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Vu dans Egora: http://egora.fr La spermidine est une polyamine ainsi nommée car sa première découverte fut faite dans le sperme. Mais cette substance se retrouve également dans de nombreux aliments et notamment les fromages, le roquefort en particulier, ou les céréales complètes. Une étude publiée dans la très sérieuse revue Nature révèle qu’une supplémentation orale en … Continuer la lecture de « La spermidine: pour améliorer son espérance de vie! »
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Parce que les pannes sexuelles ne sont pas une fatalité, voici quelques pistes pour retrouver une vie sexuelle épanouie.
Pour un homme, ne pas satisfaire son partenaire au lit implique un manque de confiance en soi et engendre le stress. Cette situation est due généralement à la panne sexuelle. En raison de l'impact psychologique engendré, le problème s'aggrave et le sujet concerné doit consulter un psychologue. Parfois même, la prise de médicaments s'impose, car l'important et de retrouver la virilité. Heureusement que les solutions existent et que le dysfonctionnement érectile peut disparaître rien qu'en changeant d'hygiène vie. Plus de détails à ce sujet.
Pannes sexuelles : de quoi s'agit-il ?On parle de pannes sexuelles lorsqu'un homme n'arrive pas à faire durer son érection ou tout simplement lorsqu'il ne parvient pas à en avoir même après stimulation du pénis. Cette situation peut avoir de nombreuses causes pour ne citer que le stress, l'abus de l'alcool ou encore l'abus de la cigarette. Dans certains cas, le problème est d'ordre clinique et réclame une intervention chirurgicale. Il faut savoir qu'importe l'origine du problème d'érection, une solution s'y rapporte.
Adoptez une meilleure hygiène de vieVous avez un problème d'érection du jour au lendemain ? Identifiez son origine. Il se peut que ce soit à cause d'un évènement survenu dans votre vie : disputes de couple, angoisse, stress au bureau, déprime ou encore deuil. Si c'est le cas, commencez par vous détendre. N'hésitez pas à vous offrir une séance de massage sinon rendez-vous dans un sauna afin de retrouver le bien-être. Votre stress sera alors éliminé et vous retrouverez une bonne performance au lit.
Si vous avez un peu abusé de l'alcool ou du tabac, il y a de fortes chances à ce que ce soit ces derniers qui soient à l'origine de votre panne sexuelle. Si vous voulez retrouver une vie sexuelle épanouie, il va falloir tirer un trait sur ces habitudes malsaines et les remplacer par une alimentation équilibrée couplée à des activités physiques régulières. À noter que l'alcool et le tabac ont pour effet de ramollir les muscles, y compris ceux présents dans le pénis, en raison d'une mauvaise circulation sanguine. Grâce au sport, le cœur fonctionne mieux et la circulation s'améliore pour une bonne qualité d'érection.
Les solutions médicamenteusesSi après l'adoption d'une hygiène de vie saine, le dysfonctionnement érectile persiste, ne baissez pas les bras, car d'autres solutions s'offrent à vous. Notez qu'un traitement à base d'inhibiteur de la phosphodiestérase de type 5 est souvent nécessaire afin qu'un patient retrouve son érection. Vous avez notamment le "choix" entre le Viagra, le Cialis ou encore le Levitra. Ces médicaments se prennent entre 30 min et 1h avant l'acte sexuel pour agir de manière optimale. Bien entendu, il faut que le pénis soit stimulé pour qu'il y ait érection.
Si ces médicaments ne résolvent pas la panne sexuelle et si cette dernière s'étale sur des mois, un examen radiologique est de mise. Dans certains cas, le patient doit être opéré afin de retrouver une vie sexuelle normale. Certes, une telle intervention est assez onéreuse, mais l'enjeu est de taille.
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Vivre une vie sexuelle épanouie est le désir de chacun d'entre nous. Lorsque nous nous tournons vers les nouvelles diététiques, nous nous demandons toujours quelle influence cela va avoir sur notre libido. Et ceci pour plusieurs raisons, nos expériences passées nous ont appris que certaines d'entre elles, sous couvert de pureté et de détoxication, avaient une influence négative sur cette sphère si précieuse pour la qualité de vie.
Dans la pratique on peut dire que la sexualité a quelque chose d'animal, d'instinctif, de sauvage, de naturel. Chaque aliment que nous prenons a une influence sur la libido. De tous temps les produits animaux ont favorisé ce côté sauvage et instinctif alors que les fruits et la plupart des légumes avaient un côté purificateur, éliminateur, qui tendaient à calmer ce côté animal de notre comportement.
En fait, tout se passe dans la tête, c'est la santé du cerveau qui conditionne une vie sexuelle harmonieuse. Mangez du sucre et tout va mal. Nos glandes endocrines n'aiment pas le sucre. On a parlé de la relation entre la consommation de sucre et le diabète, mais aussi entre le sucre et les maladies cardio-vasculaires, ou le sucre et la santé du foie, ou encore le sucre et le cancer, mais on ne parle jamais de la relation de cause à effet entre la consommation de sucre et la santé du cerveau.
Nous savons depuis quelques temps que le cerveau aime particulièrement la graisse, mais le conditionnement que nous avons subi pendant des années nous a éloigné des graisses et le retour en arrière est difficile.
On nous a également mis en garde contre le cholestérol avec des normes très basses et obligation de le faire baisser sous peine de voir apparaître les accidents cardiaques, l'athérosclérose et quelques autres réjouissances de ce genre.
Mais nous avons déjà vu que le cholestérol est une bonne chose et qu'au contraire, il protège nos cellules, la santé physique, intellectuelle et augmente même l'espérance de vie. Et ce dont on ne parle jamais, c'est qu'il joue un rôle très important sur la sphère sexuelle. D'ailleurs si les graisses sont bonnes pour le cerveau elles le sont pour les glandes endocrines et pour une vie sexuelle épanouie.
La vie sexuelle dépend de nos hormones c'est certain. Hors nos hormones vont de pair avec un taux de cholestérol, disons confortable. D'ailleurs de multiples études scientifiques ont pu établir qu'à des défaillances sexuelles (libido en berne, troubles de l'érection) correspondait presque toujours un taux de cholestérol anormalement bas. En effet, la testostérone qui déclenche le désir aussi bien chez les messieurs que chez les dames, est un dérivé du cholestérol.
Et de fait, on dénote des troubles fréquents de la sexualité chez les patients traités avec des statines afin de faire baisser leur taux de cholestérol. Alors on a pu vérifier que leur taux de testostérone était lui, anormalement bas. Mais on ne leur en parle pas trop, il faut bien vendre.
Cette baisse du niveau de testostérone est dûe à deux facteurs : Tout d'abord, ces molécules de statines font baisser le taux de cholestérol et deuxièmement, elles interfèrent avec la conversion par l'enzyme 5 alpha-réductase, de la testostérone en dihydrotestostérone (DHT), hormone directement active et utilisable au niveau sexuel.
Et cela est grave non seulement pour la vie sexuelle mais aussi pour la santé en général. Une étude britannique en 2010 a porté sur 930 hommes souffrant d'une maladie coronarienne et on a pu déterminer que les sujets ayant un taux inférieur à la normale de testostérone avaient un risque de mortalité de 21% alors que les sujets ayant un taux de testostérone normal n'avaient que 12% de risque de mortalité.
Un taux de testostérone bas peut avoir une influence sur tout ce que le cerveau peut contrôler. On peut noter aussi bien des dépressions, des troubles du sommeil, des troubles de l'érection, des angoisses... Alors si vous souffrez de ce genre de troubles, chouchoutez votre cerveau et donnez-lui de bonnes graisses, aimez l'état de cétose. La santé est holistique, un seul élément manque et l'édifice s'écroule.
Tout se passe dans notre cerveau et le cerveau aime le gras. Le cholestérol n'est pas son ennemi, bien au contraire, c'est un ami très cher. Encore une fois, les vrais ennemis, ce sont les glucides.
Un article paru sur le site du magazine « Terrafemina » le 9 février 2016, intitulé « Pour vivre plus longtemps, prenez des vacances : c'est scientifiquement prouvé », aborde les résultats d'une récente étude menée aux Etats-Unis.
Les chercheurs américains ont ainsi étudié pendant plusieurs années une population de 12 866 d'hommes, âgés de 35 à 57 ans, et susceptibles d'être touchés par des maladies cardio-vasculaires. Ils se sont alors aperçus que les individus qui prenaient plus de vacances, et dont l'équilibre vie pro – vie perso était solide, avaient moins de chances de succomber à ce type de maladie.
D'après les résultats de l'étude, « plusieurs mécanismes peuvent expliquer pourquoi les vacances peuvent avoir un effet protecteur sur la santé ». Elles permettent principalement de réduire le niveau de stress d'un individu, un stress important étant souvent associé à un risque cardio-vasculaire accru. Elles offrent en effet une période de sécurité aux vacanciers, les éloignant des facteurs de stress quotidien ; favorisent la pratique d'une activité physique, connue pour réduire le niveau de stress ; et stimulent les liens sociaux et familiaux.
