34713 éléments (3171 non lus) dans 75 canaux
L’ALBUM
Album hors collection de Xavier Duvet, RÊVERIES est un recueil d’historiettes érotiques trouvant leur origine dans les songes d’une jeune fille.
Notre rêveuse est une fervente lectrice. Le soir, comme bien des jeunes filles, elle lit au lit avant de s’endormir… Et comme bien des gens, ses lectures influencent ses rêves.
Alice au Pays des Merveilles, Le Chien des Baskerville, Ali Baba et les Quarante Voleurs, Frankenstein, Guerre et Paix… revisités par une libido en pleine effervescence seront la source de songes impudiques.
En bonus : Scifi, un inédit d’érotique-fiction de 6 pages.
Un album inédit présentant une sexualité relativement « classique » à laquelle Xavier ne nous a pas habitués jusque-là.
L’AUTEUR
Xavier Duvet a débuté dans le dessin dans les années 80 pour des magazines de jeux de rôle (Casus Belli…). Un jour, alors qu’il démarche un éditeur pour lui vendre des couvertures de magazines représentant des pin- ups, il se voit confier la réalisation d’un album de BD. Depuis dix autres ont suivi. Certains de ses albums se sont vendus à plus de 20 000 exemplaires dans le monde (France, États-Unis, Allemagne, Hollande…). Il est aussi célè-bre pour ces pin-ups ultra-réalistes à l’aérographe parues dans Penthouse. Il collabore également au monde de la publicité et du web.
Edité chez Tabou Editions
Paru aux éditions Tabou, Un bel été est une bande-dessinée qui conte les aventures de Laura et Elena, deux jeunes italiennes qui décident de partir en vacances. Alors qu’Elena est une blonde prude qui vient de rompre avec son petit ami, Laura est bien plus dévergondée. Elle va entraîner les deux filles à faire des rencontres au gré de leur périple à bord d’une R4 !
Un bel été est une BD coquine comme le stipule le dossier de presse. Pas de hardcore ici mais un érotisme soft qui se marie très bien avec une ambiance bon enfant qui sent bon les vacances estivales. C’est aussi une sorte de voyage initiatique pour Elena. A chaque fois qu’il y a une décision à prendre, elle choisit la sécurité tandis que Laura l’incite toujours à se mettre en danger. C’est ainsi qu’elles se retrouvent toutes deux à dormir à la belle étoile sur la plage en compagnie d’un rasta bien détendu du slip. Peu à peu Elena se laisse influencer et elle qui trouvait dégoûtantes ces aventures sexuelles aussi brèves qu’intenses, elle se prend à imaginer être entourée de membres turgescents !
Bien que l’érotisme soit assez sage, Nizzoli offre tout de même à son lectorat quelques scènes de sexe et notamment des fellations. Avec un dessin très fin et en noir et blanc, il n’hésite pas à dépeindre fréquemment ses jolies héroïnes dans des positions lascives, avec des robes courtes et moulantes. L’érotisme va d’ailleurs crescendo jusqu’à ce que les pensées d’Elena s’orientent vers les fantasmes incandescents d’actes saphiques.
Un bel été est un excellent divertissement, un apéritif printanier en attendant la canicule estivale.
A propos de l’auteur
Né à Reggio Emilie, classe 1968, Marco Nizzoli est un des dessinateurs italiens les plus complets et innovateurs de ces dernières années. Il débute comme dessinateur de bande dessinée en 1987 sur Alan Ford, et reste dans l’équipe de Max
Bunker jusqu’en 1990, année où il participe à la création d’Angel Dark. Toujours en 1990, il est diplômé à l’Instituto Europeo di Design de Milan et l’année suivante, il reçoit le « Prix Albertarelli » en tant qu’Espoir de la bande dessinée italienne.
Au début des années 90, il collabore avec la maison d’édition Phoenix de Bologne, réalisant tout d’abord Fondazione Babele (Fondation Babel) avec Massimo Semerano, Simbaby avec Giorgio Lavagna et enfin la mini-série Raymond Capp avec Federico Amico.
En 1995, Nizzoli entre dans le staff du mensuel E.S.P. Pour ensuite se dédier à la bande dessinée érotique et réaliser plusieurs récits pour Selen entre 1997 et 1999. Puis, La maison d’édition Sergio Bonelli Editore l’enrôle comme dessinateur de Napoleone.
À partir de 2002, Nizzoli commence à se faire connaître en France, en publiant la série « Le Jour des Magiciens » chez les Humanoïdes Associées. Il publiera aussi « Les Enfants du Crépuscule » et « Le Monde d’Alef Thau » avec le grand Alejandro Jodorowsky.
Collection « L’age d’or du x américain ».
Galvanisés par les succès phénoménaux de Derrière la porte verte et de Gorge profonde, des auteurs ambitieux, parfois en dehors du circuits du X, vont se lâcher en réalisant de vrais chef-d’œuvre pornographiques, filmés en 35 mm et munis de décors soignés. Wild Side Video propose les masters tirés des négatifs originaux d’une série de ces films, tournés à la fin des années 70. Entamons la critique de cette prestigieuse lignée par Coed Fever et Odyssey, deux chaudes comédies, fiévreuses et que les primo-spectateurs chanceux de l’époque n’ont pas du oublier.
Coed Fever (Fièvre au lycée) 1980
« En réaction aux nouveaux codes de bonne conduite imposés dans leur université, quatre étudiantes du Uppa U Omega fraternity contre-attaquent en s’offrant les services d’une redoutable stripteaseuse qui percera au grand jour les perversions secrètes du proviseur et des riches donateurs »
Un vrai régal. Sur les bases d’un campus movie, les scènes X sont très soignées tant dans leur éclairage que vers la direction d’acteurs, dont l’apogée reste peut-être à la demi-heure de film cette scène de triolisme, brûlante, que ce priapique de Jamie Gillis sublime de sa brune virilité. Le nombre de scènes explicites est tout à fait honorable et leur intensité hard n’a rien a envier aux sorties actuelles. Les actrices, en nombre, sont superbes et pas seulement Annette Heaven ! On retrouve la rouquine Lisa de Leeuw, aux mensurations troublantes, ainsi que l’explosive Vanessa Del Rio dont le mythique clitoris a probablement eu du retard à l’embryogenèse. Les acteurs du cru ne sont pas en reste : Gillis, John Leslie, tous jeunes, en grande forme et plutôt bons acteurs… Une scène étonnante au beau milieu du métrage, celle où Annette briefe de nouvelles arrivantes, persécutant l’une d’entre elle jusqu’à la contraindre à des actes sexuels, le tout dans un décor de séance macabre. Très réussie dans son aspect dramatique, elle montre combien l’ambition allait au-delà d’une succession d’enfilades. Le film se clôt dans l’allégresse, donnant plus au spectateur l’impression d’avoir chaudement traversé une époque, que visionné du coït mutique, sans âme.
En bonus, une interview des acteurs Mike Horner et de Juliet Anderson, racontant leurs souvenirs d’une époque et leurs débuts. A noter que le réalisateur, de son vrai nom Gary Graver, n’est pas le dernier des tâcherons, puisque ses œuvres pornographiques viennent ponctuer une carrière plus officielle de producteur ou directeur de la photographie pour des auteurs de renom tels que Cassavetes ou Orson Wells.
