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Manuel Ferrara est à Paris jusqu’au 17 juillet pour tourner son prochain Raw ou la suite de French Vacation (un chef d’oeuvre de gonzo comme le titrait Jacky Goldberg dans les Inrocks l’été dernier). Il cherche de nouvelles filles, car la France c’est pas les Etats-Unis, ça ne court malheureusement pas les rues. Alors, si t’as envie de te lancer ou que tu avais besoin d’une belle excuse pour commencer, que tu sois dans le milieu pro, amat’ ou complètement débutante, contacte-nous ou directement Manu via son Twitter ou son Facebook. Merci.
Cette annonce est on ne peut plus sérieuse.
Au moment où, à Paris, la ministre Najat Vallaud-Belkacem veut éradiquer la prostitution, prenant la digne suite de Marthe Richard qui, à la Libération, fit interdire les bordels, c’était amusant d’aller dans un des « girls’ clubs » d’Allemagne. Ici, tout est légal, organisé et bien rodé.
Le taxi a un peu de mal à trouver, car ce quartier de Francfort est périphérique, au milieu de concessions automobiles aux bannières qui claquent au vent : Toyota, Renault, Audi…
Celles du FKK Mainhattan en font autant. Promesse du site internet – très détaillé et en huit langues,...
Sur internet, le projet Entourage LGBT existe depuis mars 2011. Il fédère des hétérosexuels et des homosexuels favorables à l’adoption et au mariage pour tous. Les internautes envoient leurs messages filmés au mouvement qui les diffuse.
Ce 25 juin, c’est la vidéo de Stéhanie qui a été mise en ligne. Elle voulait raconter son enfance « certes hors du commun », mais magique.
Dans Le Journal du Dimanche de dimanche dernier, Najat Vallaud-Belkacem dit souhaiter la fin de la prostitution. Elle a raison. Moi-même, je suis pour l’éradication de la faim dans le monde, la fin de toutes les guerres et très, très favorable à ce que nous nous aimions tous les uns les autres.
En attendant ces jours merveilleux, on fait quoi ? On laisse perdurer des lois dont on sait qu’elles mettent en danger les prostitué(e)s ? Dont on sait que leur mise en œuvre fielleuse et hypocrite repousse les prostitué(e)s loin, de plus en plus loin, des associations qui pourraient leur...
« J’ai 53 ans, je suis un cas d’école », amorce Camille Bernard. Une transsexuelle qui n’a pas grand-chose à cacher, hormis son prénom de garçon dans une autre vie, huitième enfant d’une famille « bourgeoise et catholique » du XVIe arrondissement parisien.
Administratrice au Planning familial de Montpellier où elle a mis en place une cellule d’écoute et propose des formations aux travailleurs médicaux et sociaux sur les questions de transidentité, Camille Bernard raconte son histoire dans le film Next station nana, et sur internet (1). Adjointe au maire d’un petit village de l’arrière pays héraultais où elle tient une chambre d’hôtes, très investie dans le milieu associatif, Camille Bernard a choisi de faire sa « transition au grand jour ».
Après des années à se cacher. « J’ai vécu depuis ma toute petite enfance avec un gros point d’interrogation. Je ne peux pas dire qu’à cinq ans, je savais que je voulais être une fille. Mais une pulsion me poussait à chiper les affaires de mes sœurs. J’ai compris très tôt que ce n’était pas socialement correct, un instinct de survie a fait que j’ai appris à dissimuler », raconte Camille, qui a vécu dans « la crainte permanente d’être découverte ».
Elle tombe amoureuse, se marie, une première fois, « croit que c’est fini ». « C’est revenu quelques mois plus tard. » « L’amour, pour moi, c’est être dans la confiance. Je n’ai rien caché à mes compagnes. Sexuellement, ce n’était pas extrêmement probant. Je n’ai jamais eu de relation homosexuelle parce que j’étais formatée pour avoir des relations avec les femmes. Mais physiquement, c’était le no man’s land. Je n’étais pas un foudre de guerre, j’y arrivais en me faisant un cinéma fantasmagorique où j’étais la femme. »
Ce qu’elle est officiellement depuis un jugement du tribunal de grande instance, en 2007. Un an plus tôt, Camille, pourtant remariée, a été opérée en Thaïlande, « l’eldorado pour ce type d’interventions ». « Le réveil à l’hôtel, cinq jours après l’opération », reste une grande émotion.
Comme « la première fois que j’ai fait l’amour avec un homme », et le souvenir du « premier homme qui m’a vue comme une femme sans connaître mon passé ».
Camille, toujours mariée, est restée « la meilleure amie » de son épouse. « Chacune vit sa vie. Je suis la même personne parce que mon ressenti au monde a toujours été différent. Qu’est-ce qu’un homme ? Qu’est-ce qu’une femme ? Chacun a cette double polarité, et on essaie de se dém… avec. »
lien de l'article : http://www.midilibre.com/articles/2009/10/16/A-LA-UNE-Camille-Je-suis-la-meme-personne-961077.php5
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Devenir des transsexuels opérés (source : l'Information Psychiatrique) L’objet de cette étude est d’évaluer, à travers la littérature scientifique internationale, le devenir des transsexuels opérés et les conséquences du traitement hormonochirurgical (THC). Les transsexuels se disent satisfaits de leur transformation dans plus de trois quarts des cas et, en définitive, très peu la regrettent. Il apparaît assez clairement que le THC engendre des effets largement plus positifs que ceux que prévoyaient jadis les médecins et, plus encore, les psychologues (...) Concernant "Le devenir social" : Dans la majorité des cas après l’opération, les transsexuels vont dans le sens de relations sociales plus riches et plus nombreuses. Ils sortent de leur isolement social, osent entreprendre des activités jusqu’alors largement évitées. Cette amélioration des relations sociales est imputée à l’adéquation entre l’identité de genre et l’anatomie (...) Mais il faut noter que certains de ces critères tendent à être remis en question avec l’évolution des attitudes vis-à-vis des différences dans la société, l’évolution de la typologie transsexuelle et un meilleur suivi des populations transsexuelles. (l'Information Psychiatrique. Volume 81, Numéro 6, 517-28, Juin-Juillet 2005, le corps transformé) LIREUne nouvelle série arrive sur Vice sous un patronyme évangéliste au possible : Pornification.
Aucun happening porno au programme, pas de croisade pour sortir le X de son confinement médiatique, mais une série d’interviews de personnalités et de témoins lambda. On en sait pas plus pour l’instant (FAUX !) mais il semble que l’entretien soit très ouvert, laissant ainsi libre cours aux intervenants de développer leur opinion. C’est simple et efficace, les thèmes abordés semblent aussi diversifiés que les profils des interviewés, de bonnes crises de LOL en perspective. Une série de vidéos qui ne manquera pas de trouver sa place à côté des « C’est quoi ton Porn ? » du Tag.
Voici les nouvelles pubs Playboy, le mag’, des affiches légères et vintage, comme un hommage à Leroy Neiman, légendaire illustrateur du magazine mort le 20 juin dernier.
Mais cette campagne inquiète, elle semble annoncer un virage crucial dans la ligne éditoriale du magazine, par le slogan “Pleasure in your hands”. On pourrait penser que le plaisir évoqué ici est celui de lire Playboy, l’ex premier vrai magazine masculin, mais c’est simplement une campagne pro-masturbation.
Aucun problème avec cela, vous vous en doutez, mais de là à transformer cette institution qu’est Playboy Magazine en un simulacre de support masturbatoire nous semble être un beau gâchis, car ça n’a jamais été le but de Playboy. Certes, au fur et à mesure les rubriques de fond ont laissé place à des posters recto verso de la Playmate de la semaine et les récits fiction ont été remplacées par un shooting de la CyberGirl du mois…
OK, l’édition papier ne rapporte plus rien depuis longtemps (en témoigne l’énorme fail de la version française relancée en 2007 et depuis mise au placard) et la marque a très mal négocié le virage internet, mais ces foutus déos, ces bijoux made in China et ces housses de couette de mauvais goût ne sont pas supposés rapporter les fonds nécéssaires à la bonne santé financière de la société ? A moins que le contrôle récent de Playboy TV par la holding Manwin n’y soit pour quelque chose…
Qu’une des femmes les plus puissantes de l’administration Obama, une femme ayant un mari l’encourageant dans sa carrière et s’occupant seul, toute la semaine, de leurs enfants, une femme qui conseillait Hillary Clinton, abandonne son job pour se consacrer à sa famille... et voilà la question féministe qui agite à nouveau le cercle des femmes de l’élite américaine.
Dans un article-témoignage publié dans la nuit de mercredi par le magazine The Atlantic, « Why women still can’t have it all » (« Pourquoi les femmes ne peuvent toujours pas à tout avoir »), Anne-Marie Slaughter raconte...
Ce vendredi, les Solidays ont commencé. Il y avait pleins de concerts cool comme Metronomy, Rover, Arthur H ou Birdy Nam Nam. Mais les Solidays, c’est surtout le festival de lutte contre le sida.
Chaque année, en payant leur entrée, les festivaliers contribuent à la récolte de fonds pour les campagnes de prévention, l’aide aux malades et à leurs familles. En treize éditions, plus de 15 millions d’euros ont ainsi été récoltés.
Pour autant, les festivaliers sont-ils bien informés ? Que savent-ils eux-mêmes du sida ?
On a demandé aux Sœurs de la perpétuelle indulgence –...
Il y a deux types de dessins animés porno : ceux qui nous font fuir la queue entre les jambes et les jambes à son cou – autrement dit la queue à son cou, ce qui semble un peu étrange, mais passons -, et les autres. Alors forcément, quand @T0rv4ld nous a twitté « un des premiers cartoon porno », on a hésité à cliquer. La peur des tentacules, la tentation du tentacool… Toi aussi tu connais ça ?
Finalement, pas de pieuvre géante dans ce cartoon assez exceptionnel, il faut le dire, mais un scénario des plus classiques : un keumé qui baise une meuf puis un keumé… OHWAIT, puis un âne et une vache ?! On ne se refait pas…
L’ami Wiki nous offre quelques infos précieuses : le film daterait de 1929 (année érotique) ; et si les auteurs du chef-d’oeuvre restent encore inconnus, mais on suspecte quelques animateurs issus de trois grands studios de l’animation américaine, d’être coupables de l’hérésie. Mieux, le film aurait été réalisé en hommage à Windsor McCay, roi des rois de la bande-dessinée et de l’animation moderne. Pour le coup, on vous avouera qu’on ne comprend pas.
Mais qu’on a bien rigolé quand même.
Les chinois… ce peuple est un puits sans fond de surprises et de LOLs flamboyants.
Un habitant de la province de Shaanxi, au Nord-Ouest de la Chine, en creusait d’ailleurs un récemment. Il fut stoppé en plein milieu de sa tâche par une découverte surprenante, un « mysterious fleshy pink object » qui semble, selon lui, avoir des yeux et un nez. Tout excité par la perspective de révéler au monde une toute nouvelle espèce vivante, d’être reconnu comme le nouveau Darwin, le brave homme appelle la TV locale. Le reporter de choc envoyé sur les lieux a quant à lui une théorie toute différente, la Chose serait un champignon. De fil en aiguille ce Sherlock Holmes aux yeux bridés en arrive à la conclusion que c’est un spécimen rare qui est difficile à cultiver et a été utilisé par un empereur comme un ingrédient dans une potion secrète de longévité.
L’homme qui l’a trouvé prétend qu’il va le garder dans sa maison jusqu’à ce qu’un biologiste puisse venir l’examiner scientifiquement. L’affaire est donc diffusée sur les ondes, fait un barda du diable, et quelle ne fut pas la surprise des téléspectateurs avisés en découvrant que le fameux champignon n’était en fait qu’un fleshlight, un pocket pussy/anus qui avait été enterré là par son propriétaire pour des raisons qu’on préfère ignorer. Ce dernier doit être particulièrement ravi de voir que le monde a vu cette Chose dans laquelle il a eu sa teub au chaud.
Cela peut vous paraître absurde mais invoquer un fake ou autre canular serait facile, l’histoire est on ne peut plus vraie et sincère. La chaîne de télévision a fini par présenter ses excuses pour sa bourde. Il serait temps de rappeler que même si le porno est interdit en Chine, ce pays produit 70% des sextoys dans le monde. Apparemment le fait qu’ils soient AUSSI les premiers producteurs mondiaux de champignons semble avoir implanté une certaine confusion dans l’esprit de la population. Hasard ou… réalité scientifique ?
La Chine, puissance mondiale
En plein désarroi face à la politique actuelle des tubes qui part sensiblement en couilles (article à venir, qui risque de pas mal vous étonner), on ne peut que saluer l’arrivée de nouvelles prods de qualité. On vous parlait récemment de Pretty Dirty chez New Sensations, qu’on vous recommande chaudement (malgré la présence de quelques acteurs… un peu… bon… vous verrez) ainsi que de Wasteland chez Elegant Angel qui reprend le porn social là où l’avait laissé Portrait Of A Call Girl. Le studio Zero Tolerance sort en fin de semaine The Valley - leur dernier film scénarisé -, qui n’est pour une fois pas une parodie torchée (poke Scarface XXX).
Le pitch :
Le détective Marlowe (joué par Tommy Pistol, dont la performance dans la parodie de Taxi Driver était plus que remarquable) est chargé de trouver la fille disparue d’un homme riche, au plus profond de la vallée de San Fernando, où l’industrie du porno se cache sous terre, couverte par les lumières de la ville et les palmiers. Les actrices et les producteurs essaient d’influencer Marlowe qui doit garder son sang-froid afin de naviguer dans un labyrinthe de suspects dangereux. Ce polar-porn est réalisé par le talentueux Sam Hain à qui on doit – en autre – le space-porn Horizon.
On notera la présence d’Evan Stone (qui jouait déjà le dealeur dans Taxi Driver) qui est certainement l’acteur le plus crédible de la porn valley, James Deen, Katie St Ives qu’on aime beaucoup ainsi qu’Andy San Dimas — notre amour éternel. On a hâte de se mater ça, si on peut atteindre un niveau de scénar proche de celui de Taxi Driver ou de Wasteland avec une qualité d’image comme dans les films d’Elegant Angel, on devrait tenir un vrai porn scénarisé moderne et bandant, ce qui n’est pas la chose la plus évidente au monde – les années 90s-00s peuvent en témoigner.
