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Alors que la France imposait jusqu’en 2016 la stérilisation aux personnes trans, loi qui n’a été modifiée qu’à la suite des diverses plaintes déposées auprès de la Cour européenne des droits de l’homme, et que les personnes trans sont toujours absentes du projet de loi de bioéthique qui doit élargir l’ouverture de la PMA, c’est un document rare et précieux que diffuse l’émission de France Culture, Les Pieds sur terre. Signé par la journaliste Clémence Allezard, Enceint revient en effet sur la grossesse d’Ali, homme gay trans.
Ce dernier, assigné femme à la naissance, a commencé, selon sa propre expression, à prendre des hormones « à la sauvage » en 2006 et mené les démarches pour obtenir son changement d’état civil. Il est en couple depuis 6 ans avec François Berdougo, militant de la lutte antisida auteur notamment de La Fin du sida est-elle possible ?, et c’est d’ailleurs dans le milieu militant que les deux hommes se sont rencontrés.
Enceint suit leur parcours de parentalité, en marge des carcans hétéronormés, des imbroglios administratifs pour se faire rembourser les échographies quand on a un numéro de sécu commençant par 1 à la relation au personnel de la « transsernité » des Lilas en banlieue parisienne, en passant par les cours de préparation à l’accouchement ou le regard de leurs proches.
Grâce à trois magistrats dont le souci principal était réellement de protéger l’enfant, Ali et François ont obtenu la reconnaissance de leur double filiation, sans avoir à passer par une mascarade d’adoption, ce qui constitue une première en France.
Au moment où le Sénat, en rejetant en deuxième lecture l’ouverture de la PMA à toutes les femmes, s’enlise dans son incapacité à entériner les modèles familiaux alternatifs, Enceint offre une lueur d’espoir aux parent·es et aspirant·es parent·es qui refusent le chemin étroit de l’hétéronormativité.
Enceint de Clémence Allezard, disponible en replay sur le site de France Culture.
© Simon Moritz
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Revoir la société, combattre le capitalisme et le patriarcat, changer radicalement de système, abolir le sexisme et construire un monde égalitaire où l’on protège l’environnement, tel est le vœu de l’écoféminisme ! Complexe et difficilement saisissable, ce courant de pensée datant des années 70 reste ardu à définir, tant il s’est illustré par de nombreuses […]
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Revigorant ou apaisant ? Il y a le porno transgressif, cathartique, celui qui prend des risques. Il y a les pratiques BDSM et une infinité de fétichismes. Mais on oublie souvent le porno rassurant (« comfort porn »). Celui qui ne déçoit pas, comme un gif d’animal mignon ou notre série feel good préférée. Du sexe joyeux où tout est fluide, tendre et facile. Pas comme la vie, quoi. Fantasmer sur des choses simples comme une bonne baise matinale. Ou la fameuse « sieste crapuleuse. » Des massages, de la tendresse et des péné’ toutes en finesse. Bref, cet article est une ode à la douceur, à la chaleur et la moiteur. Un hymne aux caresses, aux galipettes sous la couette et au spooning du cocooning.
Pour un réveil tout en douceurJe vous écris de sous ma couette. Mes pantoufles sont au pied du lit. Les premiers rayons du soleil viennent me chatouiller le visage… Je m’étire et je bande me demande si vous connaissez le hygge ? C’est ce sentiment de bien-être créé par un mélange réconfortant de tranquillité (se sentir safe) et de convivialité. Profiter des petits plaisirs de la vie. Le bonheur au quotidien. Comme les câlins du matin, câlins coquins. Ou la bonne branlette qui détend. Pour mieux appréhender la chose et vous mettre à l’aise, voici quelques exemples.
Difficile de démarrer une journée sans un bon café. N’est-ce pas Conor ? C’est encore mieux quand c’est Molly qui nous l’apporte au lit. Elle tombe à pic car la nuit et les douceurs de la couette ont bien détendus notre corps. Comme souvent, ma bite s’est levée avant moi ! Les plaisirs du morning wood en appellent d’autres. D’abord le sourire, les caresses. Puis cette bouche chaude humectant suavement ma sa bite. Ensuite, des va-et-vient onctueux, entre ses deux superbes seins : ça glisse, c’est hypnotique. On se sent déjà serein. Mais pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Le corps est plein de courbes et de plis pour nous réchauffer. Molly sait comment nous réveiller, encore mieux qu’un café !
Le scénario inverse est aussi savoureux. Ici, c’est Donnie qui vient réveiller Amirah. La douceur du réveil lui plaît, elle en sourit de ravissement. Elle s’étire puis ils s’embrassent et se réchauffent. C’est avec fluidité et passion que ça part en pénétration… Il finit en elle et derrière elle, dans la position la plus confortable et réconfortante (en cuillères). Beau moment cocooning. Il faut dire que les siestes crapuleuses et le porno de lit sont revenus en force en ces temps confinés. Merci le télétravail.
Parfois, c’est trop difficile de s’extirper de la couette. Tant pis pour nous (les voyeurs). Mais, au bout d’un moment, la chaleur produite par les deux corps permet d’émerger. Spectaculaire apparition d’un cul ou d’une tête. Cette fameuse créature légendaire à deux dos. Se lever, se recoucher, se relever, c’est d’abord suivre la recherche du plaisir. Comme goûter à la source entre les cuisses. Silky et Velvet font des petits miracles. Il est même possible de voyager avec son lit. S’évader confortablement. Fuir les tourments de l’hiver en restant au chaud.
Qu’y a-t-il de plus cosy qu’un cul ?C’est probablement la partie du corps qu’on voit le plus sur la page d’accueil d’un site porno. Pourtant, on ne se lasse pas de cette galaxie de fesses. Le cul n’a pas de genre, tous les humains en ont un et il nous apporte du réconfort. Ces deux collines de douceur, dissimulant la délicatesse anale, attirent et attisent les caresses. Contempler un cul calme. L’effleurer, le tripoter, le claquer, le pénétrer, c’est s’assurer de notre commune humanité. Il est au milieu, proche du sexe et primordial à de nombreuses positions. De la cuillère à la levrette. Déesse libre, biseau et éléphant. Autant de jolis noms de positions signifiant notre propension instinctive à s’y blottir, s’y réfugier. Les fesses, c’est cosy et ça ressource !
Je ne parle pas russe mais j’aime bien les elfes callipyges. Qui n’aimerait pas se (re)confiner avec la native de Sibérie ? Eva Elfie est une valeur sûre du porno rassurant. C’est la geekette kawaii qui adore le sexe. Ses courbes feraient oublier n’importe quel hiver ! Encore une histoire de réveil sexuel. Peu importe le compromis algorithmique et le petit role-play à base de step sis : on connaît Eva et on n’est pas là pour ça. Plutôt pour s’abandonner entre ses cuisses. Sa peau a l’air si douce et détendue ! Sa vulve si accueillante ! Elle aime quand ça déborde, en creampie ou en faciale, et je me dis : le monde du mou est un cosmos instable pouvant se liquéfier comme se rigidifier. Les corps mous évitent la fixité du solide en débordant en liquide et rendent ces derniers visqueux pour en dérober la dispersion. L’expérience du mou est donc l’épreuve du contact : toujours déjà autre, le mou incite à la tendre rencontre des présences. Pardon, le « spermouille » me monte à la tête.
De nombreuses vidéos pornos commencent par un massage. Souvent négocié : elle demande, il propose. Ou l’inverse. Or, on sait que ce sont des massages qui finissent toujours bien. Happy ending. Nous savons que, lorsqu’il va commencer à lui « masser » le cul, ça va se transformer en formidable partie de baise. C’est certain. C’est l’instinct. Voici quelques exemples savoureux (et slaves). D’abord, Kristina (la Luxury Girl) qui veut un « vrai » massage, d’un spécialiste. Quelques minutes plus tard, évidemment, ça dérape. Position de l’éléphant : elle est allongée sur le ventre et la bite du mec glisse dans sa fente, par derrière. Je vous laisse découvrir la suite… Avec Milana et Oleg (Litt1eAnge1), c’est un peu différent : il est obnubilé par son jeu de casino en ligne alors qu’elle vient réclamer un massage. Bien entendu, elle parviendra finalement à lui faire quitter l’écran ! Saluons son superbe mini-short et la fluidité avec laquelle il la prend par derrière. Milana est allongée sur le ventre puis sur le côté alors qu’Oleg est agenouillé, c’est la position de la déesse libre. Je lui voue un culte.
Plus récemment, un jeune couple a buzzé avec une vidéo très simple : plan fixe, lumières tamisées (bougie), miroir et petite baise romantique. Après un court massage, il fait glisser sa bite entre les fesses de la jeune femme mais sans pénétration. Celle-ci arrivera un peu plus tard. C’est une vidéo presque silencieuse où seuls les chuchotements et gémissements accompagnent une complicité sexuelle et affective évidente. Tendre et sexy. Les ShineTeens, en 10 vidéos, affirment une esthétique particulière, à rebours des tendances actuelles : un porno intimiste, lent et low tech. Une atmosphère authentique défiant l’espace et le temps…
Toutes les vidéos dont parle cet article contiennent des levrettes. Ou des variantes de celle-ci. La levrette (« doggystyle ») est « le jeu du retour à l’état sauvage », d’après le philosophe Francis Métivier. Nous y retrouvons nos ancestralités animales. Débarrassés des pressions de la civilisation, nous pouvons nous laisser aller. La personne qui est derrière saisit les fesses ou les hanches et peut pénétrer loin. La personne prise en le-le peut simplement se laisser faire, la tête contre le matelas. C’est simple, instinctif et réconfortant pour les deux. Autre avantage, typiquement pornographique : c’est une position où le mec gicle souvent plus vite ! Avec ce pilier du « comfort porn », la personne à quatre pattes peut aussi basculer sur le côté : pour se reposer ou pour qu’on voie son visage (positions du biseau et de la déesse libre). Équilibre sexuel (le cosy du cul + les caresses + les sourires échangés) + maîtrise porno (les corps sont ainsi valorisés sous plusieurs angles simultanément) = Combo gagnant.
Tendresse, caresses et paresseCe n’est pas qu’une question de cul ! On regarde du « comfort porn » pour se détendre, se divertir ou s’évader. Pour combler un manque d’affection. Se projeter dans un monde tendre. Pour aller mieux, je me tourne souvent vers un de mes coups de cœur de 2020 : TheStartOfUs. C’est devenu mon rituel de self-care. Elle est solaire et irrésistible. Il est… priapique et infatigable. Avec Queen et King, la joie, la bonne humeur et la puissance sont communicatives. Ils donnent de la force ! Leur osmose sexuelle est un art de la caresse et de l’alchimie des désirs. Après une longue journée, des orgasmes partagés. Ici, la fellation est remarquable mais la levrette l’est encore plus, rien que pour la main de la reine caressant les grosses couilles du roi…
Les caresses sont ambivalentes : à la recherche du plaisir, par la découverte et l’exploration du corps, elles visent la détente et l’excitation… La pénétration n’en est qu’une possibilité parmi d’autres. C’est ce que montrent si bien Kate Marley et Chris. Leurs vidéos sont des bulles cosy de tendresse et de paresse. On y est tranquille, on chille. Les regarder me fait un peu le même effet qu’une vidéo de drone survolant une île tropicale. Petite torpeur planante, lascive et oisive. C’est lent et c’est doux. Sieste crapuleuse ou méditation érotique. Câlins. On tripote et on papote. Parfois on baise… Plaisirs oraux. Chris aime les cunnis. C’est une « logique d’étreinte du monde », nous dit Francis Métivier. Une embrassade cosmique où on goûte aux saveurs maritimes. En outre, la personne qui lèche active ses cinq sens pour mieux saisir l’instant présent. OKLM.
Dans le même style réconfortant et zen, mes chouchous italiens d’EroticxXxpress, Silky & Velvet, sont des spécialistes. Des bisous voyageurs. Une langue qui s’insinue. Des culs. Ambiance végétale. On se goûte de partout. On joue, on tâtonne, on rigole. Silky, toute sourire, prend davantage d’initiatives, au début. Puis c’est lui. Comme souvent, ça finit en doggy. L’animal prend alors le pas sur la tendresse végétale. Mais restez jusqu’au bout : après l’éjac, on se retrouve avec les petites attentions, les câlins, les bisous. Cycle cocooning.
En nous permettant de nous évader dans la douceur, en facilitant l’identification et en filmant la bonne humeur, le « comfort porn » nous fait du bien. C’est un petit rituel plaisant à base de culs et de câlins. C’est la communication fluide des corps mous et languides qui nous calme. Ouverture de la matière détendue, naissance d’un lieu trouble et doux, le mou mouille et coule : il moule l’humide pour en tracer un cosmos cosy, ultime refuge du confort.
Du massage à la levrette, du bisou à l’orgasme, le « comfort porn » est apaisant puis revigorant. À présent, me voilà prêt à affronter le monde… jusqu’à la prochaine sieste.
Bonjour. Ma copine et moi adorons nous filmer durant nos ébats. Petit à petit, nous transformons notre chambre en véritable studio. Cela nous oblige à être toujours plus inventifs pour varier les plaisirs visuels. Jusqu’à maintenant, nous étions les seuls spectateurs, mais ma copine veut créer une chaîne pour les diffuser sur le Net et en faire profiter tout le monde. Avons nous le droit de faire cela ? Mais surtout, pensez vous qu’elle va s’arrêter la ? J’ai le sentiment de perdre le contrôle…
À partir du moment où vous n’avez aucun but commercial, je pense qu’il n’est pas interdit de diffuser vos images sur le net, mais je ne suis pas juriste. Je vous conseille donc de prendre conseil auprès d’un avocat spécialisé avant de donner suite à ce projet afin de respecter les obligations légales dans le domaine de la diffusion de scènes à caractères pornographiques.
Il s’agit également de prendre quelques précautions et de vous renseigner sur l’exhibition sur internet qui peut mener à des dérives, vous pourriez en parler à des couples qui le font déjà et leur demander conseils. Aussi, je vous conseille d’y aller progressivement, peut-être avec seulement des photos suggestives pour commencer ?
En ce qui concerne votre inquiétude vis-à-vis de votre partenaire, il m’est difficile de prévoir comment cela évoluera. Il est fort possible que le fait de diffuser vos films intimes lui permette de satisfaire les fantasmes exhibitionnistes qui sont à l’origine de cette idée et qu’elle n’en demande pas plus.
Mais il est également possible qu’elle ait envie d’aller plus...Lire la suite sur Union
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Cette pratique, mise en avant par les films X, consiste tout simplement, pour une femme, à masturber le sexe de son partenaire entre ses seins. Bizarrement, les Anglais la nomment French Fuck et les Espagnols, la branlette cubaine, les Brésiliens, la branlette suédoise… Finalement, la branlette espagnole n’a pas vraiment de nationalité et excite l’imaginaire de nombreuses personnes.
L’origine de cette expression reste obscure et laisse lieu aux explications souvent les plus farfelues : bourgeois du XIXème siècle qui se faisaient masturber entre les seins de leur domestique, souvent espagnoles, pour éviter qu’elles tombent enceintes, etc… Il y a aussi la branlette grecque qui consiste pour un homme à se masturber cette fois entre les fesses de sa partenaire. Quoiqu’il en soit, il s’agit là d’un préliminaire (et pourquoi pas d’un acte complet) qui peut être très excitant. On peut l’agrémenter d’un lubrifiant ou d’une huile de massage pour une meilleure « glisse ». La masturbation avec les seins peut s’accompagner d’une fellation sur le gland.
Pipe espagnole ou cravate du notaire : le nœud du problèmeLa cravate du notaire n’est pas le synonyme mais plutôt une variante de la branlette espagnole. Cette fois, c’est le partenaire masculin qui est plus actif. L’homme s’agenouille sur le torse de sa partenaire et c’est lui qui effectue des mouvements de va-et-vient avec son sexe entre les deux seins. Le sperme ainsi éjaculé dessine sur le cou de la femme une sorte...Lire la suite sur Union
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Le Sénat a voté mardi 2 février un amendement limitant l’extension de la PMA aux couples de femmes.