Les chercheurs en concluent « qu'en plus de nous rendre plus heureux et plus productifs, les vacances nous permettent de vivre plus longtemps, et auraient un impact positif sur notre santé ».
En outre, être capable de se déconnecter de son téléphone et de ses mails professionnels serait d'autant plus bénéfique, hypothèse soutenue par la psychologue du travail Claire di Bartolomeo, qui constate que de plus en plus de collaborateurs, cadres et employés confondus, consultent régulièrement leurs mails pendant leurs vacances. La peur d'être mal vu, et la crainte de manquer une information, sont les raisons principales pour lesquelles la déconnexion est difficile.
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Une étude menée par « ADP », solutions en gestion de capital humain, dont le communiqué de presse s'intitule « Le bien-être des salariés européens toujours menacé par le stress », aborde les effets du stress au travail sur les employés.
L'étude révèle qu'en effet, « un stress excessif lié au travail menace le bien-être de 91% des salariés à travers l'Europe ». En outre, 44% des salariés européens déclarent subir des situations stressantes au quotidien, et se disent « souvent » ou « très souvent stressés ».
En revanche, un quart des salariés européens a le sentiment que les employeurs ne mettent pas en œuvre les mesures nécessaires pour aider leurs collaborateurs à faire face au stress, proportion qui atteint un tiers des travailleurs en France. De plus, 19% des sondés affirment que leurs dirigeants n'ont pas conscience du degré de stress subi.
A titre de comparaison, 54% des salariés polonais subissent un stress régulier au travail, contre 44% des salariés français, et 35% des salariés néerlandais.
L'équilibre vie professionnelle / vie privée, premier facteur encourageant l'implication et la motivation au travail pour 29% des salariés interrogés, apparaît alors comme un enjeu majeur. Par ailleurs, 36% des salariés français se disent tentés par un mélange d'horaires flexibles et d'horaires fixes.
« Autrefois expression inappropriée, donner du sens à son travail est aujourd'hui résolument dans l'air du temps. Les employeurs doivent s'assurer qu'ils sont en mesure de répondre aux demandes des salariés, et qu'ils disposent de l'assistance et des technologies nécessaires pour rendre ces changements possibles », ajoute Eddy Corcos, directeur de l'activité HCM d'ADP France.
Nous avions également abordé les résultats de l'enquête Cegos 2015 : « Des salariés épanouis mais stressés ».
Article rédigé par Julie Pillon
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La vie est faite de questions et de choix. Tout le monde rencontre des problèmes et doit surmonter des difficultés. Bien que chaque problème ait une explication et une solution, il n'est pas facile d'en venir à bout. Heureusement, il y a des psys en ligne, qui peuvent faire une consultation à distance. Avec l'aide précieuse des psychothérapeutes, on peut bénéficier des conseils et soutient moral pour chaque type de problèmes.
Résoudre ses problèmes avec l'aide d'un psychothérapeuteTrouver une épaule sur laquelle on peut s'appuyer durant un problème est un vrai calvaire. On ne peut pas s'attacher à n'importe qui durant ces moments. Heureusement, il existe des professionnels à qui on peut se confier pour résoudre ces problèmes.
Le travail d'un psychothérapeute consiste à traiter les troubles psychologiques, comportementaux et psychosomatiques. Ce dernier accompagne ses patients à surmonter les difficultés relationnelles, émotionnelles, professionnelles … Il les aide à déterminer leurs problèmes et gérer leurs émotions.
Par exemple, un psychothérapeute peut aider les adolescents qui ont des difficultés à se confier à leurs parents et souffrent de mauvaises « estimes de soi ». Aussi, un psychothérapeute accompagne les enfants qui ont des problèmes physiologiques comme le bégaiement, retard de langage… La thérapie aide favorablement ces patients à surmonter petit à petit leurs problèmes.
Avantages de consulter un psy en ligneL'avantage de consulter un psy en ligne est l'absence de la contrainte physique et du déplacement. C'est alors un bon moyen pour les personnes qui habitent loin d'un cabinet. En effet, le patient n'a plus besoin de se déplacer pour consulter un psy.
De plus, évoquer ses problèmes personnels devant quelqu'un est souvent très difficile et complexe, mais grâce à la consultation en ligne, le service et les conversations restent anonymes et sécurisés. Certains patients préfèrent aussi évoquer ses émotions à travers les mots et c'est déjà un travail thérapeutique très efficace pour les personnes qui en du blocage relatif aux émotions. Cette technique permet également aux personnes sourdes et muettes de se mettre en contact avec un psy. A tout moment, les patients peuvent consulter un psy via internet, ou par téléphone.
Nous vivons dans un monde où le paraître est devenu si important que nous en oublions d'être. Le stress qui fait tant de ravages sur la santé de nos contemporains en est la preuve. Troubles du sommeil, anxiétés, inquiétudes, déprimes, dépressions, manque d'estime de soi, colère, agressivité et toutes les insatisfactions diverses qui remplissent les actualités témoignent de ce fait !
Nous cherchons à réussir coûte que coûte ; car nous croyons fermement que c'est là le but de notre vie ! Nous pouvons même y laisser notre authenticité, notre joie de vivre et aussi notre santé ! Et si le but de notre vie était de se connaître et d'observer tout simplement que nous sommes venu réaliser le potentiel d'Amour qu'il y a en chacun de nous ?
Cela peut sembler bizarre, mais depuis que les dinosaures sont disparus, ils ne sont pas revenus. Des tyrans ont été vaincus, des injustices ont été mises en lumière et des êtres humains se sont libérés de leurs chaînes. C'est dire que la nature conspire en silence vers son unique but : La réalisation de notre potentiel d'Amour sur la Terre. Le processus d'épuration est long, mais nous réalisons peu à peu que l'Amour fraternel est la seule solution plausible à tous les problémes que l'existence nous pose. L'Amour est le dénominateur commun et le moteur invisible et silencieux de l'Univers. Le jeu constant des forces du bien et du mal, nous permet de plonger notre regard à l'intérieur de nous-même pour y découvrir notre essence lumineuse d'Amour.
Pour se connaître soi-même, la première chose à faire est de s'observer de manière objective. Reconnaître l'édifice pourtant si fragile de nos peurs. Alors que nous nous croyons libres, elles nous encerclent de toutes parts. Elles guident de manières conscientes et aussi surtout inconscientes nos décisions de tous les jours. Leurs puissances vient de ce qu'elles sont inconscientes pour la plupart. Ne vaut-il pas la peine de les mettre en lumière pour accéder à notre potentiel d'Amour et d'authenticité ?
La méditation est l'outil primordial qui peut nous aider à mieux se connaître. En effet, pour être en mesure d'observer objectivement nos peurs, il est bon de commencer par observer objectivement nos pensées sans les laisser nous accaparer. La méditation avec un mantra 15 minutes 1 ou deux fois par jour peut nous y aider grandement : Bien assis avec une respiraiton profonde qui vient du ventre, réciter le mantra OM par exemple et observer le jeu de vos pensées sans y participer. Si vous vous laissez prendre dans leurs jeux ce n'est pas grave. En fait l'important c'est d'en prendre conscience ! Peu à peu vous découvrirez que le jeu de vos pensées, de vos émotions et de vos peurs sont au seuil de votre liberté intérieure...
Que se passe-t-il sous la couette des seniors quand la nuit tombe ? Les nombreuses études parues sur le sujet apportent un élément de réponse : la sexualité intéresse toujours, même après 60 ans !
Des jolis sentiments… Comme à 20 ans Aimer, s'amuser et faire l'amour, finalement qu'y a-t-il de plus beau, à 20 ans comme à 60 ? Marie de Hennezel, dans son ouvrage « Sex and sixty » met en avant cette envie de sexualité des seniors et surtout le besoin de savourer les moments érotiques.
En effet, avec le temps, la fougue a laissé place à la tendresse et l'auteure souligne combien les préliminaires deviennent plus longs et subtils. L'essentiel étant d'accepter que la sexualité telle qu'elle était à 20 ans n'existe plus et laisse la part belle aux sentiments.
Et toujours de la chimie
Même si la sexualité est différente, plus tendre et calme chez les seniors, elle présente les mêmes vertus physiques que chez les plus jeunes.
Depuis les années 80, les neurobiologistes espionnent notre petit laboratoire interne pour savoir ce que le cerveau met en œuvre au moment du désir. Ils ont révélé que deux hormones bienveillantes nous accompagnent toute notre vie amoureuse.