On vous arrête de suite le titre est trompeur. Ce n’est malheureusement pas une nouvelle sex school spéciale pornstar, ni même un centre de formation FAP proposant des stages intensifs à $4000 la semaine pour devenir le meilleur fappeur et apprendre à dompter la jungle des tubes avec tes vingt-cinq centimètres de machette à la main.
La OxBow Academy (c’est son petit nom officiel) est destinée aux 13-17 ans, et tant mieux parce que c’est pas vraiment le genre d’école que tu espères intégrer après ton bac. Imagine deux secondes t’es un petit américain lambda (ne te crois pas à l’abri, il est bien stipulé sur le site que l’école “Oxbow Academy is authorized under Federal law to enroll International students”) et qu’un jour tes tendres parents t’informent que tu vas passer un mois à la OxBow Academy. La classe, tu t’empresses de dire à tes potos que tu vas apprendre à faire du surf en combi dans l’océan pacifique au millieu des dauphins pendant un mois. Sévère est la désillusion quand tu réalises que tes parents ont payé $9000 pour que tu passes un mois au sein d’un complexe spécialisé dans le traitement de l’addiction au porn chez les jeunes.
La jungle des tubes est bien loin maintenant
C’est fourbe quand même. Trahi par tes géniteurs, tu accuses le coup parce que ça déconne pas du tout là-bas, une austérité à faire palîr les Jésuites. Pas de téléphone portable, pas d’internet, routine stricte composée d’une succession de thérapies anti-porn & sexual behaviour doublées d’entretiens sous la férule d’un détecteur de mensonge (no joke, à 15 ans aux USA tu peux être enfermé et questionné pendant un mois sur ta consommation de porno SANS POUVOIR MENTIR, comme si ton historique n’était jamais effacé, la putain d’angoisse). Et n’oublie pas que ce sont tes parents qui t’aiment qui raquent pour toi.
L’homme qui ramasse ce blé, fruit de l’hypocrisie américaine, c’est Stephen Schultz, le directeur de l’établisement. Il oeuvre contre ce qu’il nomme l’hyper-sexualisation de la société. Il compare l’addiction au porn à l’héroine : “Most porn addicts get agitated when they’re deprived of their online sources. But one boy from Chicago actually got the shakes, like a drug abuser. He was in very poor shape when he arrived. He’d been on his computer 10 to 12 hours a day looking at porn. He wasn’t eating, he was dehydrated, had poor hygiene. He’d done nothing but watch porn.”
OK, un de tes 24 élèves est totalement baisé. Peut être que ses parents ne faisaient pas partie de la majorité, celle des gens qui éduquent leurs enfants un minimum sur le sexe et la modération. Ça éviterait de se retrouver avec des écoles en carton pâte traitant une hypotétique addiction, ou encore de voir au journal de 20h que 9 gosses de 12/13 ans se sont fait virer de l’école pour s’être branlés en cours en regardant un porn sur leur téléphone.
Ils voulaient juste vérifier qu’ils étaient bien hétéros… La news complete + reportage vidéo ici .
Pour revenir sur l’addiction au porno, voilà ce que nous raconte dans Wikipedia Judith Reisman, auteure de The Psychopharmacology of Pictorial Pornography : “La pornographie agit sur le cerveau comme une drogue – c’est une drogue.” Regarder des films X déclenche une poussée d’adrénaline qui est ressentie dans le ventre et dans les organes génitaux, ainsi qu’une sécrétion de testostérone, d’ocytocine, de dopamine et de sérotonine, précise-t-elle. C’est un véritable cocktail de drogues. La pornographie est un excitant extrêmement puissant, qui provoque flash et euphorie. Ce n’est pas un excitant sexuel, mais un excitant mêlant peur, sexe, honte et colère.”
Wouah ! Bah ça a l’air vachement cool vu comme ça le porn, si seulement chaque fap pouvait être aussi intense qu’un smack d’héro, on aurait des vraies raisons d’être accro. Trollface.
La ville chinoise de Xi’an est célèbre pour ses sous-sols riches en trésors archéologiques. Ses habitants ne sont donc pas surpris, lorsqu’en creusant à 80 mètres de fond, ils tombent sur un champignon lingzhi – une variété rarissime consommée par l’empereur de Chine. Aussitôt, ils contactent une chaîne de TV locale qui accourt sur les lieux.
Face caméra, l’un des villageois décrit sa découverte :
« Tout ce qu’on peut voir, c’est que ça ressemble à une espèce de fungi avec une tête de champignon des deux côtés. »
La journaliste lui emboite le pas dans la...
On vous parlait il y a peu de la sortie imminente (et effective à l’heure qu’il est) du numéro A6 de Richardson, le mag d’Andrew Richardson. Et bien, Vice a eu la bonne idée d’aller l’interviewer pour en savoir plus. On peut tout même regretter qu’ils aient envoyé une sainte-ni-touche, qui semble aussi intéressée par la culture porno que nous par le macramé, mais ça ne semble pas déranger Andrew qui se plie volontier à ses questions un poil conventionnelles. On découvre pas mal de choses, dont ses photos pour le calendrier Supreme, les photos de Terry Richardson chez Kink ou le fait que le mag ne soit pas porno car « on ne peut pas se masturber », ce que devrait essayer de comprendre Google au lieu de nous placer en fond de classement pour obscénité, les sales bâtards.
Dans la food porn l’image est plus importante que le contenu, c’est comme dans le porn, on cherche pas trop à savoir si une fille bandante a des MST — pas sûr de ma vanne en fait. Ce qui distingue principalement un blog de bouffe du dernier numéro de Saveurs (qu’on respecte, surtout quand y’a rien d’autre à lire chez les parents en vacances), c’est que la recette tu peux te la carrer là où je pense. C’est le concept de Food Porn Daily, une photo, les ingrédients en filigrane et démerde-toi avec ça.
Des tumblr ou des blogs sur les burgers y’en a tellement que ça devient infernal, comme si les mecs avaient découvert un putain de trésor, ah ouais t’aimes les burgers ? Mais, t’es trop sauvage mec ! Bref, y’en a trop alors on s’en cogne, nous on est dans le grilled cheese sauf quand les mecs ont un minimum de talent – c’est le cas de Fat & Furious Burger.
Pour la recette se référer au premier paragraphe de cette brève, pour le reste suivez le guide. Ici on suggère la présentation, on t’explique le décor, on met un petit filtre vintage histoire d’être Zucky friendly, on colle à l’actu et on se fait plaisir pour faire marrer les potes. Ça donne des burgers novateurs et des images qui donnent faim. Gros point noir, ils utilisent du pain Harry’s et c’est pas bien car ça devient vite sec au four (conseil maison, réchauffez le pain avec un peu d’eau dessus dans votre micro-onde en mode décongélation, oui car nous aussi on a notre avis sur la chose, comme tout le monde en fait).
Un thème, un burger, un vendredi, Fat & Furious Burger.
Le Ravens Burger
Crabzilla
Qui veut la peau du lapin de pâques ?
Dragon Burger Z
La suite ICI
Les hommes et les femmes ont-ils le même cerveau ? L’interview que nous avons publiée de Susan Pinker, le 10 juin, a fait débat aussi bien parmi vous, riverains, que dans la rédaction de Rue89.
Psychologue et chroniqueuse – au quotidien canadien The Globe and Mail –, Pinker évoque notamment des différences entre les cerveaux des hommes et ceux des femmes. « Des différences subtiles dans l’architecture neuronale et la connectivité cérébrale. »
Catherine Vidal, neurobiologiste et auteure de « Hommes, femmes : avons-nous le même cerveau ? » a accepté de réagir à cette...
Camille Crimson, la petite geek-féministe esthète de la fellation revient avec un nouveau site : Slow Motion Blowjob.
Certains vont le prendre comme un support masturbatoire, mais il faut rappeler que des fellations au ralenti, aussi belles et touchantes soient elles, ne font pas un porno. Alors Camille Crimson ne fait pas de porno, elle éduque. Elle donne des conseils, elle apprend aux femmes (et parfois aux hommes) à donner et recevoir du plaisir oral. Tel un gourou sexuel elle transmet ses “skills”, mais au ralenti cette fois.
Salut les petits loups
Et on a envie de dire c’est pour vous les filles, vous les copines, vous les amantes, vous les femmes (vous le charme) ; pour que vous puissiez sucer comme jamais. Sucer beau, sucer bien. On ne sait plus qui très bien disait qu’un homme bien sucé n’a pas besoin d’aller voir ailleurs, mais il ou elle l’a dit, 4 shizzle.
Le slowmo permet de décortiquer chaque mouvement, chaque regard qui porte l’amour entre deux coups de langue. Il permet de faire apparaitre des “détails” : un fugace sourire passioné, un pincement de concentration ou une main replaçant une mêche rebelle derrière l’oreille.
Le charme est dans les détails, c’est l’intimité de l’être. Comme le dit Camille : “ I hope this will make people remember to slow down and appreciate what’s going on in their lives ”
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if (jQuery.browser.mozilla) {tempvid=document.getElementsByTagName("video")[0]; jQuery(tempvid).remove(); jQuery("div.video_wrap div").show()} else jQuery("div.video_wrap div object").remove();Ou si vous voulez briller en société c’est le punctum qui vient casser le studium selon Roland Barthes, on vous laisse avec cet extrait de La Chambre claire et on vous souhaite de bien vous la coller ce soir, bisous.
« Ce que j’éprouve pour ces photos relève d’un affect moyen, presque d’un dressage. Je ne voyais pas, en français, de mot qui exprimât simplement cette sorte d’intérêt humain, mais en latin, ce mot, je crois, existe : c’est le studium, qui ne veut pas dire, du moins tout de suite, « l’étude », mais l’application à une chose, le goût pour quelqu’un, une sorte d’investissement général, empressé, certes, mais sans acuité particulière. C’est par lestudium que je m’intéresse à beaucoup de photographies, soit que je les reçoive comme des témoignages politiques, soit que je les goûte comme de bons tableaux historiques : car c’est culturellement (cette connotation est présente dans le studium) que je participe aux figures, aux mines, aux gestes, aux décors, aux actions.
Le second élément vient casser (ou scander) le studium. Cette fois, ce n’est pas moi qui vais le chercher (comme j’investis de ma conscience souveraine le champ du studium), c’est lui qui part de la scène, comme une flèche, et vient me percer. Un mot existe en latin pour désigner cette blessure, cette piqûre, cette marque faîte par un instrument pointu ; ce mot m’irait d’autant mieux qu’il renvoie aussi à l’idée de ponctuation et que les photos dont je parle sont en effet comme ponctuées, parfois même mouchetées, de ces points sensibles ; précisément, ces marques, ces blessures sont des points. Ce second élément qui vient déranger le studium, je l’appellerai donc punctum ; car punctum, c’est aussi piqûre, petit trou, petite tache, petite coupure — et aussi coup de dés. Le punctum d’une photo, c’est ce hasard qui me point (mais aussi me meurtrit, me poigne) ».
Il faut ménager les fans de NBA, d’autant plus si ceux-ci sont des fappeurs aguerris.
Nous sommes nombreux à souffrir en ce moment, et si mes poches sous les yeux ne ressemblent pas encore aux couilles de Hugh Hefner, elles en prennent très sérieusement le chemin. C’est le même cirque chaque année au mois de juin pour tout fan de basket US qui se respecte: la fin des Play-offs suivis des Finals tant attendues. Le diktat des fuseaux horaires impose un rythme insoutenable. Des matchs cruciaux qui débutent entre 2h et 3h du matin pour se terminer aux aurores, le moment que je choisis généralement pour m’écrouler avec comme berceuse les roucoulements obscènes de pigeons sans gêne.
La NBA, des émotions pures
Cette année, on n’a même pas eu droit à une saison complète à cause de cette maudite grève. Comme les joueurs, on arrive aujourd’hui exténué, mal préparé, et même si on ne risque pas de rupture des ligaments croisés, c’est notre sommeil qui prend cher. Et pourtant, je tiens bon car ce sont mes poulains qui jouent. Et ouais, je soutiens le Heat de Miami depuis longtemps – et ce avant l’infâme Decision, je tiens à le préciser -, on n’est pas très nombreux, mais les vrais reconnaissent les vrais et j’aime mes bros de South Beach. Ils m’ont déçu l’an dernier en échouant à la dernière marche (malgré la jouissance ultime de les voir anéantir les dinosaures de Boston en finale de conférence) mais c’était un galop d’essai. Cette année, ils affrontent le Thunder d’Oklahoma City et j’ai peur qu’ils se foirent à nouveau.
Basket Porn
Les voir perdre mardi soir le premier match de la série – la première team qui gagne 4 matchs est championne NBA pour la petite histoire – m’a franchement brisé. Les mecs, je flingue ma santé pour vous, mon régime nocturne: Saint Agaûne, Malossol, Heineken. Un petit effort, que diable! Je ne tiendrais pas le coup si vous continuez à me décevoir. Je vais me lasser, je vous préviens, c’est déjà difficile de vous soutenir face aux légions de haters…
C’est le bordel à Miami
Cette détresse du supporter exsangue , Sarah Jay et Angelina Castro l’ont bien sentie. Ces deux citoyennes de Miami évoluent dans un sport où pénétrations, prises à 2 et passes décisives sont aussi monnaie courante, ça créée des liens. Pour éviter que leur team de cœur soit délaissée, elles proposent ainsi une tournée de pipes à tous leurs followers en cas de victoire finale du Heat. Bon, faut avouer que Sarah Jay n’est pas l’actrice la plus ragoutante du game, quitte à taper dans la MILF, on aurait vraiment préféré Nina Hartley. Les mauvaises langues disent même que c’est une raison de plus de soutenir le Thunder. Le risque pour les deux gourgandines de devoir respecter leur promesse est infime – satisfaire près de 300.000 followers (cumulés) n’est pas une mince affaire - tant le Thunder semble favori, on appréciera quand même le coup de pub.
Si le Thunder gagne les Finals, c’est lui qui va vous sucer
Personnellement j’avais besoin d’un sursaut, d’une carotte plus substantielle que les potentielles larmes des rageux, je rejoins donc, non sans enthousiasme la Team Blowjob NBA et crie haut et fort GO HEAT!
[EDIT - 5 juillet 2012]
About damn time!
