34513 éléments (2947 non lus) dans 75 canaux
The above video Chrysalis is enchanting in the way an Andrew Blake film often is; a naturally beautiful young woman prances and preens and it’s quite sexy and nice to watch. There’s no climax, but this is the style – languid. The video is just that, but more fun is the magazine for which it was made – Wolf – which I’ve been enjoying off and on all night while I steadily watch Anons grow increasingly restless online. Wolf’s Issue #1 is very distractingly hot.
Brainy porn icon Stoya is admired by many readers of this blog – and while she’s not my cup ‘o hottie, I think she’s lovely. And I think you’ll like this fashion set where we see just enough of fashion and flesh to satisfy both categories. Beautifully photographed for POP Spring/Summer 2013. Fashiontography has the full set: Stoya by Sean & Seng.
15 février 2013. Un homme réclamant des « droits de père », fait du chantage au suicide en haut d’une grue à Nantes. Ville de JM Ayrault, qui va en quelques jours ameuter le gouvernement et promettre une rencontre aux associations « des pères ». L’action a été soutenue par SVP papa, qui s’est désolidarisé par pur opportunisme. La couverture médiatique de cette masculinade a été considérable. *** Une plainte ayant été déposée par M. %oreno, je retire certaines informations *** Quant aux habitués de la cause, ceux qui persécutent SOS Les Mamans (on lira leur réponse argumentée, documentée et fort respectueuse au vu des insultes qu’elles ont encaissées), on se rappellera que l’un d’eux a eu 6 ans ferme pour avoir projeté la mort de son ex-compagne (Lepoint.fr – Publié le 02/04/2009) … A la lumière de cela, leurs vidéos activistes mimant des scènes de suicide à Beaubourg et devant le palais de justice de Paris (déc. 2012), et l’acte même du papa-grue menaçant de se suicider semblent être de sinistres menaces proférées, cette fois en place publique, à l’encontre de leurs victimes. Cette stratégie n’est nullement fortuite ni isolée.
Les agitations des masculinistes sur cette grue spectaculaire avaient un but : secouer le cocotier gouvernemental pour faire pression afin de faire passer la loi n°309 d’octobre 2012. Voici l’article du projet de loi par lequel le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) serait introduit dans le Code Civil et le Code Pénal:
« L’article L. 227-2 du code pénal est complété par un alinéa ainsi rédigé : « Le fait, par tout ascendant, d’entraver l’exercice de l’autorité parentale par des agissements répétés ou des manipulations diverses ayant pour objet la dégradation voire la rupture du lien familial est puni d’un an emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. » »
Sous cette formulation neutre se cachent les ressorts de l’inégalité : les hommes conjoints violents, et eux seuls, utilisent cet argumentaire de l’aliénation parentale pour obtenir des droits malgré leurs violences voire pour se soustraire aux poursuites, quand il y en a.
« Monsieur Ayrault, Premier Ministre, honte à vous », par Marie-Victoire Louis
http://www.marievictoirelouis.net/document.php?id=1117&mode=last
*
Au vu de l’échéance imminente, il est bon de relire cet article : « Projet de loi pour forcer la résidence alternée au moyen du Syndrome d’Aliénation Parentale » à propos de la PROPOSITION DE LOI n°309
http://henridamien.blogspot.fr/search?q=loi#!/2012/12/projet-de-loi-pour-forcer-la-residence_15.html
____________
Plusieurs articles sur le SAP …Patrizia Romito et Micaela Crisma « Les violences masculines occultées : le syndrome d’aliénation parentale » 2009
Patrizia Romito « Les violences conjugales post-séparation et le devenir des femmes et des enfants », 2011
Les excellents articles de Hélène Palma & Léo Thiers Vidal :
• Violences intra-familiales sur enfants : le rapporteur de l’ONU
• Inceste, pédophilie, viol Bulletin électronique n° 11
• Ca se passe près de chez vous : des filles incestueuses aux mères aliénantes.
• Violences intra-familiales sur enfants : le rapporteur de l’ONU en France
• Syndrome d’aliénation parentale, Une théorie inventée utile au lobby des pères
• Violence dans la famille Briser le silence : les récits des enfants, 18 octobre 2005
• Des mères se battent contre la « Justice » pour protéger leurs enfants
http://1libertaire.free.fr/LeoThiersVidal10.html
& sur Sisyphe :
http://sisyphe.org/spip.php?rubrique82
& particulièrement Hélène Palma et Martin Dufresne : « Autorité parentale conjointe : le retour de la loi du père » 2002.
http://www.sos-sexisme.org/infos/loi_pere.htm
& la conférence de Karen Sadlier sur les enfants victimes de et par les violences par conjoint, où l’on retrouvera des exemples concrets et standards d’aliénation que le conjoint violent exerce sur l’enfant et comment elle s’articule à la violence conjugal :
http://www.manche.pref.gouv.fr/Media/Files/Enfants-exposes-aux-violences-conjugales-Karen-SADLIER
_____
Pour une analyse plus globale de la violence masculine……. & de ses fondements légaux
Christine Delphy « L’état d’exception : la dérogation au droit commun comme fondement de la sphère privée », Nouvelles Questions Féministes, Vol. 16, No. 4
…. & de la compromission des « psy » dans la défense des agresseurs
Patricia Romito son livre « Un silence de mortes. La violence masculine occultée » 2006
version anglaise Patrizia ROMITO A Deafening Silence. Hidden Violence Against Women and Children
*
*
L’un des excellents documents produits par Marie France Casalis & Catherine Morbois (voues pouvez le télécharger sur le site)
2008 Collectif dir. par Mélissa Blais et Francis Dupuis-Déri, Le mouvement masculiniste au Québec. L’antiféminisme démasqué
http://www.ababord.org/spip.php?article856
2009, par Mélissa Blais « J’haïs les féministes ! » : le 6 décembre 1989 et ses suites
Une fois n’est pas coutume, je relaie ici un article mainstream. Parce qu’il fait écho à la parole d’une femme victime de violences par conjoint. J’y ai retrouvé énormément d’éléments caractéristiques de cette violence spécifique :
1) stratégies de l’agresseur : retournement de la culpabilité, isolement de la victime, organisation – parfois à échelle institutionnelle – de l’insécurité de la victime, coalition - presque toujours à échelle institutionnelle – des alliés de l’agresseur contre la victime.
2) détermination de l’agresseur à détruire sa victime. Avec le sadisme, c’est un moteur du harcèlement auquel la justice participe en acceptant des procédures répétitives de la part des agresseurs, parfois sur 10 ans, ayant pour objets principaux l’argent (révision de la pension, réclamation de sommes alors même que l’agresseur gagne presque toujours plus que sa victime) et les droits paternels (en particulier droit de « voir » les enfants – non de les prendre en charge, mais simplement rester en contact avec ses victimes) [à lire Hélène Palma "La percée de la mouvance masculiniste en Occident"], en accordant des droits paternels aux conjoints violents, en ne faisant suivre les interdictions d’approcher d’aucune mesure coercitives, etc.
3) contraste entre le profil de l’agresseur, parfaitement intégré et crédible aux yeux des professionnels, et l’ampleur des violences dont il est capable. Ce contraste est une conséquence de la propagande masculiniste qui brosse en permanence le portrait d’un agresseur dont la brutalité « se voit sur le visage » selon les principes de la phrénologie. Il est un frein majeur dans la compréhension des situations de violences par les policiers, avocats, magistrats, médecins, journalistes…
4) lenteur et aveuglement de la justice qui révèlent une complicité structurelle (parfois individuelle comme on l’a vu au TGI de Meaux) avec l’agresseur
5) blessure spécifique que provoquent les violences sexuelles, car elles sont l’acte de marquage, d’assignation à la caste « femme » dont chaque homme a le pouvoir dans un patriarcat …
*
« Parole de femme battue [par son conjoint] qui se bat avec courage »
par Patrick Napez 21/03/2011
Après six ans de violences conjugales, Valérie tente d’obtenir réparation.
La digue a cédé le 30 décembre 2006. Devant son fils de 4 ans, Valérie (*) est rouée de coups par son mari en fureur. « Il me frappe, essaie de m’étrangler, hurle qu’il va y avoir trois morts... » Grâce à une amie, la jeune femme parvient à s’enfuir avec l’enfant. Fin de six ans de violences conjugales… mais début d’un combat, à ce jour inachevé, pour obtenir justice et réparation.
Valérie a voulu témoigner « pour surmonter la honte d’avoir vécu ça ! ». Et « pousser une gueulante ». Dire qu’elle s’est « épuisée en procédures et démarches sans résultats, face à des flics et des juges à qui il faut sans cesse tout redire. Et revivre le traumatisme… »
A contrecœur, elle s’impose l’anonymat dans le seul but de ne pas interférer avec “l’œuvre de justice”. Espérer encore que sa plainte pour les violences de 2006 aura enfin une suite. Attendre que soient exécutées les décisions qui condamnent en vain le mari à faire face à ses obligations financières. Pouvoir, un jour, à l’appui de ses propres mots peut-être trop subjectifs, montrer à son fils des documents qui auront valeur de preuve. « Que la justice fasse son travail, pour mon fils aussi ! »
Valérie n’occulte rien. Cet homme, elle l’a aimé passionnément, et admiré ses qualités intellectuelles, elle qui n’en manque pas et s’exprime avec des mots précis et pesés. Elle parle de la « stupeur » qui l’a empêchée de réagir pendant tant d’années aux violences psychologiques et physiques. « Les choses ont commencé à se dégrader après le suicide de son frère. D’abord des reproches : j’étais nulle, je ne servais à rien. Au début on n’y prête pas attention, on reste amoureuse, on se dit que les critiques sont peut-être fondées. »
Puis arrivent claques et bousculades. « Par mon travail d’infirmière, j’avais croisé des victimes à qui je disais qu’un homme qui frappe une fois recommence toujours. Et j’étais là, sous l’influence de cet homme, en perte d’estime de moi, incapable de réagir. »
Valérie refuse d’utiliser le mot de « viol » quand elle évoque ces « relations sexuelles contraintes qui permettent de ne pas trop se faire taper dessus. Un psychiatre a dit que les hommes donnent les coups qu’ils ne tirent pas ; de temps en temps ils font l’inverse… »
L’anesthésie s’arrête donc ce 30 janvier 2006, mais pas question de guérison ! Retors et fin juriste, le mari violent ouvre des contre-feux et poursuit son harcèlement « par des textos d’insultes, de chantages, de menaces ». A cette pression, s’ajoute l’incompréhension ou l’indifférence là où on ne les attend pas. Un médecin refuse de se déplacer pour constater les violences. Un policier désinvolte « vous demande vos recettes de cuisine parce que votre ex, entendu auparavant, lui a parlé de vos talents de cuisinière ».
Le divorce traîne jusqu’en 2010 et laisse Valérie exsangue financièrement car le mari a organisé son insolvabilité. Pourtant la jeune femme ne lâche pas prise. Sa mère et son avocate l’aident sans faillir, d’autres policiers se sont montrés plus à la hauteur, des magistrats finiront peut-être par agir. « Par rapport à d’autres femmes battues qui atterrissent en foyer, je suis presque dans des conditions luxueuses. Parfois j’ai envie de hurler, un cri que beaucoup d’autres femmes ne peuvent pousser. »
Frédéric Mars est un écrivain qui a plus d’une quarantaine de livres à son actif dans divers genres littéraires.
Le Manuel du serial killer est son septième roman.
Extrait choisi
Dans deux ou trois heures tout au plus, ce garçon sera mort.
Raide comme une batte. Vidé ou presque de son sang, écrasé comme un insecte sur le carrelage immaculé de la cuisine familiale. Petit cafard renvoyé au paradis des parasites. Sa mère glapira de détresse. Le chien aboiera son effroi. On appellera le médecin, les voisins, et bientôt les flics. Mais tout ce beau monde sera aussi impuissant que vous et moi. Un enfant de dix ans aura quitté ce monde. D’un coup de vent sec. Pfut.
Regardez-le, pourtant, sortir du stade, le sourire aux lèvres, bras dessus bras dessous avec son grand frère. C’est ce dernier qui lui a offert sa boisson multivitaminée, celle qu’on ne boit que les jours de match. Celle qu’ils achètent au petit stand ambulant qui stationne toujours à la porte B, pile en face de la grande statue de bronze qui glorifie les héros de Fenway Park. « Tema Mates », dit la plaque. Les copains de l’équipe. Il lui a confié la monnaie nécessaire et l’a laissé s’approcher seul de la buvette, comme un grand.
Aussi loin qu’ils s’en souviennent tous les deux, et leur père et leur grand-père avant eux, cette roulotte a été là. Fidèle au rendez-vous. Déjà le jour du sacre historique de 2004, après quatre-vingt-six ans de disette, quand le petit n’était encore qu’un bébé hissé sur les épaules de son papa. Les jours de triomphe comme eux, hélas plus nombreux, des cuisantes défaites.
Le gamin aux reflets roux sirote son jus frais et acidulé, ballotté par la foule qui se rue hors de l’arène. Ça lui fait tant de bien. L’automne a pris un peu de retard, cette année. Il faisait si chaud dans l’enceinte bourrée à craquer.
- T’en veux ?
Il tend l’emballage cartonné à son aîné.
- Non, merci… Après, j’aurai trop envie de pisser dans le métro.
De Fenway jusqu’à South Boston, ils en ont pour une petite heure de transport, compressés entre des brochettes de supporters, dans des vieux wagons surélevés de la ligne D. Pas les plus confortables du réseau, loin de là, mais dont le bringuebalement familier leur est si doux, promesse des joies à venir dans un sens, souvenir des émotions passées de l’autre.
Quand ils passent les portillons de la station, entièrement habillée aux couleurs des Red Sox, le petit est pris d’une sorte de hoquet. Comme un haut-le-cœur soudain.
- Ça va pas ? s’inquiète le plus grand.
- Si… Je crois juste que j’avale trop vite. Ça me gonfle le ventre.
- Vas-y mollo.
- Oui, mais j’ai tellement soif !
Alors il continue de boire. Il tire sur la paille avec avidité, jusqu’à produire ce drôle de petit gargouillis au fond de la boîte qui signale qu’il est arrivé à la dernière goutte. A mesure que le métro progresse, ce bruit et les autres - crissements de rails, claquements de portes automatiques, beuglements des passagers enivrés par la victoire - se fondent dans un même bourdonnement continu. Un grondement qui emplit peu à peu tout l’espace.
- J’entends plus rien, se plaint le petit.
- Quoi ?
- Mes oreilles…
Il les désigne d’un geste affolé.
Le grand le tire par la manche et l’extrait de la rame. De toute façon, ils ont à Park Street. C’est là qu’ils doivent changer. Le rouquin aux traits si régulier chancelle dans les couloirs de correspondance, arrimé au bras fraternel comme un navire en perdition à son remorqueur. Lorsqu’ils parviennent à la station de Broadway, leur destination, il ne s’agit plus de le soutenir mais bel et bien de le porter, poupée flasque dont les jambes survolent l’asphalte. Sur l’avenue, les passants se retournent sur ce duo qui tangue d’une étrange manière. A deux ou trois reprises, le grand lâche sa prise, et son cadet tombe à genoux. D’abord quelques gouttes écarlates font floc-floc sur le trottoir, puis son nez n’arrête plus de pisser un sang presque surnaturel tant le rouge est vif. Il sème ainsi ses flasques de vie jusqu’à leur bicoque, aussi modeste que l’est tout le quartier.
[...]
Résumé
Orphelin de père et de mère, Thomas Harris est étudiant en lettres à Harvard. Propulsé stagiaire au service des manuscrits de la maison d’édition Killin Publishing, Tom est chargé d’effectuer un premier tri. A la fois horrifié et fasciné par sa lecture du Manuel du serial killer, déposé anonymement, il décide d’en rejeter le texte.
Or, quelques jours plus tard, Le Manuel du serial killer est édité sous son propre nom.
Avis
Après deux de ses œuvres parues en 2011 que j’ai lues, un thriller historique, Le sang du Christ et Non Stop, un thriller dont l’intrigue se déroule à Manhattan juste avant la date anniversaire du 11 septembre 2012, Frédéric Mars revient avec un roman choc, Le Manuel du serial killer.
Avec une agilité certaine, Mars soumet au lecteur plusieurs angles de vue : celui de Thomas Harris, celui d’un psychiatre et surtout celui du Manuel du serial killer. En effet, ce livre est une vraie mise en abyme : il contient un roman racontant certains faits qui se déroulent dans le roman.
La syntaxe est irréprochable. Les scènes s’enchaînent à un rythme soutenu, distillant ça et là des indices qui aiguillent le lecteur vers des pistes qui peuvent se révéler fausses. Ou pas. Aucune longueur, aucun superflu.
Frédéric Mars a su instaurer un climat de tensions psychologiques dans laquelle des personnages troublants évoluent au sein d’une ambiance pour le moins étrange. Le plus perturbant étant sans nul doute, l’arme choisie et les victimes élues.
Pour moi, Le Manuel du serial killer s’adresse à toutes celles et tous ceux qui ont l’envie de se perdre dans les méandres tortueux de l’esprit d’un tueur en série et de répondre à cette question : comment ?
Le Manuel du serial killer, Frédéric Mars, éditions Black Moon 18 €
French lingerie company Valege recently released three very creative/unsettling bra ads (like the one above). I’ve sprinkled them through this post for your amusement/discomfort.
Feminist Conversations is a regular feature here at Feminists for Choice. Today we are talking to Melinda Tankard Reist, co-editor of Big Porn Inc: Exposing the harms of the global pornography industry. Melinda is also the co-founder of Collective Shout: for a world free of sexploitation.
How did you become interested in researching pornography?
There were a few things that came together around the same time. Women started telling me their stories of being hurt and harmed by a partner’s compulsive porn use. In my talks in schools, teen girls shared with me the pressure they felt to provide a porn-style performance, to act, essentially, as a sexual service station for men and boys. They were expected to provide naked images of themselves, to provide sexual services. As well, the sex industry was dominating and colonising every public space and was rarely brought to account. I began to talk to my publishers about what I was hearing. Spinifex had published an earlier book in 2004 titled Not for Sale: feminists resisting prostitution and pornography edited by Christine Stark and Rebecca Whisnant. It was a powerful book. But so much had happened since then, especially with the internet being used to globalise and spread pornography. We felt that a new book on pornography was needed. It also seemed to be a natural progression from my previous book Getting Real: challenging the sexualisation of girls, published by Spinifex in 2009.
There seems to be an overall consensus in the book that pornography is the same (or similar to) prostitution. Can you explain the similarities?
