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Vous êtes du genre à dire « il est bon ce vin » plutôt que « c’est un vin aimable, acerbe mais très enjoué, avec une dominante de fruits à pépins »? J’ai une suggestion de lecture pour vous.
Ce livre s’adresse :
- aux gens qui n’y connaissent rien en vin
- aux gens qui s’y connaissent un peu mais se taisent, par crainte de dire une connerie qui leur vaudra une leçon de la part de leur ami connaisseur, un mec sympa, mais qui est quand même devenu un tantinet casse-couilles depuis qu’il a fait un stage d’œnologie
- aux gens qui ne comprennent pas la phrase : «Ce vin a une belle matière»
- aux gens qui aiment bien boire un coup de rouge avec le fromage, et tant pis si ça contrevient aux lois sacrées des accords mets-vins
- aux gens qui revendent sur Le Bon Coin les « cadeaux vin » à la con qu’on leur a offert à Noël
- aux gens qui fêtent chaque année le beaujolais nouveau en se disant que c’est quand même dégueulasse, mais bon, c’est la tradition
- aux gens qui aiment bien boire du vin pour être un peu gai, et tant pis si c’est pas un grand cru de je-ne-sais-quoi
Et il est en vente depuis le 28 octobre 2015, et même qu’on peut l’acheter ici ou ici.
It’s here! Extreme HR Violations ($3.49) is a collection of ridiculous, extreme, and -intentionally arousing- office sex stories.
These people are unhireable, and their sexual escapades are unbelievable! No really, this thing is like an employee handbook written by perverts. That’s because it is: The authors in this anthology are in award-winning erotica collections, and are also clearly recovering from painful office jobs in their past. This book is what really skilled erotica writers do when they’re blowing off steam… and I think you’ll love it as much as I do.
* Get Extreme HR Violations on Amazon ($3.49).
* Or… get Extreme HR Violations direct from me at Digita Publications ($3.49, .pdf, no DRM).
If you’re a book reviewer, click here to get an advance review copy.
Here’s my cheeky marketing copy:
The keg: Seven sordid offices…
The powder: Their depraved hiring practices…
The fuse: Applicants’ willingness to do anything with office supplies…
And the white-hot spark was: A horrified human resources department!
The blasts that follow will either confirm—or explode—your ideas about corporate team building!
In Extreme HR Violations, seven skilled authors deliver clever tales of behavior highly inappropriate for any workplace… Secretaries willfully file everything in the bottom drawer. Female execs put male assistants to the oral test in overtime. Interns stage pantyless catfights in the break room. IT workers get “accidentally” trapped between ladies’ legs under desks. Punishments involve filling out forms in ways you’d never imagine.
The ridiculous sex antics by bosses and underlings in these tales of office kink lead readers down shameful career paths, yielding referrals that can only be whispered by the most depraved recruiters.
There’s a ton of chemistry in these stories, and a fun bit of romance too. But make no mistake: These offices are an HR department’s nightmare, and that’s entirely the point.
Table of contents
* Introduction: The Ins and Outs of Office Politics by Violet Blue
* This Call May Be Monitored for Quality Assurance by Xavier Acton
* Quiz Day by Sommer Marsden
* The Importance of Good Networking by Saskia Walker
* Disciplinary Action by Marie Sudac
* Fair Trade by Jodi Fowler
* The Job Interview by Thomas S. Roche
* Memorandum by N. T. Morley
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Ce week-end, on est tous de sortie : Debrouï-art et ClekClekBoom remettent le couvert des Paris Club Music ce dimanche de 14h à Minuit. Pour sa cinquième édition, la soirée rassemble un beau panel d’artistes. French Fries, Amila, Saint-James, tous se sont donnés rendez-vous à la Bibliothèque Nationale (13ème) pour un show ambiancé.
Petit avant-goût musical, voici le trois artistes qui joueront ce dimanche sur la terrasse d’hiver.
// FRENCH FRIES
Nouveau maxi de French Fries « Working on a Dream / Shades of Light », sorti cette semaine sur ClekClekBoom.
French Fries – 17 Novembre 2015 by Rinse France on Mixcloud
Mix Rinse France du mois de novembre.
// AMILA
Mix « Cooking with Amila » pour Berlin Community Radio
Extraits du mix de Skymark pour la série de cassettes Altered Soul Experiment.
// SAINT-JAMES
Mix Disco et Boogie pour le webzine Limonadier.
Les entrées sont gratuites jusqu’à 17h. Passée cette heure, la place vous coûtera 10€ avec une conso. En ces temps hivernaux, au Tag, on a toutes les solutions pour vous. Il faut juste y mettre un peu du sien : un e-mail mignon avec des bisous à contact@letagparfait.com et peut-être gagnerez vous nos faveurs (entendez par là : 2×2 places pour la PMC).
Le dimanche a toujours eu du bon, grâce à Débrouï-art et CleckCleckBoom il devient indispensable : l’événement est répété toutes les semaines, on est fans.