Lorsque vous rencontrez une personne avec des caractéristiques qui vous conviennent, le cerveau libère la dopamine, qui réveille le principe d'attirance. Vient ensuite le moment des frôlements, des caresses et là, c'est l'ocytocine qui intervient. Cette hormone apaise, détend et ouvre la confiance en vous et dans l'autre.
Une fois que ces deux hormones vous ont lancé sur la pente du plaisir, un feu d'artifice chimique vous conduit à l'orgasme : endorphines, sérotonine et anandamide.
Si toutes ces petites molécules sont si importantes à tout âge, c'est parce qu'elles sont aussi les hormones de l'empathie, de l'ouverture vers les autres, du sentiment de bien-être... En somme les bases du bonheur !
Des pratiques sexuelles adaptées à l'âge
L'amour tantrique, le « slow sex », le plaisir de la tendresse… Autant de pratiques qui mettent l'érotisme au cœur de la relation et insistent sur une notion difficile à comprendre à 20 ans, mais bien plus évidente au-delà de 60 : le lâcher-prise.
Selon Marie de Hennezel, les seniors acceptent que l'orgasme ne soit plus une finalité et que d'autres pratiques permettent de découvrir des plaisirs nouveaux. Jouir devient alors une option, seule la relation entre les deux partenaires est essentielle. Qu'il s'agisse d'un va-et-vient très lent, dans le cas du « slow-sex », ou d'une relation sexuelle sans contact pour le tantra, dans tous les cas seul le chemin compte.
Le massage, un atout pour une sexualité harmonieuse
Pour retrouver désir et plaisir, il faut éviter de se fixer des objectifs trop stressants (comme l'orgasme à tout prix, par exemple !). Mieux vaut emprunter la voie de la sensualité en prenant le temps de se toucher. Un massage peut être un excellent prétexte au contact intime et si vraiment la pudeur s'est installée dans le couple, il suffit de commencer par les mains. En saisissant un flacon d'huile et les doigts de votre partenaire, les sens vont s'éveiller et réveiller la tendresse.
C'est du moins ce que révèlent les nombreux témoignages recueillis par Marie de Hennezel et dans lequel le point commun est cet impérieux besoin de contact. Cette sensualité tord le cou à ceux qui prétendraient qu'une virilité à tout prix ou des gadgets sexuels peuvent combler les besoins de tendresse.
La sexualité ne vieillit pas, elle se transforme
Tous les experts le reconnaissent, quand on devient senior, la sexualité change. Et c'est là toute la difficulté : accepter que l'érection ne soit plus aussi présente pour les hommes et que l'orgasme ne soit plus un but ultime pour les femmes. Mais si les deux sexes finissent par reconnaître qu'une nouvelle sexualité, toute jeune, inconnue et à inventer leur est accessible, ce sera le début de leur bonheur à deux.
Et dans le cas de la solitude qui touche aussi beaucoup les plus de 60 ans, il reste la possibilité de se donner du plaisir à soi-même et cela non plus, ne doit pas être un tabou.
D'abord vous créez une ambiance, quelques bougies, une huile de massage à portée de main et une musique qui vous plaira à tous les deux.
Pour pratiquer le « slow sex », décidez de passer un moment à deux en vous caressant, vous embrassant l'un l'autre, mais sans chercher à atteindre l'orgasme, juste pour le plaisir pur. Prenez le temps de découvrir le corps de votre partenaire en douceur.
Si vous choisissez le tantra, installez-vous nu face à votre partenaire. Vos sexes se touchent. Vous allez mêler tranquillement vos respirations et vous concentrer sur l'attirance que vous éprouvez. Doucement, vous allez sentir vos énergies se mêler et éprouver du plaisir.
Réveiller la sexualité avec les plantes
Le mucuna
Quand l'utiliser ? Pour réveiller l'envie d'avoir envie.
Les vertus de la plante : Naturellement riche en L-Dopa (le précurseur de la dopamine), cette plante libère les énergies positives et stimule les envies, même sexuelles.
Le tribulus
Quand l'utiliser ? Quand le désir sexuel diminue fortement, que ce soit après une longue pause sans pratique ou en raison d'une maladie.
Les vertus de la plante : Souvent appelé le « Viagra » végétal, le tribulus est utilisé en médecine ayurvédique pour stimuler l'érection.
Le shatavari
Quand l'utiliser ? Quand les rapports sexuels deviennent irritants en raison d'une sécheresse vaginale ou que le désir n'est plus là.
Les vertus de la plante : Le shatavari est la plante de la femme. Elle agit comme un hydratant des muqueuses, ce qui facilite la pénétration. Cette plante est également utilisée en Inde pour réveiller la libido.
Extraits de raisin riches en polyphénols
Quand l'utiliser ? Quand l'érection n'est pas assez puissante à cause d'un manque d'envie.
Les vertus de la plante : Le raisin est considéré comme un puissant aphrodisiaque. Ses polyphénols agissent aussi comme antioxydant et antifatigue (utile pour prolonger le plaisir et stimuler l'érection).
Le gingembre
Quand l'utiliser ? Quand la petite flamme ne suffit pas à provoquer l'excitation.
Les vertus de la plante : Même si en chinois, « gingembre » signifie « virilité », ce végétal est en réalité très utile pour les hommes autant que les femmes. En échauffant l'organisme il réveille l'excitation et le désir.
Un article paru sur le site de « Décision-Achats » le 24 novembre 2015, intitulé « Le travail, source d'épanouissement pour 61% des salariés » aborde les résultats du dernier baromètre 2015 « Cegos » sur le climat social et la qualité de vie au travail.
L'enquête menée par le « Cegos » cette année auprès 1 204 sondés (salariés, managers, et Responsables des Ressources Humaines), révèle en effet que malgré une dégradation du climat social ressentie par 42% des salariés français, 61% d'entre eux déclarent voir leur travail comme une source d'épanouissement personnel, et sont globalement satisfaits de l'ambiance de travail.
En revanche, « les attentes des salariés diffèrent des mesures privilégiées par les managers », la reconnaissance au travail étant pour les salariés la première démarche à mettre en place pour améliorer le climat social, placée en troisième position par les managers. Les deux parties s'accordent toutefois sur l'importance d'une bonne communication au sein de l'entreprise.
En outre, la digitalisation est plutôt bien perçue par l'ensemble des personnes interrogées, plus particulièrement en ce qui concerne le télétravail. 31% des Responsables des Ressources Humaines l'ont déjà mis en place, et la grande majorité d'entre eux en tire un bilan positif. La digitalisation est toutefois pointée du doigt par 61% des managers, qui jugent qu'elle fragilise l'équilibre vie privée-vie professionnelle.
Le stress au travail reste par ailleurs très présent dans l'entreprise, trois salariés sur quatre estimant subir un stress évalué à plus de 7/10. Pour 78% des sondés, le stress lié à leur activité professionnelle a un impact négatif sur la santé. « Or, seulement la moitié des Responsables des Ressources Humaines ont pris des mesures pour faire face à cette situation ».
En comparaison avec le baromètre « Cegos » 2014, le niveau de stress a augmenté de 2% chez les salariés, ainsi que chez les managers. Bien que 61% des français considèrent leur travail comme source d'épanouissement, il apparaît pourtant essentiel de mettre en place des actions visant à diminuer le niveau de stress dans l'entreprise.
Article rédigé par Julie Pillon
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Patrick Mahony vous ramène aux sources de la pschanalyse et vous met en garde contre les incompréhensions du sujet
Voici la traduction d'un article important sur le site de Patrick Mahony, qui ramène aux sources de la psychanalyse. Au fur et à mesure que Patrick Mahony partage ses idées sur psychanalyse, il est souvent confronté à deux facteurs importants qui créent un biais ou un obstacle à la compréhension des gens sur le processus psychanalytique :
a) Les gens espèrent que la psychanalyse soit une approche monolithique qui peut à elle seuls définir et de guérir tous problèmes psychologiques.
b) semblent avoir une conception erronée ou incomplète de ce que la psychanalyse représente vraiment.
Par souci de clarté et afin de responsabiliser les gens qui cherchent des réponses personnelles, Patrick Mahony a voulu partager la définition de la psychanalyse dans sa forme la plus simple, dans le but d'offrir des ressources supplémentaires pour une compréhension plus profonde.
La psychanalyse a été créée au début du 20e siècle par Sigmund Freud, un neurologue autrichien, docteur en médecine diplômé à l'Université de Vienne (1881).L'idée de Freud était que les gens guérissent en rendant l'inconscient conscient. Le processus d'introspection profonde pour identifier ses motivations, craintes et aspirations est une tentative pour débloquer les émotions et les traumatismes refoulés. Aujourd'hui, la psychanalyse est couramment utilisée pour traiter les troubles dépressifs et anxieux.