Yes, the writers in the book would mostly argue that pornography is filmed (or graphically depicted) prostitution. Melissa Farley uses the term ‘infinite prostitution’. The pornography industry has many of the features of the prostitution industry–it needs to procure women through trafficking, it relies on pimps to mediate transactions with the women who will be used, and the women it procures generally have histories of sexual abuse, poverty and homelessness. Pornography is advertising for prostitution and normalises the sexual exploitation of women. As well, men often want to act out what they see in porn on ‘live’ women. Pornography is often used as a form of initiation into prostitution. It’s also the case that women in pornography are concurrently being prostituted off-set, or go on to be used in systems of prostitution and stripping. The overlap between the prostitution and pornography businesses is so great that we might see them as operating in parallel, or perhaps as one larger sex industry. However, I think it’s also important to understand the differences between the pornography and prostitution sectors of the sex industry, and Big Porn Inc highlights these differences for pornography in particular. Firstly, the abuses that women undergo in pornography have a permanent or semi-permanent record made of them in the form of film, etc. This record causes many women great hardship and stress, because they feel they can never escape their past, and suffer anxiety at the prospect that anyone they meet throughout their lives has seen the pornography. They are also vulnerable to blackmail over it. The permanency of pornography causes particular suffering for women whose childhood sexual abuse was filmed as child pornography and shared by their abusers. Another aspect of the pornography industry that might distinguish it from the rest of the sex industry is the culture of ‘celebrity’ and ‘glamour’ that has developed around the industry in the last ten years. Jenna Jameson and Sascha Grey have been central to the promotion of the idea that pornography is a way for poor girls to escape their lives and become rich and famous, but of course the reality of the industry for the overwhelming majority of women/girls is that they are used up in around three months because of the extremity of the abuse and degradation of contemporary pornography. However, this culture of celebrity is very attractive to poor girls, and unfortunately draws them to the industry in a way that doesn’t necessarily happen for prostitution businesses. It means that the pornography industry is able to attract particularly young women, and in increasingly large numbers. The industry is normalised among younger generations to an extent that prostitution is not, because of widespread consumption of pornography among this generation, and the celebration of pornography by the popular media and culture. A third difference between the pornography and prostitution industries is the diversity of forms pornography takes–it is possible for women/girls to be sold as pornography through being used by their ‘boyfriends’ in front of home-based webcams, for example. While it is also common that ‘boyfriends’ pimp women through their homes, in the case of pornography this pimping is made difficult to recognise as illegal because of technology and the glamorising of pornography. There are businesses dedicated to the pimping of women through pay-per-view webcams, as well as pornography made of women being used through brothels. This diversity in the mode of business that pornography takes means that the industry is able to expand with very little scrutiny and opposition, let alone government oversight. The industry essentially operates in unchartered, frontier space in the absence of any controls whatsoever. Governments and societies worldwide are overwhelmed by the diversity of the sex industry, and so far haven’t managed to enact any governance frameworks at all that might curb its expansion and domination over culture and the economy.
What is your overall message about pornography that the book also highlights?
I think a major theme of the book is that the first and most egregious harm of pornography is to the women and girls who are used to make it. While the harm of pornography does extend to women much more widely, when we think about pornography we must think about the women who are harmed in its production first. This is because women/girls used in pornography are perhaps the most vulnerable and exploited population in our society. They are often racially marginalised, as well as victims of childhood sexual abuse, homelessness, and addiction. Their life chances are very poor, and even more so after they have been through the pornography industry. The writing in Big Porn Inc against the pornography industry mostly prioritises the interests of these women/girls in the way it does not make distinctions between ‘soft’ and ‘hard’ pornography, or ‘better’ and ‘worse’ forms of pornography. For the women and girls used in the industry, these distinctions are often meaningless, because the same women are used in both types of pornography production. Often they start out in ‘soft’ production, but then must be used in more violent and degrading productions to be able to make money and stay in the industry. For these women and girls, the chance to lead a life of quality and dignity depends on our efforts to dismantle the sex industry and create social services and facilities that will allow them to recover from childhood sexual abuse, to escape homelessness, and escape pimps or exploitative ‘boyfriends’. In addition to these women, of course, pornography harms many others, including the children who are sexually abused through perpetrators showing them pornography, as well as wives/girlfriends who are pressured to ‘act’ out scenes in pornography, and girls and boys who grow up seeing pornography as a ‘model’ for sexual relationships and never have a chance at understanding what true physical affection and tenderness looks like. Average age of first exposure to porn is 11. This is distorting and warping young people’s views of their bodies, relationships and sex. I believe it is an unprecedented assault on the healthy sexuality young people.
The trend in pornography seems for “sex” to be increasingly violent and aggressive. Can you explain why that is?
Yes, as Gail Dines and others show, the pornography industry over time has definitely escalated its violence against women and the level of degradation and humiliation it inflicts. Researchers have gathered empirical evidence that the more popular forms of pornography are the ones that are more violent and overtly degrading of women. Torture porn has become increasingly popular, rape sites, live S&M and bondage in which women are brutalised in whatever way the viewer requests. And it’s all becoming more and more mainstream. For example the documentary film Kink is about to screen at the Sundance Film Festival. The Kink website shows images of women in extreme positions of pain and torture. It seems it’s not even about ‘sex’ anymore – it’s about how much brutality and degradation a woman can cope with. And this is where many young men take their cues for relating sexually to women.
What is your response when people state that there are no victims in porn (just consenting adults)?
Linda Boreman’s (Lovelace) account of her time in the pornography industry where she was brutalised and forced into its production shows this claim to be untrue. Traci Lords’s use in pornography as a sixteen-year-old also shows that the industry does not always use adult women. Even women who glamorise their time in the pornography industry sometimes describe aspects of its brutality, such as Jenna Jameson’s How to Make Love Like a Porn Star: A Cautionary Tale in which she describes being incapacitated for six hours after a sex scene in which she was injured internally. The notion of ‘consent’ that proponents of the sex industry use to justify their moneymaking activities is an extremely impoverished one. The idea that young women surviving childhood sexual abuse who are homeless and being pimped by a ‘boyfriend’ are making a ‘choice’ to enter the pornography industry is laughable. The ‘consent’ invoked for women used in pornography is nothing more than a legal ploy to allow the filming of prostitution and sexual abuse (and sometimes overt physical torture) without the threat of arrest and prosecution. These activities are allowed to take place in society only because the cover of ‘sex’ makes them somehow different from what they really are, which is rape, sexual abuse, physical abuse, and exploitation.
When did you first consider yourself a feminist and what influenced that decision?
It is difficult to identify one key moment. There was a dawning recognition about the global maltreatment of women. It was, I suppose, recognising the second-class status of women pretty much everywhere. I have travelled a lot and witnessed the abuse of women in so many parts of the world. You just have to look at the raw statistic on violence, ‘honour’ killings, dowry deaths, female genital mutilation, child brides, forced abortion, forced sterilisation, female foeticide, female infanticide, the systematic elimination of women and girls in so many ways. I recall being in a shelter in Hyderabad, India. On the bottom level were the abandoned baby girls; many plucked from rubbish heaps, with bruises and broken bones. On the second level were the abandoned pregnant girls and women. On the top level were the abandoned widows. Three layers of discrimination against women, all in that one home.
What does feminism mean to you?
It means working to change the second-class status of women. To addressing the real, felt needs of women (I was privileged to help set up a supported accommodation and outreach service for women and girls pregnant and without support in Australia.) To advocating for women and girls everywhere and all the time. It means trying to make the world better for my three daughters and the daughters of other women as well. It means engaging in grass roots activism and empowering other women to speak out, through movements like Collective Shout: for a world free of sexploitation (www.collectiveshout.org) It also means working in solidarity with the best people I have ever met.
___
reblogged from : http://feministsforchoice.com/melinda-tankard-reist-on-the-harms-of-pornography.htm
Le pendu
Charlie Foxtrot, c’est un petit coup de cœur que j’ai eu en regardant ces vidéos de la chaine « Ici charlie Foxtrot »
Je ne savais pas du tout si c’était une fille qui avait fait cela dans son salon, une militante, une comédienne… Bref je lui ai envoyé un mail pour en savoir plus et elle m’a répondu « Pour être honnête, je ne sais pas trop où je vais avec ces petites interventions podcastiennes… Pour l’instant il s’agit plus de quelque chose que je fais avec amusement, un tutoriel de montage vidéo sur les genoux, en parallèle à mes activités… Quoi qu’il en soit, je ne vois pas d’inconvénient à répondre à quelques questions – ça sera à toi de voir s’il y a quelque chose à tirer des réponses – et suis toujours ravie de croiser la route de quelqu’un qui s’intéresse à la question du genre, surtout en France. »
Je l’ai donc bombardée de questions
1) Pourquoi « surtout en France » ? Il y a donc si peu de gens qui s’intéressent au genre ?
J’ai dit « la question du genre en France » car il m’a fallu partir en Angleterre pour pouvoir étudier les « gender studies » (la première fac spécifiquement dédiée à la question ayant ouvert à Paris l’année dernière) et ce n’est que récemment que j’ai pu voir réellement la thématique apparaître dans les médias grand public français (dont le chouette article de novembre 2012 « le genre en question », dans Télérama, je ne sais pas si tu as pu tomber dessus). Bref, sinon je suis née en Allemagne, j’ai grandi en France, et j’ai pas mal bourlingué.
2) Qu’est-ce qui t’a donné envie de faire ces vidéos ?
J’ai fait ma première vidéo parce que j’étais en contact avec David Frécinaux de l’émission « + ou – geek » et qu’il voulait une démo. Je n’avais que des vidéos de théâtre/cabaret, qui ne correspondaient pas à ce qui était demandé, et j’ai donc bricolé un podcast de dernière minute, en une après-midi, pour présenter ma démo, étant donné que je n’avais pas de matos et que je trouve qu’il vaut toujours mieux assumer d’être à la dèche technique. Je l’ai envoyé à mes amis au passage, et c’est eux qui m’ont dit qu’ils auraient bien aimé en voir une deuxième. (Pour la fin de la petite histoire, la prod de « +ou- geek » a finalement préféré prendre une chroniqueuse « Cosplay » qu’une chroniqueuse « Sexo »… ) J’ai donc continué à faire des vidéos, en les laissant disponibles aux regards sur Youtube, mais sans faire d’autre diffusion que de créer un compte Google+ associé sur lequel je publie aussi des articles ou images qui m’interpellent ou me font marrer. Pour l’instant, je n’ai pas eu de « stratégie de diffusion », sans doute en partie parce qu’il m’a fallu assumer le truc (pas tant de parler de sexe que de le faire dans des conditions techniques déplorables)
Cliquer ici pour voir la vidéo.
3) Penses-tu continuer longtemps ?
Je pense continuer tant que j’en ai l’envie, et le temps, et quelque chose à dire. À vrai dire, c’est une chouette expérience pour moi de faire des trucs rapidement, en mode « amateur », sans me prendre la tête et d’avoir autant de retours positifs! Sans compter que cela me permet de véritables interactions riches sur les réseaux sociaux (l’autre jour, par exemple, un passionnant débat sur les capotes avec une vingtaine de participants – et hélas peu de participantes – et une grande liberté de parole, c’était chouette !) ça renvoie d’ailleurs à ce que j’ai toujours apprécié dans le dialogue au sujet du sexe : on en arrive très vite à un « parler vrai ». Sans compter que c’est un sujet qui met immédiatement en lumière le ridicule partitionnement français des sciences humaines : s’il y a bien un domaine où le clivage sociologique/psychologique ne fait pas sens, c’est celui de la sexualité. Car une porte d’entrée socio ou psy qui peut faire sens au niveau théorique peut vite se révèler incomplète, voire dangereuse, au niveau individuel ou thérapeutique…
4) Comment as-tu choisi tes différents sujets ?
J’ai choisi mes trois premiers sujets (les monstres, les robots et les roux) en fonction de mes envies du moment, et parce que ça permettait une accroche facile à un public de geeks. La 4ème vidéo, sur l’identité sexuelle, je l’ai faite en réaction à l’actualité. Sans doute un peu de moutarde qui m’est montée au nez. Pour l’instant, il n’y a pas de « formule » de « Ici Charlie Foxtrot » : parfois il y a des personnages, parfois non, parfois je me bichonne, parfois je le fais en pyjama, parfois c’est drôle, parfois non… Je ne cherche pas à faire rire à tout prix. Pour l’instant, je n’ai pas envie de m’enfermer dans un projet/format : je fais ça par plaisir, je fais ce dont j’ai envie et j’attends de voir où ça m’amène! C’est une surprise pour moi à chaque fois (surtout que je n’avais jamais monté de vidéo y’a 3 mois !)
5) Est-ce un hobby ou c’est en lien avec des activités ?
Happy Friedrich – Le Fol
À côté de ces vidéos, je suis comédienne et auteur. J’ai dirigé une troupe de cabaret jusqu’à il y a deux ans, sous un autre pseudonyme, et je me consacre depuis uniquement à l’écriture et à la performance. Sans doute que ce petit side-project me permet de rediriger une certaine frustration de la scène, notamment par la création des personnages. En tant qu’auteur, j’écris tout aussi bien articles de sciences humaines que pièces de théâtre. En actu, j’ai un spectacle qui se joue dans le sud de la France et un bouquin paru sur le sujet des identités virtuelles (je suis actuellement en pleine recherche sur le thème « le rapport au corps, à l’ère du virtuel », je vais peut-être écrire un truc sur ce sujet que je trouve passionnant, et c’est aussi pour ça que je suis rarement chez moi : pour écrire, je m’éloigne des écrans) . Je suis aussi traductrice et rédac web à l’occasion pour arrondir les fins de mois. J’ai un roman en cours.
« Charlie Foxtrot » est mon nom de cabaret. Sous cette identité extravertie, je me sens à l’aise pour faire les vidéos et les performances, notamment celles qui impliquent de la nudité : je travaille également avec un ami photographe dans le cadre d’un duo qui s’appelle « Happy Friedrich« . Nous n’avons pour l’instant que peu diffusé notre travail, mais comptons mettre en ligne un projet de tarot photographié au cours du mois de mars. (Et hop, tiens, je te joins quelques photos, pour que tu puisses te faire une idée…) Après l’élitisme du milieu théâtral, la facilité de diffusion que permet le web est extrêmement rafraîchissante.
Militante, je le suis depuis longtemps, et sans doute que ça transparaît dans un peu tout ce que je fais. Mais j’essaye, en particulier dans mes projets artistiques, de maintenir un militantisme plus joyeux qu’énervé (ce qui n’est pas toujours facile, au vu de mon tempérament sanguin !) qui donne envie de s’intéresser et pas de se retrancher derrière un bouclier…
Retour sur le génocide en Ex-Yougoslavie. On estime à 50 000 les femmes musulmanes bosniaques et croates que les soldats serbes ont violées.
La nuit [dans le camp] c’était le pire. Les soldats étaient ivres, venaient et partaient avec une femme. Curieusement, quand noues revenions, noues ne parlions pas de ce qu’ils noues faisaient. Noues avions tellement peur que l’on sache ce qu’ils noues faisaient. Noues avons commencé à avoir peur de notre ombre. Mais notre silence parlait de lui même.
Le viol, c’était pour noues torturer. Pour briser notre âme. Ils auraient pu me tirer une balle dans la tête, je ne serais pas restée là, avec cette douleur. Noues ne serons plus jamais les femmes que noues étions. Ils noues ont brisé l’âme. Sali le sang.
Je me demande. Ces gens n’ont pas de sentiment. Ils savaient parfaitement ce qu’ils faisaient. Ils n’étaient pas ivres ou …. Ils étaient très organisés. Ils noues vendaient. Noues étions leurs esclaves.
Si la rivière [de Priédor] pouvait parler, elle seule sait ce qui s’est passé … si le pont pouvait parler, pour dire combien ont été jetées … ils n’ont pas tué un enfant, ils n’ont pas tué dix femmes, mais des milliers.
Aujourd’hui [2001], noues allons à toutes les exhumations pour essayer de retrouver les femmes.
Catharine MacKinnon a offert à ces femmes un second Nuremberg, (« Remedies for War Crimes at the National Level« ) pour qualifier de manière juste, pour la première fois, les atrocités sexuelles qu’elles ont subies.
Ensemble, en mars 1993, durant le procès Kadic v. Karadzic au Tribunal International, elles ont plaidé pour que l’on qualifie leurs viols de génocide, le viol d’arme de guerre, le viol de crime contre l’humanité et qu’on le reconnaisse comme une forme de torture.
***
20 ans déjà que Catharine MacKinnon et ces survivantes noues ont rendu une voix sur le crime spécifique de notre oppression.
On peut regarder en arrière pour comprendre ce qui s’est passé en Ex-Yougoslavie. Les génocides passés. Organisés en camps, pratiquant le viol de masse à des fins de torture mais aussi de pornographie et de prostitution. On peut aussi regarder devant noues. Qu’est-ce qui noues attend ? Dans des sociétés qui sont aussi saturées de pornographie que l’était la société pré-génocidaire d’Ex-Yougoslavie …
extrait de « Turning Rape Into Pornography: Postmodern Genocide », by Catharine A. MacKinnon« Everything was dark, but the bed on which they were raping was lit up, like when they interrogate you and point the light only on you. Only that bed was lit up with a spotlight…. I had a feeling that they were sometimes recording or filming.”
In what is called peacetime, pornography is made from rape in film studios, on sets, in private bedrooms, in basements, in alleys, in prison cells, and in brothels. It should be no surprise to find it being made in a “rape theater” in a Serbian-run concentration camp for Bosniaks [Muslims] and Croatians [Catholics] in Bosnia-Herzegovina — as reported above by one survivor, a twenty-eight-year-old Croatian and Bosniak woman. Still, it comes as a shock, a clarifying jolt. When Linda “Lovelace” reported her coercion into the pornographic film Deep Throat, Gloria Steinem reworded the essence of the disbelief and blame Linda encountered as amounting to asking her, “What in your background led you to a concentration camp?” If this was ever only an analogy, it isn’t anymore.
Exploding the strategy pioneered a year earlier in Croatia, Serbian military forces in Bosnia-Herzegovina have been, as the world now knows, carrying out a campaign called “ethnic cleansing.” This is a euphemism for genocide. It means removal or liquidation of all non-Serbs from the territory that was called Yugoslavia. This campaign of expansion through ethnic extermination has included rape, forcible impregnation, torture, and murder of Bosniak and Croatian women, “for Serbia.” A Bosnian Muslim soldier — call him “Haris” to protect his identity — who spied on Serbian forces, described what he saw them do, from Vaganac in Serbian-occupied Croatia to Grabez in Serbian-occupied Bosnia: “Everything that’s Bosniak or Croatian, they slaughter, kill, set on fire. Nothing’s supposed to remain alive, not even a chicken, cat, or bird, if they know it’s Bosniak or Croatia… One said, ‘There’s a dog; it’s Muslim, kill it.’” The raped women, the filmed women, the pregnant women, and probably the murdered women as well as the men suffer not only from these atrocities but also from knowing that they are intended to be the last of their people there.
This genocidal war has repeatedly been mischaracterized as a “civil war,” aggressor equated with victim, “all sides” blandly blamed for their “hatred.” Yet Serbian aggression against non-Serbs is as incontestable as male aggression against women in everyday life. Wars always produce atrocities, especially against women civilians. But there is no Bosniak or Croatian policy of territorial expansion, of exterminating Serbs, of raping Serbian women. This is not reciprocal genocide. The reluctance to say who is doing what to whom is reminiscent of the mentality that blames women for getting ourselves raped by men we know and then chides us for having a bad attitude toward them. Asja Armanda, of the Kareta Feminist Group in Zagreb, theorizes that the closer to home atrocities come, the more they are domesticated, made into love gone wrong. The more “feminized” the victims thus become, the more hesitant other men are to intervene in a family quarrel, and the more human rights can be violated and atrocities condoned.
