuel… probablement doublée d’une séance d’allaitement véritable, avec du lait en poudre. Le lait en poudre a-t-il été personnalisé ? Y a-t-on ajouté de la vanille pour donner l’impression d’un lait de jeune fille vierge ? Aucun détail n’est livré à la presse qui se contente d’applaudir.
Accident de «doublage» en direct
Au Japon, le succès des V-tubeuses est tel que la plus fameuse d’entre elles (Kizuna Ai) a été choisie comme ambassadrice du Japon pour les JO. Personne ne sait qui se cache derrière cette jolie jeune fille et la plupart de ses adeptes affirment ne pas désirer le savoir. Suivant une sorte d’accord tacite, la plupart des V-tubeuses sont déclarées comme étant des filles, afin de ne pas casser le rêve. Mais la réalité, bien sûr, c’est que les jolies filles cachent souvent des hommes… Pour les fans qui fantasment sur les stars virtuelles, il peut être douloureux de voir brusquement apparaître le vrai visage de leur bien-aimée. Les technologies du V-Tubing présentent parfois des défauts. En plein direct, il arrive que le système bugge, déclenchant ce qu’on appelle un «outing facial» (kao-bare). Et c’est pourquoi, très rapidement, certaines V-Tubeuses ont préféré dire la vérité. Takehana en fait partie. Elle ne s’en est jamais cachée. Elle (ou plutôt il) est donc officiellement un graphiste spécialisé dans les jeux vidéo et les cartes à jouer. Ses fans le surnomment Note Mama, car il est la «maman» de très célèbres personnages féminins.
Takehana ne s’en cache pas
Jouit-il de se féminiser ? Lors des séances en direct sur sa chaîne YouTube, Note Mama excelle à jouer son rôle de midinette rougissante. Mais il ne cache rien des trucages, allant jusqu’à afficher l’écran du logiciel qu’il utilise pour synthétiser sa voix.
En parallèle, il laisse parfois des mains apparaître, qui sont censées être les siennes : mais ce sont des mains de femme !?
Tout est fait pour maintenir une forme d’ambiguïté. La séance d’allaitement n’est qu’un jeu parmi bien d’autres, visant à faire vaciller les frontières. Quand Takehana (version animée) s’amuse à montrer sa culotte, mime la pudeur, roucoule des petits cris, le fait qu’il s’agisse d’un homme rend la performance d’autant plus troublante. Quand il chante, éteignant parfois le synthétiseur, il laisse brusquement entendre sa voix «nue»… Au Japon, les travestis numériques sont nommés nekama, abréviation de net-okama. Depuis juin 2018, ceux qui utilisent un double féminin pour faire du V-Tubing sont appelés des babiniku, «chair de beauté virtuelle» (bâcharu bishojo niku). Ils disent que les babiniku sont le produit d’une rencontre entre une âme et un corps. L’homme en eux est une «âme» (tamashii). Leur apparence féminine digitale est un «corps de chair» (nikutai) dans lequel ils se sont «incarnés» (juniku suru).
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NOTE : cette recherche a été effectuée en prévision du colloque «Identités désirées. Métamorphoses et nouvelles technologies au Japon», co-organisé avec le groupe de recherche EMTECH (Freie Universität Berlin) et le Département de la Recherche et de l’Enseignement du musée du quai Branly – Jacques Chirac. Il aura lieu mercredi 29 et jeudi 30 avril 2020 (salle de cinéma, musée du quai Branly), en accès libre.
En décembre 2019, à Tôkyô, le fan d’une star aux gros seins débourse un million de yens afin de pouvoir la téter en réalité virtuelle. Le plus étrange, c’est que cette star japonaise est en réalité… ?
Note TAKEHANA est ce qu’on appelle une V-Tubeuse (You Tubeuse virtuelle) c’est-à-dire qu’elle anime une chaîne YouTube sous la forme d’un personnage de dessin animé. Avec sa forte poitrine, sa voix de pinson et ses oreilles de chat, elle fait partie des stars les plus populaires sur l’Internet japonais. Sa première apparition en ligne date du 24 juin 2018. Habillée en soubrette, Note TAKEHANA remue ses formes suggestives dans un décor de maid café. Il est possible de lui «parler» (écrire) en direct lors de sessions au cours desquelles Takehana accueille les internautes comme s’ils étaient des clients réguliers. Elle leur dit des choses gentilles et répond aux questions. Parfois aussi elle chante (karaoke) ou joue à des jeux vidéo en faisant des commentaires. Son style mignon lui vaut les faveurs de 37 000 adeptes, parmi lesquels beaucoup rêvent de l’approcher. En décembre 2019, l’un d’entre eux a la chance de pouvoir téter son lait. La séance d’allaitement lui coûte plus 8300 euros (un million de yens).
Un crowdfunding pour obtenir trois millions de yens
Cette séance exceptionnelle est proposée dans le cadre d’une campagne de financement partificipatif visant à améliorer l’apparence de la star : elle n’existait jusqu’ici que sous la forme relativement «plate» d’une image animée. Il lui faut trois millions de yens pour passer en version 3D et, ainsi, faire valoir son bonnet généreux. Les supporters de la star sont invités à lui permettre de réaliser son voeu : «aidez-moi à passer dans le monde en trois dimensions», demande-t-elle (vidéo ci-dessus). En contrepartie de leurs dons, Takehana s’engage à leur faire parvenir des cadeaux : lettre de remerciement signée de sa main, porte-clé à son image, housse de polochon imprimé (daki makura), portrait d’elle sur papier photo (bromide)… Les contributeurs qui versent 1600 euros (200 000 yens) peuvent même recevoir un appel personnalisé : Takehana propose d’assurer un service de réveil matin par téléphone. Et si jamais leur don dépasse 8000 euros ? Elle offre un allaitement (junyû) au cours d’une séance «d’incarnation virtuelle» (bâcharu juniku).