Le principe de base de la psychanalyse, comme l'a expliqué Patrick Mahony sont :
Le site simplypsychology propose une définition complète de la psychanalyse, avec de brèves présentations des éléments communément relevé par la psychanalyse comme le teste de Rorschach, le lapsus, la libre association et l'analyse des rêves.
Il est important de noter, cependant, que ce style de thérapie est un processus long et ne fonctionne pas pour tout le monde et pour tout.
Avant de prendre toute décision relative à la santé mentale, Patrick Mahony rappelle que les patients doivent consulter leur médecin pour obtenir des conseils.
Les psychothérapeutes sont tenus de respecter certaines règles communes à tous les praticiens oeuvrant dans ce poste médical. Ils sont dans l'obligation de créer un environnement sécurisant pour l'analyser tout en s'abstenant d'entretenir une connivence d'aucune sorte avec ce dernier.
Le code déontologique : qu'est ce que c'est ?Afin de préserver la notoriété de la discipline et éviter certaines dérives, l'Association Européenne de Psychothérapie (AEP) a adopté un code de déontologie lors de son assemblée générale qui s'est tenue à Zurich, en 1995. Les règles stipulées dans ce code régissent toutes les associations nationales de psychothérapeutes ainsi que chacun de leurs membres. En plus de servir de règle de conduite pour les psychothérapeutes, ce code est également la référence en cas de plainte. Le code déontologique de l'AEP est la base sur laquelle tout organisme national membre doit se conférer dans l'élaboration de ses propres règles d'éthique.
La profession de psychothérapeute selon la déontologieLa psychothérapie est une discipline à part entière dans le domaine des sciences humaines. Elle consiste à déterminer et à traiter les troubles psychologiques, psychosomatiques et sociaux dont souffre l'être humain. Les méthodes utilisées par le psychothérapeute sont entièrement basées sur des théories scientifiquement prouvées. Dans l'exercice de sa fonction, ce dernier met sa compétence au service de l'intérêt de son patient. Il doit également veiller au respect des valeurs humaines et de la dignité de celui-ci.
Le traitement en psychothérapie se déroule par l'intermédiaire d'interactions entre les spécialistes et les patients. L'objectif final étant d'apporter un changement et une évolution de la situation problématique. Cela sous-entend une implication personnelle du thérapeute, cependant cela ne signifie aucunement qu'il doit exister une relation physique, affective ou intellectuelle entre ce dernier et son patient.
À quoi le psychothérapeute s'engage-t-il ?
En embrassant le métier de psychothérapeute, le praticien s'engage à respecter quelques exigences. La première d'entre elles est celle de préserver l'indépendance idéologique et morale. Le thérapeute ne doit en aucun cas servir la cause d'un parti politique, d'une religion ou d'une mouvance idéologique quelconque auprès de son patient. En ce qui concerne l'indépendance morale, il ne peut effectuer une pression sur son patient qui ne souhaite pas continuer un traitement que lui, spécialiste, juge adéquat. Les autres exigences mentionnées dans le code de déontologie des psychothérapeutes sont les suivantes : indépendance technique, respect du secret professionnel et acquisition des compétences requises.
Les modifications corporelles font partie de la tradition dans de nombreuses cultures à travers le monde et toutes les époques en témoignent. Elles ont essentiellement trois fonctions: améliorer les aspects esthétiques, renforcer l’identité et favoriser l’intégration, enfin, la modification corporelle peut s’inscrire aussi dans le cadre d’un rite ou d’une pratique spirituelle. Souvent douloureuse, l’exécution de la modification est une preuve de bravoure, de virilité.
Actuellement, dans la société occidentale, on observe un vif engouement pour le tatouage, le piercing, et… la chirurgie esthétique. D’autres modifications corporelles sont pratiquées, mais demeurent plus marginales, elles appartiennent au “body art” et leur exécution qui donne lieu à des “séances” ou “spectacles” est également une de leurs justifications.
Face à des modèles de perfection souvent irréalistes, et les immenses possibilités qu’offre aujourd’hui la chirurgie esthétique, beaucoup de gens insatisfaits de l’apparence de leur sexe souhaitent le modifier. Pour découvrir le sommaire de ce nouveau dossier Lire la suite
Votre partenaire n'est jamais acquis et toute relation est fragile. C'est pourquoi il faut s'accorder du temps à soi et ménager du temps au couple, car tout est une question de dosage. Il faut apprendre à partager nos émotions, qu'elles soient culturelles, sensorielles, érotiques ou bien sensuelles. Le désir est une énergie qui se nourrit et s'entretient au quotidien. Il faut réapprendre à découvrir l'autre, et le reconquérir.
Nombreux sont les couples qui restent figés sur leurs acquis, ne sachant plus partager leurs projets personnels, familiaux, amicaux ainsi que la vie de couple. Le fait de bâtir des projets de vie, oblige le couple à verbaliser ses peurs, ses craintes, ses doutes et interrogations. En exprimant à l'autre certaines de nos émotions cela redonne une vraie intimité au couple. Changer son regard sur l'autre induit une relation nouvelle. Oser parler de soi, faire part de nos attentes, être à l'écoute de nos ressentis, resserrer les liens intimes tout en dissipant les malentendus, les rancœurs et les non-dits. Accepter nos différences sociales, professionnelles et culturelles… Il est important que l'homme et la femme parviennent à connaître, à comprendre et à ressentir l'énergie de l'autre, et soient prêts à donner comme à recevoir en toute confiance.
Il est pour cela indispensable que chacun accepte sa nature profondément bisexuelle. En effet chaque homme est à la fois mâle et femelle et chaque femme est à la fois femme et homme. Nous devons trouver un équilibre entre ces deux aspects de notre personnalité sans complexes ni craintes. Savoir se montrer vulnérable n'est pas forcément un signe de faiblesse chez un homme et faire preuve d'assurance est une attitude positive chez la femme. Depuis notre plus jeune âge, notre appartenance à un sexe nous dicte les comportements qu'il faut tenir, nous sommes rangés dans des cases bien définies et en aucune manière nous devons déroger à ces règles de bonne conduite.
Il est temps de reconnaître et d'exprimer les qualités de nos parts de masculinité et de fémininité qui nous composent. Nous devenons ainsi des êtres humains plus équilibrés, plus réceptifs et sommes en mesure de mieux comprendre notre partenaire. Le fait pour l'homme et la femme de prendre conscience de leur second « moi » les rends plus confiants et plus attirants l'un pour l'autre. Si l'homme et la femme sont indéniablement différents, cette différence doit se traduire par l'équilibre et non par les rapports de force. Laisser ainsi s'exprimer votre part féminine si vous êtes un homme et votre part masculine si vous êtes une femme. Subtilisez l'alchimie qu'est le désir, privilégier la tendresse et la sensualité en laissant émerger toute l'énergie qui nous compose, le contact corporel permet de rester en lien intime et ludique avec son (sa) partenaire ! La fantaisie et la créativité évite au couple de s'endormir sur ses lauriers.
La fantaisie et la séduction dans le couple sont toujours à réinventer. Faites preuve de créativité faute de quoi la routine et la lassitude peut s'installer, et son cortège d'insatisfactions créer des blocages en tous genres. Si votre vie sexuelle n'est pas toujours celle que vous aviez espéré, ne laissez pas la frustration faire partie de votre existence. Une fois encore rien ne vaut la communication. Quand un couple perd de l'intimité relationnelle, affective et sensuelle, il perd aussi le plaisir de la sexualité. Le désir et l'éveil sexuel dépend de chaque personne, il est primordial pour l'obtenir qu'une excitation se poursuive par la jouissance et l'orgasme. Le désir tient à un fil, le stress, la fatigue, les soucis professionnels, les ennuis rencontrés dans notre quotidien. Le manque ou l'absence de désir ne se comble pas en faisant l'autruche, trop souvent difficile à exprimer à l'autre.
Avoir des années d'avance sur ses camarades de classe n'est pas toujours évident. Un enfant précoce est aussi souvent hypersensible et aura tendance à préférer la compagnie des adultes. Il faut faire attention à leur maturation psychique. Dans le Finistère, une élève particulière a passé le baccalauréat en juin dernier. Explications.
Sabine n'a que 13 ans et pourtant, elle a passé le bac, avec quatre années d'avance sur ses camarades de classe de Quimper. Elle fut la plus jeune candidate de l'édition 2012 du baccalauréat de France. Passionnée de mathématiques et d'histoire, la lycéenne serait encore en 4e si elle n'avait pas sauté quatre classes. Le mot est à demi prononcé mais nous sommes en présence d'une enfant « surdouée ». Que signifie ce terme ? Quels sont les avantages et les inconvénients d'une intelligence hors norme ? Existe-il des établissements scolaires spécialisés pour accueillir les précoces ?