The rapes in the Serbian war of aggression against Bosnia-Herzegovina and Croatia are to everyday rape what the Holocaust was to everyday anti-Semitism: both like it and not like it at all, both continuous with it and a whole new departure, a unique atrocity yet also a pinnacle moment is something that goes on all the time. As it does in this war, ethnic rape happens every day. As it is in this war, prostitution is forced on women every day: What is a brothel but a captive setting for organized serial rape? Forced pregnancy is familiar too, beginning in rape and proceeding through the denial of abortions; this occurred during slavery and still happens to women who cannot afford abortions — who in the United States are disproportionately african American or Latina. Also familiar is the use of media technology, including pornography, to make hatred sexy. Women are abused by men in these ways every day in every country in the world. Sex has also been used before to create, mobilize, and manipulate ethnic hatred, from the Third Reich to Penthouse. Yet the world has never seen sex used this consciously, this cynically, this elaborately, this openly, this systematically, with this degree of technological and psychological sophistication, as a means of destroying a whole people.
With this war, pornography emerges as a tool of genocide. Natalie Nenadic, an American of Croatian and Bosnian heritage, writes from Zagreb that she learned from Bosniak sources that “some massacres in villages as well as rapes and/or executions in camps are being videotaped as they’re happening.” One woman who survived the Bucje rape/death camp in Serbian-occupied Croatia reports the making of pornography of her rapes this way: “In front of the camera, one beats you and the other — excuse me — fucks you, he puts his truncheon in you, and he films all that…. We even had to sing Serbian songs… in front of that camera.” Account after account documents that Serbian forces film as they rape. As they do it, they watch, laugh, encourage each other, and spew ethnic curses and epithets. “Ustasha whore” is particularly commonplace. “Ustasha” is a derogatory political term that refers to the fascist regime in Croatia (then including Bosnia-Herzegovina) that collaborated with Hitler. [Serbia also was a Nazi-puppet state]. Serbian soldiers use it for Bosniak and Croatian women – most of whom were not even born until after World War II.
In a war crimes trial in Sarajevo in March 1993, Borislav Herak, a Serbian soldier, testified that the rapes he committed had been ordered for “Serbian morale.” As an instrument for their morale building, the Croatian-Bosniak survivor quoted earlier – one of whose twin sons was decapitated in her arms – reports that, as they raped her, “Serbian soldiers were telling me ‘Croatia needs to be crushed again. Balijas need to be crushed completely. You are half this and half that. You need to be crushed to the end. Because you’re Croatian, you should be raped by five different men — and because you’re a Bula, you should be raped by five more.’” Balija and Bula are derogatory names for Bosniaks. Xenophobia and misogyny merge here; ethnic hatred is sexualized bigotry becomes orgasm. Whatever this rape does for the rapist, the pornography of the rape mass-produces. The materials become a potent advertisement for a war, a perfect motivator for torturers, who then do what they are ordered to do and enjoy it. Yes, it improves their morale.
Some of the rapes that are made into pornography are clearly intended for mass consumption as war propaganda. One elderly Croatian woman who was filmed being raped was also tortured by electric shocks and gang raped in the Bucje concentration camp by Serbian men dressed in generic camouflage uniforms. She was forces to “confess” on film that Croatians raped her. This disinformation — switching the ethnic labels — is especially easy where there are no racial markers for ethnic distinctions, and it is a standard technique. Another such incident of switched victims and murderers was dismissed as “a shameless lie” by relief officials, according to a UN spokesperson in Sarajevo, quoted in the New York Times on April 14, 1993. One woman captured by the Serbs described how she was forced to participate in such lies by reading a scripted false “confession” about her activities as a “terrorist” for a Television Novi Sad camera. She knew the fabrication aired because she was recognized by a Serbian guard who said he had seen her on Belgrade TV.
Serbian propaganda moves cultural markers with postmodern alacrity, making ethnicity unreal and all too real at the same time. Signs and symbols, words, images, and identities are manipulated to mean anything and its opposite — all in the service of genocide, a single reality that means only one thing. When human beings are “represented” out of existence, playing reality as a game emerges as a strategy of fascism.
Actual rapes of Bosniak and Croatian women by Serbian soldiers, filmed as they happen, have been shown on the evening news in Banja Luka, a Serbian-occupied city in western Bosnia-Herzegovina. The women were presented as Serbian and as being raped by Bosniak or Croatian men. In September 1992 one woman about age fifty, entirely naked and with visible bruises, was shown being raped on television. A Serbian cross hung around her neck; the rapist — using a term for Serbian fascist collaborator that has become a badge of price among Serb forces — cursed her Chetnik mother; someone was yelling “harder.” The verbal abuse was dubbed — and unmistakably Serbian in intonation and usage. The man’s face was not visible, but the woman’s was. In another televised rape a few days later, a woman near age thirty-five, with short, dark hair, was shown on the ground; her hands were spread and tied to a tree, her legs tied to her hands. Many men watched her raped in person; thousands more watched her raped on television. This time, in an apparent technical lapse, about four or five seconds of the actual sound track was aired: “Do you want sex, Ustasha? Do you like Serbian stud horses?” Earlier in the war, according to Asja Armanda of teh Kareta Feminist Group, a news report showed Serbian tanks rolling in to “cleanse” a village. The tanks were plastered with pornography.
How does genocide become so explicitly sexually obsessed? How do real rapes become ordinary evening news? Before the war, pornography saturated Yugoslavia, especially after the fall of communism. Its market, according to Yugoslav critic Bogdan Timanic, was “the freest in the world.” A major news magazine, Start, with a Newsweek-like format and the politics of The Nation, had Playboy-type covers and centerfold section showing naked women in posture of sexual display and access. Select women who were privileged under the Communist regime, and who presented themselves as speaking for women, regularly published there and even occasionally served as editors. (The presentation of pornography as a model of feminism repelled many women). When pornography is this normal, a whole population of men is primed to dehumanize women and to enjoy inflicting assault sexually. The New York Times reported finding “piles of pornographic magazines” in the bedroom of Borislav Herak, the captured Serbian soldier who calmly admitted to scores of rapes and murders. At his war crimes trial in Sarajevo, when asked where he learned to kill, he described being trained by killing pigs. No one asked him where he learned to rape, although he testified that his first rape in this was his first sexual experience. Pornography is the perfect preparation – motivator and instructional manual in one – for the sexual atrocities in this genocide.
Pornography, known to dehumanize women for its consumers, pervades some rape/death camps, according to survivors. In one military prison, the pornography was customized to suit the guards’ sexual tastes, in echoes and parallels to the acts they performed. One woman in her mid-thirties, a mother of two, recalls how some men drew little penises next to women in the pornography with whom they wanted to have sex and wrote their names on the penises. Next to the men in the materials, they wrote, “I have a longer one than you” and signed their names. One Serbian guard “draws a picture of his own dick and an arrow showing where he’d go with it.” In other words, these men do to women in the materials what they do to women in the camp: “The women were cut out, but the man remains whole.” And speaking of personalized weaponry, survivors in the Bosnia-Herzegovina Refugee Women’s Group, Zene BiH [Women of BiH], in exile in Zagreb, report finding the name of Jovan Tintor, a Chetnik commander, insribed on the remains of projectiles that were aimed at, and hit, a Sarajevo maternity ward.
When pornography is this common and this accepted, the lines dividing it from news, entertainment, and the rest of life are so blurred that women may know no word for it. The woman who survived the Serbian military prison described a thick sex book that made the rounds. It showed she said, “men with animals and women with animals, how you get AIDS.” The book was “so read that it was completely falling apart.” Another woman spoke of seeing “those magazines with the nude women, the sex.” The women in the military prison grasped for words to describe them: “Either they remain standing and are nude or … you have a woman lying on a woman or a woman lying on a man, all those poses that are done. I don’t know what those magazines are called.” Asked what was on the walls of the room where the guards slept — pictures of political leaders, perhaps? — another woman answered, “I can’t say I saw Milosevic or Tito. These pictures were mainly naked women … those usual pictures from Start and those things. Male things.”
The conditions in the camps throughout the occupied areas of Croatia and Bosnia-Herzegovina are subhuman. Some peacetime brothels have become rape/death camps — a kind of surreal camouflage though blatancy. Some are outdoor pens ringed with barbed wire. Some are animal stalls. Some were arenas, factories, schools. Women are typically allotted one thin slice of bread a day. Humanity is jammed into closet-sized concrete cells, begging even for broads to sleep on, waiting for the few to be selected out for systematic torture, to be taken to the rooms with the beds with the bloody sheets. “When night came,” as one survivor put it, “death in life came.” Those who were allowed to live often had to sexually service their captors. One woman was forced to keep her Serbian captor’s penis hard in her mouth from midnight to 5:00 A.M. for fourteen nights in a Serb-run concentration camp in Vojvodina. “My job was to please him, to excite him that whole time, so that he would be able to ejaculate… Sometimes I began to suffocate, and when [he] began to spurt out on the cement, he would beat me up. I had to remain kneeling.”
Often the atrocities are arranged to be watched by other soldiers. In televised rapes, the viewer can see other boots standing around, walking around. The Croatian-Bosniak woman quoted earlier says of her experience: “These soldiers would invite their friends to come watch the rapes. That was like in the movie theater. All sit around while others do their job…. Sometimes those who were watching put out cigarette butts on the bodies of the women being raped.” The Serbian soldier Borislav Herak described how other soldiers watched him rape one young girl after another — all of whose names he remembered.
This is live pornography. We will never know what happened to most of the women who were killed – until we uncover the mass graves, or the pornography. A gang rape observed by Haris, the Bosnian soldier, gives a rare glimpse into the sexual spectacles staged for private viewing, proceeding on orders from a superior at Licko Petrovo Selo, a village in Serbian-occupied Croatia: The woman was tied to four stakes in the ground, “in a lying position, but suspended.” While they were raping her, the soldiers said “that Yugoslavia is theirs… that they fought for it in World War II, partisans for Yugoslavia. That they gave everything for Yugoslavia.” The national politics are fused with sex. Haris reports that the men laugh and chide each other for “not satisfying her,” for not being able to “force a smile out of her,” because she is not showing “signs of love.” They beat her and ask if it is good for her. The superior who is ordering them says, “She has to know that we are Chetniks. She has to know that we’re commanding, that this is our Greater Serbia, that it’ll be like this for everyone who doesn’t listen.” Does it ever occur to them that the woman is a human being? “I don’t know if they ever even think this is a person,” Haris says.
Is there a relationship between the pornography consumed, the sexualization of the environment of torture and predation, and the sexual acts that are performed? This is not an academic question. One woman reported that she saw done to a woman in a pornography magazine what was also done to her. Describing materials in the camps, she says, “Those pictures with those things you hit them with… like you have a chain like this, and like this they hang you to a bed. He hangs her from the ceiling.” Without missing a beat, she moves from describing the materials to describing what was done to her. “I know there was some kind of wooden board on the side, a woman tied to it by chains, she had a mask over her eyes and he was hitting her with some kind of thick whip-crop. I mean that whip-crop reminded me of the Begejci concentration camp, because there in Begejci, they had a thick whip, a crop made like that one — from leather — and they beat the captives in that way. I mean, I was whipped like that once in Begejci with that whip-crop, so I know that it hurts.”
Many tortures in the camps are organized as sexual spectacles, ritualized acts, performed and watched for sexual enjoyment. Haris, hiding in a tree, observed a small concentration camp in Serbian-occupied Croatia in April 1992. It was wholly outdoors, with “hungry, tortured people, beated, bloody.” He watched a man and a woman — who appeared to be seven or eights months pregnant — being taken to a clearing in the woods. The woman was tied vertically to a cross, legs pressed together and arms extended. They ripped her pregnant belly open with a knife. “It was alive… it moved.” The woman took fifteen minutes to die. The man, apparently her husband and father of the baby, was bound to a nearby tree and forced to watch. The attackers attempted to force him to eat the baby’s arm. Then “they hacked him up, cut the flesh on him so that he would bleed to death.” While they were doing this, “they were laughing… ‘We’re going to slaughter all of you. This is our Serbia.’” Haris is certain it was filmed.
Change the politics or religion, and victims of ritual torture in this country report the same staged sexual atrocities ending in sacrifice. Some say these “snuff” scenes too are videotaped.
The Nazis were precocious with the media technology of their time. They used it to create images of events that never took place. They also took pictures of some of their horrific medical experiments and executions. They imprisoned women in brothels, forced women in camps to run naked before cameras, and paraded naked women for pictures just before their executions. They published sexually explicit anti-Semitic hate propaganda. Since then, visual technology that uses human beings as live targets has become cheap, mobile, and available. Nearly half a century of deployment of pornography worldwide has escalated explicitness, intrusiveness, and violence. With this at hand, the Serbs make the Nazis efforts look comparatively primitive.
Rape was not charged in the post-World War II indictments of the Nazis at Nuremberg, although sexual forms of torture, including rape, were documented at the trials. Perhaps this omission was a casualty of the tribunal’s emphasis “not on individual barbarities and perversions” but on the Nazi “Common Plan.” Rape in war has so often been treated as extracurricular, as jut something men do, as a product rather than a policy of war. Yet the propagandist Julius Streicher — editor of the anti-Semitic newspaper Der Sturmer, which contained pornographic anti-Semitic hate propaganda — was indicted for “crimes against humanity for incitement to hatred of Jews. Streicher, described by prosecution documents at the Nuremberg trials as a brutal sadist who carried a leather whip attached to his wrist, was found guilty and condemned to death by hanging. In the war crimes trials for the genocidal war against Bosnia-Herzegovina and Croatia, will those who incited to genocide through rape, sexual torture, and murder — the Serbian pornographers as well as the high policymakers and the underlings — get what they deserve?
Women hesitate to report that pornography is made of their rapes even more than they hesitate to report the rapes themselves. Disbelief from outside combines with humiliation, shame, and a sense of powerlessness inside. It is unbearable to know that even after you are dead — maybe soon, on tape — thousands will see you this way. The depth of despair at stopping the rape becomes an infinity of hopelessness at stopping the pornography of it.
Even though women in rape/death camps know that the same things are being done to other women, and sometimes are even forced to watch them, still the sense of isolation is total. Always they fear reprisals, especially for speaking out against the pornography, even when they are what is called free — meaning they and their families are not literal captives of armed men.
What do we owe them, women for whom “you were lucky if they only raped you”? What will make it possible for them to speak of what was done to them? As one survivor put it, “I have no use for telling you the rest. I have no security. I have nothing.” When the films of her rape are sold as pornography — emblem of democracy and liberation in port-Community Eastern Europe and increasingly protected as speech worldwide — she will have even less than that ».
— Je m’ennuie. J’en ai marre de cet hiver qui n’en finit plus. J’ai besoin d’aventure.
Elle soupira en laissant tomber son magazine. Il déposa sa tasse de café et lui demanda :
— Où veux-tu aller?
— Dans le sud. Quelque part de tropical, où le vent chaud souffle comme une caresse.
— Ferme les yeux.
— Voilà.
Elle sentit sur sa nuque la chaleur de son haleine et les vibrations assourdies des steel-drums.
— Je veux sentir le sable entre mes orteils.
Il fit courir ses lèvres sur son épaule, puis sur la courbe de sa hanche. Il caressa ensuite du bout des doigts ses pieds nus comme le ferait l’écume mourante.
— Je veux goûter à ces alcools sucrés qui font tourner la tête.
Il l’embrassa et lui offrit les saveurs exotiques qu’elle recherchait.
— Je veux danser follement, jusqu’à l’ivresse, jusqu’à oublier mon pays de neige et de glace.
Il la prit dans ses bras et l’entraîna dans biguine étourdissante qui la mena jusqu’à leur lit.
— Tu veux t’endormir dans la chaleur enveloppante de la nuit des Antilles? lui demanda-t-elle.
— Non, je veux plutôt me laisser bercer sous la houle.
Il fit déferler ses mains par vagues successives sur son corps en lui retirant un à un ses vêtements. Puis, il embrassa tendrement chaque parcelle de sa peau nue jusqu’à ce qu’elle se mette à tanguer, jusqu’à ce que la marée montante vienne humecter sa conque de ses embruns.
— Je n’y suis pas encore… murmura-t-elle.
— C’est le voyage qui compte, pas la destination, dit-il avant de plonger entre ses cuisses.
Formellement accusé de s’être branlé
Devant une pauvre gamine de douze ans,
Un Floridien s’est défendu en déclarant
Qu’un trou dans son pantalon il voulait cacher.
Le scénario de Zero Dark Thirty (2012) de Kathryn Bigelow et celui de Argo (2012) de Ben Affleck auraient-ils été fortement inspirés par la CIA ? Le Réseau Voltaire revient sur les affaires en rapportant aujourd'hui que la Commission du renseignement du Sénat des Etats-Unis vient de décider d’interrompre son enquête relative au rôle de la célèbre agence dans la conception et la production des deux films.
Rappelons en effet qu'en décembre derrnier, les sénateurs Dianne Feinstein, Carl Levin et John McCain
avaient écrit au directeur par intérim de la CIA, Mike Morell, pour lui demander de préciser l’implication de l’Agence dans la fabrication de ZDT. S'il a été établi que le
directeur de la CIA a effectivement rencontré la réalisatrice Kathryn Bigelow et le scénariste Mark Boal en mai 2011, juste après l’annonce officielle de la mort de Ben Laden, on ne sait toujours
pas si l’Agence s'est contentée de suggérer le pitch ou si elle l’a également financé.
On apprend aussi que les élus américains ont écrit au distributeur de ZDT pour lui demander mentionner que le film n’était pas basé sur des faits réels, les sénateurs estimant que les scènes de torture n'ont rien à voir les techniques d'enhanced interrogation (interrogatoire renforcé) pratiquées sous la présidence de George W. Bush ; ce que Sony Pictures Entertainment aurait refusé de faire, précisant malgré tout que Zero Dark Thirty était une œuvre de fiction résumant une traque de 10 ans en 2h27.
Le Réseau Voltaire indique enfin que la Commission du renseignement a par ailleurs renoncé à enquêter sur l’implication de la CIA dans la fabrication du film Argo.
"Fuck For Forest" est une association norvégienne "éco-porn", sans but lucratif, qui lutte à sa manière pour préserver la nature en général, le reboisement et la reforestation en particulier. Son mode d'action pour militer et récolter des fonds est plutôt original puisque tout passe principalement par son site internet érotique voire pornographique. Selon Wikipédia, le documentaire Fuck For Forest (2012), réalisé par Michał Marczak, a pour objectif de présenter les projets environnementaux du groupe tout en se focalisant sur des sujets tels que la sexualité, les modes de vie contemporains, la mentalité occidentale, l'ouverture culturelle ainsi qu'une perception nouvelle du monde. Le documentaire, qui doit sortir sur les écrans anglais le 19 avril 2013, vient très naturellement d'être interdit aux moins de 18 ans par le BBFC : "contains strong sex, nudity and drug use"...