Odyssey (the ultimate trip). 1977
« Odyssey relate trois percées intenses dans la libido américaine des 70’s : les fantasmes d’un homme marié perdu dans une maison de passe psychédélique, les émois d’une femme qui révèle ses frustrations à sa psychiatre et les illusions perdues d’un jeune mannequin, devenue escort-girl par dépit amoureux. »
Réalisateur culte du Devil is Miss Jones, Damiano ne faiblit pas en livrant cet Odyssey, un conte social permettant de débattre des problèmes sexuels de notre temps, tout en livrant sa fournée de scènes chaudes, ici ancrées dans le réel. La scène où le couple en difficulté se teste en vidéo amateur au début du film est remarquable, digne des prémices d’un De Palma… Là encore, l’intensité dramatique ne se veut pas feinte et les acteurs apparaissent crédibles. Le film prend son temps, incroyable pour un film pornographique, inimaginable de nos jours. Les scènes X y gagnent bien sur en réalisme, introduites par de vraies scènes de dialogues. Damiano équilibre par ailleurs facilement ses trois histoires, entre ébats hétéro et saphiques, décors intérieurs et extérieurs, musique rythmée ou langoureuse, toujours étudiée.
Bien sur, pas de silicone ni de pubis en forme d’autoroute, c’était l’époque ou les hommes pouvaient parfois jouir dedans, sans apporter la preuve… L’époque d’un certain féminisme, aussi, où une scène de cul pouvait s’avorter selon les besoins d’un scénario.
Un brin plus conventionnel que Coed fever, Odyssey n’en reste pas moins tout à fait délectable.
Coed Fever
Réalisateur : Robert Mac Callum. Avec : Annette Haven, Vanessa del Rio, Jamie Gillis, Samantha Fox, Serena. 1h26. Mono Anglais. Sous-titres : français. Disponible en dvd chez Wild Side le 3 février 2010
Odyssey
Réalisateur : Gérard Damiano. Avec : Susan mcBain, Nancy Dare, Sharon Mitchell, Vanessa Del Rio. 1h19. Mono Anglais ou français. Sous-titres : français. Disponible en dvd chez Wild Side à partir du 8 avril.
JE me suis mise en pause.
Ou plutôt, ça c'est mis en pause.
Automatique. Pas sympathique.
Ai-je encore autant d'enthousiasme à traquer les femmes réifiées sous leur abat-jour dans la vitrine d'un Monoprix, alors que je l'ai fait tant de fois, et que tant d'autres l'ont fait encore plus de fois ?
Ou de débusquer une carte postale coquine qui colle à l'actu de Maîtresse Rachida qui s'offre une nouvelle robe.
Ou de mettre en scène la chaise au dossier tapette, à ranger parmi les objets du culte.
Ou de chroniquer le dernier défilé Dior, total look j'enlève le bas, mais pas mes bas, visez un peu les jarretelles, à l'ancienne, la haute couture ne saurait se satisfaire de stay-up.
De dire combien la main qui sait, qui tient, qui aime, qui force l'admiration, m'est essentielle, combien certains regards qui ont envie de savoir, de forcer, de dresser m'excitent ?
De dire et redire que la soumission adorée n'a rien à voir avec la forcée, qu'une femme fouettée n'est pas une femme battue, et qu'on ne me mettra jamais un sac en papier sur la tête.
De me demander ce qu'on trouvera dans le cabinet secret de Ratzinger, du même niveau que la ceinture de Jean Polski.
À quoi bon radoter ?
L'impression de déjà écrit se fait de plus en plus fréquente.
L'absence de désir (libido autant qu'envie) est telle que l'amour m'est interdit, que les fantasmes sont à mille lieues, que le plaisir est impossible.
Mon corps m'emprisonne pire qu'un carcan, me pèse, repousse la jouissance autant que l'idée de jouissance.
Est-ce bien honnête de faire des jongleries avec les mots pour dépiauter une idée avec de la poudre aux yeux ? (Ou la poudre de riz qui sert au maquillage).
Sept ans que ce blog existe, un bel âge, tandis que le mien atteint aussi un multiple de sept, que j'aie rarement tourné sept fois ma langue dans ma bouche ou mes doigts sur le clavier, mais est-ce une raison pour écrire une septième fois les mêmes choses.
Et puis il y a la réalité, et ses pesantes contingences, tellement mordantes que j'en reste pétrifiée. Mes révoltes, mes coups de gueule (le coeur est absent), vont dans d'autres directions. La réalité me plombe, m'entrave, me désespère. Je ne suis pas joyeuse.
Je redécouvre des combats prioritaires, des lieux d'écriture plus nécessaires. Mon ego émietté ne trouve plus d'abri dans cette rue.
Je passe devant les Vanités exposées au musée Maillol, je m'y mire. Sachant que ce blogue n'est jamais que l'expression exacerbée d'un narcissisme abondant, le temps n'est-il pas venu d'écrire ailleurs, autrement, à d'autres heures ?
Ou convertir cette rue qui m'est et me reste chère au statut de ruelle, en profitant de la vogue du microblogging et de ses 140 signes. Je twitte pour garder le fil, je m'exprime en aphorismes, je gonfle le nano-ego.
Je ne sais.
(Texte mis en ligne 15 jours après avoir été écrit, c'est dire le rythme frénétique qui m'habite.)
tags technorati : pause 7 ans de réflexion grosse fatigueJE me suis mise en pause.
Ou plutôt, ça c'est mis en pause.
Automatique. Pas sympathique.
Ai-je encore autant d'enthousiasme à traquer les femmes réifiées sous leur abat-jour dans la vitrine d'un Monoprix, alors que je l'ai fait tant de fois, et que tant d'autres l'ont fait encore plus de fois ?
Ou de débusquer une carte postale coquine qui colle à l'actu de Maîtresse Rachida qui s'offre une nouvelle robe.
Ou de mettre en scène la chaise au dossier tapette, à ranger parmi les objets du culte.
Ou de chroniquer le dernier défilé Dior, total look j'enlève le bas, mais pas mes bas, visez un peu les jarretelles, à l'ancienne, la haute couture ne saurait se satisfaire de stay-up.
De dire combien la main qui sait, qui tient, qui aime, qui force l'admiration, m'est essentielle, combien certains regards qui ont envie de savoir, de forcer, de dresser m'excitent ?
De dire et redire que la soumission adorée n'a rien à voir avec la forcée, qu'une femme fouettée n'est pas une femme battue, et qu'on ne me mettra jamais un sac en papier sur la tête.
De me demander ce qu'on trouvera dans le cabinet secret de Ratzinger, du même niveau que la ceinture de Jean Polski.
À quoi bon radoter ?
L'impression de déjà écrit se fait de plus en plus fréquente.
L'absence de désir (libido autant qu'envie) est telle que l'amour m'est interdit, que les fantasmes sont à mille lieues, que le plaisir est impossible.
Mon corps m'emprisonne pire qu'un carcan, me pèse, repousse la jouissance autant que l'idée de jouissance.
Est-ce bien honnête de faire des jongleries avec les mots pour dépiauter une idée avec de la poudre aux yeux ? (Ou la poudre de riz qui sert au maquillage).