La précocité, c'est quoi ?Un enfant précoce a des centres d'intérêt qui ne sont pas de son âge
Un enfant dit précoce présente des capacités intellectuelles supérieures à la moyenne des enfants de son âge. Seul un test réalisé par des psychologues permet de vérifier de tels faits. Il est fiable et mesure un Q.I (quotient intellectuel). Il analyse comment l'enfant met en place son savoir par rapport à une donnée, comment il utilise son stock de connaissances et l'envergure de ses connaissances.
Ce test ne donne pas seulement un chiffre mais permet d'élaborer une analyse qualitative. On regarde quelles sont les capacités de l'enfant mais également comment le sujet utilise ses capacités face à un problème donné. En résumé, nous analysons les connaissances scolaires et les connaissances dites propres, celles que l'enfant acquiert seul, en autodidacte.
Mais attention, l'enfant précoce présente également un revers : c'est un enfant hypersensible. Il a peu de relations avec ses pairs préférant la compagnie d'adultes. Ses centres d'attraction sont différents des enfants de son âge qui se préoccupent des petites voitures ou de poupées. L'enfant précoce préférera observer les interactions entre les fourmis, par exemple et s'intéressera à des thèmes plutôt philosophiques pour son âge : la création du monde, l'univers, la guerre et la paix dans le monde et autres divertissements de ce genre.
Des enfants singuliersGrosse pression pour les enfants précoces
Comment reconnaitre un enfant précoce ? Très tôt, un enfant précoce aura de l'avance sur les autres. Il marchera tôt, parlera tôt et fera moins de bêtises. Bien des parents sont fiers d'avoir un enfant à fort potentiel. Ces enfants sont singuliers. Ils sont brillants à l'école, comprennent plus vite que les autres. Ils peuvent également présenter une vitesse de traitement de l'information très élevée. Ces éléments font forcément pencher vers une tendance à faire sauter une classe.
Ces éléments induisent forcément un ennui en classe, un désinvestissement social par rapport aux enfants de son âge. L'enfant précoce s'identifie plus au monde des adultes. Les questionnements sont plus intellectualisés, plus raisonnés. D'où un risque de décrochage avec leur milieu scolaire.
Prendre son temps pour grandirLes enfants précoces sont certes brillants mais, ils fréquentent souvent les cabinets de psys ! Pourquoi ? Une fois qu'ils ont sauté une ou deux classes, leurs capacités intellectuelles sont enfin prises en compte. Ils s'épanouissent intellectuellement. En revanche, la maturation psychique n'est jamais au rendez-vous. Le psychisme évolue toujours dans un temps donné qui n'est pas toujours celui de l'acquisition intellectuelle. On peux dire que tel ou tel enfant est plus mature à son âge mais cette avance est rattrapable par les autres.
En d'autres termes, un enfant précoce risque d'être encore plus en décalage s'il saute beaucoup de classes. En effet, un enfant de 16 ans n'a pas du tout les mêmes centres d'intéret qu'un jeune de 12 ans. Le premier commencera à s'intéresser aux relations amoureuses tandis que le second commencera à découvrir l'existence du bisou sur la bouche ! Le Q.I n'a plus rien à voir.
Quelles solutions ?Ne pas hésiter à stimuler l'enfant précoce tout en l'écoutant
Les enfants surdoués ont tendance à être stigmatisés. Ils sont mis en avant pour leur intelligence mais les gens ont tendance à occulter leur psychisme. Ce sont des enfants particulièrement fragiles psychiquement parce-qu'ils sont obligés de grandir plus vite que les autres et sont plus fins face aux interprétations, aux interactions sociales. Je pense qu'ils ont au contraire besoin d'anonymat et de compréhension. S'ils souffrent trop au sein d'un établissement scolaire classique parce que trop différents et trop enviés (hélas !), ils sont rejetés. Avec toutes les conséquences que cela suppose.
Une des solutions est de stimuler l'intellect par le ludique en l'inscrivant, par exemple aux échecs, à des rencontres de réflexion, sans oublier le physique. Une tête sans stimulation corps n'est rien !
Et si votre enfant semble toujours triste, décalé, sans ami, n'hésitez pas à l'inscrire dans une école dite spécialisée pour les surdoués. L'enseignement y est différent puisque les professeurs ne se contentent pas de faire découvrir le programme officiel. Ils vont toujours plus loin dans la réflexion puisque les élèves vont plus vite que la moyenne. Par ailleurs, ils savent les stimuler. Et plus important encore, c'est que tous ces enfants sont identiques. Ils ne se sentent donc pas exclus ni jalousés par les autres. Il faut toujours être à l'écoute de ces enfants si particuliers.
Ce singe est un Bonobo, réputé pour ses comportements sexuels fréquents et variés, il symbolise à tort sans doute, soit la sexualité innocente et animale, soit sa variante débridée, libidineuse, que nous autres humains, nous interdisons au nom de la morale.
La morale s’intéresse à la sexualité pour en réglementer les pratiques en référence au “bien” au “mal”, au “juste”, à l’injuste” définis par les idéologies et religions en vigueur dans la société. Notre réflexion portera donc sur quelques notions fondamentales: liberté sexuelle, dignité humaine, nature humaine, consentement. à l’heure où l’homosexualité est reconnue, et validée par le mariage dans beaucoup de pays, dans d’autres elle est considérée comme un crime passible de la peine de mort. Aujourd’hui, beaucoup de pays veulent abolir la prostitution au grand dam des « travailleurs » et surtout sans doute « travailleuses » du sexe qui entendent bien faire usage de leur corps comme bon leur semble… Les questions morales ne sont donc jamais loin de la sexualité. Accéder au sommaire
Vos tongs sont définitivement rangées, votre bronzage commence à pâlir et votre humeur suit la courbe décroissante des jours qui raccourcissent... Attention, rentrée !
Si, en plus, vos vacances ont été rares, décevantes, ou largement arrosées par les orages de juillet, le retour au bercail peut ressembler à une expédition punitive. Et que dire si vous reprenez un "collier" qui ressemble de plus en plus à un joug...
Ne subissez jamais (JAMAIS !) une situation qui vous déplaît, même si "vous ne pouvez pas faire autrement". Arrêtez de râler ou de pratiquer l'auto-plainte : a-gi-ssez !
1/ Demandez-vous d'abord pourquoi vous travaillez.
Pour gagner de l'argent ? Pour exercer vos compétences ? Par passion ? Pour être reconnu ? Pour voir du monde ? Pour donner du sens à votre vie ? Pour vous occuper ?...
Sur la pyramide des besoins de l'Homme (hiérarchisés par le psychologue américain Abraham Maslow), le travail relève du besoin de sécurité (juste après les besoins physiologiques). En fait, il ne devrait être « que » cela : un moyen de gagner sa vie pour assurer sa subsistance. Tout cela a bien évolué... Trop souvent, nous attendons de notre activité professionnelle qu'elle comble des besoins supérieurs : appartenance, estime, reconnaissance, amour, sens... Pourtant, ils ne sont que « la cerise sur le gâteau ». En avoir conscience peut aider à relativiser.
2/ Considérez à présent vos propres motivations.
Soyez objectif : travaillez-vous pour de « bonnes raisons » ? Les attentes que vous placez dans votre travail ont-elles une chance d'aboutir ? Ces attentes ne viennent-elles pas compenser des manques ou déceptions dans votre vie personnelle ?
Si votre motivation tient sur du sable, vous aurez du mal à retrouver vos habitudes. Vous interroger sur ce qui vous pousse à travailler peut vous amener à faire évoluer ces attentes, changer vos objectifs, relativiser vos utopies ou même revoir votre orientation. On peut se former à n'importe quel âge...
La difficulté à retrouver des habitudes soulève le rapport aux contraintes et à la répétition, l'un comme l'autre générateur de frustrations. Si vous avez la sensation de subir, d'être écrasé par la pression ou les obligations, il va vous falloir relancer le mouvement. Face à une situation qui peut vous sembler irrémédiablement figée, il n'y a que vous qui puissiez « ouvrir des petites fenêtres ». N'attendez rien des autres (l'attente passive ne fait qu'augmenter les frustrations), bougez !
Quelques pistes :
- demandez des aménagements de votre poste : dans les missions qui sont les vôtres, dans vos responsabilités... Le simple fait de changer de lieu de travail (ou même simplement de bureau) peut parfois suffire (ou constituer "un bon début encourageant").
- si vous le pouvez, sollicitez des aménagements de temps de travail : quelques heures pour vous, des horaires décalés ou la possibilité de travailler une demi-journée de temps à autres en « home working »,
- investissez-vous dans une action positive à l'intérieur de votre entreprise (volontariat, formation, comité d'entreprise, association d'anciens...)
- veillez à l'équilibre des satisfactions entre vie professionnelle et vie privée. Quand tout est bloqué sur le plan professionnel, il faut ré-investir la vie privée dans une activité ou un projet gratifiants : déménagements, hobby stimulant, engagement auprès des autres, bénévolat...
