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Vous êtes une ou un photographe amateur mais passionné(e), fétichiste et ayant une vision artistique de la photographie fétichiste ? La Nuit Élastique est l’espace idéal pour la réalisation d’images à la fois belles et authentiquement fétichistes. Nous recherchons deux ou trois photographes souhaitant rejoindre notre équipe et réaliser de belles images à la fois pour leur plaisir personnel, pour alimenter leur site web et alimenter le site web officiel de la Nuit Élastique.
Bien entendu, vu le caractère spécifique de la Nuit Élastique et la loi sur le droit à l’image en vigueur en France, il est impératif (et non négociable) de respecter toutes les règles suivantes si vous acceptez de faire des photos lors de nos soirées :
Si vous êtes d’accord avec l’ensemble de ces conditions, vous pouvez nous envoyer votre candidature afin de rejoindre notre équipe comme photographe officiel(le) en complétant le petit formulaire ci-dessous.
Veuillez activer JavaScript dans votre navigateur pour remplir ce formulaire.Prénom *Nom *Votre nom d'artiste (sous lequel nous publierons vos photos) *Votre e-mail *Votre site web, blog personnel, page Facebook ou autre *Page web où nous pouvons voir vos photos même si celles-ci ne sont pas fétichistesVotre message éventuel pour notre équipeWebsiteEnvoyer votre candidatureLa Nuit Elastique est organisée chaque mois depuis plus de 20 ans par l’association loi 1901 (ce qui signifie : sans but lucratif) « Modernité Relative ». Au fil des années et des générations, ses membres se sont renouvelés à plusieurs reprises, certains membres actifs ayant déménagé, parfois dans des contrées très lointaines, d’autres étant accaparés par une nouvelle vie familiale, une activité professionnelle trop intense ou des problèmes de santé. Même si ces anciens membres continuent, pour la plupart, à fréquenter régulièrement la Nuit Elastique, elles et ils sont peu nombreuses et nombreux à pouvoir rejoindre à nouveau l’équipe active (même si la porte leur reste toujours grande ouverte). Depuis sa création en mai 1998, l’équipe de la Nuit Elastique ne compte véritablement plus qu’un seul et unique membre d’origine : son créateur et organisateur Francis Loup Dedobbeleer.
Le temps est venu de donner un souffle nouveau et une nouvelle énergie en formant une nouvelle équipe plus forte, plus dynamique, plus artistique, plus militante et plus nombreuse en accueillant de nouveaux membres qui viendront renforcer l’équipe actuelle.
Ce que nous vous demandons :
– de nous donner un coup de main en nous aidant dans la promotion de la soirée sur les réseaux sociaux, en mettant avec nous sur pied des expositions de photos/peintures/dessins ou durant 2 heures juste avant l’ouverture de la soirée pour l’installation du matériel et de la déco
– réaliser des photos lors de soirée en respectant l’intimité des participant(e)s
– participer à l’animation de notre espace shibari comme encordeuse/encordeur ou modèle
– installer gratuitement un stand de vente de vos produits ou d’information
Ce que nous vous offrons en échange (de 2 petites heures d’aide de votre part) :
– pas de rémunération (nous sommes une association sans but lucratif)
– votre entrée gratuite + une entrée gratuite pour une personne de votre choix
– une planche de 5 tickets boissons pour celles et ceux qui nous aident dans l’installation, la mise en place des expositions et l’animation de l’espace shibari
– la promotion de vos créations (photos ou autres) ou vos produits sur notre site avec un lien direct vers votre site web à vous
Il se pourrait qu’au cours des prochaines semaines, le blogue cercle O vous apparaisse bizarre, que sa mise en page devienne un brin confuse, etc.
Pas de panique, tout va bien, madame la marquise!
Il appert que je suis à faire le nécessaire pour rendre le site compatible avec une structure transactionnelle. La raison en est fort simple : je vais bientôt offrir, à partir de ce site, des contenus originaux et exclusifs et payants qui prendront diverses formes. Certaines personnes constateront que c’est une vieille idée qui reprend vie… ;- )
Oh, je continuerai à diffuser des contenus gratuits dans le blogue cercle O comme je le fais depuis 2001.
L’article Le blogue cercle O mue est apparu en premier sur cercle O.
Sia, soumise accomplie, rêvait d’abnégation. Elle voulait ressentir l’essence même de ce mot qui représentait à ses yeux le don le plus ultime qu’une soumise puisse faire à son maître : renoncer à tout ce dont il déciderait de la priver pour l’amener à la perfection dans la soumission.
Guidée par son maître dans un huis clos intense, Sia repoussera sans cesse ses limites pour tenter de lui démontrer sa volonté et ses capacités à se soumettre, s’abandonnant parfois jusqu’à oublier la réalité. Mais ne risque-t-il pas la pousser trop loin ? Ne se perdra-t-elle pas dans son cheminement vers l’abnégation ?
Une chose est sûre, elle ne sortira pas indemne de sa quête d’absolu.
Je n’aime pas la notion de « vieux de la vieille » dans les forums et groupes bdsm. On y sent ce mépris à peine déguisé dans cette expression qui dit en gros « moi je sais… et vous, vous ne savez pas, bande de petits cons. »
J’essaie de me rappeler, quand j’étais « nouveau » dans ce milieu moi-même, il y a vingt ans, face aux pratiques dites bdsm. Les vieux du moment aussi se sentaient menacés par l' »ouverture du milieu », par toute cette déferlante de cultures alternatives entrant dans la culture populaire et mainstream, l’internet aidant.
Je les entends encore se lamenter : « aujourd’hui avec la nouvelle génération, le respect est moins présent »… Ou encore : « il y a moins de vrais pratiquants… »
C’était mieux avant?Aujourd’hui, ceux et celles qui se la jouent « vieux de la vieille » aiment bien se moquer des lecteurs de la trilogie « Fifty Shades of Grey » qui dénaturerait selon eux le vrai esprit du bdsm. À ce compte-là, je leur rétorquerais : pas plus pas moins qu’Histoire d’O, où l’on apprend en bout de ligne que Sir Stephen n’est qu’un membre d’un réseau international de prostitution… ni davantage que la trilogie de la belle au bois dormant d’Anne Rice où la soumise se transforme en domina… ni…
Cela dit, je considère que la néo-porno à la Upper Floor et la déferlante de photos léchées et de vidéos mal léchées dans Fetlife ou Hamster machin font bien plus de ravages dans les esprits et les pratiques, qu’un roman Harlequin sulfureux plutôt inoffensif. Tout de même, il suscite des vocations… :- )
Pourquoi? Parce que beaucoup croient que que ce qu’ils voient dans toutes ces photos et ces clips vidéos dans cette néo-porno, c’est ça du bdsm, que c’est comme ça que ça doit se passer dans une relation de pouvoir, que c’est ce qui attendu d’un « Maître » et d’une « soumise », que toutes ces disciplines olympiques, où l’ingéniosité rivalise d’adresse avec des dangers réels, sont la marque de vrais pratiquants estampillés catégorie A1…
Remarquez, c’est pas mieux avec toute la représentation du parfait dominant dans la trilogie d’E.L. James.
Les stéréotypes bdsm ont la tête dureJe vis la relation de pouvoir sur une base continue depuis la naissance de ce blogue en 2001.
Oh, pas avec la même personne. Plusieurs relations se sont succédé au fil du temps : des relations à temps plein, à temps partiel, freelance, en co-propriété, de couple, des rencontres coup-de-dés.
Quand je parle de relation de pouvoir sur une base continue (expression que je préfère à relation 24/7, qui mêle plus qu’elle n’éclaire), je ne dis pas que je me promène constamment avec une cravache en main, un contrat bdsm dans mon portefeuille, et que j’attends de ma compagne qu’elle m’offre son cul à tout bout d’champ pour une diablerie de mon cru.
Non. Je dis : base continue, dans le sens qu’à tout moment la femme qui se soumet à moi connait sa place dans notre relation et je connais la mienne. Tout comme elle reconnaît ma place et que je reconnais la sienne. Même si personne dans notre entourage ne peut percevoir un quelconque « signe » de soumission ou de domination.
Oh, forcément, ma vision d’une relation de pouvoir a évolué au fil du temps. Je n’aurais pas écrit le paragraphe précédent il y a vingt ans. Ma pensée a évolué, elle s’est construite au fil du temps sur des bases empiriques et pratiques, bien davantage que sur des bases théoriques plutôt inexistantes.
Ce qui était au départ l’exploration de fantasmes avec ma conjointe de l’époque, s’est transformé au fil du temps en façon de vivre mon intimité, ma sexualité, ma relation de couple, ma vie.
Phoque les clichésEt au fil du temps, je me suis aperçu que vivre la relation de pouvoir sur une base continue et saine, n’avait rien à voir avec les clichés véhiculés par la culture populaire, ni avec les nombreux mythes et légendes qui inondent Fetlife, y compris chez les gens « de la scène ».
Au moment où je réfléchissais à ces questions, bien en selle entre deux délicieuses, je suis tombé sur une entrevue donnée par Stefanos et Shay à Ayzad, un journaliste italien explorant les sexualités alternatives :
When my latest book was published last week, I was rather surprised by the prevalent reaction among both reviewers and readers alike. One of the most frequent comment to my beginners’ guide to sensible and healthy BDSM relationships is of amazement for its description of kinky games and mindsets so different from their “normal” portrayals – namely 50 shades of Grey and porn.
In fact, I had to stop and think to realize that I am privileged to see erotic domination and submission games from the vintage point of somebody with over a quarter of century of direct experience of this lifestyle.
This is more than enough time to get over the loads of bullshit about ‘true BDSM’ preached by most alternative media as well as the mainstream ones, but people inexperienced with the reality of the Scene are especially prone to believe its myths and legends.
As a matter of fact, most of them actually try to follow them to the letter – often to their disappointment.
Je vous laisse vous organiser avec la traduction, vous êtes de grandes personnes.
L’article Vivre la relation de pouvoir, et non pas la fantasmer est apparu en premier sur cercle O.
Ce fut une magnifique séance photo avec comme modèle tanyaML Photographe Tyka tous les accessoires de Les Anges Déchues sous le regard bienveillant de Monsieur Laurent
Encore de magnifique photos sur le petplay avec comme :
Modèle Amandine et tanyaML
Photographe Tyka
Accessoires Les Anges Déchues : Ici
Liste des accessoires : Collier , Pattes avant, Pattes arrière, queue en fourrure naturelle et synthétique
de 21h00 à 05h30
Découvrez le programme de la NUIT ÉLASTIQUE : dancefloor, shibari, grand bar, immense donjon SM, deux niveaux, l’un convivial et l’autre pour moitié artistique (piste de danse et shibari), pour l’autre carrément sulfureux, érotique, pervers et sexe + bien d’autres choses.
TICKETS EN PRÉVENTE Billetterie Weezevent PRIX DES TICKETS SUR PLACE ► Couple (une femme + un homme) = 50 €Capacité : 250 personnes.
1. Entrée et accueil accueil de la clientèle et des personnalités par Olivier Pé
3 grands écrans vidéo (vidéos fetish/SM en HD toute la nuit)
petite boutique fétichiste à prix discount
DONJON SM
avec le plus grand DONJON des soirées fétichistes parisiennes tout en longueur (le couloir des plaisirs hards)
avec une série de 10 cabines pour des jeux de domination/soumission érotique à 2 ou à 3
deux matelas géants en latex rouge à un mètre de hauteur accessible des 4 côtés pour vos jeux SM, vos exhibitions et vos délires de soumission/domination sexuelle
labyrinthe
glory holes
2 croix de Saint-André
…et, au fond du couloir des perversions : deux superbe slings
Photos (appareils photos, smartphones ou autres) STRICTEMENT INTERDITES dans la backroom.
TENUE FETICHISTE STRICTEMENT OBLIGATOIRE Tenue vinyle, latex, wetlook, simili-cuir ou cuir véritable strictement obligatoire.
PRÉSENTATION
Samedi 11 janvier 2020
de 21h00 à 05h30
Découvrez le programme de la NUIT ÉLASTIQUE : dancefloor, grand bar, immense donjon SM…
Deux niveaux, l’un convivial et festif avec le dancefloor et l’autre carrément sulfureux, érotique, pervers et sexe + bien d’autres choses.
Pour acheter vos tickets en prévente cliquez sur le logo ci-dessous :
Capacité : 250 personnes.
1. Entrée et accueil accueil de la clientèle et des personnalités par FrancisPhotos (appareils photos, smartphones ou autres) STRICTEMENT INTERDITES dans la backroom.
TENUE FETICHISTE STRICTEMENT OBLIGATOIRE Tenue vinyle, latex, wetlook, simili-cuir ou cuir véritable strictement obligatoire.C’est avec bonheur que Nnous avons mis Nnos accessoires à disposition pour belle séance photo :
Photographe Tyka
Modèle Amandine
tanyaML
Accessoires Les Anges Déchues
:
Colliers
Pattes avant
Pattes arrières
Queue
Chaque mois, les 40 premières places pour la Nuit Élastique sont proposées au tarif promotionnel et unique de 10 € par personne. Comment en profiter ? C’est très très simple il vous suffit d’acheter votre place en prévente en ligne sans perdre de temps afin de figurer parmi les 40 premières personnes à faire votre réservation.
Lors de nos soirées de décembre 2017 et de janvier 2018, nous avons proposé aux 25 premières personnes qui ont acheté leurs entrées au tarif promotionnel de 10 €. Une offre qui a connu un succès fulgurant et extraordinaire, ces 25 premières réservations (majoritairement achetées par des couples) ont été vendues tellement rapidement que vous avez été nombreuses et nombreux à nous contacter en regrettant de ne pas avoir pu en profiter.
C’est pourquoi, nous avons décidé de proposer non plus à 25 personnes de profiter de cette offre mais désormais aux 40 premières personnes (femme, travestie, transsexuelle ou homme, peu importe). Pour un couple hétérosexuel, transgenre, lesbien ou gay, il suffit tout simplement d’acheter 2 places.
Profitez-en, n’attendez pas qu’il soit trop tard !
Pour profiter de cette offre pour notre soirée du samedi 13 avril 2019 cliquez ici.
de 21h00 à 05h30
Découvrez le programme de la NUIT ÉLASTIQUE du samedi 13 octobre 2018 avec son dancefloor unique, son espace shibari, son grand bar, son immense donjon SM, ses deux niveaux et plein de surprises pour une nuit originale et radicalement fétichiste.
TICKETS EN PRÉVENTE Billetterie Weezevent PRIX DES TICKETS SUR PLACE ► Couple (une femme + un homme) = 50 €Capacité : 250 personnes.
1. Entrée et accueil accueil de la clientèle et des personnalités par Olivier PéPhotos (appareils photos, smartphones ou autres) STRICTEMENT INTERDITES dans la backroom.
TENUE FETICHISTE STRICTEMENT OBLIGATOIRE Tenue vinyle, latex, wetlook, simili-cuir ou cuir véritable strictement obligatoire.Vous avez acheté une ou plusieurs places pour l’une de nos soirées et vous n’avez pas pu vous y rendre. Pas de problème, ces places sont échangeables contre des places pour l’une de nos futures soirées.
Utilisez le formulaire ci-dessous pour nous envoyer votre demande d’échange de place(s).
Important
Toute demande d’échange doit se faire après la soirée que vous avez ratée.
Vous devez obligatoirement mentionner l’e-mail exact avec lequel vous avez effectué cet achat.
Vous devez choisir la date de la soirée choisie en échange.
Nous possédons la liste des réservations et des personnes présentes.
Un e-mail de confirmation vous sera envoyé si votre demande est validée.
Envie d’un T-shirt aux couleurs de la Nuit Élastique ? C’est possible, c’est simple, la livraison est discrète et rapide. Dans sa boutique, la Nuit Élastique propose un large choix de T-shirts, de sweat-shirts et de goodies avec le logo de la soirée mais également des T-shirts qui vous permettrons d’afficher vos goûts et vos préférences dans les soirées fétichistes avec des logos au graphisme simple mais élégant. T-shirts au choix : Nuit Élastique, Slave, Fetish, Master et bien d’autres proposés en noir, en rouge vif ou en rose. Le produit star : l’ours en peluche avec son T-shirt « Nuit Élastique ».
Découvrez toute la gamme en cliquant ici : Boutique Nuit Élastique
Conjurer le sort est une activité shamanique, il n’y a pas de doute.
C’était même pas planifié, ni pressenti, que je sorte mon fouet du sac à ce moment précis, à cet endroit, sachant que mademoiselle… la première fois… une mauvaise expérience… il y a longtemps… à cause d’un pauvre (mot inaudible)…
Il était là, le fouet. Je l’ai pris sans me demander, sans me poser de questions. Il s’est imposé à ma conscience, comme une évidence, un éclat de cohérence.
Soupir. Je fus aussi surpris qu’elle le fut. Même le fouet fut surpris, je suis certain.
Je suivis le mouvement. Ce mouvement était bon. Je devrais dire : ces mouvements. Tous ces élans géométriques patiemment construits grâce à la collaboration exemplaire de l’épaule, les bras et le tronc. Tous ces élans calibrés en temps réel, maniés de telle sorte que la lanière aille exactement là où je le souhaitais.
Grâce à ce beau cadeau que m’a offert ma pouliche il y a déjà plus d’un an, je découvre dans l’art du fouet une danse électrique, très baroque ici dans cette lumière, ce lieu, ce décor un brin rococo, cette position de la femelle que j’affectionne tant.
Elle devint haletante, ladite femelle, aux premiers claquements du fouet; je le devins.
La langue du dragon gifla, elle cria, dansant sous la pluie des élans éoliens sonores. Les rayons de soleil qui traversaient les jalousies jalousaient les effets de la flagellation sur la chair boursouflée et rieuse.
Je me transformai en paratonnerre exalté, bien ancré, assez solide pour recevoir toute cette pleine décharge érotique tantrique accumulée qu’elle me transmettait de tout son corps and beyond.
Apprivoiser la bête, c’est le mot. Il n’y a pas de doute.
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> à 10 mètres de la Nuit Elastique
Hôtel Saint Honoré – 85 rue Saint Honoré – 75001 Paris.
24 chambres, ascenseur, climatisation, coffre fort, TV écran plat, chaînes thématiques, petit-déjeuner buffet et wifi gratuit.
Prix : de 144 € à 359 € la nuit.
Site web : http://www.hotelsthonore.com/
> à 62 mètres de la Nuit Elastique
Hôtel du Pont Neuf – 20 rue du Roule – 75001 Paris.
Cadre chaleureux et familial. Chambres au confort standard de base toutes équipées d’un grand lit double, d’un bureau, du téléphone et disposent de leur propre salle de bain privative. Une connexion wifi gratuite est disponible à l’accueil et dans la majorité des chambres. Petit déjeuner continental avec boissons chaudes, jus, viennoiseries, beurre et confiture proposé chaque matin. L’hôtel ne dispose ni de parking ni d’ascenseur.
Prix : de 89 € à 127 € la nuit.
Téléphone : +33 1 42 33 05 18
Site web : http://www.hotelpontneuf.com/fr/index.html
> à 230 mètres de la Nuit Elastique
Best Western Premier Louvre Saint-Honoré – 141 rue Saint Honoré – 75001 Paris.
Chambres climatisées équipées d’une télévision par satellite à écran plat, d’un minibar et d’une cafetière. Toutes les chambres sont dotées d’une salle de bains privative comprenant un peignoir et des équipements. Certaines chambres disposent d’un balcon. Petit-déjeuner buffet tous les matins. Un petit-déjeuner continental peut être servi dans votre chambre. Réception ouverte 24h/24 et une connexion Wi-Fi gratuite.
Prix : de 205 € à 278 € la nuit.
Site web : http://www.bestwesternpremier-louvresainthonore.com/fr/index-fr.html
> à 400 mètres de la Nuit Elastique
Hôtel Flor Rivoli – 13 rue des Deux Boules – 75001 Paris.
Connexion wifi gratuite, insonorisation, coffre-fort, ascenseur, réception ouverte en continu, consigne à bagages, parking public à proximité (en supplément). Le petit-déjeuner est servi soit dans la salle de petit-déjeuner, soit dans votre chambre. Il est composé de jus d’orange, de boissons chaudes, de pain, de confiture et de croissants.
Prix : de 78 € à 115 € la nuit.
Téléphone : +33 1 42 33 49 60
Site web : http://www.hotel-paris-florrivoli.com/index.html
> à 4300 mètres de la Nuit Elastique
> accès direct en métro par la ligne 11 de Châtelet (soirée) à Belleville (hôtel)
> 6 stations de métro (10 minutes)
Hôtel de l’Europe Belleville – 10 rue Louis Bonnet – 75011 Paris.
Les chambres comprennent une télévision à écran plat et une connexion Wi-Fi gratuite.
Prix : de 42 € à 65 € la nuit.
Site web : http://www.hoteldeeuropebelleville.website/
> à 6300 mètres de la Nuit Elastique
> accès direct en métro par la ligne 1 de Châtelet (soirée) à Saint-Mandé (hôtel)
> 9 stations de métro (15 minutes)
ibis budget Paris Porte de Vincennes – 2 avenue Léon Gaumont – 75020 Paris.
Accès internet (wifi dans les parties communes et dans la chambre), parking privé couvert, petit-déjeuner et distributeur de sandwiches et de boissons.
Prix : de 49 € à 75 € la nuit.
Site web : https://www.accorhotels.com/fr/hotel-3086-ibis-budget-paris-porte-de-vincennes/index.shtml
de 21h00 à 05h30
Découvrez le programme de la NUIT ÉLASTIQUE du samedi 11 août 2018 avec son dancefloor unique, son espace shibari, son grand bar, son immense donjon SM, ses deux niveaux et plein de surprises pour une nuit originale et radicalement fétichiste.
PRIX DES TICKETS EN PRÉVENTE(sur internet, uniquement par carte bancaire)
PROFITEZ DES TARIFS RÉDUITS ► Profitez de l’une des 40 premières places vendues au prix promo de 10 €Capacité : 250 personnes.
1. Entrée et accueil accueil de la clientèle et des personnalités par Olivier PéPhotos (appareils photos, smartphones ou autres) STRICTEMENT INTERDITES dans la backroom.
TENUE FETICHISTE STRICTEMENT OBLIGATOIRE Tenue vinyle, latex, wetlook, simili-cuir ou cuir véritable strictement obligatoire.Apprivoiser la « bête »! Voilà ce que Monsieur m’a offert. Une surprise… je ne m’y attendais vraiment pas.
Après une chaude fessée au rythme effréné, j’attendais là la suite de ses malices, dans la position que Monsieur affectionne tant. J’attendais donc, les yeux fermés, haletante, entendant ses pas mener vers ce que je crois être son sac. Que faisait-il? Quelle serait sa prochaine inspiration?
Ce n’est qu’en écoutant le silence rompu par un sifflement dans l’air que je comprenais ce qui allait se produire. Surprise j’étais et pourtant, je reconnaissais bien là mon Maitre. Cette façon qu’Il a de conjurer le sort.
Il est vrai que mon esprit gardait encore une marque vive d’une mauvaise expérience vécue il y a longtemps avec la mauvaise personne.
Craignant donc la puissance et l’ardeur de ce qu’il maniait, j’offris à Monsieur tout de même ma chair. Mon coeur s’emballait. Je retenais mon souffle, espérant être à la hauteur de ce combat que je m’apprêtais à livrer.
J’entendais le tourbillon dans l’air, je sentais le vent autour de moi, et… ouf… une première morsure, puis une seconde aussitôt.
Oh quelle sensation étrange! Telle une enchaînée habituée à son sort, ma croupe allait pourtant pour la première fois à la rencontre de cette langue chaude… cette langue de feu. Une langue sensuelle… très différente de celle gravée dans ma mémoire.
Les morsures se poursuivirent une à une, je me sentais animée par une musique… celle de ma voix intérieure qui chantait : « encore, Monsieur… encore, je vous prie! »
Que c’était bon!
Mon cul s’ouvrait à la rencontre de chacun des impacts et je sentais ma jouissance poindre à l’horizon. Chaque coup me rapprochait de ce geyser enfoui au creux de mes jambes. Et un autre… encore un autre… et puis… ahhhh!!! « Monsieur, puis-je jouir, Monsieur, s’il-vous-plait? »
Avec la permission de mon Maître, je me suis liquéfiée, j’étais bouleversée, pleine et vide à la fois… enveloppée d’une nouvelle chaleur.
Je venais de découvrir le pouvoir du fouet lorsque manié avec coquinerie et bienveillance. Je venais de découvrir une autre facette de moi… une autre facette de Monsieur. Nous venions de parcourir de nouveaux lieux.
Je reste encore pleine de cette aventure et en savoure encore tout son goût, ses arômes. Un parcours au fond de moi. Je ne m’y attendais pas et… Monsieur non plus, m’a-t-il appris, par la suite. Quel voyage!
Merci Monsieur!
L’article Sa langue chaude est apparu en premier sur cercle O.
Cela fait longtemps que vous aimeriez participer à une soirée fétichiste ? Vous avez encore quelques craintes ? Je vais tenter en quelques lignes de vous décrire exactement ce qu’est vraiment une soirée fétichiste, sans langue de bois, sans exagérations, sans slogans publicitaires.
Il faut d’abord bien comprendre que le milieu fétichiste et BDSM n’est pas réservé à une élite, nul besoin d’être parrainé ou de payer une fortune pour y accéder, tout cela n’est que pures inventions et fantasmes de certains médias et de journalistes en manque de sensationnel. C’est d’ailleurs un univers bien moins sulfureux, codé et hors normes que vous ne l’imaginez, la Nuit Élastique en est d’ailleurs le meilleur des exemples : l’ambiance y est sexy mais détendue, ouverte mais clairement orientée sur les plaisirs vinyle, latex, cuir, bondage, shibari et BDSM, respectueuse et tolérante.
Cessez de vous prendre la tête, d’imaginer des hordes de dominatrices vous imposant contre votre gré des pratiques qui vous rebutent et de penser que si vous venez seule(e) vous ne pourrez que restez abandonné(e) dans un coin de salle. Non, non et non, la Nuit Élastique est un espace fait pour les rencontres et les contacts, toutes les rencontres et tous les contacts, pas uniquement un lieu de drague ou de pratiques directes mais avant tout un lieu où l’on commence par se faire des ami(e)s qui partagent vos goûts. C’est en vous créant petit à petit un petit cercle de connaissances que vous vous faciliterez ensuite des contacts avec qui vous pourrez partager des pratiques érotiques fétichistes et/ou BDSM si c’est ce que vous cherchez.
Oubliez vos craintes, osez la Nuit Élastique !
Voici les quelques règles qu’il vous faut respecter obligatoirement, vous verrez c’est très simple :
• avoir + de 18 ans (cela va de soi mais nous préférons le rappeler quand même).
• respecter le « dress code » (en français : la tenue à respecter) vinyle, latex ou cuir (y compris simili-cuir). Le minimum étant d’avoir un pantalon ou une jupe dans l’une de ces trois matières. La couleur n’a pas d’importance, libre à vous de porter du vinyle rose, du cuir rouge, du latex bleu si vous préférez ces couleurs au noir classique. Par contre tout non-respect de cette règle nous obligera à vous refuser l’accès à notre soirée même si vous êtes en possession d’un ticket acheté en prévente. Cette règle vaut bien sûr pour tout le monde : femme, travesti, transsexuelle ou homme que vous soyez seul(e) ou en couple.
• respecter les autres participant(e)s, vous êtes libre de donner ou de recevoir la fessée, de vous caresser entre vous, de lécher des bottes ou des pieds… mais après en avoir clairement demandé l’autorisation à votre partenaire du . Il est strictement interdit de toucher les autres participant(e)s sans leur accord, si vous ne respectez pas cette règle essentielle de savoir-vivre nous ferons appel à notre service de sécurité pour vous exclure de notre soirée. Galanterie, politesse, respect et tolérance sont des de rigueur chez nous, vous n’êtes pas dans une zone de non-droits.
• payer votre entrée soit en achetant votre place en prévente (en exclusivité sur internet) ce qui vous permettra de faire une vraie économie ou sur place lors de votre arrivée.
À savoir :
– vous pouvez vous changer sur place.
– nous disposons d’un vestiaire (2 € par article : sac, manteau, etc.)
