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Je me prénomme Virginie. J’ai 30 ans. Je suis cadre RH dans une grande entreprise et je suis mariée avec Stéphane, 35 ans, ingénieur en informatique. Il y a quelque temps, à bord du train de Paris, j’étais seule dans le compartiment et même dans le wagon. En revenant des toilettes, j’ai vu le bout d’une revue coincée entre la banquette et la paroi du wagon. Comme je n’avais rien à lire, j’ai pris cette revue pour voir ce que c’était. Il s’agissait de votre magazine. Je ne connaissais pas Union. Je suis retournée à mon compartiment et me suis mise à lire. Très vite, je me suis sentie à la fois gênée et excitée par les confessions que je lisais. À un moment, je me suis rendu compte que j’avais une main glissée dans ma culotte et que mon sexe était plus trempé que jamais. Aussitôt, j’ai retiré ma main et j’ai refermé les jambes, honteuse de découvrir mon excitation et effrayée qu’on ait pu me voir dans de si inavouables activités.
J’ai fermé la revue, mais j’ai compris que cette honte m’excitait encore plus ! Très vite, je me suis retrouvée les cuisses ouvertes, une main tenant la revue, l’autre au fond de ma culotte pour apaiser le feu qui brûlait dans mon ventre. J’ai explosé très rapidement. Jamais je n’avais connu un tel plaisir. J’étais déchaînée. Même dans mon adolescence, je ne m’étais jamais fait jouir comme cela.
De retour à la maison, j’ai tout raconté à Stéphane et il m’a demandé de lui montrer votre revue. Puis, il s’est mis...Lire la suite sur Union
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Je n’avais que très peu d’expérience du milieu BDSM, mise à part une soirée fétiche à Berlin au milieu des années 2000 qui ne m’avait vraiment laissé aucun souvenir mémorable. Alors quand j’ai accepté l’invitation à la Scary Party IV de Dèmonia, j’y allais pleine de curiosité et d’excitation. Une soirée thématique où la tenue est […]
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Cet article Un Anglais « glisse » sur un obus de la Seconde Guerre mondiale : des démineurs mobilisés pour désarmer son rectum est apparu en premier sur Madmoizelle.
Des mots qui claquent en écho à notre monde chaotique, le record des clics sur le clip L’odeur de l’essence d’OrelSan ne trompe pas: le fond de l’ère est sombre. […]
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Vos nuits sont-elles plus belles que vos jours? Ou c’est plutôt l’inverse? Oiseaux de nuit et insatiables de culture et d’arts vivants en quête de sensations fortes, l’agenda revient au […]
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L’annonce en a été faite mercredi 1er décembre, Journée mondiale de lutte contre le sida, et ce n’est évidemment pas un hasard : le square de la rue Burdeau, dans le 1er arrondissement de Lyon, portera bientôt le nom de Marsha P. Johnson (1945-1992), figure historique de la communauté trans afro-américaine qui a pris part aux émeutes de Stonewall en 1969, a co-fondé l’organisation STAR l’année suivante avec son amie Sylvia Rivera et a milité, à la fin de sa vie, au sein de l’association Act Up New York.
C’est Malika Haddad-Grosjean, adjointe du 1er arrondissement déléguée à la Ville inclusive, à l’Égalité femmes-hommes et à l’Accès aux droits, qui a rendu publique cette décision au cours du Conseil d’arrondissement qui s’est tenu ce soir-là. Ce choix est arrivé en tête de la consultation en ligne lancée par la mairie d’arrondissement le mois dernier en vue de féminiser les noms de ses espaces publics. 57,5 % des 782 participants ont jeté leur dévolu sur celle qui a parfois été qualifiée de “Rosa Parks du mouvement LGBT”.
Pour l’élue, cet hommage rendu à celle qui “a dédié sa vie à l’exigence fondamentale du respect de la dignité humaine” résonne avec “l’esprit humaniste, rebelle de la Croix-Rousse”. Il répond également “à un combat et à une demande de reconnaissance que mènent les associations LGBTQ+”. Le nom de Marsha P. Johnson a été proposé par l’antenne lyonnaise de l’association SOS homophobie et défendu notamment par David Souvestre, ancien président de la Lesbian and Gay Pride de Lyon, également élu du 1er arrondissement depuis 2020.
Quant au verger situé entre les rues Bodin et Magneval et au city stade (ou terrain multisport) de la rue Vaucanson, qui étaient également concernés par la consultation en ligne, on connaîtra leurs noms prochainement.
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En 2019, l’entreprise de sondage française IPSOS a réalisé une enquête sur les représentations sociales du viol, du violeur et de la femme violée. Les résultats de ce sondage illustrent tristement la méconnaissance et la perpétuation des préjugés sur le viol chez les français.e.s. Nous allons confronter ces représentations et mettre en lumière les idées […]
Cet article Déconstruire les représentations sociales du viol, du violeur et de la femme violée est apparu en premier sur Desculottées.
Il était très clairement inconcevable que cette édition soit rédigée par quelqu’un d’autre. Parce qu’aujourd’hui, c’est fête : les gifs de la semaine, édition #420. Édition spéciale stoner girl, chemsex et autres yeux rougis et rires incontrôlables. Ne me demandez pas pourquoi ce nombre est tant relié à l’histoire des fumeurs de chichons, je ne m’en souviens plus. J’aime le stoner porn, parce que devinez quoi ? Je suis une stoneuse. Celle qui déguste et reconnait les variétés, roule avec des feuilles slims roses et rêve d’une fume-cigarette. Le mec non-chalent et la meuf détendue, les loks confortable au possible et bariolés parce que c’est fun, et la chambre en bordel… Tout le starter pack du stoner qui s’apprête à forniquer malgré la flemme. Bref, j’éclate un cône et je vous reviens.
Ah… Fumer dans la salle de bain en croyant que la ventilation ferait partir l’odeur tenace de l’herbe bien verte. Sage Daniel s’est dit que ce serait une bonne idée pendant un live. Elle tire allègrement sur son bang et se dandine. Désolée Sage, tes serviettes de bain sentent désormais l’herbe de Provence à plein nez…
Mes ami·es smoke fetish, vous voilà servi·es grâce à Promoe ! Si la slow mo fonctionne pour quelque chose c’est bien la fumée, et celle d’un bon joint se prête particulièrement à l’exercice puisque plus dense. Et pour couronner le tout, on a le droit à une très belle pipe fumeuse.
Laissez-moi reprendre mes esprits un instant. Je suffoque un peu. Ah non, pas la fumée, non, je pratique les aquariums, mais je manque d’oxygène face à ce bel inconnu au cheveux si longs. Nymphomaniac666 de son petit nom nous offre une branlette nonchalante tout en tirant sur son pétard de bout face à la caméra. Un délice.
Je ne pouvais pas m’empêcher de céder à la tentation de vous remettre un gif du combo merveilleux pipe-pétard. Là vous pouvez quand même voir l’envie, le craving que créé la weed. Lola Fae a la foncedalle, et Ty Bones foncebande.
Izzy Hellbourne est à la fois tellement représentative des stoner girl. Naturelle, au saut du lit et déjà de la fumée qui sort de sa bouche. Et aussi des godes qui rentrent dans sa chatte. Ca fait l’effet d’une soirée pyjama, on s’amuse bien, c’est confortable, et on est bien quoi. De la douceur en somme.
Image en une : Izzy Hellbourne
Cet article Comment marchent les boules de geisha, faut-il les prendre avec ou sans fil, peut-on les perdre, TANT DE QUESTIONS est apparu en premier sur Madmoizelle.
Pour les 75 ans du cowboy solitaire, plusieurs bédéistes se sont emparés du personnage créé par Morris. Parmi ces hommages, Choco-Boys de Ralf König apporte quelques grammes de queerness (et de swissness!) dans le monde de brutes où galope Lucky Luke.
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« Cher docteur, j’ai toujours entretenu plusieurs relations en même temps. Je viens de m’installer avec une femme que j’aime, mais mes envies d’ailleurs demeurent. J’ai pensé lui proposer de nous rendre dans un club échangiste pour ne pas avoir l’impression de la tromper. En espérant qu’elle accepte plus facilement mes tendances et peut être qu’elle y prendra goût par la même occasion. Pensez-vous que cela peut être une bonne idée ou est-ce une manière pour moi d’arriver simplement à assouvir mes intérêts personnels ? » – Juan, 33 ans
L’échangisme pour satisfaire ses envies d’ailleurs ?Vous ne seriez pas le premier à imaginer que la pratique de l’échangisme puisse satisfaire votre désir d’avoir des relations sexuelles avec d’autres femmes, que celle avec qui vous avez choisi de vivre. C’est une caractéristique très masculine d’avoir besoin d’autres conquêtes en dehors de son couple, y compris quand il y a une bonne entente physique et sentiments à l’appui.
Cela pourrait théoriquement résoudre le délicat problème d’avoir des relations extra-conjugales sans mentir à sa compagne de tous les jours.
L’échangisme en coupleSachez tout de même que les femmes sont moins susceptibles de ressentir des envies d’ailleurs, comme vous le dites, quand elles sont heureuses en ménage et qu’elles ne ressentent pas de frustration sexuelle. Mieux vaut donc vous y prendre avec...Lire la suite sur Union
Cet article Comment convaincre ma copine d’aller en club échangiste ? est apparu en premier sur Union.
« Je vous contacte car j’ai quelques hésitations, et j’aimerais avoir le point de vue d’une tierce personne. Je suis divorcé et j’ai une fille de 19 ans qui vit avec moi. Depuis toujours, je pratique le naturisme en famille, et encore aujourd’hui avec ma fille. En outre, je fréquente de temps en temps les clubs échangistes de Paris, et j’y vais seul. J’ai raconté à ma fille que je sortais parfois dans des clubs (elle est très mûre pour son âge). Depuis, elle n’arrête pas de me poser des questions. Comme elle est très curieuse, je lui ai dit que si elle voulait découvrir ce monde, nous pourrions y aller ensemble. Nous projetons donc de nous y rendre la semaine prochaine. Il s’agit d’un club très classe, et je sais que ma fille pourra rester sur la piste, à danser toute la soirée. Néanmoins, cela me gêne un peu. Qu’en pensez-vous ? »
Le choix de ses pratiques sexuellesLa rédaction d’Union est favorable à la liberté sexuelle et s’emploie à lutter contre certains tabous qui inhibent le plaisir. Le naturisme ou la fréquentation de clubs libertins est un choix individuel, l’important étant que cela convienne à chacun. Mais le cas que vous soumettez ici est d’un tout autre ordre.
Se promener nu au soleil est une chose, fréquenter un club échangiste avec sa fille en est une...Lire la suite sur Union
Cet article Est-ce possible d’aller dans un club échangiste avec sa fille ? est apparu en premier sur Union.
Depuis la pandémie, le bien-être personnel, et comment prendre soin de notre santé mentale et physique sont devenus des thèmes populaires. Pendant la saison des fêtes, INTIMINA, une marque spécialisée dans le bien-être intime, a mené une enquête dans huit pays différents au sujet des muscles pelviens, les plus importants du corps féminin. 8 000 […]
Cet article Tabou du périnée : 1 française sur 2 n’en parle jamais est apparu en premier sur Desculottées.
Il avait abordé sa victime dans la rue, en lui demandant une cigarette pour nouer la conversion, avant de franchement lui proposer une relation sexuelle et l'agresser après son refus...
L’article « Sale PD, je vais te crever, je vais te baiser » : 7 ans d’emprisonnement ferme pour une agression sexuelle homophobe est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
« Cher docteur. Je me questionne énormément sur l’anatomie des femmes et je pense que vous pourriez m’aider à y voir plus clair, notamment sur un point en particulier. J’aimerais savoir si toutes les femmes peuvent avoir une éjaculation ? Car je sais que certaines femmes éjaculent et d’autres non. Par conséquent, que se passe-t-il au moment de l’orgasme pour celles qui éjaculent. Ont-elles quelque chose « en plus » ? Merci d’avance pour votre réponse. »
L’éjaculation féminine et masculine, est-ce la même chose ?C’est exact, certaines femmes émettent un liquide transparent lors des rapports sexuels, liquide dont la quantité peut varier dans des proportions assez importantes, puisqu’il leur faut parfois changer les draps après l’émission. Si l’on a pris l’habitude de parler d’éjaculation féminine pour définir cette production de liquide, il faut bien comprendre que le processus est tout à fait différent.
L’éjaculat masculin est essentiellement produit par la prostate, glande sexuelle n’ayant pas d’équivalent chez la femme, et il contient les cellules de la reproduction, ce qui n’est pas le cas du liquide émis par certaines femmes.
Comment se déclenche l’éjaculation ?Le déclenchement lui-même est différent, dans la mesure où l’Lire la suite sur Union
Cet article Toutes les femmes peuvent-elles être des femmes « fontaines » ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour docteur, je me confesse, je ne suis pas, une fidèle lectrice de votre revue. Néanmoins, je m’en remets à vos bons conseils. Je vis depuis deux ans une aventure sentimentale et sexuelle richement pimentée. Mon ami et moi évoluons vers des paysages érotiques insoupçonnés et notre complicité ne fait que grandir au fil des semaines. J’ai une telle confiance en lui que je ne lui cache rien. Entendez par là que je me présente à lui sans aucune retenue ou inhibition (comme vous pourrez le voir plus loin) et ce pour notre plus grand plaisir. À chaque nouvelle découverte, j’ai l’impression d’être un peu plus moi-même. Cependant, certaines pénétrations, particulièrement savoureuses, peuvent m’amener à littéralement « gicler » sur mon compagnon, parfois même à plusieurs reprises, et ce bien avant d’atteindre l’orgasme. Il s’agit là d’un acte que je ne peux maîtriser et qui ne m’était jamais arrivé auparavant. La première fois, étonnée par ce jet qui s’échappait de mon sexe, j’ai cru qu’il s’agissait d’urine, une sorte de « pipi incontrôlé ». Mais les expériences suivantes, ainsi que le goût du liquide en question, me font penser qu’il n’en est rien. Bien que ces petites pulsions me procurent un certain plaisir, et que mon ami soit réellement aux anges lorsque cela m’arrive, j’aimerais tout de même en savoir plus. Peut-on parler dans mon cas de femme fontaine ? En matière d’hygiène et de pratique, faut-il prendre des précautions particulières ? »
Qu’est-ce qui provoque l’effet « fontaine » chez une femme ?Eh oui, chère Sylvie, vous êtes une « Lire la suite sur Union
Cet article Suis-je une femme fontaine et si oui, des mesures d’hygiène sont-elle recommandées ? est apparu en premier sur Union.