Une offre privilège pour le plus généreux donateur
Surprise. A peine la campagne a-t-elle démarrée qu’un fan achète le «ticket» le plus cher, réservé à une seule et unique personne : il sera l’heureux élu de la séance d’«allaitement» par la star virtuelle. Nous sommes le 29 mars 2019. Takehana, héberluée, annonce la nouvelle sur son compte Twitter : «Hein ? C’est pas vrai ?» (?e?? uso?). 15 000 retweets.
Séance d’allaitement au biberon virtuel
La nouvelle est immédiatement relayée par la presse qui s’étonne : contrairement à ce que l’on pourrait croire, la séance d’allaitement ne sera pas faite au sein mais au biberon en 3D. Pourquoi ? Faudrait-il ménager la jalousie possible des autres adeptes de Takehana ? Ou serait-ce un effet du succès formidable rencontré par le biberon pour adultes au Japon ? Il s’avère en effet que, depuis 2018, la firme Morinaga, spécialisée dans les produits laitiers, commercialise un «lait en poudre pour adulte» (otona tame no kona miruku) surnommé «Milk Life» (miruku seikatsu), parce qu’il est censé rallonger la vie. Il fallait bien ouvrir un nouveau marché dans le contexte de la dénatalité… Maintenant, quand on tape «idole à gros seins» (honyû idol) sur Internet, on voit des photos et vidéos de Japonais-es adultes qui boivent au biberon.
Les seins secrets de Takehana
Pour en revenir à Takehana. Suite au succès faramineux de sa campagne de financement, elle obtient bien plus que les 3 millions espérés : 5, 77 millions de yens. Ce qui lui permet non seulement de s’offrir une magnifique paire de seins en 3D mais quantité de tenues nouvelles, dont une robe de mariée, afin que les fans puissent symboliquement l’épouser. Le jour du lancement, le plus chanceux d’entre eux se voit enfin offrir la séance d’allaitement au biberon virtuel… probablement doublée d’une séance d’allaitement véritable, avec du lait en poudre. Le lait en poudre a-t-il été personnalisé ? Y a-t-on ajouté de la vanille pour donner l’impression d’un lait de jeune fille vierge ? Aucun détail n’est livré à la presse qui se contente d’applaudir.
Accident de «doublage» en direct
Au Japon, le succès des V-tubeuses est tel que la plus fameuse d’entre elles (Kizuna Ai) a été choisie comme ambassadrice du Japon pour les JO. Personne ne sait qui se cache derrière cette jolie jeune fille et la plupart de ses adeptes affirment ne pas désirer le savoir. Suivant une sorte d’accord tacite, la plupart des V-tubeuses sont déclarées comme étant des filles, afin de ne pas casser le rêve. Mais la réalité, bien sûr, c’est que les jolies filles cachent souvent des hommes… Pour les fans qui fantasment sur les stars virtuelles, il peut être douloureux de voir brusquement apparaître le vrai visage de leur bien-aimée. Les technologies du V-Tubing présentent parfois des défauts. En plein direct, il arrive que le système bugge, déclenchant ce qu’on appelle un «outing facial» (kao-bare). Et c’est pourquoi, très rapidement, certaines V-Tubeuses ont préféré dire la vérité. Takehana en fait partie. Elle ne s’en est jamais cachée. Elle (ou plutôt il) est donc officiellement un graphiste spécialisé dans les jeux vidéo et les cartes à jouer. Ses fans le surnomment Note Mama, car il est la «maman» de très célèbres personnages féminins.
Takehana ne s’en cache pas
Jouit-il de se féminiser ? Lors des séances en direct sur sa chaîne YouTube, Note Mama excelle à jouer son rôle de midinette rougissante. Mais il ne cache rien des trucages, allant jusqu’à afficher l’écran du logiciel qu’il utilise pour synthétiser sa voix.
En parallèle, il laisse parfois des mains apparaître, qui sont censées être les siennes : mais ce sont des mains de femme !?
Tout est fait pour maintenir une forme d’ambiguïté. La séance d’allaitement n’est qu’un jeu parmi bien d’autres, visant à faire vaciller les frontières. Quand Takehana (version animée) s’amuse à montrer sa culotte, mime la pudeur, roucoule des petits cris, le fait qu’il s’agisse d’un homme rend la performance d’autant plus troublante. Quand il chante, éteignant parfois le synthétiseur, il laisse brusquement entendre sa voix «nue»… Au Japon, les travestis numériques sont nommés nekama, abréviation de net-okama. Depuis juin 2018, ceux qui utilisent un double féminin pour faire du V-Tubing sont appelés des babiniku, «chair de beauté virtuelle» (bâcharu bishojo niku). Ils disent que les babiniku sont le produit d’une rencontre entre une âme et un corps. L’homme en eux est une «âme» (tamashii). Leur apparence féminine digitale est un «corps de chair» (nikutai) dans lequel ils se sont «incarnés» (juniku suru).