Vu sur Impromptus pour Chloé de Daphnis, épisode 6
Est publié aujourd’hui le sixième épisode des Impromptus pour Chloé de Daphnis : il s’agit du dernier de cette série érotique (la première de la collection De fil en soie). Deux histoires se partagent cet épisode : Le Donjon et Jade qui sert d’épilogue à l’ensemble. Le donjon est un impromptu classique (contrairement à Jade), […]
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Par Internet ou quelques magazines de société, vous avez peut-être déjà entendu parler de la nouvelle application de rencontres 2.0 : « Once ». Si le modèle original vient de Corée du Sud, Once est devenue l’appli française tendance du moment, représentant plus de 15 000 téléchargements par jour. Je l’ai testée pour vous. La prise de position...
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Ce n’est même pas la peine de vous inscrire à l’université Carson-Newman, dans l’Etat du Tennessee, si vous êtes gay, lesbienne, transgenre, mère célibataire ou si vous avez subi un avortement. Cet établissement privé du comté de Jefferson a obtenu d’être exempté de la loi antidiscrimination.
«Cela représente nos principes religieux, et dans un monde qui change, nous tenons à réaffirmer qui nous sommes», a martelé Randall O’Brien, le président de cette université affiliée à l’Eglise baptiste, interviewé par la télévision Local 8. «Je ne pense pas que Carson-Newman pratique en soi la discrimination, estime Lauren, une étudiante interrogée par la chaîne locale. Mais je comprends que nous sommes une université chrétienne, qui a aussi besoin de protéger ses valeurs chrétiennes.»
Demandes d’exemptions
Ces dix-huit derniers mois, pas mois de 27 collèges et universités, principalement dans les Etats du Sud, ont obtenu une telle dérogation au «Titre IX», un amendement à la loi sur l’éducation qui interdit les discriminations sexistes dans les établissements scolaires. Les exemptions étaient rares jusqu’en 2014, quand l’administration Obama a étendu l’application du «Titre IX» aux transgenres et aux élèves qui ne se conforment pas aux stéréotypes de genre, relève «The Column».
Les 27 collèges et universités exemptés du «Titre IX» continuent de recevoir, au total, 130 millions de dollars de fonds fédéraux.
«Les chrétiens conservateurs ont commencé à faire pression sur les écoles religieuses afin qu’elles expulsent les étudiants transgenres et qu’elles prennent des mesures à l’encontre des personnes LGBT au sein de leurs élèves et de leur personnel», note «The Column».
Vu sur Mes lectures érotiques, selon Jean-Jacques Pauvert
J’ai reçu depuis quelques semaines Mes lectures érotiques, Morceaux choisis, cette anthologie de Jean-Jacques Pauvert composée de textes issus de la collection Lectures amoureuses des éditions La Musardine agrémentés des préface que J.-J. Pauvert a rédigé lors de la parution des différents volumes. Je n’ai pas tout lu : imaginez, le livre fait 700 pages. […]
Cet article provient de Littérature érotique
Organisée par la délégation du Mouvement du Nid du Haut-Rhin et la FNARS Alsace, cette journée d'étude donne la part belle aux échanges et à la réalité concrète avec des interventions centrées sur les pratiques et des ateliers. Invitée d'honneur, Rosen Hicher, survivante de la prostitution, partagera son témoignage et ses analyses du système prostitutionnel.
Infos pratiques Accompagner les personnes en danger de prostitution - FNARS / MDN68 Bulletin d'inscription et programme.Le 11 décembre 2015 de 9h00 à 16h30
Centre sportif régional, 5 rue des Frères Lumières à Mulhouse (tram 2, station Université ou Bus 51, arrêt Université)
Tarif de la journée : 45 € (repas et actes de la journée compris)
Renseignements et inscriptions auprès de la FNARS Alsace, toutes les informations sont disponibles sur le bulletin d'inscription, à télécharger ci-contre.
Matin
Après-midi
Les ateliers
IntervenantEs
Claire Quidet, porte-parole du Mouvement du Nid – France et Christine Blec, vice-présidente du Mouvement du Nid-France, responsable de la délégation du Haut-Rhin
Pierre Freyburger, président de la FNARS Alsace et Elsa Hajman , chargée de mission FNARS
Marion Fareng, psychologue clinicienne à l'Institut de Victimologie de Paris
Rosen Hicher, survivante de la prostitution
Animation : Raymond Kohler, FNARS Alsace
Ils sont trois, chanteur, guitariste, batteuse. Coutumiers des sous-sols sublimes et des nuits neigeuses de Chicago. Vingt ans à peine et la liberté à fleur de guitares, ils se racontent au bout du Skype, depuis l’appartement de Max, le charismatique vocaliste du groupe, tout en frange péroxydée et en fourrures immaculées.