L'occasion de vous remercier pour votre soutien et honorer l'engagement de tous les volontaires qui œuvrent au quotidien et souvent dans l’ombre au service des autres, de l’intérêt général.
L’article Journée mondiale du bénévolat : Merci à vous, pour votre engagement ! est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Chers lecteurs,
Vous l'avez constaté, depuis deux ou trois années déjà, j'ai ralenti mes publications sur ce blog. C'est certainement l'envie d'une proximité plus directe, plus instinctive, plus urgente même, qui m'a fait peu à peu privilégier Twitter à ce blog. Je suis très bavarde, j'aime l'échange, alors le format d'un réseau social me correspond mieux. Il présente aussi l'avantage du partage instantané d'un moment, d'une photo, d'un retour de soirée " à chaud ", d'un sentiment de proximité avec les autres, une cohérence dans le monde libertin.
Je vous partage donc mon compte Twitter : https://twitter.com/missdactari
Vous ne serez pas dépaysés ! C'est rose et romantique, sensuel et piquant, du rire et des confessions, des licornes et des macarons !
Je remercie les personnes qui s'inquiétaient de mon silence sur ce blog, qui m'ont envoyé des mails, où qui se sont renseignées via de tierces personnes. J'en ai été très touchée, merci !
Tout va très bien ! Comme une ado très enthousiaste je me suis laissée emporter par la facilité de Twitter. Par les belles rencontres que j'y ai faites. Par ce réseau amical et affectif que j'y ai trouvé. Par les soirées qui s'y sont organisées. J'en ai tout simplement... oublié ce blog !
Je garde précieusement ce blog auquel je suis très attachée. Tant de souvenirs, d'émotions, de rires y sont écrits. Je veille à la mise à jour des références de la colonne de droite. Et je vous invite à aller y lire mes amis blogueurs.
J'ai également lancé la rubrique " Prochaines soirées recommandées " en haut de cette page. Des idées, des suggestions de sorties. Et pourquoi pas une manière de nous rencontrer... Cette rubrique semble plaire, j'en ai pas mal de retours. Alors n'hésitez pas à me partager vos recommandations par mail ou sur Twitter !
A très bientôt à tous !
Cet article SOS Docteure Monboule : mon mec déteste être touché après le sexe, et ça m’attriste est apparu en premier sur Madmoizelle.
« Bonjour docteur, je m’appelle Emmanuelle et j’aimerais connaître votre avis sur une interrogation qui me turlupine. Je vis avec mon ami depuis quelques mois maintenant. On s’entend très bien sur le plan sexuel hormis lorsqu’il me fait un cunnilingus. En effet, lorsqu’il m’offre cette caresse, je ressens beaucoup de plaisir mais je me retiens de jouir par peur d’être une femme fontaine. Il me demande de me laisser aller, mais je n’y arrive vraiment pas. L’idée d’émettre un liquide me fait trop peur. Je crains de paraître « sale ». Pourriez-vous me donner quelques conseils ? »
Être femme fontaine, c’est être chanceuse ?Chère Emmanuelle, nous avons justement consacré un dossier à ce sujet dans un de nos numéros du mois [N.D.L.R. : « Heureuses femmes fontaines« , Union n° 226]. En le lisant (si ce n’est pas déjà fait), vous apprendrez que vous êtes une veinarde et que votre ami a bien raison de vous conseiller de vous laisser aller.
Dans la mesure où le phénomène de femme fontaine n’est pas très fréquent, les femmes qui le présentent pourraient en être fières, ne croyez-vous pas ?
Apprendre à se laisser jouirEn réalité, parmi celles qui le connaissent, beaucoup en sont gênées, d’autres inquiètes, voire honteuses. Quel dommage ! On ne sait pas tout sur ce qui déclenche cette émission de liquide chez certaines femmes. Mais une chose est sûre : aucune ne le fait sur commande, et toutes...Lire la suite sur Union
Cet article Lorsqu’on est une femme fontaine, comment se laisser aller au moment de l’orgasme sans craindre l’émission de liquide ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour docteur, malgré mon âge (60 ans), j’ai toujours envie de sexe. Je n’ai jamais eu d’orgasme vaginal. J’ai longtemps pensé que c’était la faute de mon mari, qu’il s’y prenait mal ou que son pénis était trop petit. Alors, je l’ai trompé avec d’autres hommes. Mais même avec une verge plus grosse, aucun n’a réussi à me faire jouir « vaginalement ». Mon époux n’y était donc pour rien. Je me caresse souvent le clitoris avec un vibromasseur, et mon mari me fait minette. C’est très agréable, mais je me sens frustrée de passer à côté de cette autre volupté que connaissent certaines femmes et dont j’ignore le mécanisme. Existe-t-il une opération permettant d’obtenir cette jouissance plus intense qui découle de l’orgasme vaginal ? »
Une sensibilité clitoridienneVous faites apparemment partie des femmes dites « clitoridiennes », c’est-à-dire de celles pour qui la jouissance passe essentiellement par la stimulation du clitoris et non par celle du vagin. Nombreuses sont celles à qui cela ne pose aucun problème et qui vivent une sexualité épanouie de cette façon.
Mais, avec la multiplication des articles de journaux, d’émissions de télé et autres livres sur la sexualité féminine, l’orgasme vaginal a été porté aux nues, comme si l’orgasme clitoridien était le parent pauvre de la jouissance de la femme.
La libération des discours sur le...Lire la suite sur UnionCet article Comment puis-je avoir un orgasme vaginal ? est apparu en premier sur Union.
Solène habite un studio coquet de la rue Neuve-Popincourt, à deux pas de la station de métro Parmentier, à Paris, dans le XIe arrondissement. Un quartier “bobo chic, mais tellement vivant et sympa que je ne le quitterais pour rien au monde”, avoue-t-elle, entre deux gorgées de thé chaud. À 30 ans, cette jolie jeune femme aux traits fins confesse “traverser une période noire”. Et d’expliquer en soupirant : “J’ai perdu mon boulot d’assistante dans un cabinet d’architecte et mon mec m’a quittée l’année dernière.” Malgré ses airs BCBG, Solène, en voie de paupérisation accrue, a dû apprendre à vivre avec les 1 200 euros mensuels de son chômage. Alors elle se débrouille et, pour éviter de régler quelques factures un peu trop lourdes, elle “trouve toujours un moyen de s’arranger”. Yeux baissés, elle précise, d’une voix plus discrète : “Il y a six mois, une fuite d’eau a endommagé mon studio. Paniquée, j’ai aussitôt appelé un plombier. Il a détecté une tuyauterie poreuse et, après une soudure, m’a demandé 500 euros !” Face au montant stratosphérique de la note, Solène fond en larmes. Gêné, le plombier lui propose d’oublier la TVA… Mais la malheureuse jeune femme, propriétaire qui peine à rembourser son emprunt, n’a pas les moyens de débourser une telle somme. Solène poursuit : “Il était pas mal, brun, la trentaine, avec de beaux yeux noirs. Je sentais qu’il n’était pas insensible à mon charme. En l’implorant, je lui ai alors pris la main en ouvrant mon corsage, explique-t-elle, un brin gênée. Je me suis mise nue et je l’ai caressé jusqu’à ce qu’il jouisse sur mes seins… Il n’avait même pas l’air surpris. En partant, il m’a raconté...Lire la suite sur Union Cet article Les nouveaux visages du troc sexuel est apparu en premier sur Union.
Cet article Notre test de l’Enigma de Lelo : deux fois plus de plaisir pour le point G et le clito est apparu en premier sur Madmoizelle.
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[Lire la suite]Cet article Madmoizelle a fait sa liste au Père Noël, et cette année l’hiver sera « hotte » est apparu en premier sur Madmoizelle.
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« Bonjour docteur, j’ai 52 ans et j’apprécie depuis très longtemps la masturbation. Ma vie sexuelle avec mon mari, très épanouie au demeurant, n’a rien changé à mes habitudes. Je ne lui ai jamais caché mes activités et je me masturbe régulièrement en sa présence. Pendant de nombreuses années, tout allait bien ainsi. Les jours où nous ne faisions pas l’amour, je me masturbais. Mais, malheureusement, depuis plusieurs mois, je suis très stressée par mon travail. Assez curieusement, mes besoins ont considérablement augmenté. Cela finit par devenir un handicap. À l’heure actuelle, j’en suis arrivée à me caresser jusqu’à l’orgasme environ six fois par jour et je n’arrive pas à faire moins. Mon clitoris en souffre et je suis très souvent irritée. Comment faire pour réduire ? Existe-t-il des calmants pour ça ? J’avoue me sentir quasiment dépendante à cette pratique… »
La masturbation : un anti-stress efficace ?Utiliser la masturbation, ou plus exactement l’orgasme, comme méthode anti-stress est un phénomène assez répandu et tout à fait explicable. En effet, l’orgasme libère dans l’organisme de nombreuses molécules chimiques dont certaines ont un effet calmant.
C’est la raison pour laquelle il est si fréquent de s’endormir juste après un rapport sexuel. Ce crescendo des besoins sexuels ne semble donc pas lié à une augmentation de libido, mais à un besoin de vous détendre face à cette période de stress...Lire la suite sur Union
Cet article Comment remédier aux irritations liées à une masturbation très fréquente ? est apparu en premier sur Union.
Un Pornstar Martini, s’il vous plaît ! Cocktail le plus recherché au monde, l’année dernière, il inspire bien des passions. Comme les mocktails à base de fluides corporels… Mais si je vous parle ici de boissons alcoolisées, c’est surtout pour lancer l’apéro en bande organisée ! Listons les classiques et cherchons les meilleures associations possibles. On connaissait les accords porno et vins, voici donc les accords cocktails et porn. Noms évocateurs et compositions excitantes vont nous aider à trouver des fantasmes matchant avec nos cocktails préférés. Profitez-en, c’est l’happy hour !
Désignant d’abord les chevaux bâtards puis les mecs « mal élevés », les cock-tails sont, littéralement, des stimulants pour « dresser la queue » ! Les plus célèbres des boissons bâtardes sont donc là pour nous désinhiber, nous donner de l’énergie, nous donner la trique. Les cocktails sont ainsi des boissons mélangées qui nous soulèvent de joie : levons nos verres, nos bites et nos clitos… trinquons !
Pornstar Martini avec MorgpieComposition : vodka vanille/passoa/passion/vanille/lime + champagne.
Inventé en 2002, dans un bar londonien, le Pornstar Martini est « évocateur et alléchant », dixit Douglas Ankrah (son créateur). Il est censé rendre la personne le buvant « audacieuse, sexy et joueuse ». Comme Morgpie, incarnation parfaite de la pornstar contemporaine. Le jaune intense de la passion relève une apparence plutôt vanilla, typique de la copine gameuse chillant tranquillement. Morgpie est joueuse, dans tous les sens du terme : de la manette à la bite, sa douce passion transpire à l’écran ! De Conker’s Bad Fur Day à une bonne baise joyeuse, Morgpie saura ravir les fans de douceur et de fun. Le shot de champagne accompagnant le Pornstar Martini peut se boire au début ou, comme dans la plupart des pornos, jaillir en pop shot, à la fin : happy ending sur ses seins.
Sex on the Beach avec MrPussyLickingComposition : vodka/liqueur pèche/orange/cranberry.
La légende raconte que ce serait lors d’un concours de cocktails organisé en Floride, pour promouvoir une liqueur de pêche (), que Ted Pizio aurait inventé le Sex on the Beach. Coloré, fruité et solaire, ce cocktail fut d’abord conçu pour les springbreakers ! Son nom si sulfureux viendrait de cet été 1987 où le barman aurait voulu illustrer ce que les jeunes désiraient : « sea, sex and sun ! » C’est aussi ce que MrPussyLicking et sa « step sis » sont allés chercher. La peach on the beach nous abreuve ici de ses liqueurs : mouille, salive, squirt, transpi’ et… creampie pour finir ! Leurs ébats sont aussi paradisiaques que les paysages.
Piña Colada avec TheStartOfUsComposition : rhum/coco/ananas.
Cocktail le plus recherché dans de nombreux pays, la Piña Colada aurait été inventée par un pirate des Caraïbes ! Ou un barman portoricain… La coco le fait fortement ressembler au « spermouille » (creampie), mocktail de l’happy ending. L’ananas, quant à lui, imprègne nos fluides corporels. Autant dire que ce cocktail, tropical et suave, s’associe parfaitement avec les vidéos du couple US TheStartOfUs, célèbres pour leur cum fetish. Il faut dire que les éjacs délivrées par le « king » sont dignes de n’importe quel jus de coco ! Adhara adore boire sa piña, fraiche et bio… Un cocktail qui donne le smile !
Mojito avec LittlelaineComposition : rhum/menthe/lime/sucre/eau pétillante.