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Eh non, il n’y a pas que les Français qui ont donné un nom à un baiser, le french kiss est mort, vivre le baiser grec ! Enfin, pas tout à fait non plus, car les deux ont deux fonctions bien différentes : d’un côté le baiser français consiste à un échange sensuel des langues […]
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Les Français boudent les sites de rencontres et veulent prendre le temps de se connaître.
La pandémie de Covid-19 est-elle en train de transformer en profondeur les attentes amoureuses des solos (célibataires/divorcé.e.s/veuf.ve.s) ? En dépit des frustration générées par le confinement, il semblerait que les célibataires tendent à la prudence, et à un désir de sécurité affective et sexuelle. 90% d’entre eux serait ainsi dans l’optique d’une relation stable avec un seul partenaire pour répondre à ce besoin.
Ce désir d’affection et de sécurité pourrait ainsi impacter le recours des sites de rencontres. Durant le premier confinement, leur fréquentation avait chuté de 55% (Stat-rencontres) et cette tendance, même de façon plus nuancée, pourrait s’inscrire dans la durée.
La crise sanitaire actuelle, qui devrait donner lieu à plusieurs vagues successives (OMS) change en effet les attentes et le rapport au temps en matière d’amour. Fini le culte de l’image et de l’instantanéité, il y a désormais une forte envie de découvrir l’autre, de sortir de cette culture de « consommation » qui s’avère vite très décevante.
La contrainte de distanciation physique se révèle propice à la réflexion et à la sincérité : dans ce tête-à-tête avec eux-mêmes, les solos ont redéfini leurs besoins. Ils s’interrogent sur ce qu’ils souhaitent et ne souhaitent pas, sur les qualités recherchées chez l’autre et les défauts rédhibitoires. Ce retour à l’essentiel a pour résultat de remettre la psychologie au premier plan, bien avant le physique et l’apparence.
De plus, au-delà des Lire la suite sur Union
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« Docteur, j’ai réalisé mon coming out auprès de ma famille il y juste quelques semaines. Le plus dur est passé et j’ai l’impression que mes proches ne m’ont pas rejeté (ce que je craignais plus que tout). Il me reste maintenant à passer à l’étape suivante, mais je ne sais pas du tout comment faire. Je suis systématiquement attiré par les canons du lycée, ceux qui se pavanent avec les plus jolies filles. Comment puis-je les aborder ? «
Comment draguer quand on est gay ? Notre sexologue répond :Il semblerait en effet que vous ayez fait le plus dur, demandant du courage et pouvant parfois (souvent) être stressant ou angoissant, le coming-out est une étape décisive dans l’affirmation de soi.
Pour répondre à votre question, vous pouvez, bien sûr, les aborder en tant que copain garçon, histoire de partager des sorties et des centres d’intérêt communs pour commencer, et plus si affinités… Mais il me semble, tout de même, que vous cherchez la difficulté en ciblant les garçons qui affichent clairement leur hétérosexualité en ayant des copines filles.
Bien que l’orientation sexuelle serait plus fluide qu’on ne le pense. Draguer quelqu’un que l’on est susceptible d’intéresser n’est déjà pas si facile en soi, mais draguer quelqu’un qui a d’autres centres d’intérêt sexuel l’est bien plus encore.
D’ailleurs, vous ne dites pas du tout comment cela s’est passé pour vous...Lire la suite sur Union
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Elle me dit :
« j’ai besoin que mon Maître ne me laisse pas de choix, pas de latitude
« j’ai besoin qu’il exige
« qu’il impose »
Puis, elle plonge.
Et moi, le Maître, je transforme ce signal en énergie liquide que je redistribue aux cinq vents.
Jusques en haut des cuisses
Elle est bottée
Et c’est comme un calice
À sa beauté
Elle ne porte rien
D’autre qu’un peu
D’essence de Guerlain
Dans les cheveux
Serge Gainsbourg — Initials B.B.
L’extase du lâcher-priseIl suffit de presque rien pour la catapulter dans un espace lointain, entre ciel et mer.
Je la retiens par les cheveux. Avec le pied, je lui fais prendre une direction encore inconnue. Je la pare d’un voile ample et transparent qui exhibe sa silhouette… et surtout son âme. Sa volonté dans la mienne, elle devient mon ombre, l’ombre de mon ombre. Une chienne dans l’ombre. Elle ne me quitte pas des yeux. Je lui fais apercevoir le promontoire de mes envies les plus rocheuses. Elle sourit béatement. Sa culotte mouille d’anticipation.
J’en prends possession. Je lui dis, elle frémit. Je ris. Nos cris jouent au tennis sur un terrain boueux, fangeux, cahoteux, visqueux. Je suis raquette, filet, arbitre, foule et commanditaires. Tous les droits télé m’appartiennent. Je commente, analyse, annonce. Elle est balle, mon coup droit; je tente un revers à la volée, elle riposte, repousse ses capacités physiques, les miennes. Ou est-ce l’inverse? Je trace sur son corps les lignes de démarcation de ce match endiablé qui se rend à la limite du supportable. Elle se fout du pointage. Moi aussi.
Plus je la possède, plus elle vole, vole.
Vole, mon bel oiseau.
Rolls Royce Rankin’ Spirit of Ecstasy.L’article L’esprit de l’extase est publié dans le site cercle O - L'échange de pouvoir érotique.
Bonjour docteur. Je suis plutôt beau gosse, je fais du sport. Tout devrait parfaitement aller pour moi, sauf que mon sexe vire à droite. Il n’est pas droit et cela me complexe et j’ai beaucoup de mal à me mettre nu devant une fille. Existe-t-il une solution pour redresser les pénis courbés ?
Tout d’abord il manque une précision importante pour pouvoir vous répondre, celle de savoir si vous parlez de votre pénis au repos ou en érection. En ce qui concerne le sexe masculin au repos, il est très rare qu’il soit tout à fait rectiligne. En réalité, il est toujours plus ou moins courbé, soit vers la droite, soit vers la gauche et cela fait partie des variantes anatomiques auxquelles on ne peut rien faire.
Le docteur David Shusterman, chirurgien urologue, l’explique par la présence d’un ligament suspenseur maintenant le pénis contre le pelvis, ce qui le suspend légèrement vers le haut et serais parfois responsable d’une légère courbure d’environ cinq à six degrés.
D’autant que ce degré de courbure varie d’un homme à l’autre, et quand bien même il serait plus important que la moyenne, il n’y a, croyez-moi, aucune raison d’en être complexé car les femmes n’y font guère attention. Cela n’empêche en aucun cas de donner du plaisir. Vous n’êtes par ailleurs pas le seul, cette courbure concernerait 10 à 20% de la population.
L’autre éventualité, qui concerne la présence d’une courbure du pénis lorsqu’il est en érection, est beaucoup moins fréquente, surtout chez un...Lire la suite sur Union
Cet article J’ai un pénis courbé, est-ce un problème ? est apparu en premier sur Union.
Cette jeune femme en a assez. Assez de ces mecs, de ces potes, qui couchent avec elle puis oublient leur amitié. Assez d'être périssable, jetable. Assez de souffrir. Voici sa lettre ouverte.
Cet article Lettre ouverte à mes « amis » qui me ghostent après avoir couché avec moi est apparu en premier sur Madmoizelle.
Il me raconte comment il est devenu papa à l’âge de 25 ans (où il était encore un bébé selon lui), comment et pourquoi ils ont mis en route le petit deuxième, puis un troisième ensuite, et ce qui l’a amené à travailler pour La Maison des Maternelles et tout ce que cette aventure lui a appris sur sa propre paternité. Merci beaucoup à Benjamin pour sa disponibilité et sa gentillesse !
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Entrevue par écrit de Yan Voodoo avec Monsieur Valmont, publiée dans FetLife le 3 août 2020. Le texte fut remanié par Monsieur Valmont pour le format blogue… :- )
Dans le milieu BDSM, il y a des gens qui s’expriment et partagent leurs passions de diverses façons, dans les médias sociaux tels que Facebook et FetLife, de même qu’à travers des blogues. On y retrouve des expériences personnelles, des philosophies, des techniques et une mine d’or d’autres renseignements! J’ai donc voulu en savoir plus auprès d’un blogueur de ma communauté BDSM, pour lequel j’ai un grand respect, Monsieur Valmont. Voici donc mon entretien avec un blogueur BDSM.
Bonjour Monsieur Valmont, ça fait longtemps que vous faites du BDSM? Quel est votre rôle?
Bonjour Yan, les pratiques BDSM pimentent ma vie intime depuis 1996. J’ai été initié par ma conjointe de l’époque. Elle avait déjà quelques expériences de ligotage, de même que des fantasmes de contraintes sévères. Elle a ouvert une porte en moi qui ne s’est jamais refermée. Depuis ce temps, hormis une courte période après une séparation en 2004, j’ai toujours conjugué relation de couple et relation de pouvoir érotique avec mes compagnes du moment, dans le rôle du Maître.
Ça remonte à loin, dites donc!
Une philosophie BDSMSuivez-vous les courants d’une philosophie BDSM particulière?
Je ne sais pas si on peut parler de philosophie, mais mon BDSM est fortement influencé par un opuscule intitulé Les Amis de Germanicus publié en 2003. Beaucoup de gens font de l’urticaire à la seule mention de ce livre. Mais quand on fait abstraction de son côté pontifiant, les histoires d’écoles et tout ça, on trouve dans cet écrit une pensée originale, forte et utile sur la réalité de l’échange de pouvoir érotique.
Je vais arrêter ici, je pourrais en parler pendant des heures…
Je me sens également très en phase avec l’approche « no-excuse » d’un groupe new-yorkais appelé The Estate (qui ne semble plus actif). C’est là que j’ai appris le vrai sens du mot protocole, trop souvent confondu avec l’étiquette. Je retiens l’importance des ingrédients que sont la structure et la constance dans la réussite d’une relation de pouvoir saine et satisfaisante dans la durée.
Enfin, je me découvre depuis quelques années une parenté d’esprit avec un bakushi renommé, Yukimura Haruki (décédé en 2016), par l’entremise de ses élèves et amis qui perpétuent ses enseignements. Y-sensei, comme ils l’appellent, intègre dans son art deux éléments qui font partie de ma pratique BDSM : l’élément communication, la parole, lequel n’est pas sans me rappeler la façon dont je m’adresse à la soumise avant et pendant la séance, et l’élément connexion.
Êtes-vous présentement en relation D/s?
Oui, j’ai à ma disposition une belle esclave d’amour, nommée alezane, depuis bientôt quatre ans. Nous vivons une relation BDSM en continu dans un contexte polyamoureux, étant donné qu’elle est en couple.
Vous avez un blogue BDSM?
J’en ai administré plusieurs au fil du temps, des blogues privés pour gérer mes relations avec mes soumises, et des blogues publics. Le plus connu, celui qui a survécu, demeure cercle O. Je m’en sers pour explorer l’échange de pouvoir érotique.
J’ai besoin de comprendre ce que je fais, bien que je n’ai aucun appétit pour le pourquoi. De me faire demander pourquoi j’aime restreindre une soumise, c’est comme me demander pourquoi j’aime le yogourt au moka… Je sais pas trop ce que ça me donnerait de le savoir. Non, je suis plutôt dans le comment… ^^
On pourrait dire que cercle O se trouve à mi-chemin entre le travail journalistique (une de mes anciennes vies), la chronique, le journal de bord, l’auto-fiction et l’autobiographie.
Quel blogue intéressant! Depuis combien de temps tenez-vous cercle O et d’où l’idée vous est-elle venue?
cercle O fut d’abord un site de ressources principalement en français sur les pratiques BDSM. Il est devenu un blogue qui fêtera ses vingt ans en 2021. Il faut nous rappeler qu’il y avait très peu de contenus à saveur BDSM en français, au tournant des années 2000, et les réseaux sociaux n’existaient pas.
Ce qui était au départ une boutade lancée à ma soumise de l’époque, est devenu un site ayant attiré plus de 400 000 visiteurs et engendré plus de 1,8 million de pages vues depuis. Tout ça sans vraiment d’images croustillantes. Je n’ai commencé à insérer des images dans les articles de façon systématique que récemment.
C’est un succès impressionnant!
Une inspirationcercle O m’a beaucoup aidé quand j’ai découvert cet univers, vous devez avoir inspiré bon nombre d’autres adeptes au fil du temps?
Il semble que oui. Bon an, mal an, tous les mois, 20 % des visiteurs reviennent plus d’une fois sur le site. Ce qui m’a toujours fait croire que ça répond à un besoin de connaître, savoir, découvrir, mieux comprendre des pensées et des pratiques sexuelles difficiles à gérer, au-delà des opinions et des goûts. Et en français.
Là-dessus, le Livre d’or de cercle O est certainement l’un des articles du blogue qui me tient le plus à coeur. Les gens me font savoir leur soulagement de trouver en ligne une représentation des pratiques BDSM qui soit autre chose que les images disgracieuses que l’on voit un peu partout… Leur réconfort est mon salaire.
Je pense aussi à des rencontres fortuites en public faites au fil des ans. J’ai reçu de la gratitude venant de personnes que je ne connaissais pas. J’ai compris que mon blogue leur avait fait du bien.
En effet, ce sont là de belles preuves!
Le blogue cercle O en 2013. Lancer un blogueQuel conseil auriez-vous à offrir à quelqu’un qui voudrait se partir un blogue BDSM?
D’attacher sa tuque? (rire)
Partir un blogue, c’est très facile. Les outils sont fabuleux, si on compare à ce qui se faisait au tournant des années 2000 quand j’ai lancé cercle O.
Le tenir à jour et l’alimenter, c’est moins évident. Il y a beaucoup sites « me too », c’est-à-dire des sites qui disent à peu près tous la même chose et de la même manière, et qui tombent au bout d’un moment. J’en ai vu passer des blogues et des sites en vingt ans. Évidemment, les gens les délaissent pour toutes sortes de bonnes et mauvaises raisons. Aussi, beaucoup préfèrent désormais passer par FetLife ou Facebook, et ne pas se casser la tête avec une plateforme (c’est quand même du travail, la mise à jour technique, la mise en page, etc.).
Or, si FetLife tombe demain matin, et ça pourrait très bien arriver (comme c’est arrivé à Collarme et quelques autres), on a l’air fou et on perd à l’instant tout ce qu’on y a fait. Quant à Facebook, je leur fais ZÉRO confiance. Il y a plusieurs années, au mépris de toute logique et respect, ce site avait rendu public tous les groupes auxquels les gens étaient inscrits. Allo la confidentialité!
Vous avez bien raison, un blogue est une valeur plus sûre alors.
Mentorat, formationFaites-vous aussi du mentorat? Des ateliers de formation?
Au fil des ans, à quelques reprises, j’ai mentoré des personnes dominantes et soumises, d’ici et d’ailleurs. C’est une drôle de patente, le mentorat BDSM. Je n’accepte pas toutes les demandes qui me sont faites. On voit souvent des gens qui viennent au BDSM sans trop savoir ce qu’ils viennent y faire…
J’offre aussi depuis l’automne dernier un atelier privé spécifiquement dédié aux couples qui ont besoin de voir plus clair avant de sauter, et qui n’ont aucune envie d’aller dans les munches et ateliers publics. Il faut croire que mon intuition de départ était bonne parce que la demande est là.
Les pratiques BDSMPossédez-vous un donjon ou salle de jeux à la maison?
Non.
À quelles pratiques BDSM vous adonnez-vous?
Quelle question! Vous avez quelques heures?
Haha tant que ça?! Quel sont vos jouets préférés?
La parole… Mes mains… mes ongles… parfois le pied (je suis droitier). La corde et le fouet sont mes meilleurs amis. Et les amis de ma soumise.
Ha, les bons comptes font les bons amis! Allez-vous parfois dans des donjons ou événements BDSM publics?
Rarement. Quand je sors, c’est pour répondre généralement à un canevas de scénario. Je dis ça en souriant parce que j’aime beaucoup l’improvisation mixte ayant pour titre « C’est dans quelques heures que… »
Je sors peu parce que j’ai ce besoin d’entendre ma soumise lorsque je suis en interaction avec elle, et vice-versa. Dans un lieu où la musique est forte et/ou rempli de monde, c’est plutôt difficile. Et puis surtout, je ne sors jamais pour faire du social. N’étant pas latex, ni cuir, etc., je n’ai pas ce besoin de sortir pour vivre mon BDSM.