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NOTE : cette recherche a été effectuée en prévision du colloque «Identités désirées. Métamorphoses et nouvelles technologies au Japon», co-organisé avec le groupe de recherche EMTECH (Freie Universität Berlin) et le Département de la Recherche et de l’Enseignement du musée du quai Branly – Jacques Chirac. Il aura lieu mercredi 29 et jeudi 30 avril 2020 (salle de cinéma, musée du quai Branly), en accès libre.
Crédit : jemontremesseins.com – Coquins17
Les « nudes », ces photos osées qui cartonnentSelon un sondage récent pour Zavamed, le partage de selfies érotiques (aussi appelés « nudes ») est de plus en plus populaire. 31% des femmes européennes concèdent s’être déjà livrées à l’envoi de photos coquines. Si elles sont plutôt rares à oser s’exhiber entièrement (seulement 9% se l’est déjà permis), ce sont les photos de poitrines exhibées qui sont plus représentées (43% des nudes féminins), et ce que ce soit des petits ou des gros seins.
Seulement 1/4 d’entre elles acceptent de poster leur visage, et on les comprend ! La protection de l’anonymat peut être une condition sine qua non à la diffusion de photos.
La bonne nouvelle ? Toujours selon ce sondage, partager des photos érotiques serait corrélé avec un bon taux de satisfaction sexuelle. Une façon de s’assumer… sur la toile comme au lit.
Crédit : jemontremesseins.com – Admirateur74
Conseils pour une séance d’exhibition...Lire la suite sur UnionCet article Jemontremesseins.com : et si vous vous exhibiez ? est apparu en premier sur Union.
L’anal, c’est tendance ! En cinq ans, la sodomie (par exemple) a gagné du terrain dans la sexualité des femmes : 53% de la gent féminin admettent s’y être prêté contre 46% ans en 2014. Co… Et en parlant de sexe anal, voici notre top 5 des vidéos pornos spéciales sodomie !
1. Allons-y à fond !Amateur.e.s de gorges profondes ? Fans invétéré.e.s des femmes fontaines ? Préparez-vous à défaillir devant ces trois superbes actrices qui vont vous vendre du rêve : Liza une brune aux yeux bleus, Mina une espagnole et Albane amatrice de cul bien hard se donneront à fond pour ce festival de cul, avec en primes gorges profondes, squirt, fist et enfin… la sodomie !
2. Même à 50 ans, elles aiment toujours le cul !Même après des lustres sans baiser, le cul c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas. Et pour en profiter à nouveau, il suffit juste de se remettre en selle. Ni une, ni deux, ces trois vieilles chaudasses vont reprendre du service avec un bon gode et jusqu’à enfin se retrouver avec une bonne bite dans la bouche, dans la chatte et dans le cul. Elles vont être baisées et sodomisées bien comme il faut et visiblement elles n’ont pas perdu leurs vieux réflexes de salopes.
3. L’anal ? Un vrai plaisir !Lire la suite sur UnionCet article Top 5 des vidéos pornos spéciales sodomie est apparu en premier sur Union.
Après avoir largement remanié le texte, le Sénat a voté ce mardi 4 février 2020 l’adoption du projet de loi bioéthique par 153 voix contre 143. Le texte, qui doit retourner devant l’Assemblée, ouvre la procréation médicalement assistée aux femmes seules et couples de femmes.
L’article PMA pour toutes : Le Sénat adopte une version « light » du projet de loi bioéthique est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Quand on souhaite rencontrer des personnes pour vivre une aventure sexuelle ou se faire des sex friends, on a globalement deux choix : passer par une application de rencontre ou aller dans un club libertin. Seulement, ces deux solutions ont chacune un défaut principal, qui est la difficulté de réellement se sentir en connexion avec les […]
Cet article LVRSNFRNDS : le concept de soirées pour rencontrer des gens ouverts, inclusifs et libérés est apparu en premier sur Desculottées.
Poignante lettre ouverte d'une jeune femme, dans la 2e édition du grand concours d'éloquence « Le Grand Oral ».
L’article « Je m’appelle Anna, j’ai 20 ans, et je vis avec deux pères. » est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Interminable, à l’image des gambettes d’Ava Koxxx, mais beaucoup moins bandant, j’ai nommé le feuilleton Porn-Block. Troisième acte de cette tragédie à l’anglaise : quatre sociétés de software intentent une action en justice contre le gouvernement anglais, au motif que ce dernier a abandonné le projet de contrôle d’accès au porno en ligne fin 2019. Elles auraient perdu des millions dans le développement de systèmes de vérification d’âge. Shocking!
Quelles drama queens, ces Anglais ! À peine ont-ils terminé de nous casser les roustons avec le Brexit qu’ils décident de remettre le couvert avec le Porn-Block, que l’on pensait définitivement disparu dans les limbes juridiques depuis octobre 2019. C’est que l’histoire est sérieuse, et vaut son potentiel pesant de cacahuètes : 3 millions de livres sterling en dommages et intérêts, soit environ 3 538 524 euros et des brouettes (1£ = 1,18 euros, investissez les gars), que le gouvernement anglais pourrait se voir condamné à verser à différentes entreprises informatiques.