Contre toute attente, le Heat a écrasé le Thunder. Le summer of love 2K12 ne pouvait pas mieux commencer pour les fans enflammés de South Beach. Et tandis que LeBron James la met bien profond aux haters en savourant son premier titre de champion, la saison ne fait que commencer pour nos deux actrices goulues de la Team Blowjob qui vont devoir tenir leur parole et ouvrir bien grand leur bouche.
Rendez-vous est pris le 2 août à Miami. Un certain nombre de règles a été mis en place pour encadrer la bacchanale buccale , rien de bien contraignant, une pièce d’identité prouvant votre majorité et un test de dépistage (négatif). Un infirmier (de sexe masculin) vérifira l’hygiène des candidats au bukkake. On aura une pensée émue pour ce brave homme. En tout cas, ça sent le pétage de record potentiel, alors si vous voulez faire l’Histoire, sachez que les vols vers la Floride ne sont pas trop chers en ce moment. De mon côté je me contenterai de la retransmission en streaming, je me suis déjà bien assez sacrifié en tant que fan du Heat.
La scène a été filmée par la caméra de vidéosurveillance. Le concierge s’en est vanté : sur les images, il a reconnu un salarié de l’une des petites entreprises qui se partagent le bâtiment. Il parle d’un « grand », mais il ne dira pas qui.
Muni de sa clé, le « grand » aurait pénétré dans les locaux vides, en pleine nuit – la caméra est à infrarouge –, accompagné d’une amie, avant de pratiquer avec elle certaines acrobaties. Ce ne serait pas la première fois, le salarié de grande stature ne serait pas le seul concerné, et le concierge promet de tout balancer le jour où il...
Le premier gouvernement Ayrault a de la gueule. Une belle vitrine de 17 femmes sur 34 ministres, qui lui fait dépasser le stade de la parité. Oui, mais...
Sur les bancs de l’Assemblée, les chiffres font rosir (de honte) : sur 577 sièges, on ne compte actuellement que 109 femmes, soit 19% des parlementaires. Ce qui vaut à la France de s’échouer en 69e position mondiale – derrière le Bangladesh ou le Tadjikistan – en matière de présence des femmes au Parlement. On en escompte 30% pour la prochaine législature, et ce progrès ne sera pas à mettre à l’actif de l’UMP...
De la...Samedi 16 juin, nos potes du label Cracki Records (dont on retrouve la musique de Renart dans notre vidéo Lola Hoop) organisent un double événement. De 20h à 00h30, c’est sur la terasse du Trabendo (Parc de la Villette – Métro 5 Porte de Pantin - Paris) que ça se passe pour le Boogie dehors, puis de 00h30 à 6h00 c’est dans le Trabendo pour le Boogie dedans. C’est la CRACKI BOOGIE.
Au coucher du soleil, profitez du parc et de la terrasse du Trabendo avec, dans l’ordre : une fanfare soul-funk, des percussions haïtiennes fracassantes, une orgie boogie de Qosmonaut, et notre récente recrue Luca Eminenti qui enflammait notre Salon d’Été à Belleville.
La nuit tombée, l’histoire continue jusqu’au petit matin. House et techno de qualité par Dooks et la fameuse paire Larcier & Renart, dont on a eu le plaisir de sortir deux disques, et cerise sur le gâteau, un invité surprise de renom : John Daly, en live.
Le tout agrémenté des traditionnels canapés, nintendo, disquaire indé, mais aussi d’un salon de coiffure gratuit, et quelques surprises si on a de la chance. Cracki tout-confort.
LE BOOGIE DEHORS — 20:00 ~ 00:30 – 0 euros
♧ La Pègre Douce (live) ♣ www.youtu.be/hIL8b_HChLw
♡ Jackson Thélémaque (live) ♥ www.youtu.be/SzDaJMmHfqw
♤ Qosmonaut ♠ www.snd.sc/IcmOk6
♢ Luca Eminenti ♦ http://on.fb.me/eminenti
LE BOOGIE DEDANS — 00:30 ~ 06:30 – 8 euros
♣ Edouard Dooks ♧ www.snd.sc/JnNscd
♥ Larcier ♡ www.snd.sc/zRtfAS
♠ John Daly (live) ♤ www.youtu.be/7AcmJBes7JY
♦ Renart ♢ www.snd.sc/Hvy40R
Comme on est sympa, on vous fait gagner 2 x 2 places pour le Boogie dedans, il suffit de leur envoyer en gentil mail avec LE TAG PARFAIT en objet pour avoir peut-être la chance d’en gagner (tirage au sort sous huissier très sévère, mais juste). Sinon, il existe aussi des pré-ventes par ici et c’est 8 euros.
Retrouvez Cracki Records sur les internets : Facebook – Soundcloud – Site
(De New Delhi) En Inde, la vente, la circulation, la production… d’objets dits « obscènes » est un crime passible de deux ans de prison, et jusqu’à cinq en cas de récidive. La section 292 du code pénal indien définit comme obscène tout objet, écrit ou représentation « lascif », attirant « l’intérêt lubrique » ou essayant de « dépraver et corrompre les personnes ».
Trois hommes ont été arrêtés dans l’Etat indien du Madhya Pradesh en début de semaine pour « possession de MMS obscènes », après la plainte d’un homme les ayant surpris en train de regarder les...
Dans la série « Happy endings », le personnage de Max résume simplement la situation : « Le mariage... c’est gay. » En faire des tonnes le jour où on est heureux en contrôlant simultanément tout ce qui se passe jusqu’à ressembler à une poupée tueuse, c’est gay...
Ressembler si fort à ce cliché n’est pas franchement mon idéal. Mais en interrogeant mes amis hétéros mariés, j’ai cru remarquer quelques raisons simples de se marier qui peuvent être concordantes avec la vie gay (des raisons, disons, « universelles »).
Protéger l’autre contre ses propres capricesCes amis se sont...
Les Scissor Sisters ont sorti un nouvel album, Magic Hour, et entre nous il n’est pas très bon, bien loin de la classe de Night Work qui regroupait des morceaux comme Insivible Light, Any Which Way ou ou Whole New Way. Un peu trop dance, un peu trop vulgaire, difficile de faire mieux que le monument précédent, mais voilà, dans cet enchainement de morceaux un peu faible, il y a Keep Your Shoes On.
Evidemment il parle de cul, évidemment il est efficace comme un plan cul, le slip entre le boule et le genoux. On ne sait pas si c’est un hommage aux kiffeurs de skets, mais ça donne envie de coincer un beau keum contre un mur et d’appliquer un mouvement de va-et-vient dans une levrette verticale qui filerait même la gaule au dernier des homophobes. En se penchant un peu plus sur les paroles, on se rend compte qu’en fait Jake Shears parle d’une fille, mais on y croit pas une seconde – sacré farceur.
Shimmy shimmy coco puff
I can’t seem to get enough
Come over here let me touch your stuff
A écouter en boucle, encore et encore, en attendant les remix.
La question passerait presque pour un topo journalistique tant les articles, interviews et tribunes qui nous parlent de ce spécimen étrange prolifèrent.
Pourtant, des hommes comme Stieg Larsson, l’auteur de la série (inachevée) « Millénium » ne font pas figure d’hurluberlu : dans ses livres, la violence dont les hommes peuvent faire preuve à l’égard des femmes est sans cesse dénoncée, notamment via l’histoire personnelle de Lisbeth Salander, et opposée au personnage de Mikael Blomkvist, tombeur invertébré consacré par son charme respectueux pour la gente féminine.
Mais alors,...
Quand on parle bien, on appelle ça la maladie de La Peyronie. Quand on parle avec ses potes, on parle plutôt de zizis tordus (et on fait parfois une blague sur un ancien zizi présidentiel américain). Dans les faits, la situation est la même : quand le pénis est en érection, il dévie.
Ce pourrait n’être qu’un problème esthétique, mais la courbure est souvent douloureuse. Parfois même, elle empêche toute relation sexuelle. Même sans en arriver à cette impasse, certains hommes vivent très mal cette situation.
« Affaibli », « amoindri », « diminué »...On peut s’en rendre compte...
La vie : ça va, ça vient. Est-ce à dire que : quand ça va pas, ça vient pas ? (vous avez deux heures) Aucune idée, mais une chose est sûre : j’en connais une qu’aurait mieux fait de suivre l’adage.
Elle, c’est FrankfuterTitten, aka PetitPoussin dans nos coeurs de rédac’. Rappel des faits. Le mois dernier, la francfortoise avait en effet défrayé la chronique en animant la pornosphère de son buzz viral 2.0 propulsé par eFukt. La vidéo était titrée « The most gentle breakdown ever », mais ça aurait pu être « Une salope à gros seins pleure sous les coups de bite d’un vieux pervers » si ça avait été publié sur un site de fap-boloss dont nous tairons le nom.
On y voyait aussi et surtout Rocco, le vieux pervers en question, déployer une tendresse insoupçonnée pour cajoler ce pauvre enfant. Là où le péquin moyen aurait continué à enfoncer ses coups de butoirs butoir, buté, pour en finir au plus vite et toucher son cachet. Et croyez-moi, ça nous avait tout retourné.
La belle affaire. On croyait cette bachelette définitivement éloignée du porn-game, décision compréhensible vu son sourire contrit durant la mésaventure. Mais il faut croire que ce bel enfant est aussi une femme aventureuse. Les internettes l’ont retrouvée : il semblerait qu’elle ait toujours d’aussi belles poitrines, surplombant sans rougir un ventre toujours toudoudou. Et surtout, qu’elle soit vicelarde comme on aime.
D’où son pseudo sur MyDirtyHobby, donc : FrankfurterTitten, aka « les seins francfortois », dont le profil googletranslaté donne ceci :
Je suis une fille de ville de Francfort / Main et ont beaucoup de plaisir ici dans la ville. Il ya beaucoup de suite pour le cochon d’ici et laissez-moi ne veux plus jamais. Mais quelque chose comme MDH [MyDirtyHobby] cornée n’est même pas ici avec nous et j’ai donc dû inscrire absolument.
Quand on a lu ça, on s’est demandé si ce « laissez-moi ne veux plus jamais » faisait référence à son incartade en pilonnage. Il faut croire que non, vu ce qui vient ensuite :
Alors maintenant, pour moi. J’aime tous les montrer à mes gros seins et le trouve vraiment super, même quand les hommes et les jeunes filles à me pencher sur les seins. D’abord, je tiens à être déplacé dans le sauna et Feibad et ont rendu les gens cornée et maintenant je suis en train tous ici.
Je serais très heureux, non, ça me ferait vraiment cool si je peux bien le faire avec vous, écrivez-moi donc si tu es cool par moi.
Merde Salutations cornées de la plus belle ville du monde, vous voulez que votre
Et juste en dessous, une flopée de vidéos dont les énoncés dénoncent un certain sens du vice : « Lifting des seins électriques », « Baisée dans la pratique des médecins de Francfort », « Mon pipe première fois en public »… Sans oublier les quelques titres germanopratins que Google n’a pas eu l’audace de traduire en entier : « Publique beffumelt » et autres « Pisshilfe ». Le folklore local.
Mais son vrai nom d’actrice serait Hika ; notre starlette d’un jour serait en outre tchèque (on s’en doutait un peu, son accent n’avait trompé personne), et tendre comme un beau pavé de saumon :
Hika [also known as: Adrianna, Adriana, Nicol, Jennifer, Fraulein Rauscher] is a slender model from the Czech Republic (born 1991) with a pale slender body and suckable firm boobies. I first spotted her at Boobstudy in July 2010. Later she appeared at many other sites using many diffent names. She also does wild hardcore (good stuff at Young Busty, exemple).
Bref, la belle aime le cul, le cul sale, et tient à le faire savoir. Ça ne nous déplaît pas, bien au contraire : on les aime, ces filles qui assument ce qu’on est pas capable de leur confesser ; ça ne les rend que plus belles, elles qui ont déjà un sourire et des seins à faire craquer le cockring.
Seulement voilà : eFukt a déterré ça (merci à Foxy qui nous l’a signalé en commentaire, tu gagnes un bisou du Jizzou)
Et ça nous a tout retourné, encore, mais dans le mauvais sens du lit. Alors on ose l’annoncer : MEILLEURE VIDÉO DE LA SEMAINE.
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if (jQuery.browser.mozilla) {tempvid=document.getElementsByTagName("video")[0]; jQuery(tempvid).remove(); jQuery("div.video_wrap div").show()} else jQuery("div.video_wrap div object").remove();
Ouais, elle aurait mieux fait de pas venir.
Pourquoi toi
Pourquoi si fort
Pourquoi si mal quand je te vois
La romance était finie
Parfois, on aimerait vraiment savoir ce qu’il se passe dans la tête de certains communicants. Cette campagne de pub en est un parfait exemple.
Sur le site Golem13, on apprend qu’en Belgique, pour prouver les méfaits du soleil, la Fondation contre le cancer a monté un coup digne d’une mauvaise émission de MTV.
Dans un spot censé être drôle, on voit cinq hommes se réveiller aux cotés de leurs belles-mères. Pourquoi ? Parce que si leurs copines ne se protègent pas bien du soleil, elle vont vite devenir comme leurs belles-mères, avec la même peau fripée.
Sympa pour les belles-mères !
(De Sitges, Catalogne) Sitges. Son église, sa mairie, ses plages, ses façades blanches, sa communauté gay. Depuis le début des années 50, la petite ville de bord de mer catalan jouit d’une réputation d’ouverture d’esprit qui a rameuté beaucoup de marginaux, hippies et homos.
« Franco détestait les gays et les hippies », explique Patrick, un Bordelais exilé à dans la petite ville espagnole depuis douze ans :
« Plutôt que de tous les tuer, il leur a officieusement attribué Sitges et Ibiza, deux villes de Catalogne, qu’il détestait aussi, et leur a foutu la paix tant qu’ils y...
Le réalisateur Jack Tyler prépare un projet pour Canal+. C’est un film qu’il a co-écrit et qu’il co-réalisera avec l’ex-actrice X Nina Roberts. Le film est très atypique et n’a pas vocation à être purement masturbatoire. Le but est également de réaliser une véritable version érotique qui pour une fois ne sera pas la version tronquée du film hard. Il y a de nombreuses scènes de comédie à jouer et à mettre en scène. Les personnages existent et sont contemporains – ça pourrait être vous ou moi. Les scènes de sexe sont à la fois très écrites et très réalistes et ont pour objectif de représenter une sexualité authentique dans le cadre d’une comédie romantique qui aborde les thèmes du ménage à trois, de la bisexualité, de l’engagement dans le couple, du désir et du plaisir.