Avez-vous déjà fabriqué des articles BDSM?
Non… à part de transformer mes tuteurs de bambou du jardin en cannes vibrantes et chaudes…
Bambou!
Autres activités en ligneAvez-vous aussi un groupe dans FetLife?
J’anime le groupe cercle O depuis 2009 et modère le groupe BDSM Montréal français depuis 2016. Depuis quelques semaines, j’ai pris les rênes du groupe Coin lecture BDSM qui a besoin d’amour et d’eau fraîche.
Avez-vous un site web, page de profil ou autre pour vous rejoindre ou vous lire?
Le meilleur moyen de me lire demeure cercle O. J’y concentre l’essentiel de mes activités. De là, je fais des liens vers mes autres présences ici et là dans les internets. Pour me joindre, mon profil Fetlife fait aussi la job.
Et bien, c’est ce qui conclut cet entretien. Merci, Monsieur Valmont, de nous avoir fait découvrir un peu plus sur vous et cercle O. Ce fut un honneur de vous avoir en entrevue! Au plaisir de vous revoir un jour.
Je vous en prie. À bientôt.
Voilà ce qui conclut cet entretien avec un blogueur BDSM. J’aimerais spécialement remercier Monsieur Valmont pour sa collaboration. Nous avons pu en découvrir un peu plus sur lui, ses services de mentorat ainsi que cercle O, un blogue fort intéressant dans lequel j’ai plongé dès mes débuts dans ce milieu!
© Yan Voodoo & Monsieur Valmont
L’article Interview avec un blogueur BDSM est publié dans le site cercle O - L'échange de pouvoir érotique.
Cheres lectrices, peut-être connaissez-vous ce phénomène, des mecs qui vous draguent en hiver et qui vous larguent dès que les beaux jours reviennent. J’ai (mal) vécu cela l’an dernier et j’hésite à tenter une aventure, notamment cet hiver. J’ai appris que ce syndrome avait un nom, le “cuffing”. Moi, perso, j’appelle plus ça des enfoirés. Est-ce que l’on peut vraiment croire en ces excuses, sous prétexte que l’on en fait un phénomène ?
C’est effectivement devenu un véritable phénomène de société, à tel point que certains expliquerait le boom des natalités en septembre par cette tendance ou les célibataires cherche une partenaire affectif ou sexuel pour faire face aux longs mois d’hiver qui, par définition, ne dure qu’un temps. Le cuffing serait une réalité, comme le suggéreraient des études sur les site de rencontres, on observerait une hausse de 30% de visite sur les applications de dating entre novembre février.
Malheureusement, vous en avez fait les frais l’hiver dernier. Mais il existe dans les deux sens, à savoir qu’il y a aussi les filles qui recherchent un compagnon de lit, de couette, de télé etc. pour le virer à l’arriver des beaux jours de printemps. Tout est basé sur le non-engagement, l’absence de pérennité des relations, la possibilité de retrouver sa liberté dès que l’envie s’en fait sentir, même si l’on couche ensemble...Lire la suite sur Union
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Ce texte comprend des descriptions explicites de violences sexuelles sur enfants.
- Tu aimes ce chanteur ?
- Non
- Pourquoi donc ?
- Parce que quand j'étais petit, mon père m'a dit que ce chanteur aimait les petits garçons.
"Aimer les petits garçons."
C'est ainsi que ma réflexion a commencé au détour de cette conversation anodine.
Vous qui me lisez, je sais que vous comprenez tous et toutes, cette périphrase. Vous savez qu'on ne parle pas de quelqu'un qui aime la compagnie des enfants pour jouer avec eux. Vous savez qu'on ne dira jamais d'un homme qui aime passer du temps avec les enfants qu'il "aime les petits garçons".
Alors on va évidemment tous mettre un sens différent derrière cette expression. Est-ce qu'on soupçonne qu'il pourrait violer des enfants ? Est ce qu'il le fait régulièrement ? (et si on le sait tous, pourquoi ne se passe-t-il rien contre lui ?) Est ce qu'il les agresse sexuellement ? ("tripoter les enfants" est encore un autre euphémisme couramment employé)
Nous sommes nombreux à avoir été prévenus contre ces hommes qui "aiment un peu trop les enfants". Ils les "tripotent", il faut "faire attention".
Mais on ne nous a jamais dit à quoi il faut faire attention. On ne nous dit jamais ce que veut dire "aimer trop les enfants".
On me rétorquera qu'on va pas pas être explicite à un gamin et qu'on ne va pas lui expliquer que le monsieur Bizarre rêve de lui mettre son pénis dans la bouche.
Bien évidemment. Pourtant nous ne minorons pas les dangers que peut vivre un gamin.
"regarde avant de traverser sinon tu vas te faire écraser" (le mot écraser est sans aucune équivoque)
"ne joue pas avec les allumettes, tu vas te brûler"
"ne mets pas tes mains sur la porte tu risques de te faire pincer très fort" (autocollant dans le métro parisien, qui certes euphémise la blessure possible mais reste quand même très clair).
Il y aurait sans doute mille et une façons de prévenir les enfants des dangers des criminels sexuels, même si je considère en soi comme problématique de confier à un enfant sa propre sécurité sexuelle, parce que cela signifie que nous abandonnons aux enfants le soin de prendre soin d'eux, et pire qu'il suffirait qu'un enfant dise non à un violeur pour que celui-ci cesse immédiatement.
Et pour prévenir les enfants face aux criminels sexuels, nous avons choisi de leur dire que ces derniers "aiment les enfants".
Quelle curieuse idée.
Alors évidemment c'est en droite ligne de ce qu'on peut lire de certains criminels sexuels adultes ; "DSK l'homme qui aimait trop les femmes", "DSK séducteur jusqu'à l'inconscience". Mais il y a une forme de logique ; lorsqu'on ne comprend rien aux violences sexuelles - ou qu'on cherche à dédouaner un violeur - on va chercher à faire croire que tout cela n'est qu'un gigantesque malentendu et que là où on croit qu'il y a violences, il y a simplement un homme trop impétueux.
Mais cette possibilité n'existe pas avec un violeur d'enfants ; il n'existe pas de contexte où un adulte peut avoir des relations sexuelles consenties avec un enfant ; il n'existe qu'un contexte de viol et peu importe que l'agresseur soit ou non physiquement violent. Et qui plus est les personnes qui définissent les violeurs d'enfants comme des hommes aimant trop les enfants, ne cherchent pas à les dédouaner par cette expression.
Comment en ce cas peut-on résumer le violences sexuelles sur enfants, au fait de "les aimer" ou "trop les aimer".
Je me souviens d'une autre conversation avec quelqu'un qui était ami avec un pédocriminel condamné. Comme je n'arrivais pas à comprendre, j'ai fini par lui dire : "oui enfin le fait est que tu es ami avec quelqu'un qui a branlé des gamins de 9 ans".
J'ai vu - et cela n'était pas une interprétation de ma part - que la question ne s'était jamais posée en ces termes pour lui. Qu'il n'avait pas vraiment conceptualisé ce que veut dire que d'agresser sexuellement des enfants. Nous sommes capables de conceptualiser un meurtre, un viol d'adultes sans doute, mais la majorité d'entre nous (tout au moins celles et ceux qui ne l'ont pas vécu) ne voulons pas imaginer ce que fait un violeur ou un agresseur d'enfant.
Le tabou est si fort dans notre société que nous n'arrivons même pas à en parler simplement. Je ne suis pas la seule à l'avoir remarqué ; lorsque je suis confrontée dans ma pratique professionnelle (je suis modératrice de contenus sur Internet) à de la pédocriminalité et que je souhaite en parler, par exemple pour me soulager un peu, les gens me disent de m'arrêter. Cette réaction sera différente si je parle de morts par exemple, ils n'hésiteront souvent pas à me demander des détails sordides.
Je ne suis évidemment pas en train de dire qu'on devrait tous se mettre à imaginer ce qu'est un viol d'enfants. Mais comment peut-on sereinement réfléchir sur le sujet si nous sommes dans l'incapacité d'y penser, que la simple évocation du terme "pédophilie" provoque chez tout le monde (y compris les personnes qui n'en ont pas été victimes) de l'angoisse et de la colère incontrôlable.
J'ai été frappée ces dernières semaines par la prise de parole de Castex (dans l'émission de télé C'est à vous) et de Macron (dans un twit). Tous deux étaient incapable de parler de viol ou d'inceste alors que c'était le sujet.
Dans le cas de Macron, son discours a été abondamment préparé et validé par plusieurs dizaines de personnes, c'est donc encore plus surprenant. Ils ont usé de périphrases, de circonvolutions mais les termes n'ont pas été dits.
J'ai constaté la même chose dans l'article de Ariane Chemin. Voici comment sont décrits les viols : "Dans une famille d’intellectuels parisiens, un garçon de 13 ans voit son beau-père, universitaire de renom, s’inviter le soir dans sa chambre."
Il faut attendre un bon moment dans l'article pour que le mot "fellation" soit prononcée alors qu'il s'agit pourtant (et les journalistes ne cessent, face à nous féministes, de dire qu'ils veulent des "faits" et pas du "militantisme") uniquement de décrire des faits, chose que Camille Kouchner a fait dans son livre. Qu'est ce qui bloque au point qu'on ne puisse simplement décrire un viol ? (ce qui a un intérêt autre que descriptif, des personnes ayant subi des actes similaires peuvent ainsi comprendre que ce sont des faits de viol par exemple).
Je m'étais élevée, l'an denier, contre la publication des extraits des écrits de Matzneff. J'avais plusieurs raison à cela :
- de pas accorder foi au récit d'un pédocriminel ; Matzneff fait une construction littéraire de ce qu'il a fait. Ce n'est pas une déposition de police ; c'est une œuvre littéraire avec des reconstructions, des oublis, des figures de style.
- de ne pas donner un rôle central à Matzneff qui jouit, sans nul doute qu'on lui apporte autant d'attention. C'est quand même une drôle de vision de la société de croire les victimes seulement après avoir lu la mauvaise prose de l'auteur.
- le récit brut de viols d'enfants, dans une ambiance sur-échauffée, ne permet pas de réfléchir sereinement à la lutte contre la pédocriminalité. On sait même que cela peut avoir un effet contreproductif ; les gens sont tellement horrifiés qu'ils sont se boucher yeux et oreilles parce que cela leur est insupportable.
Mais c'est bien autre chose lorsque des medias, des politiques, nous tous et toutes devons parler de violences sexuelles.
Il ne s'agit pas de tomber dans le récit sordide et voyeuriste de violences sexuelles.
Mais il s'agit de les nommer.
Comme pouvons nous faire confiance à des politiques qui nous disent qu'ils vont mener une lutte sans relâche contre les criminels sexuels alors que le mot "viol" semble les effrayer ?
Comment croire les media qui nous disent faire attention à leur vocabulaire alors que le récit de violences sexuelles est toujours la démonstration qu'ils maitrisent toutes les figures de style existantes mais sont incapables de faire un simple récit factuel ?
Selon l'excellent terme d'une amie, il faut cesser de démoniser les violeurs d'enfants et le viol d'enfant. Les violeurs d'enfants sont, selon toutes les études qui leur sont consacrées, des hommes lambda, bien insérés, sans pathologie mentale particulière. Ils appartiennent à toutes les classes sociales, religions, origines géographiques. Leur seul point commun est d'être extraordinairement majoritairement des hommes.
Nous ne pourrons parler d'eux et des crimes qu'ils commettent si nous continuons à les voir comme des "monstres", des démons", des "diables".
L'immense difficulté est d'arriver à faire comprendre qu'on peut commettre des crimes jugés comme monstrueux (même si j'ai la plus grande réticence à employer ce terme qui me semble engluer la victime dans une toile) sans être un monstre.
J'ai tristement constaté ces jours derniers à travers les réseaux sociaux, que le tabou de la pédocriminalité est si grand, qu'en parler véritablement provoque une horreur si grande qu'elle va ensuite légitimer des idées fascistes (comme par exemple l'idée de faire placarder a tête du violeur partout, ou de faire de tout violeur présumé, un coupable qui devrait prouver son innocence au mépris du droit le plus élémentaire).
Ce n'est pas la première fois que nous le constatons : lorsque des crimes sur enfants sont particulièrement médiatisés - et que pour des raisons pas toujours logiques (pourquoi tel viol plutôt que tel autre qui ne suscite qu'indifférence) la population s'y intéresse massivement, la réaction est toujours la même ; demander plus de prison, moins de droits. L'horreur du criminel sexuel est telle que nous sommes massivement prêts à sacrifier nos libertés pour lutter contre lui (ce qui est doublement stupide car si on pouvait lutter contre le viol par l'unique sanction judiciaire, ca se saurait depuis longtemps). Je tiens à ce sujet à rappeler l'hystérie absolue qu'a connue la Belgique après l'affaire Dutroux qui n'a entrainé aucune amélioration concrète en matière de lutte contre la pédocriminalité.
La lutte contre les violences sexuelles, en particulier contre les enfants, mérite mieux que des décisions hâtivement prises. Les politiques doivent, s'ils ont réellement l'intention de mettre en place des mesures (et non pas d'empiler des lois inapplicables, qui ne coûtent pas un rond) en parler sereinement, sans tabou.
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L’injonction à la jeunesse, la dictature du zéro poils, l’obsession phallique ou encore le stéréotype de la meuf bie super chaude, font partie des diktats de la sexualité déconstruits par la websérie féministe Libres ! . 10 courts épisodes sous forme de films d’animation, diffusés gratuitement sur Arte, réalisés par Ovidie et Josselin Ronse, avec […]
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Une tonne de travail sur les bras mais impossible de rester concentrée… La procrastination tu connais, et moi aussi. Mollesse, nonchalance, flemmardise ? Y’a peut-être un peu de tout ça. Mon cerveau fume à plein tube devant mes écrans mais mon esprit est ailleurs, accroché sur son nuage de souvenirs affables et fougueux. Je prends une pause. C’est encore à ça que je pense. Je laisse tomber cet épisode d’Euphoria pour ma playlist porn bien rodée. Je ne veux pas vous pousser au vice mais… si vous vous ennuyez ou si comme moi vous aimez les belles choses, alors regardez un peu plus bas.
Je vous emmène vers d’autres horizons avec « À Corps » de Yoann Stehr. Profusément nominé, c’est au San Fransisco Porn Film Festival que j’ai découvert cet ovni de la scène porn. Menaçante par sa bande-son, édulcorée par la surabondance d’images au contenu kitsch et luxueux, envoûtante par ses flashs pornographiques qui résonnent comme des inadvertances, autant de de qualités qui font de cette vidéo l’une des meilleures productions porno de ces dernières années.
J’ajoute un peu de piment à vos tristes réveils en solitaire. À travers sa « Boyfriend Experience », James aka Le James nous fait rêver d’un lever de soleil en sa compagnie, dans sa cabine en bois perdue dans en pleine forêt. Son corps nu, sa peau dorée, sa bouche qui semble nous murmurer le plus doux comme le plus dangereux. Le tout dans un format soigné et au contenu léché. Dépensez vos euros de la meilleure manière et abonnez-vous à son OnlyFans. Parole d’une convaincue.
J’enchaîne avec la Rolls Royce des performeurs porno. Comment le décrire pour ceux qui ne le connaissent pas encore… En trois mots je dirai définitivement : fougue, intensité, bestialité. Owen Gray c’est pas juste un mec tatoué et bien membré. Il est à l’écoute de ses partenaires, dévoué, expressif, et sait trouver le juste milieu entre violence et délicatesse : c’est le plan cul dont on rêve tous.tes. La preuve en image avec « Amateur Liz Jordan Passionate Creampie Sex with Owen Gray DEEPLUSH ».