Petit retour en arrière pour les fappeurs du fond qui n’auraient rien suivi du dossier. Avril 2017, la Couronne approuve le Digital Economy Act (chronologie des événements antérieurs ici). Le cauchemar commence alors : les sites hébergeant du contenu pornographique doivent se doter d’un système de vérification d’âge. T’as pas 18 ans ? Pas d’branlette, retourne jouer aux Lego. Les plateformes réfractaires s’exposent à voir leur site bloqué, voire à être privées de système de paiement par les organismes bancaires. Le hic, c’est que personne ne sait encore précisément quelle forme va prendre ce contrôle obligatoire.
Plusieurs sociétés proposent alors des solutions concrètes au gouvernement, mais c’est finalement le québécois Mindgeek et son AgeID qui rafle la mise. Oui, oui : un des plus gros diffuseur de porno au monde, celui derrière Pornhub, devait s’occuper de protéger les enfants des vilaines cochonneries du Net. Mais la fête est de courte durée : le gouvernement abandonne finalement son projet en octobre 2019. Ouf de soulagement chez les fappeurs. Chez l’Open Rights Group, aussi, pour qui le projet du gouvernement anglais représentait un réel danger pour la vie privée, vu la quantité d’informations personnelles potentiellement stockées par l’entité chargée de contrôler l’âge des visiteurs – comme les copies de cartes d’identité associées aux préférences en matière de porno de leur propriétaire – et leur vulnérabilité face aux attaques des hackers.
Sus au porno !Problème : développer un logiciel de contrôle d’âge, ça coûte une couille. Et investir autant d’argent, pour que finalement le pouvoir en place laisse tomber son projet initial, y’a de quoi vous filer des envies de régime présidentiel au pays de sa Gracieuse Majesté. C’est donc pour cela, qu’en ce beau début d’année 2020, quatre compagnies (AgeChecked Ltd., VeriMe, AVYourself et AVSecure) décidèrent d’attaquer le gouvernement devant la Haute Cour de Justice de Londres en réclamant 3 millions de livres sterling de dommages et intérêts.
Dans les médias anglais, c’est le bal des pleurs. Stuart Lawley, Directeur Général de AVSecure, s’exprimait dans les colonnes du Telegraph : « À cause de ce changement de situation, des personnes ont perdu leur emploi. Cela a coûté des millions à la boîte. » Alastair Graham, fondateur de AgeChecked, a assuré à la BBC que sa solution garantissait à 100% l’anonymat des consommateurs, et que sa société ne stockait aucune donnée personnelle. Bref, chacun y va de son petit couplet pour défendre son honneur. Et récupérer quelques brouzoufs. Ne reste plus qu’à prendre le pop-corn, et à observer l’évolution de la situation dont nous ne manquerons pas de vous informer. Je vous fais cadeau de la conclusion « Wait & see », tellement surfaite.
Plus que deux semaines avant la Saint-Valentin ! Outre les détracteurs de cette journée des amoureux, le 14 février ravit celles et ceux qui veulent célébrer leur amour : lors d’un dîner aux chandelles accompagné de bulles, dans un bain rempli de mousse à savourer de délicieux chocolats ou tout simplement lors d’une escapade en amoureux.
Bien que son nom sonne français, la Saint-Valentin puiserait ses origines en Grande-Bretagne.
On vous explique tout sur les origines du fameux « Valentine’s day » !
La plus ancienne légende raconterait que la Saint-Valentin n’est qu’une fête de substitution.
Autrefois en Rome Antique, les Lupercales se déroulaient du 13 au 15 février en l’honneur de Faunus, dieu de la forêt et des troupeaux. Lors de ces quelques jours, les prêtres de Faunus sacrifiaient un bouc. Le sang recueilli sur une lame de couteau était déposé sur le front de deux jeunes hommes. De là, les jeunes gens cavalaient dans les rues sous les éclats de rire des passants. Chacun était armé de lanières, taillés dans la peau du bouc, pour fouetter les femmes. Cette pratique était censée leur assurer une belle fécondité ! (et d’autres s’étonnent que l’on raffole du BDSM en Europe).
En 494, le pape Gélase Ier interdit cette fête païenne. Il choisit saint Valentin comme saint patron des fiancés et des amoureux et décrète que le 14 février lui sera consacré.
Ou une fête chrétienne en souvenir d’un prêtre martyr ?Pour d’autres, la Saint-Valentin ferait référence au martyr de l’église catholique, Valentin de Terni.
Le prêtre Valentin avait coutume de célébrer les mariages entre...Lire la suite sur Union
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Nous, associations de lutte contre les LGBTQIphobies, souhaitons que vous obteniez la suppression et l’interdiction de l’ensemble de ces « Zones sans-LGBT », ainsi que la mise en œuvre d’une politique inclusive au sein de la Pologne.
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J’ai découvert le travail de Yulli Nakamura via sa page Instagram, qui m’a tout de suite frappée par la beauté et la sérénité, émanant de ses photos. J’y ai tout de suite vu une invitation à renouer avec sa spiritualité, son essence féminine. Après une prise de contact par email, j’ai rencontré Yulli dans un […]
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Petite anecdote en passant, mais Thomas sera historiquement le premier daron à avoir eu son propre daron dans le podcast. Son père n’est autre que Martin Winckler, docteur renommé qui était passé il y a quelques mois à mon micro.
Après avoir débriefé avec lui sur ce qu’il a appris à l’écoute de l’épisode avec son père, on passe au sujet de sa venue dans Histoires de Darons, puisque sa femme, Florine, a choisi d’avoir un accouchement physiologique, non-médicalisé, sans péridurale.