Sept ans que ce blog existe, un bel âge, tandis que le mien atteint aussi un multiple de sept, que j'aie rarement tourné sept fois ma langue dans ma bouche ou mes doigts sur le clavier, mais est-ce une raison pour écrire une septième fois les mêmes choses.
Et puis il y a la réalité, et ses pesantes contingences, tellement mordantes que j'en reste pétrifiée. Mes révoltes, mes coups de gueule (le coeur est absent), vont dans d'autres directions. La réalité me plombe, m'entrave, me désespère. Je ne suis pas joyeuse.
Je redécouvre des combats prioritaires, des lieux d'écriture plus nécessaires. Mon ego émietté ne trouve plus d'abri dans cette rue.
Je passe devant les Vanités exposées au musée Maillol, je m'y mire. Sachant que ce blogue n'est jamais que l'expression exacerbée d'un narcissisme abondant, le temps n'est-il pas venu d'écrire ailleurs, autrement, à d'autres heures ?
Ou convertir cette rue qui m'est et me reste chère au statut de ruelle, en profitant de la vogue du microblogging et de ses 140 signes. Je twitte pour garder le fil, je m'exprime en aphorismes, je gonfle le nano-ego.
Je ne sais.
(Texte mis en ligne 15 jours après avoir été écrit, c'est dire le rythme frénétique qui m'habite.)
tags technorati : pause 7 ans de réflexion grosse fatiguePour soutenir le cinéma indépendant, participez au financement du prochain film de Maria Beatty!!
Venez le 3 avril aux caves Saint Sabin à Paris rencontrer les journalistes de TETUE, voir les plus beaux strip de Paris et d’ailleurs, du lapdance, écouter Oshen et Anything Maria, voir les films érotiques noirs de Maria Beatty en projection continue…
L’entrée est de 15 euros avec une conso, 3 euros seront reversés au film Café du diable www.cafedudiablethefilm.com, come come COME!!!!!!!
Si vous ne pouvez pas vous rendre à cette soirée, vous pouvez participer financièrement au film (souscriptions à partir de 20 euros) en vous rendant sur le site www.cafedudiablethefilm.com (en anglais) ou sur le site de www.horscircuits.com (en français)
Daisuke est un ventriloque pas loin du has-been total. Une jeune aveugle, Hikari s’éprend de sa « voix » mais tombe sous le charme physique de son assistant, Yoichi. De cette méprise naîtra une subtile relation à trois, entre romantisme et quiproquos charnels.
S’il est bien un imaginaire érotique fertile, le cinéma japonais reste un sérieux concurrent au podium. Il n’est jamais meilleur que lorsque, comme ici, des scènes d’amour viennent alimenter un scénario ancré dans un réalisme dont la rigidité le dispute aux excès les plus divers : l’inévitable scène de viol, le statut social érigé en dogme où exercer la profession de ventriloque en constitue à peu près la lie. A noter une réalisation bien supérieure à n’importe quel polar ennuyeux d’Olivier Marshall, des bruitages forts excitants, une musique touchante, des acteurs souvent drôles ( voir Daisuke arrivant avec ses chaussures ultra compensée sur faire illusion sur sa taille…à se tordre) à défaut d’être photogéniques. Côté fesse, on est dans le soft, mais le soft à la japonaise, toujours un peu plus vicieux que la moyenne. Ca n’est donc pas du Jaeckin. Le final, passant de la comédie au drame jusqu’à la pointe du fantastique, est un petit régal.
Des bonus sympas en prime : une interview de Daisuke Goto, le réalisateur, un homme calme et plutôt sérieux. Il nous rappelle quelques réalisations antérieures : Scorpion’s revenge, Doberman cop et surtout, a lonely Cow weeps at dawn, un ovni … Volontiers scénariste, il rapporte avec beaucoup d’humilité le succès du film, inespéré pour un Pink Eiga, au festival du film asiatique de New York.
Egalement au programme une interview du directeur de la photographie et les commentaires du film par les deux intervenants précités. La présentation du film par l’auteur au festival de New york , des photos et des trailers, dont quelques uns bien gratinés (Sexy battle girls).
Réalisateur : Daisuke Goto. Durée : 65 mn.Année 2005.
Editeur : Pink Eiga (USA)
SI je veux retrouver mon équilibre, c'est peut-être une question de chaussure. Et de posture.
J'arrête de marcher sur les pointes ou à côté de mes pompes.
Je ne fais plus de ronds de jambes.
Je ne leur tiens plus le mollet.
Je ne laisse pas mes chevilles enfler.
Personne ne me marche sur les pieds ni ne me coupe l'herbe sous.
Celui qui pense le contraire se fout le pied-de-biche dans l'oeil.
Et si je ne prends pas mon pied, il arrivera bien assez vite à la hauteur de mon nez.
tags technorati : pied souliers résolutionsSI je veux retrouver mon équilibre, c'est peut-être une question de chaussure. Et de posture.
J'arrête de marcher sur les pointes ou à côté de mes pompes.
Je ne fais plus de ronds de jambes.
Je ne leur tiens plus le mollet.
Je ne laisse pas mes chevilles enfler.
Personne ne me marche sur les pieds ni ne me coupe l'herbe sous.
Celui qui pense le contraire se fout le pied-de-biche dans l'oeil.
Et si je ne prends pas mon pied, il arrivera bien assez vite à la hauteur de mon nez.
tags technorati : pied souliers résolutionsÇA ne peut pas faire de mal. Ensuite, je me mettrai à écrire.
Et qui sait, reviendra le désir, sale anguille.
ÇA ne peut pas faire de mal. Ensuite, je me mettrai à écrire.
Et qui sait, reviendra le désir, sale anguille.
C'EST trop reposant, j'adore. #feignasse
(On aura remarqué que j'ai récupéré mon mot de passe Google Analytics)
(Google rit de nouveau)
(Colonne de droite droite)
tags technorati : feignasse twitter résolutionsC'EST trop reposant, j'adore. #feignasse
(On aura remarqué que j'ai récupéré mon mot de passe Google Analytics)
(Google rit de nouveau)
(Colonne de droite droite)
tags technorati : feignasse twitter résolutionsPÉCHERESSE plutôt que pêcheuse, quoique même pas, le sens du péché ne s'entend qu'à condition de croyances en une quelconque calotte, et je n'aime pas plus la calotte que le prépuce (voir les épisodes précédents). Pêcher des compliments, à la rigueur. Hameçonner des hommes en leur faisant croire que c'est dans leurs filets que je me suis égarée, vieille figure de style féminine indémodable. Leur montrer mes pêches, à la peau satinée.
Mais, je vous arrête tout de suite, n'allez ni me traiter de thon, ni de morue.
Jadis, un bdsmeur et bricoleur m'avait pincé les tétons dans une espèce d'oeuf métallique qui s'avéra être un plomb de pêche. Un pont était alors jeté entre mes pratiques et les poissons.
Pont qui s'agrandit avec cette délicieuse composition que m'a adressé M***.
Allez, à l'eau.
On ne sait jamais (ce) qui va mordre quand on laisse traîner le bouchon, au hasard de l'onde.
