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Bonne nouvelle : L’âge n’est pas le principal fautif d’une baisse de libido. 3 raisons majeures peuvent faire de vous une femme fatiguée manquant d’entrain, prenant du poids et manquant de désir sexuel.
Raison numéro 1 : Un manque de stimulation des hormones « cérébrales » comme la dopamine et la phénylamine. Ainsi le cerveau ne peut plus jouer son rôle de booster du métabolisme et du désir de bouger, de réagir et aussi la libido chute sévèrement. On peut dire que le désir est étouffé dans l’œuf.
Raison numéro 2 : Certaines parties de votre corps ne bénéficient pas d’un afflux sanguin suffisant. Pire, certains organes ne sont plus alimentés du tout. Or c’est le niveau d’approvisionnement sanguin qui va déterminer beaucoup du ressenti, et du désir de faire ou ne pas faire.
Raison numéro 3 : le déficit en alimentation des hormones telles que testostérone ou autre oestrogène ne permet plus au corps de garder toute sa dynamique (ordre donné par le cerveau) de trouver un écho. Le cerveau veut, mais le corps ne répond pas. Cela se traduit généralement par une prise de poids et l’appauvrissement de votre tonicité musculaire.
Pour y remédier, votre médecin ou votre gynécologue après un bilan de santé général complet peuvent vous prescrire, en fonction du diagnostic : un changement de contraception ; la prise d’anxiolytiques ; des séances chez un sexologue ou encore unethérapie androgénique qui consiste à administrer de la testostérone par voie intraveineuse, patchs ou crème (par exemple la Lire la suite sur Union
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Une mesure « pédagogique » selon le procureur de la République d’Amiens, également associée à une « mesure de réparation pénale », prenant la forme d’un «travail pédagogique, comme la production d’un écrit sur le harcèlement, l’écriture d’un courrier à la victime...»
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« Hm, tu m’excites tellement. Aubergine » « Trop hâte de te voir ce soir ! Gouttes d’eau » « J’ai vraiment vraiment envie là… Pêche »
Avec la pandémie, même les plus récalcitrant·e·s d’entre nous se sont mis à sexter. Quand on ne peut pas choper dans les bars, on se contente d’être derrière son écran. Et il en faut, de l’ingéniosité pour renouveler le discours excitant. Et quoi de mieux que les emojis ? Tout un lexique fruitier est employé, pêche, banane, aubergine, cerises… Mais il y a aussi les gouttes d’eau, les divers doigts ou poings pour les plus audacieux.
Récemment la marque de sex-toys Lelo a lancé une pétition sur change.org pour qu’Unicode, l’entreprise chargée de la création d’emojis, se penche sur des « sexemojis ». Après un sondage interrogeant presque 10 000 personnes, il s’avère que 74% d’entre eux utilisent régulièrement des emojis pour parler de sexe avec leurs partenaires et pour s’exciter ! 86% des interrogés étaient plutôt enjoués à l’idée d’emojis explicite ou au moins un peu chauds.
The survey on the use of emojis for sex – U.S. resultsReste à voir sous quelle forme ces sexemojis pourraient apparaître : aura-t-on le droit à un icône pénis ? Lelo milite pour l’apparition d’emojis représentant les sex-toys et le safe sex. On imagine facilement des emballages de préservatif, un plug ou encore une paire de menottes. Mais iOS et Android seront-ils d’accord pour voir fleurir sur les claviers des visages munis de gag ball, des fesses rougies ou une icône de vulve poilue ?
Le numérique a pris une place significative dans notre sexualité, et les emoji ne sotn pas en reste, au même titre que le « Zoom sex » ou les sex-toys connectés. Dernièrement, une étude des chercheurs du Kinsey Institute aux États-Unis montrait même que les personnes qui utilisent plus d’émoticônes dans leurs conversations ont plus de rendez-vous galants et de relations sexuelles. À bon entendeur… aubergine pêche gouttes tacos.
Pour signer la pétition, ça se passe ici.
Ma femme souffre fréquemment, de problème de peau, qui se traduisent par des démangeaisons. La pratique régulière du rasage semble constituer un facteur aggravant, mais nous n’en sommes pas sûrs. Pour tenter d’éviter ce désagrément, j’ai essayé diverses techniques de rasage : la mousse à raser mentholée, gel spécial, rasoir électrique pour femmes, rasage mécanique à sec. Rien ne donne satisfaction. J’ajoute que le fait de s’abstenir de rasage ne règle pas le problème de façon convaincante.
Par ailleurs, la proximité des muqueuses si sensibles de la vulve nous incite à éviter les crèmes adoucissantes ou hydratantes, et la timidité nous empêche de nous ouvrir de ce problème à notre médecin. Existe-t-il des produits (crèmes, baumes, pommades) capables de soigner ce dont souffre ma femme ? Pensez-vous que le port d’une culotte constitue un facteur aggravant, tout comme le rasage ? Quelle méthode de rasage préconiseriez-vous, et à quelle fréquence ?
D’après ce que vous décrivez, il y a de fortes chances que les démangeaisons et irritations de votre femme soient liées au rasage, avec la possibilité d’une surinfection des micro plaies dues au rasoir. Vous pouvez essayer tous les gels ou crèmes à raser, cela n’y changera rien si sa peau réagit ainsi. Seule une épilation définitive à l’électricité, faite bien évidemment par un dermatologue, pourrait être conseillée.
De plus, il est nécessaire de vérifier qu’il ne s’agit pas d’une infection chronique, entraînant des lésions qui ne peuvent cicatriser que si elles sont traitées correctement. Il n’est pas raisonnable de rester pendant des semaines ou des mois sans se soigner en cas de démangeaisons.
...Lire la suite sur UnionCet article Rasage intime : peut-on éviter les démangeaisons ? est apparu en premier sur Union.
Bonjour docteur, comme de nombreux garçons, je suppose, je suis constamment à la recherche de produit pour faire grandir mon pénis et pour tenir en érection plus longtemps. Parmi mes recherches, j’ai trouvé plusieurs informations indiquant que le café était un aphrodisiaque naturel. Me confirmez-vous que c’est bien le cas, car depuis j’ai doublé ma consommation ?
Décidément, booster sa libido continue à faire l’objet de recherches multiples et variées.
En ce qui vous concerne, vous espérez trouver un seul produit pouvant tout à la fois agrandir votre sexe, améliorer la tenue de votre érection et augmenter votre plaisir. Autant dire que si cette substance existait il s’agirait vraiment d’une substance miracle, capable d’agir à tous les niveaux de la fonction sexuelle.
En fait il me semble nécessaire de clarifier un peu vos attentes. Tout d’abord, il n’est pas possible de modifier la taille du pénis, ni en longueur, ni en diamètre, sans avoir recours à la chirurgie. Sachez par ailleurs qu’un pénis plus long, ou plus gros, ne garantit en rien la qualité du plaisir sexuel ressenti.
Enfin, faire durer l’érection sous-entend d’apprendre à contrôler l’éjaculation, ce qui est un apprentissage à la portée de tout homme motivé pour y arriver. Si les hommes ont longtemps attribué à certains aliments comme le chocolat, le gingembre ou encore les huitres des vertus aphrodisiaques et érotiques, aucune preuve ne confirme de tels bénéfices.
Pour finir, je dois vous dire que c’est bien la première fois que j’entends dire que le café est...Lire la suite sur Union
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Ancien espoir du centre de formation du Toulouse Football Club, Ouissem Belgacem dénonce l’homophobie dans le foot avec son livre qui sort ce 5 mai chez Fayard.
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Le corps de cet enseignant de 25 ans, également investi au sein Mouvement des travailleurs sans terre (MST), a été retrouvé calciné dans la ville de São João do Triunfo, au Paraná.
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Je suis inquiète car je ne fantasme jamais. J’ai lu dans votre numéro de février que beaucoup de femmes fantasmaient en faisant l’amour et que c’était bon d’avoir des fantasmes. Or, je n’en ai aucun. Je ne parle même pas de choses osées, mais simplement de situations sexuelles. J’arrive pourtant à avoir des orgasmes, mais en me concentrant uniquement sur mon plaisir. À quoi cela est-il dû ? Cela peut-il avoir une influence sur l’avenir de ma vie sexuelle ? Comment dois-je faire pour éveiller mes fantasmes ? J’attends avec impatience vos conseils toujours très pros.
Le fantasme, c’est quoi ?Le Littré précise : les fantasmes sont des représentations imaginaires de scènes dans lesquelles un sujet transpose ses désirs inconscients, ses traumatismes refoulés, ses angoisses… Pour les Psychologues, ils sont également de merveilleux moteurs imaginaires de la libido. C’est quelque chose qui met en mouvement, en désir, et en rencontre avec notre théâtre intérieur. On a tous en nous un certains nombres de personnages sur notre scène imaginaire.
Cependant Il n’est pas obligatoire d’avoir des Lire la suite sur Union
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Agée de 28 ans, je suis mariée depuis trois ans. Je fréquente depuis deux ans une amie, également mariée et à laquelle je suis très attachée. Nous avons des rapports sexuels fréquents et prolongés. Or cet attachement intime a un effet curieux : depuis que je fais l’amour avec elle, je ne suis plus la même dans la période précédant mes règles. Je deviens une femme « en chaleur », jamais rassasiée, prête à tout pour être caressée, pénétrée, dénudée et livrée à n’importe quelle autre femme. Ces jours-là , mes seins gonflent, leur peau se tend, mes tétons grossissent, Mon mari s’en est rendu compte car ces jours-la , je me promène nue à la maison et j’accepte plus volontiers ses pénétrations. Ma question est simple : que faire, tout en continuant mon aventure avec mon amie, pour que cette période de mon cycle (8 à 10 jours) cesse de me placer en état de dépendance vis-à -vis d’autres femmes ?
De toute évidence, le fait d’avoir des relations sexuelles avec des hommes n’a calmé qu’une partie de vos pulsions et de votre libido. Une autre s’est réveillée au contact de cette amie et s’exprime maintenant de toute sa force. Vous êtes très attirée par les femmes et ces dernières influencent nettement vos fantasmes.
Pendant la période qui précède vos règles, vous présentez un syndrome prémenstruel important, responsable de tous les signes que vous décrivez : tension, gonflement des seins et de la vulve, augmentation des sécrétions vaginales. Ces signes augmentent en partie votre excitation. En effet, vos organes sexuels deviennent beaucoup plus sensibles et comme vous ne pouvez les ignorer, cela accentue les phénomènes d’excitation que créent vos relations à la fois...Lire la suite sur Union
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« Le jour, je tatoue et prends des photos, la nuit, je fais des films érotiques et des insomnies. » Dwam maîtrise les mots autant que les images. Installé·e depuis deux ans au Canada, l’artiste visuel·le queer et non-binaire a un sacré background artistique : études d’arts appliqués, et en master aux Beaux-Arts d’Angoulême, et même parenthèse en studio de dessin-animé, le tout avant de se lancer en tant que Tattoo-artist et photographe.
Touche-à-tout, oui, mais pendant longtemps, pas au porn. Dwam est synesthète, c’est-à-dire qu’iel perçoit le monde « comme un poème de couleurs, textures et formes qui se répondent en émotions, symboles, musique, goûts et souvenirs ». C’est aussi beau à lire que l’est le résultat de cette perception au travers de son art, qu’il s’agisse de la photo, du tatouage, de l’illustration, de la vidéo ou des performances. Ses sujets favoris ? « La joie de l’incarnation, la peau, la tendresse, l’intimité, la sexualité, les amours fluides, l’inconscient et l’onirique, mais aussi les représentations du corps, l’identité, les dynamiques de pouvoir questionnées et le concept de normalité », confie Dwam, « j’espère que je pousse les gens à s’accepter et à s’apprécier tel·les qu’iels sont, à célébrer toute forme de plaisirs, et à questionner les stéréotypes de genre et les représentations malsaines dont on a été abreuvé·es ! »
Des beaux-arts au porn indé« J’ai compris que jusqu’ici, je ne trouvais simplement pas ce que je souhaitais voir, alors j’ai eu envie de le faire moi-même»
« Une lente descente dans le stupre », voilà comment Dwam décrit son cheminement vers le monde du porn. « Difficile d’y échapper », estime l’artiste, dont une vaste partie du travail gravite autour du corps, des représentations et de la sexualité. Toutefois, iel confie avoir longtemps eu une forme de blocage face au monde du porn. « J’ai grandi avec une très mauvaise image du porn, pour moi c’était mauvais, moche, sexiste et dégradant », détaille-iel, « j’ai donc un double blocage : si ce n’est pas un minimum esthétique, ça ne m’intéresse pas, si c’est sexiste, je décroche immédiatement ». Mal filmé, mal éclairé, male gaze : pour Dwam, c’est un grand « non ». Lorsqu’enfin, iel accède à du contenu plus qualitatif, aux moyens plus élevés, Dwam découvre un univers « fascinant, méprisé à tort, riche en possibilités créatives, politiques, sensuelles… Et masturbatoires, évidemment ! » Tout particulièrement dans les milieux queers et indépendants.
Bishop Black et Kali Sudhra dans l’objectif de DwamUn porn bien réalisé, selon Dwam ? C’est un porn « moins codé, moins hétéro-centré, avec des perfomeur·se·s plus varié·es, centré autour du plaisir ».
De modèle vivant à performeur·euseAprès une expérience en tant que modèle vivant pour payer ses études, puis modèle photo « avec un malheureux écart via Suicide Girls » – il était important pour Dwam d’être visible en tant que personne queer, « et ça passait aussi par là », estime-t-iel -, c’est en 2013 qu’on lae voit faire son entrée dans le porn indépendant.
The reverence par Four ChambersSes premières vidéos, Dwam les a tournées avec Ortie, avec qui iel confie partager des visions artistiques très proches. « Une de ses premières réalisations vidéos pour Velvet Nest, une marque de strap-ons, jouait sur les codes de genre, et a été filmée backstage par Ovidie pour son documentaire « A quoi rêvent les jeunes filles« , ce qui nous a donné un peu de visibilité », poursuit Dwam. Au même moment, iel découvre Four Chambers via leurs photos et une de leur vidéos sur Tumblr. « C’était littéralement ce que j’avais toujours voulu faire, je les ai contacté immédiatement, et j’ai tourné avec eux dans les mois qui ont suivi », se souvient Dwam.
Tidal – par VespéralEn créant Vespéral, sa production de films indépendants, iel « explore la poésie visuelle du porn » selon ses propres mots. On valide, bien évidemment !
Sur OnlyFans, des photos et vidéos « aux petits oignons »OUROBOROS on @PinkLabelTV
— Vesperal (@VesperalFilms) March 3, 2021
Three persons of different genders, a triangular reciprocality of sexual push and pull, rough and tender threesome, fighting, playing, switching.
With @DanteDionys @Bishopblackx @Dwamhttps://t.co/Uvkq6lM0rO#queerporn #threesome #nonbinary #pinklabel pic.twitter.com/CiuzsQRxXL
Si la pandémie a quelque peu affecté sa motivation, Dwam passe tout de même « beaucoup trop de temps » à créer des photos et vidéos « aux petits oignons » sur OnlyFans, pour votre plus grand plaisir !
Pour décrire son contenu : « Il est à mon image, c’est un foisonnement désordonné ! » Diversité visuelle, entre concepts esthétiques, nu, lingerie, fetish, cornes, corset et costumes, mais aussi diversité de formats. Dwam propose ainsi des live-shows, Q&A, un peu de sexting, des bloopers… « Mon jeu-concept préféré étant le Cummathon : un marathon d’orgasme en video ! ».
Côté vidéos, on retrouve Dwam essentiellement en solo dans des scènes de masturbation, tease, strap-on, et quelques apparitions en duo avec son partenaire, même si celles-ci se font rares. « J’espère, bientôt, me lancer dans des collaborations avec d’autres performeuses, une fois les vaccins faits », confie-t-iel, Dwam met du coeur à l’ouvrage, et offre un équilibre jusque dans ses formats. « J’essaie d’avoir un ratio de videos pro vraiment montées et fignolées (mais qui prennent un temps fou à produire), et pas mal petits clips et mini-photosets amateur pris à la volée, avec toujours mon petit twist créatif de photographe, en terme de thème ou de lumière ».
Tell me something about you pic.twitter.com/kJkj3evY1K
— Uʀsɪɴᴀᴇ Vᴇsᴘᴇʀᴀ ʕ'ᴥ'ʔ (@heyursinae) May 1, 2021
Et en dehors de son Onlyfans, son dernier film, réalisé en 2019 à la Résidence Ardente, est sorti l’été dernier sous le nom de Cobwebs. « C’est un film-performance, nocturne et immersif » décrit Dwam, « Cobwebs est moins sexuel, mais explore (avec douceur) plusieurs fetish – BDSM, abduction, cordes, désorientation, knife play, breath play, et se savoure comme de l’ASMR du cul, avec des écouteurs ». Il est disponible, comme la majorité de ses films, sur PinkLabelTV.
Image en une : Ourobors par Vesperal, avec Dwam, Dante Dionys et Bishop Black.
Yao nous raconte la naissance de ses deux fistons, et les difficultés qu’il a depuis quelques années à connecter avec son fils aîné, malgré toute sa bonne volonté.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que Yao essaie pourtant très fort : il a par exemple appris à nager, à faire du vélo pour pouvoir transmettre à ses deux enfants ce que son père n’a jamais pu lui apprendre.
Et pourtant, il tire aujourd’hui dans notre discussion un constat d’échec : ça a l’air d’être très compliqué pour lui de créer une relation avec son plus grand fils, alors que ça se passe à merveille avec son deuxième. C’est si compliqué à gérer pour lui émotionnellement qu’il en vient parfois à regretter d’avoir fait des enfants.
Merci à Yao pour sa transparence, cette discussion était particulièrement intense, j’espère qu’elle vous touchera autant qu’elle m’a touchée.
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Mon problème est assez particulier. Je n’éprouve jamais de désir sexuel. C’est aussi pourquoi je lis votre revue et je regarde des films X. Pour voir si cela pourrait m’éveiller. Je suis célibataire, j’ai des aventures. Pourtant, à chaque fois, je m’ennuie. Je me donne à mon partenaire, mais sans réel désir. J’espère que l’action va engendrer l’envie, mais rien. Je tricoterais, ça me ferait le même effet ! Et bien entendu, cela ne m’apporte aucun plaisir. La masturbation ne m’intéresse pas plus. Suis-je asexuelle ?