– vous payez sur place en entrant vos planches de 5 tickets boissons par Carte Bancaire ou en espèces (5 boissons pour 20 €). Vous pouvez évidemment acheter d’autres tickets ou non ensuite ou dès votre arrivée (une planche par couple ou personne seule)
Enfin, et en ces temps de crise c’est encore plus important que d’ordinaire, il existe des multiples moyens de bénéficier de réductions, le plus simple étant d’acheter ses places et même ses tickets boissons en prévente sur internet (anonymat garanti) par carte bancaire. Vous pouvez acheter ceux-ci jusqu’au jour même de la soirée (jusqu’à 18h00 précises). Vous ferez ainsi une économie de 25% voire plus si vous vous êtes inscrite ou inscrit à la newsletter de la soirée qui vous permettra de recevoir un « code de réduction » qui vous fera économiser de 50% à 60% sur prix d’entrée pratiqué sur place. Le système est très simple, vous faites votre commande, vous payez en ligne, une confirmation vous est envoyée par e-mail ou SMS par l’organisme de paiement et c’est terminé. Il vous suffira de donner ensuite votre nom ou pseudo à l’entrée de la Nuit Élastique et c’est tout. Inutile d’imprimer votre réservation, le nom ou pseudo sous lequel vous aurez réservé figurera sur la liste à l’entrée.
Vous trouverez de nombreuses informations supplémentaires sur le très beau site de la soirée ainsi que des galeries photos :
www.nuitelastique.com
Wajdek Zbiniev
Les fétichistes du latex, à l’initiative de la créatrice française la plus réputée Mademoiselle Ilo et de son équipe, semblent avoir désormais leur soirée parisienne et qui semble devoir bien s’installer dans le calendrier des soirées fétichistes qui comptent puisqu’il s’agit déjà de la quatrième édition en quelques mois. Et tout cela dans un lieu qu’ils définissent eux-mêmes comme sublime pour une soirée extraordinaire !
Page Facebook : https://www.facebook.com/Latex-Addict-1809157199350043/
Préventes
Couple : 40 € avec 2 consommations
Homme seul : 55 € avec 1 consommation
Préventes disponibles à l’atelier de Mademoiselle Ilo.
A la porte
Couple : 60 € avec 2 consommations
Homme seul : 75 € avec 1 consommation
C’est toujours un plaisir de venir s’épanouir aux Nuit élastique sans se demander si notre tenue est à la hauteur de la soirée, car ici il ne s’agit pas de cela. Bien que la tenue fetish soit de rigueur, ce n’est pas ce que vous portez qui fera ce que vous êtes mais plutôt ce que vous faites. Subir ou infliger, seulement regarder ou participer, nous sommes libre de pratiquer le BDSM et c’est cela qui me fait venir au Nuit élastique.
Ouverture d’esprit, tolérance, respect, amusement, perversion, débauche, BDSM, tant que cela perdurera, vous pouvez compter sur moi !
Lucie (juin 2018)
« Très chouette soirée où j’ai pu rencontrer un doggyboy »
Puppie (août 2017)
« Très chouette soirée en compagnie d’un gentil « chien » rencontré lors de celle-ci, au mois prochain ! »
Vera (août 2017)
« Excellente soirée, une ambiance toute particulière et unique liée au nouveau lieu, nouveau lieu trash et cool, propices aux délires les plus débridés made by la Nuit Elastique. »
Michel (août 2017)
Soirée très sympathique, de nouvelles têtes !
Olivier (août 2017)
« Merci beaucoup Francis pour la soirée super cool. L’équipe est super sympa ! DJ Diamond 999 est vraiment géniale ! »
Sandrine (novembre 2016)
« Merci encore pour cette merveilleuse soirée ! C’était vraiment génial ! A très bientôt ! »
Sacha (novembre 2016)
« Un énorme bravo et merci à Francis Dedobbeleer pour cette extraordinaire et mémorable Nuit Elastique, une super ambiance, des gens en nombre et de qualité, des DJs de talent, un gros merci en passant à DJ Plexe, DJ et DJ Francis Loup pour la qualité de leurs sets, il n’y a vraiment qu’eux pour nous faire danser comme ça et bravo Monsieur M et sa modèle d’avoir fait vivre et briller l’espace shibari, un bonheur que le spectacle que vous nous avez offert ! Nous avons étés gâtés, comblés ainsi que nos amis venus de si loin pour avoir le plaisir de vivre et de partager avec nous cet événement à part. Un tel bonheur également d’avoir la chance et le plaisir de partager ces moments si beaux avec tant d’amis rayonnants merci à tous et à toutes d’être vous, tels que vous êtes. »
Christophe (août 2016)
« Quelle soirée incroyable ce fut celle hier soir ! Christophe et Violaine, votre performance fut délicieuse. »
Cherry (août 2016)
« Expérience surréaliste à la Nuit Elastique hier. C’était trop cool ! Énorme photo par Paradoxal Studio. Beaucoup d’amour à vous tous. »
Daniela (août 2015)
« Merci, oui, une très agréable soirée. »
Denis (août 2016)
« Merci Francis pour toutes ces bonnes soirées que tu fais depuis un certains temps elles sont parfaite ! A bientôt tchaooooo ! bizzzzzz !
Franck (juillet 2016)
« Un bien bel anniversaire hier à la Nuit Élastique. Le plaisir de revoir les amies et de rencontrer certains en réel. Une belle soirée avec un accueil et une équipe fabuleuse, merci à vous tous. »
Sophie La Dissidente (juin 2016)
« Un très bon moment passé à la Nuit Élastique, un accueil sympathique et agréable. »
Noire Désir (juin 2016)
« J’ai passé une excellente soirée encore une fois, toujours en très bonne compagnie. Merci à toutes et tous et à très bientôt sans aucun doute. »
Amber Capricious (mai 2016)
« Merci de ces nuits mix de voyeurisme, d’exhib et… surtout d’y garantir un minimum d’anonymat « pas de photo » de plus en plus rare en notre société hyper contrôlée ».
Adepte occasionnel.
Chris (mai 2016)
« Merci Francis pour cette belle Nuit Elastique. La programmation musicale était parfaite, très bonne ambiance. »
Daniela (février 2016)
« Génial. »
Arnaud (janvier 2016)
« Merci de votre accueil toujours aussi chaleureux et convivial. Nous nous réjouissons à chaque fois de pouvoir vous retrouver.
Amicalement, »
C & V (novembre 2015)
« Succès du nouveau lieu de la Nuit Elastique + d’espace, + de matériel lourd , + d’ambiance, tout y était. Je vote pour ! »
Corinne (septembre 2015)
« Un lieu exceptionnel et des mecs très sympas. »
Soubrette (novembre 2013)
Objet d’un rapt au sortir d’un bar de nuit, le narrateur reprend conscience le lendemain dans un manoir isolé, entre les barreaux d’une cage, entièrement nu. Il sera contraint aux derniers avilissements, soumis à la toute-puissance sadique d’un duo vénéneux de frère et sœur résolu à le réduire en esclavage sexuel.
Ce roman confine dans le huis clos de son intrigue des protagonistes pervertis à cœur, un régime autoritaire subi et observé par un homme en déroute identitaire. Sous peine de dissolution dans la folie d’autrui, il devra alors s’absorber dans une intense résistance intérieure afin de préserver l’essence de son intégrité. Son cheminement, dans une réclusion percluse de violences et de sévices, l’amènera à s’interroger sur lui-même, sur son rapport au monde, et lui fera entrevoir les niches secrètes de la liberté la plus intime.
Pour la quatrième édition consécutive, le Sadique-Master Festival revient sur Paris et s’impose comme l’événement cinématographique le plus « infâme » (ce sont les propres termes des organisateurs) du pays.
Cette année encore, la débauche se déroule sur un week-end de trois jours au Cinéma les 5 Caumartins, situé juste à coté de la gare Saint-Lazare.
Le premier festival français consacré uniquement au cinéma underground extrême.
Adresse : Cinéma Les 5 Caumartin – 101 rue St Lazare – 75009 Paris.
Plus d’informations sur le site du ce festival ci-dessous :
www.sadique-master.com/sadique-master-festival-2018-4eme-edition/
Le cockring, de l’anglais « anneau de queue », est un jouet sexuel pour les hommes. Cet anneau pénien permet à tous les hommes d’améliorer leur virilité, leur plaisir, mais aussi le plaisir de leur partenaire !
A quoi sert-il ?Le cockring à 4 fonctions principales
1- Il joue un rôle esthétique et érotique
Le cockring permettant aux bourses et au pénis d’être légèrement plus en avant, l’homme remplira plus aisément son sous-vêtement et donc mettra plus en valeur son entrejambe dans son pantalon. En outre, une fois nu, il déclenchera chez son/sa partenaire un stimulus visuel non négligeable.
2- Il permet de grossir le pénis
Comme le cockring « bloc » la circulation sanguine dans le pénis, celui-ci est mieux irrigué et donc plus gros. Les veines sont plus visibles et le gland devient plus proéminent.
3- Il lutte contre les pannes sexuelles
En effet, comme l’anneau bloc le reflux sanguin, la verge à moins de risque de se ramollir. L’érection est donc plus facile à avoir, mais surtout à garder.
4- Il augmente les plaisirs de tous et l’orgasme
Le gland étant mieux irrigué, cette zone extrêmement sensible et érogène permet de percevoir plus facilement du plaisir. En outre, la base de la verge étant légèrement compressée l’éjaculation sera plus lente à venir, ce qui peut permettre à une femme d’atteindre plusieurs orgasmes. Cependant, l’éjaculation peut-être plus forte en sortie, mais aussi en ressentie, ce qui peut accroitre l’orgasme masculin !
Comment choisir son cockring ?
Il existe différentes matières et différentes formes de cockrings.
Le set de trois anneaux. Facile à utiliser, il est donc recommandé pour s’habituer à son utilisation. Le plus important à déterminer est la taille de l’anneau. Comme tous les hommes n’ont pas le même pénis, ni les même bourses, un cockring pourra être trop grand ou trop petit. S’il est trop grand, le cockring perdra en efficacité et ne servira donc à rien. Mais s’il est trop petit, il risque de faire mal et même d’augmenter les risques de priapisme, d’hématomes à causes de veines qui éclatent et de bloquer l’éjaculation. C’est pour cette raison que les anneaux sont vendus généralement à prix très peu élevé, ils sont généralement en en sorte ce caoutchouc permettant de l’enfiler puis de permettre un serrage optimal.
L’anneau à bouton pression. Ici le cockring est vendu seul avec des plusieurs boutons pressions qui permettent de l’ajuster à votre taille. Il est généralement en cuir. Il permet de choisi le bon dosage de pression et s’adapte à tous les pénis.
Le cockring vibrant. L’anneau se positionne à la base du pénis en érection avec la tête vibrante sur le dessus pour exercer une pression directe sur le clitoris lors du rapport sexuel. Les vibrations s’activent et s’arrêtent en poussant le petit bouton situé sur le côté de la pile. La durée des vibrations est d’au moins 20 minutes. L’anneau est à usage unique et peut être utilisé avec ou sans préservatif.
Conseils
Un cockring à la bonne dimension doit nager légèrement quand le sexe est au repos et créer une pression plus ou moins forte en érection (suivant le confort de chacun).L’anneau à bouton pression est souvent un très bon cockring de départ. Car avant de s’habituer à ce genre de sextoy et à ses effets, beaucoup d’hommes, à la première utilisation, peuvent-être surpris voir effrayés par la grosseur de leur sexe. Prêt à se jeter sur une paire de ciseau pour couper l’anneau pénien de peur qu’ils restent coincés. Avec cet anneau à pression, même durant l’érection, vous pourrez changer la taille, alors qu’avec tous les autres cockrings, il faudra attendre la phase de repos pour pouvoir le retirer et le changer !Avec le temps, vous connaitrez le diamètre idéal et pourrez ainsi investir dans un cockring de meilleure qualité. Qu’il soit en caoutchouc, en latex, en cuir ou en acier, tous les cockrings ont le même résultat. Seul l’aspect esthétique diffère. En outre, de nombreux hommes finissent par en avoir plusieurs, leur permettant ainsi de le changer selon leur envie.
Comment s’installe un anneau pénien ?
Le cockring se met toujours quand le pénis est au repos ! Pour le cockring simple, il suffit de passer l’anneau dans la verge, puis de faire passer les testicules, une par une, dans l’anneau. Pour le cockring à bouton pression, il suffit de l’ouvrir, de le faire passer derrière les testicules et de le fermer à la base de la verge.
Derniers conseils
Un cockring n’est pas simplement réservé à vos ébats amoureux, vous pouvez très bien le porter 24h/24. Si c’est le cas, prenez en compte ces derniers conseils :
Vous trouverez un choix large et intéressant de cockrings en cliquant ici.
24Même si Paradoxal Studio (qui est un seul et unique être humain) est très loin d’être un photographe spécialisé dans la photo de reportage de soirées puisqu’il préfère le travail en studio et les portraits, il vient néanmoins de temps à autre mettre son immense talent au service de notre soirée pour y capter ces petites touches de l’ambiance si particulière de la Nuit Elastique.
Voici ici rassemblées les photos qu’il a réalisé durant plusieurs années, il ne publie que les meilleures comme tous les photographes de talent dignes de ce nom.
Au fil des années des articles dans la presse magazine, des interviews radio ou télé et, enfin, des articles dans les magazines internet ont été consacrés à la Nuit Elastique. Nous ne sommes pas parvenus à tous les retrouver (certains sont même parus sans que nous ne le sachions) mais l’essentiel est ici. Bonne lecture vu du côté des journalistes « normaux ».
PARIS DERRIÈRE – Mars 2015
LES INROCKS – Février 2014
LELO – Janvier 2014
STREET PRESS – Octobre 2011
COUPLES MAGAZINE – Mars 2010
VSD – Août 2004
VIRGIN MEGAPRESSE – Mars 2001
NOVA MAGAZINE – Mars 2001
FHM – Janvier 2001
Le mois de Décembre est un mois particulier pour moi. C’est un Mercredi 3 Décembre que Nnous Nnous sommes rencontrés pour la première fois. je me souviens de tout comme si c’était hier. Le temps est passé tellement vite… je veux pouvoir profiter de chaque moment passé avec Lui sans en perdre une miette. je L’aime comme au premier jour. Il m’a tant apporté, Il m’apporte tant et Il a encore tant à m’apporter.
je ne m’imagine pas revenir à la vie vanille. je la trouve trop fade trop insipide.
Le monde vanille est trop compliqué à mon gout. Les relations hommes femmes sont trop compliquées. Ils se disent blanc alors qu’ils pensent gris, bleu alors qu’ils pensent vert.
Nnotre relation est plus « saine », pas de mensonge. Dire ce que l’on pense mais avec les formes. Bref être soi pour le meilleur et pour le pire. Etre soi même dans tout ce qu’il y a de plus sombre.
Etre soi envers et contre tout.
Sakura Kikaku est une maison de production de vidéos X installée depuis 2004 dans le quartier de Shibuya à Tokyo, ce quartier dont le monde entier connait cet incroyable carrefour toujours filmé depuis les hauteurs où deux passages pour piétons se croisent en un gigantesque X, ce qui pourrait être un symbole si n’est que la pornographie n’est pas signalée au Japon par un X et que de toute manière le quartier est avant tout connu pour ses boutiques de mode aux prix modérés (c’est dans un tout autre quartier, Ginza, que se trouvent les boutiques de mode de luxe ainsi que beaucoup de clubs à hôtesses y compris SM et fétichistes) toujours débordant de jeunes filles surexcitées dépensant tout leur argent de poche dans un fureur pleine d’une absurde urgence.
La grande, et quasiment unique, spécialité de cette maison de production est l’exhibitionnisme mais nous sommes loin de l’exhibition sexuelle à l’allemande (collection « Breaking Taboo » realisée par les propriétaires du Kit Kat Club) ou à l’américaine (collection « Public Disgrace » produite par Kink). Au travers de sept collections, Sakura Kikaku décline l’exhibitionnisme à la japonaise mais pour un occidental les différences entre les différentes séries apparait comme homéopathique. Pour autant, que l’on soit occidental ou Japonais il semblerait que tout le monde s’accorde à trouver une des collections immédiatement supérieure aux autres, celle dont le titre se traduit par quelque chose proche de « exhibition publique » (mais les Japonais aiment tant les jeux de mots et ma maitrise de la langue laissant encore beaucoup à désirer, il s’agit d’une traduction plutôt approximative), disons qu’il s’agit de la série incluant MPD dans ses références, c’est plus sûr. C’est évidemment la série où les DVD sont aussi les plus chers, eh oui c’est comme ça : 8400 yens par titre (soit environ 70 euros, ce qui constitue vraiment un tarif très élevé en Europe mais assez répandu dans le X japonais).
Le principe de chaque titre (une cinquantaine déjà parus au moment où je rédige cet article) est très très similaire, on pourrait alors craindre que l’on ne se lasse mais, bien au contraire, c’est plutôt additif. Chaque DVD nous montre les débuts, réels ou supposés, d’un starlette du porno nippon (il n’y a pas de vraies stars dans cette collection) dans l’exhibitionnisme, et quand on dit exhibitionnisme, entendons-nous bien il s’agit bien des’exhiber nue dans des lieux publics de jour comme de nuit. La jeune femme est toujours seule, en tout cas au début du film qui n’est composé que de cinq ou six scènes filmées sans coupure ni montage, quelque part dans une rue ou un bar de Tokyo, un endroit que l’on situe toujours assez aisément : Shinjuku, Shibuya, Akihabara… Elle semble toujours très intimidée et pas vraiment au fait de ce qu’elle va devoir faire mais la choix de sa tenue franchement sexy et hyper provocante nous laisse supposer que tout cela fait plutôt partie du rôle que l’on lui a demandé de tenir. Toujours est-il que quand la séance d’exhibition commence, ils y vont franchement ! Et si l’on peut supposer qu’il y a parfois des complices qui se font passer pour d’innocents passants, la plupart du temps il ne peut s’agir que de vrais passants, il ne peut y avoir aucun doute à ce sujet.
Dès le départ, le rapport entre l’actrice et le réalisateur est vraiment un rapport de soumission et de domination, le réalisateur, qui est seul, pas de preneur de son ou d’assistant sans doute pour des raisons de discrétion, reste caché derrière sa caméra et donne des ordres que la jeune femme exécute toujours, tout en prenant bien soin de signaler (ou de souligner ?) que cela la gêne beaucoup d’être tenue de montrer sa culotte en pleine rue, de devoir se goder dans le métro où les quelques salaryman (hommes d’affaires et employés de bureaux) présents n’osent pas lever les yeux (ce qui est le comportement courant de habitants de Tokyo qui ne regardent jamais franchement leurs voisins) ou de se mettre nue dans des toilettes publiques où les hommes sont par contre un peu plus « aventureux » mais qui ne touchent jamais l’actrice sans l’autorisation, l’invitation voire même l’insistance du réalisateur ou d’aller s’offrir durant la nuit à un groupe de SDF. Les choses sont manifestement bien calculées en fonction des « capacités » de l’actrice par le réalisateur qui dirige tout de sa voix douce et ponctué de rires très personnels qui font beaucoup dans le charme et la magie de ses films. On sent parfois qu’il comprend en cours de tournage que son actrice est capable de bien plus d’audace qu’il ne l’avait prévu au départ et il passe alors à la vitesse supérieure en lui ordonnant de nouveaux défis. On le sent alors, tout comme nous, fasciné par cette obéissance absolue, quasiment aveugle, de son actrice qui passe alors indiscutablement au statut de soumise. On bascule à ce moment-là dans un monde magique et fascinant, où une jeune femme absolument mignonne se livre aux regards de dizaines d’inconnus dans des lieux publics totalement incongrus et parfois farfelus (au milieu de pêcheurs, dans des quartiers peuplés d’otakus (fans de jeux vidéo, collectionneurs obsessionnels ou obsédés sexuels à grosses lunettes), à la sortie des bars de Golden Gai à Shinjuku, dans un passage souterrain, dans un parc public à l’aube… Bref, au fil des vidéo, on fait le tour de tous les quartiers de Tokyo.
Sakura Kikaku est indiscutablement une des meilleures sociétés de production de vidéo d’exhibitionnisme extrême, les actrices y sont généralement adorables et loin des stéréotypes de l’actrice de porno, le rapport de soumission et de domination y est d’une force incroyable, les scènes y sont souvent époustouflantes. On ne peut que tomber follement amoureux de ces jolies soumises exhibitionnistes, en tout cas moi c’est toujours l’effet que ça me fait. Je crois que je suis accro.
Francis Dedobbeleer
Site officiel de Sakura Kikaku : http://sakurakikaku-dl.com
Une petite sélection des photos réalisées par notre photographe Daniel GPC lors de nos soirées de janvier, de mars et de mai 2017. Evidemment ce qui s’y déroule de plus osé n’y figure pas car nous respectons l’intimité des participant(e)s et une totale discrétion. Pour en voir et en faire plus… il n’y a qu’une seule solution : participer à l’une de nos soirées.
Caliner, Consoler : Lorsqu’Il m’a connu, contrairement aux apparences je manquais cruellement de confiance en moi. j’avais besoin de réconfort pour être capable d’affronter les vicissitudes de la vie. Sur certains points j’avais tendance à être un peu dilettante. je ne préparais pas suffisamment mes présentations de mes rendez-vous, comptant toujours sur l’improvisation. IL m’a appris la rigueur, la patience. j’avais déjà la hargne et la tenacité. Mais grâce à Lui je suis devenue plus diplomate, plus tolérante. Parfois Il me trouve même trop diplomate. j’en suis super contente. Plus d’une fois il m’est arrivé de ressentir de la peine, d’être blessée pour des propos lu ou entendu à mon égard. Grâce à Lui j’ai appris à ne plus être touchée, froissée, blessée par des propos tenus par des gens que je ne connaissais pas plus que cela. Ou pour faire simple à continuer mon chemin en laissant aboyer les chiens, par dépit, jalousie, mesquineries ou tout simplement par bêtise. Tot le monde ne peut pas avoir une vie bien rempli.
je ne peux rien faire sans amour. j’ai besoin de me sentir aimer pour pouvoir grandir. pour pouvoir obéir.
USA, fin de la Deuxième Guerre mondiale, Geneviève une quarantenaire partage un meublé avec Suzy, une jeune fille aux moeurs légères et de 20 ans sa cadette. Lassée des petits boulots et d’être manipulée par les hommes, elle décide de prendre son destin en main… ou plutôt celui de Suzy, qui fera une parfaite “racoleuse”. Mais on ne s’improvise pas maquerelle du jour au lendemain, c’est toute une préparation… surtout celle de Suzy qui va subir sa domination.
La saga de Xavier Duvet, en quinze albums, explore l’univers du mélange des genres, des fantasmes inavouables et du plaisir ambigu avec le coup de crayon et la maestria d’un des plus grands auteurs de bandes dessinées. À la croisée des chemins entre Manara, Liberatore et Von Götha, Xavier Duvet nous livre les planches les plus chaudes de la BD érotique. À ne pas mettre entre toutes les mains.
Si pour vous une dominatrice est forcément vêtue de cuir ou de latex, porte des cuissardes, des bottes ou des chaussures à talons aiguilles, possède un donjon SM avec tous les accessoires classiques tels que des martinets, fouets, cravaches, menottes, paddle, croix de Saint André… Nasty Natascha ne vous séduira probablement pas.
Cette dominatrice réelle d’origine hispano-marocaine est une femme dont le charme et la personnalité se situent dans son côté nature et naturel, dans le plaisir évident qu’elle prend à être sadique et sans pitié avec ses soumises et ses soumis qui ne font pas semblant de souffrir voire de pleurer ce qui amuse et fait même rire Nasty Natascha qui se moque de ses esclaves.
Ses séances de domination sont toujours filmées dans la même pièce blanche quasiment vide d’un appartement, où seul un canapé, blanc lui aussi, est utilisé pour une partie des vidéos. Et ne pensez pas qu’il n’existe que quelques vidéos, détrompez-vous, il en existe déjà plus de 200 disponibles chacune pour quelques dollars en téléchargement sur sa page du célèbre site CLIP4SALE : https://www.clips4sale.com/studio/35042/nasty-natascha—break-up-bitch-wmv
Ce qui fait le succès et la renommée de Nasty Natascha c’est justement le fait qu’elle est elle-même, qu’elle fait ce qu’elle aime uniquement (et cela se voit) et qu’on l’imagine aisément comme pouvant être notre sadique voisine au charme unique issu de ses origines espagnoles et marocaines. Ses pratiques préférées font également d’elle une femme autoritaire singulière : elle adore donner des volées de gifles violentes, recouvrir de ses crachats le visage de ses soumises et de ses soumis, se faire lécher le dessous de bras comme ses pieds quand ils sont bien sales, cracher et se moucher dans la bouche de ses « victimes » tout en les insultant (en anglais et avec un délicieux accent)…
Mais les quelques extraits vidéos disponibles ci-dessous vous permettront de vous faire une meilleure idée d’elle que tous les mots que je pourrais encore ajouter à cet article.
Vous déciderez ensuite si ses extraits vous donneront envie de télécharger une ou plusieurs de ses nombreuses vidéos disponibles ici : https://www.clips4sale.com/studio/35042/nasty-natascha—break-up-bitch-wmv
Karolyn Camden
(rédactrice en chef)
Plus d’extraits gratuits de vidéos de Nasty Natascha ici : https://fr.pornhub.com/playlist/62325652
Une petgirl est par définition un être moitié femme moitié animal. Ou une femme qui fait ressortir son côté animal. Dans les faits c’est ce que l’on veut. Quand je suis devenue la soumise de Monsieur Laurent, je suis devenue pour mon plus grand bonheur Sa chienne. Dans le sens noble du terme, si l’on peut dire. je suis devenue Son animal de compagnie. Le petit être qu’Il devait éduquer, caliner, consoler, surveiller. Comment cela se traduit il concrètement ?
Education : Eduquer une petgirl ne se réduit pas à lui apprendre à marcher, monter et descendre des escaliers, manger dans une gamelle, boire dans une gamelle, faire la belle, donner la patte, apprendre la position assis, debout, couché, au pas, au pied. Non éduquer une petgirl c’est aussi la cultiver, l’instruire, parfaire son éducation intellectuelle. L’encourager dans sa vie vanille, lui permettre de s’épanouir professionnellement parlant. Pour une éducation réussi il faut que le Maitre soit attentive à son animal. Chaque animal réagit différemment. Il faut donc avoir la capacité de s’adapter à son animal.
Dans ce nouveau roman SM signé Pierre Ruseray, celui-ci nous conte la relation entre Claudine et Pierre, une relation qui progresse au fil des pages.
Pour que son amour échappe à l’emprise du temps et à l’érosion du désir, Pierre veut atteindre l’absolu : posséder totalement sa femme Claudine, l’obliger à une soumission complète et aveugle, pénétrer son âme et son corps de toutes les manières possibles, lui faire goûter les joies troubles de l’asservissement sexuel.
L’épouse docile et son maître obscur s’engagent sur la voie de la perversion : Pierre la guide hors des sentiers classiques de l’amour conjugal, l’offrant en spectacle ou en pâture à d’autres hommes, l’obligeant au saphisme, lui faisant connaître les affres et les délices de l’humiliation ou de la violence.
L’itinéraire érotique des amants les conduit à des plaisirs extrêmes : les « expériences » s’enchaînent à un rythme soutenu, décrites dans un style très précis qui rend un hommage appuyé au marquis de Sade ou à « Histoire d’O ». Un jeu extatique mais dangereux, qu’on ne saurait observer d’une manière tout à fait détachée…
Un roman qui s’inscrit dans la plus pure tradition de l’initiation libertine où des personnages issus de notre vie quotidienne vivent des péripéties dont le caractère insolite ne contredit pas la dimension « vécue ».
Vous en avez assez de n’entrer en contact sur les réseaux sociaux et les sites de petites annonces plus ou moins sérieux qu’avec des dominatrices professionnelles ou des jeunes femmes vénales débutant dans les rapports BDSM ? Il existe des lieux où vous ne rencontrerez ni les unes, ni les autres : les soirées fétichistes et BDSM telles que la NUIT ELASTIQUE.
Cette soirée se déroule le 2ème samedi de chaque mois depuis 1998, réunit un mélange extraordinaire de dominatrices, de soumises, de dominateurs, de soumises, de couples BDSM et de purs fétichistes du latex, des pieds, des bottes, du vinyle, des chaussures, du cuir… dans une ambiance à la fois accueillante, décontractée, véritablement fétichiste et SM.
Voici le détail de ce vous propose chaque mois la NUIT ELASTIQUE :
Chaque mois entre 150 et 250 participant(e)s.
Un grand bar (bière au choix ou soft : 4 € / Alcools et Champagne : 8 €)
Trois grands écrans plats avec vidéos BDSM.