PÉCHERESSE plutôt que pêcheuse, quoique même pas, le sens du péché ne s'entend qu'à condition de croyances en une quelconque calotte, et je n'aime pas plus la calotte que le prépuce (voir les épisodes précédents). Pêcher des compliments, à la rigueur. Hameçonner des hommes en leur faisant croire que c'est dans leurs filets que je me suis égarée, vieille figure de style féminine indémodable. Leur montrer mes pêches, à la peau satinée.
Mais, je vous arrête tout de suite, n'allez ni me traiter de thon, ni de morue.
Jadis, un bdsmeur et bricoleur m'avait pincé les tétons dans une espèce d'oeuf métallique qui s'avéra être un plomb de pêche. Un pont était alors jeté entre mes pratiques et les poissons.
Pont qui s'agrandit avec cette délicieuse composition que m'a adressé M***.
Allez, à l'eau.
On ne sait jamais (ce) qui va mordre quand on laisse traîner le bouchon, au hasard de l'onde.
J'AI toujours rêvé d'être une rock star. L'outrance permise, l'expressivisme en scène, les décibels électriques. Pouvoir être soi en faisant croire qu'on est un autre. Encore plus que quand on joue la comédie.
tags technorati : rockstar bondage résolutionsJ'AI toujours rêvé d'être une rock star. L'outrance permise, l'expressivisme en scène, les décibels électriques. Pouvoir être soi en faisant croire qu'on est un autre. Encore plus que quand on joue la comédie.
tags technorati : rockstar bondage résolutionsJ'AI toujours, mais alors vraiment toujours, aussi loin qu'il m'en souvienne, haï les clowns, piètres pitres qui mieux que "Le Capital" mettaient en scène la lutte des classes.
Beurque.
Mais puisqu'il paraît que manger du clown, ou le sucer (cette seconde action étant une forme d'anthropophagie symbolique, passée sous les fourches caudines du désir et donc parfaitement socialisée et nettement plus acceptable et acceptée qu'un grosse bouchée de fesse fraîche), rend drôle, je vais m'y mettre avec assiduité. Et sans recracher, sinon plus de bénéfice.
Car ma mongolfière regonflée voguant par dessus le brouillard, ce qui me donne une longue vue, 2010, ça va pas être fendard.
Mais alors pas du tout.
J'AI toujours, mais alors vraiment toujours, aussi loin qu'il m'en souvienne, haï les clowns, piètres pitres qui mieux que "Le Capital" mettaient en scène la lutte des classes.
Beurque.
Mais puisqu'il paraît que manger du clown, ou le sucer (cette seconde action étant une forme d'anthropophagie symbolique, passée sous les fourches caudines du désir et donc parfaitement socialisée et nettement plus acceptable et acceptée qu'un grosse bouchée de fesse fraîche), rend drôle, je vais m'y mettre avec assiduité. Et sans recracher, sinon plus de bénéfice.
Car ma mongolfière regonflée voguant par dessus le brouillard, ce qui me donne une longue vue, 2010, ça va pas être fendard.
Mais alors pas du tout.
PARCE qu'il a beau essayer de me faire croire qu'il est fair play, ça l'énerve quand je gagne. Et ça se voit.
Mets-moi mat, sinon, je me couche et je dis pat.
tags technorati : badinage jeu d'échecs résolutionsPARCE qu'il a beau essayer de me faire croire qu'il est fair play, ça l'énerve quand je gagne. Et ça se voit.
Mets-moi mat, sinon, je me couche et je dis pat.
tags technorati : badinage jeu d'échecs résolutionsLE poids des choses et le choc de la sarkoze m'ont considérablement avachie et chiffonée. C'es décidé, c'est juré, je serai moins terre à terre et je défendrai aussi souvent que possible le point de vue de Sirius.
Je lâche prise, du lest et mes cheveux. Sans arrogance, je prendrai la vie d'un peu plus haut.
Toujours plus haut.
Hisse. (Et O ?)
tags technorati : montgolfière hauteur résolutionsLE poids des choses et le choc de la sarkoze m'ont considérablement avachie et chiffonée. C'es décidé, c'est juré, je serai moins terre à terre et je défendrai aussi souvent que possible le point de vue de Sirius.
Je lâche prise, du lest et mes cheveux. Sans arrogance, je prendrai la vie d'un peu plus haut.
Toujours plus haut.
Hisse. (Et O ?)
tags technorati : montgolfière hauteur résolutionsJ'EN avais déjà parlé ici, une ou deux fois, cette image qui m'avait marquée fillette, alors que je traversais les Tuileries pour aller chercher un soda au kiosque. En contrebas,un jeune homme (grand garçon ?) tenait un commensal la tête serrée entre ses cuisses, les bras relevés dans le dos, et le fessait.
Comme toutes ces images de la petite enfance, elle est à la fois tatouée et en même temps possiblement parée des couleurs du fantasme. Et si j'y avais imprimé mes rêves ? D'autant que je passe tellement ma vie à réinterpréter la réalité, en mon for intérieur, certes, mais tout de même, que je ferais le pire des témoins.
Quelques décennies plus tard, bien plus tard, je retombe sur la même image. Elle n'a rien de fetish (sauf pour quelques tordus extrapolateurs dont je fais partie). Je ne sais pas si elle est orthodoxe d'un point de vue martial. Ni même si elle relève d'un code, si elle porte un nom et à quelle discipline (à part celle que l'on s'inflige entre adultes consentants) elle appartient. Je m'en fiche un peu, beaucoup.
La pratique me semble bien plus intéressante et excitante. La bagarre, je vous dis, y a que ça !
tags technorati : lutte fessée résolutionsJ'EN avais déjà parlé ici, une ou deux fois, cette image qui m'avait marquée fillette, alors que je traversais les Tuileries pour aller chercher un soda au kiosque. En contrebas,un jeune homme (grand garçon ?) tenait un commensal la tête serrée entre ses cuisses, les bras relevés dans le dos, et le fessait.
Comme toutes ces images de la petite enfance, elle est à la fois tatouée et en même temps possiblement parée des couleurs du fantasme. Et si j'y avais imprimé mes rêves ? D'autant que je passe tellement ma vie à réinterpréter la réalité, en mon for intérieur, certes, mais tout de même, que je ferais le pire des témoins.
Quelques décennies plus tard, bien plus tard, je retombe sur la même image. Elle n'a rien de fetish (sauf pour quelques tordus extrapolateurs dont je fais partie). Je ne sais pas si elle est orthodoxe d'un point de vue martial. Ni même si elle relève d'un code, si elle porte un nom et à quelle discipline (à part celle que l'on s'inflige entre adultes consentants) elle appartient. Je m'en fiche un peu, beaucoup.
La pratique me semble bien plus intéressante et excitante. La bagarre, je vous dis, y a que ça !
tags technorati : lutte fessée résolutionsLe chef d’oeuvre de Nagisa Oshima traverse les âges de façon insolente car il est reste toujours aussi dérangeant et avant-gardiste. Pour les hérétiques qui n’auraient pas encore vu ce monument, il raconte l’histoire vraie d’Abe Sada, une jeune japonaise qui a vécu une histoire d’amour si intense qu’elle en est venue à tuer son mari. Quand la police l’a arrêtée, elle avait dans les mains le pénis coupé de son compagnon !