Il y a deux sortes de personnes, celles qui éprouvent des besoins sexuels d’ordre physique et celles qui ne sont capables de désir sexuel que dans un contexte relationnel. Cela veut dire que les « profils » appartenant à la première catégorie sont à même d’avoir des rapports sexuels satisfaisant en dehors de tout contexte sentimental. Cela leur permet de répondre à un besoin individuel, qui est alors parfaitement comparable au fait d’avoir de l’appétit pour la nourriture, ou un goût affirmé pour le sport.
D’ailleurs, l’expression « appétit sexuel » fait partie du langage courant, et tout le monde la comprend. Dans ce cas, que ce soit par la masturbation ou lors de relations avec un partenaire occasionnel, le plaisir n’est pas difficile à obtenir, car le désir est bien présent.
Au contraire, les « profils » appartenant à la deuxième catégorie ne ressentent pas de besoins sexuels spontanés, et il leur faut un élément déclencheur d’un autre ordre pour que leur vie intime puisse devenir une véritable source de plaisir. Dans la grande majorité des cas, c’est quand elles ressentent un élan amoureux envers quelqu’un d’autre que le désir leur vient enfin, désir sans lequel il leur est presque...Lire la suite sur Union
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Vitesse de croisière pour moi en ce moment. J’ai plus trop l’énergie de faire des folies, et ma tête est un peu ailleurs. S’arrêter pour mieux rebondir – je l’espère fort ! Je trouve du réconfort à droite à gauche, je prends du temps pour moi, je souffle un peu. Cette semaine je fouille dans mes basiques et je tape là où ça fait du bien. J’innoverai plus tard, tant pis… Rien de très surprenant au menu, et c’est justement ça qui me fait vibrer lors de mes pauses impromptues. C’est cool aussi une petite routine de temps à autres, non ? Envoyez-moi vos bonnes ondes, et je vous enverrai ma fougue, encore belle et bien présente, enflammée ++ malgré tout.
Ma routine porno débute avec du très lourd : Jean Val Jean lui-même, dans cette scène pour Tushy. Oubliez tout ce que vous savez des « Misérables », ici c’est lui le king. Il commande, il porte et soulève sans pression. Y’a qu’à le voir tourner sa blonde dans tous les sens comme si elle était aussi légère qu’une plume. Accrochez-vous à sa crinière dorée et laissez-le faire ce qu’il veut de vous. Perso, moi j’aurais zéro regret.
Je suis bien lancée, j’me paye le luxe d’avoir deux crushes pour le prix d’un : Kali Sudhra et Nat Portnoy dont je vous ai déjà parlé auparavant. Elles sont réunies dans « Mathilde » de Marcus Quillan (Thousand Faces), un hommage bien épicé à la nouvelle éponyme d’Anaïs Nin. Kali dans une blouse blanche, Nat en corset d’ivoire, un magnifique miroir doré : les calculs sont bons Kévin.
Valeurs sûres je vous ai dit ! Pas étonnant de voir débouler Veronika Charm dans les charts. Je me fais un double kiff ici avec cette superbe vidéo de sexe en public. Elle incarne le rôle d’une passante plutôt curieuse et dévouée au plaisir de l’inconnu exhibitionniste qu’elle croise sur son chemin. Jeu de comédien à revoir, mais prise de risque réelle.
Ma madeleine de Proust, mon plaisir ultime : un petit jeunot qui s’offre à moi, face cam’ tout simplement. Petit minois, tablettes de chocolat, mèche rebelle, bite en main et vla que je mords à l’hameçon en 2 secondes chrono. Format court, contenu basique mais j’suis déjà partie loin avec Jayko. Je me vois déjà l’arracher de sa chaise de geek pour l’emmener avec moi… Bref, je vous laisse baver sur sa chaîne PornHub si le cœur vous en dit.
Énorme crush pour Tommy que je vois de partout en ce moment, décidément ! Ses muscles sont aussi saillants que son sourire est tendre. Un réel plaisir de le voir suer vénère avec sa meuf très mims elle aussi. Du sexe simple qui sent bon le soleil et le monoï… De quoi m’achever en beauté et terminer cette routine porno oklm avec vous.
Image à la une : Kali Sudhra & Nat Portnoy
J’ai accouché d’une petite fille il y a deux mois. Tout se passe bien avec elle, mais c’est pour son papa que je me fais du souci.
Depuis plusieurs semaines, je sens qu’il déprime. Il est très pris par son boulot et voit sa fille moins qu’il le voudrait. En plus, j’ai l’impression qu’il supporte mal que j’allaite notre enfant. Il semble jaloux de la relation que j’ai avec elle et se sent mis à l’écart, car il ne peut pas la nourrir.
Je voulais savoir si le baby blues existait aussi chez les papas. Que dois-je faire pour qu’il vive mieux cette période ‘ Dois-je cesser d’allaiter pour lui laisser donner le biberon ? Je vous remercie de votre réponse car j’ai peur que ce problème fragilise notre couple.
L’arrivée d’un bébé provoque inévitablement toute une série de changements. Lorsqu’il s’agit d’un premier bébé, il faut passer d’un statut de couple à un statut de famille.
Un enfant qui vient de naître est petit en poids, mais occupe beaucoup de place ! Les pères ont souvent du mal à s’accommoder du fait de devoir, du jour au lendemain, partager les attentions de leur compagne avec cette autre personne qu’est le nouveau-né.
Et puis, il faut dire que la jeune maman est rarement très disponible pour le papa : elle a beaucoup de choses à apprendre, se sent responsable du bien-être de son enfant, et partage une proximité physique avec le nourrisson dont le père se sent exclu.
Plutôt que parler de « jalousie » à propos de cette bonne relation avec votre fille, mieux vaudrait dire que le papa se sent un peu délaissé et surtout, mis à l’écart.
Votre idée de...Lire la suite sur Union
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L’un, c’est le ventre, l’autre, le cul. Chacun est subversif à sa manière, désinvolte, cru, dissident, férocement anticlérical, obscène, critique, intense, moqueur, grandiose. Tous deux ont en commun l’orgie de mots, la débauche des sens, la démesure… et les affres de la censure.
François Rabelais et Donatien Alphonse François de Sade revendiquent haut et fort une liberté fondamentale. Non, deux : celle de penser et celle de jouir. C’est ce qui en fait, sans doute, les plus importants écrivains de langue française.
On n’apprend pas à fouetter, ni à attacher à la lecture des oeuvres de ces deux diables d’hommes. Par contre, en leur compagnie, on s’instruit avec conviction des bienfaits de la liberté. Et des mots pour la dire. Sade, aussi direct que sérieux, passera 27 ans de sa vie derrière les barreaux. Rabelais fut plus prudent, facétieux. Il utilisera tous les artifices du langage pour mieux dérouter son ami lecteur… La vie pouvait devenir courte avec les pouvoirs de l’époque qui entendaient peu à rire.
Donnons d’abord la parole au plus jeune. Autrement dit, commençons par le cul…
Elle fut mise à l’index, cachée, maudite pendant plus de cent cinquante ans. Depuis, l’oeuvre bavarde de Donatien Alphonse François de Sade est progressivement réhabilitée. L’éditeur derrière Histoire d’O, Jean-Jacques Pauvert, publie ses textes, contre vents et marées, à partir des années 1940. Une première édition de sa biographie verra le jour à la fin des années 80.
Napoléon ferait une syncope d’apprendre que Sade entrera dans la bibliothèque de la Pléiade en 1990!
J’ouvre ici la fermeture-éclair de ma curiosité. Je m’attarde plus spécialement à La philosophie dans le boudoir ou Les Instituteurs immoraux, publié en 1795. Son sous-titre est d’une clarté diaphane : Dialogues destinés à l’éducation des jeunes Demoiselles. Les sept dialogues survolent l’éducation érotique et sexuelle d’une jeune fille.
Voici l’introduction de l’auteur. Tambours!
Aux Libertins« Voluptueux de tous les âges et de tous les sexes, c’est à vous seuls que j’offre cet ouvrage : nourrissez-vous de ses principes, ils favorisent vos passions, et ces passions, dont de froids et plats moralistes vous effraient, ne sont que les moyens que la nature emploie pour faire parvenir l’homme aux vues qu’elles a sur lui ; n’écoutez que ces passions délicieuses ; leur organe est le seul qui doive vous conduire au bonheur.
« Femmes lubriques, que la voluptueuse Saint-Ange soit votre modèle ; méprisez, à son exemple, tout ce qui contrarie les lois divines du plaisir qui l’enchaînèrent toute sa vie.
« Jeunes filles trop longtemps contenues dans les liens absurdes et dangereux d’une vertu fantastique et d’une religion dégoûtante, imitez l’ardente Eugénie ; détruisez, foulez aux pieds, avec autant de rapidité qu’elle, tous les préceptes ridicules inculqués par d’imbéciles parents.
« Et vous, aimables débauchés, vous qui, depuis votre jeunesse, n’avez plus d’autres freins que vos désirs et d’autres lois que vos caprices, que le cynique Dolmancé vous serve d’exemple ; allez aussi loin que lui, si, comme lui, vous voulez parcourir toutes les routes de fleurs que la lubricité vous prépare ; convainquez-vous à son école que ce n’est qu’en étendant la sphère de vos goûts et de ses fantaisies, que ce n’est qu’en sacrifiant tout à la volupté, que le malheureux individu connu sous le nom d’homme, et jeté malgré lui sur ce triste univers, peut réussir à semer quelques roses sur les épines de la vie. »
Semer quelques roses sur les épines de la vie? Que voilà un beau programme.
Jean Paulhan : « Je lisais hier la Bible, elle n’est pas non plus sans danger. »
Fay ce que vouldrasL’autre, le plus vieux, écrit d’abord sous le pseudonyme Maitre Alcofribas Nasier, abstracteur de quinte essence. Son vrai nom? François Rabelais.
Pourquoi un pseudonyme? Au XVIe siècle, on ne coupait pas les têtes, contrairement à l’époque du marquis de Sade. Nooooon. Plutôt, on égorgeait, on empoisonnait, on étripait, on brûlait vif qui osait remettre en cause les pouvoirs et leurs dogmes. Heureusement qu’il avait de bons protecteurs, le bonhomme Alcofribas. Un poison est si vite bu…
Rabelais publie son premier roman en 1532. Le titre? Les horribles et espoventables faictz et prouesses du très renommé Pantagruel, roy des Dipsodes, filz du grand géant Gargantua. La verve est hors du commun, l’érudition, impressionnante. Il y parodie les romans de chevalerie, se moque des savoirs du temps, multiplie les bouffonneries. Deux ans plus tard, on découvre La vie très horrifique du grand Gargantua, père de Pantagruel, jadis composée par M. Alcofribas abstracteur de quintessence. Livre plein de Pantagruélisme. L’auteur se livre à un vibrant plaidoyer en faveur d’une culture humaniste.
Vous avez déjà lu de l’ancien français? Si non, attachez votre tuque, votre langue va faire un double salto arrière…
Prologue de l’auteur« BEUVEURS tres illustres, et vous, Verolez tres precieux, – car à vous, non à aultres, sont dediez mes escriptz, – Alcibiades, ou dialoge de Platon intitulé _Le Bancquet_, louant son precepteur Socrates, sans controverse prince des philosophes, entre aultres parolles le dict estre semblable es Silenes.
« Silenes estoient jadis petites boites, telles que voyons de present es bouticques des apothecaires, pinctes au dessus de figures joyeuses et frivoles, comme de harpies, satyres, oysons bridez, lievres cornuz, canes bastées, boucqs volans, cerfz limonniers et aultres telles pinctures contrefaictes à plaisir pour exciter le monde à rire (quel fut Silene, maistre du bon Bacchus); mais au dedans l’on reservoit les fines drogues comme baulme, ambre gris, amomon, musc, zivette, pierreries et aultres choses precieuses.
« Tel disoit estre Socrates, parce que, le voyans au dehors et l’estimans par l’exteriore apparence, n’en eussiez donné un coupeau d’oignon, tant laid il estoit de corps et ridicule en son maintien, le nez pointu, le reguard d’un taureau, le visaige d’un fol, simple en meurs, rustiq en vestimens, pauvre de fortune, infortuné en femmes, inepte à tous offices de la republique, tousjours riant, toujours beuvant d’autant à un chascun, tousjours se guabelant, tousjours dissimulant son divin sçavoir; mais, ouvrans ceste boyte, eussiez au dedans trouvé une celeste et impreciable drogue: entendement plus que humain, vertus merveilleuse, couraige invincible, sobresse non pareille, contentement certain, asseurance parfaicte, deprisement incroyable de tout ce pourquoy les humains tant veiglent, courent, travaillent, navigent et bataillent.
L’habit et le moyne« A quel propos, en voustre advis, tend ce prelude et coup d’essay? Par autant que vous, mes bons disciples, et quelques aultres foulz de sejour, lisans les joyeulx tiltres d’aulcuns livres de nostre invention, comme _Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Des Poys au lard cum commento_, etc., jugez trop facillement ne estre au dedans traicté que mocqueries, folateries et menteries joyeuses, veu que l’ensigne exteriore (c’est le tiltre) sans plus avant enquerir est communement receu à derision et gaudisserie.
« Mais par telle legiereté ne convient estimer les oeuvres des humains. Car vous mesmes dictes que l’habit ne faict poinct le moyne, et tel est vestu d’habit monachal, qui au dedans n’est rien moins que moyne, et tel est vestu de cappe Hespanole, qui en son couraige nullement affiert à Hespane.
« C’est pourquoy fault ouvrir le livre et soigneusement peser ce que y est deduict. Lors congnoistrez que la drogue dedans contenue est bien d’aultre valeur que ne promettoit la boite, c’est-à-dire que les matieres icy traictées ne sont tant folastres comme le titre au-dessus pretendoit.
« Et, posé le cas qu’au sens literal vous trouvez matieres assez joyeuses et bien correspondentes au nom, toutes fois pas demourer là ne fault, comme au chant de Sirenes, ains à plus hault sens interpreter ce que par adventure cuidiez dict en gayeté de cueur.
« Crochetastes vous oncques bouteilles? Caisgne! Reduisez à memoire la contenence qu’aviez.
La substantificque mouelle« Mais veistes vous oncques chien rencontrant quelque os medulare? C’est, comme dict Platon, _lib. ij de Rep_., la beste du monde plus philosophe. Si veu l’avez, vous avez peu noter de quelle devotion il le guette, de quel soing il le guarde, de quel ferveur il le tient, de quelle prudence il l’entomme , de quelle affection il le brise, et de quelle diligence il le sugce.
« Qui le induict à ce faire? Quel est l’espoir de son estude? Quel bien pretend il? « Rien plus qu’un peu de mouelle. Vray est que ce peu plus est delicieux que le beaucoup de toutes aultres, pour ce que la mouelle est aliment elabouré à perfection de nature, comme dict _Galen., iij Facu. natural_., et _xj De usu parti_.
« A l’exemple d’icelluy vous convient estre saiges, pour fleurer, sentir et estimer ces beaulx livres de haulte gresse, legiers au prochaz et hardiz à la rencontre; puis, par curieuse leçon et meditation frequente, rompre l’os et sugcer la sustantificque mouelle – c’est à dire ce que j’entends par ces symboles Pythagoricques – avecques espoir certain d’être faictz escors et preux à ladicte lecture; car en icelle bien aultre goust trouverez et doctrine plus absconce, laquelle vous revelera de très haultz sacremens et mysteres horrificques, tant en ce que concerne nostre religion que aussi l’estat politicq et vie oeconomicque.
« Croiez vous en vostre foy qu’oncques Homere, escrivent l’_Iliade_ et _Odyssée_, pensast es allegories lesquelles de luy ont calfreté Plutarche, Heraclides Ponticq, Eustatie, Phornute, et ce que d’iceulx Politian a desrobé? Si le croiez, vous n’approchez ne de pieds ne de mains à mon opinion, qui decrete icelles aussi peu avoir esté songées d’Homere que d’Ovide en ses Metamorphoses les sacremens de l’Evangile, lesquelz un Frere Lubin, vray croque lardon, s’est efforcé demonstrer, si d’adventure il rencontroit gens aussi folz que luy, et (comme dict le proverbe) couvercle digne du chaudron.
Écrire en beuvant et mangeant« Si ne le croiez, quelle cause est pourquoy autant n’en ferez de ces joyeuses et nouvelles chronicques, combien que, les dictans, n’y pensasse en plus que vous, qui par adventure beviez comme moy? Car, à la composition de ce livre seigneurial, je ne perdiz ne emploiay oncques plus, ny aultre temps que celluy qui estoit estably à prendre ma refection corporelle, sçavoir est beuvant et mangeant.
« Aussi est ce la juste heure d’escrire ces haultes matieres et sciences profundes, comme bien faire sçavoit Homere, paragon de tous philologes, et Ennie, pere des poetes latins, ainsi que tesmoigne Horace, quoy qu’un malautru ait dict que ses carmes sentoyent plus le vin que l’huille.
« Autant en dict un tirelupin de mes livres; mais bren pour luy! L’odeur du vin, ô combien plus est friant, riant, priant, plus celeste et delicieux que d’huille! Et prendray autant à gloire qu’on die de moy que plus en vin aye despendu que en huyle, que fist Demosthenes, quand de luy on disoit que plus en huyle que en vin despendoit.
« A moy n’est que honneur et gloire d’estre dict et reputé bon gaultier et bon compaignon, et en ce nom suis bien venu en toutes bonnes compaignies de Pantagruelistes.
« A Demosthenes, fut reproché par un chagrin que ses Oraisons sentoient comme la serpilliere d’un ord et sale huillier.
« Pour tant, interpretez tous mes faictz et mes dictz en la perfectissime partie; ayez en reverence le cerveau caseiforme qui vous paist de ces belles billes vezées, et, à vostre povoir, tenez moy tousjours joyeux. Or esbaudissez vous, mes amours, et guayement lisez le reste, tout à l’aise du corps, et au profit des reins!
« Mais escoutez, vietz d’azes, – que le maulubec vous trousque! – vous soubvienne de boyre à my pour la pareille, et je vous plegeray tout ares metys.«
Rabelais parle-t-il de fétichisme?Rabelais parle-t-il de fétichisme lorsqu’il écrit que l’habit ne fait poinct le moine?
La question demeure ouverte.
L’article Rabelais et Sade, libres penseurs est publié dans le site cercle O - L'échange de pouvoir érotique.
Le jeune homme, dont le corps a été brûlé à 85 % le 23 avril, est mort des suites de ses blessures en Lettonie.