Il raconte le cheminement de Florine jusqu’à cette méthode qui gagne en popularité ces dernières années, puis le choix de leur clinique, équipée d’une “salle nature”, jusqu’à l’accouchement qui donnera naissance à Emma, leur petite fille qui a aujourd’hui 9 mois. Un grand merci à Thomas pour son récit !
Après l’explosion de la bulle économique, fin 1990, le Japon communie dans l’amour des “honyû idol”, playmates à l’aspect maternel. Ce goût pour les seins gonflés perdure-t-il ? En décembre 2019, il était possible de recevoir la tétée d'une star virtuelle.
Au début de l’année 2005, le nouveau produit à la mode sur le marché du «bust-up» se nomme B2Up. La boite de 50 chewing gums coûte 5600 yens et le mode d’emploi précise qu’il faut en macher entre trois et quatre par jours pour bénéficier des effets «positifs» de l’extrait de plante Pueraria Mirifica dont ils sont composés. Alors que la crise sévit, chaque mois, de nouveaux produits relancent la mamelle-mania : thé aux isoflavones, crèmes aux hormones de croissance, gels de massage dopants, soutien-gorges utilisant les radiations atmosphériques et les ondes ultrasoniques pour augmenter le volume des poitrines… Les hônyû idol sont également appelées mochiri, parce que la pate blanche du riz pilé (mochi) – quand on la fait cuire – se met à gonfler jusqu’à l’explosion. Les mots qui désignent les seins au Japon font d’ailleurs allusion à des seins remplis de «lait» (nyû) : bakunyû (seins explosifs, prêts à déborder, 爆乳), kyonyû (seins géants, 巨乳), hônyû (seins riches, 豊乳), binyû (beaux seins, 美乳)… Quant au mot «poitrine» (oppai, オッパイ), il n’est lui-même pas sans évoquer l’allaitement du nourrisson, avec sa connotation légèrement infantile de «nénés».
La tendance oppai ga ippai («plein de seins»)
Le phénomène de mode génère d’étranges offres de service. En 2003, au plus fort de l’oppai ga Ippai – la tendance «plein de seins» - de nombreuses vidéos montrent des femmes qui pressent leurs seins pour en faire gicler du lait. Des magazines se spécialisent dans les pin-ups qui se têtent elles-mêmes. Les couvertures de mangas amateurs s’ornent de jeunes filles juchées au sommet de leurs seins, transformés en colline ou en ballons de silicone, aux tétons dilatés comme des lances à lait. Le fantasme de l’éjaculation mammaire se répercute à la télévision : les speakerines, choisies au tour de poitrine, et désormais nommées kyonyû joshi-ana (présentatrices TV à gros seins), annoncent des émissions au caractère de plus en plus outrancier. Eiko Koike et Megumi – les superstars de l’agence Yellow Cab, spécialisée dans les honyû idol – doivent affronter les animateurs de talk-show surexcités qui les assaillent de plaisanteries douteuses : «Faites-vous du beurre avec vos seins ?».
Faire du café au lait humain
Paradise TV, une chaîne du cable pour adultes, lance un concours national de la meilleure allaiteuse. L’émission s’intitule Bonyû Mama-san Daishûgô Bonyû Matsuri : «Le grand rassemblement des mamans qui allaitent au sein. La fête de l’allaitement». Les quatre candidates au titre de championne, âgées de 21-28 ans, gonflées d’espérance, doivent tout d’abord devant les caméras vider leurs glandes galactophores jusqu’à la dernière goutte. La seconde épreuve consiste à faire un expresso avec son propre lait. L’expresso le plus mousseux est classé N°1. Quant à la dernière épreuve, elle consiste à allaiter de jeunes hommes. Le premier qui jouit désigne la gagnante.
Le combat des bonnets
A Osaka, l’établissement Misoji n’a pas attendu cette émission pour offrir le même service à ses clients : dès 2002, ils peuvent boire le lait à la source. Les hôtesses qui travaillent à Misoji offrent donc l’allaitement tarifé, et pour ceux qui préfèrent déguster dans un verre, elles extraient le liquide garanti 100% frais. A Osaka, une des villes les plus excessives (voire underground) du pays, les clubs ne reculent devant aucune faute de goût pour appâter la clientèle. En 2005, comme par réaction à tant d’excès, la balance semble s’inverser. Les hinnyû (petits seins 貧乳) reviennent timidement à la mode. Sur Nihon TV, la série dramatique Gokusen, dans laquelle joue une des plus plates poitrines du Japon – Yukie Nakama (78-59-80) – bat le record d’audience, inaugurant peut-être un retour aux ex-aequo. Hinnyû contre bakunyû. Le combat des bonnets ne fait que commencer.
Une décennie passe. Quel bilan ?
Dix ans après le début du phénomène – dans un contexte de crise qui perdure – il semble que les gros seins restent une valeur sûre : récemment, le fan d’une star virtuelle débourse plus de 8000 euros (un million de yens) afin de pouvoir téter son lait en réalité virtuelle.
La suite au prochain article.
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Cet article fait partie d’un dossier : « Un chewing gum qui fait grossir les seins ? » ; « Faire l’expérience d’un allaitement virtuel ? »
ILLSTRATION : image prise sur la vidéo YouTube (Maa Channeru) de l’influenceuse japonaise Masami, intitulée «Vous êtes plutôt “petits seins» ? «Gros seins» ? Le chemin qui mène aux seins géants« (anata wa hinnyû-ha ? Kyonyû-ha ? Hônyû e no michi. 24 avril 2019.