La bande annonce :
Par ailleurs, la Commission de classification britannique vient d'interdire aux mineurs le
film indien The Attacks of 26/11 (2013) de Ram Gopal Varma évoquant les attentats terroristes de Bombay perpétrés en 2008.
La bande annonce :
La Musardine est heureuse de vous annoncer qu’elle soutient, approuve et applaudit chaudement: Une rencontre par mois, en appartement, deux ambassadrices, vingt participantes, un sujet : le sexe.
Informations, explications, partage d’expériences : ce sont les Cabinets de Curiosités Féminines. Des ateliers, dans toute la France, et une plateforme dédiée: www.cabinetsdecuriosites.fr
Entre expertise et humour, entre interrogations intimes et discussions sans détours, il est temps de causer de sexualité et d’y trouver son compte. Liberté! Sexualité! Légèreté! Premier atelier, sur le thème des « Plaisirs solitaires »: le vendredi 8 mars, de 20h à 22h, dans un appartement du 18ème arrondissement.
Informations sur: www.cabinetsdecuriosites.fr
Réservations: http://www.weezevent.com/atelier-cabinet-de-curiosite-feminine-paris-le-jeudi-8-mars (dans la limite des places disponibles)
Contact: atelier@cabinetsdecuriosites.fr
Le label ClekClekBoom fête ses deux nouvelles sorties samedi de 23h30 à 6h00 à La Machine, avec sa soirée Paris Club Music. Voilà plus d’un an que le label enchaine les sorties pour les amoureux des basses qui remuent les joues et les boulis. Le 2 mars sort Everything, le EP de French Fries et à la fin du mois leur première compil « Paris Club Music » avec les meilleures sorties du label et des tracks exclusives de Coni, Ministre X, The Town, French Fries, Manaré ou Jean Nipon. L’occasion de mettre un terme à cet hiver en affinant votre twerk.
Comme on est sympa, on vous fait gagner 2 x 2 places, il suffit pour cela de nous envoyer le mail le plus cool qui vous passe par la tête, on ne sait pas trop ce qu’on entend par là, mais soyez créatifs.
Line up :
► CONI
► MANARE
► THE BOO
► THE TOWN
► UNDERGROUND PARIS (special guest)
Noues, peuple opprimé par la trique, devons comprendre ce que les hommes organisent au plan mondial. A cause de leur propagande dominante qui morcelle et dépolitise tout, noues n’en voyons que des parties qui semblent isolées :
génocide des femmes en Asie
génocide au Congo tel que l’a défini MacKinnon pour les viols perpétrés en Ex-Yougoslavie [Catharine MacKinnon : Rape, Genocide, and Women’s Human Rights, 1994]
explosion du système porno-prostitueur,
sadomasochisation de la « culture » virile
… .
Mais ces phénomènes sont liés, ils participent d’un vaste plan de « réajustement structurel » du patriarcat. Je rappelle que les deux moteurs du système sont 1) une politique économique basée sur l’esclavage (exploitation sans limite des femmes, dans les économies capitalistes ou traditionnelles) 2) la violence sexuelle et reproductive qui est une arme de destruction massive et de contrôle total. Ces éléments agissent en synergie : les hommes rendent les femmes de plus en plus pauvres à mesure qu’ils les exploitent, ils accumulent ainsi les moyens matériels pour les violer (argent pour organiser ou bénéficier du système prostitutionnel, ressources voire propriétés pour sceller dans la dette le mariage ou l’aliénation filiale, accès aux ressources et aux armes pour le chantage à la « protection », au logement ou à l’emploi, etc.) & par la violence sexuelle, ils brisent les femmes pour en faire des êtres serviles. Le plan de réajustement structurel accélère l’abattage de ce cercle vicieux qu’est la Grande Arnaque patriarcale (Paola Tabet, 2001).
Chaque rébellion inachevée provoque un durcissement du pouvoir : ce backlash de la trique revancharde répond au dernier siècle-et-demi de luttes féministes.
Le durcissement néolibéral du patriarcal va (et est déjà en train de) déboucher sur une nouvelle « chasse aux sorcières », une nouvelle persécution mondialisée des femmes qui auraient tenté d’échapper au joug viril. Ce porno-genocide a débuté sous le nom de
Il a construit son mythe, la « s*** » …
Il est une nième mission civilisatrice des hommes pour mater les femmes. C’est une version moderne et spectaculaire (enregistrée en mise en scène) de la purification de nos âmes-qui-n’existent-pas, celle qui a mobilisé des centaines de milliers de sadiques au nom de la bible entre le 15è et 17è siècle [cf. Barbara Ehrenreich and Deirdre English, Witches, Midwives, and Nurses : A History of Women Healers]. Le Malleus Maleficarum (ou « Marteau des Sorcières ») a été écrit par deux moines catholiques : Henri Institoris Kramer Jacques Sprenger et a servi de script pour la persécution des femmes pendant ces siècles. On lira le chapitre qui lui est conséacré dans l’extraordinaire livre de Mary Daly : Gyn/Ecology. The Metaethics of Radical Feminism.
Les similitudes sont frappantes avec la pornographie, véritable expédition sexuelle masculine punitive. Au point qu’on peut la voir comme un script pour la prochaine (actuelle) vague de persécution. En effet, le Malleus Maleficarum compile tous les stéréotypes misogynes qui font le fond de commerce du gonzo. On y voit déjà versé sur des centaines de pages les délires virils sur les « souillées », les « possédées » auxquelles il faudrait faire avouer à coups de tortures mentales, de sévices sexuels et de tortures physiques qu’elles sont mauvaises, en faute, et qu’elles désirent en même temps faire le mal et être punies pour le faire.
*
Au hasard de l’actualité : au moment où j’écris cet article, deux informations me parviennent …
25 février s’est ouvert le procès de Gilberto Valle, un criminel sadique qui a persécuté, sadisé, mutilé voire mangé des dizaines des femmes, usant des pouvoirs que lui confère son statut d’homme et de policier à New York.
27 février le New York Times déroule le tapis rouge à un site BDSM, dans son article « A Hush-Hush Topic No More » … Ce site, particulièrement sadique, a reçu les honneurs d’autres torchons parmi les plus prestigieux : The Huffington Post, The Wall Street Journal, The Economist et San Francisco Chronicle …
Gilberto Valle est le produit d’une culture saturée de porno sadique, combien de centaines de milliers d’hommes cachés et figurés par ce spectre ….
_________________
ACTION: Send an email to editors at the New York Times in response to their article glorifying violence and torture sex. Send message to NY Times Editors in response to article promoting violent and torture sex (BDSM)
Now, Oprah AND The New York Times have jumped on the « Fifty Shades of Grey » bandwagon and promoting domestic violence as a healthy, normal way to engage in sex and to improve your relationships…..
Complètement furax, Kathy Lee Emery,
Femme bafouée du Comté de Muskegon,
Pour se venger et faire payer son ex-mari
A encastré la bagnole dans son salon.
Japanese erotic art and culture photographer Nobuyoshi Araki is an icon, and I’m a longtime fan of his work. I’ve heard – and observed in his photos – that he seems to be a pretty eccentric character. So I’m quite excited to find the above video, Nobuyoshi Araki at work, and share it with you.
Il était 17h44 ce jeudi lorsque l’alerte Google STOYA s’est déclenchée, m’informant de la publication du premier article de la demoiselle pour Vice. Grosse claque. Stoya, les trois quarts des mecs de la planète sont amoureux de toi, bientôt ce sera les filles. Ton papier est ironiquement intitulé « Stoya on how porn chicks avoid getting preggers » : on s’imagine donc que tu va nous expliquer comment les hardeuses se débrouillent pour éviter de tomber enceintes sur les tournages, à grand renfort de capotes et autres éjacs faciales. En fait, non.
Tu as préféré nous parler de règles et de contraception, des « problèmes de filles ». Ou plutôt, de ces choses qui, dans un souci d’égalité, devraient être des problèmes pour tout le monde, mais qui n’en sont que pour les nanas. Expérience personnelle – et douloureuse – de la pilule, parcours d’une actrice extraordinaire aux problèmes ordinaires : les porn stars sont des femmes comme les autres. De maux de têtes en crises de larmes inexpliquées, de cet évanouissement à la banque à ce kyste bizarre, tu nous livres ton intimité, la vraie, pas celle de ce merveilleux corps de lait que je n’arrive d’ailleurs plus à regarder, comme d’autres victimes du syndrome too love to fap — le taulier en face de moi pourrait en témoigner.
Les détracteurs du genre clament que le porno bousille l’image de la femme. Prenez donc le papier de Stoya, et mangez-en tous : ceci est l’essence du féminisme. La dénonciation par une femme, pour les femmes, de l’injustice silencieuse qui entoure la contraception. Du fond de mon coeur d’ex-utilisatrice de Diane 35, Stoya, merci.
Image en une : Stoya – Code of Honor © Digital Playground
Vu sur Extrait de Couleurs de Coline Mauret
J’étais curieuse de lire ce que proposaient les éditions Onlit en littérature érotique. J’avais évoqué précédemment sur ce blog le recueil de textes Quadrichromie de Pierre Maury qui n’était pas classé en littérature érotique, mais qui était répertorié avec le mot clef « érotique ». A présent, c’est un extrait de Couleurs de Coline Mauret que j’ai [...]
Cet article provient de Littérature érotique
Vu sur Texas porno cheap, Alexis Loranger
Follement invraisemblable, ce roman relate les aventures texanes d’une belle blonde un peu perdue dans le désert et dans sa tête. Comment cela se fait-il ? Elle ne se reconnaît plus. Un homme passe, elle s’embroche. Une femme ? Pareil, pour peu qu’elle ait les instruments adéquats en sa possession. Sinon, elle fait sans. Kathy est hantée [...]
Cet article provient de Littérature érotique
Vu sur Retour sur l’appel à textes « fessée érotique »
Les appels à textes de la collection ont de plus en plus de succès : vous avez ainsi été nombreux à participer en adressant avant le 1er de ce mois un texte court (6 à 7000 signes étaient demandés) pour la création de ce recueil thématique sur la fessée érotique. Le titre sera publié en [...]
Cet article provient de Littérature érotique
Lou Charmelle est douce comme une pistache qu’on dénoyaute, piquante sur la langue mais fondante au gosier, mais surtout plaisante pour plaisanter entre deux verres de Suze. Elle a décidé de quitter le métier pour explorer d’autres cieux, ce qui nous empêchera pas de penser à elle, bien au contraire. D’autant que la belle a gardé plusieurs cordes à son sac, qu’elle propose aujourd’hui à celles et ceux qui n’arriveraient pas à faire le deuil de sa jolie peau mate et/ou de son nez aquilin.
Très concrètement, Lou a vidé son disque dur et propose sur sa boutique les vestiges d’une carrière de haut-vol, entre scènes coupées et films jamais diffusés. A dénicher : une version « non-censurée » du clip de Greg Kozo dans lequel elle avait tourné, faute d’avoir pu trouver les tubes mainstream adéquats. Mais aussi et surtout son film Man Hunt, tourné à Ibiza avec Lily Labeau, Phil Holyday et Danny Wylde (le keum de Lily), et jamais diffusé en France pour cause de jurisprudence « K-pote absente ».
Direction la boutique pour les intéressé.e.s. Evidemment, il faudra payer, mais qui sait : ça viendra peut-être nourrir les projets coupés-décalés qu’elle nous évoquait en interview ? Ce serait con de mettre cinq ans de carrière à la poubelle, comme elle le dit elle-même, donc Lou fait logiquement né-tour la came aux fans… et on sait qu’ils sont nombreux parmi vous.
Could not use HTML 5 or Flash for playback. You can download the file as MPEG4/H.264 file.
if (jQuery.browser.mozilla) {tempvid=document.getElementsByTagName("video")[0]; jQuery(tempvid).remove(); jQuery("div.video_wrap div").show()} else jQuery("div.video_wrap div object").remove();
Bonne nouvelle : entre photos de seins et photos de chats, il n’est plus nécessaire de choisir. Le photographe russe Andrew Lucas a donné vie à son tour au combo ultime (boobs+kitty) avec une série de clichés baptisée Animal Planet, ode chic et bucolique à la nature et au corps féminin. Andrew Lucas y met en scène corps de femmes et animaux de tous bords, des plus mignons (chats, lapins) aux plus inattendus (renards, vaches, chameaux…).
Le résultat est fascinant, à la fois tendre et raffiné (et serait diablement efficace pour la prochaine campagne de la SPA).
Tendres boules de poils et divines cambrures se succèdent dans les huit pages de clichés de la série (mais où va-t-il donc chercher toutes ces mannequins slaves ?). Si vous vous montrez patients, vous y découvrirez une sirène câlinant un dauphin, ou une amazone chevauchant seins nus dans la brume. Peut-être même croiserez-vous Pocahontas, promenant son chien-loup dans la neige dans une tenue parfaitement inappropriée à la saison.
Remarquez l’affection toute particulière du photographe russe pour les mannequins du type « fine et bonne », cette espèce rare disposant à la fois des atouts des filles rondes (poitrine galbée) et des minces (jambes interminables). L’injustice faite femme.
Beaucoup de fappeurs se souviennent avec nostalgie de leur première VHS porno, c’était l’époque de l’âge d’or des magnétoscopes enregistreurs, de Canal + et des K7 cachés au fond des sacs Eatspack. Un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître (Internet en ce temps-là. Accrochait ses lilas. Jusque sous nos fenêtres. Et si le web garni. Qui nous servait de nid. Ne payait pas de mine. C’est là qu’on s’est connu. Moi sur ICQ. Et toi qui posais nue).
Il existe une autre époque, plus profonde, plus enfouie, où il fallait lâcher 500 francs chez son video-club pour en pécho une (équivalent aujourd’hui à 211 euros, en prenant en compte l’inflation). C’était en 1979, quand le père Dorcel troquait ses romans-photos érotiques pour filmer Jolies Petites Garces : 4000 VHS écoulées, premier essai, premier succès.
La maison Marc Dorcel a donc eu l’idée de ressortir les premières sorties vidéos de son catalogue dans un coffret 6 DVD, sobrement intitulé Luxure 1979. Un coffret pour les amoureux des débuts de la vidéo, des zooms improbables, des prémisses du gonzo (les scénarios sont des prétextes, on est surtout dans l’enchaînement contextualisé de scènes) et des tags oubliés : le porn de l’époque faisant la part belle à l’inceste et au viol.
Doit-on encore rappeler que la série Taboo est le plus gros succès du porn dans les 80s et que le viol était un fantasme “légal” dorénavant interdit de diffusion en France et sur les tubes ? Donc quand on nous parle d’augmentation de la violence dans le porn actuel, on pouffe un peu. Sinon, il y a aussi du poil à foison et des dialogues improbables pris par un ingé son manchot, c’est assez singulier mais c’est aussi une jolie carte postale du Paris de l’époque.
On retrouve donc des titres assez évocateurs comme Jolies Petites Garces, Les Belles Etrangères, Ma Cousine De Paris, Filles De Luxe, Les Culottes De Charlotte et Belles De Rêve.
On vous fait gagner à cette occasion 4 de ces coffrets, il vous suffit pour ça de répondre simplement par mail à cette question : quel est le réalisateur de Ma Cousine De Paris ? Notre stagiaire à lunettes, piochera au hasard dans les bonnes réponses, pour en sortir avec beaucoup de douceur les gagnants.
Dominique Strauss-Kahn, qui demande à la justice la saisie du livre « La Belle et la Bête », était présent à l’audience ce mardi. A la sortie, il est sorti de son silence. Visés : Marcela Iacub, qui raconte dans son livre sa relation avec DSK, mais aussi Le Nouvel Observateur (détenu par le même actionnaire que Rue89), qui a consacré sa couverture à l’ouvrage et en a publié les bonnes feuilles.
« Maintenant, ça va trop loin », a expliqué Dominique Strauss-Kahn :
« Je suis complètement dégoûté par le caractère méprisable de ce texte, et par le fait qu’il est totalement...
Ca y est, le concours de t-shirts pas mouillé s’achève et on remercie tous les participants d’avoir illustré chacun à leur façon la culture porn. Une proposition a émergé du lot et a fait l’unanimité à la rédaction, écrasant toute concurrence. Il s’agit d’une mise en abyme en forme de montage photo, une création de Keffer, qui avait déjà collaboré avec nous sur les Parfaites et la compil de la Saint-Valentin.
Nous ne pouvons pas vous le montrer tout de suite, on est en phase de pré-production avec l’atelier Amelot et on revient vers vous dès que possible. On est désolé pour le teasing et les couilles bleues qui vont avec mais il fallait bien qu’on annonce la fin du contest.
On table sur une sortie pour notre 3ème anniversaire et on compte sur vous pour porter bien haut les couleurs du Tag.
Un étudiant chinois, le jour de la rentrée,
Eut à vélo un malheureux coup de pédale
Niqua sa selle, chut sur la tige cassée
Et ainsi perdit sa virginité anale.
Marcela Iacub raccroche tout de suite quand on lui téléphone. Elle ne veut plus parler. Elle l’a annoncé dans Le Nouvel Obs (détenu par le même actionnaire que Rue89) : elle ne donnera plus la moindre interview sur son curieux ouvrage.
Je l’ai lu vendredi après-midi. Une petite heure suffit pour en venir à bout. Une fois l’ouvrage refermé, j’ai longuement réfléchi à la scène finale. Pourquoi raconte-t-elle un truc pareil ? C’est forcément faux. Elle le dit dans Le Nouvel Observateur, elle dit bien que toutes les scènes de cul, décrites sans « aucune génitalité », toujours...
Kara de Las Vegas, toute nue dans sa cour,
Par son pitbull se faisait crûment enfiler
Sous le regard de ses voisins et en plein jour :
«C’est passke chuis bipolaire», a-t-elle expliqué.
Vu sur Le Sexe gourmand, Aline Tosca
Maison d’édition que je ne connaissais pas : Terriciaë, située dans le sud de la France. Sur son site (http://www.editions-terriciae.com), la maison d’édition se présente ainsi : « notre maison traitera chaque genre sur un même pied d’égalité. Pas de littérature marginale chez nous, juste des regards multiples sur le monde et ses nuances ». Les publications relèvent [...]
Cet article provient de Littérature érotique
My favorite picks from the newest free galleries; don’t forget you can subscribe to Eye Candy posts directly with this RSS feed.
If you want notifications for every tinynibbles.com post, follow @tinynibbles on Twitter.
I like to promote literacy. Apparently Wood Rocket does, too.
Highlights:
— Tiens, chéri… tu es encore debout?
— Ouais. Ils passent Le Cuirassé Potemkine.
— Faudrait que je le regarde un de ces jours. Il parait que c’est drôlement bon.
— Tu es encore allée te faire…
— Oui. C’est vendredi, hein.
— Combien, cette fois-ci?
— Trois. C’était une soirée faste, ils étaient en forme. Un des gars avait garé sa voiture dans la ruelle derrière le bar, on était tranquilles.