Votre défi pour la rentrée ? Traquer tout le positif dans votre existence. Si vous n'y arrivez pas seul, faites-vous aider par un professionnel, ou un ami qui vous connaît bien et qui aura le recul nécessaire.
Dire « je t’aime », reconnaître qu’on aime, se savoir aimé, renvoient à différentes expériences qui se complètent. Qualité de la relation, durée de celle-ci, attentes mutuelles, satisfaction de celles-ci, personnalisent le sens du mot « aimer ».
Le sens attribué à ce mot « aimer » prend ses origines dans les modèles éducatifs, et socio culturels. Ainsi on s’autorise ou on s’interdit d’exprimer son sentiment et on en limite les manifestations. L’amour ne se dit ni ne s’exprime de la même façon selon le sexe, la culture, l’âge de la relation, et celui des partenaires. Les questions suivantes font apparaître ces différences.
Les réponses à ces questions révèlent les trois ingrédients de l’amour: Désir, Passion, et Affection les trois contextes dans lesquels il s’exprime.
Le désir concerne le sexe, la passion le coeur et l’affection la tête …
On dit que l’on aime, mais on ne distingue pas nécessairement entre l’amour passionnel, le désir ou l’affection. Ces trois ingrédients de l’amour coexistent chez la même personne, mais pas dans les mêmes proportions ni simultanément…Ce qui rend les choses encore plus compliquées c’est que les amoureux ne vivent pas nécessairement la passion, le désir et l’affection d’une façon parfaitement synchronisée, pourtant, ils disent chacun qu’ils s’aiment.
Comment aimez-vous votre partenaire ? imaginez un cercle et divisez le en trois zones à la manière de ces « camemberts statistiques », une zone pour le désir, une pour la passion et une autre pour l’affection. Quelle est la zone la plus importante ?
Toutes les combinaisons sont possibles, quand le couple est parfaitement synchronisé, tout va pour le mieux, le moindre décalage qui fait dire « tu ne m’aimes pas », illustre un changement dans la répartition du désir de la passion et de l’affection.
Les femmes ont tendance à se montrer plus altruistes et les hommes, plus autonomes. Les femmes mélangent davantage les contextes de l’amour car elles ont l’habitude de jouer plusieurs rôles : épouse, mère ; en parlant de l’amour, elles évoquent plus volontiers une expérience globale, et de ce fait tendent à vouloir installer une relation dans laquelle tous les ingrédients sont mêlés.
Les hommes, plus souvent d’un naturel conquérant et chasseur, laissent le désir piloter ses choix. Ils mettent en oeuvre des stratégies d’approche, de séduction pour parvenir à leurs fins. La femme est « l’objet du désir », et le désir est synonyme d’élan vital. Quand le moral est en baisse et que la déprime s’installe, la vigueur du désir sexuel est la première victime.
Ces traits ne s’appliquent pas à toutes les femmes ni à tous les hommes, d’autant que la tendance à la bisexualité bouleverse les rôles habituellement dévolus à l’un et l’autre sexe.
La passion rassemble les hommes comme les femmes dans une sorte de délire où la réalité habituelle cède le pas à une autre dimension qu’ils ont construite, habitent et peuplent de leurs rêves ou leurs cauchemars amoureux. C’est dans cette perspective que l’on dit que l’amour est une expérience individuelle et solitaire. Vous pouvez aimer quelqu’un sans aucun espoir de réciprocité.
Vivre une passion partagée conduit plus ou moins à un enfermement rarement durable, sauf si le quotidien demeure préservé. La promiscuité et l’intimité tuent la passion en portant atteinte à l’image idéalisée et qu’on essaie de faire coller au réel. Dans son ouvrage, Belle du Seigneur, Albert Cohen décrit avec une cruelle précision l’attaque et les ravages du quotidien et du trivial sur la passion.
L’affection, sincèrement partagée est un gage de fiabilité relationnelle car elle s’installe dans la durée et s’accompagne d’autres attitudes positives, telles que la tolérance, et la disponibilité. L’affection installe la relation dans un climat de confiance et permet de surmonter les épreuves, le quotidien n’a pas de prise sur elle : les gens qui s’aiment de la sorte se voient et s’apprécient tels qu’ils sont.
Le désir est la pièce maîtresse de l’amour, la relation amoureuse débute par le désir, même s’il se dissimule dans des voiles romantiques. On ne décide pas qu’on aime, on «tombe » amoureux. Le désir c’est le trouble perturbateur qu’inspire Aphrodite, qui abolit les différences et sème le désordre. Le désir peut être à l’origine de la passion. Il est souvent symbolisé par le feu, qui détruit en même temps qu’il anime et demande sans arrêt du combustible pour continuer de briller et de réchauffer…
Durant une thérapie, je suis toujours surpris, et un peu furieux, de voir se loger le sentiment de culpabilité dans des conduites qui dérangent les censeurs et directeurs de conscience auto-déclarés.
Est-ce égoïste de refuser à vos enfants de prendre un chien lorsque vous ne le souhaitez pas vous-même ? Est-il égoïste de laisser son conjoint malade au lit pour aller à une soirée dansante ? Est-ce égoïste de passer des heures à faire une partie de poker cependant que votre partenaire prend soin des enfants ou attend le plombier ?
Nous percevons l'égoïsme et les comportements associés comme un travers, au mieux un sujet à débat.
Ainsi, de plus en plus de femmes sont décidées à avoir un enfant et fonder une famille sans homme, et on leur oppose l'égoïsme, contre cet enfant à venir en particulier, contre la société conservatrice en général.
Aujourd'hui, un tiers des familles françaises n'a qu'un seul enfant, un nombre qui aurait choqué il y a quelques générations. La famille traditionnelle de maman, papa, et ses deux enfants, retient le fantasme. Certaines femmes ne souhaitent plus attendre l'homme idéal. Pour ces femmes, le choix de fonder une famille sans être marié est juste réaliste, pas égoïste.
De même, si vous avez un seul enfant, vous êtes réprimandé. « Comment pouvez-vous faire ça à votre enfant ! Ce n'est pas juste pour lui. Vous êtes tellement égoïste ». Et ces attaques ne s'arrêteront que lorsque vous serez trop vieux, trop vieille, pour avoir un autre enfant. Toutes les raisons que vous invoquerez seront perçues comme des alibis à votre égoïsme.
Comment peut-on défendre sa position ou légitimer cet “égoïste”, sauf à changer de conversation, sauf à se taire.
Parce que les enfants sont l'ultime sacrifice, une personne ne souhaitant qu'un seul enfant est considérée comme égoïste. Ceux d'entre nous qui tentent de profiter au mieux de ce que le monde offre sont souvent perçus comme cupides, car aujourd'hui nous voulons tout.
Pourtant, l'un n'empêche pas l'autre.
Je veux et j'adore mon enfant plus que tout, mais je veux aussi une carrière et je veux vraiment un mariage heureux et l'ajout d'un autre enfant dans notre vie se répercuterait directement sur deux des trois choses qui ont le plus grand impact sur ma compétence au bonheur.
Seule la culpabilité cherche à attaquer cet édifice intellectuel.
Il y a donc un mur à construire entre l'égoïsme et la vie telle que nous souhaitons la vivre.
Partant du constat que près de 20% des français subiront une dépression dans leur vie, Florian Ferreri a décidé d''écrire un ouvrage, la Dépression, 100 questions pour comprendre et guérir*, afin de gommer les idées reçues et d'apporter des réponses simples et accessibles aux patients et à leurs proches.
Le Dr Florian Ferreri, psychiatre, maître de conférences des universités, praticien hospitalier à l'hôpital Saint-Antoine (Paris), s'appuie sur son expérience pour répondre aux questions les plus fréquemment posées par ses patients et leur entourage. Pour ce faire l'auteur a travaillé sur la notion de dépression, de stress, de coup de blues, de burn-out, de trouble bipolaire. Il aborde aussi la question des comorbidités (les troubles associés).
Gommer les a priorisLa dépression n'est pas toujours perçue comme une maladie. Ses symptômes comme le manque d'énergie et la perte d'intérêt sont trop souvent associés à un manque de volonté, voire à une faiblesse de caractère. Ainsi, à l'image des autres maladies mentales, des a prioris altèrent cette maladie que le Dr Ferreri s'efforce de faire disparaître à travers cet ouvrage : « On peut parfois avoir l'impression que cela n'arrive qu'à certaines personnes fragiles mais la dépression peut toucher chacun d'entre nous. Cette pathologie est encore sujette à de nombreuses idées reçues auxquelles ce livre cherche à faire un sort », explique le praticien hospitalier.
Apporter des solutions concrètes – et de l'espoir
L'identification de la maladie et de ses contours permet d'apporter des solutions. Comme le dit l'auteur dans sa préface, « si la dépression est source de souffrance pour soi et ses proches, elle est pour tous, une fois guérie, une source de réflexion en donnant l'occasion à chacun de revisiter le sens de sa propre existence ».