Très bonne découverte sur Lustery avec le couple Kate & Chris. Ils ont un accent tout mignon, sont trèèèès beaux, et ont une conception du sexe que j’affectionne particulièrement. L’important pour eux c’est la communication, l’intimité créée, mais aussi la lenteur… Ils nous prouvent que les « préliminaires » sont une expression désuète et peuvent se suffire à eux-mêmes. Une ode à l’alchimie puissante et au slow sex avec « Above & Beyond ».
Terminons en beauté avec « Might Be Bisexual » d’Adult Time. Excellente révélation pour ma part en la compagnie de Michael DelRay. Il a beau être plutôt bien entouré, je ne vois que lui. Ce que je crains avec les threesome, c’est qu’il y en est toujours un qui reste sur la touche. Mais ce n’est clairement pas le cas ici. L’alchimie est présente, et moi je fonds pour le sourire de Michael…
Image à la une : Le James
Aujourd'hui, des théoriciennes en sciences sociales, des personnes s'identifiant comme trans ou comme non binaires, ainsi que des militants, au motif de reconnaître l'existence des personnes trans et de respecter leurs droits, voudraient que le sens du mot femme soit modifié pour que ce dernier n'ait rien à voir avec le sexe des personnes qu'il sert à désigner.
- Genre, transgenre, transsexualité et féminismeLorsque la grossesse n’arrive pas, le couple a tendance à diminuer la fréquence des rapports sexuels, ce qui est contre-productif.
Les hommes qui ne recherchent pas une grossesse éjaculent en moyenne 3,2 fois par semaine. Le chiffre diminue à 2,6 éjaculations hebdomadaires quand ils ont essayé pendant un an, et il se réduit encore à 1,2 après deux ans d’essai. Le centre international de Procréation Médicalement Assistée, l’Institut Marquès, a mis à la disposition de tous les couples à la recherche d’un enfant la possibilité de participer à un nouvel atelier : des cours de sexe et d’érotisme pour les couples en recherche d’une grossesse.
Ces sessions se déroulent régulièrement en ligne. Elles durent deux heures et sont données par des professionnels de la société de la Sex Academy, experts en sexologie, thérapie sexuelle et de couples. Elles sont ouvertes à tous, il faut y participer en couple et il suffit de s’inscrire sur le site de l’atelier. Massage érotique, jeux et jouets, fantaisies, sexe oral… sont quelques- unes des techniques qui sont travaillées dans ces ateliers.
Leur objectif est de proposer des recettes permettant de se connecter avec le plaisir, même si la grossesse n’arrive pas, et de récupérer le désir et l’excitation sexuelle du couple. Jusqu’à récemment, il était supposé que le fait d’avoir des relations sexuelles dans...Lire la suite sur Union
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Bonjour Docteur, j’ai passé de superbes vacances dans le nord de la France. J’ai notamment rencontré des filles très branchées cul. Problème, elles avaient un souci avec la capote. Et aujourd’hui je suis inquiet, dois-je aller me faire tester, même si elles m’ont juré qu’elles n’avaient rien ?
Une seule réponse : OUI ! Évidemment qu’il faut aller vous faire tester. Vous êtes exactement dans les conditions où l’on peut se retrouver avec une IST (infection sexuellement transmissible). Vous avez eu, en peu de temps, des rapports avec plusieurs partenaires différentes, partenaires dont vous ne saviez rien du parcours personnel.
Par ailleurs, vous les décrivez comme étant branchées cul, ce qui sous-entend personne de grande liberté sexuelle et ayant vraisemblablement plusieurs partenaires. Toutes les conditions sont donc réunies pour que l’une d’elles soit porteuse d’une maladie sexuellement transmissible, même s’il ne s’agit pas obligatoirement de la plus grave, c’est à dire le sida.
Ces filles sont peut-être convaincue de n’avoir contracter aucune maladie mais si elles refusent le préservatif avec vous, il est possible qu’elles le refusent également avec d’autres partenaires, ce qui n’est pas très rassurant, ni très sérieux quant aux risques de maladies.
Par ailleurs, petite piqure de rappel : seul le préservatif protège de la grossesse ET des IST; Pour écarter tout risque, il s’agit d’en utiliser un à chaque rapport (même en cas...Lire la suite sur Union
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Impossible d’être passé à côté de l’information, à moins de vivre dans une grotte. Il y a quelques semaines, Pornhub s’est (enfin) décidé à faire un grand ménage dans les vidéos afin de supprimer toutes celles dont la provenance n’avait pas été vérifiée. Le résultat ? Plus de 8 millions de contenus qui ont sauté, et des milliers de fappeurs et de fappeuses qui ont perdu leurs vidéos préférées. Un mois après cette énorme purge, quelles sont les conséquences pour les habitué·e·s de Pornhub ? Plusieurs adeptes du site ont accepté de se confier à nous.
Faire le ménage sur les tubes. Ce sujet, loin d’être nouveau, est l’une des raisons pour lesquelles le porno a mauvaise réputation. Car si les sites tels que Pornhub sont remplis de vidéos uploadées par leurs auteur·rice·s, tournées dans des conditions éthiques et mettant en scène des personnes consentantes, ces dernières ont longtemps été cannibalisées par des contenus parasites : captures de shows de camgirls et camboys, vidéos intimes publiées sans consentement, films piratés et même quelques vidéos criminelles et pédocriminelles… Bref, plein de choses peu reluisantes qui n’ont rien à faire sur les tubes.
Cette purge a finalement été faite courant décembre, mais pas suite aux nombreuses demandes des travailleurs et travailleuses du sexe. La vraie raison du grand ménage de Mindgeek sur Pornhub, c’est l’article de l’abolitionniste Nick Kristof dans le New York Times, et la décision de VISA et Mastercard d’interdire l’utilisation de leurs cartes sur toutes les plateformes pour adultes du groupe Mindgeek. Un an après la décision de Paypal de faire de même, c’était trop gros pour le site, qui s’est enfin décidé à prendre des mesures.
Toutes mes vidéos préférées ont disparu !
Un fappeur désabusé
Conséquence de ce grand ménage ? Plus de 8 millions de vidéos ont été supprimées, y compris certaines qui avaient été uploadées légalement, mais par des personnes ne faisant pas partie du programme Pornhub Models. Et forcément, parmi ces 8 millions de contenus qui ont sauté, certains étaient très populaires. Résultat, on ne compte plus les fappeurs et les fappeuses du monde entier qui se retrouvent bien dépourvus face à leurs favoris qui ont tout bonnement disparu. C’est notamment le cas d’Alexis, qui confie avoir « perdu plus de 1 000 favoris » à la suite de l’affaire PornHub et dit être « bien dégoûté ». « J’étais principalement à la recherche de contenus 100% français, amateurs, filmés maladroitement. Des vidéos moins professionnelles, plus vraies : pas du contenu pour se faire du revenu, mais avec une envie de s’exhiber. » Ce fappeur reproche à la nouvelle vague des stars PornHub de faire « des vidéos de plus en plus aseptisées, qui se ressemblent niveau mise en scène. On tend vers une normalisation des contenus, et ça ne me plaît guère. »
Lorenzo faisait également partie des collectionneurs de PornHub : « J’ai perdu tout ce qui m’intéressait », regrette-t-il. « Heureusement, étant assez maniaque, j’avais pris le soin de télécharger une partie de ce qui m’intéressait bien avant cela, et je m’en félicite », explique-t-il. Mais s’il regrette d’avoir perdu bon nombre de ses vidéos favorites, le fappeur admet que la purge a eu un effet sur son processus de recherche… Ou presque. « Je ne suis pas encore allé fouiner sur d’autres sites, mais ça ne va pas tarder. Je regarderai et j’essaierai de trouver la source originale de création », affirme-t-il, tout en laissant toutefois entendre qu’il regardera la vidéo dans tous les cas : « Si je n’arrive pas à trouver la source, tant pis, je m’en accommoderai. »
Remettez les vidéos supprimées de Pornhub svp
— witch blades (@McGregoiree) January 17, 2021
Chidi, lui, avoue avoir été « assez choqué » de découvrir que ce grand ménage lui ait fait perdre bon nombre de ses vidéos favorites, mais en revanche, il s’en réjouit : « La plateforme a fait un tri et dégagé tout le contenu problématique, et c’est très bien. En revanche, c’est dommage pour les créateurs et créatrices de contenus qui ont été des victimes collatérales et qui ont perdu leurs vidéos et leurs revenus, je trouve ça navrant. » Lui regrette que les choses n’aient pas été faites avec plus de précision, même s’il a conscience que grâce à la modération, certaines vidéos pourraient faire leur retour dans les semaines à venir.
Une aubaine pour le porno éthique ?Toujours est-il que face à la perte de ses favoris, et grâce à la prise de conscience orchestrée par la vidange des contenus problématiques de PornHub, Chidi a pris une décision : « J’avais déjà réduit ma consommation de porno sur les tubes, mais quand on sait les conditions dans lesquelles certaines ont été tournées, ça ne donne plus envie. Je n’ai pas envie d’aller sur d’autres plateformes où certaines vidéos sont certainement volées. Du coup, avec ma copine, on a décidé de soutenir autrement certaines créatrices et certains créateurs, par exemple en s’abonnant à leurs OnlyFans, pour retrouver facilement leur contenu. »
En effet, face au grand ménage organisé par PornHub, certain·e·s internautes ont eu une vraie prise de conscience : plus question de prendre le risque de fapper sur du contenu qui a potentiellement été uploadé de manière illégale. La solution ? Déserter les tubes, tout simplement. « Sans vouloir diaboliser PornHub et compagnie, car je sais qu’il y a plein de couples qui se font plaisir en se faisant du beurre dessus, j’ai décidé de privilégier de plus petits créateurs », raconte Sophie. « J’ai pris un abonnement à Lustery et à quelques OnlyFans qui sont régulièrement alimentés, et ça suffit largement à ma consommation perso. » Elle n’est pas la seule, puisque Victor a quant à lui décidé de trouver un équilibre entre les tubes et les plateformes payantes : « Sans entrer dans les détails, j’ai un kink particulier qui est encore assez rare sur OnlyFans ou MYM et compagnie. Du coup, je me suis abonné aux comptes qui remplissaient mes critères, mais il m’arrive de me tourner encore vers XNXX ou Xhamster, pour être honnête. »
Les tubes font de la résistanceToutefois l’alternative porno éthique ne séduit pas tout le monde, et c’est notamment le cas d’Alexis. Ce dernier ne s’en cache pas : « Je suis depuis longtemps sur plusieurs plateformes. PornHub était celle que j’utilisais le plus, mais maintenant, je vais plutôt sur Xhamster, Voissa, ou d’autres. » Même discours du côté de Maxime : « L’avantage des tubes, c’est qu’on retrouve beaucoup les mêmes vidéos d’une plateforme à l’autre. Pas mal de vidéos qui ont sauté sur PH sont toujours sur YouPorn ou sur XNXX, alors j’ai reconstitué ma banque de favoris. » Interrogé sur la possibilité d’une mise en ligne illégale de ces contenus, il répond cash : « Je m’en fous que ça soit du revenge porn ou que ça ait été tourné dans de mauvaises conditions, tant que ça me fait bander. Je préfère ne pas y penser. Est-ce que je me voile la face ? Oui, probablement, mais je m’en branle, c’est le cas de le dire. »
« Le seum ! »D’autres rechignent à se tourner vers du contenu payant, comme bon nombre de personnes lorsqu’il s’agit de consommer du porno. C’est le cas de Johanna : « Du porno gratuit, il y en a partout, alors franchement, ça ne donne pas envie de payer. Sans PornHub, mes recherches seront peut-être un peu plus longues, mais je préfère garder ma thune pour m’acheter des choses utiles. » Les travailleurs et travailleuses du sexe apprécieront…
Le confinement a eu de nombreux effets sur la vie sexuelle des Français : essor des applications de dating, explosions des ventes de sextoys, regain de libido, mais aussi augmentation des échanges de sextos : Durant le confinement le distributeur de sex-toys (Lelo) a noté l’importance de la pratique du sexting.
Nos smartphones sont tellement intégrés dans nos vies que nous les utilisons sans même y prêter attention, dans toutes les facettes de nos activités quotidiennes, y compris, bien entendu, les rencontres et le sexe. Lelo recense qu’environ 75% des adultes dans le monde admettent avoir pratiqué le sexting au moins une fois. Et pour cause ! Le sexting serait un excellent moyen d’entretenir le désir, notamment pour les couples à distance, et bosserait la libido. À tel point que désormais, les sextos sont devenus pour les psychologues un indicateur supplémentaire de la façon dont nous envisageons notre vie romantique et sexuelle.
Un incontournable du sexting ? Le nude, qui permet de faire grimper la température d’une conversation érotique et d’imager les mots hot échangés.Devenu un préliminaire à part entière, 60% des personnes adeptes de cette pratique serait pleinement satisfaites de leur vie sexuelle, il serait bénéfique pour la confiance en soi et permettrait de pimenter sa vie sexuelle.
Pourtant, si l’on en croit la Théorie de l’Attachement, les relations entre êtres humains se distinguent en trois catégories principales : la Sécurité, l’Évitement et l’Anxiété/ambivalence. Les individus les plus enclins à initier leurs relations intimes par l’envoi de messages, photos ou vidéos sexuellement explicites par SMS, ont tendance à tomber dans les catégories évitantes ou...Lire la suite sur Union
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« Je m’étais pourtant promis de ne jamais entamer une relation avec un homme pris ou marié, mais… Au début, cela devait se limiter à un plan cul mais, bien vite, au-delà de notre remarquable osmose sexuelle, les sentiments se sont immiscés dans la relation » , confie Magali, pétillante blonde de 27 ans, assistante sociale en région lyonnaise. « Je n’avais jamais connu un amour aussi fort, passionnel. A chacune de nos rencontres, nous étions seuls au monde, plus rien n’existait ! J’ai espéré, pleuré… Enfin, aidée par mes proches, je me suis résolue à couper les ponts, lorsque j’ai compris qu’il ne quitterait jamais sa femme, et encore moins ses enfants. Pourtant, aujourd’hui encore, j’ai la douloureuse impression d’avoir laissé filer l’homme de ma vie ! »
Homme ou femme marié(e), amour de jeunesse, rencontre éclair, corps à corps fusionnel ou romance impossible, les histoires de cœur ou de cul que l’on n’oublie pas sont, par définition, des relations au goût d’inachevé !
« Dans la vie, on n’a qu’un seul grand amour et tous ceux qui précèdent sont des amours de rodage et tous ceux qui suivent sont des amours de rattrapage. » – F. Beigbeder
Si la citation de Frédéric Beigbeder, extraite de ses Mémoires d’un jeune homme dérangé, peut sembler quelque peu extrême, force est de constater qu’en matière de souvenirs impérissables, l’inachevé fait souvent figure de référence,...Lire la suite sur Union
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Deux jeunes hommes d’une vingtaine d’années, ont été flagellé en public ce jeudi 28 janvier à Aceh, la seule province d’Indonésie à appliquer la charia.
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Ma copine et moi faisons partie des couples qui ont bien vécu le confinement. Et même très bien sur le plan sexuel. Nous nous sommes racontés nos fantasmes et nous les avons explorés. Nous baisions facilement deux fois par jour. Alors comme faire l’amour développe des anticorps et favorise la santé, je me demandais si nous n’étions pas immunisés, puisque nous pétons la forme ?
Vous faites donc partie, et c’est tant mieux pour vous, des couples heureux chez qui le confinement a eu des effets bénéfiques et je tiens à vous en féliciter. Vous avez raison de penser qu’une sexualité active et épanouie est un facteur d’équilibre de la santé, à la fois mentale et physique, comme l’ont prouvé plu- sieurs études scientifiques. L’acte sexuel est en effet bon pour la forme et pour la tête, notamment grâce aux endorphines.
En revanche, je tiens à le préciser, et j’insiste fortement sur ce point, vous faites une grave erreur de fond en pensant que faire l’amour fait augmenter la production d’anticorps.
L’amour, et l’orgasme en particulier, stimulent la fabrication et la libération de nombreuses hormones et neuromédiateurs, utiles à la régulation de notre énergie vitale et de notre humeur, avec pour corollaire une action positive sur de nombreux organes. Le sexe peut également agir sur le stress et serait un excellent antalgique, notamment contre les douleurs des migraines ou des menstruation.