— Et dans le cul?
— Un seul.
— Ah.
— Dommage. J’aurais bien aimé qu’ils me remplissent.
— Ce n’est rien, voyons. Je ne veux pas que tu te fasses mal.
— Tu sais que je suis faite solide. Tu te rappelles, quand j’en avais pris six fois?
— Tu parles si je m’en souviens. Tu débordais, littéralement.
— Bon, on fait ça comment? Je suis claquée, j’ai envie d’une douche et d’un dodo. Comme d’habitude? À moins que tu aies quelque chose de spécial en tête…?
Il se lève de son fauteuil et dit :
— Il est trop tard pour la fantaisie. Allons-y pour le plus simple.
Il se couche sur la moquette, entre les jambes de sa femme. Elle releva sa jupe, s’accroupit et, ne portant pas de culotte, s’exécuta.
— Tu te rends compte à quel point je suis une gentille épouse? Quand je sors, jamais je n’oublie de ramener à boire à mon petit mari.
bord, comme dans le Maître qui amène sa soumise au bord du précipice, au bord de la jouissance, au bord de la désobéissance… et l’y retient, là, juste sur le bord, par la simple force de sa présence, de sa volonté.
wicked, as in « I am feeling wicked! » dit le Maître, alors que sa soumise le supplie de lui donner un orgasme, un seul, please, pretty please, de la délivrer enfin de cette intenable tension qu’il suffirait d’une étincelle pour faire exploser . « I feel wicked, » repeats the Master. And he smiles.
Source : http://commentfairelamour.pro/2012/10/
Sur le même sujetVendredi, jour de relâche. La stagiaire compte les minutes en observant, médusée, le taulier faire la danse des coudes sur fond de deep house. Il est comme ça depuis plus de 2 heures maintenant, sûrement un trop plein de café. Comme d’hab, je me planque derrière mon écran, en mangeant une banane – je fais toujours ça en scred, sinon les mauvaises vannes d’un autre temps fusent de toute part – et j’erre dans notre compte Analytics, histoire d’achever dans le lol cette semaine bien éprouvante.
Un petit tour dans les requêtes Google, c’est toujours la garantie d’un bon lol pour pas cher. Voici une sélection, bien entendu non exhaustive, de petits mots clés soumis au grand ordinateur par de drôles de fappeurs. Ça vous rappelera sûrement le fameux Comment devenir un ninja gratuitement, c’est l’idée, mais vu qu’ici, on parle parfois de choses un peu borderline, c’est l’Enfer dans notre back(door) office. Petit florilège de ces 30 derniers jours, avec l’orthographe d’origine et nos remarques entre parenthèses :
brazzers quand je paye, qu’est ce qui es marqué dans ma carte bleu (saine interrogation pour la paix des ménages)
chatte bosselé film porno (la Bossue de Notre Dame, sans doute un hommage aux Femen)
chatte saignante et explose (dans mes bras, toi, le ou la nostalgique de rotten)
comment les filles peuvent aimer james deen ? (internet, cette haine sans limite)
creampie en boulangerie (l’innocence d’un amateur de pâtisserie américaine qui a dû se sentir un peu perdu pour le coup, à moins qu’il ne s’agisse d’une référence masquée aux Miches de la Boulangère)
elle aime son cul sur son nez et sa mini-jupe sur son visage (on ne juge pas)
elle se fait défoncé le cul avec un marteau piqueur (« Elle… » c’est les parodies de « Martine » appliquées au porno)
envie d etre sodomisee sous ghb (on ne juge toujours pas… quoi que)
histoire reelle raconte d’inceste fils baise mere,frere baise soeur,neveu baise tante (sisi, la famille)
grand mere poilue chatte distandue (la Fouine nous lit apparemment)
fiste prolapse dans la merde (démerdez-vous)
fille se fait coudre le sex avec des piercings (un fan de Saint-Sernin)
femme taille fine se fait bourer la chatte par un opportuniste (toujours du bon côté)
je voudré voir des viélles pute çe faire bézé par un noir avec des curés (pa moa)
je l’encule avec c’est chausette porno (ses petites sox me mettent en erex)
le mec suce le prolapsus de sa femme (et il est bien content)
lavement au tuyau d’arrosage dans le cul (avant de laver sa voiture)
ne pas bander devant un porno gay (mettre à l’épreuve son hétérosexualité, une étape de plus vers la flexibilité)
ouvre ta chatte j’arrive avec ma bite on essaye de voir si ça marche photos (encore un rappeur perdu dans Google)
porno gay nazi se branle sur hitler (le point pornwin)
rocco siffredi anal pourquoi (vraie question…)
quand je regarde un film porno mon cul mouille (pix or die!)
t’es un meilleure bouffeur de chatte que mon mec (la personne est restée 35 minutes sur notre site, un succès de plus pour Le Tag Parfait)
site porno avec que des personne swag (welcome home)
vidéo porno bulma baisé par tortue géniale (homme raffiné, goût de luxe, porno chic)
une naine qui se fait baiser par un clown (YOLO)
Là-dessus je vous souhaite une bon weekend, plein de prolapse, de marteau piqueurs, de naine et de clown.
Le 12 février dernier, nous fêtions à la Musardine la sortie de Sex in the kitchen, premier roman d’Octavie Delvaux, dans le cadre d’une grande fête joyeuse et goûteuse sur le thème du sexe et de la nourriture. En plus d’Octavie, Servane Vergy, la « sexperte » de la Musardine était venu présenter Mes petites recettes magiques aphrodisiaques aux éditions Quotidien Malin, et Franck Spengler, taulier des éditions Blanche, nous fit l’honneur de sa présence pour parler de Je cuisine comme un(e) cochon(ne) en compagnie de son directeur de collection. Obsédés et gourmets se déplacèrent en nombre pour découvrir ces nouveautés et déguster l’excellent buffet fourni par notre partenaire d’un soir : Dolce Felix, que nous remercions encore et vous incitons vivement à solliciter pour vos évènements.
La soirée fut également l’occasion de clôturer le jeu concours photo « Sex in the kitchen » lancé quelques semaines plus tôt sur ce blog et nos comptes Facebook. Voici donc la liste des heureux gagnants, choisis comme il se doit par Octavie :
En première place…
Une photo de Pierre des Esseintes, qui remporte un exemplaire de Sex in the kitchen dédicacé, un marque page en tissu vichy créé et signé par Octavie Delvaux et un exemplaire de Mes petites recettes magiques aphrodisiaques.
En deuxième place…
Une photo de Jean Fabien, qui remporte un exemplaire de Je cuisine comme un(e) cochon(ne) et un exemplaire de Mes petites recettes magiques aphrodisiaques.
En troisième place…
Une photo de Clarrisa, qui remporte un exemplaire de Je cuisine comme un(e) cochon(ne) et un exemplaire de Mes petites recettes magiques aphrodisiaques.
Pour les soiffards incurables qui préfèrent la picole à la lecture, un autre jeu concours fut organisé du côté du bar, consistant à imaginer un nom au cocktail sans nom qui fut servi ce soir là. Et la gagnante est Nora James, qui a imaginé le nom « La pucelle blonde », qui correspondait tout à fait à l’esprit du breuvage et sera donc désormais servi sous ce nom à nos soirées. Bravo à Nora, qui gagne un exemplaire de Mes petites recettes magiques aphrodisiaques.
Pour terminer, quelques photos souvenir de la soirée, prises par l’indispensable, éternelle, somptueuse, divertissante et roborative Anne Bouillon.
Octavie Delvaux, bouquinove dans tous les sens du terme (mais seulement avec ses propres livres).
Rencontre au sommet (plus exactement, devant la porte des chiottes, mais chut) entre les éditeurs de La Musardine et des éditions Blanche. Au programme de la discussion: la mode du vintage nous autorise-t-elle pour autant à porter des chemises de ce genre en 2013?
Octavie Delvaux et Olga, larbin d’un soir au service irréprochable et au mollet musclé.
Un fier barbu et bon ami de la Musardine, taulier d’un très bon site de cul où l’on trouve d’ailleurs un compte-rendu et quelques photos savoureuses de cette même soirée.
A côté de cet autre barbu, qui vient de s’enfiler une dizaine de bouchées Dolce Felix d’un coup (avec une mention spéciale pour l’espèce de sphère consistant en un grain de raisin enrobé de chèvre frais et de sésame noir dans la catégorie salée, et la tarte au citron dans la catégorie sucrée), l’homme qui les a confectionnées, que l’on remercie encore, et que l’on applaudit même, regardez comme il bosse bien:
Miam miam miam! Vous voulez goûtez aussi? Cliquez ici.
Moi ma bouchée préférée, c’est l’espèce de petit bavarois cubique aux framboises, une tuerie!
Servane Vergy après son cinquième verre (d’une longue série)
Octavie Delvaux et Servane Vergy en pleine séance de dédicace.
Une lectrice manifestement surprise (et captivée) d’apprendre, au détour de quelques pages de Sex in the kitchen feuilletées négligemment dans un coin de librairie, qu’il peut potentiellement se passer autant de truc bizarres dans une cuisine…
Octavie répondant aux questions de notre bon et vaillant libraire.
Octavie et son heureuse éditrice, bras dessus bras dessous sur la route du succès.
A bientôt pour de nouvelles aventures!
Vu sur Domestiqué(e)s, Martine Roffinella et Ian Cecil
Jusqu’à présent, la collection e-ros n’a pas proposé de titre commun à des auteurs en-dehors des collectifs thématiques pour lesquels est lancé un appel à textes de temps à autre. Avec Domestiqué(e)s, une première exception, puisque deux auteurs ont écrit chacun un texte : Martine Roffinella, Chienne de brosse et Ian Cecil, La Chienne. Il y [...]
Cet article provient de Littérature érotique
outrages, comme dans le Maître qui dit à sa soumise « Mademoiselle, lorsque je songe à vous, ma bouche se sent prête à tous les outrages. »
Source : http://kamasurtoa68.skyrock.com/21.html
outrageous, as in the Master who continues his thought « It is because of the way she looks sometimes… outrageous. »
Sur le même sujetmodeler, comme dans la plus belle et affolante promesse qu’un Maître puisse faire à sa soumise, soit de la modeler à ses plaisirs et à ses besoins, de faire d’elle ce qu’il veut, avec doigté et patience.
Source : http://imdaddystreasure.tumblr.com/
Sur le même sujetDes vulves de toutes les tailles, de toutes les formes et de toutes les couleurs : c’est ce qu’on trouve sur LargeLabiaProject (« Projet grosses lèvres »), le Tumblr d’Emma, une Australienne de 24 ans. La jeune femme y publie les photos d’organes génitaux que lui envoient des femmes.
Mais ça n’est pas un blog érotique ou porno : le but du site est de redonner confiance à ces femmes dont l’entrejambe ne ressemble pas à celui des stars du X. Car si pour beaucoup de garçons, le porno est la première rencontre avec l’intimité féminine, c’est aussi le cas pour les filles. Emma explique...
Vous en plaisantiez, Sex Cereals l’a fait : un petit-déj aphrodisiaque. Terminée, la bagarre au rayon céréales pour déterminer qui du tigre Frosties ou du singe Coco Pops aura les faveurs du caddie de la semaine : Sex Cereals se décline en version femme ou homme, et vous promet au passage de booster votre libido. A 9,99 $ les 150 g, le prix aussi est bien boosté. Mais avec seulement 40% de céréales contre 60% de baies exotiques survitaminées et d’épices étranges, il est certain que ces mélanges détonnants n’ont rien en commun avec votre paquet de Miel Pops. Explications.
Une accroche audacieuse
La version « For Him » vise à chouchouter le taux de testostérone avec des ingrédients sains et « chers » (c’est eux qui le disent). Au menu, pollen, sésame noir, germe de blé, maca, graines de potiron, baies de Goji et de camu camu (on sait pas trop ce que c’est, mais c’est cinquante fois plus blindé en vitamine C qu’une orange, notre respect est total). Et puis, il y aussi de l’avoine. Quand j’étais cavalière, on m’appris que l’on donnait très peu d’avoine aux chevaux, parce que ça les rendait trop fougueux.
À méditer…
Dans la version « For Her », on recherche avant tout l’équilibre des hormones et des fluides. Premier ingrédient, le gingembre. Si avec ça vous n’avez pas envie d’une DP dès le réveil, on ne comprend pas. La recette comprend également des amandes, des fèves de cacao, des graines de lin, de tournesol et du son d’avoine, bon pour la circulation sanguine. « Des artères bien dégagées, c’est davantage de sang disponible pour produire de la lubrification vaginale », assure Peter Ehrlich, le fondateur canadien du produit. Mouais, n’abuse pas quand même, Peter : les nanas connaissent des lubs bien plus cools que l’avoine.
En bref, Sex Cereals bénéficie d’une composition unique, saine et originale, mais dont la vocation aphrodisiaque reste à démontrer. On est des curieux, on a demandé des échantillons. Si toutefois le produit tenait ses promesses, on tiendrait peut être LA solution au problème très sous-estimé du coup de barre post-fap-du-matin.
Post fapum animal lassus
Un problème, peut-être même un tabou, dont on ne parle pas assez souvent. Combien de ré-endormissements sournois après un orgasme matinal ou de jambes cassées après une puissant fap pour éliminer le stress ? Avec les conséquences sociales désastreuses qui en découlent : trains ratés, retards au bureau, voire licenciements. Fappeurs de l’aube, les endorphines sont vos ennemies. Sex Cereals, un nouvel ami qui vous veut (donc) du bien.
Enfin, pour les amoureuses de céréales, n’oubliez pas le tumblr « Lesbians Eating Cereal« .
Les mots du jour se veut une nouvelle chronique qui sera tantôt occasionnelle, tantôt plus régulière, au gré des arrivages de mots qui nous inspirent. En voici une première bouture.
confiance, comme dans le Maître qui remercie sa soumise de la confiance qu’elle lui accorde et qui ajoute « Cette confiance, elle est réciproque, vous savez. »
pleine, comme dans la soumise qui regarde son Maître dans les yeux et lui murmure « Je me sens pleine, Monsieur. » Pleine, comme dans pleine d’émotions, de sensations, de gratitude et d’espoir, de craintes et de sérénité, de confiance et d’humilité. Mais aussi, pleine, comme dans complète, achevée, toute là.
pâmoison, comme dans le Maître qui, penché au-dessus de la soumise, la regarde droit dans les yeux et, d’une voix légèrement teintée d’émerveillement, lui dit Je suis en pâmoison devant ma soumise. Et la soumise, émue et bouleversée par cet aveu soudain, qui lui répond Je crois que je suis en pâmoison avec mon Maître.
Photo par Spigana (http://www.spigana.com/nude/4)
Sur le même sujet
Pour l’anniversaire de son fils de seize ans
Deux danseuses nues elle eut l’idée d’engager
Plutôt qu’un clown de fête, pour faire changement;
D’attentat à la pudeur elle est accusée.
Google vient de mettre en ligne un site dédié à Google Glass, leurs lunettes de réalité augmentée qu’ils développent depuis quelques années et qui pourraient bien être le futur du porn. Le site est divisé en trois catégories : “How it feels”, une présentation sur Youtube des fonctions de lunettes comme si vous étiez, “What it does” qui présente les mêmes fonctions mais plus simplement et enfin “How to get one” qui vous explique comment vous en procurer si vous êtes développeur (et si vous avez 1500 $ à lâcher). La sortie grand public est prévue pour l’année 2014.
Passons sur le contexte familial qui nous intéresse ici assez peu et fonçons directement dans le futur triple x. Si le POV est un des styles les plus répandus dans le porn, il reste encore difficile à réaliser. Bien souvent il y a un cameraman derrière vous qui filme à votre place, dans un contexte professionnel ce n’est déjà pas forcement évident, mais si c’est pour réaliser une sextape, on imagine mal un pote filmer au dessus de votre épaule pendant que votre copine s’occupe de votre quine — tag awkward.
Vous avez bien sûr l’option caméra au poing – ce que fait par exemple Manuel Ferrara dans ses porns – mais cela vous occupe une main et tous ceux qui ont déjà essayé de filmer une levrette avec un foutu iPhone savent la vraie difficulté de l’exercice. Enfin, il reste l’option GoPro, mais vous avez l’air d’un couillon de spéléo avec ça sur la tête, sans parler de la discrétion toute relative de l’engin.
C’est alors que Google Glass intervient : design assez discret, légèreté, robustesse, point de vue vraiment subjectif puisque la caméra est placée au niveau de vos yeux et surtout contrôle vocal qui vous libère les mains, les amateurs du tag hands free apprécieront.
Dans quelques années le porno amateur va certainement s’entrechoquer violemment avec le milieu pro en proposant grâce à ces lunettes un des combos les plus excitants du porn en ligne : amateur + POV + partage. On imagine d’ailleurs aisément la scène :
- ok glass take a video (of that chick sucking my cock)
- ok glass, share it on youporn and xhamster
- ok glass, send it to my ex-girlfriend with this message “hi, ‘got a little gift for you”
- ok glass, how long is my penis?
Si vous avez d’autres idées, n’hésitez pas à nous les envoyer ou directement sur leur compte twitter avec le hashtag #ifihadglass. Le futur approche, on a hâte d’y être comme pour notre première fois.
Vu sur Palingénésie, Conte de l’Éros triste, Alain Giraudo
Alain Giraudo semble un auteur infatigable. Il écrit plusieurs heures par jour, et il écrit réellement beaucoup, l’érotisme n’étant qu’une des voies empruntées. J’ai tout un répertoire de textes qu’il m’a adressés, les Contes de l’Éros triste, dont nous avons commencé ce mois-ci à entreprendre la publication. Fiche auteur d’Alain : http://dominiqueleroy.izibookstore.com/auteur/204/Alain%20Giraudo Chaque conte [...]
Cet article provient de Littérature érotique
En décembre dernier, OWNI (Objet Web Non Identifié), pure player des cultures numériques arrêtait son aventure, mettant sur le carreau une dizaine de journalistes et salariés, mais aussi des blogs hébergés, laissés à la merci d’un serveur qui pourrait être débranché à tout moment comme dans un hôpital abandonné. C’était le cas d’Alexandre Silenus, auteur de « Queue du bonheur« , blog sur les expériences sexuelles d’un jeune homme à la belle plume, ses histoires de premières fois, le sexe, la bite, la vie.
On s’est donc proposé de l’héberger, pour éviter de le laisser seul sur le banc de touche du web et surtout parce qu’on aime bien ce qu’il fait et que c’est si rare de tomber sur ce genre de blogs avec une touche masculine. Voici donc sa nouvelle adresse et son dernier article en date, la peinture est encore fraîche, il y a sûrement des petits détails à régler, mais l’essentiel est là. Bonne lecture.
« Il y a deux choses qui gouvernent le monde : l’argent et le sexe. Perso, je suis à découvert. »
This thought experiment in design concept is fanciful, though I notice that it makes my male friends cross their legs with emphasis… The ‘Dildo Maker’ by Francesco Morackini whimsically blends the classic pencil sharpener with a Cusinart to imagine a quite useful appliance.