* Florian Ferreri, La Dépression : 100 questions pour comprendre et guérir, Odile Jacob, 2012.
«Sexologue»n’étant pas un titre déposé, on peut, malheureusement rencontrer des gens qui se prétendent sexologue sans en avoir les compétences.
Il existe cependant effet depuis une dizaine d’années, un DIPLOME INTER UNIVERSITAIRE DE SEXOLOGIE, diplôme national, délivré uniquement à des médecins après une formation de 3 ans et ce à la suite d’un examen national. Un équivalent de ce diplôme est délivré à des psychologues, titulaire d’un Master 2 de psychologie, à des sage-femmes, kinésithérapeutes et autres professions para-médicales; ils ont suivi le même enseignement. Ceux-ci ne peuvent exercer la sexologie que dans les limites de leur formation de base. Il est toujours bon de se renseigner car les «pages-jaunes»ne sont pas une garantie. Il est bon également de rester vigilant vis-à vis des médias; ils ne présentent pas de garantie quant à la compétence des praticiens cités, l’intérêt des medias est commercial! Aussi lorsque cela est possible, mieux vaut passer par son médecin traitant, c’est un gage de sérieux. Certaines associations scientifiques donnent une liste de leur adhérents, on peut aussi s’adresser directement au Conseil de l’Ordre des Médecins.
Pourquoi consulter?
Les médecins sexologues, ont reçu une formation reçue qui leur permet d’aborder les problèmes sexuels ayant une origine physique comme les troubles de l’érection, mais aussi tous les problèmes d’ordre psychologique comme les troubles du désir chez la femme ou les difficultés de la relation de couple. Le champ de la sexologie est très vaste. Les psycho-sexologues qui ont une formation similaire ne peuvent cependant pas prendre en charge les troubles qui ont une origine physique ou mécanique, ils ne peuvent ni prescrire de médicaments ni effectuer des examens cliniques, ceci est réservé aux seuls médecins. Bon nombre de problèmes peuvent être résolus de manière simple et ne nécessitent pas la plus part du temps de thérapies longues et coûteuses.
Les tarifs?
Les consultations sont assez longues, au minimum 30 minutes et sont plus ou moins bien remboursées. N’est pris en charge normalement par la SS que la partie médicale: examens cliniques, biologiques, complémentaires, etc…; les aspects psychologiques ne le sont pas, d’où certaines disparités entre les médecins et les non-médecins. Il faut compter entre 40 et 100 €, voir un peu plus selon que l’on habite en province ou à Paris (en général beaucoup plus cher). Il vaut mieux privilégier les thérapies brèves parfois un peu plus onéreuses au départ, mais beaucoup moins à l’arrivée! Une thérapie d’inspiration analytique sera toujours beaucoup plus chère qu’une thérapie cognitive et comportementale!
Dans la religion judéo-chrétienne, la sexualité est faite pour la continuité de l'espèce. La chrétienté a trop longtemps condamné le pêché de chair. Une éducation sévère, stricte et rigide avec de nombreux interdits et tabous qui prohibent la sexualité ne rend et ne permet pas l'expression sereine du désir et de l'érotisme.
Les principes éducatifs interdisant à l'enfant l'autoérotisme et la découverte de la sexualité vont entraîner et ancrer plusieurs réactions négatives.
- L'enfant contraint et forcé « d'accepter » ces interdits déprime, interdisant en permanence son énergie vitale et sexuelle de s'exprimer librement.
- L'enfant fait semblant d'accepter l'interdit pour plaire aux parents, ce qui le mène au mensonge. Il en souffre, culpabilise et a honte de ne plus être l'enfant modèle…
L'enfant devenu adulte rencontrera des difficultés pour construire son couple. Les problèmes liés à la sexualité sont parfois complexes aussi bien pour l'homme que pour la femme. L'une des principales causes est le manque d'éducation mais surtout le manque de repères familiaux. Bien des parents refusent le dialogue avec leurs enfants. De gros efforts sont déployés pour faire rentrer quelques heures d'éducation sexuelle dans le milieu scolaire notamment au collège. Il serait plus opportun d'introduire l'éducation sexuelle chez les plus jeunes enfants entre quatre et cinq ans. De très nombreux jeunes sont encore aujourd'hui désemparés devant les mystères du sexe et de la vie amoureuse.
Paradoxalement le ministère de la santé sait faire de la prévention sur la grippeA H1N1 et trouve les fonds nécessaires pour nous rabâcher à longueur de journée les protocoles sur le lavage des mains, de la prévention microbienne par le port de masques et de vaccination. Mais malheureusement aucun ministre de la santé n'a eu le courage d'installer dans les collèges, lycées et facultés des distributeurs de préservatifs ! Qui sont les mieux placés que les parents, enseignants pour accompagner ces jeunes adultes pour aborder ce vaste et merveilleux sujet qu'est la sexualité. Pour cela les parents doivent eux-mêmes vivre dans un climat d'échange affectif, où le dialogue et la communication font partie du quotidien dans le foyer familiale.
Ainsi l'éducation ne pose aucun problème, il se créer des discussions ouvertes, franches où les enfants évoluent naturellement, les conditions d'une éducation sexuelle sont réunies pour qu'ils découvrent et vivent à leur tour une sexualité épanouie. A l'opposé si l'un ou l'autre, voir les deux parents sont complexés dans ce domaine, mal dans leurs peaux, angoissés, frustrés et psychorigides, forcément les bases d'une éducation saine ne sont pas réunies pour accompagner l'enfant dans la découverte d'une sexualité respectueuse de soi et de l'autre.
Parents, enseignants, éducateurs… Vous qui êtes chargés d'éclairer les enfants sur l'éducation sexuelle, réglez vos propres peurs et émotions et vous pourrez ainsi guider sainement les autres ! Dans bien des couples, des fausses idées héritées peuvent condamnés l'homme, la femme à subir la sexualité.
Explorez en couple un éventuel manque de désir, de communication... Osez vous avouer cette mésentente et la frustration qui en découle. Seule l'élimination de la cause profonde, de ce manque d'attirance, permet au couple de retrouver son équilibre et de briser la monotonie.
Le couple traverse parfois de la lassitude voire de l'ennui. Cela provient d'un manque de connaissance de soi, des désirs de l'autre et de motifs inconscients. Ayez une écoute attentive, le couple doit se parler en toute franchise. Cela demande parfois du courage et surtout du tact. A notre époque où certains tabous sexuels sont encore bien ancrés, l'être humain est par nature très sensible aux remarques concernant ces questions. Une fois dépassé, ce dialogue entre partenaires sera profitable pour une harmonie et un épanouissement sexuel réciproque intense et durable.
L'amour peut s'émousser :
• Si on se néglige,
• Si on n'est pas attentif à l'autre,
• Par l'intrusion des parents ou des beaux parents,
• Par l'envahissement de la télévision,
• Par négligence corporelle ou vestimentaire (chez l'homme comme chez la femme),
• Par tracasseries de la vie quotidienne,
• Par soucis financiers,
• Par divergence sur l'éducation des enfants,
• Par un travail trop prenant,
• Par la tentation d'aventure extra conjugale,
• Par abstinence des rapports affectueux, érotiques et sexuels,
• Par la venue d'un nouveau né,
• Par des problèmes de santé, ménopause, andropause, fausse couche…
• Par anxiété, tristesse, état dépressif, incertitude professionnelle, affective, familiale, amicale, surmenage intellectuel.
En effet, le ‘malade' dépense toute son énergie à refouler certaines pulsions dans son inconscient. Toute sa personnalité, toutes ses activités en souffrent. Il passe à coté de l'essence même de l'Amour. Il ne voit plus (son) sa partenaire, ni ses proches, ni ses ami(e)s. La moindre contrariété lui parait, à juste titre, insurmontable. Dans de tels cas, il est recommandé de recourir à un suivi thérapeutique.
Combien de couples ne parviennent pas à harmoniser leur équilibre ! Combien de couples plus âgés vieillissent l'un à coté de l'autre sans réellement se connaître, sans plus se surprendre ! Les partenaires méconnaissent la réalité physique du rapport sexuel. Cette "mésentente" est causée soit par ignorance, soit par des idées préconçues de l'intimité, soit par inhibition, soit par refoulement inconscient, soit par une éducation religieuse stricte… Vous vous devez de replacer la sexualité sous son véritable angle. Ce qui implique affection, douceur, compréhension et respect. Et dans la liberté de laisser s'exprimer le corps, les émotions et la créativité, l'humour, la spontanéité et la sensualité…
C'est pourquoi le coït ne doit survenir que lorsque les deux amants ont atteint un degré d'excitation satisfaisant, par un échange de caresses, de massages, de baisers. On se doit de formuler à sa (son) partenaire ce que l'on ressent et ce que l'on désire. L'homme n'a pas l'idée de demander à sa partenaire si telle position ou telle caresse lui convient. La femme préfère ne pas solliciter son amant et perdre une bonne partie de la jouissance sexuelle. Vous vous devez d'exprimer ce que vous désirez, ce que vous ressentez et de guider l'autre, à accélérer ou ralentir les va et vient pendant les rapports, à changer de position, les réticences à certaines caresses, à certaines pratiques. Subtile alchimie ! L'amour se doit de concilier les envies, les fantasmes, les désirs. La passion et la douceur sont les qualités essentielles dans la relation à soi et à l'autre. Cette harmonie ne porte qu'un seul nom : AMOUR.