Le premier album des Yoko and the Oh No’s a beau avoir été enregistré dans la cave parentale, il séduit déjà les blogs et la médiasphère, surtout depuis que «Out Magazine» a apposé sur ce «trio qui déchire» l’étiquette de «rock punk queer». Le qualificatif est-il adéquat? «Franchement, je me sens bien avec qui je suis et avec ma propre image», répond Max, qui investit volontiers la scène drapé dans une robe de vinyle noire ou moulé dans un t-shirt léopard. «Mais on ne s’identifie pas forcément aux adjectifs queer ou punk pour autant. En fait on ne s’identifie pas. Voilà!»
«Amy Winehouse, les Kinks, les Stones, et aussi Neil Young ou les Beatles: nos influences sont plutôt éclatées.» Stef
Fraîchement diplômés d’un lycée où ils éreintaient déjà les hymnes de leurs adolescences sur les amplis de la salle de musique, les Yoko and The Oh No’s appartiennent à cette génération pour qui l’absence de labels n’est pas une revendication, mais une précondition. La dizaine de titres qui constituent leur excellent premier album sont autant de miniatures fraîches et dégingandées où se bousculent des influences des seventies, des riffs façon The Strokes, mais aussi les gimmicks vocaux de la Motown et même quelques réminiscences country.«Amy Winehouse, les Kinks, les Stones, et aussi Neil Young ou les Beatles: nos influences sont plutôt éclatées, note Stef, la batteuse. Mais le processus n’a jamais nécessité de discussion.»
Solitude, ruptures amoureuses et léger vague à l’âme se racontent avec un punch perché sur des morceaux comme «Love U», «Movin’ On» (de la graine de tube!) et «Lone Wolf». «J’étais un gosse plutôt étrange, assez isolé, se souvient Max. J’imagine que cela se ressent dans nos compositions». Il rencontre le guitariste du groupe (également prénommé Max) l’été de ses 13 ans, lors d’un camp de musique; les deux garçons se recroiseront plusieurs années plus tard, au hasard d’un café, et fonderont un autre groupe, The New Originals, avant d’être rejoint par Stef et de se lancer dans le projet Yoko.
«Les lieux alternatifs ont une saveur particulière.» Max
Aujourd’hui, le band tourne surtout dans le réseau indé de Chicago, microcosme underground et vibrant dont la myriade de talents arpente des concerts improvisés au gré des garages et des appartements. «On aime aussi les grandes salles, relève Max, mais les lieux alternatifs ont une saveur particulière. On joue sans retenue, on peut presque toucher le public, il y a de la sueur sur les murs.»
Le jeune homme, sur scène, ne porte jamais deux fois la même tenue. «C’est ma règle. Avant le concert, je me change cinq fois, je refais mon maquillage, cela peut prendre une demi-heure ou trois heures.» Stef le regarde derrière ses mèches blondes. «Moi je ne fais aucun effort. De toutes façons j’ai très peu d’habits. Tout ce qui m’intéresse, c’est que ça joue dur.»
Et ce nom si acidulé, «Yoko and the On No’s»? «Juste une blague, lancée un soir avec des amis», explique Max. «Cela dit, j’adore Yoko Ono». Le voilà qui sort Acorn, le livre de poésie sorti en 2013 par la veuve de Lennon. Il récite: «‹Carry everything you own with you / Go shopping or climb a mountain / See if you can see where you are going›… Ça s’appelle City Piece». Il sourit. «Je boirais bien un café avec Yoko Ono, un jour. C’est un bon objectif, non?» Allez Yoko, dis oui!
» Yoko and the Oh No’s, «Yoko and the Oh No’s», disponible au téléchargement.
C’est bien l’assassinat qui a été retenu ce jeudi contre le Kosovar de 24 ans qui avait tué un habitant d’Onex (GE), qui le logeait dans son garage. Le jeune homme a été condamné à 16 ans de prison. En mai 2013, il avait frappé sa victime, un Suisse de 37 ans, de 25 à 37 coups de cric et de tournevis après un rapport homosexuel.
Durant le procès, la défense a tenté de convaincre la Cour que le prévenu avait réagi violemment à la suite d’une relation sexuelle imposée sous la contrainte et la menace. Au passage, elle avait dépeint la victime comme un «prédateur sexuel», occupant ses journées à chercher des jeunes partenaires sur les sites de rencontre, rapporte «20 minutes». D’autres conquêtes du trentenaire se seraient sentis «souillées» pour «n’avoir pas réussi à dire non».
Invraisemblances
Le verdict a balayé cette version, au grand soulagement des parties civiles, particulièrement éprouvées par la plaidoirie de la défense. Comment le jeune homme aurait-il eu une éjaculation s’il était, comme il l’a prétendu, menacé par son logeur? Pourquoi n’aurait-il pas agi pendant l’acte sexuel? Il a été rappelé, enfin, que l’accusé avait retrouvé son sang-froid pour voler de l’argent au domicile de la victime avant de fuir vers l’Italie, où il a été arrêté.