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Si je fais l’amour deux fois d’affilée, je ressens une vive douleur à la seconde pénétration. Ma vulve « chauffe », si je puis dire, et ça me brûle. À cause de cela, je suis bien souvent obligée de demander à mon ami d’arrêter de me prendre, ce qui nous frustre tous les deux. Les lubrifiants et le changement de position ne solutionnent pas mon problème. Existe-t-il une technique pour éviter cet échauffement ?
Il est probable que cette sensation de brûlure soit due à une irritation mécanique de votre muqueuse vaginale lors de la première pénétration. Une lubrification insuffisante ou une contraction des muscles de l’entrée du vagin en sont les causes possibles.
Lorsque vous faites l’amour pour la seconde fois, votre muqueuse est déjà irritée et ne supporte plus le frottement des va-et-vient. C’est donc en prenant le problème en amont que vous pourrez le solutionner.
Il vous faut utiliser un lubrifiant dès la première fois et essayer de vous décontracter complètement au moment de la pénétration, au besoin en vérifiant avec vos doigts, ou avec ceux de votre ami, que l’entrée de votre vagin est ouverte et souple.
Si la douleur persiste malgré l’utilisation de lubrifiant mais également avec une mise en condition via des caresses buccogénitale par exemple, il est conseillé de consulter un.e gynécologue afin de vérifier que tout va bien et que vous ne souffrez d’aucune infection, mycose, irritations ou fissures vaginales.
Également, il est important de préciser que la pénétration n’est en rien obligatoire lors d’un rapport sexuel, il s’agit d’une pratique comme une autre et si cela vous est douloureux, ne vous forcez pas. Vous pouvez très bien en parler à votre...Lire la suite sur Union
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Je souffre de dépression. Mon ami me dit que, si je me faisais plaisir avec un vibromasseur, cela m’aiderait à ne plus penser aux choses tristes. Est-ce que l’orgasme peut me relaxer ? J’aime me faire jouir, mais j’éprouve une honte, comme un interdit. Est-il normal de se donner du plaisir assez souvent ? N’y a-t-il pas de danger ou, au contraire, cela peut-il être bénéfique de le faire aussi souvent que l’on veut ? J’espère avoir votre avis, j’ai confiance en vous.
Votre ami vous fait part d’un avis personnel car, pour lui, se donner du plaisir est un moyen efficace de ne plus penser aux choses qui lui font de la peine ou qui représentent des soucis.
En cela, son avis est donc intéressant à prendre en considération. Rien ne vous empêche d’essayer sa méthode, mais il n’est pas certain qu’elle ait le même effet sur vous que sur lui. En effet, on décèle chez vous un sentiment de honte et d’interdit associé à la masturbation, qui risque de diminuer les effets relaxants quepeut avoir le plaisir sexuel.
Il n’y a aucun danger à essayer, de mêmequ’il n’y a aucun danger à pratiquerla masturbation, avec ou sans vibromasseur. Et si vous en avez envie, il ne faut pas hésiter à vous servir de ce moyen pour vous détendre.
En revanche, il ne faut pas confondre les termes : parler de la masturbation comme d’une thérapie de la dépression est une erreur. En aucun cas, il ne peut être efficace de sortir d’un état dépressif en restant seul(e) dans son lit à se donner du plaisir solitairement.
Il y aurait un risque de retrait social et de repli sur soi. Vivre le désir avec votre ami et avoir du plaisir lors de vos...Lire la suite sur Union
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La plateforme communautaire JOYClub dédiée à la sexualité sous toutes ses formes débarque en France. À cette occasion, nous nous sommes rapprochées de la psychologue-sexologue Cathline Smoos, pour parler d'épanouissement sexuel.
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La Coalition pour les droits égaux appelle la Fédération de Russie à mettre en œuvre les recommandations formulées par le rapporteur du mécanisme de Moscou de l’OSCE, notamment en lançant une enquête « efficace, impartiale et transparente au sujet de la persécution systématique dont font l’objet les personnes LGBTI en Tchétchénie et de mettre un terme « à l’impunité de ses auteurs. »
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J’ai 20 ans, et je ne suis jamais allée chez un gynécologue. Pourtant, je sais que je dois le faire. Le problème, c’est que j’ai vraiment trop peur. Je suis morte de trouille à l’idée de me mettre nue devant quelqu’un que je ne connais pas, et surtout que cette personne voie mon sexe. Je crois que je serais incapable d’écarter les jambes, même si le gynécologue est une femme. Ça me rend malade de me faire toucher et j’ai peur de ce qu’il va me faire. Comment puis-je surmonter cette peur ?
Vous avez tout à fait le droit de penser que c’est désagréable d’aller chez le gynécologue, de se déshabiller devant un inconnu et de devoir en prime écarter les jambes en offrant votre vulve à ses regards.
Il faut quand même que vous sachiez que toutes les femmes trouvent cela désagréable, surtout la première fois. Mais, dans la vie, tout n’est pas agréable et certaines fois, il faut agir avec courage et s’obliger à faire ce qu’on n’a pas envie.
D’ailleurs, la gynécologue que vous irez voir est habituée à recevoir des jeunes filles hyper timides, qui crèvent de peur et de honte à l’idée de ce qui les attend. Dans ce cas, elle commence par les mettre à l’aise, à bavarder avec elles et souvent l’examen (s’allonger toute nue face à elle) n’a pas lieu la première fois mais lors d’une autre consultation, une fois que vous êtes rassurée et que vous vous sentez en confiance avec elle.
Surtout, n’ayez pas honte, lors de la première visite, d’expliquer tout cela : dites clairement que vous êtes inquiète et mal à l’aise et que vous avez besoin d’un temps d’adaptation. Il y a plein de façons de faire un examen gynécologique, et on peut tout à fait le faire dans les conditions les meilleures sans brusquer la pudeur de la...Lire la suite sur Union
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Je m’appelle Sonia, j’ai 24 ans. Je vous écris pour vous demander conseils. Mon copain rêvait de me sodomiser et, pour les fêtes, je lui ai offert son fantasme. J’avais longtemps refusé pour deux raisons : la peur d’avoir mal et l’hygiène douteuse de cette pratique. Ce soir-là, je me sentais prête et en confiance.
Il m’a bien excitée avant, il m’a lubrifiée, et ça s’est passé sans douleur et avec plaisir. Le problème, c’est qu’ensuite, j’ai trouvé ça dégueu. Son sexe était souillé. Mon copain était aux anges, mais moi j’étais mal à l’aise. J’ai essayé d’aller déféquer juste avant, mais sans succès. Je suis allée à la pharmacie acheter une poire à lavement. Il n’y avait pas de mode d’emploi dans la boîte. J’imagine qu’il y a des précautions d’emploi. La poire sent le plastique, dois-je la stériliser avant ? si oui comment ? Pour l’utilisation, quel produit mettre dans la poire, et quelle quantité ? Comment utiliser la poire ? Comment la nettoyer ensuite ?
Le principe d’un lavement consiste à nettoyer le rectum avec de l’eau tiède à 37°, c’est-à-dire à la température interne de votre corps. La poire à lavement sert à propulser l’eau qui va servir au lavage dans la partie terminale de l’intestin. Ce n’est pas très agréable à faire, sans pour autant être douloureux.
Il suffit d’utiliser de l’eau du robinet mais il est recommandé de la stériliser. Pour cela, vous devez la laisser bouillir avec un couvercle pendant 20 minutes puis attendre qu’elle se soit refroidie avant de vous en servir. Il est préférable, vous avez raison, de stériliser la poire avant la première opération en appliquant le même principe mais en laissant...Lire la suite sur Union
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Même s’il s’y cache une racine grecque, le mot « pornographie » est loin d’être aussi ancien que son apparence ne le laisse penser. Tiré de deux mots grecs, pronê, – prostituée –, et graphê – écriture –, le mot semble par essence lié à l’univers de l’écriture et par conséquent à celui de la littérature. Apparu en français pour la première fois en 1769 dans l’œuvre de Restif de la Bretonne, il est frappant de voir que le tabou qui plane sur le mot porno est aussi lourd lorsqu’il s’agit de contenus écrits que de contenus visuels.
Trouver son public : paradoxe du rayon érotismeLa littérature pornographique est victime d’un indéniable paradoxe à l’heure actuelle : il n’a jamais été aussi simple de se procurer un livre où s’enchaînent levrettes claquées et gorges profondes sous le bureau, mais le mot pornographie n’a jamais été aussi dissimulé. La sortie du tristement fameux 50 Shades of Grey a provoqué un tsunami de la mauvaise scène de cul littéraire, en lui offrant, au passage, la place en tête de gondole des grandes chaînes de librairies. Portez la porte d’une Fnac, vous trouverez les livres de E. L. James, de L. J. Shen ou d’Anna Todd au rayon romance. Pire, sur le site de l’enseigne, on lit à propos d’After que c’est la « nouvelle romance teenage », où on trouve le Easy de Tamara Webber dans la catégorie comme « New Adult ».
Qu’est-ce qui se cache derrière toutes ces appellations ? Ce qu’on appelle plus communément de la littérature érotique, qui s’apparente ici en réalité à une forme écrite de la pornographie mainstream, où les rapports, quand ils ne sont pas hétéros (90% du temps), sont là pour le bon plaisir des hommes, qui sont tous ténébreux, c’est-à-dire toxiques. On n’en conteste pas tant l’effet sur les slips et petites culottes des lecteur·ice·s que l’hypocrisie derrière laquelle se cachent des textes de moindre qualité, volant ainsi la lumière à des textes qui s’assument, dont la qualité littéraire est souvent plus grande, et qui mettent en scène des pratiques consenties entre des protagonistes nettement moins problématiques.
Extrait After d’Anna Todd:
« – Montre moi qu’il n’y a que moi.
Je sais exactement ce qu’il veut, ce dont il a besoin. Je tombe à genoux devant lui et j’ouvre le bouton de son jeans. La fermeture résiste un peu et, un instant, j’envisage d’arracher le tout. Mais je ne peux pas faire ça, il est trop sexy dans ce jean serré. Je passe lentement le bout de mes doigts sur le léger duvet qui mène de son nombril à la ceinture de son boxer, ce qui le fait gémir d’impatience.
– S’il te plait, ne m’allume pas. »
Pour se faire sucer, Hardin, notre héros ténébreux n’est donc pas le dernier, on notera qu’en plus monsieur donne ses consignes. Ca ne serait pas si grave si on ne trouvait pas, au sein du même tome, des propos complètement toxiques et problèmatiques. On avait oublié, les femmes, elles, sont toujours vierges dans la new romance.
« – Je ne parlais pas dans ce sens-là. Si tu avais déjà été avec quelqu’un d’autre, je ne serais pas là avec toi en ce moment.
Je rejette la tête en arrière pour le regarder.
– Excuse-moi ?
– Tu m’as très bien entendu.
Il embrasse la courbe de mon épaule.
– Ce n’est pas très gentil de me dire ça.
Je suis habituée au fait qu’Hardin me parle sans retenue, mais ces mots me surprennent. Il ne peut pas penser ce qu’il dit.
– Je n’ai jamais prétendu être gentil. »
Oh, tout va bien alors, puisqu’il n’avait pas dit qu’il était gentil ! Spoiler : non. Désolé Hardin, mais tu es juste un connard. Le fantasme de l’ingénue, super douée pour la pipe et la sodomie, mais toujours vierge, c’est bien ce qu’on retrouve dans les titres des vidéos disponibles sur les tubes. C’est en effet sans aucune difficulté qu’on trouve une chaîne appelé Defloration TV, dont le titre ne laisse que peu planer de doute quant au fait que la virginité fictive des performeuses est placée au cœur du fantasme.
Par ailleurs, en miroir à la facilité avec laquelle on peut se procurer les titres évoqués plus haut, il est frappant de voir combien il est plus complexe – voir parfois impossible – de se procurer les livres qui s’assument. Référence en la matière, les éditions de La Musardine sont un incontournable pour tout adepte de littérature du cul.
Crée en 1995 dans le 11e arrondissement de Paris, La Musardine s’est d’abord contenté d’être une librairie pour finalement mener à la création de sa propre maison d’édition. Le site en ligne permettra à tous·tes les fappeur·euse·s de trouver leur bonheur, tant la variété y est représentée. Les Onze mille Verges d’Apollinaire y croise des textes plus contemporains comme Parties communes d’Anne Vassivière, le regard féminin pornographique d’Al Bedell et son Anything for Love peut fréquenter les titres plus mainstream comme ceux de la collection « Interdits » dont les couvertures et les titres ne sont pas sans rappeler les affiches des porn traditionnels, ou même les miniatures des classiques du genre sur porn-hub. On a ici affaire au paradis du fappeur littéraire.
CHUTE LUBRIQUE de NIKI DELAUNAYQuel problème alors ? L’accès à ces livres. Fort heureusement, il est possible de combler vos désirs littéraires sur le site de l’éditeur, quelques-uns sont aussi disponibles sur les gros sites de vente en ligne – même si la variété est déjà moindre – mais lorsqu’il s’agit de trouver ces livres dans des librairies physiques, ce sera mission quasi impossible. Il vous faudra trouver une librairie spécialisée. L’équipe de la Musardine le déplore d’ailleurs, dans les Fnac et autres grandes librairies « Anna Todd se retrouve à côté d’Apollinaire, et nos livres n’ont plus beaucoup de place. »
Bien évidemment, les librairies spécialisées dans le porno et l’érotisme sont beaucoup moins nombreuses que les autres : lorsqu’on les cherche sur internet, La Musardine sort en premier, et en fouillant un peu, on trouve Les Larmes d’Eros, qui se spécialise dans les livres anciens à caractère érotico-pornographique, mais en dehors de Paris : rien. C’est vers des sex shop dotés d’un rayon littérature que l’on est redirigé. Il en va de même lorsque l’on s’intéresse aux tirages et aux chiffres de vente. L’équipe de La Musardine nous indique que ses tirages ordinaires sont à 1500 exemplaires, et dans la maison d’édition, « à partir de 5000 exemplaires, c’est un très bonne vente. » À titre de comparaison, à sa sortie, c’est 180 000 exemplaires de After qui ont été envoyés dans les librairies de toute l’hexagone. On ne peut que s’étonner alors de la différence de traitement entre les livres vendus pour être lus à une seule main, et ceux qui revendiquent la romance avant la bite.
Le signifiant et le signifié : l’hypocrisie de la littérature érotiqueLa réalité qui saute aux yeux quand il s’agit de littérature et de cul, c’est que le mot pornographie fait peur, et qu’il évoque dans l’esprit de la plupart des lecteurs quelque chose de négatif, voire de franchement péjoratif. T. me confie qu’elle « ne serait pas gênée d’aller au rayon érotisme ou d’en parler avec [s]es amis, mais pornographie ça renvoie une image péjorative de sexe brut, sans « saveur« . » L’érotisme permettrait donc de déculpabiliser la consommation de ces œuvres, permettant à l’acheteur de se cacher derrière ce que B. appelle un « euphémisme hypocrite » qui permet de lever le tabou sur sa consommation CULturelle. Une romance érotique, on peut en parler à ses potes, un roman pornographique, on évite de se vanter de sa lecture.
La discrétion c’est so 2020.Pour E., qui dit être une lectrice ponctuelle de littérature érotique, l’idée est un peu différente, mais le résultat est le même, elle me confie que l’appellation littérature pornographique lui semble « moins attirante parce qu’elle [lui] rappelle l’industrie visuelle du porno, qui a tendance à [la] laisser assez froide tant pour des raisons éthiques (machisme et objectivation du corps féminin, très peu de représentativité décente des personnes LGBTQ+, etc.) que pour des raisons esthétiques (mal monté, mal filmé, et corps normés, presque plastifiés). »
Ces deux réflexions semblent donc expliquer pourquoi le porn n’a pas sa place dans les rayonnages de la littérature : sa mauvaise réputation et la méconnaissance des nouvelles réflexions sur un porno éthique et esthétique n’épargnent pas les lecteurs. Et pourtant, en littérature comme en cinéma, il y a plusieurs porn, du plus mainstream au plus inclusif. C’est ce catalogue où « l’on trouve de tout » que revendiquent les éditions de La Musardine.
Élitisme et porno : le refus de se regarder en faceQ. me confie que la notion de « pornographie a pour [lui] un aspect vulgaire, dans le sens où il expose, alors que l’érotisme suggère », il a « l’impression que « érotique » à un côté plus « élitiste » alors que la pornographie fait plus populaire » et c’est là le cœur du problème du rayon littérature : même comme le propose du porn, il le cache, parce que la littérature est traditionnellement associée à une certaine forme de culture élitiste. Encore une fois, comme souvent lorsqu’on s’intéresse au monde des lettres, on découvre que ce présupposé est une perception biaisée de la société sur l’art. On regrettera donc que les amateurs de littérature et éditeurs non spécialisés se refusent à appeler un porn par son nom, alors qu’orgies, anal, et BDSM n’ont jamais autant noirci de pages.
À FLEUR DE CHAIR de CHLOE SAFFY – La nouveauté BDSMAlors que les ouvrages pornographiques d’un autre siècle, ceux de Jean Genet, d’Hervé Guibert, d’Apollinaire ou même de Sade ont vu le XXIe siècle les libérer de la censure, les lecteurs contemporains font les timides, et se refusent à l’assomption de la porno-graphie. Le dernier tome de la saga 50 shades s’offrait 40 000 ventes en semaine une, dont 4 000 précommandes, là où le best-seller de La Musardine, signé Esparbec, chiffre aujourd’hui à 70.000 exemplaires et fait exception en matière de nombre de ventes.
« Et, tandis que du pouce il lui écrasait le clitoris, deux doigts gantés de cuir entraient brutalement en elle, la faisant suffoquer . Par la suite, quand elle fut bien à sa main, Hugo invitait deux ou trois de ses sinistres compères de partouze à se joindre à leur équipée matinale. Elle devait galoper cul nu, seule femme parmi tous ces hommes, et eux s’amusaient, avec de grands éclats de rire, à cravacher ses fesses si distinguées pour obtenir qu’elle se laisse enculer ou qu’elle les suce. Ce à quoi elle finissait immanquablement par consentir. »
Monsieur est servi, Esparbec
Pour autant, de nos échanges avec les éditions de La Musardine ressort un certain optimisme : si la maison a pu pâtir de l’émergence de la new romance, elle reçoit, ces dernières années, un plus grand nombre de propositions, et publie davantage. La littérature pornographique, dont « le public masculin reste fondateur » se féminise – tant en termes d’auteur·rice·s que des lecteur·rice·s – se renouvelle, explorant de nouvelles formes – on notera la publication récente de Il est 14h, j’enlève ma culotte dont la forme, constituée de textes brefs, rafraîchit le genre. Tout comme dans l’industrie vidéo, le porn se réinvente donc au sein des pages de livres, oscillant entre mainstream et porno queer et féministe.