Or Jack et Nina souhaitent ouvrir leur casting à des femmes qui présenteraient le profil suivant : entre vingt et trente ans, jolie, aimant le sexe, gentiment exhibitionniste, apprentie comédienne ou pas, ouverte d’esprit, sympa, et qui auraient envie de tenter l’expérience et d’incarner un personnage dans un film en ayant des scènes de vrai sexe à jouer, loin de l’abattage gonzo habituel. Si vous êtes intéressée, contactez le Tag Parfait qui transmettra. C’est urgent, le tournage est prévu pour le mois de juin.
MERCI.
Champagne Facials c’est le Tumblr approved by Orson Welles, qui détestait par dessus tout le champagne tiède et les femmes froides.
Tout l’inverse de ces photos de clubeuses américaines ayant une fâcheuse tendance à confondre boite de nuit et salle de bain. Vouant une passion sans limite pour le vin pétillant, ces jeunes filles toujours mignonnes, rarement sobres, boivent goulûment la production de nos amis Rémois.
"Nos régions ont du talent"
Le breuvage est froid sur leur visage on l’imagine chaud dans leur gorge. Faut avaler sinon ça ruisselle entre les seins car malheureusement pour leurs vêtements et heureusement pour nous, le mec qui verse le fluide est aussi attaqué que les cuties qu’il abreuve. Tout cela sous l’objectif malicieux de Kirill, le numéro Uno de la “nightlife photography” in ze USA. Avec une bonne maitrise du timing, il transforme une banale champagne shower en faciale équivoque, de belles photos-souvenir à ressortir le jour du mariage.
Il y a des gens qui en font toujours trop
Golden shower
Ambiance à la Rémoise
Depuis mai 2009 le producteur anglais Benjamin “Ben” Dover est parti en guerre contre le téléchargement illégal (et il semblerait également contre le style et l’élégance propre à son pays natal). Ce chic type s’échine plus à attraper les pirates qui téléchargent ses films qu’à réaliser du bon porno. Il a d’abord envoyé des lettres de demande de dédommagement sans autorisation, du genre “coucou c’est moi le mec qui te fournit ton support masturbatoire. Tu dois me payer sinon j’entame une procédure judiciaire et tout le monde saura que tu aimes le porn.” Heureusement la justice lui mis un stop.
Revenu à la charge en 2011, il perdit un procès contre un internaute qui avait téléchargé illégalement son film Fancy an Indian?. Le juge a bien entendu considéré que l’adresse IP pouvait être hackée, partagée ou fausse.
La jaquette du film en question, allez savoir pourquoi il traine quelqu’un en justice pour un truc pareil, à part le graphiste.
La persévérance Anglaise n’ayant pas plus de limites que la cuisson de leur viande, Ben Dover (quel magnifique jeu de mot soit dit en passant) s’est relancé dans une procédure judiciaire en mars 2012 pour obtenir l’identité des propriétaires de quelques 9 000 adresses IP délinquantes. La justice ayant aussi ses humeurs, Ben Dover a donc récemment obtenu les noms de 9124 fraudeurs abonnés chez O2, le plus gros provider anglais.
Des courriers ne vont pas tarder à être envoyés aux adresses en question, provoquant probablement un beau bordel dans la douce Albion. Si le vrai coupable n’a pas la chance de tomber en premier sur le courrier on imagine bien la tête de Margaret, milf anglaise de bonne famille, qui va avaler son thé de travers en lisant un papelard pareil :
Lettre envoyée par le société pornographique Magma en 2009 à certains pirates français
Lettre envoyée par le société pornographique Magma en 2009 à certains pirates français
Recevoir un courrier de cet acabit c’est du spanking en règle. Une fessée ça fait honte et ça fait mal. En ouvrant l’enveloppe tu retombes en enfance, tu revois le visage sévère de ta mère qui te frappait les fesses pour te punir d’avoir volé des bonbons au supermarché. C’est la honte, alors tu payes ; malaise oblige.
Ces quelques producteurs sans éthique qui profitent de la cubabilité provoquée par le porn et qui font casquer les internautes peu scrupuleux sous prétexte de propriété intellectuelle sont encore peu nombreux. On aimerait tout de même qu’ils essaient de comprendre que le système a changé, et qu’il vaut mieux trouver des solutions que l’affronter.
Baptiser un porno Wasteland alors que son histoire prend place à Los Angeles, ça frôle le génie. Terre de l’abandon, terre de l’abandon de soi. Dès le titre, le nouveau film de Graham Travis (le mec qui a reçu cette année l’AVN Award et le XBIZ Award du meilleur réalisateur pour son Portrait of a Call Girl – qui n’avait hélas pas emballé la rédaction du Tag –, produit par Elegant Angel, sonne comme une belle promesse
Lily Carter (Anna) et Lily LaBeau (Jacky) sont dans le même bateau. Vieilles amies d’école, elles se retrouvent au ♥ de la ville des possibles le temps d’une aventure sexuelle et nocturne. À leurs côtés : Liza Del Sierra, Manuel Ferrara, Xander Corvus, Karlo Karrera, Alec Knight, Eric John, Sarah Shevon, Tiffany Doll et Brian Street Team. Le ton est donné.
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if (jQuery.browser.mozilla) {tempvid=document.getElementsByTagName("video")[0]; jQuery(tempvid).remove(); jQuery("div.video_wrap div").show()} else jQuery("div.video_wrap div object").remove();Derrière la (bonne) caméra, Alex Ladd, le directeur de la photo du précédent Graham Travis. Lumières urbaines et incandescentes, il nous invite autour d’un feu de joie sur le sable californien. Et puis il y a les compositions aériennes de Bruce Carter pour porter ces douces images irréelles. La première partie du trailer fraîchement dévoilé vendrait presque un amour tragique aux faux airs de rêve, un long-métrage indé US, un truc sur-mesure pour Sundance.
C’est un peu long, un peu plan-plan, mais beau (et ce qui est beau m’intrigue). La seconde nous entraîne sur le terrain du latex, des tits et des couleurs pop. Elle se clôt sur une porte en acier obscure qui s’ouvre vers le vide. La poésie du X… Ou la prédiction d’un ennui absolu ?
En DVD et Blu-Ray courant juillet 2012.
Après presque six ans d’existence, la génération Youporn a enfin son hymne, son apologie, une ode à la gloire de ce précurseur qui a su nous gaver à volonté de vidéos pixellisées. Bon encore une fois c’est le brave Brian McKnight qui s’y colle, narmol. Il faut rappeler que Youporn avait déjà essayé d’acheter les droits de sa chanson If You’re Ready to Learn pour en faire leur hymne officiel. Ni une ni deux le vétéran oublié du R&B west coast a sauté sur l’occasion, trop content qu’on se rappelle enfin de lui.
Ça donne un morceau R’n B sans grande prétention, autotuné et opportuniste, mais qui a l’avantage de faire sonner quelques tags qu’on aime bien, comme POV avec HD et d’autres fantaisies. Un coup qui rappelle l’hymne de Megaupload sorti en décembre dernier, qui sonna comme un énorme majeur tendu aux majors. Le casting n’est certes pas comparable, mais l’idée est la même. En espérant que le FBI ne s’en mêle pas.
Matthew Dear est un organisme, il se meut dans la musique électronique en coulant entre les corps, les sons et la matière. Il file entre les oreilles, se répand, repart, s’évapore, réapparaît ; il est partout et nul part, il est la nature. Si nous étions tous aussi évolués que lui, nous pourrions communier ensemble, nos coeurs battraient en rythme sur sa musique, comme des cellules en accord, dans une parfaite harmonie cosmique.
Il est ce qui pouvait arriver de mieux à nos oreilles et il sort son prochain album Beams le 27 août, dont est extrait Her Fantasy. J’ai envie de tous vous serrer fort dans les bras comme en pleine montée de MD. Respirer fort, être heureux. Le mois de juin c’est demain, élu meilleur mois de l’année par de nombreux experts, ouvrez les fenêtres, montez le son, Her Fantasy arrive. On est bien.
Tremblement de terre dans les locaux du Tag quand on a vu le trailer de Pretty.Dirty. En tant que dernière prod de New Sensations on s’attendait à du X-Art lookalike foiré sur la lumière comme à leur malheureuse habitude (à part quelques prods, dont la série Romance, mais la grande majorité reste du gonzo à la chaîne).
Ce nouveau porn, faussement ambitieux, repris par Joymii ou autres HDPassion, c’était beau, c’était soft, et on a aimé pendant un moment. Mais mon Dieu que c’est devenu chiant de regarder une scène où le mec est si doux qu’on a l’impression qu’il flippe de démembrer sa partenaire. Et où cette dernière se trémousse dans toutes les positions sans jamais vraiment se lâcher. Un porn qui retient la tension sans jamais la libérer c’est comme une pizza sans pâte, ça dégouline beaucoup trop pour qu’on en mange.
Bon comme ils ont toujours su trouver des petites débutantes naturelles, pleines de charme candide et de bonne volonté non feinte, on les excuse.
Mais en regardant le trailer de Pretty.Dirty – qui est une sorte de suite à Innocence Of Youth prod sympa sur le papier mais décevante à l’arrivée car on n’est pas des vieux pervs – on s’est demandé deux secondes par quel miracle ils en étaient arrivés à là. Ce court trailer va entrer dans ton cerveau, sans effraction, te faire oublier de rappeler ta copine ou de payer ta facture d’électricité.
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if (jQuery.browser.mozilla) {tempvid=document.getElementsByTagName("video")[0]; jQuery(tempvid).remove(); jQuery("div.video_wrap div").show()} else jQuery("div.video_wrap div object").remove();Ça faisait longtemps qu’on attendait un météore du genre prod hybride à mi-chemin entre le gonzo de qualité – qui te prend aux tripes et qui transpire gras – et le porno édulcoré à la sauce X-Art. L’amour et la violence dont parlait Sebastien Tellier semblent enfin réunis dans ce film d’Eddie Powell, connu pour être une des figures de proue du sentimental porn.
Sous l’oeil de son 7D, les filles sont éblouissantes au naturel, mention spéciale à la petite Jenna J.Ross qui a d’ailleurs le regard le plus explicite de la Terre (on l’a stalkée pendant bien 40 minutes). Apparemment le film a été tourné de façon libre et décomplexée, les acteurs/actrices étaient là pour s’éclater dans l’amour de l’art. Les plans sont proches, c’est vicelard, c’est ce qu’on aime dans le gonzo, ça fait pas dans la dentelle mais ça nous procure des érections spéctaculaires – de celles qui viennent te poker le front. Les protagonistes salissent de sexe animal l’ambiance léchée et trop propre d’une chambre avec dorures au plafond : c’est exactement ce qu’il fallait, salir, dégeulasser toutes ces belles prods barbantes et trop molles, ce porn qui ne voulait pas s’assumer. Quand tu débarques au beau milieu d’un X-art c’est pas pour dire je t’aime avec deux-trois caresses mais bien pour déchaîner l’Enfer de Dante et exorciser cette pulsion sexuelle exacerbée par une réal paradisiaque et fantasmatique.
Natasha Nice nous disait récemment ne se masturber que sur du gonzo, Madame est servie et le champagne offert par la maison.
On trinque à cette prod qui veut changer les choses sans prétendre tout révolutionner, ce gonzo bien filmé, le porno qui tape dans le présent.
La règle 34 de l’internet n’est plus un secret pour vous : « If it exists, there is porn of it », mais connaissez vous la règle 34b ? « If it exists, there is tumblr of it ». Elle n’existe pas en fait, mais elle plane sur les réseaux. Il existe autant de tumblr qu’il y a d’étoiles dans le ciel (no homo). Une idée = un tumblr, dont la durée de vie n’excède rarement que trois semaines.
Le processus est souvent le même, quelqu’un trouve deux images marrantes, se dit qu’il y a un filon à creuser, opte pour The Minimalist Theme, renomme son truc « fuckyeahmichelsapindevantunsapin », laisse mijoter quelques jours, attend que le tumblr tourne sur Twitter, puis jouit de l’explosion de connections ; enfin s’en lasse, et ainsi de suite, jusqu’à laisser internet comme un immense cimetière d’idées avortées. A notre connaissance, il n’existait pas encore à ce jour de tumblr sur le human pony, à ne pas confondre avec le little pony porn, qui est déjà un tout autre concept (no pédo).
L’human pony est une pratique fétichiste qui consiste à se mettre plus ou moins dans la peau d’un poney ou d’un cheval, selon le degré de fascination que l’on a pour l’animal. Ça va de la simple soumission au costume intégral de poney. Ce truc est putain de sérieux, tout autant que l’amour des chevaux dans le coeur des filles, en témoigne cette vidéo de dressage d’human pony :
Sur ce tumblr uniquement dédié à cette pratique, on trouve donc de quoi se satisfaire la rétine dans une incohérence artistique qui fleure bon le tumblr alimenté en random. On passe de la photo très excitante :
Pas facile de s'alimenter avec un mors dans la bouche
à… démerdez-vous avec ça :
Petite balade champêtre
en passant par la photo d’identité de notre nouveau stagiaire :
Belle selle
et à d’autres choses qu’on vous laisse découvrir en open-space avec vos collègues.
Le Richardson Magazine est le bébé sur la culture porn du styliste Andrew Richardson. Le sixième numéro sort en juin avec en couverture la toujours délicieuse Belladonna (shootée par Terry Richardson et interviewée par Andrew Richardson). Le mag est assez cher, il coûte 28 $ (35 $ pour l’édition spéciale avec le poster de la Belladonna si vous le commandez avant le 4 juin – livré la première semaine de juin) mais ça les vaut largement.
Il trônera avec fierté dans votre salon et épatera vos amis, vous pourrez alors disserter sur Belladonna et les battes de base-ball dans le boule, un pas de plus dans le post-porn cautionné par la mode. Le vrai porno-chic.
Retrouvez également Richardson sur internet, sur le bien nommé richardsonmag.com
Voilà bientôt huit ans que je « rewrite » – que je récris si vous préférez – des romans pour une célèbre collection (que nous appellerons ici, pour ne pas nuire à son prestige en en dévoilant les dessous, « H. »), au rythme de trois par mois – deux petits (d’environ 150 pages) et un gros (entre 300 et 350 pages).