L’empire des sens est un film parfait car il s’appuie sur un scénario fort (la relation amoureuse de Sada et de Kichizo en forme de crescendo), des acteurs crédibles, des décors traditionnels japonais epoustouflants, et surtout des scènes de sexe clairement hardcore. Oshima est un réalisateur génial car il a réussi à créer la symbiose parfaite entre film pornographique et film d’auteur. Peu de films (aucun ?) peuvent se vanter de montrer la sexualité avec autant d’audace. Rappelons que le film a déjà 33 ans !
D’un côté, il s’agit d’un inventaire de tout ce qui fait la beauté du Japon : la cérémonie du thé, les parois en bois et en papier, les bonsaïs, les chants des geishas, les kimonos colorés, les jardins zen, etc. De l’autre côté, le film nous propose des scènes de sexe non simulées plutôt déviantes : la fellation en gros plan (avec effet boule de neige), la consommation de champignons aromatisés à la vulve, la dégustation de sang menstruel, et des jeux sadomasochistes consistant à étrangler l’autre pour éprouver de nouvelles sensations. C’est sans compter la fameuse scène de l’oeuf qui restera dans les annales de l’étrange.
Le support blu-ray est un superbe écrin pour ce film. On y gagne bien sûr en définition et en précision d’image. On pourra observer les imperfections de la peau, le tatouage de scorpion sur le lobe de l’actrice et bien sûr tous les détails anatomiques. Les couleurs des décors et des costumes sont chatoyantes. Seuls quelques plans sont un peu fourmillants et d’autres de nuit sont plus bleus que noirs. Mais étant l’âge du film, le transfert reste exceptionnel.
Le blu-ray inclut également un documentaire sur l’histoire du film, et fait intervenir notamment le directeur de production, Koji Wakamatsu, réalisateur de Quand l’embryon part braconner. On en apprend beaucoup sur la personnalité des auteurs (des gauchistes contestataires !) et des conditions extrêmes de tournage. La censure japonaise était en effet très forte et le tournage fut toléré car le film était considéré comme français (car financé par un producteur français). D’ailleurs, la censure japonaise n’a que peu faibli (on connaît son aversion pour les toisons pubiennes) et le film n’est visible là-bas qu’avec des flous cachant les parties intimes. Le disque contient également un entretien de l’acteur principal, Tatsuya Fuji, qui apporte de nombreuses anecdotes très cocasses.
Egalement dans cette édition, l’on peut accéder à un montage avec des scènes coupées, ces dernières n’apportant rien de fondamental.
Le film est disponible en coffret blu-ray contenant L’empire des sens mais aussi L’empire de la passion, du même réalisateur.
une ex-actrice de film X fait un saut à l’élastique
Halana K, une ancien star du X a décidé de changer de carrière. Elle espère devenir une DJette incontournable.
Halana K est une ancienne actrice de X française.
Halana K, 30 ans, est une show girl de renommée mondiale. Mais cette ancienne actrice de films pour adultes a émis le désir, en janvier dernier, de changer radicalement de registre. Elle entend devenir une Djette incontournable.
Pour symboliser cette reconversion, la jeune femme a eu une idée originale. Samedi dernier, elle s’est jetée d’un pont sur les hauts de Niouc dans le val d’Anniviers en Valais en étant entièrement nue! L’endroit situé à 190 mètres du sol est mondialement connu pour être un haut lieu des sauts à l’élastique.
«Elle a dû attendre deux heures jusqu’à ce que la pluie cesse», raconte Cindo Abel, le porte-parole d’Halana K. «Elle avait peur, mais elle n’a même pas crié. Elle s’est lancée comme si elle plongeait dans une piscine. L’élastique s’est finalement stabilisé à 40 mètres du sol».
Tournée mondiale prévue
Après ce moment de frisson, la néo Djette se prépare pour une tournée mondiale. Elle la débutera en janvier prochain en Amérique du Nord, avant de revenir en avril en Europe.
Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, Halana K mixera de l’électro-house non pas en tenue d’Eve ou en topless, mais «bodypaintée». Et uniquement sur demande des établissements qui l’inviteront
Source : http://www.20min.ch/ro/news/insolite/story/25666413
Silvio Berlusconi fait quelques exemples, mais il propose à la majorité des fraudeurs un retour des capitaux en échange de faibles pénalités.
La saison de la lutte contre l’évasion fiscale bat son plein en Italie, pays où chaque année plusieurs dizaines de milliards d’euros échappent au fisc. Souvent soupçonné de laxisme, le gouvernement de Silvio Berlusconi – qui a lui-même mis à l’abri certains des revenus de ses entreprises grâce à une myriade de sociétés offshore – se déploie sur deux fronts : fermeté pour quelques-uns et clémence pour tous les autres. Le premier étant censé faire oublier le second.
La fermeté a rattrapé deux stars transalpines : l’acteur de films pornographiques aux 1 400 « œuvres », Rocco Siffredi, et le footballeur argentin ex-vedette du FC Naples dans les années 1980, Diego Maradona. Le premier est soupçonné d’avoir, en compagnie de son épouse, soustrait environ 200 000 euros au fisc italien en déclarant résider en Hongrie, où il a basé ses activités professionnelles. Or, il possède une somptueuse villa à Rome, ville dans laquelle il a aussi acheté, récemment, une moto de grosse cylindrée et une voiture de luxe. Le fisc italien le soupçonne d’avoir monté plusieurs sociétés écrans pour dissimuler ses revenus, qui ont été saisis. « En croisant les dates de tous ses achats et autres services domestiques, nous sommes arrivés à la conclusion qu’il vivait en Italie au moins la moitié de l’année », affirme le chef de la brigade des finances de Chieti (Abruzzes), qui mène l’enquête.
En passant une petite vidéo humoristique joué par Rocco Siffredi, réalisé par Jean-Paul Rouve pour Halte au Long, le nouveau festival de films courts en série. (halteaulong.com)
En savoir plus sur Rocco Siffredi via Wikipedia
J’ai trouvé ce calendrier sur le site suisse Le Matin.
Il est intitulé Calendrier des paysannes 2010. C’est en effet de jeunes paysannes Suisses qui sont photographiées légèrement vêtues. Lié a leur photo le nom du canton. Sûr que ça va bander sec dans les alpages.
Pour ma part je vote pour celle-ci. J’adore sa poitrine généreuse, bien mise en valeur par ce soutien gorge virtuel.
Pour le reste des photos voici le lien : les paysannes suisses sont sexy
Attention : Ce style de prestation se fait que sur demande, avec l’accord du ou des sujets et jamais dans des spectacles public ou il pourrait y avoir des enfants ! Raymi Phénix, au salon de l’érotisme de Nice, a démontré que le plaisir est avant tout dans notre tête. Pour ce faire il a donner dans la journée d’intenses multi-orgasmes aussi bien aux « Stars du X » qu’aux personnes du publique (femmes et hommes). Vu L’intérêt porté par les expérimentateurs (plus de 30 dans la journée) et la puissance de l’expérience, Luka de « Dorcel TV » en a fait un petit reportage qui est, bien sur, passé à l’écran. Cette demoiselle, Zetah, a eu 4 orgasmes en moins de 10 minutes. Etonnant non !?