Deux niveaux : un rez-de-chaussée et une immense cave divisée en 5 zones.
Le plus grand donjon SM des soirées fétichistes : 70 mètres carrés.
Dans le donjon : 10 cabines érotiques, 2 slings, 1 grand matelas en latex rouge, une croix de Saint-André et un espace de « Massages BDSM » gratuit animé par P@t).
Un fumoir (capacité : 20 personnes).
Plusieurs zones confortables avec fauteuils, tables basses et canapés.
Piste de danse avec jeux de lumières : techno, electro, new wave, EBM, techno minimal et rock alternatif.
Trois DJ’s : DJ John Nathan, DJ Baron Noir et DJ Francis Loup.
Une zone shibari et bondage avec un point d’accroche. Animé et sécurisé par Master Bondage. Il vous suffit d’apporter vos cordes si vous souhaitez pratiquer avec vos propres modèles.
Stand : « La petite Boutique Elastique » (leggings, corsets, chaussures, Rosebuds, cordes de shibari/bondage, mini-jupes en vinyle, pantalons en simili–cuir… le tout à prix discount en partenariat avec la Boutique Exrtraime, la Boutique Princesse Charmante et l’équipe de la Nuit Elastique).
Un vaste espace pour vous changer.
Bar : planche de 5 tickets boissons pour 20 €.
Vestiaire : 2 €.
Pour découvrir des centaines de photos des soirées précédentes, acheter vos tickets d’entrée à tarif réduit, voir le plan d’accès, lire les réponses à toutes les questions, que vous pouvez vous poser, bref, absolument tout savoir de la soirée fétichiste et BDSM la plus appréciée de Paris, cliquez simplement sur le flyer ci-dessous et découvrez le site officiel de la NUIT ELASTIQUE.
La pièce servait de grande buanderie. Les murs avaient été peint en vert. Malheureusement la peinture n’était pas du tout adapté aux murs qui sont en pierre, bâtiment des années 50. Avec de la pierre on ne peut pas mettre n’importe quelle peinture.
Tout est à refaire : murs, plafond, électricité. Sans compter qu’il faut installer ensuite toutes les machines. Créer l’espace atelier, bureau et showroom. Chaque poste doit être fonctionnel. Le poste collier, le poste pattes avants et pattes arrières, le poste queues. Tout une organisation ou rien ne doit être fait au hasard. Sécurité oblige. Et il faut que mon bureau soit fonctionnel, les impôts n’attendent pas.
Ensuite il va falloir créer un espace buanderie… mais c’est une autre histoire.
Monsieur va avoir beaucoup de travail.
Et effectivement il a eu beaucoup de travail. Comme toujours Il fait cela avec méthode et organisation. Il ne fait jamais les choses à moitié. Si cela doit être fait cela il faut que ce soit bien fait. Il n’aime pas le vite fait soit disant bien fait.
moi de mon côté je m’occupais des tâches courantes, courses, ménage, cuisine. je ne suis pas très patiente. Autant j’aime bien aller faire les courses, trainer dans les rayons du supermarché, autant je m’ennui dans les magasins de bricolage. De ce fait Il m’emmène plus car je suis, on peut le dire, trop chiante. Et comme je l’ai dit servir mon Maitre me plait. Certes normalement en tant que petgirl, je ne le faisais pas mais Nnotre relation a évolué.
Nnous Nnous y prenons doucement mais surement… Il faut réussir le déménagement. Pour réussir un déménagement il faut avoir au préalable tout bien emballé. Nnous ne déménageons pas loin. A 5 km de Nnotre ancienne adresse. Tout ce qui est petit Oon le prendre avec la voiture. j’ai pris une semaine de congés pour m’occuper de ça. C’est incroyable tout ce que l’Oon a pu cumuler dans cet appartement. Que de souvenirs. Pratiquement 5 ans. Que le temps passe vite. Trop vite à mon goût.
Nnous avons pleins de projet. je souhaite que Nnous ayons le temps de tous les accomplir.
Indy aime le jardin. moi aussi.
Dans cette maison j’ai envie de cuisiner. j’ai envie de faire des petits plats pour Lui, pour Nnous.
Henri, adolescent, songe à longueur de temps à un étrange concept : “On devient adulte lorsqu’on commence à boire du café”. Critique de l’opposition entre le monde des enfants et celui des adultes symbolisée par le contraste doux-amer, Henri sera pris dans son tumulte jusqu’à l’explosion finale de l’histoire.
Dans ce roman aux contours trash et au style parfois très cru, Marc Kiska nous livre des jeunes gens tourmentés, emportés par l’ouragan de la liberté, de la violence et de la sexualité. Il nous emmène sur les traces d’une jeunesse en perpétuel questionnement : sur les Vestiges d’Alice. Comme elle, sauront-ils sauter dans le terrier et rejoindre le pays des merveilles à l’encontre des adultes ayant oubliés de rêver ?
L’auteur : né en 1983, Marc Kiska a grandi près de Saint-Étienne et vit en Norvège. il écrit ses premières nouvelles sur les chaises d’écoles. Au fil des années, elles paraîtront dans diverses revues alternatives et contre-culturelles. À l’âge de 20 ans, en cherchant à illustrer ses écrits, il se tourne vers la photographie et en fera son métier. Son sujet de prédilection, tant dans son travail photographique que littéraire ? l’adolescence, sa quête de liberté et d’authenticité, et le fracas contre la pression du conformisme. il publie à présent Les Vestiges d’Alice, son premier roman qui vient compléter ses publications photographiques dans la presse internationale et un premier recueil de photographies : Outlandish /ROOM/ (ed. The Black Fawn, 2014).
Dans la maison il va falloir trouver ses repaires … ses marques … Oon va y aller progressivement… surtout Indy et moi. En faite tous les deux nous sommes pleins d’habitude. j’aime que chaque chose est une place et qu’il y ait une place pour chaque chose. Bon pour Indy ce n’est pas aussi poussé mais il a aussi ses propres habitudes.
Cela va prendre du temps pour défaire tous les cartons et pour trouver une place pour chaque chose. Surtout que Nnotre espace est maintenant 3 fois plus grand que l’ancien.
Il y a tout un étage pour l’atelier et le bureau. Tout un étage pour le salon, salle à manger et cuisine. et 2 étages pour les chambres. Pour le moment il n’y a qu’une salle de bains et plus tard il y en aura 2. un étage pour les enfants. Et un étage pour Nnous. Ce sera Nnotre nid d’amour.
Hauts de Seine : Une jeune fille promène en laisse … un quinquagénaire … Ici
Article édifiant … Iils étaient dans un bois mais un con est tombé dessus et aussitôt dit aussitôt fait il a appeler la police.
Vive le monde ou Nnous sommes libres …. Libre mais à condition de penser comme tout le monde. Il faudrait surtout pas choquer les âmes bien pensantes … je suis en rage… à cause de tous ces cons !!!!! je ne peux pas vivre ma vie pleinement… le plaisir de sentir l’herbe sous mes pattes, le plaisir de sentir le vent, la rosée sur ma peau … non tout cela m’est interdit car je pourrai choquer tous ces connards qui au passage s’avilissent le cerveau en regardant des émissions lobotomisantes avec des présentateurs dotés d’un QI proche des huitres d’Oléron.
Certes je suis une chienne mais, certe je mange dans une gamelle, je suis servi, lavé, brossé, habillé et choyé mais je suis également cultivé, éduqué. j’ai mon libre arbitre. mon cerveau ext capable d’analyser et de comprendre…. je ne regarde pas à longueur de journée du Hanouna et autres niaiserie, donc oui je suis bien éduqué… Mais non il parait que je suis anormale …
Mais franchement on ne marche pas un peu sur la tête?????
Pour vivre ensemble, Nnous avions du faire face à bien des difficultés…
Quand Nnous Nnous étions connu, Nnous avions tous les Ddeux une situation bien différente, Cchacun établi de son côté. Lui pour des raisons professionnelles était installé dans le Nord Est de la France. moi je n’avais jamais quitté ma région parisienne. Mais surtout il avait accepté une mission à l’étranger et Il faisait des aller retour entre la France et l’Afrique du Nord. Il devait encore faire cela pendant une année (bien entamé certes mais pas encore fini). pour moi Il allait chambouler tout son planning et autant dire que cela n’allait pas du tout passer avec sa direction…
Quand à moi, je vivais dans une belle maison de 150m² mais le hic c’est qu’elle était pas à moi. Certes je contribuais largement financièrement au bon fonctionnement de la maisonnée mais voila… Au moment de la séparation j’allais me retrouver financièrement pratiquement sans sous. Aucun argent de côté … Quand on est habitué à une certaine aisance financière et une grande maison c’est pas évident d’accepter de repartir de zéro. Pourtant Nnous l’avons fait.
Oui pour vivre Heureux ensemble … Nnotre relation Nnous avons surmonté toutes les difficultés financières, les jugements de la famille, le rejet des « ami(e)s ». Nnous avons tenu bon et Nnous allons enfin pouvoir avoir Nnotre maison… Home Sweet Home..
Alors je ne dirai qu’une chose … Quand Oon veut Oon peut. Certes ce n’est pas tous les jours faciles mais à Ddeux Oon arrive à tout. … Avec de la patience et beaucoup .. beaucoup … beaucoup… d’huile de coude.
Certes avec le temps et assez rapidement j’ai appris à ne pas trop crier sur les toits que j’étais la chienne de mon Maitre car dans ma naïveté je ne voyais pas les choses comme eux …. et j’avoue que parfois les gens m’ont jeté à la figure leurs regards sur Nnotre relation qui m’a refroidi…. j’ai appris aussi que si vous mettez 10 personnes pour voir la même scène et qu’ensuite vous le demandez de vous décrire ce qu’ils ont vu, alors vous aurez 10 versions assez différentes les unes des autres…
moi quand je suis au pied de mon Maitre je suis heureuse, Il s’occupe de moi, je suis au centre de Son attention mais pour eux … beurrrkkkkkk. Ils arriveraient à rendre végétarien un chien…. Tellement leurs regards sur les choses peuvent être parfois « à gerber ».
L’expert, un ami de longue date… m’a fait l’honneur de venir et d’accepter de visiter 3 biens que Nnous avions retenu … Le premier bien propret mais avec un je ne sais quoi qui me plait pas… Monsieur dit que j’ai des goûts de luxe et que forcément je n’aime pas à cause de … mais je ne vous dirai pas à cause de quoi. Le deuxième, l’expert m’a carrément fichu la trousse. Il m’a dit à la fin de la visite … Sauve toi. Trop fort. En faite la maison s’affaisse. il y a un cm entre les plinthes et le parquet à tous les étages. Parfois je me dis que les agents immobiliers sont vraiment capables de vendre tout et surtout n’importe quoi…
Quand à la dernière… la maison du bout du trou du cul du monde… et bien .. il a juste dit, l’expert, quelle était juste tip top…
Alors c’est partie, on la veut … Oon signe les papiers et Nnous allons bientôt pouvoir être les heureux locataires de cte jolie baraque… Certe il va y avoir du boulot mais cela en vaut la peine … Encore quelques mois et …. Et à Nnous les plaisir de la campagne en ville. Nnotre maison a un beau jardin, ni trop grand ni trop petit. Un noisetier, des pieds de vigne de bon raisin blanc, des framboises, et des fleurs…. plein de fleurs. Certe j’ai 10 min de plus de trajet tous les jours mais après tout ce n’est que 10 min.
Il avait été pénible de visiter des maisons, et encore des maisons et toujours des maisons…. Il y avait toujours quelque chose qui n’allait pas. et franchement je commençais à en avoir marre de passer mes week-end à visiter des maisons. j’avais hâte de pouvoir vaquer à nouveau à mes occupations. Mais en même temps à l’appartement Oon commençait sérieusement à ce marcher dessus. j’aime bien Les Anges Déchues, mais ils étaient partout, dans toutes les pièces. j’avais qu’une envie que chaque chose retrouve vite une place, sa place (mon côté ménagère organisée qui reprenait le dessus).
La première fois que j’ai vu la maison, j’ai sérieusement fait la gueule. Et pour cause, j’avais l’impression que l’agent immobilier Nnous emmenait au bout du trou du cul du monde. Et pour Monsieur cela allait poser un problème. Comment allait Il faire les matins où il devrait partir à 4h ? il y a pas de transport à cette heure. Parce que moi, je prend mon scooter (oui oui je sais………. je suis passée du côté obscur de la force…… j’ai vendu ma moto) mais pour le travail je dois avoir une tenue correcte. L’avantage du scooter c’est tous les rangements (chaussures de rechange, vêtements d’appoint au cas ou, dossiers en cours, etc…) .
Par contre une fois dans la maison …. Il faut dire que …. c’est sur il fallait la revoir avec l’expert….
12 rue Turbigot – 75001 Paris
Ouvert 24h/24 / 7 jours sur 7
01 84 16 87 47
Site web : http://www.parkingsdeparis.com/parking/reservation-place-voiture-parking-Forum-des-Halles-Rambuteau.html
36 rue Rambuteau – 75004 Paris
Ouvert 24h/24 / 7 jours sur 7
Parking public couvert et sécurisé
Situé sous le Centre Georges-Pompidou
01 48 04 50 24
Site web : https://www.onepark.fr/parkings/7-parking-centre-pompidou-hotel-de-ville
Pendant cette année de silence pour raison de recherche d’appartement, recherche de locaux, de déménagement, de travaux, de … de … et encore de … il s’est passé pleins de choses.
Donc je vais revenir un peu en arrière pour Vvous raconter ce qui a pu se passer entre 2016 et 2017. Déjà pour Indy. Indy va avoir 3 ans bientôt au moment ou Nnous déménageons enfin en ce mois d’août 2016. Il a grandi mais il ne se voit pas comme il est. Il se voit plus petit qu’il ne l’est.
Il a pris une grande place dans la famille. Et contrairement à ce que Nnous avons appris Nnous avons voulu pouvoir être proche de lui. Indy dort avec Nnous dans la chambre, Indy à droit de monter dans le canapé. C’est un être qui peut éprouver des émotions. C’est une source inépuisable d’inspiration pour moi. je n’ai pas honte de dire que je calque mon comportement sur le sien.
Il réclame de l’attention, moi aussi. Il a parfois un côté entêté, moi aussi. Il se sert de ses pattes avant comme Nnous de nos mains. Il a une façon de les replier pour pouvoir attraper les objets les choses qui me font penser à ce que ferait une personne qui porte des moufles.
Avec le développement des activités de création pour Les Anges Déchues il devenait indispensable de déménager. Mais je ne pensais pas que cela nous boufferait tout Nnotre temps. Après avoir visité encore et encore des biens soit trop cher, soit trop petit, soit trop sale bref toujours trop quelque chose. Nnous avons enfin jeté notre dévolue sur quelque chose. Mais il y avait des travaux en perspective. Et tout cela ne m’a plus laissé beaucoup de temps pour écrire.
Nnous avons emménagé en août et depuis Nnous sommes dans les travaux. Travaux à tous les étages. Autant vous dire que ce n’est pas évident surtout que Nnous continuons d’honorer les commandes. Par contre impossible pour Nnous de faire des salons.
Maintenant que l’atelier est pratiquement fini, maintenant que nous pouvons enfin vous accueillir pour pouvoir essayer Nnos créations. Maintenant, je vais enfin pouvoir recommencer à écrire.
Une soubrette est une femme de chambre coquette et délurée dans les pièces de théâtre, dans les milieux fétichistes, on désigne par soubrette un(e) domestique dont la tenue, volontairement affriolante, se compose généralement de variantes du modèle : gants ou mitaines en vinyle, latex, satin ou dentelle, coiffe, tablier blanc, mini robe courte et décolleté noir, jupon blanc froufroutant, corset ou porte-jarretelles, bas, talons aiguilles et plumeau, le tout souvent agrémenté parfois d’un collier de soumission. Le port d’une culotte blanche est optionnel.
Toujours charmante dans leur petit ensemble souvent noir et blanc, la soubrette fait partie des désirs et des fantasmes de beaucoup de fétichistes au point que l’on trouve sur les sites de mode fétichistes de nombreuses tenues de soubrettes délicieusement aguicheuses.
Dans le milieu BDSM, certains, comme ici Valmont dont nous reproduisons les termes, ont une vision très précise du rôle de la soubrette. Partagez-vous son point de vue ?
Le rôle de la soubrette
Outre les travaux ménagers, elle peut se voir suggérer d’effectuer d’autres tâches au gré des fantaisies de sa Maîtresse ou de son Maître. La soubrette est attentive aux besoins des personnes qu’elle sert. Sa docilité, son application, sa discrétion et son efficacité feront d’elle une bonne soubrette. Bien entendu, la soubrette vouvoie les personnes qu’elle sert et s’adressent à eux en disant : Monsieur ou Madame. Et elle revêt l’uniforme qui lui est imposée.
L’entraînement de la soubrette
Voilà les points précis que je considère important de travailler durant l’entraînement de la soubrette.
Le contrôle de la soubrette
]L’acceptation de la soubrette
Les règles de la soubrette
Dès son arrivée chez sa Maîtresse ou son Maître aux heures convenues par eux, la soubrette se prépare pour accomplir les tâches ménagères exigées. Elle veille à servir toute demande de sa Maîtresse ou de son Maître, voire à les devancer.
La soubrette ne demande aucune récompense pour ses services, que ce soit des faveurs sexuelles, une séance BDSM ou quoi que ce soit d’autre. Elle est là pour se rendre utile et agréable. Elle ne doit en aucun cas devenir une gêne ou une charge pour la personne qu’elle sert.
La soubrette ne s’adresse à sa Maîtresse ou son Maître que si elle y a été invitée ou pour des questions concernant ses travaux domestiques.
Bien entendu, en cas de tout manquement de la soubrette en quelque manière, elle risque d’être congédiée sur le champ et renvoyée chez elle.
Une soubrette se doit d’être féminine, peu importe qu’au départ il s’agisse d’une femme ou d’un homme. Élégance, charme et féminité sont indispensables.
Quelques liens intéressants
Il y a des moments où la liberté tant souhaitée par l’être humain devient en fait un boulet que l’on traine. Poids des responsabilités qui en découlent, poids de devoir réussir cette démonstration d’autonomie.
Puis vient un moment où l’appel du collier se fait entendre… fort… et encore plus fort. Le besoin de sentir la laisse nous délimiter le terrain. Sentir que la poigne qui la retient se plait à tirer pour nous faire sentir la morsure du cuir autour du cou.
Quand, après avoir parcouru les grands chemins du quotidien, librement, on sait que la niche est là, prête à accueillir la récalcitrante, il y a à ce moment précis un sentiment de gratitude très puissant.
Gratitude de pouvoir retrouver sa place aux pieds de son Maitre, autant rassurant que déroutant, d’être simplement là, obéissante, n’ayant que pour seul but de satisfaire ses envies du moment.
Un sentiment fort que procure ce retour au bercail… Celui-là même où la soumise sait qui elle est et à qui elle est.
Plénitude et volupté.
d… sarmée
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« Doloris Causa » de Carolyn Cardway, nous plonge dans la relation d’un couple paradoxal mais où chacun trouve son compte : elle dans sa quête masochiste de souffrances. Entreprise radicale et raisonnée, presque mathématique, qui la conduira parfois au bord de la folie. Lui, dans sa revanche perverse et cruelle sur une bourgeoisie qui l’a autant utilisé que méprisé. L’histoire finira. Mal pour lui, bien pour elle! Ce sont toujours les pauvres qui paient pour les riches!
Un livre décapant, malsain, percutant comme un round de boxe. Un voyage en harmonie avec l’esprit de la collection contre-culture Vertiges.
Extrait
Il a dégagé sa ceinture des passants de son pantalon et il l’a battue. Ensuite, couverte de longues boursouflures écarlates, elle a dû se tourner, saisir ses fesses à pleines mains pour les maintenir ouvertes. Elle devinait l’aspect de son orifice exposé : rougi, gonflé, encore entrouvert. Elle n’y a pas pris le même plaisir avilissant que d’ordinaire. Il est allé chercher une boîte de bière au réfrigérateur. Elle a hurlé sous l’effraction. Un plaisir dont, sans comprendre encore pourquoi, elle ne voulait plus, l’a néanmoins envahie. Ses reins se sont creusés contre sa volonté. Ses fesses projetées à la rencontre de l’objet introduit par saccades brutales.
Elle a joui avec des cris. Il a ricané.
Le désenchantement l’envahit, s’affirme, s’installe: Sébastienne ose enfin s’avouer qu’elle n’éprouve plus aucun sentiment pour Raphaël.
Elle en oublie son inconfort, le froid qui la pénètre tout entière. Le crachin rabattu par les rafales se tord en écharpes rageuses dans la lumière orangée des lampadaires à vapeur de sodium. Elle continue toutefois d’attendre l’homme. Elle apprécie la situation misérable où elle se trouve, et non plus celui qui l’y a mise. Pourquoi ne l’aimé-je plus ? Quelles seront mes possibilités de jouir sans lui ?
Retrouverai-je un être assez corrompu pour m’avilir de sa seule présence ? Autant de questions qu’elle se pose sans leur trouver de réponses.
De rares passants qui lui jettent des regards furtifs, se pressent, intrigués. Le manteau détrempé colle à sa peau comme une gangue gluante et glacée. Elle l’a retroussé pour s’asseoir.
Sa croupe nue est en contact direct avec le banc. Une envie d’uriner lui taraude la vessie depuis le début. La pisse finit par lui échapper, douloureuse dans son urètre comprimé par l’objet proche. Un instant bienfaisant. Le liquide dégoutte du siège puis forme une mare chaude sous elle avant d’être dilué par la pluie. Elle entrouvre les cuisses. Léger changement de position qui réveille la souffrance entre ses fesses. Un coup de poignard de l’intérieur qui re monte vers le nombril. Une éventration à l’envers! Elle se mord la lèvre pour étouffer un gémissement. Raphaël aurait dû me fouiller le cul avec son couteau à cran d’arrêt avant de placer la boîte!… C’est trop tard pour le lui demander à présent que je ne l’aime plus… Ça aurait été dangereux… J’aurais saigné. Peut-être même hospitalisée! Le rire des internes, des infirmières…
Les regards méprisants et moqueurs. J’ai envie de me toucher!
Elle glisse sa main dans l’échancrure entre deux boutons, cherche sa vulve trempée d’urine. Un faible gémissement quand elle trouve le clitoris long et dur dans sa gaine de chair. Moins d’une minute pour un orgasme attendu qui l’ébranle de la tête aux pieds.
Elle a dix-neuf ans. C’est la première liaison amoureuse de son existence. Elle ne regrette rien. Ces quelques mois d’enfer l’ont comblée. Elle a lu assez d’ouvrages sur le sujet pour se reconnaître masochiste. Raphaël est beaucoup plus âgé qu’elle. C’est le chauffeur que sa mère a engagé pour remplacer la tribade hommasse qui n’avait pas su la défendre au cours d’une agression.
Sébastienne avait pris l’habitude de venir bavarder avec lui à l’office où il buvait du café, fumait des cigarettes et lisait l’Équipe. Elle le trouvait si beau avec ses cheveux bouclés poivre et sel, ses grands yeux noirs et sa bouche de fille. Il émanait de lui une impression de cruauté vicieuse qui l’attirait. Elle aimait aussi son imperceptible claudication. Suite d’une blessure qu’il avait récoltée au combat. De plus, il était petit.
Elle aurait tant voulu être petite !
Cette fascination n’avait pas échappé au domestique. Il en était vite venu à lui parler de son passé de mercenaire. Encouragé par l’écoute complaisante de Sébastienne, il devenait de plus en plus précis, de plus en plus cru.
Il en vint à raconter la mise à sac des villages, les destructions, le pillage, les viols collectifs :
— …on rassemblait les femmes. Elles y avaient toutes droit. On les maintenait à trois ou quatre pour les enculer. D’un seul coup. Jusqu’aux couilles. On faisait des concours. Celui qui s’y reprenait à deux fois payait sa caisse. Il y en avait qui se pétaient le frein à ce petit jeu. Ensuite, ils saignaient de la queue pendant un bon moment. On avait trouvé un truc marrant aussi. Au moment de cracher notre jus, on faisait signe à un copain pour qu’il égorge la gonzesse. Raphaël émettait un petit rire, faisait le geste de trancher une gorge imaginaire, poursuivait :
— …ça augmentait le plaisir… Leur trou de balle se resserrait quand elles clamsaient ! Comme les canards !…
Sébastienne avait ouvert de grands yeux.
— On encule les canards ?
— Tout s’encule !… Pour les canards, le fin du fin c’est de leur couper le cou pendant qu’on crache. Ça leur fait crisper le fion. Ben, les bonnes femmes c’est pareil !
— Je ne savais pas !
Il ajoutait comme une manière d’excuse :
— Comme ça ou flinguées, de toute façon,elles étaient condamnées d’avance ! Il n’y avait pas de mal à rigoler un peu avec elles avant de les zigouiller… En fait, si tu veux mon avis, c’est moins con de crever égorgée avec une bite dans le cul que de prendre le plafond de ta baraque sur la tronche suite à un dommage collatéral, comme ils disent maintenant. Frappe chirurgicale, mon cul ! Un piaf dans la fenêtre de tir suffit pour dérégler leurs conneries de missiles !
Il hochait la tête.
— Qu’est-ce que tu en penses ?
— Je ne sais pas. C’est très nouveau. Je n’avais jamais envisagé la guerre sous cet angle.
Il hochait la tête avec une expression écoeurée, puis retournait dans ses souvenirs.
— On avait quand même de la morale. Par exemple, les enfants, pour nous c’était sacré : on ne les enculait pas. On les égorgeait, ouais, mais on ne les enculait pas. On ne se serait jamais permis.
À ces récits, Sébastienne était gagnée par une excitation qui anesthésiait l’espace d’un instant sa sensibilité de jeune intello de gauche. Elle devait croiser les bras pour masquer le tremblement de ses mains. Elle ne le jugeait pas : son trouble était trop violent.
Ensuite, après être allée se masturber dans sa chambre, elle se persuadait que Raphaël bluffait, qu’il inventait ces horreurs pour l’impressionner.
Elle s’abstenait, néanmoins, de rapporter ces propos à sa mère.
Le chauffeur avait très vite deviné les tendances masochistes de la jeune fille. Un jour qu’elle était venue le retrouver, il s’était levé et, sans prévenir, l’avait giflée. Un aller-retour dur qui pendant une seconde avait obscurci sa vue d’un voile rouge. Il s’était rassis aussitôt, avait sorti sa verge. Elle était énorme! Monstrueuse.
Comme une compensation que lui aurait accordée la nature en revanche de sa petite taille.
— Suce !
Suffoquée, la tête encore bourdonnante de la paire de claques, elle s’était laissée tomber à genoux et avait obéi. C’était la première fois, mais d’instinct elle avait trouvé la manière de se rendre onctueuse. Elle se souvient de son émotion quand le sperme s’était accumulé dans sa bouche en giclées épaisses. Elle savait ce qu’il fallait faire : avaler.
L’auteur
Unique enfant d’une famille fortunée, Carolyn Cardway est née en 1962, à Aberdeen (Ecosse). Elle passe son enfance et son adolescence dans les meilleures pensions d’Angleterre. Elle a dix-sept ans et demi quand une relation amoureuse avec son professeur de Lettres aura une influence déterminante sur sa vie érotique. A dix-huit ans, elle la suit au Canada où elle deviendra parfaitement bilingue. Quelques mois plus tard, Carolyn publie son premier roman. Avec Doloris Causa, elle montre comment, du-delà des contradictions sentimentales, une ascèse masochiste sans concessions peut mener au bonheur…
Prix : 9,10 €
« Doloris Causa » de Carolyn Cardway est publié aux éditions Tabou (148 pages).
Il est disponible ici.
“C’était un autre monde dans lequel nous n’étions pas encore prêts à pénétrer.”
Cette phrase, issue du roman Devenir Sienne prend ici tout son sens car c’est justement aux portes de cet autre monde que commence Marquée au fer, au-delà de la soumission et de la domination, lorsque certains font du sadomasochisme et de l’abnégation totale leurs raisons d’être.
C’est le cas de Laura, qui n’a jamais douté de ce pour quoi elle était faite, et de ce qu’elle voulait vivre. Ce monde, c’est celui de Hantz, maître très exigeant, pluriel et profondément sadique. Il confrontera sa jeune soumise à toute sa perversité et à toutes ses envies. Jusqu’à devoir reconnaître l’évidence.