L’histoire du Mojito est controversée mais chaque version mène à Cuba, au sucre de canne, au rhum et à la menthe fraiche ! C’est donc simultanément un cocktail qui réchauffe et qui rafraîchit ! Cette singularité aromatique, on la retrouve dans le porno de Littlelaine. Comme le rhum, elle nous enivre ! Elle manie si parfaitement la canne à sucre, avec sa langue et sa chatte, qu’elle fait tourner les têtes. Ses coups de reins font monter la chaleur en nous mais, heureusement, lorsque le verre se vide, il reste encore la menthe, le lime et les glaçons pour nous rafraîchir. Comme un ventilateur après l’orgasme.
Mai Tai avec SparksGoWildComposition : rhums/curaçao/orgeat/lime/sirop
« Maita’i » est un mot tahitien signifiant « bon, excellent, le meilleur ! » On l’imagine dit dans cet ordre, pour le premier cocktail bu, le suivant et le troisième ! Emblème Tiki, interprétation californienne de la culture polynésienne, ce cocktail est singulièrement riche en alcool. Composé d’un rhum ambré, d’un rhum blanc et de curaçao (en guise de bitter), il monte vite à la tête. Ce threesome alcoolique transforme l’expérience tropicale en doux exotisme à la légère amertume. Exactement comme le couple SparksGoWild, oscillant de la piscine à la douche, la bite de Shane hésitant entre les deux bouches…
Margarita avec Teacher of MagicComposition : tequila/triple sec/lime.
Cocktail mexicain à base de Tequila, la Margarita se boit à l’apéro. Simple, bref et vif, servi dans son légendaire verre évasé, ce classique est là pour bien démarrer la soirée. C’est un peu le préli’ des longues soirées de baise beuverie… C’est ce que Teacher of Magic a très bien compris. C’est pourquoi elle s’active, avec discrétion et infinie malice, à sucer son mec sans attendre ! En plein bar, avant même de finir sa… Margarita. Ou peut-être qu’il lui fallait simplement un petit supplément salé. Finir avec la chanson d’Amir rend cet accord encore plus subtil. Vidéo d’anthologie !
Moscow Mule avec kisankannaComposition : vodka/ginger beer/lime.
L’histoire de trois excès : trop de vodka Smirnoff, trop de bière au gingembre et trop de tasse en cuivre ! C’est à Los Angeles, dans les années 40, qu’un mixologue popularisa le fameux alcool russe en l’associant à la ginger beer dans ces récipients rustiques (dont personne ne voulait). Coup de génie marketing et gustatif : le lime vient équilibrer le piquant du gingembre et le feu de la vodka. Grâce à ses vertus digestives et énergisantes, le gingembre est aphrodisiaque. Le Moscow Mule incarne donc une Russie fantasmatique et festive comme le porno du couple kisankanna. Spécialistes du roleplay, Anna et Roman adorent mixer plusieurs fantasmes. Comme Noël approche, voici un beau cadeau épicé : Anna suce alors qu’elle est au téléphone avec son mec, le Père Noël ! Vidéo inventive à savourer en entier…
Sangria avec Banana NomadsComposition : vin rouge/fruits/épices.
Cocktail ibérique (Espagne + Portugal) à base de vin rouge et de fruits, la Sangria tire son nom de sa couleur sanguine. Souvent épicé et rallongé (par le sucre et l’eau pétillante), ce cocktail fruité est pervers comme un punch : difficile de s’arrêter… Addictif et savoureux tel ce jeune couple espagnol, Banana Nomads. Je ne sais pas si le jus de Dana, dont s’abreuve abondamment Kuka, a le goût de Sangria, mais ils adorent les cunnis ! Ici, Dana baise la bouche de son mec jusqu’à l’orgasme, spectaculaire ! Mentions spéciales pour certaines positions (assez rares dans le porno mainstream) et les passages d’anulingus… Vous reprendrez bien un peu de mouille ?
Aperol Spritz avec MySweetApple & LeoluluComposition : prosecco/apérol/eau pétillante.
Qui ne s’est jamais enfilé des Spritz en terrasse, un soir d’été ? Venu d’Italie, cet apéro pétillant est une valeur sûre des rigolades entre potes. L’apérol, sucré et légèrement amer, vient teinter les bulles du Prosecco (vin blanc pétillznt) d’un rouge orangé. Ce sont des autrichiens qui demandèrent à des Vénétiens d’arroser (« spritzen » en allemand) l’alcool d’eau pétillante. Ce verbe éminemment pornographique nous amène au bord de la piscine avec deux couples légendaires, MySweetApple et Leolulu. Spritz : les culs de Kim et Leo twerkant dans l’eau. Spritz : Leo qui gicle sur la main de Lulu. Spritz : Paolo qui éjacule sur le cul de Kim. Voilà un apéro qui éclabousse !
Irish Coffee avec Eleo and MishComposition : whisky/café/crème/sucre.
Terminons par un cocktail de saison : réconfortant et vivifiant, l’Irish Coffee nous réchauffe et nous ravit. Créé par Joseph Sheridan, à l’aéroport irlandais de Shannon, pour des Marines frigorifiés, ce cocktail récompense le voyage… Longtemps basé sur la rencontre du café avec le whisky irlandais, l’Irish Coffee se singularise aussi par l’ajout, très variable, de crème, par-dessus. Chacun sa méthode. Eleo et Mish en ont développé une plutôt inventive : Eleo recueille le sperme de Mish dans sa bouche avant de le recracher, mélangé à sa salive, dans le café (au son de Hippie Sabotage, connus pour leur chanson Whisky !) C’est prêt : ce cocktail revigorant vous attend. Sur un banc.
Vous ne verrez plus jamais les cocktails de la même manière ! Ces accords nous rappellent à quel point les mélanges de fluides sont goûtus et gourmands. Un article à siroter avec une paille ! Slurp !
Mais si vous préférez les cocktails bios à base de pisse, rassurez-vous, il en existe aussi beaucoup !
La commission des Lois a adopté la loi interdisant les pratiques visant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre, mercredi 1er décembre, tout en y apportant quelques « retouches ».
L’article Interdiction des « thérapies » de conversion : le Sénat adopte le texte en commission est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Les règles très douloureuses, c'est une vraie plaie, qui peut devenir un handicap au quotidien. Mais ce n'est pas une fatalité, car c'est pas l'utérus qui commande, non mais !
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Cet article Pour tout savoir sur le slow sex, rendez-vous ce soir sur la chaîne Twitch de Madmoizelle pour le dernier numéro de Sex on Air est apparu en premier sur Madmoizelle.
« Bonjour docteur, il y a deux ans, on m’a diagnostiqué un lichen au niveau des lèvres de la vulve. Celles-ci ont été pratiquement rongées. Suite à différents traitements à base de corticoïdes, le lichen a, semble-t-il, été éradiqué. Néanmoins, ma vulve est devenue très fragile et étroite. Lors de mes rapports, il n’est pas rare qu’une déchirure se produise au passage du gland. Mon gynécologue m’a dirigée vers un chirurgien qui a pratiqué une intervention pour renforcer la fourchette en tirant une partie du vagin vers l’avant. L’opération s’est bien déroulée puisque la fourchette semble bien renforcée, mais l’entrée du gland est toujours aussi douloureuse et je souffre de déchirures, ainsi que de démangeaisons de la vulve. J’en viens à me demander si le lichen a pu revenir sans que je m’en aperçoive ? Pensez-vous qu’il puisse rétrécir le vagin et la vulve et les rendre très fragiles ? Comment faire pour regagner une certaine souplesse de la peau afin de retrouver l’aisance d’une pénétration sans douleur ? Mon mari et moi attendons vos réponses avec impatience car notre vie sexuelle est très perturbée par cette situation. »
Les conséquences du lichen sur les rapports sexuelsSi vous avez des doutes sur une éventuelle récidive, je vous conseille de consulter à nouveau votre gynécologue et sans plus attendre. Le « lichen plan » est une maladie qui fragilise beaucoup la muqueuse de la vulve. Elle devient plus fine et par conséquent moins résistante.
Pour faciliter la pénétration, il devient alors nécessaire d’utiliser desLire la suite sur Union
Cet article Comment retrouver une vie sexuelle épanouie après une dermatose génitale ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour docteur, j’ai 25 ans et je vis avec mon ami depuis cinq ans. J’ai un gros problème qui me gâche la vie et qui a de fortes répercussions sur ma vie intime de couple. J’ai le sexe très fragile. Depuis à peu près deux ans, dès que je fais l’amour avec mon ami, et même si je mouille énormément, j’ai toujours mal après. Cela se situe surtout entre l’entrée de mon vagin et mon anus : ma peau est très irritée, et parfois fendillée. J’ai entendu dire que cela pouvait être un problème dermatologique. Je voudrais connaître votre avis. Si ce n’est pas cela, alors qu’est-ce que c’est ? De plus, j’ai aussi la flore vaginale très fragile. Je fais des petites infections tout le temps, et cela me gêne beaucoup pour faire l’amour. J’ai toujours peur que ça me fasse mal. Donc, j’ai moins de libido et je mouille moins. Même en utilisant du gel lubrifiant, ce n’est pas mieux. Mon ami a eu beaucoup de patience mais, ces temps-ci, c’est devenu un sujet de discorde. Quand j’en parle à mon gynéco, il me dit que je suis comme ça et qu’il faut que je fasse avec ! Alors, que dois-je faire ? Mon couple est à la dérive. »
La peau entre le vagin et l’anus sensible, que faire ?Premier conseil, allez voir un dermatologue. Il n’est pas normal que la peau entre le vagin et l’anus soit ainsi irritée et fendillée. Un traitement local arrangera cela. Quant aux infections à répétition, il doit y avoir moyen d’équilibrer la flore vaginale et de...Lire la suite sur Union
Cet article Mes irritations proviennent-elles d’un problème dermatologique ? est apparu en premier sur Union.
Suite aux nouvelles décisions gouvernementales parmi lesquelles il a été décidé de la fermeture pour 4 semaines des discothèques, vous êtes nombreuses et nombreux à nous contacter pour savoir si la prochaine NUIT ÉLASTIQUE pourrait avoir lieu.
Rassurez-vous notre soirée de ce samedi 11 décembre va avoir lieu comme d’habitude pour une raison très simple, la NUIT ÉLASTIQUE se déroule dans un bar-club qui n’est pas une discothèque.
Vous pouvez donc réserver sans crainte vos places.
À samedi.
Important : pass sanitaire et masque recommandé (comme partout ailleurs).
2 niveaux / 2 ambiances
Dans le respect des règles sanitaires.
Sling cuir / Croix de Saint-André / Matelas latex rouge
Cabines érotiques pour vous isoler avec votre partenaire
Fauteuils / Canapés / Nouvelle déco
Nouveaux jeux de lumières
Ambiance musicale adaptée avec DJ John Nathan & DJ Francis Loup.
Paiement uniquement par carte bancaire.
■ Femme / Travesti / Transgenre = 25 €
■ Homme = 25 €
■ Couple (F/H, F/F ou H/H) = 40 €
(pour avoir droit au tarif couple vous devez vous présenter ensemble à l’entrée)
Vous pouvez acheter votre ticket y compris en dernière minute, même 10 minutes avant de venir à la soirée.
La vente de tickets est possible y compris le soir-même jusqu’à 2h00 du matin.
Nous recevons votre réservation sur notre terminal 5 minutes après votre paiement effectué en ligne.
Sinon il vous reste la possibilité de payer sur place à l’entrée en espèces mais c’est un plus cher.
Paiement à l’entrée de la soirée uniquement en espèces.
■ Femme / Travesti / Transgenre = 40 €
■ Homme = 40 €
■ Couple (F/H, F/F ou H/H) = 60 €
(pour avoir droit au tarif couple vous devez vous présenter ensemble à l’entrée)
Tenue vinyle, latex, wetlook, simili-cuir ou cuir obligatoire.
Strict minimum
■ Pantalon ou jupe dans l’une de ces matières
■ La couleur n’a pas d’importance, vous pouvez venir en vinyle rouge ou en latex bleu
■ Tous types de chaussures acceptés
■ Possibilité de vous changer sur place
Toutes les places achetées et non utilisées (quelle qu’en soit la raison) restent valides. Nous avons tous les noms des personnes ayant réservé. Nous éliminerons votre nom de cette liste dès que vous vous présenterez à l’entrée de l’une de nos prochaines éditions. Si vous avez un doute concernant l’une de vos anciennes réservations envoyez-nous un SMS/texto au 06 46 12 63 23 avec le nom sous lequel vous avez réservé et nous vous enverrons la confirmation qu’il vous reste un ticket valide et comment en profiter pour notre prochaine soirée.
Invité du festival Les Urbaines, à Lausanne, l’artiste germano-turcx baséx entre Amsterdam, Berlin et Düsseldorf Caner Teker livre une performance intense et sensuelle qui interroge la frontière entre violence et intimité.
L’article Kırkpınar, lutte intime contre les stéréotypes de genre est apparu en premier sur 360°.
L'ancien international égyptien, Mohamed Aboutrika, devenu consultant pour le groupe beIN, s'est livré en direct à un long discours homophobe, appelant notamment les joueurs musulmans de Premier League à boycotter les campagnes pro-LGBT+.
L’article Moyen-Orient : Le monologue homophobe d’un consultant beIN Sports en plein direct est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Cet article S’ausculter la chatte pendant des ateliers d’auto-examen, un acte aussi militant que rassurant est apparu en premier sur Madmoizelle.
« Bonjour docteur, je viens vers vous pour quelques renseignements. J’ai 28 ans et je suis enceinte de deux mois et demi de mon deuxième enfant. Tout comme lors de ma première grossesse, j’ai un problème délicat que je n’ose pas exposer à mon gynécologue : lors de l’orgasme, mon utérus se contracte (il devient dur) et ceci pendant 3 ou 4 secondes. Je voudrais savoir si cette contraction est néfaste pour le bébé. J’ai des rapports quasi-quotidiens avec mon mari. J’avais déjà vécu tout cela avec mon premier enfant et je n’avais pas osé en parler, ce qui m’avait forcé à « ralentir » la fréquence des rapports. Je vous précise aussi que ma grossesse se déroule sans problème particulier. Merci d’avance pour vos précieuses réponses et votre temps. »
Des rapports sexuels pendant une grossesse, des risques pour le bébé ?Il est tout à fait normal que vous ne sentiez plus votre utérus, car sa taille augmente pendant la grossesse. Il n’y a aucune raison de vous inquiéter pour le bébé, sachez que l’utérus est conçu pour protéger l’enfant (et oui le corps humain fait bien les choses).