La marque de boisson fait très fort. Une pub très porno malgré que l’on ne voit à aucun moment un sexe ou un quelconque liquide séminal. En substance, Sprite ça te gicle dans gueule de Salope.
Ils sont fort ces publicitaires.
Et une version de secours en cas de disparition sur youtube (nomé Facial Sprite shot.)
Voir aussi cet article : Facial sprite shot: un goût particulier
Dans cette vidéo en langue anglaise, une jeune et jolie femme, est invité par un réalisateur de film coquins à se balader nue dans la cage d’escalier de son imeuble.
Pour plus d’intensité le mec lui pique (temporairement) les clefs, pour qu’elle ne puisse pas changer d’avis en cours de route.
L’oseriez vous ?
CELIBATAIRE PARTY Samedi 19 Septembre 2009 à 21 heures à L’ Entrepôt.
Pourquoi vous parler de cette soirée ?
Alors que les boites font des centaines de soirées « rencontres » par an.
C’est qu’un détail à retenu mon attention, le coup des bracelets, qui m’ont fait pensé, aux même bracelets libertins (réels ou fantasmés).
Les organisateurs proposent des bracelet à l’entrée :
Donc comme je ne connais pas le lieu et que l’entrée et gratuite, c’est le moment de jeter un oeuil.
Pour mes lecteurs et lectrices Strasbourgeois(es), c’est le moment de me rencontrer si vous passez à la soirée dites le moi sur le forum
Pour en savoir plus sur la soirée visitez ce site : Strasbourgcurieux
INTERVIEW AUDIO. Rencontre avec des étudiants de Sciences-Po à l’origine d’un projet qu’ils prennent très au sérieux : la création d’une revue érotique par et pour les jeunes. L’érotisme, un objet politique ou une bonne raison de sécher les cours ?
Ces étudiants-là n’ont pas pris de vacances : ils ont passé leur été à mettre la dernière main à “L’imparfaite”, la première revue érotique étudiante. Inspiré d’une expérience américaine, ce projet a été très bien reçu par la communauté éducative de Sciences-Po. Il faut dire que Fahd Ayeva, 23 ans, a su trouver les mots pour que tout ça paraisse sérieux :
Voici un truc qui me rappel quelques souvenirs.
Ok les filles et les gars, vous n’étiez pas né(e)s, donc question subsidiaire [1], quel age a le propriétaire de ce blog ?
Réponse en papier libre… non je m’égare [2], nous sommes à l’époque d’internet, donc réponse sur mon Face Book Alain Strasser .
les gagnants auront droit à ma considération la plus distinguée et les gagnantes auront le droit de m’héberger pendant deux jours.
[2] indications capitale, pour l’époque du truc.
[1] en fait il n’y a pas de question principale.
DU VENDREDI 5 AU 30 AOÛT
A ENDORFINE – 33 BOULEVARD DE LYON – STRASBOURG
HORAIRES : DU MARDI AU SAMEDI DE 13H A 18H
VERNISSAGE VENDREDI 5 JUIN A 20H
C’est avec beaucoup d’humour que nous souhaitions désacraliser l’objet d’art. Comme beaucoup l’on déjà fait avant nous, nous nous sommes approprié un objet puis chaque artiste spécialement invité a fait sa propre « customisation » de cet objet.
Dans un premier temps, nous voulions faire un clin d’œil au « art toy ». La décoration de personnages en édition limitée qui connaît à l’heure actuelle un grand succès commercial. L’aspect ludique de cette nouvelle pratique, d’où son nom « TOY », nous semblait intéressante, et nous avons voulu le conserver. Mais puisque nous voulions proposer quelque chose de différent il n’était pas question de partir de petits personnages.
La proximité évidente entre « Hard Toy » ( jouets pour adultes) et « Art Toy » (personnage à décorer) nous a permis de faire un choix tout naturel. Nous avons permis le « Sex-toy » customisable. Le contraste entre l’objet qui, (en dehors de sa qualité fonctionnel ) est un produit commercial fabriqué industriellement, et le fait qu’il soit décoré par un artiste pour en devenir unique, est aussi intéressant. Il s’agit comme pour les « Art Toy » de s’approprier un objet commun et vierge et d’en faire quelque chose d’unique. Les 30 artistes qui participent à cette exposition représentent un véritable melting-pot de techniques et pratiques artistiques. Ainsi tatoueurs, illustrateurs, graphistes, artistes peintres, writers venant de toute l’Europe, se retrouvent autour du même objet pour en faire au final quelque chose de plus personnel. L’interprétation même de cet objet par chacun d’eux pourra peut-être s’avérée révélatrice… qui sait ?!
P.S we love sexxxxxx !
Les artistesJUST (PARIS)
UNCLE HO (GRENOBLE)
HOTOH (STRASBOURG)
JACK RIBEIRO (METZ)
CLEMENT PEYROUS (PARIS)
HANDMADE (LYON)
JAW (MARSEILLE)
JULIEN (NIORT)
BIRDERLINE (STRASBOURG)
DARKELIXIR (CHERBOURG)
OGRE (LYON)
LXONE (STRASBOURG)
LA 404 NATION (ROUEN)
WISE.81 (STRASBOURG)
CONE (SAARBRUKEN)
JAEK EL DIABLO (STRASBOURG)
CEON (KARLSRUHE)
ENRICO BACH (KARLSRUHE)
FAZE 183 (MUNCHEN)
DATER (KOBLENZ)
HOMBRE (MANNHEIM)
ROID (BRIGHTON)
ROUGH (LONDRES)
PONK (LONDRES)
VIEW (BASEL)
DERS (BASEL)
OPIUM (NAPLES)
WANY (MILAN)
ZEUS40 (NAPLES)
DAN SINNES (LUXEMBOUG)
DEMS (ELCHE, ESPAGNE)
Ses modèles dernier cri s’exhibent sur les plages de la Riviera italienne ou de la Côte d’Azur, et il fait figure d’uniforme sur les plages de Rio de Janeiro. Certes, il existe encore des réfractaires, à l’instar des adeptes de quelques côtes allemandes de la Mer Baltique, où le naturisme est roi. Mais lorsque l’on pense été, soleil et plage, il nous vient tout de suite à l’esprit un petit bout de tissu, élevé au rang de star sur la plupart des plages du monde : le bikini.
Un regard sur l’histoire aurait permis de prédire depuis longtemps le succès rencontré par le deux-pièces. En effet, on a retrouvé dans la Villa Romana del Casale, en Sicile, une mosaïque antique représentant plusieurs jeunes femmes vêtues de tenues ressemblant à s’y méprendre à des bikinis. Quoi qu’il en soit, nous avons dû attendre quelque 1500 ans pour que le plus petit maillot de bain du monde soit créé spécialement pour la plage puis 20 ans supplémentaires pour que la mode du bikini envahisse les plages du monde entier.