Il est...Lire la suite sur Union
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Acheter un bijou pour votre amoureux.se est un geste qui peut parfois prendre du temps et de la réflexion : l’investissement qu’il représente ne doit pas être vain et il ne faudrait pas tomber à côté de ses goûts ! Comment faire pour ne pas se louper et alourdir les tiroirs déjà bien remplis de votre compagne ? Voici un petit guide pour y aller étape par étape :
Intéressez-vous à son style !Choisir un bijou à son partenaire, c’est avant tout trouver un objet qui correspondra à sa personnalité et à ses goûts. Sophistiqué ? Casual ? Coloré ? Sobre ?
Faites un petit tour dans sa garde-robe et notez sur un papier trois grandes lignes directrices qui vous inspirent. Il vous sera alors plus facile de vous faire aider par des vendeurs en leur donnant vos mots. Et il vous sera également plus facile de chercher la perle rare avec vos idées notées de façon explicite.
Si le style est sobre, orientez-vous plutôt vers des métaux (l’or, l’argent, le platine) qui se marient assez bien avec le blanc et le noir. Pour plus de fantaisie, n’hésitez pas à choisir des matières plus osées (le cuir, par exemple) et à vous orienter vers des pierres fines. Pourquoi pas la topaze, par exemple, qui peut être traitée avec une palette de couleur assez diverse, et donc potentiellement, sa couleur préférée !
La taille du bijou, ça joue ?Un objet ou un accessoire va venir renforcer l’allure générale. Si votre partenaire est plutôt menue, choisissez plutôt un bijou fin qui viendra comme un détail sur sa nuque ou sur son lobe d’oreille. Une pièce trop massive pourrait alors écraser la silhouette.
Mais au contraire, si votre partenaire est tout en rondeur alors n’hésitez pas à opter pour un objet plus conséquent, de belles boucles d’oreilles ou un sautoir plus imposant pour qu’il ressorte.
De même si votre partenaire est très...Lire la suite sur Union
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Bonjour. Durant la période de confinement, j’ai découvert les joies des sex-toys et notamment un cadeau de copines dont je ne m’étais encore jamais servie, le canard vibrant. J’ai adoré et maintenant je ne peux plus m’en passer et j’ai envie d’en essayer d’autres. Peut-on devenir addict aux sex-toys ?
On peut devenir addict à tout ! Y compris aux sextoys, c’est sûr. Grâce à vos copines bien intentionnées, vous avez découvert une autre façon de jouir et c’est tant mieux. « Il n’y a pas de mal à se faire du bien » dit le proverbe et vous en êtes déjà convaincue. La masturbation a d’ailleurs de multiples avantages, elle serait anti stress et permettrait de calmer les frustrations.
Je ne vois pas pourquoi vous ne pourriez pas essayer d’autres modèles et trouver ainsi celui (ceux ?) qui vous convient le mieux. Il existe une infinie variété de sextoys. Certains sont même faits de bois, ce matériaux s’impose de plus en plus en matière de jouets érotiques, notamment par ce qu’il serait « safe », respectueux de l’intimité et de l’environnement.
Bien sûr, il serait regrettable que l’utilisation de sextoys vous fasse préférer la masturbation aux relations sexuelles, car, il faut bien le dire, jamais un objet ne pourra remplacer l’échange et la complicité entre partenaires.
De plus, selon une étude américaine réalisée en 2009, il semblerait que lorsque l’utilisation du sextoy est trop intense ou régulière, la sensibilité du clitoris se verrait diminuer (ponctuellement je vous rassure), le corps s’habituant aux sensations de vibrations. Aucune étude empirique, n’a pu cependant démontrer une perte de sensibilité du vagin et du...Lire la suite sur Union
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Le terme de polyamour est né dans les années 90, il vient de polyamory qui trouve ses origines dans les communautés hippies des années 60 à San Francisco. Il qualifie une relation sentimentale, d’amour ou d’affection, avec ou sans rapports sexuels, partagée entre plusieurs partenaires simultanément.
Le credo des “poly” est de vivre ces amours multiples en toute franchise et honnêteté, et qu’ils soient exempts de la notion d’appartenance ou d’exclusivité de type “tu es à moi et à personne d’autre” Cédric, 29 ans, en fait l’expérience au quotidien :
“Ma compagne n’est pas et ne sera jamais ma possession. Si elle flashe sur quelqu’un, elle me le dit et je la soutiens dans son choix (ce qui a d’ailleurs souvent l’effet de désamorcer son fantasme !), précise cet informaticien. Je ne m’autorise pas la jalousie parce que je veux lui permettre d’aimer librement. Et, quand cela se produit, je ne m’en sens pas blessé. Au contraire, je l’aime encore plus fort, pour ce qu’elle est, et non pas pour ce que je voudrais qu’elle soit.”
Les adeptes de ces amours multiples affichent pour la plupart un idéal de tolérance, et même si pour eux, cela ne correspond pas (ou plus) à leur vision de l’amour, ils n’en jugent pas pour autant les couples “classiques”.
S’ils trouvent leur bonheur avec un seul partenaire, tant mieux : “Vivre et laisser vivre…”, telle est aussi leur devise.
Aimer au pluriel, mode d’emploiOn l’aura compris, cette pratique n’est pas évidente pour tout le monde ! Elle implique une totale acceptation entre les partenaires, car il...Lire la suite sur Union
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On y est, c’est la première Saint-Valentin sous pandémie. Pour marquer le coup et faire de ce jour-là un moment inoubliable, voici une sélection de six sextoys en soldes qui vous accompagneront jusqu'à l'ultime déconfinement !
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Plusieurs personnes soupçonnées d’homosexualité, militants et personnalités ayant pris position en faveur des LGBT au Ghana ont été la cible de groupuscules armés, avec pour objectif de « débusquer, capturer, punir et humilier les homosexuels.
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Bloquées et violentées deux fois en tentant de s’approcher de l’attroupement, dans l’après-midi du samedi 9 janvier, elles ont décidé de déposer plainte.
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Cher docteur, j’ai de sérieux problèmes d’acné. Visage et dos notamment. On ne cesse de me répéter que c’est parce que je ne fais pas assez l’amour. Pourtant je ne suis plus puceau. Mes boutons vont-ils vraiment disparaitre, si j’ai des rapports sexuels plus fréquents ?
L’acné se manifeste avec plus ou moins de sévérité lors de la puberté, c’est à dire lors de la phase de production hormonale des glandes sexuelles, que ce soit chez le garçon ou la fille. Chez les garçons l’âge standard de la puberté est plus tardif que celui des filles, ce qui provoque l’apparition d’acné à l’adolescence, entre 14/15 ans et 20/21 ans dans la grande majorité des cas.
Outre les causes hormonales liées à la puberté, le stress produisant du cortisol ainsi que des déséquilibres alimentaires peuvent également être à l’origine d’une poussée d’acné.
Dans le meilleur des cas, seule une partie du visage est touchée par des boutons, mais il est fréquent que cela soit plus étendu, c’est à dire non seulement par de nombreux boutons sur le visage, mais également sur le dos et la zone du cou et du plexus.
Le seul moyen de limiter les manifestations cutanées de la puberté consiste à prendre un traitement spécifique, bien souvent antibiotique, prescrit par un médecin dermatologue.
Si l’acné chez les femmes peut être amélioré par la prise d’un contraceptif hormonal et si certaines études montre que l’acte sexuel aiderait à avoir bonne mine en stimulant la circulation sanguine et préviendrait du vieillissement de la peau les chercheurs s’accordent à dire...Lire la suite sur Union
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La légende du tennis australien Margaret Court s'est dite honorée mardi 26 janvier par sa promotion au sein de l'Ordre d'Australie, une récompense qui a cependant suscité un tollé au sein d'une partie de l'opinion en raison de ses prises de position outrancières sur l'apartheid, l'homosexualité et la transidentité.
La division a été créée en août en toute discrétion au sein de l'Office central de lutte contre les crimes contre l'humanité (OCLCH) : sept enquêteur.trice.s s'y consacrent à temps plein à la lutte contre les crimes de haine, en particulier les actes anti-LGBT+, en très forte augmentation en France.
Je me suis perdue dans le monde d’Onlyfans et je m’en suis sortie presque indemne. Mon cœur a fait quelques bonds à la vue de certaines photos de modèles plus que talentueux·ses. J’y ai vu de la photo soft à l’ambiance esthétique, érotique voire pornographique et quelques vidéos dans les mêmes tons audacieux.
Si vous ne connaissez pas encore Onlyfans, je vous souhaite la bienvenue et vous conseille de bien vous accrocher car vous risquez d’être secoués (dans le bon sens du terme). Il y en a réellement pour tous les goûts. De nombreux nouveaux modèles arrivent chaque jour, mais beaucoup finissent par abandonner car ils se rendent compte d’à quel point cela peut prendre du temps et être compliqué de gérer un rythme de sortie de contenus exclusifs pour donner l’envie de s’abonner (et de rester abonné) à ses idols. Mais voici rien que pour vous ma petite sélection du mois.
RedkattJe commence avec la superbe Redkatt, une jeune-modèle française talentueuse qui s’est lancée sur Onlyfans en mars 2020. Elle se spécialise dans l’érotique soft et élagant, toujours vêtue de lingerie à faire tomber les anges du ciel.
Bonsoir pic.twitter.com/mQA8usNglv
— Eto (@RedKatt__) January 15, 2021
Elle a deux aspects différents, un côté très doux et épuré ce qui la rend presque innocente. Et de l’autre un ton bien plus torride et dark qui la dévoile sous un jour plus diabolique et dominante.
Elle aime jouer avec les lumières et les couleurs, et repousse à chaque création ses limites artistiques. Elle fait partie de ces modèles qui ont crée tout un univers esthétique qui désormais la définissent sur les réseaux sociaux. Que dire de plus mise à part qu’il faut le voir pour le croire.
Comment vous parler d’Onlyfans sans vous présenter Yanakilla qui est une modèle Franco latina, merveilleuse et rayonnante et de plus rigolote. J’adore ce bout de femme qui vous mettra du baume au cœur en ces temps d’hiver froid. Elle vous dévoile sur son Onlyfans des photos softs et hots sans artifices, ainsi que des vidéos solo et duo très très coquines. Son abonnement est souvent en promotion alors n’hésitez pas à y jetez un œil et à en profiter un maximum.
LilithNe serait-ce pas le meilleur jour pour m'offrir un cadeau ?
— 𝕷𝖎𝖑𝖎𝖙𝖍 (@Lilith_show) December 24, 2020
J'ai envie d'être gentille, alors jusqu'au 26, pour chaques tenues offerte via ma wishlist : https://t.co/2usVBLknpr
J'offre non pas une, mais Deux video en cadeau pic.twitter.com/Q88rmYOFiB
S’il y a bien un compte à suivre c’est celui de la mystérieuse et envoûtante Lilith qui vous partage des photos et vidéos parfaitement parfaites. À l’ambiance gothique et érotique, sensuelle et sexy, sauvage et pourtant tendre, Lilith vous fera vibrer bien que cette reine des succubes « fasse dans la dentelle », elle maîtrise avec soin l’art de faire monter la température. Ses tenues choisies avec soin pour votre plaisir (mais surtout pour le sien !), vous laissent apprécier des effeuillages plein de tendresse et de passion. Amateurs de lingerie sexy et de douceur, je vous conseille fortement de vous abonner.
Maitresse CatinLa mystérieuse et dominante Maîtresse Catin adore jongler entre la manipulation et la sensualité, perverse et vicieuse elle se spécialise dans le fétichisme. Attention à vous elle risque de vous croquer sauvagement pour votre plus grand plaisir.
2021 va être chaude comme la braise. Êtes-vous prêts ?
— Maitresse Catin (@MaitresseCatin) December 31, 2020
2021 is gonna be hot as hell. Are you ready? pic.twitter.com/LplR97pMGT
Dans son Onlyfans elle vous propose toutes sortes de créations plus ou moins sauvages et crues. Elle travaille énormément sur la qualité de ses vidéos et photos et cela se ressent.
Asia DrakeOui, vous ne rêvez pas. Asia Drake a désormais un Onlyfans et il s’annonce époustouflant.Si vous ne les connaissez pas encore vous pouvez les découvrir sur Pornhub. Plus que productive, leur chaîne regorge déjà de nombreuses succulentes vidéos.
Should I do more videos like this?https://t.co/F1tubJnUIA pic.twitter.com/nShvmcbbB9
— DarkWetDreemz (@TheAsiaDrake) January 15, 2021
Mais qui sont-ils ? Un couple aimant qui adore se filmer et créer du contenu de qualité, voulant mettre à l’honneur les personnes de couleur noire, si peu mis en avant. Je vous conseille fortement de les suivre, car en plus d’être canons et talentueux ils sont l’un des meilleurs couples porn qui puissent exister.
On savait déjà que l’acte sexuel était bénéfique : bon pour le moral et pour la forme, anti-stress, il améliore la circulation sanguine et le sommeil . Source de bien-être grace aux endorphines qu’il libère, le sexe entretiendrait également la jeunesse et préviendrait même de l’incontinence urinaire.
Et en plus de ces multiples bienfaits déjà connus, voilà qu’une étude d’un médecin chercheur américain (docteur Barry R. Komisaruk, de l’Université Rutgers au New Jersey, auteur de The Science Of Orgasm) démontre que les orgasmes peuvent diminuer la douleur. Le neuro-scientifique, qui étudie l’activité cérébrale durant le sexe et l’orgasme, aurait fait une découverte fortuite : la stimulation vaginale chez les souris de laboratoire bloquerait la douleur. Cette trouvaille l’a ainsi conduit à poursuivre ses recherches et à voir si ses observations s’appliquent également aux être humains et en particulier aux femmes et à en chercher les explications nerveuses.
Il constate notamment que la stimulation vaginale peut bloquer les douleurs chroniques de dos. Il évoque également la diminution des douleurs menstruelles diminuées grâce à la masturbation. Il étend même ce pouvoir antalgique à l’arthrite et aux fameux maux de tête… Des constats confirmés par le docteur Jennie Campbell Leslie, qui affirme que les contractions musculaires provoquées lorsque les femmes atteignent l’orgasme peuvent soulager la tension des muscles de l’utérus, principales responsables des crampes menstruelles.
Le neurologue Stefen Evers avaient également démontré l’effet antalgique du sexe, notamment du fait des endorphines qui agiraient comme un anti-douleur naturel. À la suite d’un sondage, le chercheur...Lire la suite sur Union
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Stop Homophobie et l’ONG ivoirienne Alternative Côte d’Ivoire ont signé un contrat de
partenariat pour développer la lutte contre les LGBTphobies en Côte d’Ivoire.
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Revenant sur une décision controversée de Donald Trump, le nouveau président américain Joe Biden a de nouveau autorisé ce lundi les personnes transgenres à servir dans l'armée.
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Ancien député et sénateur, il avait également été rapporteur du projet de loi sur le mariage pour tou.te.s sous François Hollande.
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Et d’aventure en aventure… Les français sont de plus en plus volages. D’après une étude Ifop diligentée par le site de rencontres extra-conjugales Gleeden, 43% d’entre eux ont déjà été infidèles. Ils étaient 19% à l’admettre en 1970 et 30% en 2001. L’autre grande tendance, c’est que les femmes succombent presque autant que ces messieurs. Un homme sur deux confesse avoir déjà donné un coup de canif au contrat. Et une femme sur trois quand, dans les années 1970, elles n’étaient que 10%. L’infidélité est partout. Jusqu’aux alcôves de l’Élysée… Preuve de la fascination qu’exerce l’adultère, Merci pour ce moment, le pamphlet vengeur de Valérie Trierweiler, caracole en tête des ventes.