Ce roman n’est ni une suite ni un préquel, c’est une histoire à part entière. L’histoire de Laura et de Hantz.
L’auteure : Éva DELAMBRE est une jeune femme bien dans sa tête et bien dans son corps. De nature passionnée et curieuse, elle assume ses envies et ses penchants. Elle a fait ses premiers pas dans le BDSM il y a quelques années. C’est sa découverte de ce monde et son imagination fertile, associées à sa passion pour l’écriture, qui ont donné naissance à l’auteure qu’elle est maintenant.
La vie de Gilles était tranquille. Et puis un jour, il est parti sans crier gare et mis les voiles vers l’île de la Réunion. C’est à travers des lettres qu’il a laissées derrière lui qu’une amie découvrira les raisons de cette fuite. Deux jeunes filles aguicheuses et perverses n’y sont pas étrangères… Le lecteur sera emporté par les récits des trois personnages tourmentés par le désir, parfois honteux, parfois sadique ou masochiste, tantôt revendiqué haut et fort, tantôt subi comme une faiblesse. Les filles ne rêvent pas que de fleurs d’oranger et de roses mais aussi des pépins et des épines.
L’Appel du large, c’est un récit de vie sur le sexe et l’immoralité à travers l’histoire d’un homme que le désir rend fou.
L’AUTEUR
Camille Colmin, dans une belle écriture rabelaisienne met en scène des personnages ambigus. Un roman érotique particulier que l’on peut prêter ou offrir car la belle langue ennoblit tout.
Pour cette 26ème édition, le Festival International de l’Erotisme ouvre ses portes ces 24, 25 et 26 mars 2017 de 14h00 à 02h00 au Brussels Kart Expo.
Cette année, une image plus élégante, « La Black & White Edition » aussi éblouissante que provocatrice.
Très loin d’un univers aseptisé et idéalisé, le monde fetish vous emmène dans le cadre bien réel des tenues de dominas, soumis et de pratiques BDSM dévoilées pour un public averti.
Si cet univers vous interpelle, si l’expérience vous tente, au Festival International de l’Erotisme vous avez l’opportunité d’entrer dans cette atmosphère de cuir et de chaines, de mise en scène portées sur la domination, à travers des règles bien établies, un respect de soi, de l’autre et ce, loin des idées préconçues.
ADRESSE
Festival International de l’Erotisme – rue Alphonse Gosset 9 – 1702 Grand Bigard – Belgique
CONTACTS, RESERVATIONS & INFORMATIONS
je remercie ton corps
de m’avoir attendu
il a fallu que je me perde
pour arriver jusqu’à toije remercie tes bras
d’avoir pu m’atteindre
il a fallu que je m’éloigne
pour arriver jusqu’à toije remercie tes mains
d’avoir pu me supporter
il a fallu que je brûle
pour arriver jusqu’à toiLhasa de Sela – Pa’Llegar a tu Lado
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La Nuit Élastique fonctionne bien depuis de longues années et attire chaque mois un public fidèle et bon nombre de nouvelles personnes qui découvrent pour la première fois l’ambiance unique et si délicieusement particulière des soirées fétichistes et BDSM soft.
Le moment est venu d’aller plus loin en améliorant toute une série de petites choses qui feront de la Nuit Élastique une soirée plus dynamique, plus artistique, plus animée encore et sans rien renier de son concept originel : être une soirée ouverte à toutes les composantes de la communauté fétichiste et BDSM soft, mêler à la fois le plaisir de faire des rencontres, celui de danser et de pouvoir y faire tout ou rien entre adultes consentants sans aucune forme de jugement.
Le but précis est d’apporter aux prochaines soirées ces « petits » plus qui en feront des nuits plus audacieuses, plus belles, plus variées et toujours plus animées (et donc au final avec plus de monde).
Nous vous trouver les moyens d’améliorer et d’y ajouter les choses suivantes :
– organiser chaque mois une exposition différente de photos (voire de dessins ou de peintures)
– acheter de nouveaux jeux de lumières pour la piste de danse (afin de la rendre plus attractive)
– faire imprimer de belles affiches pour décorer l’ensemble des 6 espaces du club qui accueille notre soirée
– pouvoir acheter tout ce qui pourra améliorer la décoration et l’ambiance de la Nuit Élastique tels que de beaux tissus, des lumières d’ambiance plus adaptées, un vidéoprojecteur, du matériel de bureau et électrique, tous les accessoires pour créer un vrai bar à cocktails, les outils pour accrocher et encadrer les photos fétichistes présentées dans chaque exposition mensuelle et bien d’autres petites choses encore
– pouvoir vous proposer régulièrement des shows et performances fétichistes
– avoir les moyens d’organiser un espace shibari et bondage plus adapté et accueillant bien plus de spécialistes de cette discipline artistique et érotique ainsi que bien plus de modèles
– avoir les moyens financiers d’imprimer et de faire distribuer par des professionnels des milliers de flyers afin d’attirer plus de monde au cours de l’année à venir
– avoir les moyens financiers d’acheter de petites campagnes publicitaires sur internet (ce n’est pas très cher mais cela a néanmoins un coût) afin de permettre à plus de personnes de découvrir notre soirée
La Nuit Élastique étant organisée par une association loi 1901 (sans but lucratif) qui ne perd pas d’argent mais qui en gagne vraiment trop peu à l’heure actuelle pour pouvoir se lancer dans toutes ces dépenses, nous avons décidé de faire appel à votre aide !
Mais loin de nous l’idée de vous nous demander de nous faire de purs et simples dons sans aucune contrepartie. Nous avons opté pour une formule qui permettra à la Nuit Élastique de se développer plus rapidement et qui vous permettra de vous offrir un abonnement valable pour 12 soirées lr yout pour un prix vraiment exceptionnel : 50€ pour les 12 Nuit Élastique à venir (de celle de juin 2019 à celle de mai 2020).
La formule est simple : vous faites un don de 50€ en cliquant sur le bouton ci-dessous et échange votre nom ou pseudo figurera automatiquement sur la liste à l’entrée de chacune de nos 12 prochaines soirées (elles ont lieu systématiquement le deuxième samedi de chaque mois, liste complète des dates au bas de cette page).
Vos avantages :
1. une très importante économie financière
2. plus besoin de réserver pour chacune de nos soirées
3. vous pouvez décider de participer à chaque soirée au dernier moment : pas de problème puisque votre nom est automatiquement sur la liste des participants que vous soyez présent ou non
4. inutile de confirmer votre présence avant la soirée, votre nom ou pseudo figure déjà sur la liste
5. vous pouvez être fière ou fier de participer activement au développement et à l’amélioration de la Nuit Élastique
Rappel important : comme lors de toutes les soirées, vos consommations au bar ne sont pas comprises dans le prix d’entrée, vous devrez régler celles-ci sur place comme c’est partout la règle. À noter : ce n’est pas l’équipe de la Nuit Élastique qui gère le bar mais l’équipe du club qui accueille notre soirée.
Note importante : si vous êtes un couple ou un duo vous pouvez faire 2 dons de 50€ chacun au même nom ou pseudo si vous le souhaitez. Dans ce cas il y aura chaque mois 2 places sous ce même nom ou pseudo sur la liste des réservations à l’entrée de chaque soirée.
Après réception de votre don vous recevrez une double confirmation de votre paiement : de la part de l’organisme qui a servi d’intermédiaire pour votre paiement et de notre pour vous remercier. Vous recevrez ensuite chaque mois un mail de rappel pour la soirée à venir.
Évidemment strictement rien ne vous oblige à participer à toutes les soirées de l’année (même si vous pouvez le faire), en participant à 2 ou 3 soirées dans l’année (selon le tarif auquel vous avez accès) vous faites déjà une très intéressante économie financière.
Cette offre est valable jusqu’au samedi 9 novembre 2019 à 18h00.
Cliquez sur l’un des boutons ci-dessous pour faire votre don avec abonnement aux soirées comprisSi vous voulez faire un don de façon discrète et sécurisée, cliquez sur le bouton le pot commun.
Vous pourrez y faire votre don sous votre nom ou sous le pseudo de votre choix.
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Samedi 14 septembre 2019
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Samedi 14 décembre 2019
Samedi 11 janvier 2020
Samedi 8 février 2020
Samedi 14 mars 2020
Samedi 11 avril 2020
Samedi 9 mai 2020
Samedi 13 juin 2020
Samedi 11 juillet 2020
Samedi 8 août 2020
Vous avez toujours rêvé de goûter aux plaisirs sulfureux des romans érotiques, ou vous voulez simplement pimenter vos ébats sous la couette ?
Ce guide coquin, rédigé par Marisa Bennett diplômée de l’université de Amherst dans le Massachusetts, spécialiste de littérature anglaise qui revendique elle-même des goûts sexuels assez spéciaux, vous permettra enfin de réaliser vos fantasmes inavoués. Sortez de la routine, tâtez du plaisir dans la douleur (légère), expérimentez des positions dignes du Kama-sutra et, au passage, faites travailler des muscles dont vous ignoriez jusqu’à l’existence. Découvrez en vous amusant les dessous croustillants du sexe.
Chaque chapitre regorge de conseils pratiques et s’ouvre sur une citation d’un classique de l’érotisme. De quoi perfectionner votre éducation coquine !
Alors, à vos boules de geisha et menottes fourrées ! 50 nuances du plaisir vous dévoile tout cc que vous avez toujours voulu essayer sans oser le demander : du bouclage pour débutants à la fessée sans peine, de la cire chaude au fouet – le tout sans sortir de chez vous !
Prix : 14,95 €
« Les 50 nuances de plaisir » de Marisa Bennett est publié aux éditions Larousse (160 pages).
Il est disponible en cliquant ici.
Petit à petit une nouvelle équipe plus féminine, plus créative et plus jeune est en train de se former autour de Francis Loup Dedobbeleer (le fondateur de la Nuit Élastique en 1998) pour créer une nouvelle Nuit Élastique, il reste du travail pour que tout soit parfait mais l’idée d’une équipe unie, solidaire et passionnée refait son chemin alors que son fondateur pensait devoir tout passer aux oubliettes.
Et voilà qu’avec Yuuki, DJ Diamond 999, DJ SX, DJ Plexe, DJ Baron Noir, Daniel GPC et P@t les choses commencent à prendre forme. D’autres personnes rejoindront l’équipe sous peu mais nous ne l’annoncerons que quand ce sera officiel.
Ces derniers mois nous ont appris à devenir méfiants. Certains ne semblent être là que pour nuire, notre seul but à nous est de construire sans dire ou penser du mal des autres ni leur faire de tort. Jamais.
En route de nouvelles et belles… aventures fétichistes
Photo : Paradoxal Studio
Vibrez avec Ève alors qu’elle transgresse l’ultime tabou libertin en tombant amoureuse et que tout bascule dans son couple. D’orgies prodigieuses en aventures indécentes, la passion, l’amour et la sexualité débridée s’entremêlent.
Dans L’infidélité promise Eve de Candaulie partage avec le lecteur ses rencontres charnelles et livre le pacte passé avec son mari : ne jamais être fidèle. Mais Eve de Candaulie raconte aussi son couple, à contresens de la vision dominante de la relation exclusive, et nous parle d’amour. L’intrigue de cette lecture érotique se déroule à Paris. Un voyage, au fil des pages, dans les clubs libertins de la capitale.
Plus qu’un témoignage, ce roman est une confidence érotique murmurée à votre oreille et à celle d’un mari formidable.
Disponible par correspondance sous pli discret (envoi très rapide) en cliquant ici.
Créée dans les années 1960 à Toronto, Northbound n’était au départ qu’une classique boutique locale de vêtements en cuir avant de devenir en 1987 le premier et le plus grand détaillant à destination des fétichistes du cuir au Canada. Le 22 octobre 2016, Northbound fêtait donc avec un peu d’avance, son 30ème anniversaire, notre correspondante à Toronto y était et nous en a rapporté des photos exclusives.
Northbound a été le premier détaillant à mettre à la portée les tenues fétichistes en cuir et ses accessoires à un large public et à l’échelle mondiale quand, en 1994, l’entreprise a mis en ligne un des premiers sites web de vente au détail du genre au monde. Aujourd’hui, Northbound est la plus importante maison de création de mode fétichiste du Canada capable de créer des modèles des extravagants aux plus érotiques.
Northbound vous de réaliser mesure des vêtements faits à la main de grande qualité qui survivront à des années d’utilisation. Maroquinerie de luxe Northbound a habillé de nombreuses célébrités de renommées, y compris: Carmen Carrera, Kreesha Turner, Tracy Melchor, Carole Pope, Lady Gaga, Katy Perry, Madonna, Enrique Iglesias, Sarah Brightman, Paris Hilton, ainsi que le gratin du monde économique.
Les soieées Northbound atteignent des sommets dans les plaisirs érotiques. Ses défilés sont plein d’inspiration et d’originalités.
De ses modestes débuts Northbound fait aujourd’hui partie des plus grands et meilleurs rendez-vous fétichistes chaque année. Northbound a aidé à créer la scène de fétichiste de Toronto et créé une des rares nuits fétichiste de classe mondiale annuelle.
Site web : http://northbound.com/
Texte : Francis Loup
Photos exclusives : Candy Veg
Beaux Arts Magazine poursuit son exploration du neuvième art (la bande dessinée pour qui ne le saurait pas encore) en abordant dans ce hors-série les rapports entre sexe et bande dessinée. Il est peu d’auteurs et peu de genres qui n’aient, d’une façon ou d’une autre, abordé le sujet, que ce soit avec l’élégance érotique d’un Manara ou d’un Pratt, avec le militantisme des Twisted Sisters, ou avec l’humour décapant d’un Reiser.
Des grands auteurs à toute l’industrie Ô combien productive des petits formats de Edifumetti et Elvifrance et des mangas, en passant par la veine hilarante du détournement et du pastiche, l’érotisme traverse tout l’univers de la création dessinée. C’est cette histoire qui est ici racontée, sans oublier toute sa partie cachée et censurée, avec une sélection inédite de dessins jamais montrés.
Ce nouveau numéro s’intéresse aux interdits de la BD érotique.
Disponible en 24 à 48 heures directement chez vous sous pli discret en cliquant ici.
L’équipe de l’association Modernité Relative vous propose d’assister pour 15 euros seulement (avec une boisson comprise) à la première soirée de spectacles réels de BDSM, de domination et de soumission érotique, le tout devant vous à quelques mètres de vos yeux, le CABARET FETISH SHOWS
Les shows seront tous réalisés par de véritables pratiquants qui vous feront découvrir une multitude de pratiques différentes que ce soit entre deux femmes (dominatrice et soumise), entre une femme dominatrice et un soumis et l’inverse. Bondage, dressage, latex, humiliations, fétichismes des pieds et plus.
Près de 2 heures de shows authentiques et d’images fortes non-stop dans un lieu superbe et intime, la splendide cave du bar LA CANTADA (aménagée depuis de longues pour accueillir une multitude de spectacles alternatifs et underground) baptisé « Le cabaret du néant ».
Découvrez ce que sont les vrais plaisirs et les plus délicieuses pratiques BDSM lors de ce premier CABARET FETISH SHOWS !
En prévente sur le site internet : 15 euros (par carte bancaire)
Sur place (paiement en espèces) : 25 euros
Date : jeudi 10 novembre 2016
Horaire : de 21h00 à 22h45
Adresse : LA CANTADA (au sous-sol « Le cabaret du néant ») – 13 rue Moret – 75011 Paris.
Métro le plus proche : Couronnes (ligne 2)
Prix en prévente sur internet (par carte bancaire) : 15 euros (une boisson comprise)
Prix en sur place (en espèces) : 25 euros (une boisson comprise)
Plus d’informations sur : www.cabaretfetishshows.com
Préventes disponibles sur : https://www.weezevent.com/cabaret-fetiish-shows
Miss Tiffany a vraiment tout pour elle, elle est jeune, mince, belle, elle a une longue chevelure noire et en permanence un petit sourire coquin et moqueur. Miss Tiffany est une dominatrice dans l’âme et son unique passion aux travers des centaines de vidéos dans lesquelles elle a tourné est de se faire embrasser et lécher les bottes, les chaussures, ses bas nylon, ses chaussettes parfumées et ses pieds nus.
Miss Tiffany n’a pas besoin de donner des ordres en montant le ton, non elle parle avec douceur, qu’il s’agisse de femmes ou d’hommes toutes et tous lui obéissent sans rechigner, sans hésiter, avec un véritable plaisir partager. Elle ni grande, ni imposante, elle ne porte de tenues classiques de dominatrices mais elle s’habille avec élégance à la mode d’aujourd’hui comme les jeunes femmes de son âge.
Nous vous proposons ci-dessous quelques extraits de ses vidéos qui vous feront tomber sous le charme tout particulier de Miss Tiffany. Elle semble être née pour que l’on se jette et l’on rampe à ses pieds. Cela semble tellement naturel.
Wajdek Zbiniev
Non il n’y a pas de piège, il n’y pas d’arnaque ce sont bien les véritables créations en vinyle signées Patrice Catanzaro (que l’on ne présente et qui cartonne désormais jusqu’au Canada) qui nous sont proposées tout-à-fait officiellement et régulièrement à des prix allant de 50 à 70% de réduction par une boutique internet basée dans le sud de la France.
Elle s’appelle Lady Sou, elle est en partenariat officiel avec Patrice Catanzaro et elle ne vend d’ailleurs que des tenues signées par celui-ci.
La nouvelle collection collection est proposée, il est vrai, aux mêmes prix que dans les rares boutiques fétichistes physiques de l’hexagone mais là où c’est particulièrement intéressant c’est que les très belles collections des saisons passées sont proposées avec des rabais de 50%, 60% et même de 70%, des modèles souvent devenus introuvables dans les boutiques traditionnelles et surtout dans des tailles qui n’ont parfois été que très peu présentes dans les rayons de celles-ci qui se contentent souvent de ne les proposer qu’en tailles S, M et L alors que ces modèles ont été également créés en XS (34), en XL (42-44) et XXL (44-46).
Je ne me souviens plus comment je suis arrivé, par hasard, sur le site de cette boutique virtuelle, cela date de plus d’un an déjà, et j’ai immédiatement passé commande. Une commande livrée rapidement qui m’incite à, enfin, vous dévoiler ma petite découverte : ce sont bien de vraies créations Patrice Catanzaro et l’expédition se fait bien depuis la France avec le plus grand soin. Ce ne sont donc pas des copies chinoises mais le meilleur de la mode fétichiste « made in France » à la portée des bourses les plus modestes.
Alors, espérons que vous commanderez en masse chez Lady Sou et que nous verrons les soirées fétichistes de France et de Belgique inondées des splendides robes, jupes, tops, vestes, leggings, gants, pantalons et j’en passe dans les semaines et les mois à venir. Notez qu’il existe des collections femmes mais aussi des collections hommes. Vous n’avez donc plus d’excuses pour ne pas vous glisser au plus vite et avec sensualité dans du Catanzaro.Un plaisir sans égal.
A noter : Des essayages sont possibles au showroom à Bordeaux Mérignac, sur rendez-vous uniquement.
Ci-dessous une série de photos tirées du site Lady Sou, les réductions mentionnées sont bien réelles.
Francis Loup
Découvrez la boutique en ligne Lady Sou ici : www.lady-sou.com
Thierry Monceau, photographe amateur alternatif formidablement doué (fetish & SM soft). Il shoote rarement, principalement mon entourage ou au gré de rencontres sur Paris et banlieue. Nous vous invitons à découvrir ou redécouvrir toute l’étendue de son talent. Vous ne pourrez, comme toute notre rédaction, que tomber sous le charme des ses images et de ses modèles.
Découvrez sa page sur Instagram : www.instagram.com/paradoxalstudio
Découvrez son site personnel : www.paradoxal-studio.com
Au début d’octobre 2016, deux Sud-Africaines de Mpumalanga ont été victimes d’une agression aussi violente qu’inexplicable. Uniquement parce qu’elles sont en couple.
Des hommes sont entrés chez elles et les ont violées pour « leur rappeler qu’elles sont des femmes ». On appelle cela un « viol correctif » et c’est l’une des agressions les plus atroces commises régulièrement contre les personnes lesbiennes, gays, bi et trans en Afrique du Sud.
Et bien souvent, les coupables restent totalement impunis.
En cet instant même, il existe un projet de loi sur le bureau du Ministre de la Justice sud-africain, Michael Masutha, qui prévoit de punir les auteurs de « viols correctifs ». Mais M. Matsutha ne l’a pas soumis à un examen public à la mi-octobre, comme il le promet pourtant depuis 2010.
Les « viols correctifs » sont fréquents ici. En octobre 2014, un autre couple de femmes de Mpumalanga a été violé devant leur fille de sept ans. La police a refusé d’enquêter.
Le « viol correctif » est une punition infligée à celles qui ne respectent pas l’image que se font certains hommes de la manière dont les femmes devraient se comporter et de qui elles devraient aimer. C’est un crime violent et homophobe qui cible les victimes selon leur genre et leur orientation sexuelle.
Si ce texte est adopté, les criminels devront enfin répondre de leurs actes. La loi prévoit des postes dans différents départements pour lutter contre les crimes haineux. Ce texte rappellerait que les crimes violents contre les personnes LGBT ne sont jamais acceptables.
Signez pour soutenir toute une coalition de militants et militantes sud-africains qui demandent à M. Masutha de faire avancer ce texte de toute urgence.
Surprenant ou évident, chacun se fera son opinion sur les 5 articles BDSM les plus vendus ces derniers mois (source : www.extraime.com). On comprendra aisément que les cordes de shibari y figurent que ce soit en noir ou en rouge puisqu’elle sont vendues sur cette boutique en ligne (alors que ce sont exactement les mêmes articles provenant des mêmes fournisseurs) nettement moins chères que dans les sex-shops spécialisés mais cela démontre quand même que pas mal de monde se met encore et toujours à la pratique du shibari.
Ils sont également au nombre de deux dans ce Top 5 des ventes BDSM de la rentrée 2016 : les bâillons. Et là surprise, nous sommes loin des bâillons les plus classiques, ce sont deux modèles plus rares et plus originaux qui font un carton et qui devancent de très loin tous les autres modèles. Tous les deux couvrent largement la bouche avec un carré de cuir, l’un pour masquer la boule de caoutchouc classique et l’autre un gode noir, court, large et réaliste.
Enfin, en cinquième position, un modèle de menottes, là aussi loin des classiques du genre, puisqu’il s’agit d’un modèle spécialement créé pour le bondage (comme quoi le shibari n’a pas remplacé le bondage occidental), permettant plusieurs combinaisons mais surtout composé de quatre menottes reliées entre elles par une sangle en forme de croix. Là encore, c’est manifestement le prix qui a fait que de nombreux clients ont préféré être livrés en 24 à 48 heures, discrètement, sans avoir à se déplacer et en faisant une belle économie.
Ce Top 5 ne vaut probablement que pour la boutique internet www.extraime.com (qui est partenaire d’Amazon) et s’explique essentiellement par les tarifs des articles en question mais il me semblait que nous pouvions en tirer quelques leçons.
Signalons quand même que si nous prenons tous les modèles, quelles que soient leurs couleurs et leurs tailles, ce sont toujours les Rosebud et les plugs en métal qui arrivent de loin en tête. Et ceci depuis bientôt trois ans sans qu’un modèle précis ne se détache vraiment.
Ce Top 5 est basé sur les ventes réalisées durant la rentrée 2016 (septembre et octobre).
Francis Loup
Il y a un peu plus de trois ans, J m’écrit :
« Bonjour Monsieur,
J’aime bien la chronique sur votre blogue, « Le mot du jour ». Si bien que j’ai eu moi aussi envie de me prêter au jeu
Au moment où J m’écrivait ces mots, en 2013, Monsieur avait trois autres femelles bien différentes les unes des autres à sa disposition, bien qu’une seule s’était à ce jour adonné aux « mot du jour » (c’était d’ailleurs son initiative).
J étant mal à l’aise avec toutes ces présences et la pluralité, il faut croire qu’elle avait donc besoin d’y mettre du sien, de me montrer ce dont elle était capable. Pourtant, je ne lui avais rien demandé. Qui plus est, elle avait fort à faire sur ce plan, l’auteure desdits « mot du jour » maniant la plume avec la puissance d’une pyrotechnicienne chinoise et l’adresse d’un archer elfe au service de Galadriel.
J poursuit :
Alors voici le mot du jour :
VOLONTÉ : Volonté comme volonté de Lui plaire. Volonté de Lui obéir. Volonté de Lui appartenir. Volonté de Le servir comme il se doit. Volonté de me soumettre à Lui. Volonté de Le laisser décider pour moi. Volonté d’être à Ses pieds. Volonté de Lui dire « Oui Monsieur ».
Volonté comme volonté de m’abandonner. Volonté de céder à mes pulsions. Volonté de m’épanouir. Volonté de laisser tomber mes tabous. Volonté de prendre ma place. Volonté de dépasser mes limites. Volonté d’être moi. Volonté d’être vraie. Volonté de me sentir femme. Volonté d’accepter ce que je suis.
Enfin, Volonté d’être son petit animal de compagnie ou autre, selon les besoins de Monsieur.
La volonté de Monsieur devient la volonté de J. »
C’était un beau mot du jour.
Il faut croire cependant que les expressions « selon la volonté de Monsieur » et « selon les besoins de Monsieur » se révélaient plus des formules charmantes apprises dans les sites de poésie bdsm, qu’une véritable profession de foi.
Autrement, elle serait encore là, la J, si ce n’avait été que de la volonté de Monsieur.
C’est bien ça d’ailleurs le problème avec les mots. Une soumise qui manie les mots avec adresse, capable de faire beau avec les mots, peut facilement tomber dans l’écueil des écueils dans la relation de pouvoir, l’une des principales difficultés, sinon LA difficulté numéro un, c’est-à-dire de dire au Maître ce qu’elle croit que le Maître veut entendre ou lui ferait plaisir, au lieu de simplement dire ce qu’elle a à dire, ce qui l’habite réellement, sans auto-censure, ni crainte du ridicule, du jugement ou de représailles.
Quitte à ce que le Maître ne soit pas en mesure de les recevoir ces mots. Au moins, elle sait alors ce qu’elle a à faire, au lieu de s’obstiner… et de lancer d’autres mots.
Et puis, les mots c’est bien beau. Mais il y aussi les gestes qui s’accordent à ces mots. Sans les gestes qui suivent, les mots ne sont que des mots.
En Beauce, il y a un bel adage en ce sens : les bottines doivent suivre les babines.
L’article Mot du jour : volonté est apparu en premier sur cercle O.
Depuis des mois que Nnoous étions dans la paperasserie … voila c’est fait … Nnous avons signé le bail de location … Les Anges Déchues déménagent et Nnous aussi dans la foulée… Nnous allons recevoir les clés le 13 aout ….
HOURAAAAAAA
Autant vous le dire de suite, j’ai dévoré ce livre de bout en bout. Intriguée par la couverture j’avais décidé de me lancer dans l’histoire de ce jeune homme initié à tous les plaisirs par une voisine sexy et pouvant être sa mère.
Mais petit à petit l’histoire a évolué et tout comme ce jeune homme, je me suis retrouvée prise dans l’engrenage d’une infiltration dans les milieux bisexuels du libertinage, du BDSM et plus violemment encore. Plaisir, action, suspense, angoisse, vengeance, tous les ingrédients permettant de tenir le lecteur en haleine de la première à la dernière phrase étaient présents.
Vous devez savoir avant de vous engager dans la lecture de cette fiction que certaines scènes sont d’une violence extrême et qu’il faut avoir le cœur bien accroché mais ce livre est tellement addictif qu’une fois commencé vous ne pourrez plus le lâcher…
Un livre réservé à des lecteurs avertis qui, eux aussi, n’ont pas peur de repousser leurs limites.
Disponible en 48 heures par correspondance ici : http://www.sentimentmoderne.com/librairie/produit/celine/
Pour pouvoir se déplacer à nouveau dans l’appartement il a fallut apprendre à Indiana à m’accepter. accepter de me voir déambuler à quatre pattes. Ce qui ne fut pas aisé car systématiquement dès que je me mettais à quatre pattes, il essayait de me monter comme une chienne. Ce qui a permis de se rendre compte d’une chose très intéressante.