Le bikini voit le jour à l’été 1946, soit un an seulement après la fin de la Seconde Guerre mondiale ! Le 5 juillet, à Paris, l’ingénieur français Louis Réard présente dans le cadre d’une élection de miss un maillot de bain deux-pièces composé d’un haut minuscule et de deux triangles de tissu reliés par deux cordelettes en guise de bas. La nouvelle tenue est si minimaliste qu’elle tient facilement dans une boîte d’allumettes ! L’invention doit son nom à un atoll du Pacifique, pour des raisons historiques (d’un goût plutôt macabre) : en effet, c’est dans la lagune de l’atoll de Bikini que les Etats-Unis lâchent la première bombe atomique de l’après-guerre, une fois la population de l’île évacuée. Ces faits se déroulent quatre jours avant le défilé de mode de Louis Réard, et le nom de « Bikini » est alors dans tous les journaux et sur toutes les lèvres. Le nouveau modèle fait l’effet d’une bombe, les journalistes sont enthousiastes et le deux-pièces réussit ainsi une entrée fracassante.
Dans les pays catholiques le bikini est considéré comme immoralEn dépit de son succès médiatique, il ne réussit pas à s’imposer tout de suite dans la société. En effet, après sa présentation, il est interdit de séjour sur presque toutes les plages du monde. En 1947, on fonde même une association anti-bikini à Rio de Janeiro ! Et l’Amérique, guère moins prude à l’époque qu’aujourd’hui, ne veut pas en entendre parler.
Les années 1950 sont certainement trop conservatrices pour que le bikini puisse avoir sa chance. En Italie et en Espagne, pays traditionnellement catholiques, le deux-pièces est considéré comme immoral. Les magazines féminins allemands et français le mettent à l’index jusqu’à la fin de la décennie.
Ce n’est que vers le milieu des années 1950 que le bikini refait les gros titres. Il peut dire merci à la blonde peroxydée Diana Dors, une actrice britannique qui fait son apparition au Festival de Venise dans un bikini en vison et à Brigitte Bardot, qui arbore volontiers ce type de maillot dans les années 1950. Mais à l’époque, le bikini n’est porté que par des starlettes ou des pin up. A l’été 1959, certains magazines féminins reviennent sur leur premier jugement et en ont font le « vêtement de la saison » (Vogue). La découverte d’un nouveau matériau, le lycra, ainsi que la fièvre du voyage en Europe permettent également le retour en force du bikini.
Au début des années 1960, on voit encore très peu de bikinis dans les lieux publics. Le tube « Itsy Bitsy petit bikini » contribue certainement à relancer les ventes, tout en évoquant très bien l’esprit de l’époque : « Sur une plage il y avait une belle fille/ Qui avait peur d’aller prendre son bain/ Elle craignait de quitter sa cabine/ Elle tremblait de montrer au voisin… »
La Version originale de Itsy, bitsy, petit bikini, se nome « Itsy bitsy teeny weeny yellow polka dot bikini » elle est de Bryan Hyland (1960).
1962. Ursula Andress fait une entrée on ne peut plus remarquée dans « James Bond 007 contre Dr. No », le premier opus de la série. Elle sort de l’eau habillée d’un deux-pièces ivoire, un poignard accroché à une ceinture et deux coquillages dans les mains. Cette scène culte contribue autant à la célébrité du maillot de bain qu’à celle de l’actrice.
Bikini James Bon 007 contre Dr No
La même année marque la sortie en Amérique du Sud d’une mélodie qui reste jusqu’à nos jours l’hymne international de la plage : « Garota de Ipanema » (La fille d’Ipanema). Cette chanson est un hommage à une jeune fille de 15 ans adepte du bikini, Helôísa Eneida Pinto, qui débute ensuite une carrière de mannequin et de reine de beauté. Ce succès planétaire fait du bikini – surtout dans sa forme très minimaliste – l’uniforme obligatoire sur les plages de Rio de Janeiro.
Les mutations sociales et politiques de la fin des années 1960 finissent par influencer la mode et les maillots de bain de l’époque. Plus aucune morale conservatrice n’empêche les femmes sûres d’elles d’arborer sur les plages des bikinis – de préférence avec des couleurs ou des motifs acidulés.
Au cours de la décennie suivante, le bikini prend des formes très différentes. A une époque, la mode veut que l’on fabrique son deux-pièces soi-même ; après cette période « artisanale », il se décline en différents modèles : tricoté, crocheté, brodé ou bien encore orné de dentelle. Les féministes s’élèvent contre lui, condamnent la mise en avant des attributs féminins et refusent ainsi catégoriquement le soutien-gorge et le bikini. La mode unisexe et le souhait d’un bronzage uniforme conduisent à l’apparition du monokini.
Le bikini met en scène nombril, piercings et tatouagesLa mode du bikini connaît une éclipse au début de la décennie 1980 avec la renaissance soudaine et imprévue du maillot une-pièce. Le deux-pièces n’est plus tendance, il est remplacé par des maillots aux décolletés profonds, très échancrés au niveau des cuisses. Les plages ne sont plus le domaine réservé des maillots de bain et autres bodies, et le bikini se fait de plus en plus rare. Ce n’est qu’à partir de 1987 que les magazines féminins constatent son retour en grâce. Il dévoile désormais moins le corps et se porte avec un bustier. Il est toujours en vogue dans les années 1990, contre vents et marées, car il permet de dévoiler le nombril, les piercings et autres tatouages.
Où en est le bikini au troisième millénaire ? Les magazines féminins, de Elle à Vogue, présentent pour l’été 2007 une mode de plage des plus variée avec des classiques noirs, rouges ou rayés, des bikinis à triangle très minimalistes, des modèles avec de larges culottes, des hauts réduits à leur plus simple expression, de larges bustiers ainsi que des hauts triangles. D’une certaine manière, tous les modèles actuels semblent être inspirés de tendances déjà existantes. Aucune nouveauté révolutionnaire n’est à signaler dans le monde du deux-pièces. Les modèles bien choisis feront certainement leur effet. Le bikini reste une arme de séduction massive.
Plus d’info sur le bikini via wikipedia
Organisation d’évènements hors norme, recherche filles et femmes sexys sachant jouer du pipeau, pour dresser les hampes des oriflammes de nos parlementaires européens. Vous êtes délurée et votre garde robe sait vous habiller pour les galas et vous déshabiller pour satisfaire les gouts des mâles en ut et majeurs.
Les filles et femmes entreprenantes, serons récompensées, à niveau de leur investissement à contenter les invités de marques.
Ci dessous l’annonce officiel.
POP ELEGANZ – Private Party « A la Gloire de l´Empire » 14 Juillet (midi-4h) DescriptionDeux fêtes distinctes, de concepts inédits et décalés, de jour comme de nuit, qui privatisent tout le Quai des Pêcheurs ainsi que la péniche du Rafiot, totalement transformés et redécorés pour l´occasion : du jamais vu au centre ville de Strasbourg…
Pour être sur la Guestlist (13, 14, ou les deux) inscrivez vous en ligne sur www.popeleganz.com
/// Mardi 14 Juillet (midi – 4h du matin): À la Gloire de l´Empire
Fête Nationale, en présence de l´ensemble des parlementaires européens et de leurs attachés. Venez snober la Garden Party de l´Elysée…
- Le Jour de gloire:
Ambiance plage la journée (Ice Creams, Chouchous & Barba papas), Dress Code décontracté.