(Je préfère ne pas faire le calcul du nombre de pages rewritées en huit ans, ce serait effrayant. Quoique, pourquoi faire sa chochotte ? A peu près 60 000. SOIXANTE MILLE. Une vingtaine de « A la recherche du temps perdu ». Maman !)
L’ennemi du rewriter, c’est...Salut Jean-Paul Brighelli, tout d’abord permets-moi de ne pas te vouvoyer, tu m’as trop énervé – la connerie n’amène pas la politesse. J’étais tranquillement en train de siroter de la bière chaude quand les tweets affolés de nos lecteurs m’ont sorti de ma léthargie alcoolique. Tu passais samedi dernier chez Ruquier, pour défendre ton bouquin “La Société Pornographique”, sorte de pamphlet réac anti-porno, fustigeant le porno en ligne et ses ravages sur les adolescents, auquel tu opposes l’érotisme dont tu te fais le garant (dans tes bouquins sous le pseudo de Florence Dugas). Généralement les tarés dans ton genre, je les laisse pisser, mais je suis allé voir ce que tu racontais à Ruquier et à ses deux mollusques Pulvar et Poloni – dont la culture et la pertinence ont depuis fort longtemps abandonné tout combat dans leur cerveau abruti par l’égo et la médiatisation –, et j’ai fondu un boulon (cf image en une).
Par où commencer ? Tellement de raccourcis, de mensonges et de réflexions du café du commerce, qu’on sait plus où donner de la tête, affolé par tant de conneries déblatérées à la minute. L’industrie porno en ligne pèserait selon toi 200 milliards de dollars par an (délire), la publicité pour le Viagra, des montres ou des sites de poker produiraient du porno (alors qu’ils ne font que se servir de ce support pour se faire de la pub, ce qui est tout autre chose), puis surtout tout le reste. Ces sous-entendus d’un autre âge, réactionnaires, appuyés par la petite tête de chien de Pulvar. Ces triple-pénétrations anales, ce porno russe qui frapperait pour faire saigner qui serait trouvables en un clic par nos chères petites têtes blondes. Le porno-addiction, le porno qui tue, le porno criminel, le porno débile, oh malheur le-porno-sans-scénario-et-sans-texte, le porno partout, celui qui dérange et qui bouffe les plates-bandes de ton érotisme sous-Sadien foireux. Ces propos qu’on en peut plus d’entendre car ils insultent tout le monde à la fois.
Tout ce qui se dégage de ton discours relève uniquement de l’envie de faire parler de toi en jouant les trolls médiatique ; aucun argument n’est avancé, tout ton argumentaire est monté en épingle soutenu par ta morale de type laissé sur le banc de touche de la révolution sexuelle. Ton étude s’arrête à la première page de Google après requête “porno menace”, tu regardes, tu cliques, tu prends des petites notes et c’est tout. Aucune réflexion de fond, pourquoi ? Car tu n’y connais rien, mais à un point qui dépasse l’entendement. Tu n’es qu’un petit pisse-froid moussé aux médias. Obligé de surjouer ta thèse avec des arguments fallacieux pour te faire inviter. C’est ta technique depuis des années, une partie de ta bio Wiki y est d’ailleurs consacrée, preuve de ta belle honnêteté intellectuelle.
Tu vis dans un autre monde Paupaul, ton goitre suant est bloqué dans une faille spatio-temporelle, j’ai pas envie de discuter avec toi, juste de te menacer d’un fusil à pompe entre les deux yeux, te faire danser au rythme des bastos entre les jambes. Tu m’as gavé, je t’insulterais bien pendant 24h nonstop dans un marathon d’écriture, mais tu serais capable d’appeler ton avocat et me mettre la misère, alors je vais éviter.
Non, la jeunesse ne vit pas son déclin, pas plus que la société actuelle est décadente, rien ne bouge, ce ne sont pas des coïts sur écran qui vont changer quoi que ce soit dans le cerveau des gens. J’étais parti pour reprendre point par point tes mensonges mais à quoi bon t’accorder de l’importance ? Les gens qui passent par ici n’en ont pas besoin, ils savent, tout comme le public de Ruquier qui était bien emmerdé face à sa nécessité de réserve.
Jean-Paul Brighelli, retourne donc dans ton passé où tu étais si bien, où “l’érotisme se lisait et se faisait”, enfin reste loin de nous, prends des vacances, pars faire chier d’autres gens, la France n’a pas besoin de toi.
La plupart des gens vont sur internet pour regarder du porn ou des LOLcats. On se demande pourquoi personne n’avait jamais pensé à réunir les deux avant : Indifferent cats in amateur porn
Le créateur de ce Tumblr a dû un jour tomber de sa chaise, en plein milieu de sa branlette, terrasé de rire par l’apparition sur l’écran d’un matou au regard accusateur et dedaigneux, convaincu qu’il pèse dix fois plus que toi.
Il a d’ailleurs précisé:
Ce n’est pas facile (de trouver des vidéos pour le tumblr), parce que tu ne peux pas chercher des chats dans le porno, tu tombes juste dessus par hasard
On a vérifié, le tag “cat” renvoie à tout sauf des chats, dont à une sorte de bukkake avec un type tellement dégueulasse qu’il aurait le droit à son article au mauvais fappeur. Bref, le créateur de ce tumblr a donc tout notre respect.
On en conclut aussi que ces foutus boules de poils nous tiennent par les couilles. En plus d’être les patrons de l’internet mondial, ils se permettent maintenant de s’asseoir juste à coté de nous alors qu’on a enfin réussi à convaincre notre copine de se filmer. Le pire c’est qu’ils ne semblent même pas calculer ce qu’il se passe, de toute facon ils sont au-dessus de tout ça ou alors ils pratiquent le photobomb avec un flegme royal.
Quand on vous a annoncé qu’on ouvrait notre ligne éditoriale, on vous a parlé de la représentation du corps dans la société – quoi de plus logique que de parler du canadien Rick Genest ? Aussi appelé Zombie Boy, ce jeune homme de 26 ans affiche une surface corporelle tapissée de 176 insectes et 138 os, afin de reconstituer un corps en putréfaction. Mannequin pour Thierry Mugler ou Lady Gaga, passant des défilés de mode aux expositions, de la pub aux performances dans son freak show, Zombie Boy parcoure la planète pour exhiber son corps.
Tracks est allée à sa rencontre lors de son passage à Paris, pour un petit tour dans les catacombes. Il en a profité pour leur présenter ses potes superhéros :
- Le vétéran du Vietnam Ron Kovic et activiste anti-guerre, dont la biographie Né Un 4 Juillet fut adaptée au cinéma par Olivier Stone en 1989.
- Les « hommes beignets » (BagelHead), ces mutants japonais qui modifient leur visage à coup d’injections salines.
- Le superhéros du ring « Flesh Gordon« , à 58 ans il est le français le plus connu du catch européen.
Retrouvez Zombie Boy dans Tracks pour une émission spéciale Superhéros, samedi à 23h30 sur Arte puis sur Arte +7
Y’a encore un mec en sortant du lit qui s’est dit : “tiens et si je revolutionnais le porn ?”. Sauf que cette fois-ci le brave type est philosophe.
Notre dude est Suisse et se nomme Alain de Botton (à ne pas confondre avec notre Alain francais, qui lui n’a sûrement jamais vu un boulard de sa vie). Son crédo est honorable : il souhaite utiliser sa connaissance exquise de la nature humaine pour créer un porno plus sain et plus approprié à nos besoins.
De Botton part d’un postulat classique : “Si nous avons atteint le point de saturation du porno et qu’il est partout, on fait quoi après ?” Il arrive alors dans le porn game sans faire toc toc toc avec une idée toute fraîche sous le coude : “Il nous faut un porno qui ne force pas le spectateur à laisser derrière lui sa morale, son éthique, son sens de l’esthétique et surtout son intelligence.”… Anéfé.
Attends Alain, t’es en train de dire que nous sommes des animaux?
S’il pouvait répondre, ce cher De Botton nous dirait certainement : “Mais non brave terrien, ce que je veux dire c’est que l’industrie du X exploite simplement ton désir primaire et qu’une fois le travail accompli, il te laisse seulement avec une petite lichette de gratification sexuelle.“
Ah Alain (de Suisse) je suis soulagé. Mais que faire alors?
“Je proposerais un site porno qui aurait une approche plus intellectuelle sur la question, avec des sentiments, de la gentillesse…” Bon super mais on va s’arrêter là. Ce type de Porn existe dejà Alain, et tourne plutôt bien malgré qu’il soit un peu chiant. Tu balances que le porn est simplement une succession d’images sexuelles, que Lexi Belle trouve un mec, se jette sur lui, le baise pendant 30 minutes et le fait cracher. La scène est balancée sur le net et les mecs vont la mater comme on regarde une pub pour CVA Direct ?
Non sérieusement, on n’a pas besoin qu’un soldat suisse armé de sa prose et de sa supposée connaissance de l’espèce humaine vienne nous sauver des griffes de l’industrie pornographique. Le X n’est pas ta Terre Sainte Alain, abandonne ta croisade.
Un intellectuel assis...
Tu veux du porn avec des acteurs intelligents, qui dissertent avant la péné pour savoir par quelle position ils vont commencer ? Et tu veux des sentiments ? On tient quand même à te rappeler cet extrait de ton livre Le plaisir de souffrir :
L’amour a le pouvoir de transformer des individus ordinairement posés et sensés en paranoïaques obsédés par des pensées calamiteuses et millénaires.
Nous, on voulait juste (on n’a pas lu ton livre hein) te rappeler cette petite contradiction. Si l’amour est aussi dangereux que tu le laisses entendre, pourquoi vouloir en injecter dans le porn ? Au vu du nombre hallucinant de ses consommateurs par jour, tu cherches vraiment la merde Alain. L’amour, nous on le donne déjà assez. On le donne aux femmes et aux actrices qu’on préfère, partout : du mur jusqu’à nos mamans.
Présenté à Cannes il y a peu, ce court-métrage de Jean-Baptiste Saurel pourrait bien vous calmer à coup de bifle dans la tronche.
Le réalisateur y raconte le lien complexe entre un homme et son zgeg dans un scénario déjanté mais judicieux. Le héros, propriétaire d’un video club, est confronté au nouveau fantasme de son employée et accessoirement élue de son coeur : se faire bifler. Violemment. Ou du moins assez fort pour avoir un orgasme (Dieu seul sait comment, on a essayé pendant des heures, rien à faire) sans non plus se faire casser la mâchoire ou les pommettes.
Seul problème, elle veut se faire bifler par Ti-Kong, l’acteur le plus référencé du video club.
TI-Kong, c’est d’abord un expert en arts martiaux, mais aussi l’heureux propriétaire d’un bon mètre de viande avec lequel il s’applique consciencieusement à casser des piles de briques ou des planches de bois pour s’échauffer avant les tournages.
Si Chuck Norris se met au porn, ça devrait ressembler à cela.
Ti-Kong, c’est le Bruce Lee de la bifle capable de te décapiter un boeuf d’un coup de chibre. A chaque apparition, les actrices ont la frousse et voient leur vie défiler, le cameraman reste en retrait, planqué sous son casque avec une grille de protection.
Comme on n’a pas grand chose à faire à Cannes – même si on est un peu jaloux de ne pas pouvoir se la coller sévèrement comme nos camarades du blog jeu et autres crevards aux bracelets vissés aux poignets – on ne l’a évidemment pas vu, mais ces extraits donnent envie. Si ce court garde le même ton, il a le potentiel pour devenir culte, alors on va miser dessus.
La réalisatrice Serbe Maja Milos filme la jeunesse de son pays d’un regard sévère et objectif. La vie intime de l’héroïne, jouée par la ravissante Isidora Simijonovic, est filmée sans artifice.
Elle découvre la drogue, le sexe et la vie, dans une société pauvre et obsolète, loin de ses idéaux. Maja Milos montre ici dans son premier film Clip : le chaos sentimental, l’énergie sexuelle et la distance avec la réalité d’une génération en marge du reste de son pays par une mise en scène dynamique. En ressort un film original d’une beauté brute et honnête, l’histoire de la désillusion adolescente.
Voici le trailer :
Enfin, ce très court extrait, d’un profond érotisme.
Outre-Atlantique tous les moyens sont bons pour faire de l’argent, et les américains n’ont pas peur du paradoxe : le Christian Porn est le nouvel oxymore à la mode. Derrière cette invention marketing, un petit génie (religieux ou non) a eu l’idée de concilier le respect de la parole de Dieu avec l’industrie porno, bête noire des ecclésiastiques américains et des associations religieuses.
Le “Christian Porn” a pour vocation de toucher les quelques 76% d’américains chrétiens, et tous les moyens sont bons.
Certains sites comme sexinchrist.com prouvent par A+B que l’anal, la masturbation, les threesomes et le bondage ne sont pas les “pratiques démoniaques” décrites par le passé. Alleluia, nous irons finalement au Paradis.
Et pour que la vie sur terre soit plus agréable avant de monter au ciel, on nous propose aussi des sextoys, des produits d’hygiène, tous garantis en accord avec les préceptes divins.
Quelques idealistes font également des films dont la seule vocation est de montrer l’acte de procréation, tel un reportage d’Arte sur la reproduction des bonobos. Et cela va de soi, les protagonistes ne sont pas acteurs mais mari et femme par la Grâce de Dieu et l’amour qui les unit.
Du “Christ centered porn” en somme.
(A noter d’ailleurs que les films de Christian porn sont des threesomes, Dieu est toujours de la partie)
Il en ressort une forte impression d’hypocrisie : qui entre Dieu et le roi Dollar est à l’oeuvre et guide les mains des braves, partis en croisade pour sauver la vie sexuelle de centaines de milliers de pratiquants désireux de s’éclater au lit sans sentir le regard inquisiteur et réprobateur du Saint père, une bible toujours posée sur la table de nuit ?
C’est dire que le doute est bien présent, les sextoys mis en vente ne sont pas labellisés “Made in Vatican” ou “approuvés par le Pasteur George”, et n’ont pas été trempés dans de l’eau bénite.
Et c’est bien dommage.
Cela fait plus de dix ans qu’Ice-T est marié avec Coco, une sorte de fausse babe ridicule qui met le malaise dans le coeur des fans de Thé glacé. En plus de ne rien sortir d’écoutable depuis un temps qui commence serieusement à être long (contrairement à son comparse Ice-Cube-le-Glaçon), on est obligé de se coltiner les photos ridicules de ces deux tourtereaux à la vulgarité tendue, I got 99 problems and your bitch is one.