Avec son odorat Indiana savait exactement quand j’étais « baisable ». Comme quoi on doit dégager une odeur particulière pendant les règles car ils ne sont pas intéressés alors que le reste du temps …
j’ai également constaté qu’un chien peut être jaloux … pas une jalousie tordue comme les humains, non pour lui, c’est une réaction immédiate. Monsieur s’occupe de moi et Il me caresse, Indiana veut des caresses aussi. je suis contre Monsieur dans le canapé, Indiana arrive aussitôt pour se mettre entre Nnous deux
Partage
Il doit apprendre à partager et je dois apprendre à être patiente
Samedi 20 août 2016 de 12h00 à minuit (Oui, oui, jusque minuit !) se tiendra un marché d’échange et de seconde main fetish et BDSM.
En préalable au Fetish Festival qui aura lieu en octobre 2016 en Belgique, les mêmes organisateurs se lancent dans un petit échauffement cet été : le plus grand marché de seconde main en Belgique , pour vendre et échanger vos articles liés à l’univers fetish et BDSM, utilisés ou non, pour vider vos dressings ou écouler vos restes de stock !
Et pour la première fois en Belgique, vous pourrez aussi tester vos trouvailles dans notre espace Meet & Play joliment aménagé de divers appareils BDSM. L’espace Meet & Play sera ouvert de midi à trois heures du matin.
Nous prévoyons aussi des boissons et un service de petite restauration.
Si vous venez en tenue fetish, nous vous accorderons une réduction sur le prix d’entrée.
Pour participer en tant qu’exposant, particulier ou professionnel, contactez l’organisateur : mastertaurus@telenet.be
Adresse :
Hangar 43 – Fabriekstraat 43 – 9200 Dendermonde – Belgique.
Après avoir été invité à exposer ses sculptures représentant des scènes BDSM dans des boîtes au Festival International de l’Érotisme de Bruxelles 2016, l’artiste sculpteur et photographe Christ-OFF, artiste depuis 1998, exposera ses créations (sculptures et photographies) à la Cantada du 9 septembre au 13 octobre 2016.
Ces œuvres sont nées de la passion pour l’univers BDSM de l’artiste Christ-OFF et de Violaine, sa muse et complice toute aussi créative, et de leur envie de partager leur Univers visuel et sensuel. Il en découle des objets de plaisir, des photographies, des objets d’art ou de déco.
Lors du vernissage et tout au long de celui-ci, auront lieux des performances BDSM et des démonstrations surprises. Venez donc nombreux et nombreuses pour découvrir et partager cet univers à part.
Le vernissage aura le jeudi 9 septembre 2016 à partir de 19h00 et vous y êtes toutes et tous invités, pas besoin de carton d’invitation, pas besoin de figurer sur une liste d’invités pour y participer, l’entrée est ouverte à tout le monde. L’exposition se tient au sous-sol de la Cantada (également connue sous le nom de « Cabaret du néant »), n’hésitez donc pas à vous diriger immédiatement vers le sous-sol (pas de stress, il y a un second bar au sous-sol).
Adresse :
LA CANTADA / LE CABARET DU NEANT – 13 rue Moret – 75011 Paris.
Métro : Couronnes
Attaché de presse : Francis Dedobbeleer
Le mois dernier, des milliers de membres d’All Out ont contribué au financement de la Gay Pride en Ouganda, qui a débuté début août 2016. Un membre d’All Out s’est rendu à Kampala afin de rejoindre à tous les partenaires pour cet événement historique. Maisil en revenu avec de très mauvaises nouvelles.
Jeudi 4 août à 23h00, un concours de beauté organisé dans le cadre des festivités de la semaine a été interrompu par une descente de police, qui a bouclé le périmètre et envoyé des agents armés. Ceux-ci ont fouetté et battu les activistes qui se trouvaient sur place.
Plus de 20 activistes LGBT ougandais, y compris certains de des partenaires, ont été arrêtés et détenus pendant des heures. Poussé par la peur, un jeune homme s’est jeté du quatrième étage et est actuellement hospitalisé dans un état critique.
Le ministre de l’Éthique et de l’Intégrité a rassemblé des forces armées pour arrêter le défilé de la Gay Pride prévu. Les activistes ont été contraints d’annuler le défilé pour leur propre sécurité.
Plus que jamais, nous devons montrer notre soutien à nos courageux amis et partenaires ougandais.
Pendant toute la durée de l’éducation d’Indiana beaucoup de choses avaient changé. Mais d’autres étaient restées. Vvous me direz lesquelles. Qu’est ce qui n’avait pas changé ? Le Vous bien sur, je n’ai jamais tutoyé mon Maitre. Demander la permission pour faire ses besoins mais il fallait aller aux toilettes. Ne pas se précipiter sur la nourriture même si je devais manger à table mais toujours dans ma gamelle au lieu de par terre dans ma gamelle. Ma gamelle est une magnifique assiette creuse en porcelaine. Très jolie, et très profonde. Parfaitement adapté à ma morphologie. L’appeler aussitôt sortie de la maison, veiller à ce que mes chargeurs soient avec moi pour pouvoir rester en ligne toute la journée, jusqu’à mon retour. Le rituel du matin, Il me lave, Il m’habille, Il prépare mon petit déjeuner, un repas équilibré dès le matin.
Eva Delambre est une jeune femme bien dans sa tête et bien dans son corps. De nature passionnée et curieuse, elle assume ses envies et ses penchants. elle a fait ses premiers pas dans le BDSM il y a quelques années. c est sa découverte de ce monde et son imagination fertile, associées à sa passion pour l écriture, qui ont guidé sa plume. Elle est l’auteure de « Devenir Sienne », de « L’Esclave » et de « L’Éveil de l’Ange ».
« L’Envol de l’Ange » est le quatrième roman écrit par Eva Delambre. Comme dans les opus précédents, l’auteur démontre une nouvelle fois tout son talent, son inspiration et la beauté de son écriture. Et « L’Envol de l’Ange » ne déroge pas à cette règle tant son histoire est belle, bien écrite et avec une palette d’émotions mais aussi pour l’écriture de l’auteure toujours aussi soignée et travaillée. Enfin c’est surtout que ce diptyque, formé avec « L’Eveil de l’Ange », est une réussite.
« L’Envol de l’Ange » s’ouvre quelques temps après le final de « L’Eveil de l’Ange ». Nous y retrouvons Solange et Tristan mais aussi Axelle la meilleure amie de Solange. La relation entre Solange et Tristan a évolué. C’est cette évolution de la relation entre ses deux personnages et rapports qui s’en dégagent que l’auteur met en relief dans ce livre. Il est possible de réduire la relation de Solange et Tristan à une relation de Domination/Soumission. Et pourtant ce serait là une erreur car les rapports qu’entretiennent ces deux personnages vont bien au-delà. François Duc de la Rochefoucauld a écrit : « Il n’y a qu’une sorte d’amour, mais il y a mille copies différentes. ». C’est un point que l’auteure stipule très bien dans son livre à travers les dialogues notamment entre Solange et Tristan, à travers le ressenti du personnage de Solange mais aussi son questionnement.
En lisant « L’Eveil de l’Ange » et sa suite « L’Envol de l’Ange », nous en avons un bel exemple de cette « copie différente ». Il en est d’ailleurs de même pour les deux premiers opus d’Eva Delambre. Tout ceci n’est rendu possible que par le travail de l’auteure notamment par son écriture.
« Un bon livre c’est quand on a envie de tourner les pages pour connaître la fin de l’histoire et qu’on se retient de le faire par crainte de rater les qualités de l’écriture. » (Jacques Poulin). Il y a des auteur(e)s dont nous apprécions les livres pour des raisons bien précises. C’est le cas d’Eva Delambre. L’un des points forts de l’auteure, c’est son écriture. L’auteure le prouve encore une fois avec son livre « L’Envol de l’Ange » où le récit s’enchaîne sans temps mort. A cela s’ajoute le choix des mots.
A l’origine les mots appartiennent à tout le monde, l’auteure réussit à s’approprier les mots pour leur donner un sens différent de celui qui peuvent avoir dans le dictionnaire. C’est cette appropriation des mots qui se ressent tout au long de la lecture du livre montrant ainsi toutes les qualités de l’écriture de l’auteure. C’est cela qui fait d’Eva Delambre une auteure véritable; une vraie écrivaine.
En définitive, le nouveau roman d’Eva Delambre est un livre bien écrit où le lecteur se laisse porter par l’écriture de l’auteure et ce dès les premières lignes. A cela s’ajoute une écriture soignée et travaillée mais aussi respectueuse des personnages, de l’histoire et du thème abordé le BDSM.
Notons également les mots de Maître Tesamo en postface qu’il est conseillé de lire tant cela est intéressante et apporte un éclairage supplémentaire sur l’histoire.
« L’Envol de l’Ange » est un livre que je conseille aux personnes ayant aimé les livres précédents d’Eva Delambre mais aussi à toutes celles et à tous ceux qui souhaitent se lancer dans la découverte de cet univers qu’est le BDSM.
Disponible par correspondance en 48 heures en cliquant ici.
Depuis que petit à petit je recommence doucement à vivre comme une petgirl à la maison je délaisse le blog. Certe je met à jour la page info et soirée mais je ne post plus d’article sur ce que je vis. Cela va venir. j’ai toujours eu besoin de me poser et en ce moment je n’y arrive pas. Depuis janvier les choses avancent bien. Merveilleusement bien.
Le petplay est de plus en plus connu et reconnu voir l’article ci-dessous
Le Royaume-Uni adore les chiens. D’après une enquête publiée en 2015 par la Pet food manufacturers association, près d’un ménage britannique sur quatre abrite un gentil pépère, ce qui fait tout de même 8,5 millions de bêtes. Même la Reine d’Angleterre est une grande amie des chiens : si la monarque tout juste nonagénaire a décidé de se séparer de ses impétueux Welsh Corgi par crainte qu’ils ne la fassent tomber, elle a possédé au moins une trentaine d’entre eux depuis ses 18 ans. Il se dit que leurs repas étaient servis dans des plats de porcelaine ou d’argent et qu’Élisabeth II les nourrissait elle-même. Pour en savoir plus : Ici
Pendant un bon moment je me suis cherchée. Du moins, c’est ce que je pensais. En fait, j’ai réalisé plutôt que je m’étais perdue quelque part.
Celle que j’étais avec sa fougue, ses espoirs, ses désirs s’était un peu perdue à travers toutes les étapes de sa vie. Une carrière qui s’est imposée par une succession d’événements, une vie modelée sur des principes d’éducation. Ce besoin d’être reconnue dans le regard des autres. Ce besoin d’avoir réussi selon un standard établi par mon cadre de référence.
Bref, devenir ce que l’on attendait de moi. Et j’ai réussi! Et même très bien!
Où est moi?Je suis une femme déterminée et fonceuse. J’ai donc donné satisfaction. Je suis devenue cette femme, soeur, compagne, mère et amie que je croyais devoir être. Bravo! Et j’en suis fière.
Mais il manquait quelque chose. Ce besoin d’être moi, tout simplement, avec la possibilité que ce moi ne soit pas celle-là.
Mais qui étais-je donc? Avais-je le droit de faire le constat que bien que j’avais « réussi », j’avais le sentiment de ne pas avoir pris la bonne route? Avais-je le droit de vouloir retrouver cette jeune fille en moi qui croyait que sa vie était toute autre? En fait, il ne s’agissait pas de jeter ce que j’étais car j’aime ce que je suis sous la plupart des aspects. J’aime les qualités et habiletés que j’ai su développer au fil du temps, des expériences et des rencontres.
Mais j’avais envie de me permettre le choix. Le choix de prendre une trajectoire différente que celle qui semblait s’inscrire pour l’éternité. J’avais envie de repartir à ma rencontre.
Alors, j’ai fait Ce choix. Je me suis choisie. Et en me choisissant, je donnais un autre souffle à ma vie (et aux miens ai-je réalisé plus tard).
J’ai fait de belles rencontres et de moins intéressantes. Toutes m’ont cependant aidée à me regarder avec Mes yeux (et en finir avec ce besoin du regard des autres). Toutes m’ont appris.
Et puis, il y a eu cette rencontre.
Ce jour où j’ai osé franchir un autre seuil. Ce jour où j’ai suivi les yeux fermés mais l’esprit ouvert.
Ce jour là, je l’ai rencontré Lui. (Était-ce Lui ou était-ce Moi?) Ce jour là, Il m’a montré une autre route… Tiens, c’est étrange, cette route ressemblait à celle m’ayant interpellé il y a bien longtemps. La route de mes sens, de mes tripes, de ce qui m’habite… sans filtres… sans jugements…
Ce jour là, j’ai appris. J’ai appris que je pouvais me faire confiance et que mes choix étaient les bons… ils étaient les miens.
Que je choisisse d’être aux pieds ou me tenir debout, fière et droite. Que je choisisse de servir parce que je m’y accomplis. Que je choisisse de ramper parce que ça me fait vibrer et m’excite ou que j’apprenne à demander et à dire ce qui est important pour moi. Tout ça ce sont mes choix. C’est ma route, c’est moi.
J’ai fait cette rencontre marquante avec Celui qui a allumé cette lumière en moi. Je croyais qu’Il était mon phare. Il a fait mieux. Il m’a démontré que je portais ce phare en moi. Je croyais qu’Il était Celui qui avait fait de moi cette femme épanouie, un peu pute, un peu chienne, un peu esclave, un peu de tout. En fait, Il m’a permis de l’exprimer car je suis toutes ces femmes… elles sont en moi.
Je me suis trouvée. .. je me suis retrouvée car aujourd’hui je vibre à l’unisson avec celle que je voulais être et celle que j’ose être. Et je lui en suis reconnaissante.
On ne connait pas tous les voyages que nous ferons mais celui-là est un des plus importants. Et je me sens privilégiée de cette invitation à embarquer vers une destination inconnue de Lui, inconnue de moi. À bien y penser, la destination je ne tiens pas à la connaître. Elle est sans importance. Ce sont toutes ces escales, tous ces ports, toutes ces découvertes qui font de ce voyage un des plus signifiants et des plus beaux.
Je sais aujourd’hui qui je suis, ce que je suis, ce que je peux être. J’ai réussi! Et même très bien!
L’article Cherche et trouve est apparu en premier sur cercle O.
Lord Morpheous est éducateur sexuel, auteur, photographe et pratiquant de bondage. Il a dirigé de nombreux ateliers sur le bondage et les cordes, l’esthétique du bondage, la photographie fétichiste, le BDSM pour les débutants et les confirmés, et les relations dominant(e)/soumis(e) pour les professionnels. Il voyage beaucoup et se présente à de nombreux événements y vulgarisant la pratique du bondage tant pour des universitaires que pour les adeptes convaincus à travers le monde. Il est également le fondateur du Morpheus’ Bondage Extravaganza (MBE), une manifestation artistique annuelle sur le bondage et les cordes qui est devenue, avec les années, l’événement sur le bondage le plus important au niveau mondial. Il vit à Toronto (Canada).
Tabou éditions a eu la bonne idée de traduire et d’adapter le livre sous le titre explicite « Les bases du bondage » que cet expert à publié (en anglais) à l’adresse des novices ou aux amateurs avertis qui veulent en savoir plus sur les jeux de cordes, ce livre informatif, créatif et récréatif est le compagnon idéal pour pimenter la vie sexuelle et amoureuse. Avec ce guide qui présente pas à pas et en images l’art du bondage, Lord Morpheous fera du lecteur un expert en noeuds coquins et liens grivois.
Thèmes abordés : ce qu’il faut savoir avant de commencer, l’histoire du bondage, la culture BDSM et les jeux de contrainte, trouver le bon partenaire, bien choisir son mat?riel, maîtriser les noeuds et les liens, les techniques pas à pas, conseils de sécurité…
176 pages en couleurs sur tout ce qu’il faut connaître pour bien commencer la pratique du bondage.
Disponible par correspondance (sous pli discret) en 48 ou 24 heures directement chez vous en cliquant ici.
Manifestement, même si elle ne prétend pas être la soirée fétichiste accueillant, par pur et unique intérêt financier (on ne citera personne par respect tant leur dernière soirée fut cette année un désastre qu’ils ont admis eux-mêmes) le plus grand nombre de clients, la Nuit Élastique (qui est une association loi 1901 ce qui signifie à but NON lucratif) a décidé de proposer, sans augmentation des prix et sans prétention mais avec passion et authenticité une belle nuit fétichiste qui a attiré une liste exceptionnelle des personnalités fétichistes et BDSM (avec photos) qui seront toutes présentes..
Vous trouverez ci-dessous une petite partie de ces personnalités présentes ce samedi 11 juin 2016 mais en découvrirez bien plus
sur le site web officiel de la Nuit Élastique : www.nuitelastique.com
L’équipe de communication du ministre de l’Intérieur risque de se prendre une bonne déculottée. Dans les favoris du compte Twitter de Bernard Cazeneuve s’est glissée une photo gênante d’un compte fétichiste.
Bernard Cazeneuve aimerait-il les fessées ? Ou bien préférerait-il en donner ? La question pouvait se poser en regardant dimanche soir les favoris du compte Twitter du ministre de l’Intérieur. On y trouvait en effet un « like » sur une publication intitulée « Cul nu pour une correction à la canne #culnu #fessée #canne », provenant du compte @cpunishments. Le tweet était accompagné d’une photo d’une jeune femme, culotte baissée, sur le point de se faire fesser par un illustre inconnu.
Comme chaque année, l’anniversaire de la Nuit Elastique est toujours l’occasion d’une soirée exceptionnelle avec un programme spécial sans aucune augmentation des tarifs qu’il s’agisse de ceux de l’entrée, du vestiaire ou du bar.
C’est aussi l’occasion d’accueillir gracieusement des femmes et des hommes spécialisées dans le shibari et/ou le bondage dans un espace qui leur est totalement dédié.
Vous êtes une ou spécialiste du shabari ou du bondage ? Contactez l’organisateur de la soirée afin qu’il vous réserve l’espace durant le temps dont vous avez besoin, qu’il annonce votre présence et qu’il vous invite gratuitement vous et vos modèles. Et si vous n’avez pas de modèles, soyez sans sans soucis il vous en trouvera tant il y a de candidate(e)s. Si vous êtes modèles contactez-le également.
Contactez Francis Loup Dedobbeleer par email en en écrivant à : francis@nuitelastique.com
Plus d’informations, programme et réservations : www.nuitelastique.com
Dans la soirée du dimanche 10 avril 2016, un homme a fait une macabre découverte dans le jardin d’une maison inhabitée du Calvados. Dans un buisson gisait le corps dénudé d’une femme recouvert d’un drap rouge. La police, prévenue par le riverain, n’a pu que constater le décès, une fois sur place. L’autopsie du corps, pratiquée mercredi, a révélé « un traumatisme crânien majeur, une hémorragie majeure, ainsi que sept côtes cassées et des traces de violences sexuelles. C’est quelqu’un qui a dû souffrir », a indiqué le procureur de la République. Pour l’instant anonyme, ce quelqu’un était une habitante de la commune de Vire, âgée de 57 ans.
Ce même dimanche soir un homme de 34 ans sans profession, sous tutelle et, visiblement, ne sachant à peine lire, s’est rendu dans le commissariat de Granville pour « indiquer qu’il est impliqué dans les faits », sans pour autant reconnaître sa responsabilité. L’individu, qui a admis avoir souvent reçu la victime chez lui, aurait eu des relations sexuelles avec elle, la veille de sa mort. Et pas n’importe lesquelles : la femme lui aurait demandé de lui infliger « des pratiques sadomasochistes » et notamment de l’étrangler. Elle se serait ensuite levée, puis serait tombée à quatre reprises, avant de succomber.
Pris de panique, l’homme aurait alors décidé de « se débarrasser du corps en le chargeant dans une petite remorque de vélo pour le transporter » et le dissimuler dans le jardin a priori abandonné, non loin de son domicile. Il a été placé en garde à vue. Les explications qu’il a fournies pour se dédouaner n’ont pas convaincu les enquêteurs. Déjà condamné pour des faits de violence en 2012 et pour vol en réunion en 2007, le prévenu encourt jusqu’à trente ans de réclusion.
Ça faisait plus de six mois que je ne l’avais pas vue. Ah, plus que ça, même. J’étais inquiet, je ne la trouvais plus nulle part.
Puis, quand on cesse de chercher…
Il y a quelques semaines, j’ai dû mettre à la rue l’un des sofas qui servait au sous-sol. Ce sofa rouge aux formes arrondies, assez massif sans être trop lourd, qui fait très années soixante, fut un témoin privilégié de quelques scénarios pervers… :- )
Seul avec ce mastodonte, je réussis tout de même à le sortir de la maison, au pied des escaliers, non sans peine. Je viens pour le prendre de l’intérieur afin d’avoir une meilleure prise… et c’est alors que mon bras glisse complètement dans le creux du sofa qui forme en quelque sorte une pochette de tissu.
Ma main la sent aussitôt et la reconnait derechef… han! quoi? laaaaaa cravache!… T’étais là tout c’temps-là, toué?
On aurait dit la main de Bilbon tombant sur l’anneau dans l’obscurité des Monts Brumeux. Sauf que je connaissais, moi, le pouvoir de ce que je venais de découvrir! :- ))
Ah ben là, le sourire, toué chose.
Je comptais la sortir lors d’un moment coquin qui s’en venait sous peu… et finalement, ce sont les fesses de la Favorite qui ont servi à la dérouiller.
Oh, quelque chose de très léger.
Photo : Fesses : M/d… Oeil : R/Valmont, printemps 16.
Le récit est un roman autobiographique inspiré du parcours de Maîtresse Roxanne, dominatrice transsexuelle. Le séduisant giton se voit précipité derrière les murs d’une prison par la volonté malveillante de son protecteur débauché, Ferdinand. Cette trahison devient impossible à pardonner. Mais ce qui ne tue pas rend plus fort ! Dès son retour à l’air libre, le jeune éphèbe persiste dans sa volonté de changement de sexe. Produit de traitements hormonaux, ou fruit de quelque pacte satanique, la créature mutante se fond en une blonde pulpeuse à poitrine généreuse, Roxanne.
Son immersion dans l’univers de la transsexualité lui révèle des nymphes fascinantes dont elle se plaît à suivre l’exemple. Le tourbillon sensuel de son nouvel état n’efface pourtant pas les vieilles rancunes. Le sinistre Ferdinand devra rendre des comptes !
Disponible en 48 heures sous pli discret chez Amazon en cliquant ici.
Participer à une soirée où toutes les femmes sont des dominatrices (non professionnelles qui plus est), où tous les hommes aiment se soumettre à celles-ci et où tous les couples sont exclusivement composés d’une Maîtresse et de son esclave, est-ce possible ? Cela existe-t-il vraiment ?
Eh bien oui et cela fait bientôt 4 ans d’ailleurs ! Il s’agit de la Nuit Girl Power qui, 8 à 10 fois par an, accueille jusqu’à 80 personnes dans des lieux toujours exceptionnels comme celui où elle se déroule actuellement : un superbe loft privé, chic et chaleureux situé dans le 11ème arrondissement de Paris (entre Père-Lachaise et Belleville).
Ouverte aux personnes et aux couples débutants, la Nuit Girl Power est le rendez-vous parfait pour celles et ceux qui souhaitent vivre leurs fantasmes dans une ambiance détendue, sensuelle et rassurante. C’est aussi l’occasion parfaite pour les personnes plus expérimentées d’y faire de nouvelles rencontres, d’entrer en relation avec des personnes différentes de celles que vous pouvez croiser dans les autres soirées SM parisiennes.
Mais en dehors du fait que la Nuit Girl Power vous permet, contrairement à ce qui se fait ailleurs, de rencontrer exclusivement des dominatrices non professionnelles qui sont présentes uniquement pour le plaisir, quelles sont les qualités qui font d’elle une nuit unique ? En premier lieu, la discrétion totale y est assurée. Seules les personnes ayant réservé et payé leurs places connaissent l’adresse exacte du loft où elle a lieu. Ensuite, la formule tout compris est à la fois économique et vous simplifie les choses au cours la soirée. L’achat de vos places comprend non seulement l’entrée (il faut bien payer la location de l’espace) mais également les boissons (Champagne, alcools, bières, jus de fruits, sodas…) à volonté ainsi que le buffet offert. Enfin, l’équipe de la Nuit Girl Power vous reçoit de façon chaleureuse, un accueil qui vous mettra en confiance et rassurera les plus timides.
Quelles sont les pratiques les plus courantes lors de la Nuit Girl Power ? En voici une petite liste non exhaustive : fétichisme des pieds, léchages des bottes, cuissardes et chaussures, bondage, shibari, fessées, martinet, cravache, humiliations physiques, humiliations verbales, dressage, promenade en laisse, utilisation comme soubrette, pinces aux tétons et ailleurs, etc. Etant bien entendu qu’aucune pratique n’est jamais imposée à personne contre sa volonté, le respect des goûts et préférences de chacun est toujours respectée à la Nuit Girl Power !
Vous voulez en voir et en savoir plus sur la Nuit Girl Power ? Premier conseil : visitez sans attendre le site web officiel de la soirée. Vous y trouverez de nombreuses photos du lieu, d’autres photos de l’ambiance qui y règne (même si elle est bien plus chaude et SM en réalité mais par discrétion pour les participants aucune photo n’est prise lors de ces pratiques qui doivent rester intimes), les réponses à la plupart des questions que vous pouvez vous poser, les tarifs et le nombre de places encore disponibles.
Le site web est ici : www.nuitgirlpower.com
Et si vous vous posez encore des questions après avoir visité le site web et lu son contenu ? Alors suivez notre second conseil : vous pouvez joindre l’organisateur (Francis) par téléphone (attention, il ne répond pas aux numéros masqués) ou par texto/SMS.
Téléphone (tous les jours de midi à minuit) : 06 58 67 61 95 (en cas d’absence envoyez un texto/SMS).
Prochaine Nuit Girl Power : samedi 28 mai 2016.
Quel bonheur de redécouvrir les joies du Petplay, quel bonheur de pouvoir recommencer à vivre comme une petgirl, doucement mais surement. Tous ces mois ont été vécu comme le vivrait une femme qui est enceinte et qui attend enfin le moment de pouvoir tenir son enfant dans ses bras. Parce que soyons honnête, la grossesse c’est certes le bonheur de sentir la vie grandir en soi mais c’est aussi les vertiges, les nausées, les nuits blanches, les hormones qui travaillent à donf, le corps qui change, le sentiment d’être énorme comme une baleine, les vergetures, la peur de ne plus pouvoir perdre tous ces kilos. Donc avec certes des moments difficile mais aussi beaucoup de bons moments. Donc pendant toute la durée de l’éducation d’Indiana, fini de vivre nue, fini de faire pipi comme une petgirl, fini de manger dans ma gamelle. Manger à table, marcher tout le temps à deux pattes, aller aux toilettes…. Bref une vie tristement humaine. Pourtant je ne regrette rien. Car maintenant je peux dire que je revis une merveilleuse renaissance. j’ai un Maitre merveilleux et j’ai un compagnon à 4 pattes. Cartes il y a encore beaucoup à faire mais je peux à nouveaux déambuler à quatre pattes et cela n’a pas de prix. Son éducation a pris du temps mais cela en valait la peine. Certes, je ne peux pas encore manger dans ma gamelle mais cela va venir…
IL avait déjà fallut faire des choix et des aménagements vis à vis des enfants mais Nnous avions encore des moments à Nnous. Car avoir des enfants c’est certe beaucoup de bonheur mais c’est aussi des devoirs et des responsabilités. Et ce jusqu’à la fin. Entre ma grande qui est revenus vivre à la maisonn et la petite que Nnous avons tous les week-end autant dire que chaque moment vécu en petgirl étaient précieux. Mais, àpartir du moment ou Nnous avons pris Indiana, il a fallut faire des choix et des sacrifices. Sacrifice car le temps de son éducation je ne pouvais plus vivre comme une petgirl. Plus du tout. Ce fut long, vraiment long mais c’est maintenant derrière Nnous. Mais cela en valait la peine. Toutes ces semaines, tous ces mois de patience, d’éducation, d’amour pour ce petit être pour qu’il se sente heureux, aimé et qu’il apprenne ou était sa place, ma place, notre place vis à vis de Monsieur, de moi. alors ces derniers moios j’ai arreté d’écrire car ma vie n’avais plus de sens BDSMement parlant.
Bonjour à Ttoutes et Ttous
Vous êtes nombreux à Nnous écrire et je Vvous en remercie, avec votre accord voici un premier temoignage que j’ai reçu et dont j’ai eu l’autorisation de le difuser sur ce blog. N’hésitez à m’en envoyer d’autres car il n’existe pas une façon de le vivre mais des milliers. Et surtout donnez moi Vvotre accord pour le diffuser :
Bonjour à tous et à toutes, je tiens à préciser que tout ce que je vais dire est N/notre vision du Petplay et je ne parle qu’en mon nom. Je suis loin de détenir la vérité absolue et j’en apprends encore tout les jours
N/notre relation D/s est basée principalement sur le cérébral, néanmoins je ne rechigne jamais sur une petite fessée.