« Tout en le suçant, je me demande si la nouvelle que j’ai apprise quelques minutes plus tôt – il travaille dans une centrale nucléaire – ne devrait pas moralement et politiquement m’obliger à interrompre de suite la soirée, quand bien-même j’avais très très envie de baiser »
Zoé Vintimille 14h, j’enlève ma culotte:
J’ai 20 ans et je suis encore vierge. Je vis avec un homme que j’ai épousé il y a presque un an. Nous nous aimons très fort, et j’ai très envie de lui. Le problème est que je n’arrive pas à franchir le pas, j’ai peur d’avoir mal. Pourtant, les préliminaires sont vraiment extra. Mon mari me dit qu’il est patient et qu’il est sûr et certain qu’on y arrivera un jour. Je réponds à toutes ses demandes, mais je bloque vraiment sur la pénétration. Je voudrais lui faire une surprise et enfin franchir le pas pour nos « un an » de mariage. Merci de m’aider
Les jeunes femmes qui, comme vous, ont du mal à franchir le pas sont bien plus nombreuses que vous ne l’imaginez. Avant, quand il n’existait pas de médecins spécialisés dans les difficultés sexuelles, il pouvait arriver qu’un couple reste bloqué et ne puisse pas avoir d’enfant parce que la pénétration n’était pas possible.
Maintenant, il est beaucoup plus facile de trouver de l’aide et il ne faut pas hésiter à chercher auprès de médecins des conseils adaptés. Votre problème se résout très bien, et c’est d’autant plus aisé quand- et cela semble être le cas pourvous – le compagnon sait se montrer compréhensif et patient. Les raisons du blocage, car c’est de cela qu’il s’agit, sont liées à un manque de connaissance de son propre corps de femme, et à une crainte exagérée du rapport sexuel et de la douleur.
Ce serait vraiment dommage de laisser traîner sans agir car le temps ne suffit pas à résoudre le problème, et c’est très difficile d’y arriver toute seule.Pour consulter un sexologue, médecin spécialisé dans les problèmes...Lire la suite sur Union
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Il y a quinze jours, ma gynécologue m’a annoncé que j’avais un fibrome et que j’étais porteuse du papillomavirus. Puis, elle a ajouté que c’était une forme sans dysplasie. Je me suis renseignée sur Internet et j’ai trouvé des informations qui ne me rassurent pas trop, puisque ce virus est responsable du cancer du col de l’utérus. Il semble qu’il n’y ait aucun traitement. Je ne peux qu’attendre que ce virus disparaisse ou se transforme. Pourriez-vous également me dire comment cela s’attrape ? Est-ce que mon ami peut me l’avoir transmis ? Comment se détecte un papillomavirus chez l’homme ? Je suis très inquiète d’autant que ce virus touche rarement des femmes de mon âge.
Une chose est sûre, un virus se transmet par contamination et, dans ce cas, il s’agit bel et bien d’une contamination sexuelle. Néanmoins, vous ne pouvez pas savoir si le donneur de virus est votre ami actuel. Il est tout à fait possible que vous ayez été contaminée il y a de nombreuses années, et que le virus soit resté latent sans provoquer aucune lésion, comme c’est encore le cas.
En effet, le fibrome dépisté par votre gynécologue n’a pas de cause virale, et c’est le prélèvement systématique du col de l’utérus (appelé frottis du col) qui a révélé la présence du papillomavirus. On peut rechercher la présence du même virus au niveau du gland de votre partenaire mais, si la recherche est positive, on ne saura pas lequel de vous deux avait le virus en premier. Il n’est donc pas utile de se poser des questions auxquelles on ne peut pas apporter de réponses.
Cela créerait un climat de suspicion entre vous. Il y a quand même un aspect positif à cette « pas très bonne nouvelle » : malgré la présence du Lire la suite sur Union
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Je m’adresse à vous pour obtenir une réponse, une bonne fois pour toutes, à une question qui me turlupine. Tromper, ça commence où ? Tout le monde a une réponse mais jamais la même ! Certains me disent qu’embrasser c’est tromper, que sucer c’est tromper, d’autres même que regarder un autre ou penser à un autre, c’est tromper. Alors, où est la limite au juste ? Merci pour votre conseil.
« À l’impossible, nul n’est tenu », dit le proverbe… Autrement dit, il est impossible à Union de vous répondre. Car, à votre question, nous ne pouvons donner un avis qui puisse satisfaire chacun. En effet, la morale et les différents points de vue partagent les opinions, c’est d’ailleurs ce dont vous vous êtes rendu compte en posant la question à différentes personnes.
Rappelons avant tout que la fidélité, c’est être fidèle à ses engagements. Autrement dit, tromper, c’est ne pas respecter ses engagements. Le tout est ainsi de définir ces engagements. Dans le cas d’un couple libre, par exemple, les relations sexuelles hors couple ne sont pas considérée comme de l’infidélité (si les deux partenaires sont d’accords sur ce point).
Communément, on peut admettre que tromper son conjoint, c’est avoir une relation sexuelle avec quelqu’un d’autre, en sachant que le conjoint serait très contrarié et peiné de l’apprendre. Certes, faut-il encore préciser où commence et s’arrête une relation sexuelle. Pour simplifier, on pourrait dire qu’il s’agit d’une relation avec coït, mais seriez-vous pour autant d’accord que votre copain ou mari lèche une autre femme ? Et lui, serait-il d’accord pour que vous vous le fassiez faire par un autre que lui ?
Vous aurez besoin de définir votre...Lire la suite sur Union
Cet article Ou commence l’infidélité ? est apparu en premier sur Union.
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L’article Le seum post-vacances de père divorcé (bonus) est apparu en premier sur Histoires de Darons.
J’ai accouché il y a un peu plus de trois mois et tout s’est très bien passé. J’ai néanmoins été recousue sur environ cinq centimètres à l’entrée du vagin. Cela dit, je suis préoccupée car maintenant, lorsque j’urine et que je me contracte pour les dernières gouttes, j’ai des petites douleurs au niveau du clitoris. Autre souci : lors des rapports sexuels, j’ai mal au fond du vagin et je souffre de sécheresse vaginale. J’ai consulté la gynécologue de la maternité mais elle n’a rien trouvé d’anormal au niveau du vagin. Selon elle, je n’arrive pas à lubrifier uniquement parce que j’ai mal. Pourriez-vous me donner votre point de vue afin que je sois complètement rassurée ?
Je vous conseille de retourner voir votre gynécologue ou d’aller en consulter un autre. Il est assez fréquent que les femmes connaissent une baisse de désir sexuel juste après un accouchement. Dans la plupart des cas, cette baisse de libido s’accompagnant d’une insuffisance de lubrification, la femme ressent des douleurs ou une gêne lors des rapports sexuels.
Peut-être avez-vous mal compris ce que vous a expliqué votre gynécologue car ce n’est pas la douleur qui vous empêche de lubrifier, mais le contraire : puisque vous ne lubrifiez pas assez, vous avez mal. Vous pouvez pallier cette sécheresse en utilisant au moment du rapport sexuel des gels vendus en pharmacie à cet usage (ou bien de l’huile d’amande douce mais uniquement pour des rapports sans préservatif).
Les petites douleurs que vous ressentez au niveau du clitoris sont plus préoccupantes. Elles peuvent provenir d’une bride au niveau de la ou...Lire la suite sur Union
Cet article Douleurs génitales après l’accouchement : que faire faire ? est apparu en premier sur Union.
The post La rappeuse Sonita, qui combat les mariages forcés, remporte le Prix Liberté à Caen appeared first on Fédération GAMS.
Vous avez déjà cherché cet endroit de vos rêves, un lieu dans lequel vous trouveriez la lingerie que même vos fantasmes les plus fous n’auraient pas osé imaginer ? Un écrin de beauté au cœur de la capitale, où l’on vous apporte des conseils personnalisés pour vous sentir sexy ? Bonne nouvelle, votre rêve existe, et il […]
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Récemment, mon gynécologue m’a dit que je souffrais d’une rétroversion de l’utérus. Par timidité, je n’ai pas osé lui demander de quoi il s’agissait. Mais depuis, cela m’inquiète et je me demande ce que je dois redouter. Est-ce que c’est grave ? Que puis-je faire ? Dois-je recourir à une opération ? Merci d’avance pour vos précieux conseils.
La première remarque que j’ai envie de faire est : pourquoi n’avez-vous pas posé la question directement à votre gynécologue ? Votre médecin est tout à fait capable de comprendre que vous ne connaissiez pas le sens de tous les termes médicaux. Si vous lui demandez, soyez certaine qu’il vous expliquera ce dont il s’agit.
On appelle rétroversion de l’utérus une particularité, tout à fait banale et fréquente chez de nombreuses femmes, dans laquelle l’orientation du col de l’utérus se fait vers l’arrière et non vers l’avant. C’est une simple variante anatomique. Cela ne présente ni danger, ni désagrément. En principe, les médecins n’en parlent pas aux femmes car il n’y a aucune gêne, ni au quotidien, ni sur le plan sexuel, ni même à l’accouchement.
Tout au plus, peut-on dire que parfois la rétroversion du col de l’utérus peut avoir une incidence sur le plaisir vaginal. En effet, certaines positions sexuelles, qui appuient sur le col, seront plus ou moins agréables pour la femme en fonction de l’orientation du col. Par exemple, il n’est pas impossible que la position dite « en levrette » vous oblige à une pénétration progressive, en particulier si elle est profonde, pour éviter que l’appui brutal sur le col provoque une Lire la suite sur Union
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Je suis enceinte de six mois, et je dois vous avouer qu’avant ma grossesse, côté sexe, ce n’était pas terrible pour moi. La fréquence de nos rapports était faible. Depuis que je suis enceinte, ma libido va galopant et je n’hésite pas à pratiquer certaines choses alors qu’habituellement, je ne faisais pas cela. Maintenant, je prends mon pied, je me fais plaisir et je fais plaisir à mon mari aussi. Il faut dire qu’il est très demandeur…
Mon seul souci tourne autour des positions en cas de pénétration. Je n’ai pas pris beaucoup de poids (4 kg) mais mon ventre est bien rond. Pouvez-vous me conseiller des positions confortables pour le reste de ma grossesse car à chaque relation, c’est la crise de fou rire pour trouver la position qui ne nous gênera pas. Je compte sur vous pour m’aider à vivre le reste de ma grossesse heureuse sexuellement, et faire profiter mon époux de choses bien coquines.
Vous êtes de celles que la grossesse rend plus entreprenantes et plus actives sexuellement. Il faut en profiter sans complexes. Quand la grossesse se déroule normalement, on peut avoir des relations sexuelles jusqu’aux derniers jours, tout au plus faut-il tenir compte du ventre de la femme dans les positions amoureuses.
Les meilleures positions sont celles où la femme est au-dessus de l’homme, ou bien celles où l’homme et la femme sont allongés sur le côté, en chien de fusil, l’homme étant derrière sa partenaire. La position dite « en levrette » (la femme est à genoux et l’homme derrière elle) est possible également, mais la pénétration est plus profonde. Il est donc préférable que l’homme réfrène un peu son désir et que sa partenaire l’avertisse si le...Lire la suite sur Union
Cet article Sexe et grossesse : les meilleures positions est apparu en premier sur Union.
Nous avons choisi quatre jolis sextoys disponibles chez LoveHoney dès le 23 avril qui ne ressemblent pas à un énorme chibre nervuré ! Ce sont de véritables objets design et ultra discrets, que vous pourrez emporter partout pour vous faire un petit plaisir.
Cet article Voici des sextoys si jolis que vous aurez presque envie de les intégrer à votre déco est apparu en premier sur Madmoizelle.
Vous la voyez régulièrement dans les gifs, et d’un commun accord, la rédaction du Tag a décidé qu’il fallait absolument qu’on vous parle plus d’elle. Je me suis jetée sur l’occasion parce que, je l’avoue, j’ai un gros crush sur Daisy Taylor.
Here On NeptuneOn l’a d’abord découverte en 2018, quand, avec son mec de l’époque, elle partageait des moments intimes parfois doux, parfois plus sauvages. Je me souviens de ma première impression, un choc monstrueux. Encore stagiaire au Tag (ça date), je bossais dur avec mon deuxième café de la matinée, et on papotait avec l’équipe. Quand soudain, une vidéo dans nos messages, accompagné d’un « Matez le giga boule ! ». Et c’est là que ma consommation de porn a pris un tournant.
i feel so soooooooft pic.twitter.com/OMW3jeBfvT
— daisy taylor (@HereOnNeptune) January 9, 2021
Pour être honnête, je n’avais que rarement vu de porno représentant des personnes trans, j’étais mal à l’aise car ça me semblait trop souvent fétichisé. Je n’ai jamais trouvé mon compte dans ces contenus crus. Puis, Daisy Taylor est rentrée dans ma vie : au bout de trois minutes j’ai réalisé que la vidéo était différente, car enfin on y voyait vraiment la performeuse, et pas juste sa bite.
Daisy Taylor et Luna Love pour Tgirl Le choc de la beautéDaisy jouit d’une plastique incomparable, son physique à faire tourner toutes les têtes, elle porte la lingerie telle une déesse. Tout lui sied : on l’a d’abord rencontrée avec une chevelure luxuriante, puis ensuite, une coupe courte, qui ravit tous les adeptes de la coupe garçonne sur les femmes.
Un petit selfie qui nous ravitElle a une présence incroyable et illumine l’écran de son regard joueur et ses sourires tous plus enchanteurs les uns que les autres. Quand son corps se tord de jouissance, son visage devient un tableau de maître, comme si on nous offrait ce cadeau sur un plateau.
Daisy, fleur parmi les fleursForte de son succès en amateur, Daisy a commencé à tourner pour des studios, et on l’a récemment vue aux côtés d’Owen Gray pour une scène absolument mémorable. Elle tourne pour Gender X, Grooby Girls ou encore Trans Angels, qui se spécialisent dans le tag #trans.
Daisy Taylor et Xander Corus pour BrazzersEn avril 2021, l’annonce tombe : elle sera la première performeuse trans qui tournera pour le gigantesque Brazzers. C’est une première pour le studio, habituellement très cis-centré, mais la renommée de Daisy n’est plus à faire : elle brille partout où elle passe et le public la réclame à cors et à cris. La scène est à voir absolument, entre un strip tease vaporeux et une partie de sexe excitante à souhait…
Le porn et tout le resteDaisy n’est pas qu’une performeuse, c’est aussi une personne franchement drôle. Elle s’est essayée à Youtube quelques temps, pour des vidéos blabla et maquillage, pour parler transidentité et nous offrir des rots en vidéo !
Faisant fi de la censure du terrible Instagram, elle recrée des comptes inlassablement, voici le dernier en date :
Voir cette publication sur InstagramUne publication partagée par Daisy Taylor (@here_on_neptune_)
C’est un plaisir de voir apparaître sa bouille dans mon feed.
Je l’aime parce que c’est une fille tendre et honnête, parce qu’elle est belle sous tous les angles. Elle a modifié le paysage du porno profondément, et quelque chose me dit que ce n’est pas fini…
Image à la une : Daisy Taylor pour Devil’s Girls
En avril, ne te découvre pas d’un fil. Je me gèle le fion dans la rue en partant travailler parce que j’ai absolument tenu à sortir avec une jupette estivale et pas de pull parce qu’il y avait un rayon de soleil qui filtrait par ma fenêtre. Grossière erreur, déjà le temps est encore bien trop instable, les couloirs du métro sont particulièrement venteux en cette saison et je me suis ratée en appliquant mon autobronzant, du coup j’ai des taches orange partout. Je m’assois à mon bureau avec la ferme intention de me réchauffer. Loin de moi l’idée d’un matcha bien réconfortant, je pars sur du sale.
Ah, le sexe matinal, quel énorme plaisir. Le porno « woke up like this » c’est mon péché mignon, pas de fioriture, pas de lingerie affriolante, des corps nus et l’érection matinale en bonne place. Le couple belge Rouge Passion propose leur jolie version, de la pipe bien motivée à deux doigts du face fuck.
Ce n’est pas commun, le fantasme de la danseuse. Ici, Alyssa Bounty se dandine délicieusement sous les yeux de Toby, dans un body blanc transparent et chaussée de pointes. Si le body tombe très vite, les pointes restent. Et quel kiff de profiter d’une belle sodomie avec les chaussons en satin dans le cadre.
Je suis arrivée si proche du monde du porno en grande partie grâce à mon amour pour Cam Damage, qui est une personne inspirante et talentueuse. Four Chambers et Cam s’associent pour une vidéo qui met le sang à l’honneur : Bloodmilk. Les cordes comme signature de Cam et son mec, Ten Against, et je suis conquise.
J’aime beaucoup le contenu produit par Porn Force, c’est brutal et ça m’excite à mort. Là, on penche directement dans le BDSM pur : Valentina Nappi avance à quatre pattes, tenue en laisse par un homme qui l’amène sûrement vers une belle récompense.
Vous connaissez le Try Not To Cum challenge, vous ? J’étais passée à côté tout ce temps mais quel bonheur ! Ici, Julia Softdome se touche sur un enchaînement de vidéos, se frotte à son coussin, on la voit se tendre et c’est savoureux.
Image à la une : Alyssa Bounty et Toby
Nous avons bien noté votre enthousiasme pour les histoires érotiques ! Vous aimez en parler, en lire... mais aussi en écrire. Et comme nos lectrices sont pleines de talent, nous vous proposons le premier récit érotique du week-end made in Mad : celui de Charlie et Alexie.
Cet article « Des cookies, de l’amitié et plus si affinités » : le récit érotique qui réchauffe votre week-end est apparu en premier sur Madmoizelle.
La friendzone (traduisez par « la zone d’amitié ») est toujours présentée comme la ligne à ne pas franchir pour réussir à se mettre en couple avec la personne désirée. Etre ami-e avec la fille ou le mec qu’on veut séduire serait la pire erreur, une sorte de tue-l’amour définitif, car l’amitié et l’amour seraient deux sentiments […]
Cet article Comment trouver l’amour ? Entrez dans la “friendzone” ! est apparu en premier sur Desculottées.