L’infidélité d’ailleurs, où commence-t-elle ? D’après ce même sondage publié en janvier dernier, elle débute… dans les fantasmes ! 18 % des Français considèrent que rêver relève de l’infidélité. Un simple jeu de séduction est condamné par 45% des sondés, un échange de messages coquins par 57% et un baiser par 62%. Est-ce que sucer, c’est tromper ? La réponse est « oui », pour 82% d’entre eux. À peine moins qu’un rapport sexuel, adultère caractérisé pour 85% des personnes interrogées. Faites ce que je dis, pas ce que je fais (en sorte), car s’ils sont nombreux à avouer des entorses, 68% des Français estiment qu’on peut rester fidèle toute sa vie à la même personne.
Quand l’infidélité blesseBénédicte, en couple avec Sabine durant trois ans, en a vu de toutes les couleurs. « Elle chauffait mon meilleur ami, embrassait d’autres femmes devant moi, elle s’est...Lire la suite sur Union Cet article La fidélité existe-t-elle encore ? est apparu en premier sur Union.
S’il n’a pas d’odeur, l’argent peut pourtant sentir salement le conflit dans un couple. Ce serait même, après l’infidélité, la deuxième cause de rupture amoureuse ! Alors, mieux vaut étaler ses petites coupures sur la table et régler ses comptes, avant qu’il ne soit trop tard. Quels « enjeux » se cachent derrière l’argent ? […]
Cet article L’argent : source de conflits dans le couple ? est apparu en premier sur Desculottées.
Le « paradoxe » est que « ce qui m'a détruit » est « aussi un élément de ma construction » : Nicolas Martin, journaliste à France Culture, a franchi le pas vendredi 22 janvier avec des milliers d'anonymes autour de #MeTooGay, pour briser le silence sur les violences sexuelles dont il a été victime enfant.
Bonjour docteur. Depuis un moment ma femme insiste pour que je lui mette une bonne fessée avant d’aller se coucher. Au début nous faisions l’amour dans la foulée, mais de plus en plus elle se contente de cette fessée avant de s’endormir. Elle me dit que ça la calme et qu’elle dort mieux. Existe-t-il une explication technique ou chimique à ce qu’elle me dit ?
Non, il n’y a aucun lien direct d’ordre technique ou chimique dans le fait de mieux dormir après une fessée. Autant oublier cette explication qui ne saurait expliquer pourquoi votre épouse y trouve son bonheur.
En revanche, il est plus que probable que la cause en soit d’origine psychologique. Pour des raisons que seule la personne concernée pourrait identifier le fait de recevoir une fessée peut activer, ou désactiver, un certain nombre de circuits au niveau des aires cérébrales. Si la fessée est un fantasme érotique connu, elle reste marginale en tant que pratique sexuelle fréquente, bien qu’en 2020, 24% des femmes auraient...Lire la suite sur Union
Cet article Une fessée avant de dormir ? est apparu en premier sur Union.
Bonjour docteur. Même s’il me jure le contraire, je sais que mon mec entretient des relations virtuelles avec d’autres femmes. Il ne veut pas le reconnaître, car il sait que pour moi, cela signifie me tromper. Comment le pousser à me l’avouer ?
Cette question est devenue une source répétitive de tensions conjugales. En effet, non seulement il est devenu incroyablement facile d’aller traîner sur des sites pornographiques via Internet, mais il y a maintenant toute une offre de pseudo rencontres via des chats audio ou vidéo.
Les sites de rencontre et applications de dating notamment, connaissent un réel engouement de la part des français, beaucoup reposent sur le modèle du « match », ce qui facilitent la prise de contact. Certains sont meme spécialisés, tels que les sites de rencontre libertins par exemple.
Apparemment votre compagnon n’a pas pu résister à satisfaire ainsi certains de ses désirs…Cela soulève, vous avez raison, la question de savoir s’il s’agit d’infidélité ou pas. Je suis certaine que pour votre ami cela n’a rien à voir avec le fait de vous tromper puisqu’il n’a pas de relations physiques avec d’autres femmes. Pour lui, cela correspond sans doute à un besoin d’entretenir ses fantasmes et non à de l’infidélité et, de ce fait, il a sans doute du mal à comprendre votre réaction.
Pour certaines personnes, dont vous faites partie, la relation avec le partenaire suffit à satisfaire leurs désirs et Lire la suite sur Union
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Jour de pluie, jour d’ennui… Un dimanche qui pourrait s’annoncer douloureux et interminable. C’est pourtant le moment parfait pour continuer cette partie de Baldur’s Gate que j’ai laissé de côté depuis des mois, faire du tri dans ma penderie, rempoter mes Calathea, ou lire cette pile de bouquins qui prend la poussière sur ma table de chevet. Tout ça ou bien me faire une culture ciné en béton. La dernière série en vogue sur Netflix, un Jacques Demy, « La Revanche d’une Blonde » et sa suite décevante, tout y passe ! Et qui dit cinéma dit aussi porno. Voici mes petites trouvailles de la semaine mais évidemment, la liste est non-exhaustive !
Je commence avec du lourd, du très lourd… Vex Ashley n’a pas chômé durant cette pandémie, et ce pour notre plus grand plaisir. Au menu du jour un reenactment, beau clin d’œil au travail de David Cronenberg avec « Crash ». On retrouve la même ambiance morbide, le goût du métal et de la chair dans la bouche, du sexe rocambolesque et intense, mais à la sauce de Four Chambers comme toujours. Un chef d’œuvre en la compagnie de Crow & Velvet mais pas besoin de vous en dire plus…
Des sex-tape amateurs de sexe en public, on en a vu à gogo. Mais je dois vous avouer que celle de Hungry Kitty sort du lot par son inventivité. Je m’explique : au lieu du classique couple qui se cache derrière le rideau pour faire leur petite affaire, on retrouve ici tout un stratagème savamment conçu. La vendeuse aide le client à choisir et enfiler son pull, un petit rappel des promotions en cours pendant qu’elle dégrafe son pantalon et hop ça y’est que ça part en vrille ! Une raison supplémentaire pour demander la ré-ouverture des cabines d’essayage de nos boutiques préférées…
« No consent, no fairytale » telle est la devise de « Sleeping Beauty » le dernier film de Charlie Benedetti (XConfessions). La puissance du fond qui se marrie avec la magnificence de la forme, une merveille ! Les superbes Holycouple nous transportent loin, très loin dans ce conte de fée surréaliste. Des costumes plutôt atypiques, colorés et genderqueer, la fameuse voix-off conteuse, le format vignette, et une belle au bois dormant moins passive que dans mes souvenirs : un conte de fée autant moderne que sexy !
C’est vrai que les MILF c’est pas ce qui manque sur les tubes, mais si c’est votre came vous devez sûrement connaître Cory Chase. Si ce n’est pas le cas, je vous la recommande chaudement… Et en voici la preuve avec « Step-Mom Craves Young Cock » à voir sur Adult Time où elle est accompagnée du jeune et charmant Johnny The Kid. La pince croco dans les cheveux, le kimono de soie, la montre de daronne en or, et les lunettes de secrétaire : la panoplie parfaite de la maman sexy aux aguets pour éduquer sexuellement les jeunes premiers sur son passage.
Je vous avais confié mon amour pour la chaîne BiGuysFuck, mais vous ai-je déjà parlé de BiEmpire ? Il y a trop peu de représentations de threesome FMM dans le porno mainstream, ce qui est une excellente raison pour partager « Two Bi College Boys Share Eachother with Coed ». Faites comme les protagonistes et laissez tomber votre cours de guitare ou tout autre instrument, sauf celui qui se trouve dans vos sous-vêtements bien-sûr, et laissez-vous tenter…
Image à la une : Holycouple
Je me prénomme Sandrine, j’ai 42 ans, je suis une femme brune et pulpeuse, ayant comme amant le fils de ma meilleure amie. Il a 22 ans. Notre aventure dure depuis un moment, et je viens vous faire partager encore une fois dans cette histoire de sexe un des instants intenses que nous passons ensemble. La mère de Yannis partie au ski, cela nous laissait le champ libre pour profiter de toutes les pièces de la maison sans aucun risque de nous faire surprendre (même si ça ajoute du piment à la situation). Je l’ai donc rejoint pour un week-end de baise torride.
La porte à peine passée, il a commencé par me plaquer contre celle-ci pour ouvrir les boutons de ma robe. Dessous, je portais la lingerie en dentelle noire qu’il m’avait offerte pour la Saint Valentin. Le balconnet mettait mes seins en valeur et le tanga faisait ressortir mes fesses rondes. Il m’a retiré ma robe pour m’observer en me faisant tourner sur moi-même. Mes escarpins et mes bas complétaient bien l’ensemble et, à son sifflement admirateur, j’ai compris que je lui plaisais bien. J’avais imaginé qu’il me baiserait sans attendre, mais ma surprise a été grande quand il m’a pris la main pour m’emmener dans la salle à manger. Un plateau de sushis était posé sur la table. Je n’avais pas très faim, à part faim de sexe…
Plutôt que de m’asseoir sur une chaise, il m’a fait me placer sur ses genoux et a décidé de me donner à manger à l’aide des baguettes qu’il maniait à la perfection. À peine le temps de finir ma bouchée qu’il me faisait lever et allonger sur la table. Mon appétit s’est éveillé quand il a déposé trois sushis sur mon corps en partant de mes seins à mon nombril. Yannis rigolait en me disant de ne pas bouger, j’avais...Lire la suite sur Union
Cet article Dans la chambre de maman… est apparu en premier sur Union.
Depuis maintenant 2 jours, après le #MeToo et le #MeTooInceste, est apparu sur Twitter le #MeTooGay. Libération de la parole des violences sexuelles y compris au sein de la communauté LGBT+ : fruit d’une société patriarcale & LGBTphobe. Décryptage.
L’article Le #MeTooGay : enfin la parole se libère aussi chez les LGBT+ est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Chers lecteurs, cher docteur. Je mène une vie sexuelle épanouie avec ma compagne et pourtant depuis quelques temps j’ai un fantasme tout à fait nouveau. Je rêve, au sens propre, de prendre ma compagne en extérieur. Porte cochère, bois, champ… Tout y passe.
Je n’ai encore rien dit à personne et j’hésite. Pensez-vous que la période de confinement soit à l’origine de ces envies d’évasion ?
Évidemment ! Vous avez parfaitement raison, c’est un aspect du confinement auquel je n’avais pas pensé, mais il est évident que nous ne sommes pas habitués à ne pas pouvoir sortir à notre guise et, qu’avoir à -rester enfermés chez soi a forcément des conséquences sur notre comportement.
Vos nouveaux fantasmes expriment très bien à quel point vous avez envie d’être dehors et de pouvoir profiter à la fois de liberté (agir sans contrainte) et de la nature qui nous est presque complètement interdite ces temps-ci.
Vous n’êtes d’ailleurs certainement pas le seul, ce fantasme est partagé par une majorité de français. Selon un sondage de Lelo, 68% des français auraient déjà fait l’amour sur une plage !
Je me permet également de vous rappeler que l’amour en extérieur est considérée comme de l’exhibition sexuelle et est passible de 15 000 euros d’amendes et 1 an d’emprisonnement alors faites tout de même attention.
Quant à en parler à votre compagne, je pense que vous devriez tenter de le faire, à moins bien sûr qu’elle ne soit extrêmement pudique. Vous pouvez le lui présenter sous cet angle, celui des répercussions inattendues du confinement, en lui disant que vous ressentez un...Lire la suite sur Union
Cet article Je rêve de faire l’amour en extérieur, est-ce dû au confinement ? est apparu en premier sur Union.
Vous êtes un couple à distance durant la crise du Covid-19 et vous aimeriez un coup de pouce pour vous retrouver ? We-Vibe, fabricant de sextoys connectés pour couples, lance l’opération “Reunite Fee”, une aide d’une valeur totale de 20 000 € pour acheter un billet d’avion ou de train, des frais d’hébergement ou autres […]
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« Docteur. Je sais que je vis actuellement ma période de ménopause. Mes amies et mon médecin traitant, m’ont tous dit que j’allais connaître une baisse de libido, ce qui n’est pas le cas. Mon médecin traitant ce serait-il trompé avec son diagnostic de ménopause ? »
Ma libido n’a pas diminué avec la ménopause, est-ce normal ? Notre sexologue répond :Votre médecin traitant ne s’est sûrement pas trompé de diagnostic en vous parlant de ménopause. Il en connaît parfaitement les signes cliniques et biologiques, qui sont tout à fait définis et analysables, et n’y a pas d’erreur possible.
En revanche, comme dans tout ce qui concerne la santé, il y a des variantes d’une personne à l’autre. Vous l’avez sûrement déjà remarqué, il est très rare, au cours d’une maladie ou d’une simple phase de développement physiologique, que les signes soient parfaitement similaires d’un individu à l’autre. Si nous prenons la puberté comme exemple, on considère que la survenue d’acné du visage en fait souvent partie, mais vous connaissez comme moi des jeunes qui n’en ont pas souffert, d’autres qui en ont eu très peu et d’autres enfin qui ont été défigurés pendant de longs mois, voire des années.
Il en est de même pour la baisse de libido à la ménopause. C’est une manifestation fréquente, on peut même dire très...Lire la suite sur Union
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Cette lectrice aimait bien coucher avec des étrangers... Jusqu'à ce qu'elle réalise les conséquences géopolitiques de ses actes.
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L’univers de la sexualité ne cesse de se réinventer et de proposer des nouveautés, avec de nouvelles tendances annoncées pour 2021. Dans ce fleurissement de nouveautés sextech, le magazine Union.fr qui parle ouvertement de sexualité depuis 1972, lance le nouveau média Sexe-en-France, présenté comme une référence sur la sexualité des Français à l’échelle nationale, à […]
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L’aréole est une zone érogène particulièrement développée, tant chez les hommes que chez les femmes. Et si certains sont plus sensibles que d’autres, la pose d’un piercing sur les tétons augment généralement la sensation de plaisir. Cette tendance, plutôt sexy, semble d’ailleurs toujours avoir le vent en poupe!
Sur les tétons, comme partout ailleurs, le piercing doit respecter les règles de l’art. L’excitation est tant physique que visuelle, par exemple sous un t-shirt moulant. Mais, il faut demeurer attentif car les risques d’infection restent présents. Alors que d’autres zones couramment percées, comme les oreilles, sont denses en tissus et guérissent assez rapidement, le téton est délicat, car il est reliée à des canaux et vaisseaux sanguins sensibles son temps de cicatrisation peut ainsi être long.. il faut être patient.
À ne pas faire pour un piercing des tétons réussiSi vous remarquez des signes ou des symptômes (douleurs, grosseurs…) au niveau d’un piercing au téton, ne pincez surtout pas, ne percez ou ne coupez pas la zone vous-meme pour tenter de drainer une infection. Lavez-vous les mains, puis nettoyez et séchez délicatement la zone autour de votre piercing. Utilisez des savons formulés pour les peaux sensibles, car ils sont moins susceptibles d’irriter la zone affectée.
Évitez d’utiliser de l’alcool, des savons détergents ou nettoyants bruts et, d’une manière générale, des crèmes. Ces produits peuvent piéger les bactéries dans le piercing et sous...Lire la suite sur Union
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« Cher lecteur, cher docteur, voici ce qui m’arrive : Je suis tombé amoureux d’une collègue de travail. Je sais qu’elle est lesbienne, elle me l’a dit. Mais je n’arrive pas à m’en détacher. C’est avec elle que je veux faire l’amour. Elle me rend fou. J’espère qu’elle va finir par comprendre tout ce que je ressens pour elle et qu’elle me donnera ma chance… Pensez-vous que j’ai raison d’insister ? »
Je suis amoureux d’une lesbienne, que faire ? Notre sexologue répond :Pour atteindre un objectif difficile, il est fréquent, voire systématique, d’avoir à s’acharner en conséquence. Je ne peux donc pas faire autrement que vous féliciter de votre acharnement à obtenir ce dont vous rêvez. Si on observerait une fluidité sexuelle plus importantes chez les femmes, il me faut tout de même vous mettre en garde et vous rappeler que le résultat n’est pas assuré. Contrairement à la bisexualité ou à l‘hétéro-flexibilité, il peut en effet, s’avérer difficile, si ce n’est impossible, de faire basculer une personne homosexuelle vers l’hétérosexualité même en faisant de son mieux.