Je suis avec Mon Maître une chienne, je me comporte donc comme le dit animal, je marche à quatre pattes, je mange dans une gamelle, j’ai des jouets, je dors dans un panier.
Je ne me sers pas de mes mains car j’ai des pattes, la position à quatre pattes n’est pas naturelle pour l’être humain, il faut donc quelques équipements pour éviter les genoux bleus et gonflés. J’ai ce qu’on appelle une queue, que je porte en permanence, elle prolonge la courbe de ma croupe et me permet aussi « d’exprimer » une petite partie de mes émotions, je la remue quand je suis contente ou excitée et au contraire elle se glisse entre mes jambes lorsque je suis effrayée ou que j’ai fais une bêtise.
Il faut savoir que c’est un travail de longue haleine pour éduquer un chiot, je me considère encore comme cela, je suis impulsive, irréfléchie, fofolle et hyperactive. Mon Maître me protège, me cajole et dois me porter une attention constante car je m’ennuie assez rapidement et j’ai tendance à faire des conneries plus inventives les unes que les autres.
Il est hors de question pour Mon Maître de me laisser passer le moindre mauvais comportement, je sais que cela va peut être faire s’arracher les cheveux à certains mais oui Il m’éduque et me dresse. Il y a très peu de masochisme chez moi, la douleur n’est que le résultat d’une mauvaise action, j’ai dépassé une limite donc je suis punie à hauteur de la faute. Après la punition, Il remet les compteurs à zéro mais comme un chiot j’ai besoin de temps pour apprendre de mes erreurs.
La discussion est primordiale dans N/notre relation, oui je grogne, je montre les dents, j’aboie et je couine mais je reste une soumise humaine avant toute chose, avec des émotions, des peurs et des appréhensions. Je ne peux pas être une pet en h24 non plus, les obligations de la vie courante m’en empêche mais je retrouve ma place dès que je le peux. En dehors de N/notre foyer, je me comporte comme tout le monde, il y a juste des gestes et des codes que nous respectons : je ne mange jamais avant Lui et j’attends qu’Il me donne Son autorisation, je demande la permission pour aller aux toilettes, je ne fais pas la moindre chose sans lui demander au préalable Son accord.
Je ne baisse pas les yeux devant car chez N/nous tout ou presque passe par le regard, Il sait quand quelque chose me tracasse, si je suis contente ou que je suis excitée rien qu’en plongeant Ses yeux dans les miens. Je Lui dois une fidélité, une obéissance et un respect sans faille et Lui me dois Amour, protection et attention, tout les tracas de la vie quotidienne, ce n’es pas au cœur de mes préoccupations. Il fait le ménage, la vaisselle, le linge, Il me lave et m’habille quand Il le peut. Je n’ai « aucun » droits mais en contrepartie « aucun » devoir, je reste égale à moi même, Son petit animal de compagnie.
Je suis Lui suis entièrement dévouée car je Lui appartient, Il se sert de mon corps quand bon Lui semble ( c’est très très loin de me déplaire) et j’obéis à Ses désirs dans ce domaine là.
Je lui voue un Amour inconditionnel, Il est bon et sait ce qui est bon pour moi, Il prends soin de moi et m’aime de tout son cœur. Je suis une chipie et une tête de mule mais comme Il me le dis souvent c’est comme ça qu’Il m’aime , la seule chose qu’Il veut c’est que je m’épanouisse en tant que chienne, que mon côté animal puisse s’exprimer.
J’aime être à Ses pieds lorsqu’Il mange, me blottir dans Ses bras et me faire caresser, Il ne m’en demande pas plus Il est Mon Maître et je suis Sa chienne. Il ordonne, j’obéis rien de plus simple, aucun artifices dans N/notre relation, ce n’es pas un jeu pour faire monter l’excitation, N/nous avons trouvé un équilibre quasi parfait et N/nous sommes très heureux comme ça.
Voilà ma soumission envers Mon Amour, je suis dépendante de Lui et ça Lui convient parfaitement
Je tenais à vous montrez à tous N/notre mode de vie et puis vous le faire partager
À un shibariste en herbe se demandant comment faire des transitions entre ses ligotages, un rope hippie répond (bellement) :
Learn to tie without intention.
Learn to tune into your own energy.
Learn to tune into your partner’s energy.
Learn to follow and trust your instincts.
Use music to help you find your flow.DF
Que je traduis librement :
Apprends à attacher sans but précis.
Apprends à entrer en contact avec ta propre énergie.
Apprends à entrer en contact avec celle de ton partenaire.
Apprends à suivre tes instincts.
Utilise la musique pour trouver ton rythme.
Parlant de rythme…
Say Yes (Wax Tailor & ASM)Cette petite phrase trop souvent entendu me trotte dans la tête. Et plus je l’entend, plus elle m’énerve. Les anges Déchues sont chères. Dans une société ou les gens ont perdu le sens des valeurs ils considèrent que Nnos créations sont chères mais savent ils seulement combien de temps cela prend de faire un article? Non. ils ne le savent pas. ils n’ont aucune idée du temps que prend la fabrication de chaque article mais c’est chère parce que habitué à acheter des produits parfois ressemblant mais de moins bonne qualité ou de fabrication industrielle. Chaque chose a un prix.
Il faut une journée pour faire un collier en acier. soit 8h de travail. De travail physique. Sachant que la moindre erreur peut tout ruiner. Pour pouvoir fabriquer ce collier de façon artisanale. Par artisanale j’entend sans utilisation de machines industrielles qui coutent très chères (plusieurs millions d’euros) mais qui Nnous feraient gagner du temps c’est certain avec évidemment une qualité moindre. Avec ces machines faire un collier ne prendraient que 10 minutes. Et pour rentabiliser les machines il faudrait bien sur faire minimum plusieurs milliers de collier.
Mais comme je le disais, Nnos créations sont faites de façon artisanale. Donc pour faire un collier, il faut prendre une barre en acier que Nnous avons acheté à des professionnels. Mais pas n’importe quel acier, non un acier inoxidable : le 316L. Le meilleur acier que l’on puisse trouver. Le meilleur et le plus sur car totalement an allergène. Donc le meilleur et le plus cher car Oon ne fabrique pas des bijoux avec des matières premières de mauvaises qualités. Plus on achète de matières premières, moins c’est cher. Nnotre atelier est certes plus grand qu’avant mais encore trop petit pour stocker de grandes quantités. Il faut ensuite ceintrer la barre d’acier autour d’une machine que Nnous avons fait faire. Car pour pouvoir travailler l’acier 316L il faut avoir des outils spéciaux. Nnous avons également fait faire chaque matrice afin d’avoir toutes les tailles de tour de cou (du 30 au 42). A l’aide de la ceintreuse, Nnous ceintrons la barre d’acier autour d’une matrice pour obtenir deux demi cercles parfaits. parfaitement adapter à la forme d’un cou. Il faut ensuite découper les deux pièces à l’aide d’une scie que Nnous avons fait faire pour que les demis cercle s’emboitent parfaitement l’un dans l’autre. Il faut ensuite tarauder les deux pièces avec la machine en prenant beaucoup de précaution, car si le taraudage est raté il y a plus qu’à jeter le collier et tout recommencer. Et enfin, il faut poncer puis polir le collier pour lui donner l’aspect brossé ou poli miroir.
Pour réaliser un collier il faut compter une journée. Au coût de la journée de travail, il faut ajouter l’achat de la barre d’acier et de tous les outils nécessaires à sa fabrication. Car pour travailler l’acier 316L il faut avoir les outils adaptés. Un taraud coute 70 euros pièce. Si Nnous faisons une mauvaise manipulation, il casse. S’il casse il faut en racheter un autre. A ce prix là il faut faire très attention.
Ce collier que Vvous pourrez porter en permanence et conserver intact pendant des années. Ce collier classique qui fait 5mm d’épaisseur pour 2 cm de hauteur est seulement vendu à 124 euros TTC. donc il est à 103,33 euros HT. Si Nnous voulions le vendre en respectant le coût de la main d’œuvre au smic horaire actuellement en vigueur en France soit 9,61 euros Brut auxquelles il faut ajouter les charges patronales et en prenant en compte le prix de la matière première sans faire le moindre bénéfice mais juste pour rentrer dans le coût de fabrication sans prendre en compte non plus l’usure des machines et des outils qu’il faut changer régulièrement (les forets, les tarauds, les lames de scie, les disques de ponçage, les cires de polissages, etc…). Ce même collier devrait être vendu 120 euros HT.
Est ce que Vvous, Vvous accepteriez de travailler en étant payé en dessous du SMIC ? Non
Alors maintenant venez me dire que mes créations sont CHERES
Nnos colliers sont uniques car aucun ne se ressemblent. vous pourrez les conserver intact des années. Certes il existe des copies de nos modèles a des prix plus abordable mais regardez ce qu’ils seront dans 3 ans par rapport aux Nnotre…
Journaliste spécialisé en urbanisme et écrivain, auteur à la Musardine d’Histoire(s) du Paris libertin, Marc Lemonier a publié de nombreux ouvrages concernant le cinéma, la chanson, la culture populaire française et l’histoire parisienne. Il a également publié des biographies de Claude -Nougaro, Édith Piaf, Jean Gabin, Louis de Funès et Michel Audiard. Ce n’est finalement pas si surprenant ou absurde que de la voir consacrer aujopurd’hui un livre sur les maisons closes d’antan.
Entre fiction et documentaire historique, il promet de nous faire découvrir les légendes noires et roses des maisons closes.
En trente-cinq histoires véridiques, Marc Lemonier dévoile trente-cinq « secrets », issus d’autant de bordels, de la Rome antique à l’Europe contemporaine. On y rencontre des clients célèbres, Gustave Flaubert, Guy de Maupassant, Pierre Louÿs, le Prince de Galles, Édith Piaf ou Martine Carol… On y découvre les bordels pour ecclésiastiques, les lupanars pour homosexuels et autres établissements réservés aux amateurs de flagellation ou de partouzes. Des mythiques Chabanais, Sphinx et One-Two-Two, aux pires taules d’abattage, ce livre évoque tous les aspects de la vie secrète des maisons closes.
Titre : Secrets des maisons closes
Auteur : Marc Lemonier
Broché : 372 pages.
Publié par la Musardine.
Prix : 19,90 €
Cliquez ici pour acheter ce livre : Secrets de maisons closes
Du 31 octobre au 28 novembre 2015, Alain Cassaigne, que vous avez déjà découvert pour beaucoup d’entre vous les photos pleines de matières sensuelles et se déversant sur des corps féminins sublimes, est mis à l’honneur par la célèbre galerie érotique parisienne « Concorde Art Gallery ».
Photographe professionnel indépendant depuis 15 ans, Alain Cassaigne sur des thématiques à long terme de reportage dans le but de livres photos ou d’expositions.
De par sa sensibilité personnelle, ses sujets de prédilection sont l’humain, pour sa force et sa fragilité, le patrimoine, l’architecture et le reportage de voyage. Il travaille aussi sur des thématiques autour de la sculpture humaine avec des matières telles que la boue et la peinture ; recherchant performances artistiques et esthétisme pictural. Considérant l’éclectisme de ses démarches comme une force, cela l’amène à être publié dans de nombreux magazines pour différents sujets et aussi dans le monde de l’édition en tant que collaborateur.
Une expo que toute la rédaction de Sentiment Moderne vous recommande vivement.
Site web de la galerie : www.concorde-art-gallery.com
Site web de l’artiste : http://cassaigne.fr
Adresse : Concorde Art Gallery – 179 boulevard Lefebvre – 75015 Paris
Ouvert du lundi au samedi de 11 heures à 20 heures. Accès au 1er étage.
Téléphone : 01 48 28 78 02
Métro : Porte de Vanves
Nous le savons un bon dessin vaut bien mieux qu’un long discours. Et une BD adultes vaut, très souvent, bien mieux que notre propre imaginaire fantasmatique.
Au moment où la transition du livre papier au livre numérique s’accélère, c’est actuellement plus encore le cas pour la BD adulte, comme ce fut le cas pour les DVD érotiques et pornographiques ces cinq dernières années après la presse de la même catégorie quelques années plus tôt encore. S’il devient possible de se procurer aisément à un prix honnête et discrètement des productions érotiques, ce sont toujours elles qui se dématérialisent, quittent les rayons, les kiosques et les vitrines en premier pour se glisser sans témoins dans votre tablette ou votre PC par le câble ou une simple connexion wifi.
A « La Musardine » ils sont loin d’être idiots et ils semblent bien décidés de récupérer le peu de retard dans le virage numérique de la bande dessinée érotique qu’ils ont pris ces temps derniers. Manifestement ils n’ont pas l’intention regarder passer les petites maisons leur souffler des parts de marché et ils le font avec intelligence en offrant gratuitement pas moins de 15 extraits de 15 titres de qualité mais de styles très divers au téléchargement.
Un excellent moyen de convaincre les dernières personnes réticentes ou hésitantes que désormais on peut lire des BD pornographiques caché dans le noir sous sa couette sur une tablette rétro-éclairée ou en grand format sur son écran de PC. Et ceci sans devoir sortir de chez soi, sans devoir faire fasse (honteusement ?) à une vendeuse ou un vendeur, sans devoir cacher la pile de ses achats sous le lit ou au-dessus de l’armoire la plus haute de l’appartement.
Alors, foncez pour télécharger de pleines pages de Tarlazzi, Erich Von Gotha, Ardem, Lemay James et bien d’autres
cliquez ici : http://bd-adultes.com/gratuits/
Bonne lecture !
Wajdek Zbiniev
Après avoir organisé, chacun de leur côté et à des époques différentes, des soirées réservées aux couples composés d’une femme soumise et d’un homme dominateur, Eric Indé et Francis Loup qui ont choisi d’unir leurs compétences en mettant sur pieds des soirées fétichistes et BDSM telles que la Nuit Élastique, le Réveillon Élastique (il y a bientôt un an), la Croisière Élastique (cet été), la Nuit Girl Power et L’Art et la Matière, ont décidé de répondre aux innombrables demandes de couples adeptes d’Histoire d’O, de 20 nuances de Grey mais surtout de rapports plus personnels où la femme soumise est sublimée.
Première édition de cette soirée baptisée « SERVANT AND MASTER » (un nom qui rappellera quelques souvenirs à certaines et certains puisqu’il y a trois ans plusieurs soirées ont déjà eu lieu sous ce nom), ce vendredi 30 octobre 2015 de 21h00 à 5h30 dans le mythique et splendide club, récemment rénové, LE ROCK’S situé dans une petite rue discrète donnant dans la rue de Bretagne, à côté de la Mairie du 3ème arrondissement et du Marché des Enfants Rouges, à 2 minutes du métro Temple et moins de 5 minutes du métro République.
Alors nous demanderez-vous ce que la NUIT SERVANT AND MASTER apporte comme différence dans le petit monde des soirées BDSM parisiennes ? Outre le lieu au design plus que soigné, à son confort et à sa cave aménagée (ce qui ne doit pas vous empêcher d’apporter vos propres accessoires : martinets, cravaches, menottes, bâillons, cagoules, paddles…) des tarifs, enfin (oh oui, enfin !) honnêtes pour les deux membres du couple : 30 € en prévente ou ou 50 € sur place.
Pour plus d’informations, les photos du club, le plan d’accès, le prix des tickets… une seule adresse, celle du site web de cette soirée : www.servantandmaster.fr
Par téléphone ou SMS : 06 58 67 61 95
Il est des jours comme cela, où après avoir dialogué durant plusieurs semaines avec des femmes qui me contactent parce que leur couple va mal, désirent obstinément et immédiatement me conter leurs tristesse alors que c’est justement depuis qu’elles s’étaient amourachées je n’avais plus eu aucune nouvelles d’elles. Depuis des mois pour certaines, depuis des années pour les sans-gêne. Je ne sais comment ces femmes (elles sont quatre, pour qui s’intéresse aux chiffres) qui ne se connaissent pas ont fait pour se comporter avec moi exactement de la même manière, mystère.
Présentation en cinq tempsPour la première comme pour la quatrième, il m’a fallu alors oublier légèreté et mots tendres pour signifier que… j’étais juste un ami. Mais quand on traite à mots couverts (ou sans couverture) cet ami d’être incapable de résister à leurs charmes dévastateurs et en sous-entendant que forcément, puisque moi je n’avais pas eu temps de parler de ma vie intime, je suis seul, frustré, en manque et je ne pense qu’au sexe en les regardant. Cinq minutes plus tard, je coupais les ponts avec les unes comme les autres.
Quatre toutes petites histoires, quatre vraies amies perdues en quelques semaines, me voilà en train de me poser plein de questions sur moi, sur elles, sur l’amitié, sur l’amour et sur le fait que les nouvelles technologies ont aussi créé les disputes 2.0, on s’oublie longtemps, on se retrouve vite et quand on le veut pour finir par une bonne engueulade survitaminée par le câble.
Je disais donc, il y a des jours comme cela où traînant un spleen impossible à expliquer avec précision ou évacuer à grands coups des talons de mes Rangers, arrive, toujours par le même câble internet… un message gentil d’une auteure de livres (numériques actuellement), puis d’autres pour me demander si je voulais lire son livre érotique : « La Fille qui n’aimait pas ses seins », déjà le titre m’intriguait. Quelques messages plus tard, l’auteure, Aline Tilleul, me précise que le chapitre 13 devrait me plaire car il est assez SM. Et puis elle revient encore un peu plus tard mais discrètement à la charge pour me dire de ne point passer à côté d’un autre passage où l’héroïne supplie longuement, au moyen d’une description franchement originale, qu’on la sodomie de plus en plus violemment.
Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu ce sentiment exquis qui fait tourner la tête de… bander intelligent. Car la plus grande qualité de « La Fille qui n’aimait pas ses seins » est l’intelligence des mots (ni pompeux, ni mièvres), ils sont ceux d’une véritable plume érotique surdouée qui nous prend sous son charme et puis nous envoie, comme dans la vraie vie, au milieu de dialogues crus, crus c’est vrai mais qui sonnent justes, de ce mots crus dont nous usons toutes et tous (et les autres ont tort) le temps de très troublants de jeux de prostitution, d’une étreinte brutale, d’une punition au fouet… Tout sonne juste, une écriture terriblement efficace qui s’explique certainement parr le fait que le récit est « basé sur un vécu classique transposé et sublimé », sublimé par le talent de Aline Tilleul.
Cet article terminé, je m’en vais le relire : « c’était trop bon ! »
Francis Loup
Rédacteur en chef de « Sentiment Moderne »
Pour lire un extrait gratuit du livre inscrivez-vous sur le site monbestseller.com (c’est gratuit aussi) et cliquez ensuite sur ce lien qui vous mènera directement à « La Fille qui n’aimait pas ses seins » :
http://www.monbestseller.com/manuscrit/la-fille-qui-naimait-pas-ses-seins
Et si, comme je n’en doute pas, vous aurez envie de lire le livre en entier il vous suffira de passer par Amazon pour le télécharger (prix : 3,27 euros) en cliquant ci-dessous :
La Fille qui n’aimait pas ses seins
Le célèbre et réputé pour son ambiance à la fois chaude et chaleureuse « Festival de l’Érotisme de Bruxelles » fêtera en mars 2016 sa 25ème édition, c’est dire s’il s’agit d’un salon qui peut se targuer d’avoir de l’expérience et d’être largement apprécié. Pour la troisième année celui-ci aura lieu dans un « nouveau » lieu divisé en 3 salles d’expositions totalisant plus de 8000 mètres carrés couvrant toutes les tendances et spécificités de l’érotisme actuel : shows érotiques, stands de vente de lingerie sexy, sextoys classiques ou novateurs, artistes photographes, peintres et sculpteurs passionnés par l’érotisme, bars, restauration rapide et même, pour la première fois un vaste espace de 500 mètres carrés baptisé « Fetish World » à propos duquel nous consacrerons très bientôt un article spécifique.
Dates : 4, 5 et 6 mars 2016.
Horaire : chaque jour de 14h00 à 2h00 du matin non-stop.
Adresse : Brussel’s Kart Expo – 9 avenue Alfonse Gosset – 1702 Grand-Bigard – Belgique.
A 5 minutes en voiture ou taxi du centre de Bruxelles. Parking de 4500 places.
Site web officiel : www.erotismebruxelles.be
Contact mail : info@erotismebruxelles.be
Le kinbaku consiste à utiliser la corde en vue d’exposer l’embarras du modèle d’avoir du plaisir (en japonais: Hazukashii (恥ずかしい)).
Si vous êtes en mesure de révéler à l’observateur, les sentiments cachés de votre modèle mélangé avec le plaisir d’être dans cet état, vous faites un kinbaku de haut niveau.
Ces mots résonnent dans ma tête lors de la seconde escale de ce voyage exploratoire entrepris depuis peu avec cette J curieuse, quelque part entre la route de la soie et celle des épices.
Je sens gronder en moi l’envie d’exercer pleinement ma volonté sur cette exhibitionniste en herbe. Avec les mains, la corde, la cire, le couteau, encore de la corde, des gestes et des mots qui lui indiquent exactement la posture qui plait à Monsieur.
Je la retrouve en équilibre délicat, restreinte et dirigée, protégée et mise à nu, habitée par le plaisir trouble de se livrer ainsi à un homme qui lui est encore inconnu.
Et moi de sentir que je lui chatouille les tripes dans son ventre… et les miennes avec.
J’appelle ça faire du deltaplane.
Elle avait raison la Favorite qui notait, dans l’album d’images de la demoiselle, une sensualité dans les prises de vue, dans ses poses, avec ce sentiment du besoin d’aller plus en profondeur, plus loin, plus haut.
La troisième escale devait nous le révéler encore davantage.
Photo : devotia
Sur le même sujetNnous avons choisi d’avoir un chien parce que Nnous aimons les animaux. Bien avant de connaître le BDSM, bien avant de savoir que le petplay existait j’aimais les animaux. Les chiens, les chats, les rats. je n’aimais pas aller dans les magasins ou ils vendent des animaux car pour eux c’est de la marchandise. Quand ça meurt c’est pas grave c’est assuré. Donc si Nnous avons choisi un compagnon à quatre pattes c’est pour sa compagnie, sa fidélité, son affection et pour me tenir compagnie. Même si cela demande beaucoup de sacrifice.
je ne parle pas du fait qu’il faille le sortir plusieurs fois par jour, qu’il faille l’emmener chez le vétérinaire souvent. qu’il faille nettoyer dans la maison ses colique, et vomissement.
Non je parle du fait que j’ai du renoncer à vivre comme une petgirl pendant toute son éducation. Education qui n’est pas fini. Dès que je suis à quatre pattes il ne pense qu’à me monter et ce n’est pas possible. je ne peux plus manger avec ma gamelle par terre car il veut me la voler. Il doit apprendre, apprendre ou est sa place et comprendre ou est ma place . ma place vis a vis de lui et de Monsieur.
C’est un énorme sacrifice mais je ne regrette rien. En plus avoir Indiana à la maison est une source d’aspiration.
l’atelier prend de plus en plus de place dans l’appartement et Nnous sommes heureux mais de plus en plus à l’étroit. Nnous devons déménager mais pour cela il faut de l’argent et les banques refusent de Nnous préter. Donc je dois, Nnous devons travailler pour pouvoir mettre de côté pour que les banques aient envie de Nnous préter. C’est un projet à long terme. Très long terme. Donc il va falloir faire preuve de beaucoup de patience.
Voici comment Giovanna Casotto présente son travail de haute volée en bande dessinée :
« L′érotisme que j′ai à l′esprit est fait d′attitudes et gestuelles féminines bien précises, qui sont inspirées par l′art de la pin-up des années cinquante. La femme que je représente peut ressembler à une femme-objet, et peut-être qu′elle l′est, mais elle est néanmoins consciente de l′être : elle est très ironique, elle s′amuse autant des autres que d′elle-même. »
Giovanna Casotto est une auteure italienne né en 1962. Première illustratrice érotique Italienne, elle n’est pas seulement dessinatrice puisque se mettant elle-même en scène, elle est aussi l’actrice de toutes ses histoires coquines.
Ajoutant l’ambiguïté de l’autoportrait à la qualité du dessin, l’oeuvre de Casotto est une plongée dans les fantasmes délirant d’une femme dont la vie s’écarte délicieusement des sentiers battus.
Auteur des « Expériences Interdites », « Les Désirs de Vénus », « Mauvaises Habitudes » et « Chambre 179 », c’est une des valeurs sûres de la collection « Selen présente ».
Relié : 95 pages
Editeur : Dynamite
Collection : Canicule
Pour acheter l’album, cliquez ici : Giovannissima ! – tome 3
En plein de coeur de la capitale vient de s’ouvrir une nouvelle boutique fétichiste pleine de charme. Son nom : Extravertie.
Vous y trouverez des vêtements et accessoires sexy, fétichistes, originaux, uniques, différents, séduisants y compris de haute couture. Un vrai petit bijou que cette boutique qu’il vous faut découvrir sans perdre une seconde si vous souhaitez avoir un look classe et qui ne vous appartiendra qu’à vous.
Vous découvrirez sur leur site des exemples de ce que vous trouverez sur place mais rien de vaut une visite réelle des lieux.
Extravertie propose à sa notre clientèle des vêtements originaux et pour certains des modèles unique !
EXTRAVERTIE – 9 rue Oberkampf – 75011 Paris
Métro : Filles du calvaire.
Lignes de bus 96, 65 et 20.
Horaires d’ouverture : du mardi au samedi de 11h00 à 19h00.
Fermé dimanche et lundi.
Téléphone : 01 47 00 35 24
E-mail: extravertie@outlook.fr
Site web : www.extravertie.fr
Merci de préciser lorsque vous contactez la boutique EXTRAVERTIE,
que ce soit en vous y rendant, par téléphone ou par e-mail
que vous venez de la part de SENTIMENT MODERNE.
Pourquoi je ne sors plus? plus l’envie ou l’envie mais pas suffisant pour me pousser à sortir. les journées sont longues, il y a tellement à faire et le soir Nnous sommes crevés. Juste envie d’être Eensemble. Juste moi besoin de Lui et Lui besoin de moi. Au calme chez Nnous. Tous les trois sans les enfants. Et oui n’oublions pas Indiana. Indiana qui prend de plus en plus de place parce que Nnous le voulons bien.
je ne sors plus parce que j’ai aussi pris du poids et je me sens encore un peu forte même si ma nouvelle alimentation porte ses fruits. Nnous sommes en septembre et j’ai perdu 6 kg. je me sens de mieux en mieux dans ma peau mais c’est pas encore ça. Mais c’est sur la bonne voie. Sans compter que Monsieur ne rentre plus dans son cuir. Il va falloir Lui racheter un pantalon le moment venu…
Pour sa quatrième édition, le Fetish et BDSM festival vous accueillera dans un endroit aussi exceptionnel qu’unique : le Hangar 43. date 24 et 25 octobre 2015.
À cette occasion, de nombreux exposants spécialisés, allant du textile, au matériel, en passant par les accessoires, workshops, des performances shibari, concours d’échappement bondage, massage gratuit des pieds féminins au stand Feetlovers, non stop BDSM & Fetish shows, élection de Miss Fetish Belgium, photoshoot gratuit, etc.
Entrée: 20 euros (15 euros en prévente) / 2 jours : 25 euros
Site web officiel : www.fetishfestival.be
Indiana s’adapte de plus en plus. IL est au calme avec Nnous la semaine et c’est le tourbillon le week-end. En faite je le soupçonne de se reposer la semaine après le tumulte du week-end. Il a de moins en moins peur dehors. Il prend de l’assurance et c’est toujours Nnotre bébé à la maison. Nnous avons pris un éducateur car je n’ai jamais eu de gros chien et je voudrai bien faire. Et en plus c’est nécessaire car j’ai developpé un côté sur protecteur pour lui. Il le ressent et il en fait autant pour Nnous donc ce n’est pas bon. En faite l’éducateur est plus pour moi que pour le chien. je ne dois pas être prête à sauter sur un chien qui s’approche de lui. il n’a vraiment pas besoin de moi pour se protéger car bien que jeune il fait déjà presque 40 kg. Avoir un chien ce n’est pas évident et pour l’avoir j’ai du accepter de renoncer à vivre comme une petgirl. Le temps qu’il apprenne ou est sa place. je suis une chienne mais il ne doit pas essayer de prendre le dessus sur moi. Il ne doit pas essayer de me monter. Sinon quand je serai seule avec lui il ne m’obéira pas. Et cela arrive parfois que je sois seule car parfois Monsieur rentre plus tard que moi donc je dois m’occuper d’Indiana et le sortir.