Après l’explosion de la bulle économique, fin 1990, le Japon communie dans l’amour des “honyû idol”, playmates à l’aspect maternel. Ce goût pour les seins gonflés perdure-t-il ? En décembre 2019, il était possible de recevoir la tétée d'une star virtuelle.
Au début de l’année 2005, le nouveau produit à la mode sur le marché du «bust-up» se nomme B2Up. La boite de 50 chewing gums coûte 5600 yens et le mode d’emploi précise qu’il faut en macher entre trois et quatre par jours pour bénéficier des effets «positifs» de l’extrait de plante Pueraria Mirifica dont ils sont composés. Alors que la crise sévit, chaque mois, de nouveaux produits relancent la mamelle-mania : thé aux isoflavones, crèmes aux hormones de croissance, gels de massage dopants, soutien-gorges utilisant les radiations atmosphériques et les ondes ultrasoniques pour augmenter le volume des poitrines… Les hônyû idol sont également appelées mochiri, parce que la pate blanche du riz pilé (mochi) – quand on la fait cuire – se met à gonfler jusqu’à l’explosion. Les mots qui désignent les seins au Japon font d’ailleurs allusion à des seins remplis de «lait» (nyû) : bakunyû (seins explosifs, prêts à déborder, 爆乳), kyonyû (seins géants, 巨乳), hônyû (seins riches, 豊乳), binyû (beaux seins, 美乳)… Quant au mot «poitrine» (oppai, オッパイ), il n’est lui-même pas sans évoquer l’allaitement du nourrisson, avec sa connotation légèrement infantile de «nénés».
La tendance oppai ga ippai («plein de seins»)
Le phénomène de mode génère d’étranges offres de service. En 2003, au plus fort de l’oppai ga Ippai – la tendance «plein de seins» - de nombreuses vidéos montrent des femmes qui pressent leurs seins pour en faire gicler du lait. Des magazines se spécialisent dans les pin-ups qui se têtent elles-mêmes. Les couvertures de mangas amateurs s’ornent de jeunes filles juchées au sommet de leurs seins, transformés en colline ou en ballons de silicone, aux tétons dilatés comme des lances à lait. Le fantasme de l’éjaculation mammaire se répercute à la télévision : les speakerines, choisies au tour de poitrine, et désormais nommées kyonyû joshi-ana (présentatrices TV à gros seins), annoncent des émissions au caractère de plus en plus outrancier. Eiko Koike et Megumi – les superstars de l’agence Yellow Cab, spécialisée dans les honyû idol – doivent affronter les animateurs de talk-show surexcités qui les assaillent de plaisanteries douteuses : «Faites-vous du beurre avec vos seins ?».
Faire du café au lait humain
Paradise TV, une chaîne du cable pour adultes, lance un concours national de la meilleure allaiteuse. L’émission s’intitule Bonyû Mama-san Daishûgô Bonyû Matsuri : «Le grand rassemblement des mamans qui allaitent au sein. La fête de l’allaitement». Les quatre candidates au titre de championne, âgées de 21-28 ans, gonflées d’espérance, doivent tout d’abord devant les caméras vider leurs glandes galactophores jusqu’à la dernière goutte. La seconde épreuve consiste à faire un expresso avec son propre lait. L’expresso le plus mousseux est classé N°1. Quant à la dernière épreuve, elle consiste à allaiter de jeunes hommes. Le premier qui jouit désigne la gagnante.
Le combat des bonnets
A Osaka, l’établissement Misoji n’a pas attendu cette émission pour offrir le même service à ses clients : dès 2002, ils peuvent boire le lait à la source. Les hôtesses qui travaillent à Misoji offrent donc l’allaitement tarifé, et pour ceux qui préfèrent déguster dans un verre, elles extraient le liquide garanti 100% frais. A Osaka, une des villes les plus excessives (voire underground) du pays, les clubs ne reculent devant aucune faute de goût pour appâter la clientèle. En 2005, comme par réaction à tant d’excès, la balance semble s’inverser. Les hinnyû (petits seins 貧乳) reviennent timidement à la mode. Sur Nihon TV, la série dramatique Gokusen, dans laquelle joue une des plus plates poitrines du Japon – Yukie Nakama (78-59-80) – bat le record d’audience, inaugurant peut-être un retour aux ex-aequo. Hinnyû contre bakunyû. Le combat des bonnets ne fait que commencer.
Une décennie passe. Quel bilan ?
Dix ans après le début du phénomène – dans un contexte de crise qui perdure – il semble que les gros seins restent une valeur sûre : récemment, le fan d’une star virtuelle débourse plus de 8000 euros (un million de yens) afin de pouvoir téter son lait en réalité virtuelle.
La suite au prochain article.
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Cet article fait partie d’un dossier : « Un chewing gum qui fait grossir les seins ? » ; « Faire l’expérience d’un allaitement virtuel ? »
ILLSTRATION : image prise sur la vidéo YouTube (Maa Channeru) de l’influenceuse japonaise Masami, intitulée «Vous êtes plutôt “petits seins» ? «Gros seins» ? Le chemin qui mène aux seins géants« (anata wa hinnyû-ha ? Kyonyû-ha ? Hônyû e no michi. 24 avril 2019.
Chloé, Dorian, Mehdi, Mike témoignent face caméra. Ils racontent leur parcours de jeunes homosexuels, rejetés par leurs parents.