La future maman peut continuer à mener une vie sexuelle normale, tant au niveau de la fréquence que des positions. Tout au plus faut-il éviter les pénétrations trop profondes et les va-et-vient très puissants.
Se renseigner sur le sexe pendant la grossessePour éviter cela, ne vous inquiétez pas, il n’est pas nécessaire de modifier complètement ses pratiques...Lire la suite sur Union
Cet article L’orgasme est-il dangereux pour le foetus ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour docteur, j’ai 56 ans et suis diabétique de type 2 (insulinodépendant) depuis l’âge de 36 ans. Il y a une dizaine d’années, pour éviter des irritations, j’ai été circoncis. L’an dernier, lors d’un rapport, la cicatrice de la circoncision a légèrement cédé. La douleur était si forte que ça m’a « coupé mes effets ». Depuis, à chaque tentative de relation sexuelle, c’est la même chose. Du coup, je ne fais plus grand-chose (en tout cas avec ma verge) car la blessure est douloureuse, et la cicatrisation longue. Bien sûr, j’ai consulté mon médecin de famille, ma diabétologue, deux urologues (dont celui qui m’a opéré) ainsi que mon pharmacien. Tous me disent que le diabète est responsable de cette déchirure, que la peau est devenue plus fine, qu’elle est fragilisée et qu’il n’y a rien à faire ! La solution proposée a été de m’enduire le sexe de lubrifiant et de le recouvrir d’un préservatif. Ma compagne doit également utiliser un gel intime pour éviter les frottements trop prononcés. Mais cela ne change rien : la déchirure réapparaît à chaque fois, malgré cette « solution ». Comment retrouver les joies de la pénétration et surtout guérir de la frustration qui nous envahit tous deux ? »
Une déchirure du pénis peut être difficile à panserLa réapparition, des douleurs et de la déchirure à chaque tentative de rapport est, en effet, un frein majeur à une sexualité épanouie. Je ne peux malheureusement pas dire grand-chose de plus que les médecins que vous avez consultés. D’autant que, sans voir la plaie et sans possibilité de vous examiner, les particularités de cette atteinte cutanée manquent au diagnostic.
Tout au plus vous suggérerais-je d’aller consulter un dermatologue...Lire la suite sur Union
Cet article Comment retrouver une sexualité épanouie malgré une déchirure du pénis qui ne guérit pas ? est apparu en premier sur Union.
Dans son 22e long métrage où il sublime les femmes, le maître madrilène mêle la petite et la grande histoire. Son héroïne Penélope Cruz a été sacrée meilleure actrice à la Mostra de Venise.
L’article Pedro Almodovar captive avec «Mères parallèles» est apparu en premier sur 360°.
Cet article Cette chirurgie va réjouir (et faire jouir) les personnes qui ne sentent plus leur pénis après une lésion de la moelle épinière est apparu en premier sur Madmoizelle.
« Bonjour docteur, j’aimerais partager avec vous une histoire récente, qui m’a poussé à me questionner sur la malléabilité du vagin. La dernière fois que j’ai vu mon copain, il m’a fait lire votre revue. Les histoires qui s’y trouvaient m’ont tellement excitées que nous avons fait l’amour. Seulement, pendant l’acte mon vagin est devenu large et grand. Le pénis de mon copain ne me remplissait pas comme d’habitude, c’est comme s’il flottait dans mes parois vaginales. Le problème, c’est qu’il a cru que c’était parce que je couchais avec un autre, alors que c’est avec lui seul que je fais l’amour. Comment lui faire comprendre que c’est lui seul que j’aime, et que je ne le trompe pas ? »
Les réactions du vagin face à une excitation intenseEn général, l’excitation sexuelle provoque au contraire des contractions musculaires dans la paroi vaginale qui la rendent plus tonique. En revanche, plus l’excitation est intense, plus la lubrification vaginale est abondante, parfois même au point de gêner les sensations sexuelles lors du rapport.
C’est sans doute en partie ce qui est arrivé cette fois-là. Mais cela ne suffit pas à expliquer complètement ce qu’il s’est produit. Je pense qu’il n’est pas impossible que votre vagin, sous l’effet des fantasmes liés à la lecture d’une revue érotique, se soit dilaté pour mieux accueillir le pénis de votre partenaire.
Contracter son vagin pour amplifier les sensationsLa prochaine fois, vous prendrez soin de contracter votre vagin, en faisant comme si vous vouliez vous...Lire la suite sur Union
Cet article Mon vagin est devenu trop large, comment lui faire comprendre que je ne le trompe pas ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour docteur. J’aimerais avoir votre avis concernant les boules de geisha. Il y a deux ans environ, mon ami m’a offert ces petits accessoires pour adultes, que je n’ai commencé à utiliser qu’au début de l’année 2008. Une amie m’a confié qu’elle en portait occasionnellement depuis des années, et que ces boules lui procuraient beaucoup de plaisir. Je me suis donc mise à les porter plusieurs fois par semaine. Les sensations sont formidables, je suis beaucoup plus détendue depuis. J’ai également entendu dire que ces objets influaient favorablement sur les problèmes d’incontinence urinaire. Qu’en pensez-vous ? Puis-je continuer à porter fréquemment mes boules de geisha sans crainte des risques sur le long terme ? Dans le même ordre d’idées, que pensez-vous des oeufs vibrants ? »
Les boules de geisha ont-elles une incidence sur l’incontinence urinaire ?Dans la mesure où elles stimulent les parois vaginales, les boules de geisha peuvent en effet avoir une influence positive sur l’incontinence urinaire, si fréquente chez de nombreuses femmes, quel que soit leur âge, même si ce problème demeure plus aigu chez les femmes ménopausées. Précisons que l’action des boules de geisha sur les parois du vagin n’est pas directe et passive, mais une conséquence de l’augmentation des sensations vaginales.
En effet, un certain nombre de femmes utilisant des boules de geisha ont tendance à contracter beaucoup plus souvent et plus puissamment les muscles de l’entrée et du tiers inférieur de leur vagin. De cette façon, comme...Lire la suite sur Union
Cet article Puis-je porter quotidiennement mes boules de geisha ? est apparu en premier sur Union.
Dans cette chronique, je continue mon dialogue avec Julien. Un homme cisgenre, hétéro, avec qui je partage certaines de mes pensées. Il est fictif, sans être irréel. Julien ça pourrait […]
L’article En mode incognito est apparu en premier sur 360°.
La Destination Gstaad est synonyme d’ambiance hivernale parfaite et de détente, loin de la frénésie quotidienne.
L’article Moments de plaisir hivernal à Gstaad est apparu en premier sur 360°.
Pour célébrer les fêtes de cette fin d'année, jumelées aux 50 ans de la dépénalisation de l’homosexualité en Norvège, le service postal prend le relais, octroyant au Père Noël une première veillée avec son bien-aimé...
L’article « Quand Harry rencontre le Père Noël » : 50 ans de « liberté d’aimer pour tou.te.s » en Norvège est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Cet article Quelle partie de jambes en l’air ratée êtes-vous ? est apparu en premier sur Madmoizelle.
C’est en mode express que je t’écris cette semaine. J’ai pas eu le temps de niaiser ces derniers jours, et il est hors de question qu’il en soit autrement ce week-end. Pas besoin de te dire en quoi je vais remplir mes journées, je laisse travailler ton imagination. Si jamais tu en manquais, continue de me lire encore un peu. La saison du sagittaire commence, et ça décoiffe bien comme il faut, non ? On va donc rester de saison, pour partir sur une note de fun, d’aventure, de rires, et de sexe intense. Parce qu’on en a tous.tes besoin. En tout cas, moi, je ne vais certainement pas y cracher dessus. Voici quelques extraits de ce que j’ai en tête pour terminer cette semaine qui fût autant électrique qu’improbable. Que ton dimanche le soit tout autant, baby.
On commence par les big boss du porn game : LeoLulu. Oui, tu sais que je les kiff, mais cette fois ils ont fait fort. Très fort. Quel plaisir de les découvrir sous un autre jour dans ce clip réalisé par l’artiste Polygon1993 pour le groupe La Femme. Un nouvel épisode musical dans leur carrière puisqu’ils avaient déjà collaboré auparavant avec la chanteuse Joanna, dont je te parlais ici. Je te laisse juger de la qualité de cette nouveauté clipesque.
Ça faisait longtemps que je ne t’avais pas parlé de la chaîne Hot Guys Fuck, et j’imagine que ça t’avais autant manqué qu’à moi. Des beaux mecs, jusque là tout va bien. On leur demande rien de plus. Du muscle, de la sueur, des fondar, des blondes en jogging : America rpz quoi. Simple et efficace. Ma valeur sûre pour un dimanche réussi avec cette vidéo de Jock Lonny.
Petite vidéo vite fait bien fait, pour continuer ce beau dimanche. On part sur un format court, mais qui va direct à l’essentiel. Comme dans mes derniers gifs, on retrouve le contenu du couple Delfine et Juan, toujours chez Lustery. « Ass Whipping » peut convenir aux amateurs.rices BDSM kinky comme aux confirmés.ées. De quoi te pousser à ajouter un fouet en cuir dans ta wishlist de Noël.
J’ai l’impression que tu as bien apprécié le dernier gang-bang partagé dans mes gifs. On va pas changer une équipe qui gagne, donc c’est parti pour un deuxième round avec leur tout premier TriptyChon disponible sur Pink Label TV. Cette fois-ci en compagnie de la merveilleuse Luna Silver (mon gros crush 2021), Romeo (tmtc… emoji sueur), Bishop Black, et So Noir, le tout toujours réalisé par HardWerk. À toi de me dire ce que tu en penses…
Une MILF, un mec en uniforme, du sexe interdit : le cocktail gagnant pour terminer ce dimanche en beauté. De quoi mêler plusieurs fantasmes en un film, réalisé par le très talentueux Von Ferro, et disponible sur XConfessions. Si tu te demandes comment un apéro guindé à base de crevettes cocktail, mayonnaise, et coupes de champagne a pu déraper en partie de sale à même la moquette, alors laisse-toi tenter par « The Set Up » pour découvrir par toi-même.
Image à la une : « The Set Up » (XConfessions)
On a testé le lubrifiant Naturel Love&Care et c’est un parfait allié pour vos nuits d’amour à deux ou en solitaire. Comme c’est un lubrifiant à base d’eau, il s’utilise parfaitement avec vos sextoys en silicone. Il est super agréable, ne colle pas et remplit parfaitement sa mission : permettre que ça glisse simplement. Lubrifiant […]
Cet article Lubrifiant naturel Love&Care, ça glisse tout seul est apparu en premier sur Desculottées.
« Bonjour docteur, tout d’abord merci pour vos réponses constructives à chaque question de lecteur. C’est très rassurant de se sentir épauler dans certaines situations. Je m’en remets à vous concernant un sujet. Cela fait un an et demi que je suis avec mon copain, mais jusqu’à aujourd’hui, je n’ai jamais eu d’orgasme. Je me demande si c’est moi ou lui qui ai un problème ? Si c’est moi, comment pourrais-je remédier à la situation ? Et si c’est lui, comment le lui dire ? Pour information, je parviens à l’orgasme en me masturbant et j’ai déjà pris beaucoup de plaisir avec des amants par le passé… Merci d’avance pour vos conseils ! »
Orgasmique ou anorgasmique ?Sans vouloir dire que vous avez tous les deux un problème, car ce serait à mon sens exagéré, il y a sans doute un peu du vôtre et un peu du sien. Clairement, vous n’êtes pas anorgasmique (impossibilité à atteindre l’orgasme), puisque vous y parvenez en vous masturbant.
En revanche, il semblerait qu’avec d’autres partenaires, vous ayez atteint le stade d’un plaisir intense, mais sans réel orgasme. Ce qui sous-entend une légère difficulté à se laisser aller complètement…
Trouver son type d’orgasmePar ailleurs, vous êtes peut-être clitoridienne et faites alors partie des femmes chez qui l’orgasme vient par les caresses externes et non par la pénétration. Auquel cas, deux éléments sont nécessaires pour réussir à jouir avec un partenaire.
Déjà, il lui faut être au courant de la situation pour pouvoir agir en...Lire la suite sur Union
Cet article Comment atteindre l’orgasme avec mon amant ? est apparu en premier sur Union.
À l'occasion de la sortie de son album «The Calling», l'artiste lausannoise Laura Scaglia répond à notre questionnaire de Proust.
L’article «Soyez audacieu·e·x·s, soyez passionné·e·x·s, soyez vous-mêmes» est apparu en premier sur 360°.
Cet article Ces sextoys tombent sous les 50€ avec le Black Friday, il est temps de vous gâter est apparu en premier sur Madmoizelle.
Il avait recouvert de messages haineux les devantures d'un bar friendly, de France Bleu Picardie, ainsi que d'un bâtiment public, siège également d'une association LGBT+.