Il y a quelques semaines, soulignant que nous manquions de rédactionnel, deux jeunes femmes (Karolyne et Ernestine, cherchez pas ce sont des pseudos) se sont proposées pour nous rédiger des articles gracieusement. Sous leur air innocent se cachent manifestement deux véritables chipies fétichistes. A la lecture de leur troisième papier, l’ensemble de la rédaction a plongé sous les tables. Il ne restait debout que les deux chipies et le rédacteur-en-chef. Fidèle à à lui-même il dit, tout doucement : « on publie le tout et… tel quel ! »
Attention les yeux !
Pourquoi dans de nombreuses soirées SM ou fétichistes des dominatrices données pour professionnelles, donc disposant à priori des revenus nettement supérieurs aux vôtres et/ou nôtres, quémandent-elles à tous les hommes qui passent près du bar, soumis, dominateurs ou fétichistes l’offrande d’une boisson alors qu’elles sont à tout petit prix ? Et pourquoi ne s’étonnent pas, sans avoir honte, des refus quasi-systématiques qui leur sont faits ?
Pourquoi après très peu de temps d’existence, certaines soirées fétichistes se tournent-elles aussi rapidement vers d’autres thèmes comme le pur déguisement carnavalesque qui n’a rien voir avec le nom de leur propre soirée ? Et pourquoi s’appellent-t-elle encore « soirée fétichiste » ? Il n’y a rien de honteux à changer de thème… Mais prévenir c’est bien aussi.
Pourquoi y a-t-il deux soirées créées, donc semble-t-il à peu près à la même époque, qui ont fêté leur premier anniversaire l’une à Londres et l’autre à Paris et qui portent exactement le même nom sans pour autant avoir un quelconque autre rapport que celui du thème ? Après plus de 20 ans, comment peut-on encore manquer d’aussi peu d’imagination dans le milieu fétichiste ?
Pourquoi la soirée qui se présente comme étant la plus grande soirée fétichiste de Paris n’a-t-elle pas lieu à Paris mais à quelques kilomètres de là ? Acceptons le pur concept commercial, au même titre que le Zoo de Vincennes a été renommé Zoo de Paris. Faut-il encore accepter que la distance est loin d’être la même, c’est pas franchement à deux pas d’une Porte de Paris… loin de là. Mais admettons, soyons magnanimes.
Pourquoi une maison d’édition a-t-elle confié la réalisation d’un livre de photos ou de textes (mystère) devant faire le tour des soirées fétichistes à une personne qui n’a, à peu près jamais sauf à de très rares exceptions, plus mis les pieds dans aucune ces soirées si ce n’est celles extrêmement privées (et dont ce livre ne semble pas devoir traiter) que va-t-elle bien pouvoir écrire ? C’est pas grave… quand on ne sait… on invente n’est-il pas, mes amis ?
Alors qu’il y a dix ans personne ne connaissait la pratique du shibari en France, après le le reportage il y a plus de 10 ans d’Agnès Giard et Francis Dedobbeleer pour Canal + (à l’époque), tout le monde s’est découvert une passion absolue à la fois pour le Japon et pour les cordes à tel point qu’on arrive plus à s’y retrouver dans les innombrables soirées, apprentissages, sessions d’initiations, stages ou autres à Paris ? On n’y comprend plus rien. Déjà que cet art n’est pas simple. Faut=il y voir l’aspect’aspect macho du truc souligné par toutes les meilleures dominatrices japonaises ?
Pourquoi une soirée se présentant comme fétichiste et BDSM ayant lieu dans un très très beau lieu de la banlieue de Paris se présente-t-elle encore comme telle alors que comme la majorité des photos et des témoignages de tous les participants de son édition 2015 confirment qu’elle n’a proposé en grande majorité que des shows de strip-tease et de burlesque, sans rapport avec les fétichismes divers et surtout des tenues bien moins belles et osées adoptées depuis toujours dans cette nuit par le public. Qui peut nous en expliquer le sens ?
Pourquoi les relations sexuelles sont-elles interdites ou en tout cas proscrites dans certaines soirées SM et fétichistes et pas du tout dans d’autres ? Qui est parvenu à mettre fixé la limite précise entre la relation strictement SM et fétichiste et celle à connotation sexuelle ? Pourquoi certaines et certains affirment avec une vraie agressivité connaître avec une précision totale où se situent les limites des rapports sadomasochistes entre avec sexe et pas sexe ? Qui peut nous donner une définition stricte et précise ne pouvant subir aucune contestation ? Mystère et boule-de-gomme comme dirait Renaud.
Qui peut expliquer pourquoi les nouvelles chipies de la réaction de Sentiment Moderne soyons aussi désagréables ?
Texte : Karolyne & Ernestine
Sans vouloir jouer les persécutées, il arrive parfois que tout soit contre Nnous. je me suis retrouvée toute une journée toute seule. Sans Lui sans possibilité de L’entendre. Ca c’est produit toute la journée du 25 aout. Déjà que le temps était particulièrement maussade pour un mois d’aout de cette année 2014 mais en plus impossible de partager quoique ce soit avec Lui.
Pleins de choses à Lui dire et obligée de me retenir. Parce que évidemment ce jour là j’avais été mise dans un open space. Un espace ouvert à tous les passants, sans intimité. Dans le show room donc avec plein de passage. Impossible d’avoir un combiné à l’oreille autre que celui de mon client. j’avais ce sentiment d’être seule. Terriblement seule. moi qui depuis des années ai pris l’habitude d’être relié à Lui dès mon départ de la maison jusqu’à ce que je rentre le soir. En même temps soyons honnête aussi. Le téléphone à ses limites. Que de frustrations ressentie quand la connexion passe mal. Quand je me rend compte le soir qu’Il a entendu la moitié de ce que je disais. Même si c’est bien le téléphone à ses limites et il est toujours très important de s’assurer que tout ce qui a été dit a bien été entendu. Mais se retrouver sans la possibilité de le joindre est un extrême que je n’aime pas du tout. C’est déjà arrivé dans le passé. Mais c’était volontaire de sa part. pour me punir. alors que là ce n’est pas le cas. Non c’était juste de ma faute. j’étais partie travailler comme tous les matins sauf que ce matin j’avais oublié que j’avais sorti la veille de ma mallette mon sac à chargeur. Et je ne l’avais pas rangé. Conclusion au moment de recharger mon kit main libre je me rend compte que je n’ai plu de chargeur et que je n’ai bientôt plus de batterie. Bref tout est de ma faute et j’en suis responsable. La journée sera d’autant plus longue que je dois rentrer tard, vous me direz c’est comme d’habitude. Mes journées sont de minimum 10 heures. Mais justement je suis habituée à ne pas être seule aussi longtemps. Cela est déjà arrivé une fois mais c’était parce que mes écouteurs avaient rendu l’âme. Le jour même j’avais été, entre deux clients, en racheter d’autres. Ne pas l’avoir en ligne est tout simplement insupportable.
des résultats. Ma nouvelle alimentation porte ses fruits, je perd en moyenne un kilo par mois. je mange beaucoup de légumes et j’aime ça. Monsieur a tout doucement éliminé le fromage, le vin de mon alimentation. Cela s’est fait progressivement et je l’ai bien accepté. Certes j’ai eu besoin de réconfort, de douceurs et Monsieur l’avait parfaitement compris, mieux que moi.
Affaire à suivre…
Après avoir obtenu son consentement à fermer les yeux à nouveau, et qu’elle les ferma derechef, je sortis la corde de mon veston.
La Favorite de Monsieur, qui observait la scène avec attention, me lança son plus beau sourire.
Ce qu’il faisait beau ce midi. Un soleil enveloppant, un dîner préparé avec soin par cette femme que je rencontrais pour la première fois.
Elle est prudente, cette J fleur sauvage. Elle est pudique yet audacieuse.
Quelle est donc cette belle expression que l’on croise parfois dans Fetlife? Ah oui… a « nice girl with a well hidden slut inside ».
Hmm.
– « Je ne cherche pas de maître, Monsieur. »
– « Monsieur Valmont n’encorde que les jeunes femmes en fleur obéissantes, mademoiselle. »
De telles conditions dictent un cadre extrêmement souple, où chacun doit apprendre à lâcher-prise, sans idée toute faite. Si d’une part, elle obéit bien aux demandes que je lui fais, une à la fois; de l’autre, je n’exerce pas toute ma volonté sur elle.
Oh, il n’y a pas de presse. On ne tire pas sur la fleur pour qu’elle pousse plus vite….
Et puis, une fleur doit la mériter son eau.
Quand la J les joues rouges consentit à ce que Monsieur utilise la corde sur elle, je me suis assis à ses côtés, déliant la corde et la laissant dérouler entre ses cuisses.
J’entrais dans sa zone.
Ses sens étaient aux aguets (les miens s’éveillaient).
Toute son attention était dirigée vers chacun de mes gestes (qui l’un après l’autre me permettaient de la diriger tout doucement cette attention).
Tout son corps me lançait un message de bienvenue tout aussi muet que parlant (j’étais à l’écoute) : « Je vous laisse entrer en moi, Monsieur. SVP donnez-moi raison de faire confiance ».
Je n’avais pourtant pas cessé de parler depuis tantôt. Ma voix devenait de plus en plus chuchotante.
« J’ai envie de la laisser glisser sur vous cette corde, mademoiselle. »
Et là, dans le silence, lentement, dans cet espace public, avec son consentement, devant la Favorite, entre ces arbres, à cette table, son parfum mêlé au mien, avec plaisir… l’encorder, la humer, la laisser glisser.
« Breathe, breathe in the air. Don’t be afraid to care. »
Toute la tension de la corde se trouvait dans ce fragile équilibre entre la fermeté de ma main et son besoin, puissant, de se laisser bercer, envelopper, de se laisser prendre.
Sentir la corde sur moi et votre respiration à mon oreille a été une sensation exquise. J’ai bien voulu démontrer de la retenue et ne pas trop dévoiler l’effet ressenti, mais je suis certaine que vous avez très bien lu ceci lorsque la corde est passée entre mes lèvres.
Je ne peux nier que je me donne à la corde et donc au ligoteur… encore plus lorsque la confiance est établie et partagée.
Tiens donc. Ça fait deux fois dans sa correspondance que la demoiselle utilise cette formule, « je ne peux nier… »
Hmm.
Photo : devotia
Sur le même sujetLe rendez-vous des écrits polissons, c’est un atelier d’écriture érotique ludique où les mots s’emmêlent, se lèchent l’apostrophe et se titillent la virgule.
La soirée se déroule en quatre temps :
Que vous soyez seul ou accompagné, jeune ou moins jeune, homme charmant ou femme aventureuse, que vous ne connaissiez pas l’orthographe précise de « khammassoutra » ou que vous soyez un sex’crivain averti, venez comme vous êtes, on vous fera une petite place !
Vous avez dit « Désirs Interdits » ?La transgression, c’est ce qui a guidé la plume de Stella Tanagra à travers son premier roman, Sexe Cité, paru à IS éditions. Sans tabou, cette jeune femme de 27 ans manie les mots aussi bien que les pulsions les plus intimes. Venez la découvrir !
Jeux d’écriture, lectures, rencontres, cadeaux sont toujours au programme de la soirée. Pour l’occasion, Aïe feel good nous fait gagner des paddles originaux (qui vous donnent des fessées en forme de papillon), et Union Magazine nous offre (toujours) ses magazines ! Ça se passe toujours dans les bas-fonds du 153, bar à cocktails & autres curiosités.
mercredi 23 septembre 2015
de 19h30 (venez à l’heure, sinon ça commence sans vous) à 21h30
Le 153 – 153, rue Saint-Martin – 75003 Paris.
Métro ! Les Halles ou Rambuteau
flore.erotique@gmail.com
Page Facebook de l’événement : https://www.facebook.com/events/928760017218069/
Prix d’entrée :10 euros (boissons non comprises).
Réservation en ligne obligatoire (attention, le nombre de places est limité !) en cliquant ci-dessous:
http://www.moxity.com/events/les-ecrits-polissons-desirs-interdits/
Maitresse Divine et son Démon Pervers fêtent l’automne avec l’ouverture de la chasse.
Venez chasser le gibier à poils ou à plumes pour les plus téméraires, ou encore le beau champignon turgescent pour les plus bucoliques…
Lutines, si vous le souhaitez, en tenue aux couleurs d’automne ou de la nuit selon vos préférences, venez glaner les fruits défendus…
Curieux d’expériences BDSM ludiques … Que vous soyez chasseur, chien d’arrêt, biche affolée ou cerf royal en solo ou en équipage, venez sonner le cor avec nous !
Vous serez les bienvenus à cette soirée, agrémentée d’un buffet cocktail salé, sucré.
DRESS CODE :
Soyez élégant, sexy, fetish ou tenue de chasse. Tout en noir ou aux couleurs d’automne, sinon… nudité obligatoire !
Timides ou VIP votre masque entretiendra le mystère….
Pour les hommes, pas de sous-vêtements, sinon vous serez offerts aux fées de la forêt
Pour les femmes, soyez sexy ou vous risquez d’être livrées à la meute…
Date : mercredi 7 octobre 2015
Adresse : LE CUPIDON – 3 rue Villedo – 75001 Paris.
Concorde Art Gallery de Paris vous convie au vernissage de l’exposition de peintures érotiques rassemblant sous le titre générique « Corps à Corps » des oeuvres de Damien Legrain, Félix Hemme, Aurore Lephilipponnat et Claude Duvauchelle.
Pour Claude Duvauchelle le corps humain, est, depuis vingt ans, son sujet de prédilection. Source d’inspiration inépuisable, il lui permet de traduire les émotions, tensions et espoirs de l’homme contemporain. Témoin de son époque, il tente de mettre en images les maux et l’aliénation engendrés par la violence des civilisations modernes. Par le biais de raccourcis et écrasement de plans, poses excessives et impossibles, il dépeint une humanité retournée à son animalité originelle, esclave de ses instincts les plus funestes. Sa thématique et son propos étant volontairement récurrents, il varie sans cesse la technique et le support afin d’éviter la répétition.
Majoritairement figuratif, Félix Hemme expérimente des méthodes de représentation du corps et des visages, en jouant avec le trait, la couleur et la transparence. Ses peintures se mettent en quête d’identité des corps, via son travail sur la carnation en particulier. Cette fascination pour la peau, l’amène à mettre en place des dispositifs à base de matières et d’effets changeants, à chercher la profondeur, « l’en-dedans », « l’in-carnation », pour en extraire l’essence et ses significations.
Le vernissage aura lieu le vendredi 11 septembre 2016 à partir de 19 heures.
Quant à l’exposition elle sera accessible du 12 septembre au 31 octobre 2015.
Adresse : Concorde Art Gallery – 179 boulevard Lefebvre – 75015 Paris.
Accès au premier étage.
01 48 28 78 02
www.concorde-art-gallery.com/contact.php
Métro : Porte de Vanves
John Poppleton est un artiste photographe établi à Sacramento, en Californie, profondément inspiré par la beauté des couleurs et textures trouvées dans les couchers de soleil.
Sa série photo Black Light Bodyscapes combine parfaitement la beauté du corps féminin avec la splendeur des autres créations de la nature trouvées sur Terre.
En utilisant des pigments fluorescents, les paysages sont peints directement sur la peau des modèles et photographiés sous la lumière noire pour créer une œuvre unique.
Voir la page Facebook de l’artiste : https://www.facebook.com/JohnPoppletonUVArt
Notre ami Jean-Luc Romero (nous ne le connaissons pas personnellement mais c’est c’est exactement le genre d’homme courageux que nous aimerions compter parmi nos vrais amis, alors osons le mot) lance une importante pétition dans le but d’éviter une peine de 6 mois à 7 sénégalais condamnés le 21 août 2015.
De quoi sont-ils accusés ? D’actes contre-nature. Concrètement ? D’être homosexuels ! Oui, vous avez bien lu : ces personnes ont pris 6 mois de prison car elles sont homosexuelles !
Elles ont été arrêtées, il y a un mois, dans un appartement privé, sur dénonciation avec comme unique preuve : un préservatif qualifié d’ « entamé ».
Alors si cela vous choque ou bouleverse comme moi signez la pétition en ligne ici :
https://www.change.org/
Francis Loup
Alors que depuis, au moins 2012, des applications pour smartphones sont utilisées comme moyen de prostitution au Japon et surtout, plus grave, ont entraîné une montée de la prostitution des mineures, ici nombre de médias se posent clairement la question (ou est-ce qu’il fallait un sujet racoleur voire qui fasse peur ?) de savoir quand débarquera chez nous une application clairement dédiée à se commander les services d’une ou d’un escort.
Pour l’instant ce type de service n’est parvenu à développer que sur internet et encore relativement timidement. Il n’empêche, « Le Point » et « BFM TV » sont sur la brèche, prêts à lancer un « Breaking News » dont ils ont le secret.
Les premiers essais de ce « nouveau » produit « innovant » sont testés à Berlin (Allemagne). L’objectif est de proposer à des hommes et à des femmes de se prostituer avec des clients potentiels situés à proximité (quelle avancée technique magistrale !) grâce à la géolocalisation, sur le modèle de Uber. Après s’être enregistrés, les utilisateurs indiquent sur le site leur numéro de portable, l’endroit où ils se trouvent, l’heure souhaitée pour le rendez-vous. Ce n’est qu’après cet échange qu’ensemnble elles négocieront le tarif de le genre de prestation. Rien de bien neuf donc, sous le ciel sexuel marchant germanique où, comme dans la majorité des petits d’Europe la chose est soit légale, soit tolérée. En quelques clics, les recherches des éventuel(le)s client(e)s sont envoyé aux membres du site qui sont se proposent de louer leur corps pour une partie de co-voiturage en chambre.
Mais soyons clairs, nous ne parlons toujours ici que de services accessibles uniquement via le web. Et des sites d’escorts, d’annonces et de clubs de prostitution ayant pignon sur rue (selon les législations de chaque pays) sont légion depuis belle lurette sur la toile. La nouveauté tiendrait dans la géolocalisation, pas pratique avec un PC fixe, pas très discret avec un PC portable.
C’est oublier un peu vite que les stores de Android, Microsoft et surtout Apple devraient accepter que de telles apps soient présentent sur leurq plateformeq, qu’elles soient refusées à priori n’entrant pas dans les codes moraux de la pomme ou rapidement retirées chez Android qui procède différemment de son concurrent.
Il y a fort à parier que pour les relations sexuelles tarifées votre smartphone ne vous apportera rien de plus qu’un téléphone quelconque : il vous faudra continuer à composer le numéro.
Le reste n’est, pour l’instant, que fantasmes de journalistes victimes de la canicule de ce début d’été.
Francis Loup
Organisée comme en 2014 en plein cœur de l’été, afin d’éviter tout problème éventuel de crue, de profiter au maximum du soleil et d’animer un été encore trop souvent boudé par les organisateurs de soirées, la CROISIÈRE ÉLASTIQUE a pour la première fois complet, ce qui ne lui était jamais arrivé en 17 ans de soirées fétichiste, un signe supplémentaire que le nouveau duo désormais aux commandes de la NUIT ÉLASTIQUE (dont la croisière n’est qu’un édition annuelle exceptionnelle) a su retrouver la pleine voie du succès, et pas des moindres, même si ce retour en grâce se manifestait déjà régulièrement depuis plus de deux ans.
Vous trouverez une très belle série de photos de cet événement sur le site de l’événement (qui restera en ligne jusqu’à l’édition de l’été 2016) : www.croisiere-elastique.fr
Photo : Paradoxal Studio (www.paradoxal-studio.com)
Lors de cette rentrée de septembre 2015, la Nuit Élastique semble vraiment vouloir marquer franchement le coup !
Après de nombreuses recherches, les organisateurs nous assurent avoir trouvé un lieu qui correspond idéalement à ce qu’ils recherchent depuis longtemps. Nous savions que depuis sa création la Nuit Élastique s’adresse aux fétichistes du vinyle, du latex et du cuir, et du simili-cuir par extension, depuis le début une grande importance a été donné à la piste de danse, à la musique et à créer des espaces à l’ambiance plus calme d’un point sonore afin de faciliter les conversations.
Très importante a été aussi celui la question des tarifs qui se voulaient, et le sont toujours, très abordables.
Depuis sa création la Nuit Élastique a toujours été ouverte à toutes les formes de sexualités pourvu que l’on soit fétichiste des matières telles que le vinyle, le latex et le cuir, toute autre forme de sexualité peut venir s’y adjoindre.
Ainsi vous pouvez être hétérosexuel, bisexuel, lesbienne, transsexuelle, travestie, peu importe. Depuis la création de la Nuit Élastique il y a plus de 17 ans, tout le monde est le bienvenu et même accepté les bras grands ouverts !
Il en est de même pour les personnes aimant porter des tenues en vinyle ou latex très originales, proches de la mode ou du cosplay, mais aussi des échangistes, des artistes alternatifs, des amateurs de bondage, de shibari, des amateurs de domination/soumission et même de sadomasochisme (plutôt soft).
Après plus de 17 ans d’existence, les organisateurs de la Nuit Élastique nous promettent un grand changement, un choc, une évolution attendue depuis longtemps : une énorme backroom avec toute une série de cabines où deux ou trois personnes pourront s’adonner aux plaisirs de la soumission et la domination, avec grand lit en latex rouge rehaussé d’un mètre, accessible des quatre côtés ce qui permettra aux dominatrices et au dominateurs d’offrir leurs soumises et leurs soumis à de plusieurs partenaires, avec une vraie croix de Saint-André et même un superbe sling. Le tout dans une ambiance de labyrinthe extrêmement sombre, mystérieuse, érotique et donc extrêmement hard.
Bien entendu, l y aura comme toujours un grand bar avec des prix démocratique qui iront de 4 à 8 €, il y aura toujours un endroit pour se changer, un vestiaire, tout le confort, des endroits calmes où l’on pourra discuter aisément et une piste de danse là nettement plus animée avec des jeux de lumière avec les DJ’s habituels de ces dernières années et leur son electro et techno.
La grande nouveauté sera donc cet espace « Fetish Hard » qui vient s’ajouter au reste grâce à une backroom d’enfer !
Rendrez-vous le samedi 5 septembre 2015 pour pour formule augmentée (sauf les tarifs) et améliorées.
Plan d’accès, réservations, photos, tarifs réduits, hôtels et parkings proches, hôtels pas chers, programme et informations complémentaires : www.nuitelastique.com
L’idée peut sembler curieuse et audacieuse, on nous annonce la naissance d’un nouveau site de rencontres BDSM, créé assez discrètement cet été en France..
Première particularité de ce site, il est et il restera entièrement toujours gratuit car c’est une association qui est décidé de lancer ce site. Un démarrage en douceur mais qui nous promet d’atteindre avant la fin de l’année 2015 une taille impressionnante !
Ce site, dont le nom est « Couples BDSM » est strictement et uniquement réservé aux couples pratiquant la soumission et la domination sexuelle, quel que soit les rôles de chaque partenaire : soumis tous les deux, dominant(e) pour l’un(e) et/ou soumis(e) pour l’autre, peu importe. Pour devenir membre gratuitement il n’y a qu’une seule et unique chose à faire : il suffit d’aller sur le site, de cliquer dans le menu sur « Publiez gratuitement votre petite annonce », compléter le formulaire et cliquez sur le gros bouton rouge « Envoyer ». Une fois validée, vérifiée et contrôlée celle-ci sera publiée et vous voilà alors membres à vie de « Couples BDSM ».
Vous recevrez ensuite régulièrement une newsletter vous présentant les nouvelles annonces publiées ainsi que le mot de passe qui changera régulièrement afin de protéger l’esprit club privé et réservé de « Couples BDSM ».
« Couples BDSM » s’adresse à tous les amateurs de BDSM francophones, donc essentiellement les couples vivant en France, en Belgique voire en Suisse.
Alors si vous êtes un couple désirant rencontrer d’autres couples qui partagent vos passions, nous vous conseillons de soutenir cette belle initiative en préparant de belles annonces et de belles photos afin de faire de « Couples BDSM » le site dont nous rêvions toutes et tous depuis tant d’années.
Avec « Couples BDSM » vous devriez trouver les parfaits partenaires pour l’organisation de vos soirées privées ou pour vous rendre en groupe de plusieurs couples, devenus amis, dans des soirées de plus grande plus importance.
Pour terminer, nous voudrions insister sur deux points importants pour la réussite de votre annonce : soignez-en le texte, soyez descriptifs histoire de donner envie aux autres membres de vous contacter et ajoutez-y plusieurs photos (jusqu’à six photos sont acceptées). Rappelons que ce sont pas les photos les plus pornographiques qui reçoivent le plus de réponses mais plus simplement les plus belles et les plus subtilement suggestives. Subtiles comme l’est le BDSM, bien entendu. Mais bon, libre à vous de ne pas suivre nos conseils, les amis.
Trop de personnes se plaignent qu’il manque de services de cette catégorie réellement gratuits sur Internet ! C’est pourquoi nous insistons fortement pour que vous soyez nombreux à vous inscrire rapidement sur ce site afin de lui assurer une longue et magnifique vie BDSM numérique. La rédaction de Sentiment Moderne soutient déjà à fond, à fond, à fond cette initiative !
Maintenant c’est à votre tour de montrer votre enthousiasme d’autant que… ça ne coûtera pas un sou ! Mais… beaucoup de plaisir !
Et maintenant foncez sur : www.couplesbdsm.fr
Texte : Karolyne & Ernestine
Les soirées Drôles De Dames propose un concept de soirées festives et sexy toutes tendances confondues (travestis, transgenres, hommes, femmes et couples) et pour La rentrée des classes des Drôles De Dames proposent une nuit sur le thème « spécial écolière » le vendredi 25 septembre de 21 heures à 5 heures du matin.
Au programme :
de 21h00 à 23h00 : buffet chaud froid offert.
2 boissons incluses (Champagne, cocktail…).
Vestiaire
Service voiturier à disposition (en supplément)
Aux platines Dj Jessika High Hells (Monaco)
Château des Lys – 103 rue Marcadet – 75018 Paris.
06 08 58 75 36
Plus d’informations sur la soirée : www.soireesdrolesdedames.com
Un matin de juin, alors que Monsieur dort, les mots dans ma tête s’alignent ainsi.
Je suis le feu… la passion.
Je veux flirter avec ce qui peut brûler.
Je suis l’eau… car j’aime l’idée que je puisse avoir ce don de soulager la « soif » de ceux qui s’approchent de moi.
Je suis la terre… car à travers mes folies, mes perversités, je reste bien ancrée dans la vie. Et j’ai besoin de ces assises.
Je suis l’air… car ce que j’offre c’est la liberté d’être, de voler, voyager, respirer…
Je suis.
d…
Image : Sue Waddicor.
Sur le même sujetAmatrice des festivités BDSM depuis plusieurs années et impliquée dans une dynamique culturelle, Lady Liliam a décidé de créer « Éveil des Inconsciences » afin de proposer des événements originaux alliant à la fois la passion et la découverte.
Ces soirées s’adressent aux personnes expérimentées et à toutes celles désireuses de découvrir ces pratiques.
Éclectiques, décalées, ces événements sont classées par thème, pour vous permettre de vous retrouver à un moment ou à un autre selon vos affinités, vos orientations.
Ils se dérouleront dans les lieux loués et aménagés pour l’occasion (maisons, gîtes, lieux atypiques…) ou bien à domicile.
Les petites touches d’extraordinaire que Lady Liliam souhaite apporter sont, une touche d’art, de beau, de culture, par le biais d’expositions, de concerts, de performances, d’ateliers…. Vaste domaine, à découvrir indéfiniment. Une touche de piment aux travers des jeux et thèmes proposés, de quoi sortir de la routine. Tout cela en lien bien sûr avec le thème des événements proposés.
Les événements sont privés avec adhésion obligatoire, ceci implique un nombre limité de participants aux soirées.
Éveil des sens, un espace éclectique où tout est possible, où vos fantasmes les plus fous prendront tout leur sens.
Soirées nomades et décalées, leur prochaine soirée BDSM « Blind Me » aura mieu le samedi 17 octobre 2015 à Bordeaux
à partir de 21 heures à La Maison des Soupirs, dont l’adresse détaillée est communiquée au moment de l’inscription.