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Les AVN Awards ont récompensé la semaine dernière les puissants du porn. Comme toute cérémonie de ce style, les trophées sont décernés de manière un peu opaque. Si on retrouve toujours les mêmes studios, on peut difficilement dire que la qualité n’est pas au rendez-vous. Surtout depuis l’arrivée d’Adult Time et de Bree Mills, équipe dédiée à produire du contenu à haute valeur ajoutée, des films qui n’ont presque rien à envier au circuit traditionnel du cinéma. Je ne peux que vous encourager à vous abonner à cette plateforme à la Netflix, les séries originales valent le fap et le coup d’œil cinéphile.
D’ailleurs, commençons par le chef-d’œuvre de Mills : Teenage Lesbian. Le parcours initiatique d’une jeune lesbienne dans les années 90 est retracé avec tendresse et authenticité. Entre les insultes, les coups, la solitude, les peines de cœur et la découverte de l’amour et du sexe, Bree retrace sa jeunesse et celle de nombreuses femmes. Les actrices et acteurs jouent bien, les émotions nous entraînent dans des moments de joie, d’excitation et de tristesse. C’est un film complet. Il a gagné le trophée du Best All-Girl Narrative Production et de la meilleure scène lesbienne entre Kristen Scott et Aidra Fox, dont voici un gif sous drap.
À mon humble avis, la scène entre Kristen Scott, qui joue Sam, le rôle principal, et Kenna James est bien meilleure. Cette dernière initie Sam au sexe entre filles qui aiment les filles. Les hésitations, la tendresse, la lenteur, tout y est et c’est merveilleux à regarder.
Toujours disponible sur Adult Time, je force à mort, voici une scène de Transfixed, excellent studio ma foi, où Natalie Mars brille d’or et de platine. Elle a gagné le titre de Favorite Trans Porn Star et de meilleure performeuse transgenre, en attendant que toutes les filles concourent dans la même catégorie. Elle est ici avec Kloe Kay et Adriana Chechik. Le Caravage regarde de là-haut avec bienveillance.
Grande boss du porn, Angela White n’en finit pas de régner sur nos imaginations lubriques. Elle remporte les Most Spectacular Boobs cette année, mais aussi le titre de meilleure performeuse (cis) et d’autres trophées comme celui de meilleure actrice principale dans Perspective (encore un film de Bree Mills, disponible chez Adult Time, stop le forcing, merci). Elle reproduit son carton des années précédentes dans presque les mêmes catégories.
Abella Danger, pourtant en vogue avec son contrat d’exclusivité chez Brazzers, ne récupère que le Most Epic Ass. Qui peut lui discuter ce titre à part LeoLulu ? Ici, elle prend un bain pour Reality Kings et Jay Romero viendra vérifier le mœlleux de ces fesses durement sculptées à la salle.
Autumn Falls est la débutante la plus hot selon AVN. Nous pouvons le constater avec cette époustouflante scène de masturbation pour Cam Soda. Difficile de résister à son charme et son regard envoûtant. Elle a remporté cette distinction au nez et à la barbichette de Gabbie Carter, qui avait ma préférence. Elles sont à découvrir toutes les deux.
En principe, le menu comprend cinq gifs, alors je ne vais pas trop exagérer. En voilà un dernier pour présenter Small Hands, le mari de Joanna Angel. Un garçon gentil selon pas mal d’avis, on va les croire et se remettre les scènes de Burning Angel, où il excelle dans une domination diaboliquement irrésistible. Pas mal cette version cul de Lucifer (qui a d’ailleurs reçu un prix aussi).
Il y a bien d’autres vainqueurs, tout ceci n’est qu’une petite sélection, un tour d’horizon étriqué du porno mainstream. J’en parle plus en détails dans le compte-rendu de la cérémonie.
Image de une : l’équipe du film Teenage Lesbian
(Il y a quelques temps, une femme soumise posait une question dans un groupe de discussions. Le sujet portait sur l’interdiction du « je » en toutes circonstances et ses difficultés d’application. Je lui fis une réponse que je n’ai finalement jamais envoyée.)
C’est bien d’affirmer qu’une pratique est charmante, que « tout ça n’est qu’un jeu », que chacun est libre de faire ce qu’il veut. Je vous envoie tout de même un autre point de vue.
Avant d’aller plus loin, je vous le dis tout de go : je n’ai pas d’opinion sur les perceptions et les jugements. Encore moins sur les personnes. « Hard on principles, soft on people » est l’une de mes devises. Autrement dit, soyons intransigeant sur les principes tout en y allant doucement avec les gens.
L’usage de la 3e personne pour dire JEOn voit parfois des personnes soumises parler d’elles à la troisième personne, notamment chez les amateurs de l’univers goréen de John Norman. « This girl » ou « cette fille » sont des tournures utilisées au lieu du « je ». Le prénom sert aussi à remplacer le « je ». En tout temps.
Est-ce une bonne idée?
Bien que je vive une structure BDSM en continu avec ma soumise, et que je crois beaucoup aux vertus du langage comme élément fondateur et formateur de la relation de pouvoir érotique, que la soumise se désigne à la troisième personne « en tout temps » ne me semble pas recommandable.
Je ne crois pas que ce soit une bonne idée de jouer avec le « je » de l’autre personne, sinon sur des périodes courtes et bien encadrées. Par exemple, dans un scénario structuré délimité dans le temps. Par exemple bis, dans un jeu grandeur nature.