L’article Amiens : un adolescent de 15 ans poursuivi pour des tags homophobes est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
« Bonjour docteur, j’ai 22 ans et suis mère de trois enfants. Depuis ma première grossesse, mes seins ont perdu toute sensibilité. J’avoue qu’au niveau de la perte de plaisir, c’est plutôt dommage… J’ai beau faire les exercices prescrits à la clinique, il n’y a aucun résultat. Mais mon problème principal est que je n’ai plus d’orgasme. J’ai également eu des hémorroïdes pendant ma grossesse et je voudrais savoir si malgré ces contraintes il m’était possible d’avoir des pratiques anales avec mon conjoint ? Merci d’avance pour vos précieuses réponses qui me seront bénéfiques. »
Les retombées d’une grossesse sur la sexualitéContrairement aux idées reçues, les grossesses et l’allaitement n’abîment pas les seins. Ce ne sont donc pas les modifications du corps lors de la grossesse qui expliquent cette insensibilité dont vous vous plaignez.
En revanche, il est fréquent de constater une baisse de désir sexuel pendant et après la grossesse. C’est certainement votre cas, surtout avec trois enfants, petits et rapprochés, qui occupent beaucoup de votre temps et vous laissent peu d’espace pour la sexualité. Je pense qu’il vous faut trouver le bon rythme et le bon équilibre. Réapprendre à déléguer votre rôle de mère afin de vous reconnecter avec votre féminité.
Soigner l’hémorroïdes avant de pratiquer le sexe analL’absence d’orgasme trouve là aussi son explication. Vous devriez réorganiser votre vie et en parler avec un thérapeute pour améliorer les choses. LesLire la suite sur Union
Cet article Comment retrouver la sensibilité de mes seins et atteindre à nouveau l’orgasme après plusieurs grossesses ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour docteur, je me pose quelques questions quand à l’effet d’un produit que jet prends. Je prends du Zoloft. Seulement, quand je jouis, un liquide transparent s’écoule abondamment, mais je suis incapable de réellement « éjaculer ». Pouvez-vous m’expliquer ce phénomène ? Jeu vous avoue que je trouve cette réaction un peu étrange et me demande comment la résoudre. Merci d’avance pour vos conseils ! »
Les effets du Zoloft sur l’érectionLe Zoloft fait partie de la classe des antidépresseurs nommée IRSS, connue pour ses effets retardateurs sur l’éjaculation. Il arrive même de se servir de cet effet secondaire, c’est-à-dire différent de l’effet central recherché (ici, contre la dépression) chez des hommes dont l’éjaculation est très précoce, en leur prescrivant de très faibles doses.
Toutefois, comme pour nombre de médicaments, les effets secondaires varient beaucoup d’un patient à l’autre, et certains hommes suivant le même traitement que vous ne voient aucune différence sur leur éjaculation. Alors que d’autres se plaignent de ne plus pouvoir éjaculer normalement.
Réguler son éjaculationVous devriez en parler au médecin qui vous a prescrit ce traitement, et lui demander s’il y a moyen de remédier à cette conséquence un peu fâcheuse. C’est la personne la mieux placée pour savoir s’il est envisageable de diminuer les doses ou s’il est possible de trouver une...Lire la suite sur Union
Cet article Pouvez-vous m’expliquer pourquoi la prise de Zoloft m’empêche d’éjaculer normalement ? est apparu en premier sur Union.
Grâce à lui, les années 80 demeurent à tout jamais hautes en couleurs, malgré le spectre du sida qui l’emporta à tout juste 31 ans.
L’article Kaléidoscopique Keith Haring est apparu en premier sur 360°.
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Cet article Les « contrôleurs de consentement » rendent les sex clubs anglais plus safe. À quand ce concept en France ? est apparu en premier sur Madmoizelle.
Cet article Je suis chirurgien, et je « répare » les clitoris des femmes victimes d’excision est apparu en premier sur Madmoizelle.
Jusqu’au 17 décembre 2021, vous pouvez vous engager pour la pérennité et l’indépendance de Binge Audio en participant à sa campagne d'investissement participatif. À partir de 100 €, vous pouvez rejoindre le capital de votre média et ainsi participer activement à son développement.
Dans une conversation avec Thomas Rozec, les trois co-fondateur·ices, Joël Ronez (président), Gabrielle Boeri-Charles (DG) et David Carzon (directeur de la rédaction) détaillent l'opération en cours, la genèse de Binge Audio et ses ambitions. Un exercice de transparence sur notre modèle, qui nous espérons sera utile à tous·tes les auditeur·ices.
Plus de détails sur la page « Bienvenue à bord » sur le site de Binge Audio : binge.audio/bienvenue
Pour participer à l'opération : sowefund.com/projet/121/binge-audio (inscription nécessaire pour accéder aux informations, sans engagement)
Questions et assistance : bienvenue@binge.audio
Un podcast produit par Binge Audio, à l'initiative de la direction dans le cadre de sa communication auprès du public. Enregistré au studio Virginie Despentes de Binge Audio le 18 novembre 2021. Entretien mené par Thomas Rozec. Prise de son : Adel Ittel El Matani. Post-production : Solène Moulin.
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« Bonjour, je m’en retourne à vous aujourd’hui car je rencontre quelques difficultés dans ma relation de couple. Mon conjoint a beaucoup plus de désirs et de fantasmes que moi. J’ai peur de ne pas parvenir à le satisfaire entièrement, qu’il finisse par se lasser ou même douter de mon attirance envers lui. J’ai essayé de lui en toucher quelques mots, mais sans l’ombre d’une réussite. Je pense qu’il ne prend pas la peine de m’écouter, mais surtout de donner du crédit à ce que je peux bien lui raconter. J’avoue que c’est un peu vexant, car je me confie à lui et c’est pour nous. J’aimerais le convaincre de m’accompagner afin de faire des séances avec un sexologue. Comment puis-je me débrouiller pour qu’il saute le pas avec moi ? »
Aller voir un sexologue de son côté avant d’y aller en coupleVous avez raison, ce n’est pas toujours facile de persuader son conjoint de consulter, en particulier dans ce genre de situation. En effet, j’imagine qu’il considère que dès lors où tout va bien de son côté c’est qu’il n’y a pas de quoi s’alarmer, donc pas de besoin nécessaire de s’adresser à une personne extérieure.
Personnellement, je conseille souvent de venir d’abord consulter seul(e) tout en faisant part au conjoint de la démarche. Il faut lui dire que vous avez conscience d’un souci dans votre couple et que vous avez décidé d’aller en parler à quelqu’un pour vous faire aider.
Vous pourrez ensuite lui dire que le (la) spécialiste a demandé à le rencontrer pour avoir son avis et savoir ce qu’il pense de la situation que vous-même lui...Lire la suite sur Union
Cet article Comment convaincre mon conjoint d’aller voir un sexologue ? est apparu en premier sur Union.
Paulette éditrice a lancé sa collection Grattaculs en publiant «Cuisson au feu de bois», recueil de 23 textes sur les thématiques LGBTQIA+. Guy Chevalley, co-responsable de la maison, raconte la genèse du projet.
L’article Cheval de Troie des identités LGBTQIA+ est apparu en premier sur 360°.
Existe-t-il plus inclusif qu’une lecture partagée? La Fureur de lire, le festival littéraire genevois, s’associe aux Créatives pour une soirée découverte autour de deux ouvrages essentiels, à découvrir d’urgence, dans sa chambre ou à la Maison Rousseau et Littérature.
L’article Un miroir qu’on promène le long d’un chemin est apparu en premier sur 360°.
Cet article En présence d’une libertine, Sex on Air aura lieu ce mercredi 24 novembre sur la chaîne Twitch de Madmoizelle est apparu en premier sur Madmoizelle.
« Bonjour, je m’appelle Éric, je suis marié et père d’une petite fille de deux ans. J’ai eu mes premiers rapports sexuels vers l’âge de 17 ans sans éjaculation intra-vaginale. C’est toujours le cas aujourd’hui. En fait, je n’ai jamais eu d’orgasme dans une fille, je me suis toujours masturbé après la pénétration pour arriver à l’éjaculation. D’ailleurs, nous avons dû avoir recours à l’insémination artificielle, ma compagne et moi, pour avoir notre enfant. Pourtant, après consultation, il n’y a aucun problème physiologique, biologique, mécanique ou physique. Par contre, j’ai une libido dingue et des fantasmes plus fous les uns que les autres. Alors, que se passe-t-il ? »
La genèse de l’orgasmeL’orgasme, et donc l’éjaculation, se produit sous l’effet conjugué des sensations génitales et des pensées érotiques. Pendant la masturbation, l’utilisation de scènes sexuelles sous forme de fantasmes augmente l’excitation et permet d’arriver au seuil de déclenchant orgasmique.
Pour la plupart des hommes, les pensées érotiques sont axées sur des rapports sexuels avec des femmes, des images de corps de femmes, des positions sexuelles différentes ou des lieux inhabituels pour faire l’amour.
Faire coïncider ses fantasmes et l’acte sexuelAinsi, lors d’un rapport sexuel avec une partenaire, il est aisé pour l’homme de faire coïncider le vécu réel du coït avec les images fantasmatiques qui...Lire la suite sur Union
Cet article Pourquoi ai-je tant de problème pour éjaculer dans le vagin de ma femme ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour docteur. Au risque de passer pour un simplet, j’ai une petite question qui concerna l’anatomie féminine. Récemment, lors d’un rapport, mon épouse est arrivée à contracter son vagin et c’était vraiment formidable ! La sensation de cette pression, en ce qui me concerne, était incroyablement agréable et a décuplé mon excitation et mon plaisir. Après notre ébat et l’effervescence qui allait avec, je me suis questionné sur sa capacité à contracter son vagin de la sorte. Mais comment a-t-elle fait ? Comment peut-elle le reproduire à sa guise ? Existe-t-il une gym spéciale ? Faut-il porter des boules de geisha ? Je vous assailli de questions, je sais bien, mais cela m’intrigue réellement. Merci d’avance pour votre réponse et de nous aider à amplifier notre plaisir. »
Les muscles du périnée peuvent être travaillésBien sûr, il existe des exercices tout à fait spécifiques qui permettent d’apprendre à mieux utiliser les muscles du périnée et de la partie basse du vagin. Il suffirait à votre femme d’aller consulter un kiné spécialisé en rééducation périnéale. Elle pourra faire quelques séances et les associer à un entraînement régulier à la maison. C’est très simple une fois que le principe est assimilé.
Il peut même être possible pour elle de les réaliser au quotidien, dans des situations qu’on ne soupçonnerait pas (la marche par exemple). Elle pourra ainsi les pratiquer à volonté et sans grandes contraintes.
Les bénéfices de la musculation du périnéeCela lui permettra d’une part d’augmenter son plaisir et le...Lire la suite sur Union
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Quelle est la réalité des personnes LGBTQ+ dans les centres de détention suisses? Des réponses avec une ancienne détenue et des expert·e·s du monde carcéral.
L’article Être LGBTIQ+ en prison: le retour au placard est apparu en premier sur 360°.
Tu commences ta vie de jeune adulte ? Tu cherches un livre de développement personnel féministe ? Le livre “C’est le temps de briller” est le cadeau qu’on aimerait toutes recevoir à Noël ! Il t’aidera à découvrir la psychologie positive tout en lisant des témoignages inspirants. Tu pourras également faire des tests, des exercices pratiques et lire […]
Cet article “C’est le temps de briller”, le livre à glisser sous le sapin des femmes que vous aimez cette année est apparu en premier sur Desculottées.
Cet article Notre test du Carezza de Lora DiCarlo, le sextoy qui mime les caresses sur un clito est apparu en premier sur Madmoizelle.
En amour, le passage du rêve au cauchemar peut se faire en un claquement de doigts. Ces dernières années, les termes en « ing » pour décrire un comportement amoureux douteux ou toxique n’ont cessé de pulluler. Le « seagulling« , qui vise à garder quelqu’un sous le coude, juste « au cas où « . Le « curving« , qui englobe une catégorie de lâches n’osant pas mettre un terme définitif à la relation et préférant attendre que celle-ci se meure à petit feu. Le « ghosting« , une autre catégorie de lâches qui optent pour la technique du mort, en attendant que l’autre comprenne tout seul qu’il est célibataire. Mais qu’en est-il du « Love Bombing » ? Qualifié comme l’arme secrète des manipulateurs, a.k.a. les fameux « pervers narcissiques », on revient sur cette pratique en apparences tendre, mais finalement bien piquante.
Le manipulateur est-il forcément un pervers narcissique ?L’amour n’exclut pas la manipulation, ni la perversité narcissique. Ces dernières années, la vulgarisation des termes « pervers narcissique » et « manipulateur », a créé l’amalgame. Alors que la chasse aux manipulateurs et pervers narcissiques s’est déclarée, il est parfois difficile différencier les deux.
Le site Cabinet Sanquer informe sur la nuance entre les deux termes : « une personne manipulatrice n’est pas forcément un pervers narcissique. Elle manipule les autres pour obtenir ce qu’elle veut sans forcément leur nuire. Par contre un pervers...Lire la suite sur Union Cet article Le « Love Bombing » : l’amour pervers est apparu en premier sur Union.
« Bonjour docteur, j’aimerais votre avis sur une petite gêne qui m’est apparue récemment. Je suis âgé de de 50 ans et j’ai une petite plaque de 2 mm carrés, plate et légèrement brillante, sur le dessus du gland. Lorsque j’ai un rapport sans protection avec ma compagne, mon gland se colore de marbrures violacées avec des irritations non purulentes. Mon médecin m’a prescrit un traitement contre un champignon (comprimés de Lamisil et crème Econazole), sans résultat. Après, j’ai essayé un nouveau traitement contre un psoriasis (pommade Nerisone avec sérum anti-colibacillaire en homéopathie). Simultanément, j’ai fait une analyse d’urine qui n’a rien mis en évidence. Enfin, j’ai consulté un dermatologue qui a diagnostiqué un lichen et m’a prescrit un nouveau traitement d’un mois à base de Diprolene, traitement qui s’est révélé inefficace. Mon dermatologue m’a dit que je pouvais très bien vivre avec, mais je ne baisse pas les bras. »
Les traitements peuvent parfois être des échecsVous avez eu la bonne idée de consulter un dermatologue, c’était le meilleur moyen de vous assurer du diagnostic. C’est maintenant chose faite, et il semble que le traitement prescrit par ce médecin n’ait pas fait disparaître cette mini-lésion présente sur votre gland. Certaines lésions répondent mieux que d’autres aux médicaments et, malheureusement, il arrive aussi qu’elles y restent insensibles.