Réservation Obligatoire. Places limitées à 10 couples.
Apportez un bandeau pour votre soumis/e si vous en possédez un, sinon vous en aurez à disposition.
Cette soirée sera sous le signe de la convivialité tout en respectant bien sûr les règles de bienséance dues à notre univers . Tout est permis mais rien n’est obligatoire, le but étant que chacun/e passe une agréable soirée.
Je tiens à préciser que le but n’est pas de mettre les soumis/es en compétition ni en difficultés mais bien de passer un moment où la joie et la bonne humeur seront le fil conducteur.
Accueil à partir de 21h00 à La Maison des Soupirs, le Club BDSM d’Eveil des Inconsciences. Un apéritif vous sera offert ainsi que des douceurs sucrées/salées. Du mobilier spécifique et des accessoires seront à votre disposition mais il est bien évident que vous pouvez apporter vos propres accessoires.
Dress code obligatoire :
Mesdames : Parez vous de vos plus belles tenues, peu importe la matière (cuir, latex, vinyle…) tant qu’elle reste dans le thème de la soirée.
Messieurs : Une tenue noire minimum est exigée mais vous pouvez également venir en cuir, vinyle etc….
L’important pour tous est que le dress code soit respecté afin de garder l’esprit et l’harmonie de la soirée.
Tarifs
Couple : 70 € (membre Eveil)
Couple : 100 € (non membre)
Mode d’inscription pour participer à la soirée :
www.eveil-des-inconsciences.com
contact.eveil@gmail.com
06 28 03 76 86
Je reçois de sa part cette belle image de la couverture de L’art de la fessée, une bd coquine de Manara et Énard.
Avec un seul mot. Non, deux : « SVP Monsieur ».
Mais que me demande-t-elle exactement?
De lui montrer mon exemplaire de cette charmante bd? De lui en faire la lecture à voix basse? De lui administrer une bonne fessée chaude et haletante?
Sur le même sujetPhilfri, est un artiste Parisien né en Alsace en 1961.
Après des études artistiques de haut niveau, au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris ainsi qu’a l’école Nationale Supérieure des Beaux -Arts de Paris,
il mènera en parallèle sa carrière de plasticien et de musicien et se produira sur les plus grandes scènes mondiales.
Dans le domaine des arts plastiques, il a toujours été fasciné par le sombre et l’obscur, avec cette attraction pour cette étroite familiarité que le noir entretient avec la lumière.
C’est en 2009 que naît l’envie d’un projet artistique autour de l’univers de l’érotisme et du fétichisme, il explore alors, la relation entre l’identité humaine et la sexualité et s’intéresse plus particulièrement aux notions de fantasmes ou de rapports de force (conflits intérieurs, tabous sociaux, domination et soumission, etc.)
Sa peinture exprime aujourd’hui toute la richesse et la beauté de ce fabuleux théâtre humain.
Découvrez plusieurs dizaines de ses œuvres sur son site (gratuit) : www.philfri.com
Fetish-Up, c’est à la fois la boutique fétichiste présente sur internet et dans de nombreuses soirées fétichistes, BDSM, transgenre et alternatives et aussi celle qui propose le plus large choix (puisque Fetish-Up accepte les réalisations sur mesure et originales) de l’univers cuir et latex : vêtements, accessoires, plus de 400 modèles, dont de nombreux inédits en France (cosplays, gonflables, literie, accessoires SM, sans oublier les indispensables sextoys).
Fetish-Up vous propose ces articles en cuir et latex véritables, au meilleur rapport qualité/prix. Sa présence physique lors de très nombreux événements est l’occasion de vous rencontrer en réel et de vous permettre de tester leurs articles sur place. Comme, par exemple, cet indispensable vêtement fetish des adeptes du latex (notre coup de cœur) : une combinaison rouge tendre, fermeture-éclair rouge, double curseur du cou jusqu’à l’entrejambe, à porter devant ou derrière réalisée dans une matière toute douce et une belle couleur rouge orangée.
Découvrez la boutique Fetish-Up sur internet ici : www.fetish-up.com
Vous trouverez sur leur site les nombreux événements où vous pourrez les rencontrer en personnes sur leur stand.
Qu’est ce qu’une relation fusionnelle ?
La définition :
Une relation fusionnelle peut se définir comme un amour symbiotique où l’un semble ne vivre que pour l’autre et l’autre n’a d’yeux que pour l’un. Ce type de relation est exclusif, le reste du monde n’a pas de place. Les deux êtres vivants un amour fusionnel se suffisent à eux-mêmes.
En ce sens je peux dire que j’ai une relation fusionnelle avec mon Maitre. je ne peux vivre sans Lui alors que je peux me passer de tout. Quand j’ai failli le perdre j’ai cru que le monde s’écroulait autour de moi. j’étais une vrai zombie. je faisais les choses par automatisme. Mais pour en arriver là il y a eu un parcours, un chemin que Nnous avons accompli Eensemble.
Dès le début, dès Nnos premiers échanges Nnous avons été honnête l’un envers l’Autre. je n’aurai pas accepté le moindre mensonge car la seule expérience que j’avais eu avait été terni par le fait que j’avais été dupée depuis le début. Le mal était donc profond car je n’avais plus confiance en ma capacité à jauger les gens, à savoir s’ils étaient bien ou pas. a déceler les menteurs car j’avais été moi même trompée pendant plusieurs mois. Donc Il a su tout doucement me rassurer, me montrer que non Il ne me mentait pas, jamais. Car Il savait que j’en avais besoin. Dès le début Il a été mon Amour, mon Guide, mon Réconfort, mon Redresseur, mon Dresseur. Tout ce qu’Il m’a apporté, ce qu’Il m’apporte m’ont permis et me permettent aussi bien dans Nnotre relation que dans le monde vanille de progresser.
Il faut être patient pour en arriver là, cela ne se construit pas en un jour mais sur la durée. Il y a des hauts et des bas, bien évidemment, mais c’est Eensemble que Nnous progressons Lui et moi.
Une relation fusionnelle ne se construit pas en 1 semaine, ne laissez personne vous dire au bout de deux jours que vous n’êtes pas une bonne soumise car vous ne savez pas lacher prise ou faire confiance ou que sais je encore. c’est du grand n’importe quoi. C’est votre vie que vous confiez à quelqu’un, votre avenir alors OUI vous avez le droit de prendre le temps pour bien choisir sans que personne n’ait le droit de vous juger pour autant. Dans le BDSM comme dans le monde vanille il y a des profiteurs, des affabulateurs, des menteurs et des parasites… le proverbe trop bon trop con est valable partout et personne n’a envie d’être le dindon de la farce, cela fait trop souffrir.
Layla j’ai bien reçu le message et il m’a fait chaud au coeur et attristée. chaud au coeur de savoir que je suis un soutiens jusqu’au Quebec mais attristée de vous savoir seule. je suis là certe je ne remplacerai jamais le Maitre mais on peut compter sur moi et m’écrire à tout moment. Il faut savoir s’entraider car moi aussi au début j’ai éprouvé le besoin de rencontrer d’autres pet et je n’en ai pas trop peu rencontrer. je sais le vide que l’on peut ressentir. Et puis avec le temps mon Maitre à su combler tout ces manques mais je vis avec Lui. Ce qui a permis que ce soit possible. Nnous ne pouvons pas tout(e)s vivre avec Nnos Maitres et ce pour différentes raisons donc avec leur accord Nnous pouvons Nnous soutenir et échanger comme le font les gens unis dans une même passion.
Dans l’attente de vous relire
Tendre baisers
tanyaML
Tout d’abord je voudrai Vvous remercier, Remerciement de me suivre pour Ccertains depuis le début de ma nouvelle vie pour d’Aautres depuis peu mais avec tellement d’enthousiasme que cela fait chaud au coeur.
Oui on peut vivre dans une relation D/s en étant parfaitement sain de corps et d’esprit. Tout est possible mais il faut toujours faire les bons choix.
Non Vvous n’êtes pas seul(e) même si c’est vrai je le reconnais le petplay n’est pas répandue en France, Nnous sommes malgré tout de plus en plus nombreux. Charge à Nnous de Nnous entraider si besoin.
je suis ravie de recevoir des messages de soutiens de Vvotre part et je suis attristée de lire que Ccertain(e) d’entre Vvous se sentent seul(e).
Non Vvous n’êtes pas seul(e) je suis là du mieux que je peux mais je suis là.
D’ailleurs mon blog a pour but de faire découvrir une façon de vivre son petplay. Mais ce n’est pas la façon unique de la vivre. Charge à Vvous de la développer selon Vvos besoins et Vvos envies.
Bien à Vvous
tanyaML
Toute personne gravitant autour de l’univers fétichiste connaît cette règle : pas de bonne maîtresse sans une bonne soumise.
Une nouvelle fois, Xavier Duvet nous raconte deux histoires de domination qui ne laisseront pas indifférents les amateurs de belles femmes, qu’elles soient dominantes ou dominées.
Delphine a très tôt affiché des penchants pour la soumission et les femmes. C’est en la personne d’Evora,
une femme au caractère bien trempé qu’elle a trouvé l’Amour. À la fois concubine et amante, esclave et soumise, elle se plie aux caprices et exigences de sa maîtresse qui la pousse à toujours se surpasser.
Une histoire de domination-soumission cent pour cent lesbienne.
Cet album fait écho à celui sur Les Maîtresses et s’intègre dans la fameuse Saga Duvet (le monde érotico-fétichiste de Xavier Duvet). Nous y retrouvons tous les ingrédients propres à cet univers : domination, bondage, accessoires en tous genres, soumission et discipline.
Dessin et scénario : Xavier Duvet
48 pages noir et blanc.
Paru chez Tabou éditions (mai 2015)
Prix : 15 €
En vente ici : http://www.sentimentmoderne.com/librairie/produit/les-soumises/
Après le vote historique dans la « très » catholique (nettement moins depuis les nombreux scandales qui ont révélé des actes de pédophilie commis par des prêtres dans le pays) Irlande par référendum concernant le mariage ouvert aux personnes de même sexe où le «Oui» l’a emporté par 62% contre un peu moins de 38%, c’est au tour du du parlement du Groenland d’ouvrir le mariage à toutes et tous. Un vote acquis à l’unanimité le 26 mai 2015 (27 voix pour, aucune contre et deux abstentions).
Le Groenland, plus grande île du monde mais aussi pays le moins densément peuplé appliquait depuis 1996 la loi danoise sur le partenariat. En 2012, le Danemark avait transformé son partenariat civil (créé en 1989) en mariage pour tous mais le Groenland n’avait pas suivi. Ils viennent de rattraper ce retard. Le nouveau texte entrera en vigueur le premier octobre 2015.
Voilà qui donne des idées aux élus en Allemagne et en Italie qui se voyaient déjà dépassés par la catholique Espagne et la très conservatrice Irlande. Irlande qui interdit toujours l’avortement et à propos de laquelle il va falloir que tout le monde revoit son jugement. Si les progressistes, les démocrates et les écologistes sont depuis longtemps favorables dans ces deux pays au mariage pour tous c’est du côté de la droite conservatrice que cela pourrait, enfin, bouger. Leurs membres les moins conservateurs de ces partis pourraient basculer du côté de l’égalité ou ne plus s’y opposer dans les mois à venir permettant ainsi aux lois d’être en adéquation avec la population qui se montre souvent (sauf peut-être en France où le « Mariage pour tous » a réveillé la France réactionnaire et où le référendum aurait été sans doute plus approprié pour montrer à quel point les Frigide Barjot et compagnie sont minoritaires) bien plus ouverte et moderne.
On le sait, la fin de ségrégation raciale et l’égalité devant la loi des femmes et des hommes n’ont pas encore, des décennies plus tard, totalement mis fin au racisme et à la phallocratie chez les élus comme à la tête des entreprises dans la majorité des démocraties mais c’est incontestablement un pas en avant de la vieille Europe qui prend ces temps-ci quelques airs de jeunesse. Il était temps me direz-vous ? En tout cas moi je trouve qu’il était plus que temps.
Francis Dedobbeleer
Rédacteur en chef de Sentiment Moderne
Le Violet Wand (aussi appelé Violet Ray) trouve ses origines au début des années 1900 où il était utilisé à des fins médicales. Il était censé traiter presque tout : de la calvitie aux hémorroïdes ! Aujourd’hui, il est utilisé à des fins érotiques.
Les divers accessoires qui sont fournis avec chaque modèle ont chacun leur particularité et produisent des sensations bien spécifiques. Des heures de jeu en perspective !
En fonction de ceux-ci, de la puissance et des zone du corps, il est également utilisé par les adeptes du SM.
Sammy, qui possède un modèle rare datant des années 1940, vous fera découvrir cet objet esthétique, fascinant, étonnant et excitant lors de la NUIT ÉLASTIQUE spéciale 17ème anniversaire qui a lieu le samedi 9 juin 2015 à Paris. Avis aux amatrices et aux amateurs !
Pour découvrir le programme complet de celle-ci, cliquez ici : http://www.nuitelastique.com/
Voici enfin le second volume des aventures de « La blonde », cet album jusqu’ici indisponible en français a été tout spécialement mis en couleurs par Saudelli lui-même.
Dans cet album, la célèbre héroïne masquée est à la recherche d’un élixir de jeunesse, dans le monde de Babylonia et de son « Bondage Palace ». On y rencontre son ennemie jurée, Papesse Crimilde, secondée par Gary et Sue, deux cambrioleuses de bas étage. Un monde délirant où la sensualité est omniprésente et les hommes curieusement absents.
Un univers sexy où l’érotisme s’exprime avec des talons vertigineux et des cordes bien serrées.
Franco Saudelli est né à Latina (Italie) et vit actuellement à Rome. Il débute sa carrière de dessinateur en 1977 dans l’hebdomadaire italien LancioStory. Il travaille pour les magazines Orient Express, Libération, Charlie Mensuel et édite chez Dargaud mais c’est la création de La Blonda (La Blonde) qui fait son succès. Il accède ainsi au gratin de la presse spécialisée Diva, Glamour, Selen et Blue. Il forme sa compagne d’alors, Giovanna Cassoto, qui participe à certains épisodes de La Blonde avant de voler de ses propres ailes et de trouver le succès (on retrouve chez elle le goût du fétichisme des pieds mis en avant par des plans caractéristiques).
Sortie : le 12 mai 2015.
Voici enfin le second volume des aventures de « La blonde », cet album jusqu’ici indisponible en français a été tout spécialement mis en couleurs par Saudelli lui-même.
Dans cet album, la célèbre héroïne masquée est à la recherche d’un élixir de jeunesse, dans le monde de Babylonia et de son « Bondage Palace ». On y rencontre son ennemie jurée, Papesse Crimilde, secondée par Gary et Sue, deux cambrioleuses de bas étage. Un monde délirant où la sensualité est omniprésente et les hommes curieusement absents.
Un univers sexy où l’érotisme s’exprime avec des talons vertigineux et des cordes bien serrées.
Franco Saudelli est né à Latina (Italie) et vit actuellement à Rome. Il débute sa carrière de dessinateur en 1977 dans l’hebdomadaire italien LancioStory. Il travaille pour les magazines Orient Express, Libération, Charlie Mensuel et édite chez Dargaud mais c’est la création de La Blonda (La Blonde) qui fait son succès. Il accède ainsi au gratin de la presse spécialisée Diva, Glamour, Selen et Blue. Il forme sa compagne d’alors, Giovanna Cassoto, qui participe à certains épisodes de La Blonde avant de voler de ses propres ailes et de trouver le succès (on retrouve chez elle le goût du fétichisme des pieds mis en avant par des plans caractéristiques).
Sortie : le 12 mai 2015.
Fétish Alsace organise le samedi 16 mai 2015 (de 22h00 à 07h00) une grande soirée fétichiste en Alsace, à Colmar très exactement.
C’est à un univers de tolérance, de créativité, autour des plaisirs nocturnes que cette association vous convie, à la découverte d’un monde unique, qui ne ressemble à un aucun autre, fascinant, provocant, où la réalité fusionne avec le rêve.
Vous pourrez y changer d’identité lors de cette nuit inoubliable et jouer avec votre personnalité, redevenez libres, heureux et accomplis que ce soit sur le dancefloor mystique sur lequel Dj-Eurydice vous accueillera de plein fouet ou pour le spectacle remettant en cause notre rapport à l’amour, au mal qu’il peut procurer. Une performance qui revient sur l’essence même de cet amour pur qui vous brise instantanément. Dans celui-ci l’Ange Déchu se couvre de cire brûlante en guise de catharsis et de rituel, dans un monde en perdition où l’amour est devenu un objet de consommation. Dans une atmosphère aussi sombre que poétique, l’artiste-performeuse Misa Hatsu livrera une performance où les âmes errantes, souffrant de ce monde devenu si cruel, en sont venues à se purifier à travers un rituel cru et violent.
Misa Hatsu lors d’une performance. © Photo : Vincent Zobler
Musique : Deep House,Tech House, I.D.M, Electro Dark, EBM, Electro Indus, Martial Industrial, Dark Techno, Gothic Synthé…
Strict dress code : fetish, vinyle, latex, infirmière, militaire, uniforme, cuir, sexy trash, sexy cyber, sexy gothic, tenue sexy extrême, nonne, soubrette…
Vous pouvez emporter vos accessoires: fouets, cravaches, bougies, menottes, toys…
Tenue de ville strictement interdit.
Vous pourrez vous changer sur place, un vestiaire est à disposition
À votre disposition ; bar, scène, podium gogo’s, écran géant, vestiaires et fumoir.
Prix d’entrée : 10€ par personne (homme ou femme) ou 15€ (couple).
Interdit aux moins de 18 ans.
Le Club La Suite se réserve le droit d’entrée
Date : samedi 16 mai 2015 (de 22h00 à 07h00)
Adresse : Club La Suite – 6 rue des Trois Épis – 68000 Colmar.
Page évènement sur Facebook : https://www.facebook.com/events/597263327041640/
Fétish Alsace organise le samedi 16 mai 2015 (de 22h00 à 07h00) une grande soirée fétichiste en Alsace, à Colmar très exactement.
C’est à un univers de tolérance, de créativité, autour des plaisirs nocturnes que cette association vous convie, à la découverte d’un monde unique, qui ne ressemble à un aucun autre, fascinant, provocant, où la réalité fusionne avec le rêve.
Vous pourrez y changer d’identité lors de cette nuit inoubliable et jouer avec votre personnalité, redevenez libres, heureux et accomplis que ce soit sur le dancefloor mystique sur lequel Dj-Eurydice vous accueillera de plein fouet ou pour le spectacle remettant en cause notre rapport à l’amour, au mal qu’il peut procurer. Une performance qui revient sur l’essence même de cet amour pur qui vous brise instantanément. Dans celui-ci l’Ange Déchu se couvre de cire brûlante en guise de catharsis et de rituel, dans un monde en perdition où l’amour est devenu un objet de consommation. Dans une atmosphère aussi sombre que poétique, l’artiste-performeuse Misa Hatsu livrera une performance où les âmes errantes, souffrant de ce monde devenu si cruel, en sont venues à se purifier à travers un rituel cru et violent.
Misa Hatsu lors d’une performance. © Photo : Vincent Zobler
Musique : Deep House,Tech House, I.D.M, Electro Dark, EBM, Electro Indus, Martial Industrial, Dark Techno, Gothic Synthé…
Strict dress code : fetish, vinyle, latex, infirmière, militaire, uniforme, cuir, sexy trash, sexy cyber, sexy gothic, tenue sexy extrême, nonne, soubrette…
Vous pouvez emporter vos accessoires: fouets, cravaches, bougies, menottes, toys…
Tenue de ville strictement interdit.
Vous pourrez vous changer sur place, un vestiaire est à disposition
À votre disposition ; bar, scène, podium gogo’s, écran géant, vestiaires et fumoir.
Prix d’entrée : 10€ par personne (homme ou femme) ou 15€ (couple).
Interdit aux moins de 18 ans.
Le Club La Suite se réserve le droit d’entrée
Date : samedi 16 mai 2015 (de 22h00 à 07h00)
Adresse : Club La Suite – 6 rue des Trois Épis – 68000 Colmar.
Page évènement sur Facebook : https://www.facebook.com/events/597263327041640/
Après une année d’interruption pour des raisons personnelles, le Bal des Supplices, plus grand événement fétiche français, revient le 26 septembre 2015. Pour célébrer ses 10 années, le Bal des Supplices souhaite rassembler tous les fétichistes du monde.
Le thème sera donc cette année le Rubber World, un monde de latex…
Et pour répondre au mieux à cette thèmatique, le Bal des Supplices aura lieu dans une salle unique et atypique, située en plus sur tarmac de l’aéroport de Bron. Vous pourrez ainsi, si vous le souhaitez, faire une entrée remarquée… en arrivant tout en latex à bord d’un avion qui atterrira sur la piste voisinant le Bal des Supplices et vous déposera directement dans le club.
Kimono en latex, uniforme d’aviateur, tenue zentai sous les couleurs du drapeau français… laissez libre cours à votre imagination. Mais attention, cette année, le code vestimentaire sera renforcé. En effet, seront autorisés uniquement les tenues en latex ou cuir, les uniformes militaires ou les combinaisons zentai. Les tenues en tissu, pvc, jeans, tshirt seront interdites…
La capacité de la soirée sera aussi réduite afin de favoriser le côté convivial et kinky du Bal des Supplices. Les places sont donc limitées. A l’entrée une coupe de champagne vous sera offerte. Des espaces Kinky Rubber seront également à votre disposition.
Les 10ans du Bal des Supplices est indubitablement un évènement unique. C’est pourquoi, Louva sera présente à cette soirée fétiche en tant que maîtresse de cérémonie. Elle présentera ainsi les trois Miss Marquis qui réaliseront chacune une performance unique. Winnie présentera une performance Heavy Rubber exotique et surprenante ; Rack Framboise montera sur la scène du Bal des supplices avec un show exclusif toujours aussi fruité et latex ; et Xel Anianka proposera une performance encore plus blasphématrice et dérangeante…
Le mois dernier, les Early Bird, des préventes avant les préventes, se sont vendues en seulement trois jours ! Les préventes habituelles sont donc en place et disponibles jusqu’au 15 septembre via la boutique Marquis France et prochainement dans les boutiques partenaires. Compte tenu de l’engouement pour les early bird et les préventes, un jeu concours est organisé tout le mois de mai et vous fera gagner des invitations pour le bal des supplices du 26 septembre 2015. Pour cela il faut répondre aux 31 questions qui seront posées sur la page facebook ou le twitter du Bal des Supplices, à raison d’une par jour. Une invitation sera offerte aux 4 premières personnes qui auront répondu correctement à tout le questionnaire.
Vous retrouverez toutes les informations sur le site internet www.baldessupplices.com
Et oui cela devait arriver un jour ou l’autre. Avec la fatigue et le trop plein de boulot, j’étais sur ma moto en retard car le client du matin m’avait retenu plus que d’habitude. Alors que je devais rejoindre le client de l’après midi pour 14h, je me retrouvais sur la route à 14h et en plus je devais passer à Demonia. Donc j’étais là de mes questions quand tout à coup je vois surgir deux motards qui me font signe de les suivre. ET oui alors que j’étais sur l’autoroute à 96 au lieu de 90. j’avais pris la direction de Paris centre sans baisser ma vitesse. Et donc le fonctionnaire chargé de maligner tout content de lui m’explique que je suis restée à 96 au lieu de 70, puis à 96 au lieu de 50 donc retrait du permis tout de suite. Qu’a priori comme je suis novice j’aurai une suspension de 1 mois et il me demande si quelqu’un peut venir prendre ma moto. Heureusement mon ex est libre et motard aussi. je lui paye le taxis et il me ramène ma moto et moi. je dois aller à la préfecture dans 2 jours pour connaître la sentance. Que vais je faire ? j’ai besoin de mon permis pour aller bosser, récupérer les filles tous les week-end, apporter les courses à ma mère. C’est la cata. Il faut trouver des solutions car je n’ai pas le droit de conduire la voiture non plus.
Ca c’est ce qui s’est passé en mars, à la fin du mois de mars car depuis Nnous sommes en Juillet et je viens tout juste de récupérer mon permis, que je devais pourtant récupérer fin mai car évidemment j’ai eu 2 mois de suspension de permis. Avec obligation de faire des tests psychotechnique et voir un médecin. Sauf que ces crétins m’ont donné la liste des médecins de Paris donc j’ai été voir un médecin de Paris mais ils ne sont pas reconnu par le Val de Marne. Donc j’ai du retourner voir un médecin du Val de Marne et conclusion j’ai récupéré mon permis en Juillet, début Juillet.
Vvous me direz comment je me suis organisée sans avoir le droit de conduire ? Ce fut un enfer au début mais cela m’a musclé. je suis passée de 2h max de moto par jour à jusqu’à 4H30 de transports en commun en plus de mes 10-12h de clientèle. Autant Vvous dire que la vie privée en a pris un sacré coup. Pour les filles c’est Monsieur qui va les chercher et les ramène. pour ma mère, je commande sur internet et je l’a fait livrer. Et moi et bien du lundi au vendredi je prend les transports en commun pour allez chez les clients. je ne vais pas au même endroit tous les jours donc les temps de transport varient. le lundi je n’ai que 1h, le mardi 4h30, le mercredi 1H10, le jeudi 4h et le vendredi 2h, mais le vendredi soir Monsieur vient me chercher au travail avec les filles. seul moment que je préfère de toute la semaine.
Donc je suis fatiguée, très fatiguée…
Que ce n’est pas facile de vivre en ville quand on vient de la campagne. Nnous Nnous sommes habitués à tous ces bruits de voitures, de vélos, de caddies, de poussettes, de trotinettes, à ces gens qui passent très près de Vvous indifférents mais lui Indiana non il n’est pas habitué. Alors pour lui sortir c’est une corvée, il n’est heureux que quand il revient dans la cours. Dès que l’Oon franchi la grille, il a peur, il longe les murs, la queue entre les jambes. Et Oon ne doit pas le consoler cela le conforterait dans son idée que dehors les gens sont méchants et qu’il a raison d’avoir peur. Il refuse même de faire dehors, il ne fait que dans la cours sur de la bonne pelouse bien verte bien sur. Avec le temps il n’aura plus peur mais pour le moment c’est trop tôt. En le regardant je me pose plein de question. Et si les chiens étaient mal traités. et si on sous estimé leur sensibilité, leur sentiment ? Car après tout Nnous allés chez lui, il était avec sa famille, sa mère, son père, ses frères et sœurs, et même son grand père. Et sans lui demander son avis, bien que ce soit lui qui soit venu à Nnous. Nnous ne lui avons pas demandé son avis, Nnous l’avons pris et Nnous sommes partis à des centaines de kilomètres d’où il avait grandi. Certains diront que ce n’est qu’un chien mais il mérite d’être heureux lui aussi. Certes il est un peu primaire mais peut être est ce parce que Nnous ne comprenons pas le langage des chiens. Ils sont peut être plus intelligent sur certains points que Nnous ne le pensons ? Déjà pour des raisons pratiques l’homme a fait en sorte que les chiens et autres animaux de compagnie ne vivent pas longtemps. Bref je me pose pleins de question. Car après tout, il fut un temps ou les hommes blancs pensaient que les noirs étaient des animaux, sans âmes, sans intelligence et ils les traitaient comme tel. D’un autre côté si l’espèce des canidés n’évolue pas il parait difficile que les chiens puissent vivre vieux et longtemps si personne ne s’occupe d’eux. Et ils ont un comportement assez primitif car c’est la loi du plus fort qui l’emporte. Une société ne peut pas vivre ainsi…
Pour la première fois, Nnous emmenons Indiana voir la mer … Nnous sommes le dimanche 8 mars, il commence à faire beau et c’est le moment idéal pour l’emmener voir la mer. Nnous allons également profiter de cette promenade pour continuer son éducation, et surtout prendre l’air un peu avec les premiers rayons de soleil. Le soleil est avec Nnous. C’est formidable. Même si Nnous avons plein de choses à faire il est bon de prendre du temps pour Nnous. Nnous sommes partis de bonne heure pour profiter pleinement de toute la journée. Nnous avons pris ses croquettes. Nnous ne rentrerons que le soir. Mais pas trop tard car demain il y a école pour les filles. Et Nnous devons aller travailler.
Indiana découvre la mer pour la première fois. Il n’aime pas l’eau. Il ne veut pas se baigner. Marcher au bord de l’eau oui rentrer dedans non. IL y a très peu de monde et c’est agréable de se promener ainsi.