Ice M.F.T
OG : Original Gangsta
Ubisoft a eu la mauvaise idée de demander à Coco d’apparaître dans une des vidéos promo de son prochain jeu de tir tactique Tom Clancy’s Ghost Recon: Future Soldier, qui sort jeudi chez nous. On y voit cette princesse du bon goût nous expliquer pourquoi ce jeu défonce et comment elle est super agressive, alternant partie de Kinect en string et tir réel avec des armes de guerre qui montrent qu’elle est bien la meuf d’Ice-T cet OG : Original Gangsta.
C’est tout aussi crédible que si je venais vous parler de gaming (oh wait !), et les fans ne se font pas avoir, il pleut des pouces rouges, le sol de Youtube ressemble au couloir de Shining quand ça commence à sérieusement déconner dans la baraque. Il ne suffit pas de mettre des obus siliconés et un violent bouli (qui ne se tient même pas) pour faire bander les geeks, ces types ont autre chose à faire que de se pignoler sur une fille sortie tout droit de Jersey Shore.
A quoi ressemble la vie sexuelle des homos ? Pour arrêter de croire que deux filles ne font que s’embrasser, deux mecs que se pénétrer, quatre homos passent leur sexualité au rayon X de notre partenaire StreetPress.
Ta première fois ?
J’avais 17 ans, nous étions chez ma copine. Je lui avais menti, je lui avais fait croire que j’avais de l’expérience. Elle s’est vite rendue compte que non… J’avais peur de la décevoir alors c’était pas top. Depuis, je n’ai couché qu’avec des femmes. Mais la première de mes premières fois, c’était avec un...
Le webzine sur l’art Boum! Bang! expose Adrien Patout et Tristan Blondeau du 17 au 27 mai 2012 à la Galerie Le Chapon Rouge à Paris dans le 3e. Si vous êtes dans le secteur demain, et non à Cannes ou en train de faire le pont sur la côte (le temps sera à chier, on préfère vous prévenir), vous feriez mieux d’y passer.
On y verra les sculptures hallucinantes de Tristan Blondeau :
Et les toiles et dessins d’Adrien Patout :
© Adrien Patout, Random suicide girl, 2011, acrylic on canvas, 100 x 100 cm
© Adrien Patout, Sarah, 2011, mine de plomb sur papier, A4.
© Adrien Patout, Alice in Wonderland, 2012, charcoal, pencil & stabilo on paper, A4.
© Adrien Patout, Connie Culp (head shotgun from her husband), 2011, charcoal & stabilo on paper, A2.
Vernissage animé et ouvert à tous le jeudi 17 mai 2012 de 17h30 à 21h30 qui alliera :
• Adrien Patout customisera des slips et peindra sur un mannequin devant la galerie => si vous êtes tatoué(e), envoyez lui une photo de votre tatouage à adrien.patout@gmail.com et il le dessinera sur le mannequin
• Animations vidéo
• Musique live: Dj set GOLDEN BEAM
C’est la nouvelle du jour, Céline Bara, actrice porno vivant à Bélesta (dans l’Ariège), est candidate aux législatives dans la première circonscription. On pourrait en rester là – d’ailleurs on comptait pas vous en parler car le fait de savoir qu’une candidate est actrice porno, nous émeut autant que de savoir qu’elle est avocate ou boulangère – mais son programme nous a interpellé.
Céline Bara a fondé en 2011 avec son mari (et cousin), un parti d’extrême gauche qui s’appelle le MAL (Mouvement Antithéiste et Libertin), un fourre-tout antithésiste qui se veut être une réponse libertaire à l’extrême-gauche devenue, selon eux, trop molle.
« L’idée-force c’est de lutter contre le capitalisme et le Lepénisme qui grossit dans nos campagnes ariégeoises. Je suis d’extrême gauche. Y a plus de vrai communisme ! Et Mélenchon ? Trop mou du genou ! Avec Cyrille, mon suppléant, on veut faire bouger les politiques, les remuer ! » raconte-elle à la Dépêche.
Pour faire parler d’elle, Céline Bara nous sort le plan com favori des gens qui n’arrivent pas à se faire entendre, en jouant sur son métier sulfureux, plus précisément sur le fait que son métier dérangerait les gens. Ça marche, la presse s’en fait largement écho avec tout de même un ton neutre qui trahit un certain malaise. Vous allez comprendre pourquoi, mais laissons d’abord Céline s’exprimer :
« Qu’est-ce qui est plus obscène, ma candidature ou le chômage de jeunes à Lavelanet ou dans nos villages ? Ma candidature ou la fermeture des bureaux de poste en milieu rural ? Ma candidature ou la fermeture des cabinets médicaux ou le refus par la population d’aller consulter un nouveau toubib parce qu’il est Roumain ? Ma candidature ou celle de celles et ceux qui considèrent que la politique n’est qu’une question de lignée, d’héritage ? Je pose la question. »
Bien sûr, elle se défend d’un coup de pub, nous on pense surtout qu’elle joue les victimes pour faire parler d’elle. Comme on est curieux, on est allé jeter un oeil au programme du Mal. Accrochez-vos ceintures, ça va tanguer.
Si on se réfère aux grandes lignes, on aurait tendance à les suivre sur pas mal de points : « Le MAL a pour objet de rassembler les personnes athées et antithéistes, de défendre les libertés individuelles des citoyens, les droits des membres de la communauté LGBT (lesbienne, gay, bi et transexuel), le droit à la différence, le droit à une liberté sexuelle absolue ainsi que le principe d’égalité entre les races et les sexes ». Mais, allons un peu plus loin dans les détails, florilège :
Le MAL demande que la peine de mort soit rétablie mais comme peine de substitution aux longues condamnations et uniquement sur demande du condamné.
Le MAL demande que la conquête spatiale soit décrété priorité absolue et que tous les budgets non destinés au bien être des citoyens soient redéployés vers l’aérospatiale.
Le MAL demande la suppression des commémorations militaires de la première et deuxième guerre mondiale.
Le MAL demande l’interdiction d’exercer pour toutes les sectes, religions, voyants, magnétiseurs et autres charlatans.
Le MAL demande la dissolution de ‘l’éducation nationale’ et la création de « la culture nationale ».
Le MAL demande la nationalisation des établissements d’enseignement privé.
Le MAL demande la limitation des naissances et la suppression de toute aide au delà du premier enfant. La politique de l’enfant unique sera promulgué et expliquer afin de faire comprendre à tous l’importance de moins se reproduire pour privilégier la qualité de vie et l’éducation de l’enfant.
Le MAL demande la stérilisation à la naissance des handicapés mentaux et physiques.
Le MAL demande l’interdiction des dialectes, patois et autres langues régionales et le renforcement de la langue Française comme seule et unique langue nationale.
Le MAL demande l’interdiction de la mention BIO sur les aliments.
Le MAL demande l’interdiction absolue pour les forces de police d’utiliser des armes à feu.
On pourrait continuer longtemps comme ça, la liste est longue. Ce qui dérange les gens ce n’est pas tant le porno, mais plus les idées de ce parti politique et la violence sous-jacente de ce couple atypique : condamné dans le passé à quatre ans de prison, dont deux fermes, pour agression avec préméditation sur ce pauvre HPG.
Bonne ambiance.
Bérénice Bejo, maîtresse de cérémonie à Cannes, a répondu à la polémique sur Cannes et les femmes ce mercredi matin sur France Inter. Le collectif féministe La Barbe a reproché au Festival de n’avoir sélectionné aucune femme cette année.
Mais pour l’actrice de « The Artist », « la polémique est injuste » :
« Il y a eu beaucoup de femmes qui ont été sélectionnées l’année dernière à Cannes, comme Maïwenn et Valérie Donzelli. On en a beaucoup parlé. Elles ont gagné des prix, elles ont eu une reconnaissance incroyable. »
Sur son rôle de maîtresse de cérémonie, elle affirme...
Dans le monde de W9 et M6, on ne peut pas être à la fois beau et aimable (ça serait trop injuste) : les candidats de la « Belle et ses princes (presque) charmants » doivent choisir « entre la beauté du cœur et la beauté du corps ». Et répondre à une interrogation cruciale :
« La beauté intérieure triomphera-t-elle du physique ? »
Sandro, coiffure de kéké, torse bombé, bodybuildé et autobronzé, est l’un des candidats de l’émission diffusée tous les mardis soirs sur W9 et rediffusée le jeudi sur M6 :
« Je suis comme un papier tue-mouche, toutes les filles qui sont autour...
Rebecca Topakian est étudiante en photo à l’ENS Louis Lumière. Dans le cadre de ses cours elle a réalisé un reportage sur le milieu porno. C’est son amie Judy Minx qui l’a introduite chez John B Root, d’où sont extraits ces premières photos avec Ian Scott, Nikita Bellucci et Mike Angelo. Voici le pitch de son projet :
« Le but est de saisir les moments d’entre deux, dans les visages, les attitudes ou les morceaux de corps qui échappent à la caméra et à la conscience. »
Son travail continue, si vous êtes réa, contactez-la.
Copyright © Rebecca Topakian - Tous droits réservés
Un matin, tu t’assoies sur une rive à mater le fleuve du Temps qui passe, et tant de choses ont putain de changé. Regarde, voilà Rocco, le grand Rocco Siffredi, qui dérive sur un rondin. Vieux beau toujours fringuant dans l’âme, quelques kilos supplémentaires chopés à force de gober les saumons qui passaient par là. Il passe sous tes yeux, juste le temps de raconter sa dernière (més)aventure. C’était en Tchéquie, pays de luxure fait de Pilsner et de pipi sur ta soeur. Alors forcément, quand s’y immisce un semblant de tendresse, les yeux s’ouvrent ronds comme l’orée d’un gapping. D’autant plus quand la vidéo vient d’eFukt, temple des bloopers crades, du erk et du eeew en cascade.
L’histoire que narre Rocco est à l’image de son quotidien : une fille vient pour tourner un porn, possède un corps somptuaire à rendre folles les Bacchanales, et ne parle pas un mot anglais. Mais tout de même suffisamment pour comprendre ce que lui propose Rocco, et poliment refuser le bac « anal » option « facial ». Problème, la belle enfant n’a pas pensé à dire non au coït énergique… Et la voilà qui se retrouve en levrette sous les coups de butoir d’un Rocco qui n’aura pas perdu la main claquante.
On vous laisse découvrir la suite et pousser un « aaaaaaw » de soulagement. Tous les smileys :3 et les inférieur-trois sont acceptés dans vos coeurs attendris (et si ça ne vous suffit pas, eFukt avait aussi commis ça)
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if (jQuery.browser.mozilla) {tempvid=document.getElementsByTagName("video")[0]; jQuery(tempvid).remove(); jQuery("div.video_wrap div").show()} else jQuery("div.video_wrap div object").remove();Voici vingt conclusions tirées de recherches scientifiques :
Engagé depuis longtemps dans la vie militante et culturelle gay, Hervé Latapie est l’auteur de « Génération trithérapie ». Il se présente comme un « vieux séroneg’ » et a recueilli des témoignages de jeunes gays pour comprendre certains chiffres. En France, si le nombre d’hétérosexuels contaminés baisse, il augmente chez les homosexuels. Alors qu’ils étaient moins de 2 000 à se découvrir séropositifs en 2003, ils sont 2 500 en 2010.
Pour Hervé Latapie, ces chiffres prouvent bien qu’il y a un problème spécifique chez les homosexuels :
« Pourquoi ? Parce que les homosexuels ont...
Seth Troxler (second meilleur dj au monde d’après l’influent Resident Advisor) est fou, sa musique pue la drogue à deux mille kilomètres, le type est tellement perché que la simple évocation de son nom suffit à avoir des remontées de kéta même si on n’en a jamais pris. Mais voilà, Seth est peut-être allé un peu trop loin dans la dope et a décidé en janvier dernier de se barrer pour l’Australie pour suivre une cure de détox à base de jus de fruits et reconnecter avec sa fiancé. On pouvait suivre son parcours du combattant sur son facebook, alternant entre euphorie et désespoir :
Ça c’était pour l’anecdote, car imaginer Seth Troxler se péter la tête aux jus de fruits est assez drôle. On aurait pu croire que le gaillard allait revenir avec de la musique lounge et une fin de carrière, sauf que ces cocktails ont agi sur son cerveau comme la plus méchante des dopes, voici les premiers symptômes.
Cette espèce de flyer improbable pour annoncer son grand retour sur Twitter et hier, l’envoi sur son Soundcloud de ce titre du Suisse Mirko Loko en feat avec Jaw. Une sorte de deep house (difficile de mettre une étiquette sur ce track) complètement foncedée et sale avec des paroles obscènes, ça donne envie de dévaliser une usine Tropicana et se siffler tout ça dans la backroom d’un club suant pendant un set de Seth.
L’été arrive, plongez dans le stupre et les jus de fruits.
[EDIT] Pas évident de l’avoir en streaming, Seth en a carrément supprimé son Soundcloud pendant une remontée de Vitamine C. Comme vous êtes gentils, vous allez donc l’acheter sur BeatPort.
En me réveillant hier matin, les yeux encore brouillés, une série de tweets de Terry Richardson attire mon attention. Autant vous dire tout de suite que ça faisait bien longtemps que je ne faisais plus très gaffe à ce qu’il racontait. Terry est là dans ma timeline comme une vieille armoire de famille un peu désuette que je devrais conserver pour je ne sais quelle raison. Mais hier matin, le photographe New-Yorkais poste sur son blog des photos de ma meuf : Rihanna ; forcément en petit ami concerné je me devais d’aller voir le résultat.
En 2007, il l’avait déjà shootée pour GQ – une série en couleur un peu kinky dans une chambre d’hôtel, ça m’avait rendu un peu jaloux, mais j’avais tenu le choc. Cette fois-ci c’est en studio, seule et en noir et blanc que la chanteuse s’est faite photographier. Je vous conseille de bien rester tranquille et de garder vos deux mains sur la table.
La série ici.
C’est à moitié officiel : on est sauvé. La Bible des psychiatres américains, la Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders propose dans l’annexe de sa nouvelle version de retrograder l’hypersexualité (aussi appelée sexualité compulsive, aucune blague sur DSK ne sera tolérée dans les commentaires) de la liste des addictions. Ils recommandent de faire des études plus poussées sur le sujet – autrement dit – qu’on leur lâche un peu la bite avec ces questions de dépendance sexuelle.