C’est ce que le...Lire la suite sur Union
Cet article Que faire de cette plaque sur le pénis qui m’obsède ? est apparu en premier sur Union.
Cet article Des travailleuses du sexe en ligne veulent montrer les coulisses de leur métier dans un docu est apparu en premier sur Madmoizelle.
Gene+ation, saison 3 de Sex Education, Euphoria… La jeune génération s’éduque et nous rééduque en renouvelant genres et sexualités, avec un naturel débordant.
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Bon, les fappos, l’heure est grave. J’ai perdu le mojo, ça fait déjà 15 jours que je ne me suis pas fappée. Je fais malgré moi le No Nut November. Ma conscience s’ouvre désormais et je peux parler avec les dauphins et contrôler l’air de la VMC. Pour tenter de reprendre contact avec le monde du fiak, je vous ai concocté une double ration de gif, pour vous en mettre plein les mirettes (et plein partout où vous voulez hein). Moi, je reste dans mon abstinence transcendantale et je vous tiens au courant concernant les baleines cosmiques. C’est parti, let’s go !
Vous avez déjà ressenti cette urgence totale de baiser votre partenaire pendant une fête entre copains ? Bah John and Sky, oui. Tellement que tous les deux ils annexent une chambre dans la maison d’amis pendant une soirée étudiante et qu’ils se la donnent à cœur joie.
Mandy Muse pour Analized ça fait des étincelles. Son cul est en passe de rentrer dans les annales (vous l’avez ?). Et puis cette endurance admirable qu’elle a, c’est assez dingue. Point bonus, je vous conseille de l’écouter, ses gémissements sont aussi appréciables que son boule.
Tous les dimanches, quand je bricole et que je ponce des tabourets, je me dis « hm j’aimerais bien que quelqu’un me bouffe la chatte ». Girls out West l’a fait, merci, mes dimanches sont moins gris. Mais j’ai pas d’escabeau, ça c’est fâcheux. Plus qu’à regarder Kit Farrin et Luci Q s’éclater.
Le trou d’balle de Molly Kelt en gros plan, c’est tout simplement ce qu’il nous fallait pour oublier qu’on ne voit pas la lumière du jour en ce moment. En reverse cow girl ou en levrette, moi je dis oui à son derche.
L’inénarrable Danika Mori est dans une chambre d’hôtel. Autant vous dire que l’érection, la fellation et l’éjaculation ne sont pas loin dans l’équation. Avec un plan caméra bien gonzo, le flash sur le visage pour y distinguer la moindre micro-expression. Parfait.
Image en une : mes nouveaux amis les dauphins
« Bonjour docteur, j’aimerais connaître votre avis sur une interrogation qui nous préoccupe mon amie et moi. J’ai 64 ans et elle 52. Nous vivons ensemble depuis neuf mois et nous faisons l’amour sans aucun moyen de contraception. Nous sommes allés consulter un gynécologue, car mon amie souhaitait qu’on lui prescrive soit la pilule, soit un stérilet. Mais le médecin nous a dit qu’à 52 ans, elle n’avait absolument aucun risque de tomber enceinte. Mon amie est ressortie très perturbée et perplexe. Nous aimerions connaître votre avis sur les dires de ce professionnel. »
La contraception est-elle utile si la femme est ménopausée ?Pour donner une réponse cohérente à votre question, il nous manque une information capitale : votre compagne est-elle ou non ménopausée ? C’est-à-dire, a-t-elle encore ses règles ou non ? Avant de vous renseignez pour que votre amie prenne un moyen de contraception, il est primordial d’avoir cette information.
Comme vous avez consulté un gynécologue et qu’il a pu vous donner une réponse, il y a fort à parier que votre amie soit effectivement ménopausée, et qu’elle ne risque donc plus d’être enceinte.
Prendre une contraception même à l’approche de la ménopause ?L’arrêt des règles se produit au moment où les ovaires d’une femme cessent de produire des hormones sexuelles, à savoir ce que l’on nomme : les oestrogènes. Ainsi que les ovules, cellules de la reproduction. Les deux sont nécessaires à la survenue d’une...Lire la suite sur Union
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La pornographie semble avoir normalisé le sexe bruyant. Acteurs ou actrices, ces derniers ne lésinent pas sur les moyens quand il s’agit de faire péter les décibels au cours de leurs performances sexuelles. Crier son plaisir sexuel est-il un acte propre à la pornographie ? Les cris sont-ils synonymes de simulation ou de plaisir réel et profond ?
Les formes de langage pendant l’acte sexuelLe langage qui resurgit en plein acte sexuel intéresse certains spécialistes, qui tentent de le comprendre et le définir. Révélant la part animale qui sommeille en chacun de nous, la communication en pleine partie de jambe en l’air ne se résume pas qu’au très popularisé : dirty talk.
Du côté de la science, et même de la poésie, les différentes formes d’expression linguistiques et sonores émises par les partenaires en plein acte sexuel (cris, gémissements, grognements, etc.) sont répertoriés sous l’appellation « vocalisation copulatoire ». Le docteur Pierre Desvaux, sexologue et andrologue, qualifie ces sonorités orgasmiques comme étant des moyens de communication : » C’est une manière de communiquer. Quand la femme prend du plaisir, elle le manifeste. C’est une manière de dire que c’est bon et qu’il (ou elle) peut continuer« . Il appuie ses propos en insistant sur le côté animal, qui...Lire la suite sur Union
Cet article L’amour sonore : pourquoi crie-t-on lors de l’orgasme ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour docteur, je viens vers vous car je rencontre un problème qui, je pense, concerne un bon nombre de femmes : les douleurs liées aux menstruations. J’ai un sérieux problème de règles ultra douloureuses qui s’est amplifié ces deux-trois dernières années. J’ai peur que le terme ne soit pas approprié tellement la douleur est insupportable. J’ai si mal dans ces moments-là que mon corps tremble. J’ai consulté mon généraliste qui m’a prescrit de l’ibuprofène. Mais ce traitement n’a pas du tout été efficace. J’en suis arrivée à un tel point que mes règles m’empêchent de dormir la nuit. Je ne peux même plus mettre de tampons, alors que je le pouvais autrefois. Je trouve cette situation anormale et j’aimerais savoir ce qui peut être à l’origine de telles douleurs. Existe-t-il des traitements efficaces pour me soulager ? »
Douleurs menstruelles : une consultation médicale s’imposeComme vous le présumez, vous n’êtes pas la seule femme à subir de terribles douleurs en période de règles. Et je vous crois parfaitement, lorsque vous affirmez que ces douleurs peuvent être terriblement insupportables et même handicapantes. Cela dit, les conseils fournis via cette FAQ, ne se substituent pas à une prescription ou une consultation médicale physique.
Seule une consultation chez un médecin peut déterminer avec exactitude le problème dont vous souffrez. Il faut d’abord retourner voir votre généraliste et l’informer de l’inefficacité du traitement...Lire la suite sur Union
Cet article J’ai des douleurs insupportables durant les règles, comment régler ce problème ? est apparu en premier sur Union.
Chaque année, le 20 novembre, la Journée Internationale du Souvenir Trans commémore les personnes trans mortes à cause de la transphobie. Cette journée, dédiée à la mémoire des personnes décédées, a aussi pour objet de mettre en lumière les violences subies par la communauté trans et de faire ce rappel, simple mais nécessaire : la transphobie tue.
La transphobie tue et ça n’est pas que le fait d’assassinats par des inconnus, ça n’est pas que « ailleurs », ça n’est pas que « marginal » : ce sont, chaque année, plusieurs centaines de personnes trans tuées à travers le monde, y compris en France, et nous ne parlons ici que des meurtres et décès recensés. La transphobie tue par harcèlement scolaire, professionnel ou sur Internet, par appels à la haine médiatisés, par discrimination dans l’accès au logement ou à l’emploi et précarisation forcée, par violences médicales, par représentations péjoratives et pathologisantes des personnes trans, par rejet de l’entourage, et ce ne sont que quelques exemples. La transphobie tue par coups mais aussi par usure.
Pathologiser, déshumaniserEt la transphobie n’existe jamais en soi : elle est toujours issue du mépris voire de la haine de personnes transphobes envers les personnes trans. Elle est issue de l’adhésion à un système de pensée qui considère qu’à un certain type de corps correspond nécessairement un certain genre et que les personnes trans sont une anomalie à rectifier, ou un problème à résoudre. Que ce soit par essentialisme biologique, par perception de la transidentité comme maladie mentale, comme marque de confusion d’une personne qu’il faudrait « remettre dans le droit chemin », ou encore comme une « tragédie » à éviter, l’idée sous-jacente de la transphobie est celle d’une illégitimité fondamentale des identités trans. Illégitimité qui rendrait normal de les remettre en cause, de les examiner et de les discuter, d’en faire un sujet de débat public et privé : la transphobie transforme les personnes trans en choses publiques, qui appartiendraient aux regards, aux questions inquisitrices et aux envies de toustes les autres. La transphobie fait des personnes trans des objets de curiosité ou de fétiche, sur lesquels les personnes cisgenres auraient par définition une supériorité implicite et un droit d’appropriation. Un droit de demande de justification de leurs identités, de leurs corps et de leurs vécus. Elle déshumanise à chaque instant, elle met en danger, elle tue.
Ce n’est pas la transidentité la tragédie des personnes trans. C’est la transphobie.
JOURNÉE INTERNATIONALE DU SOUVENIR TRANS
En mémoire aux personnes trans mortes à cause de la transphobie.
Rassemblements le 20 novembre 2021, à 18h30 place de la Comédie-Lyon 1 / à 18h30 place Félix Poulat-Grenoble.
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Magaly Pirotte (ancienne membre du collectif d’À bâbord !) est l’humaine derrière le projet SEX-ED +, qui crée du matériel pour les professionnel·le·s de la santé et de l’éducation à la sexualité. Propos recueillis par Pedro Marques dans le cadre du projet Vamos falar de sexualidade (Parlons de sexualité). Traduction et adaptation par Magaly Pirotte.
Pedro Marques : Qu’est-ce qui t’a motivée à travailler dans le domaine des droits sexuels et reproductifs ?
Magaly Pirotte : Pendant mes études, j’ai travaillé sur les mouvements anti-autoritaires, notamment queer et féministes, auxquels j’appartenais. C’est un milieu dans lequel il y a beaucoup de réflexions critiques et politiques autour des corps et des sexualités. Plus tard, j’ai travaillé dans le milieu communautaire, en santé des femmes et en défense des droits sexuels et reproductifs.
Les sexualités m’ont toujours fascinée parce que c’est brut, fondamental, constitutif de l’humain, que l’on soit actif·ve ou pas. C’est une zone dans laquelle s’exprime la vulnérabilité, la beauté, la créativité, mais aussi la douleur, le trauma et la résilience. C’est à la fois intime et inextricablement lié aux contextes sociaux et politiques. Quels sont les corps considérés comme désirables ? Quelles personnes ont la possibilité de faire des choix reproductifs ? Quelles communautés ont accès aux services de base ? Comment se construisent nos fantasmes ? Nous sommes les produits de nos sociétés et ce bagage nous suit bien évidemment dans la chambre à coucher.
Intellectuellement, j’ai été électrisée par le mouvement pour la justice reproductive aux États-Unis et son analyse de la sexualité et de la reproduction en lien avec le genre, la race et la classe. Personnellement, mes perspectives et pratiques intimes ont été transformées par la lecture d’ouvrages sur le sexe lesbien et le sexe en situation de handicap, qui remettent en question le script hétéronormé de la sexualité, qui permettent de déconstruire ce qui est tenu pour acquis, et d’imaginer des sexualités plus libres et plus satisfaisantes.
PM : Comment le projet SEX-ED + a-t-il vu le jour ?
MP : Au cours des dernières années, j’ai travaillé sur les pratiques anti-oppressives dans l’éducation à la sexualité. C’est venu de la réalisation qu’en dépit des meilleures intentions, la plupart des éducateurs et éducatrices à la sexualité transmettent involontairement des contenus qui perpétuent des stéréotypes et des valeurs pouvant avoir un impact très négatif sur leur public cible. Par exemple : renforcer les stéréotypes de genre, aborder la sexualité dans une perspective hétérocisnormative, ne pas prendre en compte les contextes sociaux (tels que le racisme ou le handicap) et leurs impacts sur les corps et les sexualités.
Avec des membres de l’UQAM, nous avons publié une recherche sur les besoins des jeunes en matière d’éducation à la sexualité et sur les impacts négatifs d’un contenu qui n’est pas positif, inclusif et émancipateur. Mais les recherches, ce n’est pas très lu par les gens de terrain (ce qui est compréhensible, vu que ça ne fait souvent pas partie de leurs tâches rémunérées). Alors j’ai commencé à penser aux stratégies qui pourraient avoir un impact concret, dans un contexte de manque de ressources et de formation insuffisante du personnel qui est amené à faire l’éducation à la sexualité (infirmières, profs, intervenant·e·s, etc.). Une des pistes, c’était de changer les outils pédagogiques pour contribuer à changer les discussions.
Quand on y pense, les outils utilisés pour l’éducation à la sexualité se limitent souvent à des schémas d’organes reproducteurs, et éventuellement à un objet oblong qui permet de démontrer la pose de condom externe. La discussion est donc automatiquement axée sur la reproduction et la prophylaxie, ce qui ne représente qu’une toute petite partie de ce qu’est la sexualité. Les gens veulent entendre parler de corps, de sentiments, d’émotions, de désir et de plaisir. De consentement. Mon objectif, c’est de fournir des outils qui vont aider à avoir ces discussions. Parce qu’on n’a pas la même conversation autour d’un clitoris en 3D qu’autour d’un dessin de trompe de Fallope.