La peur de perdre est sans conteste l’une des force les plus puissantes qui s’exerce sur les choix individuels et collectifs, qu’il s’agisse de ce qu’on possède ou qu’on croit posséder. Les biens, les terres, la patrie, passent encore… Mais quand on dit « ma femme », « mon épouse », « mon mari », « mes enfants » , cela ne signifie pas qu’on en soit propriétaire ce qui impliquerait qu’on pourrait vendre, échanger, acquérir, femmes, maris ou enfants… Pourtant, cette façon d’envisager les relations, n’a jamais disparu. Certaines cultures n’accordent que très peu d’importance à la femme, elles sont considérées ni plus ni moins comme des esclaves, et surtout des utérus. Dans beaucoup de sociétés traditionnelles, la virginité de la fiancée, est une valeur inestimable qui justifie des sacrifices, enfin, surtout de la part de la jeune fille.
C’est ainsi que, pour s’assurer que la virginité sera préservée jusqu’au mariage, et que l’abstinence totale sera observée, a-t-on recours à des pratiques telles que l’excision et l’infibulation. Ces mutilations ont pour but d’entraver tout plaisir sexuel, en associant douleur et sexe, afin de garantir la chasteté la plus rigoureuse.
Être calme et détendu constitue l'état d'esprit par excellence pour pratiquer la relaxation, la sophrologie mais également pour profiter d'une séance de massage, de caresses, faire l'amour avec ou sans pénétration.
Observez votre respiration, elle doit être localisée au niveau de votre paroi abdominale. Adoptez un rythme régulier, respirez lentement et profondément pour mieux vous abandonnez et vous détendre mentalement. Fermez les yeux, déconnectez-vous de monde extérieur. Observez sans jugement votre corps mais également votre esprit. Laissez-vous aller, votre corps se détend, vous ressentez une sensation de lourdeur, un sentiment total de relâchement musculaire, votre esprit flotte librement, ne vous laissez plus perturber par des pensées parasites.
Stoppez un moment la masturbation cérébrale ; Concentrez-vous et dirigez votre attention sur vos inspires et expires. Lorsque la tension musculaire est éliminée et que vous accédez à cet état de calme intérieur, votre rythme respiratoire s'apaise, vous vous sentez vivre, vous respirez sans contraintes. Ainsi vos sens sont en éveil, aiguisés, et le désir de partager avec l'autre est présent ; le désir d'accéder à l'orgasme au plus vite est remplacé par le souhait de jouir de tous les instants de plaisir, de partage et de communication en compagnie de votre partenaire ; de profiter de ces moments privilégiés dans la rencontre avec l'autre.
Faites l'amour l'esprit clair et le corps détendu, sans recherche absolu de compétition. Le sexe vrai est une source naturelle de plaisir qui nous ouvre la porte et nous guide sur le chemin de la découverte de soi ; il nous faut un regard neuf sur la manière dont nous réalisons l'acte sexuel. Nous devons changer notre façon de faire l'amour, être plus réceptif à nos perceptions corporelles mais également aux ressentis qu'éprouve l'autre. Accéder et vivre en pleine conscience l'acte sexuel, développe l'art de faire l'amour.
Chez l'homme, l'absence de désir peut resurgir suite à une problématique enfouie et refoulée depuis de très nombreuses années : angoisse de s'abandonner au plaisir au lâcher-prise ; angoisse de ne pas ou plus être à la hauteur, frustré, inhibé. C'est à ce moment précis que l'intellect agit sournoisement, car l'homme vit la relation dans un sentiment de compétition.
Les mauvaises pensées se succèdent pour l'homme : Si je ne conserve pas ou partiellement mon érection « je suis un piètre amant », « je me dois de contrôler mon éjaculation »... Déjà le simple fait de désirer contrôler suffit à perdre la bataille.
Chez la femme, le désintérêt érotique se caractérise par la baisse de niveau de réceptivité corporelle et des sensations érotiques. Les causes organiques mais non médicales que l'on rencontre le plus souvent dans la difficulté à lubrifier suffisamment, sans créer ou réveiller des douleurs lors de la pénétration ou des caresses sont un relâchement des muscles périnéaux. Il ne faut pas négliger les causes psychogènes qui vont de la mésentente conjugale, la culpabilité liée au plaisir de jouir librement et sans tabou, la peur d'éveiller et accéder à certains phantasmes avouables ou inavouables. La sexualité vécue comme perverse…
Très souvent lors d'un travail thérapeutique, on trouve des causes plus anciennes. Expériences sexuelles ayant engendré douleur, déception, angoisse, tentative de viol, d'inceste ou des attouchements pervers lors de l'adolescence. Que ce soit un trouble de l'érection, absence de lubrification sont des causes à ne pas négliger, le traitement proposé en thérapie brève et cognitive a fait ses preuves. Dans les cas des traumatismes anciens, il est primordial d'associer au travail sophrologique des séances de thérapies qui mettent en évidence les conflits et les causes plus profondes.
De nombreux articles, à l'image de celui paru le 15 août sur le site de « TF1 News » mettent l'accent sur le lien qui existe entre la crise et des troubles psychiques pouvant allant jusqu'au suicide.
Il est juste de dire que les crises économiques ont une influence néfaste sur le moral des personnes. Fort de ce constat, le docteur Margaret Chan, directrice générale de l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) alertait dès le mois d'octobre 2008 : « Nous ne devrions pas sous-estimer les turbulences et les conséquences probables de la crise financière. Il ne faudra pas être surpris de voir plus de personnes stressées, plus de suicides et plus de désordres mentaux ».
Il est tout aussi juste de dire que l'impact moral des crises économiques se situe environ trois ans après le début de la crise, une période dans laquelle nous sommes actuellement.
Mais, face à ce fléau, une fois le constat fait qu'il existe des « facteurs de risque », ne faut-il pas voir ce qu'il en est du côté des « facteurs de protection ». Et sur ce point, l'approche du docteur Jean-Jacques Breton, pédopsychiatre à la Clinique des troubles de l'humeur de l'hôpital Rivière des Prairies, à Montréal, est intéressante. Pour le docteur Breton, « on a beaucoup parlé des facteurs de risque dans la problématique du suicide. Mais ce qu'on a découvert, c'est qu'il y a aussi des facteurs de protection. S'il y a des facteurs de protection, le risque d'avoir des idées suicidaires diminue. Ce n'est pas magique, bien sûr, mais si on favorise ces facteurs de protection, les gens peuvent améliorer leur capacité à faire face aux événements stressants. On peut les outiller ».
Parmi ces facteurs de protection chers au Docteur Breton, citons le sens, la présence d'objectifs dans la vie, la richesse des liens sociaux, les valeurs…
Le sens est un facteur de protection extrêmement efficace, de nombreuses études internationales le montrent. Notre travail, nos engagements, nos proches sont de puissantes sources de sens. A tout niveau, il faut le protéger et le cultiver.
Les objectifs aident à trouver l'énergie qui fait parfois défaut dans les périodes difficiles. Souvenons-nous des propos de Mihaly Csikszentmihalyi qui expliquait, dans une interview, que le but « fournit de l'énergie pour la vie ». Dans notre vie en général mais aussi au travail, nous devons avoir des objectifs à mener à bien, à la fois ambitieux et réalistes.
La richesse des liens sociaux est également un facteur de protection reconnu. Or, qui oserait nier que dans nos grands Etats modernes, ils se sont altérés ? A tout niveau, il faut agir pour restaurer des liens sociaux de qualité, que ce soit au travail, entre voisins, entre concitoyens tout simplement.
Les valeurs communes favorisent la cohésion et agissent, elles aussi, comme des facteurs de protection efficaces. La fraternité n'est pas une idée d'hier, c'est bien une valeur du temps présent qu'il est urgent de ranimer.
Le travail, parfois source de souffrance, peut aussi être porteur de facteurs de protection. Il est du rôle de chacun de ses acteurs, actionnaires, dirigeants, salariés, d'agir pour que le travail puisse allier épanouissement, réussite individuelle et performance collective.