Sauf en cas de fluidité sexuelle, l’identité sexuelle reste relativement figée. De plus, meme si un individu peut modifier son comportement sexuel, ici en ayant des rapports sexuels avec un...Lire la suite sur Union
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Plus besoin de vous présenter Onlyfans, cet Instagram du cul qui agite les foules depuis des mois, la faute peut-être aux confinements et à l’explosion du porno home made, ou à l’affichage sur la place publique des revenus colossaux de certaines créatrices sur les réseaux. Le système est simple et pourtant il fallait y penser : un abonnement payant pour accéder à un profil sur lequel on trouve divers contenus, comme sur n’importe quel réseau social. Et évidemment, même si la plateforme ne lui est pas intégralement consacrée, la production pornographique a pris une place majeure sur la plateforme.
Mais depuis l’affaire de la TVA impayée, des rumeurs d’une possible fermeture, du scandale Bella Thorne, les producteur·ice·s de contenus porno se tournent progressivement vers des d’autres solutions. Quelles sont ces plateformes concurrentes ?
La plus ancrée dans le milieu : AVN Stars
Plateforme lancée par AVN, le magazine américain bien connu du porn qui organise aussi les awards du milieu adulte, AVN Stars se revendique « le plus connu des réseaux sociaux de l’industrie adulte ». La plateforme est propre et pratique.
Avec des stories et feed bourrés d’interactions, on peut y suivre le contenu public des performers, s’abonner pour accéder aux médias privés, tipper, ou encore payer pour des accès à des comptes Snapchat Premium par exemple. Il y a aussi un onglet boutique sur lequel on peut acheter des clips à l’unité. Le site s’octroie une commission de 20% sur les ventes. AVN Stars est un site très complet qui jouit d’un très bon trafic et son nom familier rassure les clients comme les performers.
La Française : MYM – Meet Your Model
Présente dans le paysage depuis seulement 2019, MYM se présente comme un réseau social privé. Sur la page d’accueil, on aperçoit des profils de cuisinier, de trader ou de rappeur, qui proposent des business plans, des cours en ligne ou du contenu exclusif. Clairement l’étiquette porn n’est pas assumée (comme pour Onlyfans qui cherche aussi à diversifier son public). Et pourtant, le fonctionnement de la plateforme s’y prête : le flux ressemble à s’y méprendre à Instagram, mais les photos y sont floutées, et on doit faut s’abonner pour éclaircir tout ça.
Côté créateur·ice, quelques critiques se dégagent, notamment un problème d’hébergement des fichiers volumineux qui ne sont pas supportés par la plateforme, ou encore la commission jugée un peu salée de 30%.
L’outsider : Frisk
Frisk se place dans le paysage comme le réseau social sexy, pour les TDS et par les TDS. Les performers donc n’ont pas de crainte à avoir quant à une suspension potentielle de leur compte. On retrouve les fonctionnalités courantes : un profil avec un feed visible sans abonnement et un feed privé, une boutique en PPV (Pay Per View) mais aussi une messagerie payante. Ainsi la discussion, trop souvent mise de côté sur d’autres plateformes devient une marchandise en plus. On retrouve même des stories à la une du site. Frisk a tout d’un grand site, son design rappelle quelque peu l’esprit d’un site de sexcam, la prise en main est très simple, qu’on soit client·e ou créateur·ice.
Que choisir ?Des alternatives à OnlyFans, il y en a donc BEAUCOUP, comme Fancentro qui propose des feeds public, privé et premium ainsi qu’un un espace de vente de clips pour une commission de 25%, ou encore Just For Fans qui a l’avantage de proposer le paiement en Bitcoin.
Toutes ces plateformes ont leurs avantages et inconvénients, comme les pratiques qu’elles acceptent d’héberger (il est par exemple impossible de voir du fist sur Onlyfans ou AVN, mais ce sera possible sur FanCentro et Just For Fans). Évidemment, toutes sont soumises à des carcans imposés par le système financier qui les soutient ou pas, on l’a vu récemment avec Pornhub. On peut retrouver ici une liste des pratiques et contenus acceptés sur différentes plateformes, éditée par Sophie Ladder.
WATCH MY PORN
— Sophie Ladder (@sophieladder) January 1, 2020
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sophieladder@pm.me
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Si Onlyfans reste la plus plébiscitée des plateformes, les TDS se tournent de plus en plus vers ces alternatives, comme Mathilde*, qui a récemment fermé son Onlyfans vieux d’un an pour migrer vers AVN Stars : « J’aimais bien parce qu’il y a du trafic et que ça rapporte du monde et de l’argent, mais ça buguait trop souvent et je me sentais volée pour 20% de commission, en plus comme il y a ces histoires de TVA ce n’est pas rassurant. Alors j’ai ouvert un compte sur AVN Star, l’audience y est tout aussi grande, j’attire de nouveaux clients et la plateforme est vraiment bien organisée. Des clients qui ne sont pas abonnés peuvent m’acheter des clips, ainsi mes revenus passent uniquement par la plateforme et c’est plus sécurisant pour moi que de multiplier les moyens de paiement. »
Et comme tout cela fonctionne bien, forcément, on voit des sites connexes se développer. Sunroom travaille par exemple sur le lancement d’outils pour « débloquer votre capital érotique ». Mais aussi, OnlySearch, qui permet de rechercher des modèles par tag, Snappy pour vendre spécifiquement l’accès à un Snapchat et Slide pour un système de messagerie payant.
Les pratiques en ligne sont souvent simplifiées par les plateformes elles-mêmes qui tendent à guider le plus possible les créateur·ice·s de contenu grâce à des interfaces toujours plus intuitives. Cependant il reste encore des difficultés : fiscalité, protection des données et promotion sur les réseaux sociaux. La création d’outils et d’aides reste essentielle. Pour notre part, au Tag, on a publié un guide en association avec la Résidence Ardente.
Avec l'augmentation du nombre de personnes se tournant vers la création de contenu adulte, nous avons voulu apporter une aide sous forme d'un guide plein de conseils et d'informations créé par des pros.
— Le Tag Parfait (@letagparfait) December 7, 2020
[Guide] Comment créer du contenu adulte en ligne ? https://t.co/omVtUbp5lh pic.twitter.com/f51VZKcGYc
Ce tour d’horizon n’est évidemment pas exhaustif. À l’heure qu’il est, des plateformes du genre poussent comme des champignons. Combien tenteront encore de lancer de nouvelles alternatives à Onlyfans alors que le marché est déjà très tendu ? Toutes ces plateformes, qu’elles soient nouvelles ou historiques, réussiront-elles à survivre à une possible baisse d’intérêt, après l’effet COVID et porno confiné ?
Ces questions dépendent uniquement du comportement des client·e·s, peut-être que les habitudes de consommation ont drastiquement changé pour certain·e·s, se tournant vers des contenus payants au quotidien. En tout cas, vous n’avez plus d’excuse, il est temps de payer pour votre porno. #PayForYourPorn
*le prénom a été changé à la demande de la personne interrogée
Bonjour à toutes. Je suppose que c’est déjà arrivé à certaines d’entre vous, mais pour moi c’était la première fois. D’habitude les mecs sont raides comme des piquets lorsqu’ils sont avec moi, là, le gars n’y arrivait pas du tout. Au bout d’un moment je l’ai congédié. Mais maintenant je m’interroge, est-ce de ma faute ? Est-ce que j’aurais dû lui donner une deuxième chance ?
Apparemment, vos expériences précédentesne vous avaient pas confronté à ce genre de situation courante, qui, il faut le dire, est moins fréquente dans la tranche d’âge où vous vous situez, surtout si le partenaire se situe lui aussi autour de la vingtaine.
Mais en réalité, cela peut arriver à des garçons jeunes du fait de leur manque d’expérience, d’une trop grande timidité ou d’une forme d’anxiété. Si les troubles de l’érection peuvent être le fait de maladie ou causés par la consommation quotidienne de produits comme l’alcool ou le tabac, il s’agirait plutôt dans le cas de votre partenaire d’une cause psychologique.
On appelle cela une panne sexuelle, car il ne s’agit pas d’une maladie, ni d’une incapacité à bander, mais d’une émotivité qui bloque l’érection. L’anxiété, le stress, la pression engendrée par la volonté de satisfaire sa partenaire ou encore le manque de confiance en soi peuvent ainsi être à l’origine de ce type de dysfonctionnement.
Ce n’est en rien votre faute et il est plus que probable que cela serait arrivé à ce garçon avec une autre partenaire....Lire la suite sur Union
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Le porno, c’est bien, il permettrait de pimenter la vie sexuelle des couples et d’en renforcer les liens. Cependant, il existe des personnes adoptant, avec ce type de contenus, des comportements excessifs, pouvant se couper du monde pendant plusieurs heures d’affilées sans pour autant éprouver du plaisir. On parle ici d’addiction à la pornographie.
Il faut notamment savoir que Pornhub, le plus célèbre site de porno, a enregistré en 2019 plus de 45 milliards de visites, soit 115 millions par jour, ce qui montre la banalisation du porno dans notre société.
De plus, en France, 62% des jeunes ont déjà vu des images pornographiques avant 15 ans, dont 11% avant 11 ans (source : maxisciences.com). L’addiction au porno entraîne en effet de multiples conséquences négatives : dysfonctionnements sexuels (problèmes d’érection, difficultés à atteindre l’orgasme) ; isolement des malades (sujet tabou dans notre société) ; problèmes de couple ; dépression et anxiété vision déformée de la sexualité (beaucoup de jeunes font leur éducation sexuelle via le porno) ; banalisation des pratiques violentes (ce qui pose aussi des problèmes quant aux conditions de tournage pour les acteurs et actrices) et modification des comportements (il y a un « mécanisme miroir » dans le cerveau), etc. Sylvain Guigni a décidé d’agir !
Cet ancien addict au porno connaît bien l’enfer de la dépendance et suite à son sevrage a décidé de lancer Addict-porno.fr, un site...Lire la suite sur Union
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Cher docteur, je sais que je ne devrais pas le faire et je m’en veut terriblement, mais depuis que je me suis fait larguer par ma copine, toutes mes pensées sexuelles se reportent sur la copine de mon frère. Elle est devenue le seul objet de mes fantasmes. Comment puis-je gérer cela ?
Il m’arrive souvent de répondre à des lecteurs que l’on ne choisit pas vraiment ses fantasmes et qu’il faut parfois accepter d’avoir des désirs secrets dont on n’est pas bien fier. Les raisons permettant de comprendre de tels désirs sont multiples et propre à chacun. Cela reste tout à fait valable pour vous et je comprends bien que vous fantasmez complètement sur la copine de votre frère.
Selon Justin Lehmiller, psychologue américain et auteur du livre Tell Me What You Want, les fantasmes considérés comme tabous seraient surtout le fait de personnalités introverties, ayant d’avantage de difficulté à rencontrer des partenaires mais seraient également nourris par des personnes plus ouverte d’esprit. Cependant, il va falloir faire un effort pour y...Lire la suite sur Union
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“J’ai voulu permettre aux femmes de découvrir les bienfaits de la masturbation, de changer l’image que peuvent avoir ce genre d’objets et le rendre accessible au plus grand nombre. De faire entendre que ça fait du bien, que c’est très bon pour la santé et notre bien-être” Voici les mots de Marie Comacle, vannetaise de […]
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La nouvelle année c’est aussi le moment des bonnes résolutions alors pour commencer 2021 du bon pied, Union vous donne 7 conseils pour une sexualité épanouie. À appliquer sans modération cette année (et les suivantes).
1) CommuniquerOn ne le répétera jamais assez : la communication est primordiale pour une sexualité épanouie. Si elle peut ne pas être naturelle dans un premier temps, exprimer ses désirs, ses envies et ses limites librement permet de consolider les liens entre partenaires. Plus vous communiquerez, plus vous vous sentirez à l’aise et en confiance. Exprimer ses peurs, ses doutes ou même ses complexes peut calmer certaines angoisses, comme la pression de l’érection que subissent les hommes ou encore la crainte de certaines femmes de parler de sexualité. Discuter ouvertement avec votre partenaire des positions que vous aimeriez essayer ou encore des pratiques qui sont pour vous rédhibitoires permet de lâcher prise, et alors, la route du plaisir s’offre à vous !
2) Prendre en charge sa santé sexuelleLe sexe c’est bien. Le sexe en bonne santé c’est mieux. Pour une sexualité sans tracas, il s’agit de prendre en charge sa santé sexuelle. Le préservatif est évidement obligatoire lorsque les partenaires n’ont pas fait de test de dépistage au préalable (oui même lors d’une fellation ou d’un cunnilingus). Faire des tests réguliers et se renseigner sur les pratiques sexuelles à risques est également conseillé.
Mesdames, une visite annuelle chez le gynécologue permet de vérifier que tout va bien. Si vous avez des problème tels que des douleurs lors de rapports sexuels, des saignements intimes ou encore des troubles de la fertilité, n’attendez pas et allez consulter au plus vite… mieux vaut prévenir que guérir. N’hésitez pas à discuter avec votre...Lire la suite sur Union
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Plus je côtoie de personnes, plus je me rends compte que le consentement sexuel, qui paraît une attitude très simple de prime abord, n’est pas perçu de la même manière par tout le monde. C’est un vrai problème de société sur lequel je souhaite faire avancer les choses avec mes moyens. Dans cet article, je…
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Le pegging, ou chevillage en français, est une pratique sexuelle au cours de laquelle la femme pénètre son partenaire masculin à l’aide d’un godemiché ceinture. L’homme perd son côté « dominant », dans une séance de sexe anal où les rôles sont totalement inversés. A ce jeu, de plus en plus de couples s’y intéressent, l’orgasme anal et l’orgasme prostatique chez l’homme étant un sujet de moins en moins tabou.
Une pratique aux nombreux atoutsSi vous suivez Maïa Mazaurette dans ses fameuses « sexo chroniques » du journal Le Monde, vous devez savoir que le pegging, possède de nombreux atouts pour séduire les couples désireux de varier leurs jeux érotiques et permet d’expérimenter la réciprocité sexuelle.
Elle ajoute que les « orgasmes du derrière » chez l’homme, en combinaison d’une stimulation des bourses ou du pénis, sont souvent décrits comme plus intenses, plus longs, plus profonds… Alors pourquoi s’en priver ?
Si le terme de pegging apparait dans les années 80, cette pratique existait déjà dans l’Antiquité. Depuis les années 2000, elle a gagné en popularité avec une percée médiatique du fameux point P (prostatique) et d’un plaisir anal chez l’homme de moins en moins culpabilisé, le tout aidé par des fabricants de sextoys (Tantes, Anéros, Fun Factory) qui vont créer des petits jouets sexuels entièrement dédiés à la pénétration masculine.
Le pegging : témoignage d’une lectricePour...Lire la suite sur Union
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Tout comme Tristan que j’ai reçu début janvier, j’ai rencontré Cédric par l’intermédiaire de la tribune sur le congé paternité publiée en juin dernier.
Cédric nous raconte comment il en est venu à devenir papa, comment il a attendu sa femme, en pleines études de médecine, pour finir par avoir leur fille il y a 2 ans et demi.
Cédric explique aussi comment il a lancé ce podcast et ce compte insta Papatriarcat, militant engagé comme il le dit lui-même. Enfin, il vous livre plein de conseils tirés de son expérience de daron dans cet épisode un peu plus long qu’habituellement, mais très passionnant.
Crédit illustration : @bk_illustratrice
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Qu’elles soient célibataires, divorcées ou veuves, de nombreuses femmes souffrent de la solitude et ne savent plus comment s’y prendre pour trouver l’amour.
Pour ne rien arranger, le contexte actuel rend d’autant plus difficile les rencontres et la séduction, entre confinements et port du masque, comment séduire en 2021 ? Et bien c’est possible! Bien qu’on ne puisse plus compter sur le sourire, premier élément de communication dans la drague, vos yeux peuvent vous sauvez la mise! 70% des hommes seraient séduits par les yeux d’une femme (selon le Daily Mail)… profitez en!