PM : Quel est l’aspect le plus satisfaisant de ton travail ?
MP : C’est lorsque des personnes qui utilisent les outils me partagent leurs interventions et les réactions des usager·e·s. Contribuer à ce que les gens connaissent mieux leur corps, comprennent mieux leurs réponses sexuelles et celles des autres, c’est très satisfaisant. J’aime aussi quand les professionnel·le·s me contactent afin de me faire part de leurs besoins. C’est très concret comme travail, je contribue à outiller mon milieu de pratique en répondant à ses besoins, et en parallèle quand j’ai un peu de temps je continue à faire de la recherche sur l’éducation à la sexualité et les meilleures pratiques.
Par contre, on s’entend que c’est toute une aventure pour une vieille semi-punk qui travaillait dans le communautaire de partir ce genre de projet, qui est de forme auto-entrepreneuriale (vous ne pensiez tout de même pas que la fabrication d’organes génitaux était financée ?). Mais c’est très satisfaisant de porter un projet solo, dans le sens où il n’y a pas de structure administrative lourde, pas de CA ou de bailleurs de fonds à convaincre. Bref, c’est un délicat mélange de sueur et de grande liberté.
PM : Selon toi, quels sont les besoins en matière d’éducation et de santé sexuelle ?
MP : Il faut être plus à l’écoute des populations desservies. Cesser de créer des programmes qui contiennent ce qu’on pense que notre « clientèle » doit savoir, mais au contraire développer les contenus en partenariat avec le public cible, afin d’être au plus près de leurs connaissances, de leurs besoins et de leurs réalités. Parce que le but de l’éducation à la sexualité, c’est d’abord et avant tout de donner aux gens les outils dont ils et elles ont besoin, en lien avec leurs réalités.
Ce qui serait formidable, c’est que toutes les personnes qui font de l’éducation à la sexualité aient accès à de la formation continue sur les systèmes d’oppression et de privilège ; sur l’impact des contextes sociaux sur la vie et l’intimité des individus et des communautés ; et sur le traumatisme et la résilience. D’abord, pour être en mesure d’interroger leurs conceptions personnelles de ce qu’est une « bonne » sexualité et pouvoir ainsi mieux accueillir et soutenir les autres, peu importe leurs identités, pratiques ou expériences. Mais aussi, pour recevoir du soutien, car c’est un travail exigeant émotionnellement, et il est important de s’outiller, de se ressourcer et de partager ses pratiques avec d’autres professionnel·le·s.
PM : Pourquoi selon toi est-il nécessaire de parler d’anatomies génitales ?
MP : Parce que c’est encore en grande partie inexploré, et que les impacts de cette méconnaissance sont concrets. Tout ce qui entoure les génitalités est considéré comme honteux, tabou. Nombre de gens vivent dans la gêne par rapport à leur corps, et comme le dit le vieux dicton, « là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ». Les professionnel·le·s de la santé ont peu ou pas de formation sur le sujet. (On se rappelle que le premier modèle de clitoris 3D a été rendu disponible en 2016 seulement.) On opère des utérus, des vulves et des clitoris sans précisément connaitre l’anatomie de la zone et les systèmes nerveux impliqués. Les personnes qui présentent des variations génitales par rapport à la norme attendue (par exemple dans les cas d’intersexuation ou de mutilation génitale) font face à du personnel non formé dont les réactions ne sont pas toujours appropriées. Même les cliniques qui offrent des chirurgies génitales d’affirmation de genre n’ont pas d’outils en 3D pour aborder l’anatomie et les modifications entrainées par la prise d’hormones et/ou la chirurgie génitale.
Bref, il y a un déficit général de connaissances sur le sujet qu’il est important de combler. La pornographie ne devrait pas être l’unique espace où trouver des réponses pour les gens qui se posent des questions sur leur corps et sur leur sexualité.
Le billet Une éducation à la sexualité inclusive et émancipatrice apparaît en premier sur SEX-ED +.
Magaly Pirotte (ancienne membre du collectif d’À bâbord !) est l’humaine derrière le projet SEX-ED +, qui crée du matériel pour les professionnel·le·s de la santé et de l’éducation à la sexualité. Propos recueillis par Pedro Marques dans le cadre du projet Vamos falar de sexualidade (Parlons de sexualité). Traduction et adaptation par Magaly Pirotte.
Pedro Marques : Qu’est-ce qui t’a motivée à travailler dans le domaine des droits sexuels et reproductifs ?
Magaly Pirotte : Pendant mes études, j’ai travaillé sur les mouvements anti-autoritaires, notamment queer et féministes, auxquels j’appartenais. C’est un milieu dans lequel il y a beaucoup de réflexions critiques et politiques autour des corps et des sexualités. Plus tard, j’ai travaillé dans le milieu communautaire, en santé des femmes et en défense des droits sexuels et reproductifs.
Les sexualités m’ont toujours fascinée parce que c’est brut, fondamental, constitutif de l’humain, que l’on soit actif·ve ou pas. C’est une zone dans laquelle s’exprime la vulnérabilité, la beauté, la créativité, mais aussi la douleur, le trauma et la résilience. C’est à la fois intime et inextricablement lié aux contextes sociaux et politiques. Quels sont les corps considérés comme désirables ? Quelles personnes ont la possibilité de faire des choix reproductifs ? Quelles communautés ont accès aux services de base ? Comment se construisent nos fantasmes ? Nous sommes les produits de nos sociétés et ce bagage nous suit bien évidemment dans la chambre à coucher.
Intellectuellement, j’ai été électrisée par le mouvement pour la justice reproductive aux États-Unis et son analyse de la sexualité et de la reproduction en lien avec le genre, la race et la classe. Personnellement, mes perspectives et pratiques intimes ont été transformées par la lecture d’ouvrages sur le sexe lesbien et le sexe en situation de handicap, qui remettent en question le script hétéronormé de la sexualité, qui permettent de déconstruire ce qui est tenu pour acquis, et d’imaginer des sexualités plus libres et plus satisfaisantes.
PM : Comment le projet SEX-ED + a-t-il vu le jour ?
MP : Au cours des dernières années, j’ai travaillé sur les pratiques anti-oppressives dans l’éducation à la sexualité. C’est venu de la réalisation qu’en dépit des meilleures intentions, la plupart des éducateurs et éducatrices à la sexualité transmettent involontairement des contenus qui perpétuent des stéréotypes et des valeurs pouvant avoir un impact très négatif sur leur public cible. Par exemple : renforcer les stéréotypes de genre, aborder la sexualité dans une perspective hétérocisnormative, ne pas prendre en compte les contextes sociaux (tels que le racisme ou le handicap) et leurs impacts sur les corps et les sexualités.
Avec des membres de l’UQAM, nous avons publié une recherche sur les besoins des jeunes en matière d’éducation à la sexualité et sur les impacts négatifs d’un contenu qui n’est pas positif, inclusif et émancipateur. Mais les recherches, ce n’est pas très lu par les gens de terrain (ce qui est compréhensible, vu que ça ne fait souvent pas partie de leurs tâches rémunérées). Alors j’ai commencé à penser aux stratégies qui pourraient avoir un impact concret, dans un contexte de manque de ressources et de formation insuffisante du personnel qui est amené à faire l’éducation à la sexualité (infirmières, profs, intervenant·e·s, etc.). Une des pistes, c’était de changer les outils pédagogiques pour contribuer à changer les discussions.
Quand on y pense, les outils utilisés pour l’éducation à la sexualité se limitent souvent à des schémas d’organes reproducteurs, et éventuellement à un objet oblong qui permet de démontrer la pose de condom externe. La discussion est donc automatiquement axée sur la reproduction et la prophylaxie, ce qui ne représente qu’une toute petite partie de ce qu’est la sexualité. Les gens veulent entendre parler de corps, de sentiments, d’émotions, de désir et de plaisir. De consentement. Mon objectif, c’est de fournir des outils qui vont aider à avoir ces discussions. Parce qu’on n’a pas la même conversation autour d’un clitoris en 3D qu’autour d’un dessin de trompe de Fallope.
PM : Quel est l’aspect le plus satisfaisant de ton travail ?
MP : C’est lorsque des personnes qui utilisent les outils me partagent leurs interventions et les réactions des usager·e·s. Contribuer à ce que les gens connaissent mieux leur corps, comprennent mieux leurs réponses sexuelles et celles des autres, c’est très satisfaisant. J’aime aussi quand les professionnel·le·s me contactent afin de me faire part de leurs besoins. C’est très concret comme travail, je contribue à outiller mon milieu de pratique en répondant à ses besoins, et en parallèle quand j’ai un peu de temps je continue à faire de la recherche sur l’éducation à la sexualité et les meilleures pratiques.
Par contre, on s’entend que c’est toute une aventure pour une vieille semi-punk qui travaillait dans le communautaire de partir ce genre de projet, qui est de forme auto-entrepreneuriale (vous ne pensiez tout de même pas que la fabrication d’organes génitaux était financée ?). Mais c’est très satisfaisant de porter un projet solo, dans le sens où il n’y a pas de structure administrative lourde, pas de CA ou de bailleurs de fonds à convaincre. Bref, c’est un délicat mélange de sueur et de grande liberté.
PM : Selon toi, quels sont les besoins en matière d’éducation et de santé sexuelle ?
MP : Il faut être plus à l’écoute des populations desservies. Cesser de créer des programmes qui contiennent ce qu’on pense que notre « clientèle » doit savoir, mais au contraire développer les contenus en partenariat avec le public cible, afin d’être au plus près de leurs connaissances, de leurs besoins et de leurs réalités. Parce que le but de l’éducation à la sexualité, c’est d’abord et avant tout de donner aux gens les outils dont ils et elles ont besoin, en lien avec leurs réalités.
Ce qui serait formidable, c’est que toutes les personnes qui font de l’éducation à la sexualité aient accès à de la formation continue sur les systèmes d’oppression et de privilège ; sur l’impact des contextes sociaux sur la vie et l’intimité des individus et des communautés ; et sur le traumatisme et la résilience. D’abord, pour être en mesure d’interroger leurs conceptions personnelles de ce qu’est une « bonne » sexualité et pouvoir ainsi mieux accueillir et soutenir les autres, peu importe leurs identités, pratiques ou expériences. Mais aussi, pour recevoir du soutien, car c’est un travail exigeant émotionnellement, et il est important de s’outiller, de se ressourcer et de partager ses pratiques avec d’autres professionnel·le·s.
PM : Pourquoi selon toi est-il nécessaire de parler d’anatomies génitales ?
MP : Parce que c’est encore en grande partie inexploré, et que les impacts de cette méconnaissance sont concrets. Tout ce qui entoure les génitalités est considéré comme honteux, tabou. Nombre de gens vivent dans la gêne par rapport à leur corps, et comme le dit le vieux dicton, « là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ». Les professionnel·le·s de la santé ont peu ou pas de formation sur le sujet. (On se rappelle que le premier modèle de clitoris 3D a été rendu disponible en 2016 seulement.) On opère des utérus, des vulves et des clitoris sans précisément connaitre l’anatomie de la zone et les systèmes nerveux impliqués. Les personnes qui présentent des variations génitales par rapport à la norme attendue (par exemple dans les cas d’intersexuation ou de mutilation génitale) font face à du personnel non formé dont les réactions ne sont pas toujours appropriées. Même les cliniques qui offrent des chirurgies génitales d’affirmation de genre n’ont pas d’outils en 3D pour aborder l’anatomie et les modifications entrainées par la prise d’hormones et/ou la chirurgie génitale.
Bref, il y a un déficit général de connaissances sur le sujet qu’il est important de combler. La pornographie ne devrait pas être l’unique espace où trouver des réponses pour les gens qui se posent des questions sur leur corps et sur leur sexualité.
Le billet Une éducation à la sexualité inclusive apparaît en premier sur SEX-ED +.
Il est rare que les éducatrices et éducateurs à la sexualité aient le temps et les ressources nécessaires pour se tenir au fait des publications scientifiques. Pourtant les informations qu’on y trouve sont importantes pour la formation continue, l’évaluation d’impact, ou même pour avoir des données solides et à jour lors d’une demande de financement ou d’une activité de lobbying politique.
L’information scientifique, au lieu de se cacher derrière les murs payants des bibliothèques universitaires, devrait être accessible à toutes et tous. C’est pourquoi le projet SEX-ED + se donne pour mission, à temps perdu, de traduire et transmettre les contenus trouvés dans ses lectures. Quitte à être nerd, autant en partager les bénéfices!
Cette série de publications met de l’avant des recherches récentes faites sur l’éducation à la sexualité au Canada. Les vignettes sont disponibles sur les profils Facebook et Instagram du projet SEX-ED +.
Qu’est-ce que l’éducation à la sexualité?
L’éducation à la sexualité est le processus d’apprentissage et d’enseignement des aspects émotionnels, cognitifs, physiques et sociaux de la sexualité. Elle vise à transmettre aux enfants et aux jeunes les connaissances, les attitudes, les valeurs et les habiletés nécessaires :
Extrait de : Comprehensive sexuality education youth assessment. A for-youth, by-youth report on the state of sexual health in Canada. International Youth Alliance for Family Planning, 2021.
L’éducation à la sexualité, ça aborde quoi?L’éducation à la sexualité touche à tellement plus de sujets que le sexe. C’est le rapport au corps, la compréhension des changements qui ont lieu à différents moments de la vie, le consentement, les limites, l’impact des technologies sur l’image corporelle, la sexualité, le plaisir…
L’éducation à la sexualité devrait commencer le plus tôt possible. On se préoccupe beaucoup de la santé physique, pourquoi est-ce qu’on n’accorde pas le même intérêt à la santé sexuelle et reproductive? Que ce soient des sujets tabous n’est pas une excuse pour priver les jeunes des connaissances et des habiletés nécessaires pour négocier leur santé sexuelle et reproductive.