Deux septuagénaires de Californie
Furent surpris par les flics en train de baiser
Dans le parking d’un restaurant de poulet frit;
Viagra et barbecue, faut pas mélanger.
Il n’y a que les chaînes très spécialisées
Que Gina regarde sur la télé du zoo,
Ce qui prouve que même chez les chimpanzés
On peut être femelle et aimer la porno.
Capture d’écran de la bannière du site Désirs d’Avenir
Cher Bertrand Dicale,
Ca fait maintenant deux ans que je vous écoute sur France Info. Votre émission « Ces chansons qui font l’histoire« est chaque fois amusante et intéressante : vous avez le chic pour trouver des chansons improbables et pertinentes sur tous les sujets, même si je vous soupçonne d’être un adepte de Bide et Musique.
Vous avez sûrement lu comme moi les récents propos d’Alain Juppé à propos de Nicolas Sarkozy. Ce cher Alain a affirmé « sentir » que l’ancien président avait « envie » de se présenter en 2017. On se demande d’abord si l’envie de Sarkozy était vraiment grosse, et la façon dont Alain l’a sentie. Mais tout ça montre surtout que pour la présidentielle, ce fameux « rendez-vous avec les Français », il est surtout question de susciter le désir.
Je suis une personne perverse, et entre autres pratiques un peu folles, j’écoute Michel Sardou le dimanche matin, en plus de votre émission à vous. Et dimanche dernier, ça m’a pris comme une envie de pisser : quand j’ai entendu Sardou chanter « s’installer à la présidence et de là faire bander la France », je me suis demandé quelles autres chansons pouvaient traiter du désir en politique.
Cliquer ici pour voir la vidéo.
C’est dur de susciter le désir de la France en chanson… Il y a eu Mireille Matthieu et son « De Gaulle de France » qui n’était pas loin de l’érection, mais les chansons de politiques sont rarement chaudes comme la braise.
Il faut voir Giscard jouant de l’accordéon à Danièle Gilbert, en 1973, soit un an avant l’élection présidentielle qui lui a permis d’accéder à l’Elysée. Lorsque son intervieweuse du jour reconnaît la chanson, il lui promet ‘une petite récompense’ de son oeil torve. Le message est clair : France, je te veux.
Cliquer ici pour voir la vidéo.
Il y a aussi eu la chanson de Jacques Chirac en 1981, mais malgré les violons disco, il n’y avait franchement pas de quoi susciter l’inondation dans les culottes ou la déformation des pantalons.
Cliquer ici pour voir la vidéo.
Et la Génération Mitterrand, en 1988, hein? Y’avait pas de quoi onduler du bassin non plus…
Cliquer ici pour voir la vidéo.
Bref mon cher Bertrand, j’ai la certitude que vous avez mieux dans vos cartons, et j’espère que vous saurez égayer un de mes futurs dimanche matins avec une nouvelle sélection politique excitante!
Vu sur Publications de février à juillet dans la collection e-ros
Je vous tiens régulièrement informés des prochaines publications de la collection e-ros, et il est temps de mettre à jour ces informations. En ce mois de février doivent paraître deux titres : Domestiqué(e)s de Martine Roffinella et de Ian Cecil (e-ros D/s) et Palingénésie, Conte de l’Éros triste d’Alain Giraudo (e-ros & bagatelle). (illustration de [...]
Cet article provient de Littérature érotique
À Albany, une jeune femme soumise
Craquant sous les pressions de la maternité
A sauté une coche et a fait un strip-tease
À l’école, devant les parents médusés.
Phoebe Arnold’s main fashion story for Ponystep 04 (Winter 2013) was shot by fetish photo artist Chas Ray Krider – he’s one of my all-time favorites. Don’t wait – BambiAttack has the entire glorious set here.
Le labyrinthe des rasoirs est un recueil d’histoires courtes pornographiques à tendance trash et fétichiste, avec des thèmes souvent employés dans la psyché pornographique japonaise. Ainsi, on retrouve pêle-mêle les étudiantes en uniforme, du bondage, de la scatophilie et du SM extrême. Tout cela serait bien fade sans le dessin qui, sans être extrêmement soigné, reste assez précis. Et surtout, ce sont les petites histoires contées qui valent le détour. Les cases de porno, efficaces et crues comme il faut, sont là pour illustrer des choses un peu plus subtiles : un prof de math obsédé par la symétrie, une jeune fille qui explore son degré d’humiliation maximum. A chaque fois, il y a un background psychologique (psychopathologique même) qui permet d’aller au-delà du simple choc visuel.
Pour le néophyte, l’ouvrage aura de quoi remuer les entrailles. Pour ceux qui ont déjà goûté aux joies du hentaï, ce sera moins une surprise mais la singularité des histoires et des personnages est intéressante. Comme bien souvent chez les artistes japonais, on est toujours aux limites de l’acceptable et l’on explore les extrêmes avec parfois des dessins d’une page flamboyants de beauté et d’horreur. On ne lésine pas non plus sur les fluides corporels. Les organes sexuels sont toujours dépeints dégoulinant. Ce côté extrême est contrebalancé par une étrange censure. Parfois les sexes sont dessinés, mais parfois juste esquissés mais jamais invisibles comme dans certains mangas. Bien que très présent, l’érotisme ne fait pas trop le poids par rapport à la violence, toujours omniprésente, avec en point d’orgue ce viol au fer à souder !
Avec son côté cinglé et ses dessins souvent très gores, son titre très cool, le labyrinthe des rasoirs est passionnant pour qui apprécie les créations what the fuck de nos amis japonais. Le mangaka Hayami Jun, qui cherche l’efficacité au détriment du soin, convoque Eros et Thanatos dans d’appréciables excès.
Le livre est accompagné d’une intéressante postface où des lectrices interrogent le mangaka sans tabou à propos de ses obsessions !
La bédé est disponible aux éditions Imho. Extrait disponible ci-dessous.
Valentine’s Day eye candy may have to be consumed all weekend due to my lateness on getting you the goods, but that’s not such a bad thing, is it? One tasty little morsel is the above video Galore Mag released for V-day, Tweedly Dee. Galore Mag did a little partnership with Fredricks of Hollywood and made this cute little scene starring The Red Bunny and Caroline Pires.
(I’m late due to extensive coverage of the cybersecurity privacy and prosecutorial disaster known as Obama’s bait-and-switch surprise Executive Order during SoTU, and a fractured, maybe sprained toe – very painful – that has me off my feet for a bit.)
Retour sur l'étude étonnante de deux bandes annonces projetées durant la promotion de Indiana Jones and the Kingdom of the Crystal Skull (2008) de Steven Spielberg. L'une est destinée au marché américain et l'autre, au marché français. Si le montage et la durée des deux teasers sont scrupuleusement identiques, les plans proposés ont parfois été retouchés numériquement dans la version destinée aux Etats-Unis. Les différences sont incroyables ! Un très bon travail d'analyse réalisé par Thomas Belair et Florent Lahousse.
Pour les amoureux du porn et pour ceux qui bandent pour les stats, l’écrivain et blogueur John Millward est allé fourrer son nez dans The Internet Adult Film Database pour créer cette belle infographie sur 10 000 porn stars et leurs carrières. On pourrait analyser ces données à notre tour mais comme on est vendredi, lendemain de Fap Club intense et que la ramasse est un tag qui nous colle au crâne, on va vous laisser apprécier ces chiffres comme des grands. Bon data porn.
Image from the gallery “Hot Evening” with Aubrey and Xander (video here).
By the time you read this post Valentine’s Day will be past – but Valentine’s Day is the theme of this hot, dirty short story generously gifted for free to me and you, dear readers. I do apologize getting this to you late (I ended up with a sprained, maybe fractured toe and that’s unfortunately been the bulk of my V-Day.) But it doesn’t matter when you read this exquisite erotica short by the talented and prolific Alison Tyler. It’s more intense than you’ll expect, and pivots with a twist on a taboo – yet not uncommon – couples’ fantasy.
Please do enjoy The Pick-Up Artist. If you like it, consider checking out the rest of the collection it was written for, Gritty: Rough Erotic Fiction, edited by another of my absolute favorite erotica writers Sommer Marsden. You will also find all sorts of delish and often free erotica on Tyler’s blog.
The Pick-Up Artist
By Alison Tyler
Valentine’s Day at a singles bar. Life doesn’t get much lonelier than that. Flirty paper hearts were stuck to the mirror on the back of the bar. Shiny cupids dangled on fishing wire over head. Keith eyed the girls in their frippery and finery—so much scarlet, fuchsia, and pink. The bartender was pouring carnation-colored Cosmos and cardinal-hued Sea Breezes—anything with a bit of cranberry juice or grenadine. Keith asked for vodka—clear, not pink—and scanned the room.
Oh, look. There. The brunette with her hair piled high on her head.
God, she was pretty. In that soft cashmere twinset sort of way. He gazed at her, sitting there at the end of the bar, one of her black patent-leather high heels dangling loosely as she rocked her foot up and down. He wasn’t the only one watching. He could feel the palpable interest of several other men in the dimly lit room. This is why he moved first, trying not to startle her when he came up at her side. She caught his eye in the mirror behind the bar. He could see from the look on her face that she wasn’t the type to startle easily.
“What are you drinking?” he asked, thinking, Thank god it’s not pink.
“Why do you want to know?”
“Curiosity.”
“You know what they say about curiosity.”
“Sure, but I’m not a cat.”
She tilted her head, seemed to take him in fully. “No, you’re not.”
He picked up her drink, took a sip. Then he slid his own to her.
“Ketel One,” they said together, and then they both laughed. It was a good start.
“No Valentine?” he asked.
She made a face. He hoped she wouldn’t begin that rant about how Valentine’s Day was created by the blowhards at Hallmark. He steeled himself, just in case, but she simply said, “Not this year.”
That was good. She wasn’t whiny. She wasn’t kicked-to-the-curb depressed. Who’d kick her to the curb, anyway? She also wasn’t desperate. All qualities he could appreciate. They sipped together and didn’t say much, a few words here and there. But he could feel her heat, feel that she was moving her body slightly closer to his whenever she could. He put money on the bar and turned toward the door. He heard her shoes on the hardwood floor, and her hand on his arm stopped him. She couldn’t see the smile on his face.
No pat line. No, “Your place or mine?” No, “Where to, big guy?” She held him in place with her hand on his arm, and then stood at his side, like they were already a couple.
Valentine’s Day will do that to you.
She followed him to his apartment. There was one light on in the office, a golden glow through the papery curtains. Keith waited for her to park, and then went to the side of the car and opened the door for her. When had he last picked up a girl at a bar? That one was easy enough to answer.
He watched her step onto the pavement. His eyes did that tour of her body again—top to toe—and he smiled. He knew how to choose the right kind of girls.
She took his hand when they reached the front door, gave his hand a squeeze. For reassurance? Maybe. But reassurance for him or for her? He didn’t bother asking. He slid in the key, opened the lock, and pushed the door open. He had heard that once you lived in a place for a certain period of time, you no longer could appreciate the smells. Could she? Did she notice anything?
She didn’t seem to. He led her into the kitchen and poured each of them a fresh drink. Kettle One he had on hand. He was aware they weren’t talking much. Not even that nervous chitchat of getting to know you. He was glad that the place was so clean—almost monastic. He appreciated good lines, strong angles, no knickknacks, no clutter. She sipped. He sipped. She laughed. “So this is Valentine’s Day when you’re single.”
“New to you?”
She touched the spot on her ring finger, and he saw the white band in the skin.
“How long?”
“Long enough,” she said. He touched the spot she’d touched. He saw her shiver, and he bent and kissed the dip of her neck. She leaned her head back and sighed. That was all they needed. One kiss against the kitchen counter, and both were primed. He took her drink, set both vodkas on the counter, and lifted her in his arms.
He carried her down the hall, past the sleek, modern art on the walls. No photographs. He’d always collected the work of local artists, loved living amidst their colors. In the bedroom, he hesitated. Put her on the bed right away, or let her walk to the mattress herself. He didn’t generally hesitate. She grinned at him and said, “Are you thinking face up or face down?” and he placed her on the mattress. He didn’t bother closing the door.
She undressed at the same time he did. Speedily. He had on black jeans and a black shirt. She was in a skirt and sweater. They were both nude in a heartbeat, and then he was on her, kissing exactly where he had in the kitchen—but the sensation was different now that they were naked.
“I didn’t want to be alone,” she said when he began to work down her body. “I couldn’t be alone.”
He didn’t think she needed a response. Not more than his mouth on the insides of her thighs, his fingertips on her cunt. He licked her skin but not her pussy. With his thumbs, he spread her lips apart and ran circles around her clit. She was the opposite of alone right now, wasn’t she?
“Valentine’s Day never meant much to me before,” she said, and he thought for an instant that he’d been wrong. She was going to launch on the commercialization and all that shit. But she didn’t. “When you’re part of a pair, you take it or leave it. When you’re all by yourself, every red heart is like a smack in the fucking face.”
He nibbled at her inner thighs, and then he rolled her over. While she arched, he reached for a condom. Second drawer on the right. He had it on before she could muster a whimper.
Getting in from behind for the first time was always delicious. He slid his cock in deep from the start. He hoped he’d guessed right about this girl. She’d looked as if she would…
“Oh, god…”
Yeah. He had. She was noisy. That was good. As he slid into her, she bucked and moaned. Her dark hair, so artfully arranged at the bar, was coming loose from the complicated style. Tendrils this way and that. He would have gripped onto a handful if he’d known her better. As it was, he held her hips and moved her to his speed.
“Oh, Jesus,” the girl groaned. “That feels so fucking good.”
He wanted to make her feel even better. He slid one hand around her waist so he could rest his fingertips on her clit. She shivered all over when he stroked her very lightly. She was sensitive. He liked that.
He didn’t pay much attention to his own pleasure. This round was for her. He drove in as deep as he could, and then slowly pulled out. He got her teetering on the edge of pleasure until she had stopped moving completely—trusting him solely to bring her where she so desperately needed to go. As long as she kept making those noises, he was happy. He moved inside her, tickled her clit, caressed her skin, and then he began to do all those things faster. And faster. Her voice grew louder. Her moans extended. She came in a burst of rapid contractions, but his cock didn’t respond. He had enough training to stay hard.
That didn’t mean he couldn’t put on an act. As she was sliding into sublime, he echoed her moans, “Christ,” fucking her as if he’d come, play-acting that shy turn when he pulled out and removed the condom—unsoiled by his spend.
She looked pleased. She looked cat-who-ate-the-canary satisfied. Rolling over, basking. She looked… confused. He was dressing, handing her over her clothes. His attitude had changed dramatically. No rhyme. No reason. She fumbled, pulling her sweater on backwards, slipping the cashmere around to face front. Skirt giving her trouble, when it had behaved perfectly on the reverse. Finding her knickers and grabbing them in her fist. Shoes on. What had changed? Her eyes seemed to ask him, but he was business now. No more pleasure.
He saw when she decided not to worry. They’d fucked. Fucked away loneliness on Valentine’s Day. He didn’t give her a kiss. He didn’t ask for her number. He listened to her let herself out, then walked down the hall and locked the door behind her. He washed both vodka glasses—looked around the kitchen. Nothing of her remained.
Then he headed down the hall to the office.
“Honey,” he said as he entered the room that was right across from the bedroom. He breathed in deep. The room smelled of mandarins and honeysuckle. He always wondered why they never knew. A woman lived here. It was clear to him.
There she was—the girl of his dreams—tied and gagged on the futon. Her dark brown eyes were huge. He came toward her, bent on his knees, felt her pussy. So wet. So fucking wet. He didn’t bother taking her into their bedroom. He pulled her off the sofa and spread her out on the soft rug, her bound wrists over her head. He undid the leather thongs that held her ankles together. He needed access and fast.
Her pussy was so sweet. He pressed his face against her and licked until she came. Once. Hard. She’d earned that, hadn’t she? He wanted to hear her tell him what she’d felt like. But that wasn’t the game. Not yet. She had to be gagged for this part, had to feel his naked cock in her knowing that he’d been inside another woman only moments before.
Now he could finally get his. He moved up her body and thrust inside of her. His cock, so well trained, seemed to know that bliss was imminent. He fucked her while she moaned against the gag, fucked her while tears streaked her face. He was hers. Always. Forever. Hers. He showed that to her in the way he manhandled her, in the way he touched her. In the way that he only came when he was with her.
Like now, as he pulled out and climaxed on her belly, using his palm to spread the spend into her skin.
He didn’t know why she needed this. She couldn’t understand it herself.
But she was the girl of his dreams. And her dreams were to hear him fuck another woman—a lay he’d pick up for only a single night—and to do so while she waited in the other room, listening. Bound so she couldn’t possibly get free. Gagged so that she couldn’t cry out.
This was her fantasy.
“Happy Valentine’s Day, baby,” he said, as he set her free.
Happy Valentine’s Day! See: The 14 Most Notable Celebrity Dongs on Buzzfeed (including Peter Sarsgaard, Viggo Mortensen, Ewan McGregor, Michael Fassbender and more. Or, check out an extra dozen picks below:
"L'univers violent et transgressif du film peut être difficile à décrypter et peut heurter un public jeune." Tel est le contenu de l'avertissement accompagnant l'interdiction aux mineurs de 12 ans décidée par la Commission de classification pour le film Spring Breakers (2012) de Harmony Korine qui doit sortir sur les écrans français le 6 mars prochain. Des bikinis, de la violence, un langage cru et de la drogue qui ne sont pas du goût des membres de la Commission américaine, décidant d'interdire le film aux -17 ans non accompagnés, et bien évidemment de la Commission britannique justifiant une interdiction aux mineurs dans tout le Royaume-Uni. La comparaison des bandes annonces est également intéressante, certaines scènes sexuellement suggestives figurant sur le trailer en VF (dont celle sur la photo) ayant été raccourcies pour le trailer officiel en VOST.
La bande annonce VOST :
Vu sur Osez… 20 histoires d’amour… et de sexe
« On parle de tomber amoureuse, mais moi, je crois que j’ai glissé, glissé en amour, et mon regard est neuf, et j’aime tout de lui. », p. 62, extrait de Fraises alla puttanesca de Julie Derussy. Ce texte n’est pas mon préféré, mais cette phrase est si belle tout en étant si simple… et peut-être est-ce [...]
Cet article provient de Littérature érotique
Nouvel épisode de la série « My Strange Addiction » sur la chaîne câblée américaine TLC avec cette étonnante pratique du lavement au café, qui vient apporter une nouvelle nuance dans l’arc-en-ciel des colored enemas. Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez lire cet article qui revient sur l’histoire de ce couple accro aux jus de chaussettes par le fondement, qui les font se sentir « si bien ». On pourrait croire à un hoax mais il semblerait que cette pratique soit répandue, bien que risquée. Si vous voulez vous essayer à sa version porno, on ne vous conseille pas cette petite vidéo infappable dénichée sur xHamster (mais comportant tout de même ce flamboyant commentaire « NO ACTION. Should have had a narrative, describing the state of mind and what you felt« ).
Pour les autres, la version SFW est sur TLC. Bonne kiffade.