Je suis mariée depuis vingt ans à un homme qui a toujours été très jaloux, surtout au début de notre mariage. Pourtant, depuis environ un an, il souhaite me voir faire l’amour avec d’autres hommes. Je lui ai demandé pourquoi, mais ma question est demeurée sans réponse.
Récemment, il a remis le sujet sur le tapis en me demandant de lire les récits du n° 22 d’Union spécial Lettres et e-mails consacrés aux maris voyeurs. Je me suis alors rendu compte que mon époux n’était pas le seul demandeur. Je lui ai répondu que je n’étais pas contre l’idée, mais qu’il me fallait encore un peu de temps pour me décider. Mais il n’a toujours pas répondu à ma question.
Sauriez-vous m’éclairer sur ce que peuvent ressentir certains hommes à regarder leur femme faire l’amour avec un autre ? Quel plaisir cela peut-il leur procurer ?
Votre mari n’est sans doute pas capable de vous dire pourquoi il a envie de vous voir faire l’amour avec d’autres hommes. C’est un fantasme qui lui est venu et dont il ne peut expliquer la provenance. Vous avez remarqué que sa libido a diminué. J’imagine qu’il a tenté de « relancer la machine » en écoutant ses fantasmes. Il a ainsi découvert que ce fantasme était plus intense que d’autres pour lui. Chercher à interpréter l’imagination érotique s’avère délicat, il faut se garder des idées toutes faites.
Toutefois, l’envie de partager sa femme avec d’autres messieurs relève à la fois de penchants homosexuels et voyeuristes. En effet, assister aux ébats d’un autre couple, quand bien même il s’agit de sa propre compagne, consiste tout de même à voir l’intimité des autres.
Et regarder sa femme avec...Lire la suite sur Union
Cet article Quel plaisir procure le voyeurisme ? est apparu en premier sur Union.
J’ai la chance de partager la vie d’une femme qui se délecte de mon nectar. C’est simple : elle adore ça ! C’est pour cette raison que nous souhaitons connaître la composition du sperme. Par ailleurs, il me semble avoir lu que le vagin se nourrissait du sperme qui y était déposé. Est-ce exact ? Pour finir, ma compagne et moi-même voudrions savoir si le sperme a des vertus thérapeutiques, notamment en ce qui concerne les maladies vaginales.
Depuis l’Antiquité, le sperme occupe une place de choix dans l’imaginaire des êtres humains. Encore de nos jours, ce fluide est considéré comme un liquide aux vertus magiques par de nombreuses personnes. Ainsi, les idées que vous exposez dans votre mail proviennent de ces représentations anciennes.
Toutefois, la réalité scientifique s’avère bien moins poétique que les croyances culturelles, et risque de vous décevoir quelque peu. L’analyse chimique du sperme met en évidence la présence de vitamines (en particulier vitamines C et B12), de sels minéraux comme le calcium, le potassium, le phosphore et le zinc, de sucres (fructose et sorbitol), de faibles quantités de testostérone et, bien sûr, d’un grand nombre de spermatozoïdes (cellules masculines de la reproduction).
Si le liquide éjaculatoire est nécessaire à l’homme comme à la femme pour concevoir des enfants, le sperme ne joue aucun autre rôle. Il ne nourrit pas le vagin et n’a aucune action thérapeutique sur les maladies vaginales. Au contraire, lorsque le sperme contient des germes, il est le vecteur principal de transmission d’IST (infections sexuellement...Lire la suite sur Union
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Quand on parle de sexualité, nous ne sommes pas toujours libre de dire nos envies. Par peur du regard des autres ou parce qu'on nous a appris que certaines choses étaient honteuses... Et il est temps que cela cesse ! Alors dites nous tout : c'est quoi, votre fantasme le plus « inavouable » ?
Cet article Vous avez des fantasmes « inavouables » ? Venez nous raconter comment vous les apprivoisez est apparu en premier sur Madmoizelle.
Bonjour, je suis une jeune femme de 24 ans. Depuis que j’ai avorté, il y a quelques semaines, je n’ai plus les mêmes sensations pendant l’amour avec mon copain. Est-ce de la peur ? Je ne sais pas vraiment… Sinon, croyez-vous que cela reviendra avec le temps ? Merci d’avance pour votre réponse.
Votre réaction actuelle est tout à fait habituelle et ne doit pas vous inquiéter. Un avortement est une épreuve, à la fois physique et morale, qui déstabilise la plupart des femmes de façon temporaire.
La différence de sensations est tout simplement due au fait que vous n’êtes pas complètement détendue lorsque vous faites l’amour avec votre copain. Par ailleurs, vous avez raison, la peur de retomber enceinte y est sûrement pour quelque chose. Il va vous falloir quelque temps, peut-être quelques semaines de plus, pour vous rassurer et oublier ce que vous venez de vivre.
Sur le plan médical, une interruption de grossesse n’a pas de conséquences gynécologiques, et il n’y a donc aucune raison que vous ne retrouviez pas les sensations que vous connaissiez auparavant. Je vous conseille toutefois, pour plus de transparence, d’en parler à votre ami et de lui demander d’être encore plus attentif et encore plus tendre avec vous.
Cela vous permettra de mieux vous détendre et de vous laisser aller plus aisément dans ses bras. Les hommes ne réalisent pas toujours ce que représente un avortement, car cela leur semble une simple procédure rapide ne demandant aucun traitement particulier, ni hospitalisation. C’est donc à vous de lui dire que vous avez besoin de lui et que vous comptez sur lui pour vous aider à retrouver le plaisir que vous aviez dans ses bras.
A LIRE AUSSI...Lire la suite sur Union
Cet article Retrouver sa sexualité après un IVG est apparu en premier sur Union.
Ce livre, diffusé notamment sur Amazon, contient
des propos extrêmes, incitant au meurtre des homosexuels, à la violence
contre les femmes et au terrorisme.
L’article Plainte contre le livre « La voie du musulman » pour propos homophobes et incitation au terrorisme est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Je voudrais faire un cunnilingus à une femme inconnue et j’ai quelques questions sur la protection contre le sida. Le film transparent conçu pour les micro-ondes est-il efficace ? Existe-t-il un autre moyen de se protéger ? S’il n’existe aucune protection pour le cunnilingus, un rinçage presque immédiat avec un produit pour bain de bouche est-il efficace ? Un autre produit serait-il plus sûr ‘? Je vous remercie d’avance de vos réponses.
Il est vrai que la question des transmissions d’infections sexuellement transmissibles au cours du sexe oral est moins évidente et nous avons tendance à oublier qu’il s’agit également d’un vecteur de contamination. Aussi, vous faites très bien de vous poser la question et d’envisager les précautions nécessaires.
On ne peut pas considérer les films pour micro-ondes comme une protection efficace contre le sida. Ce matériau semble légèrement poreux, je vous le déconseille formellement.
Il existe un préservatif féminin « Femidom », conçu sur le principe que vous avez imaginé. C’est une bonne solution. Très efficace aussi, la méthode qui consiste à découper un préservatif (n’oubliez pas de placer le côté lubrifié sur le sexe de la femme), À noter aussi qu’il existe également des digues dentaires c’est un carré de latex conçu exprès pour les cunnilingus, mais il n’est pas facile d’en trouver dans le commerce, hormis les sex-shops. Quant aux bains de bouche, ils ne sont d’aucune efficacité contre le virus du sida.
Une autre solution, bien qu’un peu...Lire la suite sur Union
Cet article Comment se protéger des IST lors d’un cunnilingus ? est apparu en premier sur Union.
Cet ensemble trois pièces (soutien-gorge, tanga, ceinture à jarretières) au style très recherché est formé de multiples sangles ajustables sur chacune de ses pièces. Les bonnets triangle et le string en tulle extensible transparent sont les seules parties (à peine) couvrantes de cette lingerie pour le moins…extravagante ! La marque Anaïs joue à fond la carte du trouble et de l’érotisme. Les doubles bretelles finissent en dos nageuse sur un large anneau doré, qu’on retrouve sur la ceinture prolongée par des quadruples jarretières qui serrent le haut des cuisses. Très échancré par-devant, le string a une jolie forme tanga qui met en valeur les rondeurs des fesses. Une fantaisie pleine de sex-appeal qu’il faudra prendre le temps pour bien l’ajuster. Mais le résultat sera au rendez-vous !
L’avis de Sonia : Une tenue pleine de provocation qui pourra être portée aussi bien dans les milieux BDSM, les milieux libertins que pour une soirée torride en tête à tête.
Ensemble sexy Wonder d’Anaïs, 99,90 €, du S au 3XL, 80% polyamide, 20% élasthanne, en vente sur http://boutique.union.fr , rubrique Lingerie sexy, sous rubrique Ensembles fantaisie
Le tout en un !Lire la suite sur UnionCet article Le shopping coquin du mois d’Avril est apparu en premier sur Union.
Comment ne pas être d’accord avec la philosophie de Womanizer : « Les orgasmes améliorent la vie » ? La marque présente le Premium Eco, la version entièrement recyclable de son best seller ! Zoom sur cette pépite, disponible dès le 22 avril chez Passage du Désir.
Cet article Le Womanizer 100% écoresponsable, le nouveau pote écolo de votre clito est apparu en premier sur Madmoizelle.
Nous avons toutes et tous grandi dans une culture de l’inceste qui impose qu’on y soit aveugle et qu’on n’en parle pas. Alors que les victimes - et donc leurs agresseurs - sont banalement répandu·es, l’inceste est considéré comme le plus grand interdit voire le plus grand tabou de notre société. Selon l’anthropologue Dorothée Dussy, cette idée reçue entraîne un déni de la réalité de ce phénomène. Plus encore, cette vision désincarnée de l’inceste manque de prendre en compte le point de vue des femmes et des enfants, et participe à la constitution de l’inceste comme « structurant de l’ordre social ».
En quoi les sphères intellectuelles, législatives et judiciaires véhiculent une perspective patriarcale et masculiniste de l’inceste, et plus largement du viol ? Comment l’inceste est représenté dans les œuvres d’art ?
Dans cette deuxième partie de leur entretien, Victoire Tuaillon et Dorothée Dussy analysent ce qu’est la culture de l’inceste. Selon la directrice de recherche du CNRS, l’inceste est à la base des rapports d’oppression, d’où titre de son ouvrage majeur sur la question : Le Berceau des dominations (éd. Pocket, 2020 ; initialement publié en 2013 aux éditions La Discussion).
RÉFÉRENCES, ŒUVRE RECOMMANDÉE PAR L'INVITÉE, RECOMMANDATIONS
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CRÉDITS
Les couilles sur la table est un podcast de Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Cet entretien a été enregistré à Marseille. Réalisation et mixage : Julie Tépé. Générique : Théo Boulenger. Générique : Théo Boulenger. Chargée de production : Camille Regache. Chargée d’édition : Naomi Titti. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.
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Son corps a été retrouvé, le 7 avril dernier, égorgé et mutilé de 14 coups de ciseau à la gorge et aux cervicales. Son agresseur, un jeune homme 27 ans, a été mis en examen pour « meurtre aggravé en raison de l’orientation sexuelle de la victime ».
L’article Viol et crime homophobe : Des rassemblements en hommage à Paula organisés à Reims et Perpignan est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
J’ai rencontré Sophie il y a neuf mois. Ni elle, ni moi n’avons eu beaucoup d’aventures avant ça. Aujourd’hui, on se pose des questions sur la façon dont elle ressent la jouissance. On aime faire l’amour, mais elle pense qu’elle ne jouit pas. Pourtant, quand je lui fais un cunnilingus ou que je la branle, elle se met à trembler très fort. Quand je la pénètre, elle mouille de plus belle et elle gémit. Nous nous demandons si elle atteint l’orgasme ou si c’est sa façon à elle de jouir. Nous attendons votre réponse avec impatience.
Personne mieux que Sophie peut savoir si elle jouit ou non. Si, à la fin d’un rapport sexuel, elle se sent frustrée, avec l’impression de ne pas être allée jusqu’au bout, c’est qu’elle n’a pas atteint l’orgasme. Si, en revanche, elle est satisfaite de ce qu’elle ressent, c’est qu’elle a joui.
Il faut comprendre que la jouissance s’exprime très différemment d’une femme à l’autre, les réactions du corps ne sont pas toujours les même. Il ne faut pas se baser sur ce qui est montré au cinéma, mais sur le plaisir que l’on éprouve. L’orgasme correspond à un effet physiologique, avec des contractions musculaires rythmiques.
Cet article Quels sont les signes de l’orgasme ? est apparu en premier sur Union.
La sensation est incroyable, je n’avais jamais joui de la sorte. Je n’avais jamais été éléctrisée aussi intensément et durablement. Je le lui dis. Il me répond que je dois apprendre à connaître mon sexe. Je suis d’accord, je ne peux pas continuer à compter sur les autres pour me donner du plaisir, je dois…
L’article Le sexe féminin, anatomie de mon sexe est apparu en premier sur NouveauxPlaisirs.fr.
Ecrivaine, sexperte, chroniqueuse sexo pour Le Monde, Maïa Mazaurette vient de publier un nouvel ouvrage aux éditions de la Martinière La vulve, la verge et le vibro. Elle a gentiment accepté de répondre à quelques questions sur le plaisir féminin :
L’orgasme féminin, un subtil mélange de sensations physiques et d’imaginaire ?L’orgasme, en général, est un phénomène qui se passe partout dans le corps, du cerveau… jusqu’au bout de la crispation des doigts de pieds. L’imaginaire permet bien sûr de soutenir cette décharge, mais on peut aussi faire sans : bien sûr que les femmes ont des orgasmes mécaniques !
Qu’est-ce qui se passe dans sa tête ou dans son corps quand une femme n’arrive pas jusqu’à l’orgasme ?Je pense qu’au-delà des troubles médicaux qui sont finalement rares, il y a un problème de technique (encore aujourd’hui, certaines femmes ne savent pas ce qu’est un clitoris ni où il se trouve, ou bien leurs partenaires refusent de pratiquer autre chose que la pénétration) doublé bien sûr d’un problème psychologique : quand on a intériorisé la honte, quand on refuse de lâcher prise, l’orgasme évidemment sera compliqué.
Une bonne connaissance de son propre corps ? C’est le secret pour parvenir au plaisir ?Evidemment, et je parle là d’une connaissance intime. Dans les livres, non seulement tout est abstrait, mais on a longtemps manqué d’une représentation de certains organes (pas seulement le clitoris, mais aussi la prostate). Il faut se réapproprier les savoirs. Donc regarder, toucher, sentir, expérimenter…
A LIRE AUSSI :
Cet article Le plaisir féminin selon Maïa Mazaurette est apparu en premier sur Union.
Je me pose des questions au sujet du bondage, pratique sexuelle qui attire beaucoup mon épouse. Sa meilleure amie est une experte. Elle se fait passer le cordage autour des seins et redescendre la corde au niveau de la vulve. Sa poitrine est toute gonflée et ses mamelons très durs. Elle se fait aussi poser des pinces avec des poids au niveau des seins. J’ai peur que le corps de ma femme ne soit abîmé par cette pratique. Est-ce dangereux pour les seins ?
Le bondage, qui fait parti des pratiques BDSM. De plus en plus pratiquée, ces pratiques nécessitent plusieurs règles de sécurité et ne doivent pas être pratiquées n’importe comment. Si vous êtes débutant, il s’agit de se renseigner afin de ne pas se mettre en danger ou risquer de blesser son/sa partenaire de jeu. Le bondage n’abîme pas le corps s’il est pratiqué en respectant quelques règles de base :
Idem pour les pinces et les poids, à condition de ne pas le faire trop souvent, sous peine de déformer seins et mamelons. D’ailleurs, si vous faîtes vraiment référence à la meilleure amie de votre épouse et non à une femme issue de vos fantasmes, pourquoi ne...Lire la suite sur Union
Cet article Le bondage abime-t-il le corps ? est apparu en premier sur Union.
Le libertinage désigne moins une pratique précise qu’un mode de pensée et de vie reposant sur une liberté dans les rapports charnels. Un libertin est une personne s’adonnant à des pratiques libérées dépassant les limites de la morale conventionnelle. Le libertinage, généralement pratiqué en groupe, entend ainsi remettre en question certains principes jugés puritains des sociétés occidentales. Tour d’horizon sur le libertinage et les manières de bien débuter.
Vous avez dit libertinage ?À ses origines, le libertin est un libre penseur qui dépasse les limites des normes par sa passion pour les plaisirs sexuels. Les auteurs du 18e siècle comme le marquis de Sade ou Laclos ont grandement participé à la popularisation du libertinage.
Aujourd’hui, le libertinage a perdu de sa dimension militante, mais il conserve sa dimension philosophique. Véritable état d’esprit, il ne s’agit pas de faire du sexe pour faire du sexe, mais d’écouter son corps et ses désirs ainsi que ceux de ces partenaires. Loin de la dépravation que l’on retrouve dans les écrits de Sade, le libertinage contemporain met l’accent avant tout sur la recherche du plaisir, sur le sens de la responsabilité, sur le respect des limites de chacun, sur la séduction et sur le savoir vire. Également, le libertinage répond à des codes précis qu’il convient de connaître avant de se lancer.
Le libertinage connaît en France une véritable démocratisation dans les mœurs sexuelles. Les Français seraient de plus en plus nombreux à s’adonner aux pratiques libertines, notamment les pratiques échangistes. En 2020, l’échangisme concernerait 5% des Français contre 2,4% en 1992. Une proportion qui ne cesse de croître avec le temps et avec l’avènement de la nouvelle technologie : de plus en plus de rencontres libertines se font sur un site libertin.
Ce mode de vie et ces pratiques...Lire la suite sur Union
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Nous vous parlions de l’orgasme féminin et de Lilou qui prenait du plaisir rien qu’avec ses seins. On vous dévoile la suite !
Zara : Son copain, l’ami de son copain et sa meilleure amieZara est l’une de nos plus fidèles lectrices. À plusieurs reprises, elle nous a adressé les récits de ses expériences sexuelles et elle a participé à la rubrique L’interview sans tabou. Passionnée d’écriture, elle attend aujourd’hui la publication de son premier recueil de nouvelles érotiques, mais en attendant, elle a tout de suite accepté de nous parler de l’un de ses orgasmes qui lui laisse un souvenir impérissable.