Rappelons aussi que le physique est un point important certes, mais votre atout séduction séduction numéro 1, c’est votre personnalité, et c’est l’occasion de la mettre en avant, après tout la drague c’est aussi (et surtout) des mots et une pointe d’humour!
Cependant, malgré l’essor des sites de rencontres et des applications du match qui auraient permis à 11% des français de trouver leur moitié, certaines femmes finissent par se dire qu’elles ne peuvent pas plaire ou qu’elles ne rencontreront jamais la personne qui fera vibrer leur cœur.
Pourtant, ce constat d’échec repose sur un malentendu, il s’agirait de d’éliminer ces croyances limitantes et donner un coup de pouce à l’estime que l’on peut avoir de soi.
Contrairement aux idées reçues, la séduction… cela s’apprend ! Il n’y a pas de physique ou de beauté idéale à atteindre, en réalité tout est dans la tête… Brenda Bourkis, la fondatrice d’Attitude Séduction le constate tous les jours : pour séduire, la Lire la suite sur Union
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Moi qui me pensais heureuse et planquée dans ce nouveau train de vie au pur concentré de télé-travail : la bonne excuse pour ne plus faire la bise aux inconnu·e·s, ne plus subir les small talks de ma voisine au Carrouf du coin, ne plus avoir à décliner les apéros pour finalement rester en pyjama devant Netflix, se faire livrer encore plus de bouffe à la maison, annuler les dates à la dernière minute parce que la flemme… Eh bien, croyez-le ou non, ma vie sociale me manque. Je suis à « ça » d’appeler à la chaîne tous mes crushs Tinder. Mais comme nous le rappelle Lustery : « Stay home, make porn » et je me dois de suivre ce sage conseil. À défaut de tourner mon propre contenu, je m’empresse de me réconforter auprès de ceux de mes couples favoris, et je vous emmène avec moi pour ce voyage direction Lusteryland !
Je vous le dis, si j’étais confinée avec Nat & Zina je serais bien moins frustrée de ce couvre-feu… Elles ont tout compris : traîner avec sa go à la maison en kimono, manger des fraises fraîchement coupées, et faire l’amour au soleil sur le fauteuil du salon. Tout est là, rien ne manque. Prenez votre dose de 5 fruits et légumes par jour et de vitamines avec « The Sweetest Thing », à voir et revoir sans modération.
L’histoire d’amour entre Luke & Bailey Base est digne d’une comédie romantique 2.0. Le fan qui conquiert la porn star via ses DM Twitter : notre rêve à tous, non ? Une rencontre impromptue mais qui ne manque pas de passion. L’alchimie crève l’écran et ce, pour notre plus grand plaisir. Bailey Base nous prouve que parmi ses nombreux talents, elle maîtrise à la perfection l’art de la fellation. Tout se passe dans la vidéo « Truly, Madly, Deeply », je vous laisse en juger par vous-même…
N’en déplaise à tout ceux qui pensent que le porno c’est « toujours pareil », Lustery casse les codes avec leur nouveau format Sex Vlog. Bruce & Nicole nous rappellent à travers le leur la douce époque où l’on pouvait voyager, se balader au soleil, et se déplacer sans masque. « Making Memories To Lust A Lifetime » est la promesse de fou rires, de sexe en public, de dialogues sans fin et d’intimité plus vraie que nature : une bouffée d’air frais qu’on ne saurait se refuser.
Je ne vous présente plus Kim & Paolo, que l’on connaît aussi sous le nom de MySweetApple. Eux aussi apportent leur pierre à l’édifice dans le Lustery game. Mais cette fois-ci, ils ont décidé de se la jouer Mama et Père-Noël. Un cadeau tardif mais qui fait toujours plaisir ! Je vous laisse en prendre plein la vue avec le corps parfait de Kim dans « A Christmas Creampie ». Impossible de ne pas se laisser tenter avec un titre pareil !
Et je termine cette fournée de Gifs de la Semaine avec Fennel & Ursinae. Habitué·é à être devant comme derrière la caméra, vous connaissez sûrement cet·te dernier·ère grâce au collectif porno Vesperal – dont on vous a déjà parlé. On retrouve les tourtereaux lors d’un moment très intime, bercés par la lumière du jour et le rire spontané d’Ursinae. « Make Love While The Sun Shines » encore une vidéo qui donne envie de se réveiller dans les bras de son·sa crush…
Image à la une : Kim & Paolo
« Bonjour. Mon copain a des penchants violents. Il ne prend son pied que lorsqu’il me fait mal. Au début il me tenait par les cheveux, puis il m’a claqué les fesses durant l’acte. Mais il va de plus en plus loin. Je lui en ai parlé mais il m’affirme que c’est normal. Que dois-je faire ? »
La réponse est simple, soit vous avez des penchants maso et vous aimez associer plaisir et douleur, soit vous ne les avez pas et auquel cas il ne faut pas accepter ce genre de comportement de la part d’un partenaire. Car, non, il n’est pas normal qu’il ait besoin de vous faire mal pour prendre son pied.
Si vous laissez faire, il aura l’impression qu’il n’y a pas de limites et cela ne peut que l’entraîner à en faire plus au fil du temps. D’ailleurs, vous l’avez vous-même constaté, il a commencé par vous tirer les cheveux puis par vous frapper en même temps. Il faut absolument que vous lui fassiez comprendre que ce n’est pas votre truc et qu’il cesse de se comporter de la sorte.
Si le sadisme et le masochisme sont des fantasmes partagés par une partie de la population et que les actes violents ou humiliants, tels que la fessée, peuvent être source de plaisir et d’excitation pour certains, ces derniers sont toujours consentis. Les partenaires doivent prendre le temps de communiquer entre eux, d’exposer ce qu’ils acceptent et n’acceptent pas, et, dans le cadre des pratiques BDSM établissent un safe word.
Peut-être que votre conjoint est sincèrement convaincu que cela est normal, en particulier s’il a fait son éducation sexuelle via des sites internet porno où la violence est monnaie courante, mais il lui faut modifier ses habitudes. Vous ne...Lire la suite sur Union
Cet article Mon partenaire est de plus en plus brutal pendant l’amour : que faire ? est apparu en premier sur Union.
Comme aime à le répéter Bruno, attacheur compulsif dans le 17e arrondissement de Paris :
« Je vais m’attacher à être précis. Dans ce domaine le moindre écart peut être grave. Mon conseil est de ne jamais partir à l’aventure lorsque l’on joue avec des cordes. Mais une fois que vous connaissez la musique, jouer avec votre partenaire comme d’un instrument à cordes devient très rapidement jouissif… «
Des liens et de la précision. De la dextérité, et même de l’art, c’est tout l’objet de ce gros plan sur le bondage…
Qu’est-ce que le bondage ?Le bondage est une pratique sadomasochiste qui consiste à attacher son partenaire dans le cadre d’une relation érotique ou sexuelle. On peut donc attacher avec n’importe quoi : ruban, bas, collants, cordes, lanières de cuir, ceintures, ruban adhésif, film alimentaire, ficelle et bien sûr menottes.
Mais il existe des subtilités (évidemment). Cela commence avec le bondage américain, qui se pratique avec un type de corde unique (longues, en coton de couleur), sans suspension. L’idée reste d’immobiliser et contraindre la personne.
Pour Dirty Von P, responsable de l’École des Cordes à Paris, il s’agit principalement de « forcer » des positions, des cambrures ou d’écarter les membres : « Ce n’est pas douloureux dès lors que l’on attache bien. Mais les positions sont inhabituelles. »
Le Bondage : Un art japonais.Comme tout ce qui est aussi tordu que précis en matière de sexe, le bondage viendrait du Japon et s’inspirerait des techniques de torture par ligotage utilisées par l’armée nippone. C’est, en tout cas, une forme d’art ancestrale que l’on appelle Lire la suite sur Union
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Il paraît peut-être naïf de défendre la mode BDSM tant la littérature populaire s’est appliquée, à notre plus grand regret, à vulgariser ses méthodes les plus convenues. Il va sans dire que les menottes et la cravache sont aujourd’hui les têtes de gondoles des sex shop pour tous des centres villes occidentaux. La faute à un livre et un film, 50 nuances de Grey, devenus icônes mondiales de la culture BDSM… N’en déplaise aux puristes, les accessoires de domination font maintenant partie intégrante du quotidien de Monsieur et Madame tout le monde.
Mais passons les critiques sur le moralisme contemporain qui, faute d’épanouir la sexualité, l’a faite entrer dans un moule indigent censé pimenter les scénarios hollywoodiens les plus conformistes. Problème inhérent à toute forme de vulgarisation, c’est vrai. Mais ce qu’il y a de plus inquiétant dans cet intérêt soudain pour les pratiques sexuelles extrêmes, c’est que la récente franchise hollywoodienne, à défaut d’avoir initié l’imaginaire contemporain à la culture du latex, a fait de l’ombre à tout un pan du cinéma. Un cinéma plus discret qui n’a pas eu à attendre le XXIe siècle pour oser érotiser la pellicule.
Dans Tokyo Décadence, Ryu Murakami insuffle avec délicatesse un monde d’une noirceur confondante, en y cristallisant patiemment nos passions les plus abjectes. Ai, héroïne tragique d’une ville-monde où la marchandisation des corps est devenue la règle, transite d’hôtels de luxe en appartements bourgeois – usant de son corps comme d’une monnaie d’échange. Funeste destinée. Mais Tokyo décadence est aussi un film plastique, où le territoire, Tokyo, arpenté par la jeune prostituée, nous est dévoilé au rythme des variations de lumière. Tantôt la pénombre d’un appartement cossu, tantôt l’évidente clarté du quotidien.
L’autre territoire exploré par le cinéaste, c’est celui du BDSM. Avec sa tripotée de personnages fantasques, tous invariablement tiraillés entre leur désir d’extase et la morosité de leur quotidien, le film raconte comment se nouent les rapports de domination et de soumission. Même si ce long métrage possède une valeur politique et poétique évidente, il n’en reste pas moins un joli florilège des pratiques sexuelles extrêmes, traduisant élégamment ce qu’on peut trouver de plus jouissif dans la mise en scène de l’obscène ou de la dépravation.
Mais venons-en à cette séquence ô combien enivrante pour les familiers du genre. La proxénète ou la standardiste, on ne sait pas trop, suggère à Ai d’aller satisfaire un client masochiste. Elle est reçue dans la chambre d’un hôtel luxueux par Maîtresse Saki : une femme longiligne vêtue d’un body échancré en vinyle noir et de bas en résille soutenus par une paire de jarretelles. L’arrogance manifeste de Mme Saki tranche avec l’allure timide de la jeune prostituée, engoncée dans son haut bouffant au nœud volumineux. À leurs pieds, un homme partiellement vêtu d’un string noir et noué dans une corde de shibari, attend les ordres. Divers objets difficilement identifiables jonchent le sol : on devine une corde, des menottes, un collier en métal, une cravache, des sous-vêtements, une laisse, ou un bâillon. Le décor est planté.
La suite ? Un enchaînement de coutumes fétichistes des plus classiques : léchage de talons, humiliations verbales et physiques, coups de cravache, insultes, tirage d’oreille, gifle, quolibets. Maîtresse Saki et Maîtresse Ai campent leurs personnages à merveille, l’esclave tokyoïte exécutant religieusement les ordres saugrenus de ses geôlières. Pour avoir tenté de lécher le sexe de Maîtresse Saki sans autorisation, « tête de tortue » est sommé d’aller se mettre à l’écart. S’ensuit une scène de masturbation lesbienne à la volupté certaine, où Maîtresse Saki s’applique à caresser le sexe de sa comparse sous le regard jaloux du captif.
On approche du point d’orgue de la scène. Après avoir tenté furtivement de dérober le string blanc de Maîtresse Saki, « tête de tortue » est de nouveau soumis au châtiment ultime. Il est d’abord fouetté avec conviction par cette dernière, avant qu’elle ne l’humilie en lui enlevant de force son toupet. Assise à moitié nue sur le canapé, Ai pisse dans un pot de chambre improvisé, vient alors la scène d’uro qui amène le chef d’entreprise à absorber avec une passion désarmante l’urine de sa domina. Il aura droit, en guise de récompense, à une sodomie en bonne et due forme par une Maîtresse Saki hilare.
Cette scène révèle un cinéma de la suggestion et du hors champ : ici rien n’est montré, tout est symbolique – à la différence de la pornographie classique où le dévoilement tient lieu de valeur absolue. Bien au-delà, cependant, du sexe vanille embarrassant popularisé par la fiction US, Tokyo Décadence s’inscrit à l’orée de ce que le porno extrême produit de plus déviant.
Durant ces 14 minutes sobrement filmées, le cinéaste nous irrigue d’un fétichisme âpre qui nous relaie docilement au rang de voyeur tout puissant. Alors, Tokyo Décadence, film militant ou porno soft ?
Les tags de Tokyo Décadence : uro, bdsm, shibari
« Bonjour. Lors d’une conversation entre potes, l’un d’entre eux a évoqué le point P. Jusqu’à maintenant, pour moi il s’agissait d’un magasin de bricolage. Je me suis renseigné sur le net, pour ne pas mourir idiot. Ils avaient tous l’air emballé, mais moi j’ai des doutes. Je précise que je n’ai aucun penchant homo. Pouvez-vous m’éclairer sur cette pratique ? »
Cette pratique consiste à stimuler la prostate dans le but de provoquer des sensations de plaisir sexuel différentes et considérées par certains comme plus profondes, plus diffuses et plus relaxantes. Souvent comparée au point G chez la femme, le point P n’est en fait pas du tout comparable car il ne provoque ni orgasme, ni éjaculation.
Si la prostate était surtout présentée dans sa fonction procréative, c’est une équipe médicale américaine qui à découvert que cette glande pouvait également procurer du plaisir.
La stimulation de la prostate se fait par pressions à travers la paroi rectale après avoir introduit un doigt, de préférence l’index, ou un sex toy adapté. Les adeptes de cette pratique conseillent en général aux débutants qu’il vaut mieux commencer par s’y essayer tout seul, en utilisant vos doigts, en position dite chien de fusil, ou allongé sur le dos jambes relevées.
Vous pourrez par la suite si vous le souhaitez, demander à la partenaire si elle veut bien s’y prêter. Pour éviter tout risques de blessure, soyez délicat : les muqueuses de l’anus sont très sensibles.
L’utilisation de sextoy dédiés tels que des stimulateurs prostatiques pourraient être une première découverte en douceur de...Lire la suite sur Union
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C’est le fantasme numéro 1 des Français (Institut Harris), quel que soit leur sexe. L’amour à trois fait rêver depuis toujours, mais comment s’y prendre ? Comment amener le sujet avec son/sa partenaire ? Quelle formule retenir ? Les filles ne souhaitent pas forcément deux beaux mâles, idem pour les garçons. La pratique révèle-t-elle des penchants homosexuels pour se retrouver au lit avec un autre couple ? N’existe-t-il pas des dangers liés à la pratique, à commencer par la jalousie qui pourrait briser le couple ?
Malgré toutes ces questions, le fantasme du plan à trois fait toujours recette. 40% des femmes et 43% des hommes rêvent secrètement de faire l’amour à trois… (sondage « Entre-infidèles.com »). Voici donc quelques conseils, idées et témoignages pour celles et ceux qui voudraient sauter le pas. Avant toutes choses, pour Nathalie Giraud Desforges (sexothérapie et fondatrice Pimentrose.biz), il faut bien faire le distinguo entre sexe et amour :
« Le syndrome Jules et Jim également connu sous le vocable de « trouple » est beaucoup plus fréquent qu’on ne le pense. C’est encore tabou, mais de nombreuses femmes sont réellement amoureuses de deux hommes à la fois et de la même manière des messieurs ont fréquemment deux « femmes » dans leur cœur et dans leur vie. »
Nous parlons ici de sentiments et l’amour se pratique généralement uniquement en couple… Lorsqu’il est question d’un plan à trois, il s’agit souvent d’un couple qui souhaite pimenter sa vie sexuelle, ou encore d’une expérience que les protagonistes veulent partager ponctuellement, souvent pour répondre...Lire la suite sur Union Cet article Nos meilleurs conseils pour réussir un plan à trois est apparu en premier sur Union.