Un Anglais au goûts, disons… particuliers,
De porn extrême est accusé de possession.
C’était, dit-il, dans un but désintéressé:
Pour un bouquin, il en faisait la collection.
Au Tag, on n’aime pas trop la sexo. La baise, c’est exactement comme le pull-over vert de Kurt Cobain : une affaire de goût qui ne regarde que vous. Alors quand Fleshbot demande aux porn stars leurs meilleurs conseils sexe, on craint le pire, et c’est tout le contraire : un florilège de réflexions éclairées et pertinentes prônant le partage, la curiosité et l’acceptation de soi, à l’image de la réponse de Stoya :
« Il n’existe PAS de conseils sexo : tout ce que vous lisez à ce sujet, c’est de la pure connerie. Il faut essayer ! Une pratique qui paraîtra dégueulasse à quelqu’un sera peut-être fantastique avec un autre partenaire ».
Mention spéciale pour Kayden Kross, auteur de punchlines particulièrement de bon conseil en cette veille de Saint Valentin :
« Les filles, je sais bien que vous matez du porno, et que les pipes ressemblent souvent à une attaque de requins. En réalité, c’est un truc hyper délicat. On ne met pas les dents, on ne force pas ».
Parce que le porno, c’est du spectacle, Kayden en profite également pour mettre les mecs en garde contre le copier-coller des scènes de porn à la maison :
« J’ai vraiment envie de vous dire : « Don’t try this at home ». En tant qu’actrices, on fait des trucs pas toujours très agréables, mais qui ont l’air putain de cool à l’écran. Si vous essayez de faire la même chose avec votre meuf, la nana aura très certainement envie de vous coller un pain. Mais, comme beaucoup de filles, elle sera sûrement trop douce et trop gentille pour vous le dire ».
Bien cool aussi, le sex tip de Dana Dearmond :
« N’ayez jamais honte de vous, et acceptez votre corps ».
Les porn stars sont vraiment des gens adorables :
xHamster a beau être le premier site porno au monde (ils viennent de passer devant xVideos) et claquer sans grand stress leurs 15 millions de visiteurs uniques par jour, la culture porn s’emmêle parfois les pinceaux. La preuve avec La Fouine qui pendant un C’est quoi ton porn ? à la sauce NRJ lâche au micro de Guillaume Pley que la catégorie asian n’existe pas contrairement à deep throat, qui est une pratique « sale » pour l’animateur (40 ans après la sortie du film tout de même, belle perf).
La Fouine © Les Haterz
Rétablissons la vérité, La Fouine confond juste tag et catégorie et met le doigt sur quelque chose d’intéressant, la catégorie deep throat n’existe effectivement pas en tant que telle sur les principaux tubes contrairement à asian ou cumshot. Pourquoi ? Et la barbichette, tag ou pas la famille ? Qui décide qu’une pratique devient une catégorie et une autre un tag ? Mais qui est l’exemple ?
Non le milieu fétichiste et BDSM n’est pas réservé à une élite, nul besoin d’être parrainé ou de payer une fortune pour y accéder, tout cela n’est que pures inventions et fantasmes de certains médias et de journalistes en manque de sensationnel. C’est d’ailleurs un univers bien moins sulfureux, codé et hors normes que vous ne l’imaginez, la Nuit Élastique et la Croisière Élastique en sont d’ailleurs les meilleurs exemples : l’ambiance y est sexy mais détendue, ouverte mais clairement orientée sur les plaisirs vinyle, latex, cuir, bondage, shibari et BDSM, respectueuse et tolérante.
Cessez de vous prendre la tête, d’imaginer des hordes de dominatrices vous imposant contre votre gré des pratiques qui vous rebutent et de penser que si vous venez seule(e) vous ne pourrez que restez abandonné(e) dans un coin de salle. Non, non et non, la Nuit Élastique et la Croisière Élastique sont des espaces faits pour les rencontres et les contacts, toutes les rencontres et tous les contacts, pas uniquement un lieu de drague ou de pratiques directes mais avant tout un lieu où l’on commence par se faire des ami(e)s qui partagent vos goûts. C’est en vous créant petit à petit un petit cercle de connaissances que vous vous faciliterez ensuite des contacts avec qui vous pourrez partager des pratiques érotiques fétichistes et/ou BDSM si c’est ce que vous cherchez.
Oubliez vos craintes et rejoignez-nous !
Voici les quelques règles qu’il vous faut respecter obligatoirement, vous verrez c’est très simple :
- avoir + de 18 ans (cela va de soi mais nous préférons le rappeler quand même).
- respecter le « dress code » (en français : la tenue à respecter) vinyle, latex ou cuir (y compris simili-cuir). Le minimum étant d’avoir un pantalon ou une jupe dans l’une de ces trois matières. La couleur n’a pas d’importance, libre à vous de porter du vinyle rose, du cuir rouge, du latex bleu si vous préférez ces couleurs au noir classique. Par contre tout non-respect de cette règle nous obligera à vous refuser l’accès à notre soirée même si vous êtes en possession d’un ticket acheté en prévente. Cette règle vaut bien sûr pour tout le monde : femme, travesti, transsexuelle ou homme que vous soyez seul(e) ou en couple.
- respecter les autres participant(e)s, vous libre de donner ou recevoir la fessée, de vous caresser entre vous, de lécher des bottes ou des pieds… mais après en avoir clairement demandé l’autorisation à votre partenaire. Il est strictement interdit de toucher les autres participant(e)s sans leur accord, si vous ne respectez pas cette règle essentielle de savoir-vivre nous ferons appel à notre service de sécurité pour vous exclure de notre soirée. Galanterie, politesse, respect et tolérance sont des de rigueur chez nous, vous n’êtes pas dans une zone de non-droits.
- payer votre entrée soit en achetant votre place en prévente (en exclusivité sur internet) ce qui vous permettra de faire une vraie économie ou sur place lors de votre arrivée.
À savoir :
- vous pouvez vous changer sur place.
- nous disposons d’un vestiaire (2 € par article : sac, manteau, etc.)
- vous pouvez payer votre entrée et vos carnets de tickets boissons par Carte Bancaire
On ne va pas vous faire l’affront de présenter une énième fois Kink, temple du BDSM accepté des masses, le plus médiaval des studios du porn jeu. Son patron et fondateur, Peter Acworth, est dans la merde. Le premier soir de février, le mec était posé tranquilou dans ses studios à 14,5 millions de dollars (un château-fort californien avec plus de cordes que d’ampoules au plafond) quand la police de Frisco, pas réputée pour sa tendresse légendaire, débarque sur les lieux. En arrivant plus tôt ils auraient pu tomber, qui sait, sur James Franco et James Deen en plein tournage du docu Kink…
Bref, motif de l’intervention m’sieur l’agent ? Un informateur (une balance) avait posté sur les internets puis communiqué à la police une vidéo où l’on discerne, sans ambiguité aucune, des hommes s’entraînant au tir dans l’enceinte même du donjon Kink. Plutôt futé et très à cheval sur la législation – du moins pour ses films – notre brave Peter Acworth prenait tout de même bien soin de ne jamais laisser d’armes (autres que les nombreux outils et machines nécessaires au bon fonctionnement de son business) dans les studios. Si bien que les flic, désabusés, n’ont rien trouvé d’autre qu’un stand de tir. Et de la cocaïne.
Comme en Irak, pas d’ADM mais du pétrole
Le boss de Kink a donc finalement été arrété à 20h30 heure locale, pour possession et refus d’obtempérer.
Mais rassurez-vous, les “performers” de Kink.com, très professionnels, ont précisé que l’arrestation n’a pas décalé leur planning de tournage. Allelujah !
Ca vous dirait, une sieste crapuleuse avec Boa Hancock ou Chun-Li ? Rue 89 est allé poser la question, le week-end dernier à Paris Manga, aux fans de cosplay.
« Le cosplay ? » Mais oui, vous savez, le cosplay, pour « costume playing », la passion de se déguiser en personnages de mangas, de films ou de jeux vidéos ! Ce hobby, né aux Etats-Unis, a contaminé le Japon puis s’est largement popularisé en France chez les otakus, geeks, nerds de tous bords, et même au-delà.
Parmi les nombreux personnages que les cosplayers s’amusent à incarner, beaucoup de tenues sexy qui pourraient donner des...
Vous pouvez payer en espèces ou par carte bancaire (Visa, MasterCard…) dans toutes nos soirées, que ce soit la Nuit Élastique mensuelle classique ou la Croisière Élastique. Pour payer votre entrée mais aussi acheter vos tickets boissons (5 tickets pour 15 €) et même payer le vestiaire (2 € par article).
Minimum accepté pour tout paiement par carte bancaire : 15 €
You can pay in cash or by credit card (Visa, MasterCard …) in all our fetish parties, Nuit Élastique and Croisière Élastique. To pay your entrance tickets but also buy drinks (5 tickets for 15 €) and even pay the cloakroom (2 € per item).
Minimum accepted for payment by credit card: 15 €
Image via: There Were No Sideboobs At The Grammys (Buzzfeed)
On Christmas I made my self-published e-book Fetish Sex: A Complete Guide free for 24 hours, and I’m lucky that Sexsational picked up a copy. Not just because they liked it so much they wrote a review, but because the review they wrote is thoughtfully geared toward those wondering if the book – and the concept of fetish sex – is for them. The review is incredibly in-depth but doesn’t go off on tangents, very helpful if you’re curious about the sexual roads less traveled, and I think you’ll get a lot out of it. (Also, the book is free for Kindle Prime members.)
From “Fetish Sex: A Complete Guide to Sexual Fetishes” EBook by Violet Blue [Review]:
Blue takes a very understanding, no-nonsense stance; she explains the reality of many taboo fetishes in a way that is easy to understand, even from an outside standpoint. She makes it clear that though many fetishes are misunderstood and can be viewed by the person who has the fetish and those who are looking from an outside standpoint as offensive or simply “not ok” for one reason or another that these fetishes can be practiced in a way that is safe, respectful, and involves consent.
(…) The understanding and supportive nature of the writing in this book- in ways that help both fetishists and those who have a relationship or sexual interactions with them- makes it a highly useful resource. Before even talking about the different fetishes, she talks about society’s understanding of fetish, the way some fetishes are considered normal (i.e. Blonde hair and large breasts in women, large penises in men- these are, technically, fetishes that are so commonplace and accepted that we don’t realize them for what they are) and many others are considered abnormal and are made fun of because they are misunderstood. It is a beacon call in the dark for anyone with a fetish or interested in learning more about fetish, without judgement or negative connotations. (…read more, sex-ational.blogspot.com)
It’s certainly true that I don’t promote my own books as much as my publishers would like – in fact, I’m the least motivated author in terms of promo, appearances and PR that my main publisher has ever encountered. (Like, I have a new book out right now that I *need* to start talking about before too much time goes by.) But when a great reviewer takes the time to examine my work, and it makes an interesting read, I think you can forgive an entire post about one of my books :)
Edit: HOLY OMG I just looked at the page for my new book and it’s full of 5-star reviews! YAY! Le squee~~~~!!!
Beautiful cover of Fetish Sex e-book photograph by Steve Diet Goedde.
Un avant-dernier texte, pour souligner le dixième anniversaire de mon blog. Il m’a été soumis par Lyne Éthier (et a été écrit en collaboration avec sa copine Élise Courchaine). Non seulement Lyne est-elle une de mes lectrices assidues, mais elle est une des rares à habiter ma région d’adoption (en plus d’être une likeuse frénétique sur Facebook!). Elle s’est donc méritée une copie de Pr0nographe, le ebook qui détourne éhontément des pixels pourtant honnêtes dans un but bassement scabreux.
Allyson faisait la queue à l’épicerie. Bien loin dans ses pensées érotiques, elle se fit interrompre par le jeune homme devant elle.
Lorsqu’elle releva la tête,elle reconnut Stéphane, un bon ami d’enfance. Après les salutations, il lui offrit sa place dans la file d’attente. Elle le remercia et poursuivit la discussion jusqu’à ce qu’ils soient tous deux sortis de l’épicerie. Une fois à l’extérieur, ils s’échangèrent leurs numéros de téléphone, Stéphane lui proposa d’aller prendre un verre chez lui, ce qu’elle accepta sans pudeur. Dès ce moment, Stéphane se demanda s’il pourrait la baiser le soir même. Il n’eut pas longtemps à se questionner, après quelques verres, la chaleur monta et Allyson se déshabilla. Cinq minutes plus tard et s’en était terminé, laissant celle-ci sur sa soif.
Le lendemain, le téléphone n’en finissait plus de sonner, faisant regretter à Allyson d’avoir échangé son numéro avec cet homme. À chaque message reçu, elle se questionnait davantage à savoir comment lui avouer qu’elle n’avait pas aimé son expérience, comment lui dire que tout cela ne l’intéressait pas. Ne sachant plus quoi penser, elle lui donna rendez-vous le lendemain soir pour lui dire qu’il ne se passera jamais rien de plus.
Une fois devant lui, elle ne pouvait que lui dire ce qu’il voulait entendre. Malgré elle, Allyson venait de s’embarquer dans une histoire sans amour.
Après plusieurs mois à se demander ce qui serait le mieux pour elle, Allyson décida d’appeler son amie Mélissa. Partir pour une semaine loin de son petit copain lui sembla la chose à faire.
Aussitôt parties, elles se dirigèrent vers le chalet de William le cousin de Mélissa, et la fête commença. Ils étaient tous installés autour du feu de camp, une bière à la main, le cooler plein d’alcool niché au pied de l’hôte. Toute la soirée la belle et aguichante Allyson se faisait désirer. William, très confiant, était certain de se farcir cette jolie fille ! Il ne reculait devant rien, du flattage de dos en tout bien tout honneur, jusqu’aux mots doux chuchotés à l’oreille. Lorsque le temps fut venu de repartir, Allyson, très amochée se questionna plus que jamais. Rester et tromper son supposé amoureux ou partir et peut-être ne jamais revoir cet homme pour qui elle ressent une si forte attirance… sexuelle! Après avoir pesé le pour et le contre, tant bien que mal elle opta pour la meilleure option selon elle. Allyson devait s’éloigner de William!
Le lendemain elle s’en retourna chez elle.
Cependant, le soir même elle rappela Mélissa pour lui annoncer qu’elle avait quitté Stéphane et lui demanda de venir la chercher. Et la fête recommença au chalet du beau et très confiant William!
Au petit matin, Mélissa trouva qu’il était temps pour elle de rentrer à la maison. Allyson maintenant libre de ses choix resta au chalet.
William proposa d’écouter un film dans son lit bien tranquille, mais les choses ne se passèrent pas comme prévu. Allyson se coucha sur le divan lit, William en profita et alla la rejoindre. L’homme habile qu’il était promena ses mains sur elle jusqu’à descendre à destination. C’est à cet instant qu’Allyson lui avoua très timidement qu’elle était dans ses règles. William en avait vu d’autre et passa par dessus cet obstacle, il commença à laisser traîner sa langue le long de son corps, ce qui la fit se tordre de plaisirs. Il était maintenant temps de passer à l’action, William entra quelques centimètres en elle jusqu’à frapper le fond. Par la suite, il la souleva et la pénétra en la gardant dans ses bras. Avec déjà plusieurs positions d’effectuer, assoiffé, Will prit sa bouteille d’eau, en bu et le garda dans sa bouche pour ensuite laisser le liquide se déverser sur le corps de sa compagne pour ensuite lui dire des mots cochons! Le jeune homme la poussa sur le mur pour la prendre par devant et la retourner pour entrer par l’arrière, il se déhancha ainsi quelques heures encore. Parmi ces heures, Allyson enjamba William pour se déhancher à son tour, le suça jusqu’à ce qu’il vienne sur ses seins gonflés par le plaisir.
Il remit le film une deuxième fois, mais encore ce ne fut pas le temps de l’écouter.
Cette fois-ci ce fut Allyson qui prit les commandes. Elle le prit en main dans l’intention de l’avoir en bouche. Elle le suça comme jamais elle ne l’avait fait, ce qui fit crier William de stupéfaction! Elle débuta bien sûr par le gouverner de son mieux, elle se positionna pour se faire prendre à quatre pattes comme une chienne qu’ont dompte! William la tourna sur le dos, entreprit de lui donner des baisers chauds et humides partout de la tête aux pieds. Il lui fit prendre ses jambes à son coup pour la chevaucher pendant de délicieuses minutes. Et bien d’autres positions suivirent jusqu’à ce qu’il décharge sa chaude sauce sur son ventre.
Il remit le film à nouveau, cette fois-ci par exemple ils le regardèrent. Cela finit par un lunch au McDonald!
Après s’être rassasié, William alla rapporter Allyson chez Mélissa.
Pendant une semaine complète, William fit des allés-retour de chez Mélissa jusqu’au chalet seulement pour pouvoir admirer sa belle au moine quelques heures. Mais à la première occasion où Mélissa n’était pas à la maison, les deux amants ne perdaient pas leur tempe pour se montrer leurs attirances. Parfois lui l’apporta au chalet, parfois ils se donnèrent en secret chez Mélissa, la coloc d’Allyson, lorsque celle-ci sortait pour rejoindre son tendre amoureux. Ce fut ainsi jusqu’à la fête d’Allysson.
Le 18 janvier, tous firent honneur à la boisson pour la fête de leur chère amie. Une foi Mélissa et Antoine couchée, William et Allyson sautèrent dans la douche. Will finit sa douche le premier, alors il en profita pour allumer des chandelles partout dans la chambre de sa conquête. Lorsque celle-ci entra dans la chambre et aperçue le romantisme de la situation, elle décida d’ajouter un peu de piquant en enfilant un de ses plus sexy déshabiller.
Elle sortit aussi son kit d’huile érotique. William étendit sa compagne et entreprit de la goûter Il lui donna du plaisir, et elle en retour lui donna son jus. Maintenant il était venu le temps d’essayer ces huiles, le vilain garçon enduit le corse de sa victime d’huile à l’arôme de fruit de la passion pour la masser et lui voler quelques baisers au passage. Ils firent le si plaisant 69 jusqu’à ce qu’Allyson n’en puisse plus d’attendre. Elle se plaça à quatre pattes pour qu’il la pénètre, ensuite elle chevaucha son homme de dos, pour en finir par se retrouver accroupie face à lui. William la fit virevolter sur le dos et recommença à la déguster jusqu’à ce qu’Ally le repousse doucement à genoux pour pouvoir le sucer. Ils repartirent dans leurs ébats pour encore quelques heures…
Un jour Mélissa partit en voyage pour une semaine, Allyson en profita pour aller au bar. La soirée se déroula si bien qu’elle sortit à la fermeture pour aller dans une chambre d’hôtel avec un homme ramassé sur la piste de danse.
Après quelques verres de plus et après avoir bien échauffé cet homme elle se leva pour aller chercher son cellulaire qui sonnait. C’était William… Elle s’habilla en vitesse et retourna à la maison, laissant ainsi l’homme sur sa soif de sexe!