L’histoire remonte à quelques années. Zara venait juste de rencontrer son nouvel amant, Hamid. Une vendredi soir, ils se retrouvent, elle et sa meilleure amie Leila, lui avec l’un de ses copains, Steven, pour un apéritif qui va vite dégénérer. Plusieurs verres de vodka, plaisanteries, allusions coquines… l’ambiance devient de plus en plus chaude :
« Au bout d’un moment, je pense que nous avions très bien compris, tous les quatre, comment la soirée allait dégénérer. Pour Hamid et moi, plus rien ne pouvait nous retenir. On s’embrassait, on se caressait, mes vêtements ont volé dans la pièce. Je me suis rapidement retrouvée à poil. Tout y est passé ! Je suçais mon copain, il me lèchait. Il me baisait par tous les trous sur la table. Bientôt, l’autre couple nous a rejoint et s’est installé pour baiser sur le canapé. C’était la...Lire la suite sur Union Cet article Leur plus bel orgasme (2) : Plan à 3 et plaisirs solitaires est apparu en premier sur Union.
A 52 ans et mariée depuis presque trente et un ans, j’évolue depuis toujours dans un univers catholique très strict. Je n’ai connu qu’un seul homme : mon époux. Aujourd’hui, cette situation peut paraitre quasiment incroyable. De nos jours, les femmes connaissent généralement plusieurs hommes avant de se marier. Moi, c’est tout récemment que j’ai franchi le pas avec un collègue de travail. Ce n’est pas par manque d’amour que je trompe mon mari, mais parce que j’ai voulu comparer pour ne pas mourir idiote. Et je vous assure que j’ai bien fait d’aller voir ailleurs. Mon amant m’a appris à aimer mon corps et à le découvrir. C’est tout simplement merveilleux. Avec mon mari, c’est la quantité qui importe, (au minimum 4 fois par semaine). Pendant trente ans, je n’ai jamais rien ressenti d’agréable durant nos rapports. Cela ne sert à rien de lui dire puisque je ne compte pas divorcer. Mon amant n’est pas libre lui non plus. Parfois, j’ai honte d’être infidèle mais c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour m’épanouir sexuellement. Qu’en pensez-vous ?
J’aime mon mari, mais je le trompe. Qu’en pensez-vous ? Notre sexologue répond :Le rôle de cette rubrique n’est pas d’émettre un avis moral sur des décisions personnelles. En l’occurrence, il n’est pas question d’affirmer que prendre un amant est un choix justifié ou non. Cependant, vous avez découvert avec cet homme un épanouissement sexuel...Lire la suite sur Union
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Ah, l’orgasme féminin ! Voilà un sujet qui fait couler beaucoup d’encre. Malgré cela, en 2021, nous ne sommes guère plus avancés, il reste un grand mystère. Il y a celles et ceux (sexologues, spécialistes…), qui pensent que l’orgasme est exclusivement clitoridien.
Puis, il y a les autres qui pensent qu’une femme peut éprouver une multitude d’orgasmes à partir de différents organes : vagin,clitoris, point G, périnée, urètre, anus… Notre propos, aujourd’hui, n’est pas de trancher dans ce débat. Mais simplement d’offrir la parole à 5 femmes désireuses de nous parler de l’une de leurs plus belles envolées vers le septième ciel.
Selon les études et sondages, les résultats divergent. Seulement 20 à 30 % des rapports sexuels déboucheraient sur un orgasme féminin. Elles sont seulement 10 % à avoir éprouver un orgasme lors d’un premier rapport sexuel avec un nouveau partenaire. 17 % lors du second rapport.
Une femme sur trois n’a pas eu d’orgasme lors de son dernier rapport sexuel. 35 % des femmes n’éprouvent aucune difficulté à jouir alors qu’elles sont 7 % à avoir du mal à connaître le grand frisson....Lire la suite sur Union
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Dans ma tête, tourne en boucle l’idée qu’un homme accusé de viols est ministre de l’Intérieur.
Dans ma tête, tourne en boucle Goldnadel relativisant en plateau télé le viol d’un ado de 13 ans en disant que ce n’est pas la sodomie d’un enfant de 3.
J’entends les journalistes, certaines féministes, parler de « libération de la parole » et j’ai l’impression de devenir cette mamie ronchon, que les petits-enfants ne veulent plus visiter, parce qu’elle trouvera les bonbons (150 euros le kilo au meilleur pâtissier du coin) un peu aigres. Je n’arrive pas à me réjouir parce que j’ai l’impression que cette libération de la parole n’est pas accompagnée, pas aidée, pas soutenue, qu’elle génère beaucoup d’attente et qu’on se retrouve seul-es après avoir parlé, toujours seul-es avec en plus la certitude qu’on s’en fout.
Dans ma tête, celles et ceux qui nous accusent de puritanisme devraient a minima admettre, s’ils ne veulent pas parler de viol, que Darmanin a reconnu avoir échangé avec des femmes précaires, en grande fragilité psychologique et matérielle, de l’aide contre du sexe. Et dans ma tête, il n’y a aucun monde où c’est ok de faire cela y compris chez les grands bourgeois qui se parent de toutes les vertus tout en troussant les domestiques.
Dans ma tête, on a tous et toutes balancé nos tripes et nos traumas sur la table en espérant grapiller trois miettes d’aide psychologique, un fond de budget sorti tout droit de mon cul. Le privé est politique, certes, mais crevait-on d’envie d’écrire sur un réseau social public qu’on s’est faite fourrer la bouche, le vagin et l’anus en espérant susciter un peu de réaction politique en face.
Oh on ne l’a pas dit comme cela, on a mis des périphrases et des mots proprets. On n’a pas détaillé, parce que le viol salit les victimes, le récit du viol salit les victimes.
Ma mère a mis 28 ans à admettre que j’avais bien été violée et que je n’avais pas menti. Cela a été bref « ah ok je pensais que tu avais menti. Eh ben désolée ». Cela ne m’a pas fait le bien que j’espérais, c’était un peu tard, un peu léger mais quand même ça sert. Sans comparer ma mère au collectif, c’est nécessaire d’avoir une réponse collective forte face aux témoignages de victimes. Pas de l’ordre « et alors on va tous les foutre en taule et perdre la clé » mais « et on va se demander pourquoi cela arrive autant et comment faire pour que cela arrive de moins en moins ».
La libération de la parole a réussi à être instrumentalisée ; maintenant que vous avez parlé, peut-être pourrait-on passer à autre chose non ? Qu’est-ce que vous voulez EN PLUS ?
Dane ma tête, tourne en boucle l’idée que Macron a fait pression pour que soit nommé Darmanin, parce qu’il lui faut taper dans la droite la plus traditionnelle pour espérer gagner 2022, ca serait compliqué de compter une nouvelle fois sur la peur du FN. Eh ma foi qu’il ait violé ou non, abusé ou non, exagéré ou non, n’a sans doute pas compte une seule seconde. J’aimerais espérer qu’ils se soient posés la question, moi qui ai tant cru que nous féministes étions suffisamment fortes désormais pour que notre opinion compte. J’imagine les réunions qu’il y a eues, la communication à prévoir pour anticiper… rien. Il n’y a rien eu. A part quelques féministes qui gueulent inlassablement sur les réseaux sociaux, qu’un violeur est à la tête d’un ministère et que si tu ne veux pas appeler cela viol appelle le « belle saloperie qu’il a reconnue et qui est un peu plus grave que bouffer du homard au frais du contribuable ». Les français dans leur ensemble se contrefoutent du symbole Darmanin ; belle manière de chier sur l’ensemble des victimes de viol.
J’ai une infinie dépression qui se traine et se dandine, à savoir qu’on ne parlera jamais du viol que pour faire expulser des doubles-natio, promettre 250 ans de prison aux pédos bref à mener une politique raciste et carcérale qui n’a jamais rien résolu mais qui arrange le péquin qui s’est créé un frisson à la colonne vertébrale en lisant les sodomies de Matzneff.
Je me souviens il y a presque 20 ans le procès Dutroux. J’étais mal, si mal à cette époque là que j’avais tout lu, tout regardé y compris les rapports d’autopsie des gamines. Je baignais en plein complotisme parce qu’il était plus simple d’imaginer des notables protégeant Dutroux qu’une simple incompétence, une simple flemme, une simple guéguerre flics/gendarmes qui mènent à la mort d’enfants. Si c’était juste cela, alors il n’y avait plus qu’à tout arrêter parce que je ne voulais pas vivre dans ce monde là. On était sur le forum des chiennes de garde à cette époque, à déjà parler de nos viols et déjà on nous expliquait que face à l’affaire Dutroux, ce qui nous était arrivé n’était pas si grave.
20 ans après c’est le même cinéma rien ne change. On ne nie plus la parole des victimes, Goldnadel explique à la télé, sans être immédiatement foutu dehors à coups de pied au cul, que ce n’est pas comparable à la sodomie d’un enfant de 3 ans.
La grande évolution est là finalement, peut-être encore plus cruelle que ce que j’avais envisagé ; nous croire mais nous dire qu’on s’en fout. Nous croire mais nous dire qu’il n’y a pas mort d’homme ou sodomie de môme. Nous croire et que rien ne change.
A la fin il ne restera que les monstres, les Dutroux et Fourniret. Ceux qui ont torturé, violé, brisé en morceaux et qui seront toujours ceux qu’on convoquera pour mieux excuser les autres, tous les autres.
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JP nous raconte comment il a vécu en tant que père cette déchirure pour le futur papa qu’il était, et comment ils ont également géré ce deuil en tant que couple.
Comment, même s’il n’a pas vécu cette IMG dans son corps et dans sa chair comme sa compagne, il a dû se reconstruire émotionnellement. D’ailleurs, vous l’entendrez, cette émotion palpable dans sa voix, alors que cette histoire date d’il y a plusieurs années. Mais comme il le dit lui-même, c’est la première fois qu’il en parlait à quelqu’un. Un immense merci à lui pour cette confiance offerte.
On parle également de la grossesse et l’appréhension, forcément, qui va amener à la naissance de leur premier fils, puis de l’arrivée de leur deuxième fiston. Dans la deuxième partie de l’épisode, JP retrouve de la joie et le sourire dans sa voix, et ça fait plaisir.
Encore merci à lui, on parle trop peu de la façon dont les futurs pères vivent ces drames de la vie.
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Après le test du Satisfyer Men non vibrant, et le test du Satisfyer Men Vibration, voici le test de la nouvelle version vibrante ET chauffante. Qui n’a jamais rêvé d’un sextoy qui chauffe et d’un masturbateur qui rappelle la douce chaleur d’un vagin ? Satisfyer essaye de s’en rapprocher avec ce masturbateur chauffant. Voyons ensemble…
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Ils sont connus sur la toile et surtout sur les sites d’exhibition sous le pseudonyme de Gourmandise26. Originaire de la région Rhône-Alpes, cela fait maintenant une dizaine d’années que ce couple, également lecteur d’Union, a trouvé un agréable moyen de pimenter sa libido : faire des photos coquines dans des lieux publics. V. et O., libertins, ne cessent de chercher de nouveaux jeux et de nouvelles situations pour varier les plaisirs. Mais aussi de nouveaux défis…
Pour eux, l’exhibition et les séances de flashing (photos coquines dans un lieu public) font partie (presque) de leur quotidien. Chaque situation de leur vie de tous les jours peut rapidement devenir un nouveau terrain de jeu. Entre eux, la complicité est totale. Pour V., il y a une recherche permanente de surprendre son mari, quant à O., il adore la pousser à s’exhiber à tous moments et dans les situations les plus osées. Pour O., le plaisir est toujours présent :
« La montée d’adrénaline à ce moment-là est vraiment très importante. Mais ce mini stress se transforme vite en forte excitation. »
Il y a une dizaine d’années, donc, le couple se lance dans la photo coquine. Très vite, ils se rendent compte que l’extérieur offre beaucoup plus de diversité, d’ambiance et de décors différents. :
« Pour nos débuts, nous avions choisi un parc assez fréquenté. Nous nous y sommes rendus durant la pause de midi. J’étais habillée très sexy, jupe courte, bas et talons. J’étais assise sur une table de pique-nique et nous pensions être à l’abri des regards quand je me suis rendu compte qu’un homme nous regardait, il était à quelques mètres...Lire la suite sur Union Cet article Témoignage : Nos premières photos coquines en public est apparu en premier sur Union.
« Bonjour docteur. Mon petit copain ne m’offre plus que des sex-toys. J’ai finalement cru comprendre qu’il aimerait que j’en teste certains sur lui, malgré tout, dans les allusions que je lui fais, il ne répond jamais clairement. Comment être sûre de ses intentions avec ces cadeaux qui finissent par être suspects ? »
Mon mec ne m’offre que des sextoys, pourquoi ? Notre sexologue répond :Je ne vois qu’un seul moyen de savoir vraiment ce qu’il cherche en vous faisant de tels cadeaux, c’est de le lui demander !
Comme quoi le sujet du sexe n’est pas un sujet comme les autres. On n’hésite jamais à demander à un amoureux quels sont ses goûts en matière de sport, de loisirs, de cuisine, de musique, de cinéma, de lectures ou tout autre chose. Mais dès qu’il s’agit de sexualité, on ne sait plus poser de questions. Rassurez-vous, vous n’êtes pas la seule dans ce cas-là, c’est monnaie courante.
Et pourtant ce serait tellement plus simple. C’est quand même un peu inhabituel d’avoir un copain qui n’offre que des sex-toys et vous êtes tout à fait en droit de lui en faire la remarque. Sans doute avez-vous raison de penser que ses réponses évasives trahissent une envie qu’il n’ose pas formuler. Mais au lieu de vous perdre en conjectures, peut-être faut-il être plus directe et soit lui poser franchement la question, soit passer à l’action si vous...Lire la suite sur Union
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La Ligue de Football Professionnel, déjà mise en demeure à deux reprises pour son inertie à sanctionner les faits d’homophobie, courants et décomplexés dans les stades, prépare un clip pour lutter contre la haine anti-LGBT dans le milieu du football. Le tournage a été annoncé pour ce samedi 24 avril, à Poissy. La mairie a …
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Pour démocratiser une éducation sexuelle bienveillante envers les personnes à vulve, Iris et Judith ont lancé la Clitothèque. Une plateforme collaborative de ressources de qualité !
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Pourriez-vous me dire quels sont les symptômes caractéristiques d’une infection par le virus du sida ? On m’a dit que le système immunitaire devenait plus faible, qu’on tombait malade tout le temps. Est-ce vrai ?
L’acronyme « SIDA » signifie « syndrome d’immunodéficience acquise ». Le VIH altère le système immunitaire. Devenu inopérant, ce dernier ne parvient plus à lutter contre les infections. Il arrive, dans certains cas, que la contamination se manifeste par des symptômes proches de ceux d’une grippe : fièvre, diarrhée, ganglions… On parle alors de « primo-infection symptomatique ».
Les anticorps anti-VIH se développent et deviennent détectables : c’est la séro-conversion. Si vous manifestez de tels symptômes après un rapport avec prise de risques, n’hésitez pas à en parler à votre médecin et à vous faire dépister. Ces symptômes sont loin d’être spécifiques à la contamination par le VIH.
Livecam Union
Ce qu’il faut savoir...Lire la suite sur UnionCet article Sexo : Quels sont les symptômes d’une infection par le VIH ? est apparu en premier sur Union.
Le « hoodie » est un sweat à capuche. Autant homewear que streetwear, il peut se porter partout. Confortable, pratique et inclusif, le hoodie est notre habit sûr. Mais il est aussi empli d’histoires et de promesses. Quand je l’enfile sans rien dessous, souvenirs et fantasmes surgissent aussitôt !
Casual, romantique, rebelle et… sexyDepuis les années 30, le hoodie revient régulièrement à la mode, twisté selon le lifestyle du moment. D’abord, lancé par la marque sportswear Champion, il fut porté par les ouvriers new-yorkais comme habit casual : occasionnel et réconfortant. Puis, dans les années 50, il conquiert les campus américains et devient le symbole romantique de l’habit prêté par le jeune sportif à sa girlfriend. Cet usage reste très prégnant aujourd’hui et se retrouve dans certaines vidéos pornos ou dans des clips pop rock…
À la fin des années 70, le hoodie est adopté par la culture hip hop : rappeurs, MC, skateurs et graffeurs le portent streetwear : depuis, la capuche est souvent associée à une manière de masquer son visage… Dans les années 90, son aura rebelle devient plus péjorative et acquiert des accents anti-sociaux… Sauf lorsqu’il est produit par des marques de luxe.
Ce n’est qu’à partir des années 2010, et surtout depuis les confinements de 2020, que sa réputation s’améliore grandement. Majoritairement porté avec des pantalons, le hoodie devient finalement tendance avec des shorts ! Parmi les principales influenceuses ayant contribué à cette nouvelle image sexy du sweat à capuche, on retrouve la tiktokeuse Bella Poarch. Tantôt porté court pour mieux montrer le short, tantôt porté long pour donner l’impression d’être nu·e dessous, le sweat à capuche des années 2020 s’annonce plus érotique que politique.
Je mets un hoodie sexy pour séduire et pouvoir me déshabiller rapidement. J’en enfile un large et confortable pour sortir du lit tranquillement… Le hoodie me facilite la vie ! Dans les vidéos pornos, on retrouve deux tendances : le sweat à capuche avec pantalon pour l’exhib à l’extérieur et le hoodie sans dessous pour le sexe en homewear. Le combo hoodie + string ou culotte, autant que le hoodie bottomless, apparaît dans un nombre impressionnant de vidéos de baise et de fellations filmées. Bien avant la généralisation du télétravail par les confinements.
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Parmi les plus célèbres ambassadrices du sweat à capuche, il y a Mia Khalifa, dans un solo en hoodie gris. Revoilà Mia K, cette fois sur Instagram, en petit hoodie rouge soyeux pour noël dernier. Or, ce hoodie (mode petit chaperon sexy) ressemble un peu à celui de Pépite. Sauf que la performeuse française n’a rien en-dessous : plus pratique pour de délicieux cunnis !
PepiteCrapule – Un drôle de chaperon rougeLa capuche du hoodie tient chaud aux oreilles et entoure le visage. Cette particularité accentue le contraste du regard et de la bouche. Un régal pour les fellations filmées en POV du receveur. La pipe en hoodie, c’est cozy et sexy ! Garder la capuche est aussi une preuve d’intimité et de proximité. Pas besoin de montrer ses cheveux pour séduire ! J’ai choisi 3 superbes fellations pour l’illustrer : PixieRixie suçant au soleil, Samantha Flair et ses fameux yeux verts, Bella Bluee pour une faciale d’anthologie.