Les jeux de dépersonnalisation ne sont pas des jeux à la portée des débutants.
Notre colonne vertébrale psychiqueIl ne faut pas jouer les apprentis-sorciers. Il n’est pas inutile de se rappeler que le « je » constitue notre colonne vertébrale psychique. L’accession au « je » marque un tournant fondamental dans la construction de notre identité et son équilibre.
Bref, ce n’est pas une mauvaise idée de réfléchir aux conséquences réelles de ce que nous pouvons faire au nom des pratiques BDSM.
Je ne suis pas le pseudoAller jouer avec le « je » d’une personne soumise, c’est soumettre celle-ci à une potentielle déstructuration psychique.
Certaines personnes pourraient arguer qu’il en va de même avec l’usage du pseudonyme. Ce n’est pas faux. Sauf que dans le cas du pseudonyme, on parle au nom de ce pseudonyme dans certaines tournures de phrases (« Monsieur Valmont vous informe que… ») ET on utilise le « je », de façon qui marque une certaine distance justement entre le moi et le pseudo.
JE ne suis pas le pseudo. Et le pseudo n’est pas JE.
Elle est là la nuance d’avec l’usage en tout temps de la 3e personne du singulier ou du prénom, sans le recours au « je ».
Toujours en protocole élevé?Dans le contexte plus spécifiquement BDSM, l’emploi de la 3e personne du singulier ou le prénom en tout temps pour remplacer l’usage du « je », c’est comme si on exigeait en quelque sorte de la soumise qu’elle soit en tout temps en protocole élevé.
Et le Maître aussi, par le fait-même.
Bien sûr qu’il est grisant le protocole élevé. C’est jouable et amusant dans l’immédiat, le temps d’une séance, une soirée, une fin de semaine, le court terme. Il est aussi assez inapplicable dans la durée. Et source d’insatisfaction garantie… la principale difficulté, et non la moindre, étant la constance.
Les émotions désagréablesVous parlez des émotions assez désagréables générées par cette exigence de parler de vous à la 3e personne : dévalorisation, angoisse, détachement de la réalité.
Il n’y a rien d’étonnant dans ces conséquences. La construction de notre identité et notre estime de soi sont intimement liées.
Une hypothèse comme ça : peut-être que si l’emploi de la 3e personne ou du prénom n’était réservé qu’au protocole élevé, et que lors de l’abaissement du protocole, vous aviez la possibilité de reprendre le « je », de prendre le temps de vous rattacher à vous-même, à votre moi, il est fort possible que l’expérience serait alors mieux vécue et perçue différemment.
Parce qu’en bout de ligne, si vous voulez de tout coeur obéir à votre Maître, vous ne souhaitez pas le faire à votre détriment. Ce qui me semble le propre d’une soumise saine, capable de distinguer le fantasme de la réalité.
J’vous dis ça d’même.
L’article Jouer avec le « je » de la personne soumise est publié dans le site cercle O - L'échange de pouvoir érotique.
En France, 31 000 femmes sont victimes de viol conjugal chaque année. Le court-métrage “Je suis ordinaire” présenté au Nikon Film Festival montre avec efficacité à quel point cet acte est effectué par des personnes ordinaires, dans un quotidien banal, et non pas par des psychopathes dignes des pires films d’horreur. Un excellent moyen de […]
Cet article “Je suis ordinaire”, court-métrage choc sur le viol conjugal est apparu en premier sur Desculottées.
Les deux femmes se sont mariées en décembre dernier après plusieurs mois d'une relation discrète. Elles souhaitent fonder une famille et « partager leur maternité » via recours à une PMA.
L’article La chanteuse Ludmilla et sa compagne, couple phare, en couverture de l’édition brésilienne de Marie Claire est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Faire voeu de chasteté ? Environ 8% des Français.e.s pourraient se priver de plaisirs charnels (source : Statista). Tandis que près d’un.e Français.e sur 10 (10% des femmes et 8% des hommes) aurait déjà pratiqué l’abstinence sexuelle et même apprécié cette absence de sexe. Que ce soit pour des motivations médicales ou religieuses, mais également sociales !
Mais ne pas vouloir de relations sexuelles peut susciter l’incompréhension, voire une « mise en garde » sur les effets de l’abstinence sexuelle.
Des méfaits à s’abstenir de toute forme de sexualité ?De nombreux articles au sujet de l’abstinence sexuelle présentent des arguments (presque) invincibles.
Notamment l’idée qu’une forte activité sexuelle renforce le système immunitaire. Ce boost du système immunitaire, c’est une étude de l’Université Wilkes-Barre qui le suggère après avoir interrogé 111 étudiant.e.s sur leur vie sexuelle. Conclusion ? Faire l’amour en moyenne une à deux fois par semaine augmenterait la production d’immunoglobuline de 30%, très utile pour notre système immunitaire. Etre abstinent reviendrait logiquement à dire que « le système immunitaire est plus fragilisé » comme dans Santé...Lire la suite sur Union
Cet article L’abstinence sexuelle, (réellement) néfaste pour la santé ? est apparu en premier sur Union.
Des stars de Tik Tok se tournent vers le X et la génération Z est prête à faire chauffer la CB pour voir ça. Analyse.
Cet article Comment Tik Tok est en train de transformer le porno est apparu en premier sur madmoiZelle.com.