Comment définir l’hypersexualité ? Où se situe la normalité dans le sexe ? Trois nuits par semaine ? On n’a pas la réponse, on se contente de jouir quand ça nous plaît, le code pénal est assez formel la dessus : c’est okay du moment que tout le monde est d’accord.
On est toujours un peu étonné quand on entend parler de jeunes accros au porn, souffrent-ils aussi d’hypersexualité, touchent-ils de la blanche de qualité, sont-ils satisfaits de tout le porn qu’ils voient, passent-ils 95% de leur temps de fap à râler que le porn sur les tubes c’est de la merde ? Personnellement ça me dérangerait pas de baiser ou de me toucher toute la journée si j’étais rentier, mais comme c’est pas au programme des prochaines années, je fais avec ce que j’ai. Je doute surtout que ça fasse de moi un satyriasis, mais plutôt un hédoniste – question de point de vue.
Salut c'est Freud, ASV ?
Pour être hypersexuel(le), c’est scientifique il faut cocher quatre de ces cinq critères sur une période de six mois :
1 – Tu passes trop de temps à planifier ta vie autour du sexe, tes fantasmes chelous et tes envies pressantes.
2 – Quand t’es en bad (anxiété, dépression, irritabilité), la meilleure réponse que t’as trouvé pour oublier ta vie de merde c’est de baiser.
3 – Quand t’es stressé, tu préfères toujour régler ça au lit ou devant un porn, que de faire de la méditation devant Très Chasse.
4 – T’essayes de contrôler tes pulsions sexuelles mais c’est plus compliqué que d’arrêter de livetweeter le prime de The Voice.
5 – T’as tellement envie de baiser tout ce qui passe comme un bonobo que tu zappes les conséquences physiques et morales que ça peut avoir sur les autres.
Hormis le point #5 qu’on peut qualifier de point teubé, le reste semble assez honnête. Tout dépend de ce qu’on nous propose comme solution, si c’est faire une thérapie de groupe et pécho quelques 06 au passage ou si c’est être enfermé sous lexo avec des moufles à regarder cette bouse de Choke…
Ça va fais pas la gueule
Article largement inspiré de celui de Gawker, à qui on laisse le mot de la fin :
If hypersexuality doesn’t make the cut, this means bloggers still in the clear to make tasteless jokes at sex addicts’ expense, right? Haw haw, go drown your sorrow with life-ruining amounts of porn and prostitutes. Tiger Woods.
Passeport Canada examine sa politique sur le sexe indiqué sur le document
officiel de voyage, dans la foulée de changements apportés en Australie l'automne dernier. Selon les nouvelles règles australiennes, les personnes transgenres peuvent y choisir
le sexe de leur choix sans avoir subi de chirurgie au préalable. source : source : La Presse (Canada), 7 mai 2012
Les personnes intersexes, dont l'anatomie ne permet pas de les identifier formellement à un sexe ou à un autre, ou qui ne se
reconnaissent ni comme un homme ni comme une femme peuvent y faire inscrire un X, à condition de fournir un billet du médecin.
Au Canada, une personne transgenre ne peut en principe faire inscrire sur son passeport un sexe autre que son sexe biologique sans subir de chirurgie. Et seules les lettres «H» (pour homme) et «F» (pour femme) sont indiquées.
Mais les choses pourraient changer. «La politique de Passeport Canada en ce qui concerne le genre indiqué sur les passeports fait l'objet d'un examen», peut-on lire dans une note d'information obtenue par La Presse en vertu de la Loi sur l'accès à l'information.
Une porte-parole de Passeport Canada nous a confirmé que cet examen était en cours.
Au Québec aussi?
Par ailleurs, le gouvernement du Québec pourrait lui aussi étudier la possibilité d'assouplir ses règles en ce qui a trait aux personnes transgenres.
Les règles de la province prévoient en effet que seules les personnes qui ont subi une chirurgie peuvent officiellement changer de sexe dans les registres civils.
«Nous envisageons d'analyser prochainement la question reliée à la modification de genre sur l'acte de naissance quant aux personnes n'ayant pas subi d'opération chirurgicale», a confirmé dans un courriel envoyé à La Presse l'attaché de presse du ministre Fournier, David Couturier.
«Nous n'avons pas attendu que cet enjeu soit judiciarisé, a-t-il ajouté. Le ministre est très sensible à la question.»
Questions litigieuses
Dans une décision rendue il y a quelques semaines, le Tribunal des droits de la personne de l'Ontario a décrété que d'obliger une personne à subir une opération de changement de sexe pour pouvoir modifier son acte de naissance était discriminatoire.
Une autre controverse liée aux personnes transgenres avait aussi fait surface il y a quelques mois à Ottawa. Selon de nouvelles règles fédérales, les compagnies d'aviation ne peuvent plus admettre à bord d'un appareil un passager dont l'apparence n'est pas conforme au sexe indiqué sur ses pièces d'identité.
Aucun cas d'interdiction de voyager n'a été signalé depuis ce changement réglementaire. Le gouvernement insiste de plus pour dire qu'une personne visée pourrait être admise à bord si elle présente un billet du médecin.
Des membres et groupes de la communauté transgenre continuent néanmoins à dénoncer ces changements et estiment que le dossier n'est pas réglé.
«Heureux»
Julie-Maude Beauchesne, porte-parole du Conseil québécois des gais et lesbiennes, applaudit toutefois la nouvelle d'un examen en cours à Passeport Canada. «On est heureux que le gouvernement bouge là-dessus. Le passeport, c'est problématique justement pour les personnes qui sont en transition. Et surtout pour les personnes en transition qui ont besoin de voyager pour leur travail ou même des vacances.»
La note d'information destinée au ministre des Affaires étrangères, John Baird, trace les grandes lignes des changements apportés en Australie et dresse un portrait de la situation au Canada.
Les auteurs rappellent que la responsabilité de Passeport Canada n'est pas d'identifier le sexe d'un demandeur de passeport, mais de vérifier leur identité (incluant leur sexe) à partir de pièces d'identité reconnues.
«Passeport Canada ne considérera l'impression d'un sexe autre que celui inscrit sur les preuves documentaires de citoyenneté que lorsqu'un demandeur a subi
une chirurgie de réassignation de sexe ou qu'il s'apprête à le faire», peut-on lire.
http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/national/201205/06/01-4522597-vers-un-troisieme-sexe-sur-les-passeports-canadiens.php
C’est le trailer du mois selon nos confrères d’Xcritic qui pètent sensiblement un câble à l’érectophone. Tom Byron sort le second volet de son désormais fameux « This Is Why I’m Hot » dont le casting calme pas mal : Jynx Maze, Lily Carter, Jessie Andrews et Samantha Saint. Le concept est inchangé : un triptyque où se croise documentaire (les raisons pour lesquelles elles aiment baiser), clips (ceux qu’on voit dans le trailer) et porno – le tout réalisé par le talentueux Ivan.
La partie documentaire pourra peut-être vous intéresser, même si on apprend rien de fou et qu’entre nous savoir que telle actrice adooôôôôôoore squirter jusqu’au plafond ou prendre cher dans le boule, on s’en cogne pas mal. On vous conseille plutôt d’aller écouter à la place – si l’anglais ne vous rebute pas – les podcasts d’Elegant Angel. Les clips qui suivent le doc sont plaisants et sont à l’image du taff d’Ivan, mais c’est le porn qui nous intéresse le plus ici.
Tom Byron pousse son gonzo dans ses retranchements et ne s’embête même plus de décor et encore moins de contextualisation. A la manière d’un Jay Sin (Evil Angel), il annule complètement la notion d’espace : fond blanc, support recouvert d’un drap blanc, lumière crue. Les corps, uniquement les corps avec comme unique vêtement leur sueur (et un peu de maquillage vulgos, mais c’est le petit style du genre…) et parfois un toy. Ça donne un résultat assez étrange comme du porno sous cloche où la performance serait l’unique angle d’attention.
Qu’est-ce qui est excitant, un corps ou un corps dans un contexte ? Est-ce que le porn actuel se résume à des filles qui dansent puis qui baisent sans aucun autre artifice ? Tout comme les derniers Elegant Angel qui se répètent à l’infinie, ce dernier Tom Byron nous laisse un peu perplexe. Avoir un beau casting ne suffit pas à faire un bon porno, et le T.I.C. (Tension-Immersion-Contextualisation) qui est notre échelle de Richter personnel affiche avec This Is Why I’m Hot 2 un zéro pointé.
Dommage, on retourne écouter son homonyme rappé par MIMS
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if (jQuery.browser.mozilla) {tempvid=document.getElementsByTagName("video")[0]; jQuery(tempvid).remove(); jQuery("div.video_wrap div").show()} else jQuery("div.video_wrap div object").remove();Vous allez nous dire : encore un tumblr vous faites c…. puis vous allez vous mettre à la suivre car il est cool. Fuck Like A Hipster (Party Like A Rockstar) propose sa sélection de gifs et de photos sous l’angle (mal)honnête de la hipsterisation des masses (vintage, doux, éthéré…). Le mot est un peu galvaudé mais c’est pour faire plus simple, et leur catchline assure donc on leur en veut pas trop, en plus ils ne tombent pas dans le cliché lourdingue d’Instagram ou d’Hipstamatic,
Le porn est glamour, suffit juste de lui trouver le bon angle, alors si on doit passer par quelques filtres surexploités depuis quelques années pour rendre un cum shot sensuel – pourquoi pas. Ce qui est raconté à travers ce tumblr c’est que baiser comme une pornstar c’est être branché et donc agir comme une rock star, ça change pas mal des conneries qu’on entend à longueur d’articles sur le sujet. On valide, baisons mieux, baisons bien, prenons-nous pour des pornstars pour combattre l’austérité ambiante.
Malgré la mauvaise blague que nous joue le printemps, l’été approche à grand pas et avec lui son hypothétique summer of love – cette année on veut y croire plus que les autres. Les corps seront le terrain de mille aventures, il n’y aura plus de tabou, plus de réflexion, le sperme éteindra les incendies et on s’abandonnera dans le stupre comme on plonge délicieusement dans une piscine.
Vous l’aurez lu ici en premier.
Dans l’imaginaire collectif, le mot « libertin » est très souvent associé à une image aristo’ ou bourgeoise. Une idée qui vient des boudoirs et des salons français du XVIIIe siècle, où les aristocrates expérimentaient leur pouvoir de séduction.
Cette pratique codifiée était réservée aux gens de cour, comme l’explique l’historienne Arlette Farge. Dans son dernier livre, « Un ruban et des larmes », elle retrace le procès en adultère d’une femme d’artisan, accusée à tort de mœurs libertines :
« Bien sûr, on pratique aussi l’adultère au sein des classes populaires, mais le vrai...
Ce sont les mots qu’on scotche dans l’ascenseur, ceux qu’on placarde sur une porte ou ceux qu’on dessine... Il y a peu, ma collègue Aurélie Champagne, qui s’occupe de Rue89 Culture, et Olivier Volpi, qui collabore avec elle sur le blog Chez Francis, ont lancé un tumblr génial : « Chers voisins ». Ils collectionnaient depuis longtemps ces petits mots loufoques de voisins et ont décidé de les regrouper.
En les lisant, c’est la vie qui défile. Le lien social d’un immeuble qui s’expose. Parfois, il y a des mots émouvants :
« Régine est décédée dans la nuit du 6 ou 7 juillet. »
Ou des...
Stoya est la raison d’être de ce site, mon icône, ma femme, ma maîtresse, mon but, ma suprême ; et ce dernier post sur le blog de James Deen couplé au What We All Want de Gang of Four (« Could I be happy with something else, I need something to fill my time ») m’ont redonné foi au porn. L’amour existe, il est dans ces deux mains qui s’accrochent et se parlent ; dans ce regard et ce sourire gêné.
it is terrifying how good we are and having sex with each other. we are so good at having sex with each other we actually got banned from banging on camera for three years. ok, that isn’t what actually happened. we just didn’t bang for three years for various reasons. i was always busy, or she was only banging girls, or she wasn’t performing or the plot of the movie we were in called for us to be banging other people. whatever the reason was we haven’t really seen or banged each other for like three years. i prefer to think of it as, we were so good it was unfair to all the other people in porn so there were forces put in place to keep us apart. doesn’t matter the reason, point is we are back and we are awesome and i banged her in the butt because that’s what i do and stoya took it in the butt from my penis because that is what she does. it was a good day.
J’ai encore replongé dans l’amat récemment, le sale, parfois le triste, j’ai délaissé les grosses prods pour fouiner toujours plus loin les tubes à la recherche du tag parfait, du détail qui ferait la différence, qui serait plus fort qu’une sextape reçue par Dropbox. Pourtant il n’est pas loin, il est dans les gens qui baisent en s’aimant et pas les cuisses écartées à regarder les trains qui passent.
James et Stoya n’avaient pas explosé l’écran depuis bientôt trois ans (il ne faut pas se fier aux dates de sortie des prods de Digital Playground, il se passe parfois plusieurs années entre la production et la distribution, ndlr) et ils viennent enfin de s’y remettre. Ils sont beaux ces petits agneaux, on aimerait être à côté d’eux ; les regarder arrêter la course du temps.
Qu’on se le dise : le rétrofuturisme (avant les années 60, et surtout très marqué science-fiction, techno, steampunk et cie) et le vintage (années 60-70), c’est quand même autrement plus classe que cette affreuse rétromania double-décennique (années 80-90, donc) avec laquelle se pâment les tendanceurs en manque de papier mâché.
Non, Jizzkov n’est pas venu pour beurrer les serviettes et affirme haut et fort ses positions iconoclastes, boum badaboum à la Bebel. L’heure est à l’audace et aux gifs enchanteurs.
Et d’humeur généreuse, tout de go (bien qu’il en fut dépourvu – tu l’as ? danse des mots !), il partage avec vous ce tumblr sympathique au doux nom picaresque : filth of the future, soit en français dans le texte : « obscénité du futur » (?) Résumé en quelques tags : du sexe rétrotechnologique, très orienté sci-fi d’antan, avec un soupçon d’informatique balbutiante. Autrement dit, plein de martiens tripoteurs et autres robots crapouilleux ; une plaisante source de what-the-fuck, en somme.
