Mathilde, les yeux brillants, sa robe légère retroussée autour de la taille, tournait autour de nous en poussant des gloussements de plaisir et en répétant :- Comme il est beau ! C'est que tu es très douée, Agnès. Regarde comme il bande ! Je ne peux plus y tenir, va t'en un instant, va quitter ton pantalon toi aussi pour que Boniface puisse te branler, je vais m'occuper de lui.Et me voici toute honte bue, délaaçant presque calmement mon pantalon sous les yeux d'un homme, le faisant glisser le long de mes jambes, relevant moi aussi mes jupes dans ma ceinture pour m'avancer vers eux aussi gravement, j'imagine, que ma trisaïeule la marquise de S. vers Louis XV le Bien-Aimé, un soir de petit souper. J'aimerais que Mathilde me regarde mais elle est occupée ailleurs : je la vois se pencher vers Boniface, donner de-ci, de-là quelques baisers rapides et quelques coups de langue mieux appuyés sur l'espèce de bourgeongéant qui se dresse vers son visage, le lécher avec dévotion... Elle s'interrompt un instant pour lui dire :
- Que fais-tu de tes mains, grand paresseux ? Et toi, ma chérie, comment veux-tu jouir en restant plantée si loin ? Caresse-moi par-derrière, veux-tu, je mouille comme une fontaine.
Puis elle reprend son... biberon, et cette fois l'avale avec frénésie. Ainsi dévoré, notre meunier n'en promène pas moins sa grosse main maladroite (mais douce) sur mes reins, puis sur mes fesses, puis cherche un peu plus bas un passage que je lui refuse d'abord, les jambes serrées.