Le hoodie reste incontournable lors des petites sorties coquines. Il permet de ne pas attraper froid en haut tout en sexant par le bas ! L’exhib est plus discrète et moins risquée avec un sweat à capuche ! Surtout lorsque la tendance est au hoodie-short… Maryvincxxx (photo à la Une) nous raconte, avec gourmandise et entrain, son pique-nique crapuleux. Puis l’image vient illustrer ses propos. Un régal. Pour finir, je vous laisse en compagnie de devoutdevour, pour un combo d’exhib hoodie-sans-dessous (elle) et kilt+tshirt (lui). Indépassable.
Pour moi, le hoodie est devenu indispensable après un bon bain. Ou une douche. Ou flemme de s’habiller. Ou sortir vite fait. Ou pour s’exhiber.
Bref, à chaque humeur, son hoodie. Mais cet habit ultime multiplie aussi les styles et les souvenirs. Il a le parfum de mon crush et les traces de mes ébats ! Le hoodie est notre nid nomade, notre mood en parure et notre appeau à câlins.
Image en une : alberta–couple sur Pornhub.
Maïa Mazaurette, c’est la chroniqueuse spécialiste en sexualité que tous les médias s’arrachent ! Passée chez France Inter, au Quotidien et au Monde, elle revient en ce début d’année 2021 avec « La Vulve, la Verge et le Vibro », un dictionnaire des mots du sexe paru le 28 janvier 2021 aux éditions La Martinière. L’exercice du dictionnaire, une facilité éditoriale ? Pas pour Maïa qui se sert de notre vocabulaire pour bousculer nos idées reçues et apporter son éclairage avec intelligence et pertinence.
Voici, nos trois mots préférés, mais les 130 valent le coup d’œil (en particulier accompagnés des jolies illustrations d’Alex Vougeas).
“Allumeuse”, un mythe masculin ?L’allumeuse est un mythe aussi célèbre qu’ancien. C’est Eve et sa pomme, dont la sournoiserie s’incarne en un serpent aux desseins diaboliques. Mais Maïa le rappelle : « Notre cruelle allumeuse en dit cependant plus long sur le désir des hommes que sur la sournoiserie des femmes : ce choix sémantique implique une libido masculine littéralement inflammable. » Parler “d’allumeuse”, c’est avant tout parler d’un désir masculin incontrôlable et d’une responsabilité féminine très douteuse.
Un mot à bannir de notre vocabulaire dans les prochaines années, peut-être ?
Cet article Le dico coquin de Maïa Mazaurette est apparu en premier sur Union.
« Si tu me suis… » est un livre de la collection Sub Rosa d’Alopex Editions, qui regroupe 12 nouvelles érotiques, écrites par 12 auteurs et autrices qui ont écrit sous pseudo. L’érotisme reprend tout son sens dans cet ouvrage, où chaque récit est subtilement excitant mêlant imagination sexuelle, récits fantaisie, recherche d’esthétique littéraire et […]
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De l’anglais fist (le poing) et fucking (baiser), cette pratique consiste à pénétrer plusieurs doigts ou la main entière dans le vagin ou l’anus. Si pendant longtemps, cet acte sexuel était plutôt réservé au monde gay ou à l’univers BDSM, on se rend compte qu’aujourd’hui, de plus en plus de couples s’y intéressent. Couples hétéros, couples lesbiens, couples gays… Toutes celles et ceux qui le pratique parlent souvent de jouissance hors-normes, de plénitude, d’extase et d’expérience émotionnelle incroyable.
Attention ! Comme le précise Erik Rémès dans son ouvrage Osez le fist-fucking, il s’agit d’une pratique à risques qui demande d’être réalisée avec toutes les mesures de sécurité : lubrification abondante, dilatation douce et progressive, ongles courts et limés, utilisation de gants… car, sans ces précautions, il pourrait aboutir à des blessures du vagin (ou de l’anus) : « Le fist demande du temps, ce n’est pas un plan rapide, mais ritualisé et long. »
Si tout est bien respecté, alors Ovidie parle : « D’une lente et douce exploration de toutes les zones sensibles du vagin comme le point G. ».
À partir de là, nombreux sont à écrire ou à témoigner que les orgasmes et les plaisirs provoqués par le fisting sont parmi les plus intenses que l’on puisse connaître. Ils parlent de fusion amoureuse, d’océan de plaisir, d’un ressenti profond qui englobe tout, parfois d’orgasmes spirituels. Mais c’est aussi et surtout un jeu entre deux personnes, un acte de communion, de communication, de confiance totale, de connaissance. Et, comme le précise Erik Rémès : « Pour bien pratiquer cette sexualité, il faut aimer...Lire la suite sur Union Cet article Zoom sur : le Fist-fucking est apparu en premier sur Union.
Pour certains, le baiser reste un acte assez sage, voire chaste. Pourtant, s’embrasser est tout un art. Pour preuve, le Kama-sutra lui consacre un chapitre entier ! Tout commence par un baiser, qui révèle l’attirance que l’on porte à l’autre, et surtout, qui présage un possible rapport sexuel. Si l’on pose la question autour de soi : “Qu’est-ce qu’un bon baiser ?”, la réponse sera souvent : “un baiser qui me donne envie de faire l’amour”. Le contact des lèvres de l’autre est nécessaire à la plupart des individus pour éveiller leur excitation sexuelle, et joue un rôle majeur dans les préliminaires érotiques.
Même s’il n’existe pas d’inventaire officiel des différentes sortes de baisers, puisque chacun est libre de le pratiquer à sa manière, deux grands classiques ont été répertoriés : avec ou sans la langue. En la matière, tout est question de goût. Certains préféreront effleurer les lèvres de leur partenaire, les suçoter ou les mordiller. D’autres choisiront le french kiss, terme un peu désuet désignant un baiser plus profond qui consiste à introduire la langue dans la bouche de l’autre pour une rencontre humide. S’il y avait un secret, ce serait de ne pas se presser. Plus les mouvements seront langoureux, plus le baiser s’avérera agréable. Cependant, il n’existe pas de règles, ni de standards. Un baiser réussi se mesure à l’alchimie entre les deux intéressés, quelle que soit la technique employée. D’autre part, est-il utile de préciser qu’un baiser agréable passe aussi et surtout par une haleine fraîche et une hygiène bucco-dentaire irréprochable ? En cas de doute, le chewing-gum reste votre meilleur allié pour ne pas faire tourner court un baiser langoureux.
Cet article Les secrets du baiser est apparu en premier sur Union.
Elle devra notamment verser à l’État 6.000 € d’amende pour des actes de diffamation, de tentative de chantage et contrefaçon de droit d’auteur, ainsi que 7.900 € d’indemnités au photographe Olivier Ciappa, 2.000 € à STOP Homophobie et 2000 € à Mousse.
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En France, 5 à 10% des enfants sont victimes d’inceste. Et dans 96% des cas, les incesteurs sont des hommes. Le véritable interdit de l’inceste, dans notre société, ce n’est pas de le commettre : ça arrive partout, tout le temps, dans tous les milieux. Ce qui est interdit, c’est d’en parler.
L’inceste est banal et courant. Mais chaque cas d’inceste médiatisé est traité comme s’il s’agissait d’un fait isolé. Or, comme le démontre l’anthropologue Dorothée Dussy, l’inceste est en réalité un structurant de l’ordre social, le premier apprentissage de la domination.
Directrice de recherche au CNRS, Dorothée Dussy a enquêté durant des années sur le phénomène de l’inceste, comme bénévole dans des associations de victimes, puis en s’entretenant avec des dizaines d’incesteurs condamnés par la justice. Elle en a tiré un livre exceptionnel, dans lequel elle analyse de façon totalement nouvelle l’inceste et ses liens avec le patriarcat : Le berceau des dominations. Introuvable pendant des années, il vient enfin d’être réédité, aux éditions Pocket.
Au micro de Victoire Tuaillon, Dorothée Dussy raconte comment s’est déroulé son enquête et ce qu’elle y a appris : comment expliquer le fait que l’écrasante majorité des personnes qui commettent un inceste soient des hommes ? L’inceste n’est-il qu’une question de désir sexuel pour les enfants ? Quels sont les mythes que l’on associe couramment à l’inceste ? Pourquoi lorsque les faits sont révélés, les familles préfèrent toujours exclure les incesté·es que les incesteurs ? Comment sortir du système de silence dans lequel tout le monde est empêtré ?
CHIFFRES, ÉTUDES, CITATIONS & RÉFÉRENCES CITÉ·ES DANS L'ÉPISODE
Retrouvez toutes les études et références citées dans l'épisode sur https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/qui-sont-les-incesteurs
CRÉDITS
Les couilles sur la table est un podcast de Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Cet entretien a été enregistré à Marseille. Réalisation et mixage : Julie Tépé. Générique : Théo Boulenger. Générique : Théo Boulenger. Chargée de production : Camille Regache. Chargée d’édition : Naomi Titti. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.
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Alors comment ça va vous ? Écoutez, moi ça va pas si mal. Je travaille beaucoup. Mais je peaufine aussi pour vous ma playlist du cul en prévision de mes prochains dates en terrasses, qui pourraient éventuellement aboutir à de magnifiques nuits torrides. Nuits à sexer sur du Doja Cat et du TripleGo. Vous connaissez déjà l’état de ma libido, et Dieu sait que j’essaye d’apaiser tout ça du mieux que je peux. Ça nude à droite à gauche, ça fait des siestes crapuleuses, ça fait du sale au beau milieu de la night. Mais surtout, ça regarde du bon porno, et je sais que vous aimez ça vous aussi.
Un petit retour aux sources s’impose avec un bon Four Chambers des familles. Je vous propose « Pitch » avec l’incroyable Ingrid – qui je vous l’avoue, m’a fait craquer complet – mais aussi la célèbre Chelsea Poe. Une bande-son aussi incisive qu’un canif affûté, des fluides non identifiables étalés sur de très beaux corps, et un jeu de domination aux dynamiques de pouvoir assumées.
Je sais pas vous, mais je regarde trop peu de porno gay, et j’ai bien l’intention que ça change. De quoi vous mettre dans le bain avec cet épisode spécial de Pornhub Gay Games. Y’a de la testostérone, de la sueur, de la fonte, des harnais, des beaux petits minois. Pourquoi passer à côté de ça ? Sans parler de mon kink caleçon et chaussettes blanches parfaitement assouvi ici. À préciser au passage : mention spéciale pour Ken Ott !
Y’a des fois où je mate des vidéos simples et efficaces, et y’a des moments où je veux qu’on me vende du fantasme en barre. Ici, deux gardiennes se partagent un prisonnier : c’est typiquement le genre de contenu qui vient alimenter mes petits scénarios privés. Topo classique : un détenu qui se branle en cachette avant de se faire punir salement. Pourquoi mes punitions à moi se passent jamais comme ça ?
On passe à mon coup de cœur de la semaine : « Elemental » de Julia Patey (XConfessions). Dès les premières secondes, je me suis laissée emporter par la musique et la qualité des images. Un instant très onirique, suggéré, intense et brumeux. Chaque plan me semble plus poétique et léché que le précédent. J’ai l’impression que ce film me parle et me rappelle un ancien crush qui me manque ou que je n’ai pas encore connu. Honnêtement, regardez-le, ne passez pas à côté de cette merveille.
Je vous avais partagé les douces vidéos de My Little Betsy, et je reviens avec une nouvelle tout aussi sex ! Je me suis découverte un kink pour les visages couverts et notamment pour les cagoules. La sienne est rose, c’est mignon. Ajoutez à ça une jupe d’écolière, des chaussettes blanches (tmtc) et c’est bon, me voilà partie au quart de tour !
Image à la une : Prison sous haute tension
Je suis marié depuis quinze ans, et ma femme me rend heureux sur bien des sujets. Il reste un sujet que je n’ai pas abordé avec elle, c’est celui de ses possibles tendances homosexuelles. Nous regardons de temps en temps des films X. Une fois sur deux, je fais défiler des films lesbiens. J’ai pu constater, à chaque fois, qu’elle regardait volontiers les filles faire l’amour entre elles, et qu’elle restait silencieuse. Les lesbiennes semblent l’exciter car son sexe est tout inondé. Nous regardons toujours les films une vingtaine de minutes sans nous caresser, puis il suffit que je lui touche le clitoris pour qu’elle jouisse presque immédiatement. Dois-je en conclure que ma femme est bisexuelle ? Cela ne me dérangerait pas du tout. Au contraire, j’ai toujours fantasmé à l’idée de voir deux femmes faire l’amour devant moi. J’aimerais rencontrer un couple dont la femme est bi, mais j’ai besoin de votre avis pour aborder la question avec ma femme. Dois-je regarder plus souvent des films lesbiens avec elle pour donner à la bisexualité un aspect de normalité ? En un mot, comment trouver le ton juste pour lui faire comprendre que j’aimerais la voir faire l’amour avec une femme ? Fais-je fausse route en pensant que je peux y parvenir ?
Dire que votre femme n’est pas insensible aux images d’amour entre femmes et que cela l’excite, amène à la conclusion que cela fait partie de ses fantasmes. De là à dire que votre femme est bisexuelle, ce serait exagéré. Je vous rappelle qu’il y a une différence entre des fantasmes érotiques et des pratiques sexuelles.
Les fantasmes, ce sont des idées excitantes qui restent, tant que ce sont des fantasmes, dans l’imagination de la personne. Passer...Lire la suite sur Union
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Dans son arrêt du 13 avril 2021, la plus haute juridiction administrative a partiellement annulé le décret GendNotes qui autorise notamment la gendarmerie à collecter des données relatives à l’orientation sexuelle. Ces informations ne pourront plus être transmises pour être exploitées ensuite dans d’autres fichiers. La nouvelle application de collecte de données conçue pour remplacer …
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J’ai 54 ans et je ne peux plus avoir de rapports avec mon mari. Je dois me masturber deux à trois fois par jour et après, je n’ai plus d’envie. La lubrification ne se produit plus chez moi, ça me brûle : dès qu’il essaie de me pénétrer, dès que son pénis touche mes lèvres, c’est douloureux. Nous ne pratiquons ni la fellation, ni le cunnilingus. Nous n’avons plus de rapport et ça nous rend très malheureux. Que puis-je faire pour arranger cela ?
La baisse de désir sexuel et l’amoindrissement de la lubrification sont très fréquents au cours de la périménopause, c’est-à-dire dans la période de vie où la production d’estrogènes baisse de façon significative mais où, en même temps, les taux hormonaux sont très instables. C’est un cap délicat à franchir, et il faut un certain temps pour retrouver un nouvel équilibre, que ce soit sur le plan individuel ou sur le plan conjugal.
Heureusement, une fois les choses stabilisées, la plupart des couples réussissent à s’adapter et retrouvent une complicité qui paraissait compromise quelque temps auparavant. Vous auriez sans doute intérêt à vous faire aider en parlant de cela à votre gynécologue ou à un(e) sexologue. On peut en effet compenser l’absence de lubrification naturelle en utilisant des gels ou des ovules spécifiques, ou tout autre produit lubrifiant, et en facilitant la pénétration par des caresses légères ou des massages du périnée.
Également, c’est peut-être l’occasion d’explorer de nouvelles formes de sexualités non-pénétratives, la pénétration n’est en effet pas obligatoire au cours d’un rapport.
Par ailleurs, il...Lire la suite sur Union
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J’ai 54 ans et je ne peux plus avoir de rapports avec mon mari. Je dois me masturber deux à trois fois par jour et après, je n’ai plus d’envie. La lubrification ne se produit plus chez moi, ça me brûle : dès qu’il essaie de me pénétrer, dès que son pénis touche mes lèvres, c’est douloureux. Nous ne pratiquons ni la fellation, ni le cunnilingus. Nous n’avons plus de rapport et ça nous rend très malheureux. Que puis-je faire pour arranger cela ?
La baisse de désir sexuel et l’amoindrissement de la lubrification sont très fréquents au cours de la périménopause, c’est-à-dire dans la période de vie où la production d’estrogènes baisse de façon significative mais où, en même temps, les taux hormonaux sont très instables. C’est un cap délicat à franchir, et il faut un certain temps pour retrouver un nouvel équilibre, que ce soit sur le plan individuel ou sur le plan conjugal.
Heureusement, une fois les choses stabilisées, la plupart des couples réussissent à s’adapter et retrouvent une complicité qui paraissait compromise quelque temps auparavant. Vous auriez sans doute intérêt à vous faire aider en parlant de cela à votre gynécologue ou à un(e) sexologue. On peut en effet compenser l’absence de lubrification naturelle en utilisant des gels ou des ovules spécifiques, ou tout autre produit lubrifiant, et en facilitant la pénétration par des caresses légères ou des massages du périnée.
Également, c’est peut-être l’occasion d’explorer de nouvelles formes de sexualités non-pénétratives, la pénétration n’est en effet pas obligatoire au cours d’un rapport.
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Quand on a vu que Camille Ducellier sortait un documentaire appelé Sorcière Lisa, on a tout de suite été intriguées par le personnage. Et à raison : Lisa est sorcière, artiste, strip-teaseuse, sirène, lesbienne ; mais avant tout, Lisa est libre !
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C’est la marraine de l’association, Gwendoline Hamon, qui paie de sa personne pour assurer la promotion et la diffusion du clip incitatif, qui met en scène des adolescents décomplexés (filles et garçons) pour attirer l’attention sur ce virus qui représente 6 000 cancers annuels, pour 2 900 décès, soit presque autant que le nombre de morts sur les routes en 1 an (OMS). 7 ados sur 10 croiseraient ce virus une fois atteint l’âge de 25 ans.
C’est donc pour prévenir des conséquences de cette rencontre potentiellement mortelle que l’association Imagyn (Initiative des Malades atteints de cancers gynécologiques) met le vaccin en avant. Il agit chez la femme sur les cancers : du col de l’utérus, de la vulve et du vagin, anal, de la gorge, de la langue ou sur les verrues génitales. Il est également indiqué chez l’homme contre les cancers : anal, du pénis, de la gorge, de la langue et les verrues génitales.
En se faisant vacciner, les filles comme les garçons réduiront les risques de cancer et se protègeront en évitant les contaminations. De son côté, la marraine déclare :
« Je m’engage auprès de l’association IMAGYN et de sa formidable équipe de guerrières, parce que ma mère est partie très vite, trop vite, à 58 ans, d’un cancer de l’utérus dû à un HPV, et que je sais, j’ai vu, j’ai vécu, j’ai senti cette maladie de près. Aucune maladie n’est belle, mais celle-là, en plus des douleurs, des protocoles difficiles, de la peur, celle-là génère une honte, un embarras, une gêne parce qu’elle est liée à notre...Lire la suite sur Union Cet article Papillomavirus : la nouvelle campagne de prévention Imagyn est apparu en premier sur Union.