Sunshine Mix: DJ Miss You (Sexy Dirty House Music) & Pop Eleganz DJs
- La Nuit de gloire:
Dress Code: Tenues de Gala, uniformes, robes de soirées et Ordres du Mérite …
Moonlight Mix: Mr Dibz (l´Entrepôt – Electrohouse & E.B.M.) & Pop Eleganz DJs
- Toute la journée:
Sushis non stop (le Moozé)
Nombreux shows artistiques, bodypainting et bikinis
PAF unique de 10 euros (valable toute la journée et la nuit): un bracelet vous sera remis pour que vous puissiez venir honorer la Nation de jour comme de nuit (dress code du soir: Gala Militaire…)
Organisateur : POP ELEGANZ
du mardi 14 juillet 2009, à 13:00 au mercredi 15 juillet 2009, à 04:00
au Quai des Pêcheurs privatisé, ainsi que tout le Rafiot. Strasbourg, France
C’est un film qui sort le 8 juillet en France, dont je vais vous parler.
C’est un film tout public, mais qui traite d’un sujet, très dans la ligne éditorial de mon blog.
Surtout que l’actrice principale, Sasha Grey vient du monde du porno.
Une gorge profonde par Sasha Grey
Elle est plutôt célèbre pour ses performances lors de scènes de fellations et de gorges profondes, qui lui ont valu le AVN Award catégorie « meilleure fellation » en 2008, dans le film « Babysitters ».
Donc double curiosité…
Le pitchChelsea est call-girl de luxe à Manhattan. A ses clients, elle offre bien plus que de banales relations sexuelles : elle leur propose d’être pour eux la compagne d’un soir.
C’est la « girlfriend experience »…
Chelsea est convaincue de maîtriser sa vie. Son business marche bien, elle gagne 2.000 dollars de l’heure et son petit ami accepte même sa manière de vivre. Mais quand on multiplie les rencontres, on ne sait jamais sur qui l’on va tomber…
Un film de Steven Soderbergh
Avec Sasha Gray, Timothy J. Cox, Jeff Grossman
Durée : 1h17
A la première vision des Anges Exterminateurs, je me suis dit que j’avais vu là un bon film, beau, intriguant, ne versant pas dans le vulgaire. Mais je n’ai pas pour autant perçu l’exceptionnelle transcendance du sujet.
Puis j’ai participé à la rencontre avec le réalisateur Jean-Claude Brisseau (au vidéo-club Hors-Circuits, Paris XI). Premier constat : nombreuses et unanimes sont les femmes à reconnaître ce film comme le premier à avoir pu cerner le plaisir féminin.
Deuxième constat : d’après les rencontres et les anecdotes qu’a pu récolter Brisseau depuis des années, il s’avère, à mon humble surprise, que beaucoup de gens (de femmes) découvrent à travers ce film qu’il est normal de se masturber ou de penser à des choses « osées » ; et qu’ils/elles ne sont donc pas victimes de ce trouble psychologique qu’ils cachaient depuis si longtemps ! Soulagement ! Ce trouble n’en est finalement pas un !
En tant que lectrice ou lecteur de Cinétrange, vous ne vivrez certainement pas le film de cette façon ! Mais il est important de souligner cette étrange utilité du film.
Pour en venir au film en lui-même, l’intrigue se base sur l’histoire d’un réalisateur cherchant des actrices pour un film sur le plaisir féminin, pour des rôles érotiques donc. Brisseau parvient aisément à réaliser un film avec des femmes presque constamment nues sans tomber dans le travers de la vulgarité. Les actrices, dans leurs rôles d’actrices néophytes, sont convaincantes. Elles jouent très bien ce malaise naturel qui se transforme en aisance au fur et à mesure des expériences. Les femmes sont belles. Leurs expériences de plaisir sont intrigantes et font quasiment oublier aux hommes de penser à se concentrer sur leurs poitrines.
Mais que nous apprend le film ? Pas tant que ça, après tout. Pourtant il semble que parfois on passe à côté des évidences et qu’il peut être utile de les rappeler. Et la question est plus complexe et subjective qu’il n’y paraît.
Je citerai l’idée que le fait d’être vue ou observée, si on arrive à le surpasser, devient un catalyseur, un excitant. Pas une idée nouvelle donc. Mais bien développée par Brisseau.
A ce sujet, je pense qu’il n’a pas été noté que cette étude du plaisir féminin est aussi une étude du plaisir humain tout simplement.
Brisseau ne s’est intéressé qu’aux femmes, il n’a pas cherché à comprendre ou à comparer le plaisir masculin. Le film se veut bien être une étude du plaisir féminin. Mais par effet de bord, il touche les hommes dans une certaine mesure.
Pour un homme aussi, les expériences exhibitionnistes pourront probablement lui apporter un certain plaisir.
Les expériences du film seraient bien sûr beaucoup plus difficiles à tenter pour des hommes. Il y a d’abord les raisons culturelles du culte de la virilité : le fait que les femmes nues et les lesbiennes sont bien plus admises que les gays, en particulier dans les films pornos, mais dans la société en général. Idem pour ce qui serait d’affirmer que les hommes peuvent encore apprendre comment prendre du plaisir.
Ensuite, la nature technique du plaisir n’est pas la même chez les hommes non plus et ça y change sans doute beaucoup. Mais il me semble que ce film n’est justement pas d’ordre technique.
Les hommes sont quelque peu écartés de ce film. L’explication est bien sûr que les femmes sont mieux à même de savoir comment donner du plaisir à une autre femme. Mais il ne faudrait pas non plus prendre cela comme l’unique vérité.
D’autant que ce film traite plus de la question d’être à l’aise, de penser à son propre plaisir, d’oublier ce qui se passe autour de soi, que de la recherche d’un point G ou d’un exploit physique.
Les images sont érotiques. Les parties fantastiques qui se collent sur l’intrigue de base apportent une beauté et un mystère, amplifiant l’idée que le plaisir féminin est vraiment mystérieux.
Ce film ressemble incroyablement, dans sa forme, à l’excellent De Bruit Et De Fureur (1986) d’il y a vingt ans (ce dernier traitait d’un tout autre thème, la vie difficile d’un jeune garçon vivant en banlieue, avec une touche de fantastique aussi). Le côté érotique, le plaisir et les expériences féminines ne sont pas sans rappeler, quant à eux, Choses secrètes (2002), du même réalisateur. Brisseau avait donc probablement bien maturé ce film, même s’il indique avoir changé le montage jusqu’après le tournage (allégeant la part du fantastique).
Le fantastique est un artefact qui, à la fois, se glisse allègrement dans l’histoire, et à la fois ne semble pas nécessaire. L’intrigue fantastique et sa construction tragique n’apportent rien directement à la question du plaisir féminin, mais permettent cependant d’insérer des commentaires off (selon les règles de la tragédie) et d’amener la déchéance du réalisateur qui est de plus en plus évidente et inéluctable.
Brisseau savait bien de quoi il parlait, puisque son film s’avère raconter plus ou moins sa propre histoire, a posteriori. Quelques ennuis juridiques et des critiques acérées et polémiques ont été le lot du réalisateur et de son équipe.
La dimension tragique et fantastique servait donc à insérer en filigrane cette critique de la société sur ses positions par rapport au sexe, et au plaisir. Une critique de l’autocensure du cinéma qui déteint sur le public. Car finalement, ce film ne fait que parler d’une chose « banale » : le plaisir (sexuel).
Dvd disponible chez Blaqout