Seul regret : on se rendra vite compte, à cause de ce tumblr rétro, que le « future ain’t what it used to be » (Yogi Berra). Et que notre vieux monde exclusivement terrien et rationnel est quand même un peu naze, non ?
Brian McKnight est super content, il est dans son stud’ et il a maquetté un pur morceau à l’harmonie délicate, un petit bijou de R’n B mielleux qu’il nous fait découvrir fièrement en calebute devant ses potards, mains sur le clavier, regard de petit chiot pour internet et ça donne ça :
Les paroles du refrain parlent d’elles-mêmes :
Let me show you how your pussy works
Betcha didn’t know that it could squirt
I have lots of things to show you
If you’re ready to learn.
T’entends jeune fille ? Laisse Brian toucher ton bouton magique, mettre ta main sur ton bonbon d’amour. Qu’il te montre comme ce petit animal peut envoyer plus loin qu’un Lama en furie.
Bon… Visiblement, ce tutorial en chanson n’a pas plu à ses fans pudibonds et a même provoqué un tollé général sur Youtube et Twitter. A tel point que notre donneur d’orgasmes, avec force lamentations, a remplacé sa tentative par un Live without you bien plus consensuel. Dommage, toute une génération de femmes ne pourra pas connaitre le plaisir des fontaines de joie et du changement de draps.
Cruel internet.
Canal + peut se sentir moins seul depuis ce week-end, la chaine locale ontarienne (province du Canada) d’info en continu CHCH TV a balancé trois minutes de porn gay vendredi vers 9h30 du mat. L’accident – qui aurait causé quelques brûlures superficielles au niveau des cuisses à quelques notables de la région en train d’avaler leur café – serait indépendant de leur volonté. La chaîne renvoie la faute à son câblo-opérateur qui se serait emmêlé la bite dans les câbles, ambiance bondage dans le nodale.
On rappelle quand même que la loi en France sur la diffusion de matériel pornographique susceptible d’être par vu par des mineurs est assez vénère ; on comprend mieux le malaise de Canal en lisant l’article 227-24 du code pénal :
Le fait soit de fabriquer, de transporter, de diffuser par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support un message à caractère violent ou pornographique ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine ou à inciter des mineurs à se livrer à des jeux les mettant physiquement en danger, soit de faire commerce d’un tel message, est puni de trois ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende lorsque ce message est susceptible d’être vu ou perçu par un mineur.
Sinon on peut aussi en rire entre adultes :
Souvenez vous, on avait déjà fait un top similaire avec les sales kids d’Odd Future. On avait bien ri alors on s’est dit qu’on pourrait peut-être recommencer. C’est alors qu’est arrivée l’évidence Danny Brown. Originaire de Detroit, il a explosé l’année dernière, en sortant sa première mixtape « XXX » chez Fools Gold. On ne va pas se mentir, Danny est sale. Une gueule pas possible, une coupe de cheveux impardonnable et quelques dents en moins font de lui le dernier sur la liste des mecs que je présenterais à ma soeur. A part le Hip-Hop et Adidas, Danny a une passion dans la vie : le Cunnilingus — en témoigne le morceau « I Will » qui pourrait avoir un classement à lui tout seul. Et pour ne pas que ses groupies oublient qu’il aime lécher des chattes, il passe son temps à tirer la langue sur scène ; son petit truc.
#05 : 30
« Sent ya bitch a dick pic and now she need glasses
Turn your bitch Slick Rick right now if I flashed it »
« J’ai envoyé une photo de ma teub à ta meuf, maintenant elle a besoin de lunettes
J’ai changé ta pute en Slick Rick juste en la déballant »
Ici un bashage en deux temps. Tout d’abord Danny nous explique que sa verge est si belle et rayonnante qu’une photo d’elle suffit à faire perdre la vue à ta meuf. Ensuite en la sortant, il la transforme en Slick Rick (le rappeur borgne).
#04 : Blunt after Blunt :
« Ate that bitch pussy ’til she squirted like a dolphin »
« Bouffer sa chatte pour la faire squirter comme un dauphin »
Une bien belle image pour illustrer l’orgasme féminin.
#03 : I Will
« Tongue going faster singing La Bamba »
« Ma langue va plus vite que si je chantais La Bamba »
Danny pratique les cunilingus comme Richie Valens chante La Bamba, le fameux tube qui te met mal au Karaoke.
#02 : 30
« Fucked a pregnant bitch, save money on her abortion »
« Nique une bitch enceinte, économise l’argent de l’avortement »
Danny nous offre ici une de ses petites astuces pour ne pas dépenser bêtement de l’argent. En ces temps de crise, c’est pas banal.
#01 : Black and Brown
« Thick white bitch slurp a nigga like Kirby »
« Cette petite pute blanche aspire les négros comme Kirby »
Tout le monde se souvient de Kirby, cette petite chose ronde et rose, apparue sur Game Boy au début des années 90′ qui aspirait les méchants mieux qu’un Dyson dernière génération. Maintenant il ne vous reste plus qu’à appliquer cette image à une fille d’origine caucasienne pratiquant une fellation et le tour est joué.
Anastasia – Ana pour les intimes – a 22 ans et est toujours vierge. Ça ne la dérange pas plus que ça parce que, elle, ce qu’elle aime c’est lire du Thomas Hardy le soir dans son lit. Mais ça, c’était avant qu’elle ne rencontre Christian, 27 ans et déjà l’assurance du quinquagénaire.
Il est riche. Très riche. Beau. Très, très beau. Et s’il arrivait au lecteur de l’oublier, Ana le lui rappelle trois fois par page lorsqu’elle s’extasie devant « sa beauté à couper le souffle », « son profil parfait » ou encore ses « pieds alléchants ». Entre les deux, bien sûr, c’est le...
L’heure est grave, vous êtes en train de vivre les dernières instants du Tag. Une application iPhone (également disponible pour Androïd) vient de nous ouvrir les yeux sur une terrible réalité, nous sommes avec 1,4 milliards de nos congénères, accros au porn et au sexe. On vivait encore hier dans l’illusion, victimes inconscientes du lobby surpuissant de l’industrie du sexe. On pensait innocemment – pauvres agneaux en partance pour l’abattoir en chantant des comptines – que le porn était inoffensif, qu’il n’était que pop culture, joie et endorphine et bien non c’est :
Porn & Sex Addiction Support créée par la communauté Hope for one et éditée par Social Systems LLC tire la sonnette d’alarme. Depuis qu’internet est apparu, ce phénomène d’addiction n’a jamais cessé de s’amplifier. Plus l’offre pornographique augmente, plus les gens deviennent accros et plus ils en veulent plus et vite. Toujours plus loin dans le sale, la jeunesse et le hard, jusqu’à toucher le fond. Hommes, femmes, jeunes, vous êtes tous à la merci de cette sombre industrie qui suce votre âme. Que Dieu nous vienne en aide, nous glissons désespérément dans le stupre et la décadence, nos futurs enfants seront des zombies violeurs si nous ne nous sortons pas de cette spirale infernale de l’addiction.
Avant j'étais accro
Maintenant je vais mieux
Voulons-nous d’une société dirigée par la prostitution (qui commence dès 13 ans, avec une espérance de vie de 7 ans en moyenne d’après leurs sources), qui broie les corps et corrompt notre jeunesse ? Certainement pas ! Alors rejoignez la communauté, nous sommes déjà plus d’un million d’utilisateurs à combattre ce terrible fléau ! Gloire à Porn & Sex Addiction notre sauveur !
Grâce à un subtil mélange d’infos pertinentes, de podcasts censés, d’interventions vidéos libératrices et d’un chat fort pratique pour enfin pouvoir s’exprimer sans honte et sans la pression de ce terrifiant lobby, cette application vous remettra dans le droit chemin, car prendre conscience de son problème c’est déjà faire un pas vers la redemption. Jésus lui-même passerait sa journée dessus.
J'ai rencontré mon keum sur Porn & Sex Addiction
Vous êtes tous et toutes concernés ! Il y a de l’espoir en chacun de nous, levons les mains au ciel.
Hayley Charles vient d’avoir 21 ans et pour l’occasion elle a décidé d’aller avec ses copines caresser de la belle teub — noble cause et bonne ambiance #CFNM. Portées par l’esprit de la fête et chauffées par l’alcool qui devait tomber comme de l’eau des toits rouillés de Rio – oh oh -, elles ont mitraillé cette numba de 164 photos qui se sont retrouvées par malice sur une page Facebook (désactivée depuis, ndlr). Profitant sûrement du sommeil profond de Zuckerberg – l’homme qui a dit non aux boobs et forcement aux sexes tendus comme des mâts de cocagne – la page est toujours en ligne. Vous pouvez donc admirer les beaux attributs d’un gogoboy rigolard et de ses hôtes d’un soir, aux duckfaces impressionnants.
Facebook était-il en train de suivre le modèle russe ? Pendant quelques heures certainement.
Petit accroc chez Canal en cet après-midi dominical. Une pensée pour les techniciens qui profitaient tranquillement du beau temps, jusqu’à ce qu’on vienne les chercher en hélico le slip mouillé. La raison ? « Il est 16h14, mon petit neveu de 8 ans a vu ça » is the new « I’m 12 years old and what is this » des foyers français.
Explications sur le forum Espace Client de Canal, décidément héraut de la culture porn. Pour prendre la mesure de l’incident : panpan63 a carrément utilisé TROIS SMILEYS DIABLOTINS!!!
Bon alors maintenant il va falloir vous secouer les amis de Canal parce qu’un film porno à à 13 h 40 sur Canal décalé et non crypté va falloir prendre des mesures drastiques. ça va être constat d’huissier et une plainte directement.
L’incitation à la débauche, la nouvelle politique de Canal + ? Je ne rigole plus du tout et mon fils de 5 ans non plus. J’attends des explications d’urgences et des excuses de votre direction.
Et c’est pas peu dire.
Les Petites, on les aime quand elles dansent, bougent et dodelinent avec leurs petites joues rougies par le regard mutin qu’on porte sur leurs fesses. Voisin de palier, le Tag Parfait entrebâille pour vous leur porte. La première s’ouvre sur Eva, en pleine séance de retrogaming.
Du sol jusqu’au plafond : un gars se suce la bite. Je n’ai pas installé un videoprojecteur sur le mur de ma salle à manger pour apprécier les meilleurs porn new yorkais mais je regarde l’oeuvre de Jim Herbert. Du doigt trempé dans l’acrylique, il s’inspire de la « photographie » porno qu’il repropose non sans anxiété. On pense à Francis Bacon, mais on reste subjugué par la taille de ces corps secs qui vivent la « petite mort » dans un esthétisme zombie.
Se pose en moi la question de la dureté des images que l’on se consomme quotidiennement sans rechigner, pour vite faper. Du trouble que l’on n’a plus quand il faut juter. Mais il ne vaut mieux pas réfléchir devant ses énormes toiles, d’ailleurs l’artiste ne nous y invite pas. Il faut, comme un consommateur passif, se laisser happer par ces doigts dans le cul que l’on se prend dans la face avec naturel.
Untitled parce que les images parlent d’elles-mêmes, l’oeuvre de Jim Herbert est visible à la English Kills Art Gallery (Brooklyn / NY). Ses toiles sont collectionées par Martin Scorcese, Gus Van Sant ou encore Larry Clark.
Depuis que Sasha Grey a arrêté de tourner, elle essaie par tous les moyens de nous faire comprendre que le porno est définitivement derrière elle. A la manière d’une Zahia ou de Die Antwoord, elle est devenue ce petit objet tendance qu’on s’échange entre photographes ou vidéastes. Ici une série de photos pour un magazine respectable, là un clip pour le dernier réalisateur à la mode. C’est une loi de la hype, c’est comme ça.
Aujourd’hui c’est un édito dans le dernier numéro de la version allemande du magazine Interview que la star nous propose. Shootée à la Holywood High School par les photographes Sean et Seng, elle porte détendue comme une petite fille sage des tenues printanières de grandes marques.
Le FAP CLUB débarque à Dijon le vendredi 20 avril lors de la résidence Bateau Ivre organisée par Octarine et Electronic Elements (avec Sparse). Au programme électro sale et perverse dans un esprit suintant avec Gonzo et Dickdard, le djs officiels du Tag Parfait. On vous y attend, on est chauds comme des Bourguignons.
Plus d’infos sur l’event facebook
Un avant goût de la soirée avec notre dernier mix en date :
On le sait déjà, les selles de vélos sont les ennemies de l’érection. En janvier 2010, notre ex-blogueur Hugues Serraf se faisait ainsi l’écho des travaux du professeur Steven Schrader.
Cet expert américain de l’Institut national de la santé au travail avait étudié des hommes amenés à pédaler au quotidien : les policiers à vélo. Et, il reprochait à la selle de vélo de compresser le périnée et donc le canal pudental.
Ce canal alimente en sang le pénis lors d’une érection. Compressé par la selle, le petit canal finit par perdre de son élasticité.
Dans son article Hugues...
(De Bagdad) Des douzaines de cadavres ont été retrouvés ces dernières semaines à Bagdad. Des corps laissés à l’abandon de jeunes homosexuels ou adeptes du style « emo » tués par balles ou lapidés. Une chasse aux « déviants » qui se pratique en toute impunité.
« Ils lui ont écrasé la tête à coups de blocs de béton. Son nom était Saïf Asmar, un de mes meilleurs amis. Demain, ça pourrait être mon tour. »
La photo de Saïf dans les mains, à peine reconnaissable après son assassinat brutal, Ruby – les prénoms ont été modifiés – tente difficilement de gérer sa...
Alexandre Courtes (à qui on doit en autres, les clips de Seven Nation Army des White Stripes ou Shoot The Runner de Kasabian) tourne ce samedi 7 avril à Paris le prochain clip de Sebastien Tellier : Cochon Ville. Il a besoin pour cela de créer une grande union bleue dans une ambiance 70s avec des gens venus de tous les horizons, mais nus. Des petits, des grands, des gros, des maigres, des couples, de partout, de nulle part… Ne soyez pas timides, on sait que vous pouvez le faire.
Si l’experience vous tente, il faut s’inscrire avant jeudi en envoyant à helmicasting@gmail.com :
- une photo en pied et un portrait
- ses mensurations (pour les différents costumes)
- son âge (il faut être majeur)
- ses contacts