C’est la marraine de l’association, Gwendoline Hamon, qui paie de sa personne pour assurer la promotion et la diffusion du clip incitatif, qui met en scène des adolescents décomplexés (filles et garçons) pour attirer l’attention sur ce virus qui représente 6 000 cancers annuels, pour 2 900 décès, soit presque autant que le nombre de morts sur les routes en 1 an (OMS). 7 ados sur 10 croiseraient ce virus une fois atteint l’âge de 25 ans.
C’est donc pour prévenir des conséquences de cette rencontre potentiellement mortelle que l’association Imagyn (Initiative des Malades atteints de cancers gynécologiques) met le vaccin en avant. Il agit chez la femme sur les cancers : du col de l’utérus, de la vulve et du vagin, anal, de la gorge, de la langue ou sur les verrues génitales. Il est également indiqué chez l’homme contre les cancers : anal, du pénis, de la gorge, de la langue et les verrues génitales.
En se faisant vacciner, les filles comme les garçons réduiront les risques de cancer et se protègeront en évitant les contaminations. De son côté, la marraine déclare :
« Je m’engage auprès de l’association IMAGYN et de sa formidable équipe de guerrières, parce que ma mère est partie très vite, trop vite, à 58 ans, d’un cancer de l’utérus dû à un HPV, et que je sais, j’ai vu, j’ai vécu, j’ai senti cette maladie de près. Aucune maladie n’est belle, mais celle-là, en plus des douleurs, des protocoles difficiles, de la peur, celle-là génère une honte, un embarras, une gêne parce qu’elle est liée à notre...Lire la suite sur Union Cet article Papillomavirus : la nouvelle campagne de prévention Imagyn est apparu en premier sur Union.
Vous sentez-vous excédé par la surabondance de messages publicitaires qui saturent les sens à tous les moments de la journée sans prévenir ? Si vous êtes pris d’un sentiment de rejet vis-à-vis de ces intrusions, vous êtes déjà sur le chemin de la méditation.
Dans son ouvrage de intitulé « Méditer jour après jour », Christophe André évoque les « pollutions de l’esprit » : « Notre attention est sans cesse captée, attirée, et finalement fragmentée, segmentée. Elle finit par devenir accro au bruyant, au clinquant, au facile, au prédigéré, au prépensé. Dans quel état finit notre pensée à force de vols de conscience ? (…) Nous sommes submergés par de plus en plus d’attractions externes et de distractions. (…) Or, comme il faut des silences pour que la parole se fasse entendre, il faut de l’espace mental pour que la conscience et l’intériorité émergent. »
Mais n’ayez crainte : si le fameux « temps de cerveau disponible », dont parlait un patron bien connu de l’audiovisuel, vient à vous manquer, il existe des solutions très simples. On en trouve notamment dans l’ouvrage de Matthieu Ricard « L’art de la méditation » : « Une méthode pour raviver la concentration quand elle devient trop ténue consiste à compter les respirations. On peut, par exemple, compter « un » à la fin d’un cycle complet de souffle, c’est-à-dire inspiration et expiration, puis « deux » à la fin du cycle suivant et ainsi de suite jusqu’à dix, et recommencer alors à partir de « un ». Cette façon de procéder nous aide à maintenir l’attention. » Avec de petites techniques telles que celle-ci, choisissez enfin de récupérer ce qui vous est pris tous les jours.
Au-delà du corpsPlusieurs philosophies...Lire la suite sur Union
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Bonjour docteur. Dans les fantasmes qui accompagnent mes séances de masturbation, je suis toujours attaché. À la merci de ma partenaire. Je n’ai malheureusement encore jamais pu le réaliser, car j’ai honte d’en parler. Comment puis-je aborder le sujet avec une femme sans passer pour un pervers ?
Le meilleur moyen pour savoir si votre partenaire serait susceptible d’entrer dans votre jeu serait de chercher à aborder avec le domaine des fantasmes et en lui demandant de vous parler un peu des siens pour les comparer avec les vôtres. Cela peut marcher s’il s’agit d’une femme qui se sent capable de dévoiler ainsi ses pensées secrètes. Mais il n’y a aucune assurance qu’elle ait elle-même des fantasmes de domination, car cela est finalement assez peu courant dans l’érotisme féminin.
Il convient de préciser également que vous n’êtes pas un pervers, les fantasmes de domination sont relativement courant, bien que moins répandus chez la gent masculine. Pour commencer, vous pouvez aborder le sujet en proposant de vous attacher mutuellement, sans qu’il y ai nécessairement un rapport de domination. Si elle semble partante et que vous êtes amené à le réaliser, il sera plus facile pour vous de suggérer par la suite qu’elle vous domine.
Pour être tout à fait honnête, c’est même un peu le contraire… De nombreuses femmes, en effet, attendent d’un homme qu’il se montre plutôt dominant que dominé lorsqu’il s’agit de sexualité. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les hommes qui sont dans votre cas se tournent soit vers des professionnelles, soit vers des sites de rencontre qui permettent de...Lire la suite sur Union
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Je vous propose de répondre à cette question toute simple mais finalement compliquée : “qu’est-ce que ton père a fait ou n’a pas fait pour que tu sois la personne que tu es aujourd’hui ?”
Vous pouvez vous aussi m’envoyer une note vocale enregistrée sur votre téléphone sur l’email vocal@fabflorent.com, ou directement depuis ce lien.
J’en profite également pour vous inviter à venir me voir sur ma chaîne twitch tous les lundis, mercredi et vendredi à partir de midi, je reçois des invités, ou on discute ensemble de sujets divers et variés, et parfois même de paternité !
Enfin, si vous voulez discuter avec mes auditrices et mes auditeurs, me poser des questions, recevoir des notifications à chaque nouvel épisode de podcast, je vous invite à venir sur mon serveur Discord.
Surtout n’hésitez pas, même si vous avez une histoire difficile avec votre père, vous pouvez m’envoyer une note vocale. Je veux que cette série mette en scène tous les types de relations père-enfant. Et d’autant plus si vous êtes un mec, parce que j’ai reçu très peu de témoignages de gars pour parler de leur relation à leur père pour l’instant.
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Ascenseur émotionnel. Un dimanche pluvieux de décembre, je zappais machinalement sur les chaînes de la TNT, avant de tomber sur le troisième opus de 50 shades of Grey. Quelle ne fût pas ma surprise quand, après quelques minutes de cette soupe doucereuse, Ana Steele ouvre au hasard l’un des tiroirs secrets de son pervers de mari, laissant apparaître au tout venant une série de butt plugs au volume impressionnant.
J’espérais naïvement un dénouement savoureux. Il n’en sera rien. Visiblement peu enjouée à se familiariser avec les vilains gadgets, Miss Steele se retourne vers son conjoint en lui opposant une fin de non-recevoir – à en croire que l’Amérique n’a toujours pas fait ses dents et que le stade anal lui reste pour l’heure un horizon encore incertain. Finalement frustré par cette issue fleurant le puritanisme, je m’en remis sagement aux valeurs sûres de la pornographie en ligne…
Un gadget controverséMis à part l’orthodoxie d’une certaine frange de la société américaine, cette scène révèle aussi que les butt plugs sont des objets sexuels, déviants certes, mais qui commencent à titiller la curiosité du couple hétéro-normé. Inutile d’aller plus loin dans l’analyse. Il va sans dire que la connotation transgressive de ce type d’objet a bien évolué depuis l’érection de la fameuse sculpture de Paul McCarthy sur la place Vendôme.
Petit rappel historique. En octobre 2014, l’artiste américain érigeait un arbre de Noël géant à l’allure d’un plug anal. La confusion était parfaite et les catholiques intégristes s’offusquaient violemment qu’un symbole religieux puisse être ainsi associé à un objet faisant référence à l’anus et à la sodomie, et en plein Paris. L’artiste finit par être agressé en pleine rue et le plug par être saboté par un militant catho qui jugeait la sculpture offensante. C’est dire le chemin qui restait à parcourir pour éveiller les consciences.
Le paradigme a changé. Si la sculpture ferait encore scandale pour certains, les butt plugs en tous genres inondent aujourd’hui sex shops et autres plateformes de vente en ligne érotiques. Il est devenu un objet commun, que l’on retrouve le plus souvent dans sa version bijou anal dans nombre de vidéos Pornhub ou arboré par les camgirls soucieuses de pimper un peu leur petit trou. Mais que nous vaut ce passage soudain de l’ombre à la lumière ? Maintenant lieu commun de l’industrie érotique, que reste-t-il de transgressif chez cet objet aux atouts si particuliers ?
Cet obscur objet du désir« Au niveau du plaisir, un plug anal dans sa table de nuit, ça permet à tout le monde de jouer. »
Charlie Liveshow
S’il est un accessoire intime, le butt plug est aussi un gadget au potentiel érotique épatant. Dans le porno ou chez les camgirls, sa version diamant est très prisée pour son aspect décoratif – et avouons-le, à l’écran, ça en jette. Surtout qu’il a le don de magnifier l’orifice le plus déroutant de l’anatomie humaine : il masque tout en enjolivant l’anus, haut lieu de la transgression et de l’interdit.
On imagine toujours la taille de l’objet à l’intérieur et la manière dont il stimule les zones érogènes de l’intéressé·e. On m’objectera que le Lush de Lovense, un accessoire très prisé des camgirls, a la même utilité pour le vagin. Mais la différence c’est qu’il est moins visible, et n’a pas la dimension esthétique d’un Rosebud. Dans certains cas, le sextoy devient même une extension du corps : ce qui le rapproche plus du déguisement que du bijou érotique. On pourrait même le placer entre la lingerie et le sextoy traditionnel. D’ailleurs, certains créateurs de lingerie érotique commencent à l’intégrer et à le combiner à la tenue elle-même. Je citerai la créatrice Maria Wagner qui a imaginé pour sa marque aSS un harnais ne fonctionnant qu’à l’aide d’un butt plug : le « plugsuit » !
Pour ce qui est de la question du plaisir, je m’en remets à la Charlie Liveshow, qui n’est jamais avare d’informations lorsqu’il s’agit de hard sex : « [Pourquoi le plug anal ?] Déjà parce que j’adore la sodomie et le plaisir anal, c’est quand même un point essentiel, mais surtout parce que c’est un peu le sextoy polyvalent par excellence. Il s’adapte à une multitude de plaisirs, de pratiques et surtout à tous les genres. » Historiquement, il est associé à la culture gay masculine et par extension à la sodomie. Les plugs anaux classiques sont à l’origine prévus pour dilater l’anus de celui ou celle qui se prépare à être sodomisé·e. Son autre fonction, c’est la stimulation de la prostate, qui une fois compressée par l’objet donne à l’homme un supplément d’excitation.
Et pour les femmes ? « Au niveau du plaisir, un plug anal dans sa table de nuit, ça permet à tout le monde de jouer. Alors je ne vais pas parler pour les mecs mais moi en tant que fille, ça me permet en plus du plaisir de la sodomie, de jouir un peu plus fort quand on n’est que deux dans la relation. Je trouve qu’un plug c’est un super accessoire pour s’initier à la double pénétration sans pour autant être 3. » L’autre aspect ? « [c’est] le côté purement esthétique et « bijou d’anus » qui est très sympa. Par exemple, quand tu vas voir un plan cul et qu’en soulevant ta robe ou en baissant ton string, il/elle découvre un plug anal Smiley, ben c’est toujours très rigolo et ça permet de casser la glace plus vite. »
Mais c’est toujours dans la suggestion que réside l’essentiel du plaisir : « Un plug anal, au final, c’est un peu l’iceberg du sextoy. Pour la même partie visible, tu peux avoir un tout petit plug en silicone de 2/3 cm ou un énorme ©Rosebud en métal de 5 cm de diamètre et de 900 grammes. La réaction de la personne qui te mate est toujours positive mais l’intensité change quand même grandement en fonction de la partie cachée de l’iceberg. »
Success story : tutos et reviews en pagailleIl suffit de taper « butt plug » sur Instagram pour voir le degré de fascination que ce sextoy opère sur les esprits. Même chose sur Youtube, où les tutos et reviews à propos de cet objet devenu phénomène de société se comptent à la pelle.
La youtubeuse sexo Clemity Jane en fait la promotion sur sa chaîne. Sans complexes, elle livre dans une vidéo appelée « Osez le plug anal » un éventail des butt plugs bon marché. Voilà pour la version française. Mais on ne compte plus les reviews anglo-saxones mettant en scène le butt plug et toutes ses variantes : Dirty Lola et ses conseils pour les « Big butt toys », ou encore les « Advanced technics for anal enthusiasts », promues par Ryan Di Martino, qui avance que le butt plug est le meilleur moyen d’entraîner l’anus à une pénétration plus profonde. On trouve aussi, dans sa dimension fashion, « Why wear a buttplug at work » par la strip-teaseuse haute en couleur Nina Unrated. La chaîne gay « Watts the safe word », pour sa part, nous mène à l’essentiel en interrogeant l’intérêt que les gens portent au butt plug, dans la très documentée vidéo « Why do people use butt plugs ? ».
Pour les tutos porn, il y a la française citée plus tôt Charly live show qui a pignon sur rue sur PornHub, et qui délivre, images à l’appui, reviews et tests grandeur nature de butt plugs. Aussi, le « Anal plug training » dispensé par la performeuse et cosplay girl Kyutty, qui teste devant nos yeux trois plugs anaux de diamètres différents, du plus compact au plus volumineux, bien entendu.
KyuttyÀ la frontière du tuto et du porn, on peut apprécier « Education au plug anal » de Amy Hide, qui nous gratifie d’une insertion de plug d’une désarmante délicatesse. Il y a aussi la française Trish Collins, grande amatrice de plug anaux et de démos langoureuses.
Du plug walk aux cam girls : tour d’horizon du butt plug sur la scène pornExhib, Cam girls et Classic porn : le butt plug dans le porn, c’est tout une histoire. Pour illustrer mon propos, il suffirait de répertorier les innombrables occurrences à ce dernier dans la barre de recherche de PornHub… mais l’énumération aurait été fastidieuse. Le butt plug dans le porn, c’est avant tout des kinks et des petites perversions qui pimentent visuellement les performances qui se jouent à l’écran.
Plébiscité pour ses qualités ornementales chez les Camgirls, le butt plug est fréquemment cité dans « les buts à atteindre » des tips menu. Les viewers impatients, à grand renfort de tokens, hésitent rarement à y mettre le prix. Le « moment butt plug » est devenu un incontournable du show presque autant que le squirt ou la faciale.
D’autres érigent l’objet en totem : le plug anal devient l’attraction et son exhibition le point d’orgue de la performance. Une vidéo de My horny wife rend compte de cet attrait pour sa valeur transgressive. Elle est allongée sur un transat au bord de la piscine d’un hôtel. La caméra la filme de dos. Délicatement, elle décale son maillot de bain sur le côté pour pouvoir insérer entre ses fesses un plug anal noir, au vu et au su de tous. Elle exécutera quelques allers retours au bord de la piscine pour y exhiber l’objet du désir, le dos toujours tourné à l’objectif. Dans une autre scène à la portée toute aussi amateur, elle réitère la performance mais cette fois-ci sur la plage.
Là, c’est la qualité « exhib » du plug qui est mise en valeur. Mais My horny wife n’est pas la seule, et d’autres comme Secret Crush ou Dream4Angel font de ce dernier un totem tout aussi fantaisiste. On peut les retrouver dans les catégories « Butt plug on the beach » ou « Plug walk at supermarket ».
Secret Crush à la plageAvec Secret Crush on reste dans l’exhib mais dans une version paillettes, et surtout très porn. L’australienne penche vers un fétichisme rose bonbon qui pose le plug anal au cœur de ses productions. Autant vous dire qu’on ne voit que ça, disparu le petit côté amateur et coquin de My horny wife. Ici on est dans l’exhib la plus totale et on ne s’en cache pas ! Secret Crush fait tout avec son plug, elle se promène, elle fait l’amour, elle se baigne et le tout le plus souvent en pleine nature.
L’autre adepte du flash plug, c’est Dream4angel. Fan inconditionnelle du Rosebud, elle lâche rarement son petit diamant et aime à se prélasser sur les plages ensoleillées. Aussi friande de pissing et de flashing, la Hongkongaise n’a pas froid aux yeux. Sa grande spécialité ? Le pipi dans la neige.
Sur un versant plus esthétisant, il y a aussi My kinky dope, qui dans une mise en scène soyeuse, entre BDSM et érotisme sucré, se prélasse sur un tapis blanc, kitty plug au creux des fesses.
My kinky dopeLe dernier exemple, et non des moindres, c’est la Pragoise Lovely Natalie qui nous régale avec une petite balade nocturne rétro éclairée par son anus, je vous laisse apprécier !
Dans l’antre de la démesure : butt plug et BDSMLe plaisir anal, c’est l’objet de toutes les peurs, de tous les tabous, mais aussi la quête ultime de la jouissance. Rien de plus subversif que la recherche acharnée de ce plaisir indécent, et des pratiques qui lui sont associées. L’imaginaire lié à la chose n’a jamais eu cesse d’attiser les passions. Déjà le Marquis de Sade faisait état dans son œuvre d’une obsession coupable pour « le petit trou ». Mais c’est peut-être le BDSM dans son exploration outrancière de la performance anale qui tient la palme avec le butt plug. Préparation au fist ou simple volonté de dépasser les limites des possibilités anales, l’insertion de butt plugs démesurés dans l’anus trouve un certain succès sur la scène fétichiste. Là on entre dans le dur où la frontière entre plaisir et souffrance n’est plus une chimère mais bien le but suprême de la performance. À vos marques !
Plug XXLNe nous voilons pas la face, le butt plug a bien un lien de parenté originel avec le sexe extrême, d’où le malaise qu’il pouvait provoquer à l’époque. Mais du Christmas tree de McCarthy au bonbon mielleux de 50 shades of Grey, il a su gagner les foules. Et n’en déplaise aux censeurs les plus tenaces, il continuera longtemps, je l’espère, à célébrer l’obscur objet de nos passions.
Un courant d'idées actuel veut qu'il y ait deux sortes de femmes. Les femmes "cisgenres", nées avec l'anatomie sexuelle d'une femme sans que cela ne leur cause de conflit intérieur, et les femmes "transgenres", soit des personnes à l'anatomie masculine qui se sentiraient femmes. Il s'agirait en quelque sorte d'hommes "nés dans le mauvais corps".
- Genre, transgenre, transsexualité et féminisme