Arrivée chez elle, elle téléphona tout de suite à William. Celui-ci répond immédiatement, il lui avoua ne plus être célibataire, mais qu’il voulait quand même continué de la voir de temps en temps. La discussion commença à être de plus en plus intense et William informa Allyson qu’il partait à l’instant pour la rejoindre. Le chemin lui sembla long dû à l’envie qu’il avait du fourrer. Aussitôt arrivé il sauta dans le lit de sa maîtresse pour se mettre à l’oeuvre. Quelques minutes plus tard, on cogna à la porte. Allyson prise de panique se demandait qui pouvait bien cogner à la porte à une heure aussi matinale… Elle remit rapidement sa robe, essaya de se recoiffer à la halte et alla ouvrir.
C’était l’homme qu’elle avait suivi jusqu’à sa chambre d’hôtel. Elle ouvrit la porte et lui demanda de s’en aller parce qu’elle avait déjà de la compagnie qui l’attendait dans son lit !
L’homme outre repartit sur ses pas. Allyson retourna à son poste!
Au moment de partir, William dit qu’il ne pourrait pas revenir pour un bout, mais qu’il reviendrait. Il embrassa Allyson tendrement et la quitta.
Après quelques semaines sans nouvelles de lui, Allyson apprit que William n’avait plus de cellulaire. Est-ce qu’il s’est fait prendre à son jeu par sa petite amie ?
6 secondes, c’est la durée moyenne d’un orgasme masculin et c’est aussi celle des films qui seront sélectionnés par le site culturel ANIMAL dans le cadre de leur Unofficial Vine NC-17 Very Short Film Festival. Marina Galperina, l’organisatrice de cette compétition ciné 2.0, base son concept sur une application rachetée par Twitter, lancée le 24 janvier dernier et disponible sur iPhone : Vine. À l’instar d’Instagram, ses utilisateurs ont un compte et des followers ; ils y postent leurs vidéos de 6 secondes [maximum] et les partagent sur les réseaux sociaux. La logique du micro-blogging s’applique aux images animées : micro-shooting, bonjour.
Could not use HTML 5 or Flash for playback. You can download the file as MPEG4/H.264 file.
if (jQuery.browser.mozilla) {tempvid=document.getElementsByTagName("video")[0]; jQuery(tempvid).remove(); jQuery("div.video_wrap div").show()} else jQuery("div.video_wrap div object").remove();Sans surprise, Vine a très vite été envahie par les contenus sexuels et mise à jour en début de semaine : désormais, les moins de 17 ans sont privés d’explicite. Le Very Short Film Festival souhaite se servir de cette matière artistX. ANIMAL invite les « filmmakers, photographers, artists, amateurs pornographers, vloggers and more net people » du monde entier à se prêter au jeu. Lubricité sans frontières. Voilà qui interroge sur le rapport du porn au temps. Support masturbatoire, le film X ne doit être ni trop court, ni trop long. En 2013, peut-on exciter en 6 secondes ? Ce sujet a notamment fait l’objet d’un récent débat autour du gif, espace d’expression érotique de l’ère numérique.
Juges de fap
Idem, produire une « œuvre d’art » à mi-chemin entre la photo et le court-métrage en tenant compte de son format et des codes 2.0 est un exercice de style plus complexe que ce que la praticité de Vine ne laisse croire. 6 secondes = 1 plan dans un long français = 12 plans dans un long US = beaucoup de possibilités. Au final, ce sont des performers amoureux de l’Internet qui choisiront les meilleures vidéos [projetées à Paris lors de la séance Panic Cinéma du 23 mars]. Le jury est ainsi composé du réalisateur Casey Neistat, de la porn star Stoya [♥], de l’artiste Clayton Cubitt, du photographe-blogger Nate « Igor » Smith et de l’écrivain-photographe Zoetica Ebb. Date limite d’inscription : le 15 février. Et en plus de l’expo en ligne, le vainqueur empochera 100 dolls.
Ce que l’on voit d’abord, ce sont les hommes, énormément d’hommes seuls qui se promènent autour du point d’eau. Ils font mine de ne pas connaître la réputation du lieu. En plein après-midi, on tombe sur les vestiges d’une soirée chaude : un soutien-gorge qui pend à la branche d’un arbre... Au milieu des familles, des sportifs et des amoureux du site, des couples, qui ne font pas que se balader.
On est à deux pas du prestigieux château de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), en plein cœur de la forêt, au bord de l’étang du Corra, vaste domaine boisé de plusieurs...
Une dame un peu tourmentée de l’Oregon
Intoxiquée, toute nue, en plein dérapage
A saccagé et ensanglanté un salon
De coiffure justement appelé « La Rage ».
Elle est partout, la petite Jessie, et surtout derrière l’objectif de Terry Richardson. La cutie et le photographe star des stars ne se lassent visiblement pas de collaborer et offrent à nos regards émus une nouvelle série de clichés, shootés pour Purple Magazine au Chateau Marmont, l’hôtel fétiche de Terry à Los Angeles.
C’est léché, c’est lumineux, mais c’est trop court, alors n’hésitons pas à revoir les précédentes collaborations de l’actrice et du photographe star des stars : Jessie, la belle du Château Marmont, Jessie la tueuse de lapins, Jessie en talons hautement patriotiques.
Jessie la DJette était également avec nous au Carmen fin janvier, pour un Fap Club des grands soirs qui a rendu dingue toute la rédac pendant trois semaines. Pour la séance de rattrapage, ça se passe ici.
(photo Valentin Le Cron)
Les deux dernières interdictions de représentation aux moins de 18 ans décidées par le BBFC viennent d'être publiées. Elles concernent en premier lieu le film indien Gangs of Wasseypur 2 (2012) de Anurag Kashyap, la Commission britannique justifiant sa décision par la violence des images et des mots. En France, pour des motifs pourtant similaires, la restriction est beaucoup moins sévère puisque notre Commission justifie une simple interdiction aux moins de 12 ans par les "nombreuses scènes de tueries particulièrement cruelles". Le second film frappé d'une interdiction aux mineurs outre-Manche vise The Look of Love (2013) de Michael Winterbottom. Trop de sexe et trop de drogue. On se souvient que l'un de ses précédents films, 9 songs (2004), avait déjà été interdit aux moins de 18 ans au Royaume-Uni mais aussi en France en raison des "très nombreuses scènes de sexe non simulées (pénétration, éjaculation, fellation…) qui constituent l'essentiel du film, qui narrent les relations sexuelles d'un couple de jeunes adultes et qui sont associées, pour deux d'entre elles, à des prises de drogue".
On ne s’en sort pas de cette crise ; sondage après sondage on apprend que les Français ont coupé dans le gras d’à peu près tous les pans de leur budget : shopping, santé, vacances.
Ce qu’on ne dit pas, c’est que le budget des Français n’est pas le même que celui des Françaises. Menstruations, épilation... il faut parfois parler trivial pour toucher le problème du doigt : ça coûte cher d’être une femme.
D’autant plus qu’elles sont toujours rémunérées en moyenne 20 % de moins que les hommes et que depuis décembre, elles déboursent autant en assurance auto (elles provoquent...
Jeudi 14 février, vous n’êtes pas sans savoir que c’est la Saint-Valentin, la fête des amoureux. Believe est venu nous voir pour nous demander à quoi ressemblerait une compilation pour ce moment magique. Comme on n’est pas très fleur bleue, mais tout de même sensible, on a essayé de vous raconter une petite histoire. De la séduction à l’acte, du sexe sale à la dernière cigarette, celle du condamné à la petite mort. Avec une part belle à la soul et aux labels indépendants comme Versatile, Circus Company ou Tigersushi.
Photo & DA : Keffer
La compilation sort ce jeudi sur Itunes et Virgin et elle est d’ores et déjà disponible sur Spotify ou Deezer. On sera jeudi dans la matinale du Mouv‘ (à partir de 8h) pour venir défendre ce sympathique projet entre séduction et dirty sex, et vous pourrez la gagner toute la journée dans sa version physique (et cérébrale) sur le Mouv’. Enfin, on finira le soir au Carmen (34 rue Duperré à Pigalle) pour un Fap Club spécial Saint-Valentin avec Guilhem en haut, Gonzo dans la cave (accompagné de Jaco, résident très doux du Carmen). Venez, on a trop chaud.
«Comme à son habitude, la comtesse de Trakai se coiffait avant de sortir à six heures lorsque son larbin se présenta respectueusement à elle en tenant dans ses bras un cadeau emballé avec soin.»
— «Pour vous, comtesse, ces modestes cadeaux d’anniversaire» lut la comtesse sur la carte.
La comtesse déchira le papier, ouvrit la boite et y trouva un gode-ceinture de taille impressionnante.
— C’était écrit «cadeaux», au pluriel. Je n’en vois qu’un seul, larbin.
Pour toute réponse, larbin retira son uniforme, le plia avec soin et le déposa sur la table. Il s’agenouilla ensuite devant sa comtesse, puis lui présenta son arrière-train où était enfoncé un plug en inox surmonté d’une pierre de strass.
— C’est pour moi? Quelle gentille attention! Tu devrais voir comme il scintille à la lumière…
La comtesse s’amusa un peu avec son nouveau jouet, le fit glisser, aller et venir dans le cul de son larbin qui soupirait gentiment.
— Voyons maintenant ce strap-on… je me sens comme une gamine le matin de Noël !
Le visage orné d’un large sourire, la comtesse enfila son organe viril tout neuf. Elle attrapa ensuite son larbin par les cheveux, le tira vers elle, le retourna et plaça le gland de latex contre sa bouche. Larbin ne se laissa pas prier et ouvrit la bouche et entreprit de sucer le phallus postiche du mieux qu’il pouvait.
— Tu as intérêt à bien l’enduire de salive, car j’ai l’intention de profiter à fond de mon cadeau d’anniversaire, dit-elle d’un ton sec qui cachait mal son attendrissement.
«On dira ce qu’on voudra, c’est moins l’objet lui-même que l’emballage et l’intention qui fait le bonheur de recevoir le cadeau», se dit beaucoup plus tard la comtesse de Trakai avant de se retirer dans ses appartements.
Assise dans un café cosy de Paris, j’attends une femme qui a accepté de me raconter ses histoires d’amour, pas tout à fait comme les autres. Après une dizaine de minutes, une blonde élancée, cheveux au carré, pousse la lourde porte du café. Pommettes saillantes, sourire timide, regard pétillant.
Elle a de longues et fines jambes, enserrées dans un collant noir, un manteau de fourrure noire ; elle s’approche délicatement de la table et me tend la main. C’est Stéphanie (le prénom a été changé), une Parisienne de 38 ans. Elle travaille dans le milieu du théâtre, aussi bien...
Pas sexy du tout mais franchement hilarant, Dumdum magazine nous dégote un extrait de la comédie musicale de 1977, « Cendrillon version érotique », pour son anthologie des BO (bande originale) porno. Le reste de la compil est beaucoup plus suave, avec Gainsbourg, Birkin et Patrick Juvet en faiseurs d’ambiance porno-rétro.
Depuis quelques semaines, je vois passer des « tweets » s’insurgeant avec virulence de l’assimilation « prostitution = viol ».
Ce serait là des propos d’une violence « intolérable » qui démoliraient à eux tout seul la valeur du consentement féminin, et qui plus, stigmatiseraient gravement les putes et les femmes violées.
Ceux qui font cette assimilation (en gros, les abolitionnistes) dépeindraient les putes comme des irresponsables et amoindriraient les souffrances et violences vécues par les femmes violées. Ceux qui les attaquent se présentent comme des amis des putes et prennent fait...
Strictement interdit aux mineurs de 17 ans (NC-17) par la Commission de classification américaine (CARA) à la fin du mois de janvier, Evil Dead (2013) de Fede Alvarez, vient finalement d'être autorisé aux moins de 17 ans accompagnés d'un adulte. Un classement « R » obtenu après qu'un nouveau montage, moins gore, ait été présenté à l'avis des membres de la Commission. Les producteurs et distributeurs du film, qui ont misé plus de 14 millions de dollars sur ce remake du film de Sam Raimi, n'ont évidemment pas pris le risque de se priver du public auquel Evil Dead est destiné. L'autocensure a donc été préférée à l'échec commercial. Les décisions des Commissions française et britannique sont attendues dans les prochaines semaines, la sortie européenne du film étant programmée en mai 2013. Rappelons à cette occasion que si Maniac (2012) écope d'une interdiction aux moins de 16 ans en France, le film de Franck Khalfoun vient d'être interdit aux mineurs de 18 ans dans tout l'empire britannique, tout comme Dead End (aka Hard Shoulder) de Nicholas David Lean.
La bande-annonce :
Main post image via.
A une semaine d’intervalle, ce mois-ci, la ministre de la Santé Marisol Touraine a fait deux annonces :
Vous avez été nombreux à suivre les FILLS MONKEY, ce duo de batteurs déjanté et leur spectacle musicalo-humoristique “Incredible drum show”. Et bien, bonne nouvelle : après avoir affiché complet au Sentier des Halles fin 2012 et tout en poursuivant tambour battant leur tournée à travers la France, ils reprennent au Sentier des Halles à partir du 5 février pour 27 dates exceptionnelles !
Produits par Flèche Prod/ Claude François Jr, mis en scène par Gil Gaillot (Pascal Legitimus, Anne Roumanoff), les FILLS MONKEY (Yann Coste & Sebastien Rambaud) et leur spectacle original & humo-rythmique “Incredible Drum Show” ont marqué la 1ère édition des Francos Gourmandes en juin dernier, et triomphé au Zoofest/ Montreal (CA) cet été !
AGENDAFévrier 2013:
01/02: Espace Keraudy - Plougonvelin (29)
05/02: Le Sentier des Halles - Paris (75)
09/02: Le Sentier des Halles - Paris (75)
10/02: Le Sentier des Halles - Paris (75)
12/02: Le Sentier des Halles - Paris (75)
16/02: Le Sentier des Halles - Paris (75)
17/02: Le Sentier des Halles - Paris (75)
20/02: La Vapeur - Dijon (21) Festival A Pas Contés
21-22 & 23/02: Salon Musiques & Danse - Montmorency (95)
24/02: Le Sentier des Halles - Paris (75)
26/02: Le Sentier des Halles - Paris (75)
27/02: Théâtre Pierre de Roubaix - Roubaix (59) (jeune public + spectacle)
Mars 2013:
02/03: Le Sentier des Halles - Paris (75)
03/03: Le Sentier des Halles - Paris (75)
05/03: Le Sentier des Halles - Paris (75)10/03 : Le Sentier des Halles - Paris (75)
11 & 12/03: La Lune des Pirates - Amiens (80) (jeune public + spectacle)
14/03: Le 6par4 - Laval (53) (jeune public + spectacle)
15/03: Festival Handiclap - Nantes (44)
16/03: Le Sentier des Halles - Paris (75)
17/03: Le Sentier des Halles - Paris (75)
19/03: Le Sentier des Halles - Paris (75)
22/03: Café Music - Mont de Marsan (40) (jeune public + spectacle)
23/03: La Griotte - Cerizay (79)
26/03: L’Autre Canal - Nancy (54) (jeune public + spectacle)
27/03: Festival La Nuit des Loups - Marcy l’Etoile (69)
29/03: Festival Panoramas - Morlaix (29)
Avril 2013:
02/04: Le Sentier des Halles - Paris (75)
06/04: Espace Rabelais - Chinon (37)
09/04: Le Sentier des Halles - Paris (75)
10/04: La Coopérative de Mai - Clermont-Ferrand (63) (jeune public + spectacle)
11/04: Le Silex - Auxerre (80) (jeune public + concert)
12/04: Festival Drôles de Zèbres - Strasbourg (67)
13/04: Le Sentier des Halles - Paris (75)
16/04: Le Sentier des Halles - Paris (75)
23/04: Le Rio Grande - Montauban (82) (jeune public + spectacle)
30/04: Le Sentier des Halles - Paris (75)
Mai 2013:
03/05: Festival Juste Pour Rire - Bruxelles (BE)
06 & 07/05: Omega Live - Toulon (83) (jeune public + spectacle)
11/05: Festival Les Rues Joyeuses - Tourcoing (59)
14/05: Le Sentier des Halles - Paris (75)
18/05: Festival Tambours en Fête - Charleville-Mézières (08)
21/05: Le Sentier des Halles - Paris (75)
25/05: Le Sentier des Halles - Paris (75)
28/05: Festival Rire à Lourdes - Lourdes (65)
Juin 2013:
04/06: Le Sentier des Halles - Paris (75)
05 & 06/06: Festival Performance d’Acteur - Cannes(06)
11/06: Le Sentier des Halles - Paris (75)
15/06: Le Sentier des Halles - Paris (75)
18/06: Le Sentier des Halles - Paris (75)
22/06: Théâtre de Verdure - Betton (35)
J’ai un scoop pour vous : se défendre lors d’une agression, ça marche ! Le problème, c’est d’oser le faire. Et ça, c’est une vraie tannée : dans une baston, il faut se donner le droit de ne pas se penser vulnérable. En d’autres mots : ne pas être, à l’avance, d’accord avec l’agresseur sur l’identité du perdant.
Apprendre à faire une clé de bras comme on apprend à serrer un garrot, s’entraîner à éviter une beigne comme on prodigue un massage cardiaque, voilà des parades à intégrer urgemment à la panoplie des « gestes qui sauvent ». Ça s’appelle...
Note: Last year I stopped promoting a porn company that had filed lawsuits against people who had allegedly torrented its porn, in what was a typical, ruthless porn company shakedown. X-Art had contracted a notoriously predatory troll lawyer. It saddened me to see a company that made great, respectful porn have its management do something so disgraceful and I stopped promoting X-Art, after a lengthy back-and-forth with reps for the company.
I’m pleased to say that the lawsuit – not surprisingly – just went down in flames, and after a 6-month hiatus sending them traffic, I’ve decided to resume sharing their free galleries. If you buy anything from them it’s up to you, but their work is nice to look at. They treat their performers well, and while the lawsuit is a black mark against the way they have treated fans and potential viewers, hopefully X-Art will be putting this attitude behind them.
Dans le groupe cercle O dans Fetlife, une soumise demande :
Je me pose la question: Quel geste plait au Maîtres?
Est-ce qu’il est mal perçu de prendre l’initiative de poser un geste pour plaire à son Maître, ou, dois-je attendre de reçevoir l’ordre?
Est-ce que Votre soumis/e pose certains gestes qui Vous plaisent particulièrements?
Ou est-ce qu’il y aurait certains geste que Vous aimeriez qu’il/elle fasse pour Vous plaire?
Je réponds :
Des tas de gestes plaisent aux Maîtres. Le baise-main, le service du thé, la pure dévotion, ses fesses qui se cambrent sous l’ordre…
Ce qui plait particulièrement, c’est de voir sentir et entendre qu’elle se comporte exactement comme on le lui a demandé gentiment.
L’initiative de la soumise, oui oui, c’est bien qu’elle apprenne ce qui nous fait plaisir, ce qui nous évite d’avoir à se répéter.
Et à d’autres tantôt, attendez-mouah là, je vous prie. Vous baisserez votre culotte quand je vous le dirai. À moins que je le fasse mouah-même…
Photo : De Dahmane Benanteur via Luna.
Sur le même sujet