L’éducation à la sexualité contribue à une société plus heureuse et en santé.
Extrait de : Comprehensive sexuality education youth assessment. A for-youth, by-youth report on the state of sexual health in Canada. International Youth Alliance for Family Planning 2021
Que pensent les parents de l’éducation à la sexualité?Il y a souvent de l’appréhension lors de la mise en place de programmes d’éducation à la sexualité, notamment par crainte de la réaction des familles. Pourtant, la grande majorité des parents Canadiens sont en faveur de ces cours qui permettent à leurs enfants d’en apprendre plus sur leur corps et leurs relations, de façon respectueuse et avec un encadrement professionnel.
L’éducation à la sexualité est un processus auquel tous les adultes qui entourent un.e jeune participent. La collaboration entre ces adultes significatifs est la clef pour élever des jeunes épanouis et à l’aise dans leur corps et leurs interactions.
85% des parents au Canada soutiennent l’éducation à la sexualité en milieu scolaire et souhaitent que les programmes soient complets et transmettent des informations médicalement exactes.Les parents souhaitent que l’éducation à la sexualité inclue autant les aspects de prévention des risques que ceux liés à l’amélioration de la santé sexuelle.
Extrait de : Attitudes towards sexual health education in schools: A national survey of parents in Canada. Wood et al. 2021
Que pensent les jeunes de l’éducation à la sexualité?Les jeunes veulent en apprendre plus sur les aspects positifs de la sexualité et des relations intimes. Lorsque les contenus se concentrent sur la prévention des conséquences négatives, cela peut contribuer à créer un sentiment de honte et de culpabilité lorsqu’on prend la décision de devenir sexuellement actif ou active.
Ce dont témoigne un.e participant.e à un groupe de discussion:
“ Ça m’a fait sentir que le sexe c’est mal, et qu’y succomber est un signe de faiblesse. Je pense que si j’en avais appris un peu plus sur le fait que la sexualité est une activité saine, normale et qui peut nous faire sentir bien, ça aurait changé pas mal de choses. ”
Extraits de : Let’s talk about sexual health education: Youth perspectives on their learning experiences in Canada. Erin K. Laverty et. al., 2021.
Quels sont les contenus importants en éducation à la sexualité?« C’est important les apprentissages des anatomies mais il y a peut-être un peu trop d’emphase sur les organes internes et les termes techniques dont on ne va pas se souvenir ou qui ne sont pas très utiles dans les activités sexuelles du quotidien. On devrait passer plus de temps à parler de relations saines et épanouies plutôt qu’expliquer dans quelle partie des testicules le sperme est fabriqué. »
Extraits de: Let’s talk about sexual health education: Youth perspectives on their learning experiences in Canada, Erin K. Laverty et. al., 2021
Qu’est-ce qui est important dans la formation des pédagogues en éducation à la sexualité?Enseigner les sujets liés au genre et à la sexualité ce n’est pas quelque chose qui s’apprend en claquant des doigts. Malheureusement, plusieurs se retrouvent projeté.e.s sur le devant de la scène (par exemple les profs au Québec) sans avoir reçu de formation pour le faire. Mais les meilleures intentions du monde ne peuvent compenser le manque de formation. L’éducation à la sexualité est un sujet complexe- Il y a le contenu « technique » à proprement parler- Mais aussi le savoir-être- La déconstruction de qui on est et d’où on vient, qui teinte nos perceptions de ce qu’est une « bonne » sexualité- La compréhension des contextes sociaux et de leurs impacts sur les corps et les relations- Et aussi, fondamentalement, la connaissance du public à qui sont adressés les contenus. Et leurs besoins et leurs expertises.
Les résultats de recherche montrent que les pédagogues devraient être au courant des perspectives des jeunes du Canada afin de mieux comprendre et reconnaitre leurs besoins, et d’identifier les angles morts de l’éducation à la sexualité.
Cette recherche montre que les jeunes ont un point de vue critique et perspicace sur l’éducation à la sexualité qu’ils et elles reçoivent, et qu’il est fondamental de tenir compte de leurs perspectives dans la création des contenus qui leur sont destinés.
Extrait de: Let’s talk about sexual health education: Youth perspectives on their learning experiences in Canada. Erin K. Laverty et. Al. 2021
Quel est le rapport entre justice sociale et éducation à la sexualité?L’éducation à la sexualité, ce n’est pas juste parler de comment les corps s’enlacent et s’entremêlent.
C’est être capable de comprendre et d’expliquer les contextes sociaux et leurs impacts sur les corps et les relations. C’est parler d’accès à l’eau potable, à de la nourriture saine, à un logement décent et à des services de santé. C’est aborder les notions d’autonomie corporelle et de capacité de prendre- ou pas- des décisions sur sa vie, son corps et sa famille. C’est parler du contrôle et de la répression des corps Noirs, Bruns, Handicapés ou Queers. C’est prendre à bras le corps des sujets vrais, bruts, douloureux, qui nous affectent dans nos zones les plus intimes.
C’est pour ça que lorsqu’elle est bien faite, l’éducation à la sexualité à la capacité d’être un moteur d’émancipation et de changement social.
Comme l’a noté un-e participant-e,
« l’éducation complète à la sexualité a un rôle à jouer pour modifier les scénarios culturels et remettre en question la honte et la stigmatisation, faire progresser la justice reproductive, démanteler le patriarcat et la suprématie blanche, et promouvoir la dignité, le respect et la guérison des jeunes et des adultes marginalisé-es ».
Extrait de : Ensemble pour l’éducation à la sexualité : Rapport sur les résultats Juin 2021, Action Canada pour la santé et les droits sexuels.
Plaisir et éducation à la sexualité?« Les programmes d’éducation à la sexualité qui mettent le plaisir au centre de leur enseignement sont ceux qui partagent le plus de contenu en lien avec les relations saines et la violence sexuelle (…) Ces constats sont congruents avec la littérature qui suggère que les conversations autour du plaisir sont fondamentales (…) et contribuent à prévenir les violences sexuelles en aidant les personnes à être en contrôle de leurs expériences et à comprendre ce qu’elles font, ce qu’elles veulent et ce qu’elles ne veulent pas. »
Extrait de : School context and content in Canadian sex education, 2020, Dana S. Levin et Amy C. Hammock.
Le billet L’éducation à la sexualité au Canada – Données de recherche apparaît en premier sur SEX-ED +.
Il est rare que les éducatrices et éducateurs à la sexualité aient le temps et les ressources nécessaires pour se tenir au fait des publications scientifiques. Pourtant les informations qu’on y trouve sont importantes pour la formation continue, l’évaluation d’impact, ou même pour avoir des données solides et à jour lors d’une demande de financement ou d’une activité de lobbying politique.
L’information scientifique, au lieu de se cacher derrière les murs payants des bibliothèques universitaires, devrait être accessible à toutes et tous. C’est pourquoi le projet SEX-ED + se donne pour mission, à temps perdu, de traduire et transmettre les contenus trouvés dans ses lectures. Quitte à être nerd, autant en partager les bénéfices!
Cette série de publications met de l’avant des recherches récentes faites sur l’éducation à la sexualité au Canada. Les vignettes sont disponibles sur les profils Facebook et Instagram du projet SEX-ED +.
Qu’est-ce que l’éducation à la sexualité?
L’éducation à la sexualité est le processus d’apprentissage et d’enseignement des aspects émotionnels, cognitifs, physiques et sociaux de la sexualité. Elle vise à transmettre aux enfants et aux jeunes les connaissances, les attitudes, les valeurs et les habiletés nécessaires :
Extrait de : Comprehensive sexuality education youth assessment. A for-youth, by-youth report on the state of sexual health in Canada. International Youth Alliance for Family Planning, 2021.
L’éducation à la sexualité, ça aborde quoi?L’éducation à la sexualité touche à tellement plus de sujets que le sexe. C’est le rapport au corps, la compréhension des changements qui ont lieu à différents moments de la vie, le consentement, les limites, l’impact des technologies sur l’image corporelle, la sexualité, le plaisir…
L’éducation à la sexualité devrait commencer le plus tôt possible. On se préoccupe beaucoup de la santé physique, pourquoi est-ce qu’on n’accorde pas le même intérêt à la santé sexuelle et reproductive? Que ce soient des sujets tabous n’est pas une excuse pour priver les jeunes des connaissances et des habiletés nécessaires pour négocier leur santé sexuelle et reproductive.
L’éducation à la sexualité contribue à une société plus heureuse et en santé.
Extrait de : Comprehensive sexuality education youth assessment. A for-youth, by-youth report on the state of sexual health in Canada. International Youth Alliance for Family Planning 2021
Que pensent les parents de l’éducation à la sexualité?Il y a souvent de l’appréhension lors de la mise en place de programmes d’éducation à la sexualité, notamment par crainte de la réaction des familles. Pourtant, la grande majorité des parents Canadiens sont en faveur de ces cours qui permettent à leurs enfants d’en apprendre plus sur leur corps et leurs relations, de façon respectueuse et avec un encadrement professionnel.
L’éducation à la sexualité est un processus auquel tous les adultes qui entourent un.e jeune participent. La collaboration entre ces adultes significatifs est la clef pour élever des jeunes épanouis et à l’aise dans leur corps et leurs interactions.
85% des parents au Canada soutiennent l’éducation à la sexualité en milieu scolaire et souhaitent que les programmes soient complets et transmettent des informations médicalement exactes.Les parents souhaitent que l’éducation à la sexualité inclue autant les aspects de prévention des risques que ceux liés à l’amélioration de la santé sexuelle.
Extrait de : Attitudes towards sexual health education in schools: A national survey of parents in Canada. Wood et al. 2021
Que pensent les jeunes de l’éducation à la sexualité?Les jeunes veulent en apprendre plus sur les aspects positifs de la sexualité et des relations intimes. Lorsque les contenus se concentrent sur la prévention des conséquences négatives, cela peut contribuer à créer un sentiment de honte et de culpabilité lorsqu’on prend la décision de devenir sexuellement actif ou active.
Ce dont témoigne un.e participant.e à un groupe de discussion:
“ Ça m’a fait sentir que le sexe c’est mal, et qu’y succomber est un signe de faiblesse. Je pense que si j’en avais appris un peu plus sur le fait que la sexualité est une activité saine, normale et qui peut nous faire sentir bien, ça aurait changé pas mal de choses. ”
Extraits de : Let’s talk about sexual health education: Youth perspectives on their learning experiences in Canada. Erin K. Laverty et. al., 2021.
Quels sont les contenus importants en éducation à la sexualité?« C’est important les apprentissages des anatomies mais il y a peut-être un peu trop d’emphase sur les organes internes et les termes techniques dont on ne va pas se souvenir ou qui ne sont pas très utiles dans les activités sexuelles du quotidien. On devrait passer plus de temps à parler de relations saines et épanouies plutôt qu’expliquer dans quelle partie des testicules le sperme est fabriqué. »
Extraits de: Let’s talk about sexual health education: Youth perspectives on their learning experiences in Canada, Erin K. Laverty et. al., 2021
Qu’est-ce qui est important dans la formation des pédagogues en éducation à la sexualité?Enseigner les sujets liés au genre et à la sexualité ce n’est pas quelque chose qui s’apprend en claquant des doigts. Malheureusement, plusieurs se retrouvent projeté.e.s sur le devant de la scène (par exemple les profs au Québec) sans avoir reçu de formation pour le faire. Mais les meilleures intentions du monde ne peuvent compenser le manque de formation. L’éducation à la sexualité est un sujet complexe- Il y a le contenu « technique » à proprement parler- Mais aussi le savoir-être- La déconstruction de qui on est et d’où on vient, qui teinte nos perceptions de ce qu’est une « bonne » sexualité- La compréhension des contextes sociaux et de leurs impacts sur les corps et les relations- Et aussi, fondamentalement, la connaissance du public à qui sont adressés les contenus. Et leurs besoins et leurs expertises.
Les résultats de recherche montrent que les pédagogues devraient être au courant des perspectives des jeunes du Canada afin de mieux comprendre et reconnaitre leurs besoins, et d’identifier les angles morts de l’éducation à la sexualité.
Cette recherche montre que les jeunes ont un point de vue critique et perspicace sur l’éducation à la sexualité qu’ils et elles reçoivent, et qu’il est fondamental de tenir compte de leurs perspectives dans la création des contenus qui leur sont destinés.
Extrait de: Let’s talk about sexual health education: Youth perspectives on their learning experiences in Canada. Erin K. Laverty et. Al. 2021
Quel est le rapport entre justice sociale et éducation à la sexualité?L’éducation à la sexualité, ce n’est pas juste parler de comment les corps s’enlacent et s’entremêlent.
C’est être capable de comprendre et d’expliquer les contextes sociaux et leurs impacts sur les corps et les relations. C’est parler d’accès à l’eau potable, à de la nourriture saine, à un logement décent et à des services de santé. C’est aborder les notions d’autonomie corporelle et de capacité de prendre- ou pas- des décisions sur sa vie, son corps et sa famille. C’est parler du contrôle et de la répression des corps Noirs, Bruns, Handicapés ou Queers. C’est prendre à bras le corps des sujets vrais, bruts, douloureux, qui nous affectent dans nos zones les plus intimes.
C’est pour ça que lorsqu’elle est bien faite, l’éducation à la sexualité à la capacité d’être un moteur d’émancipation et de changement social.
Comme l’a noté un-e participant-e,
« l’éducation complète à la sexualité a un rôle à jouer pour modifier les scénarios culturels et remettre en question la honte et la stigmatisation, faire progresser la justice reproductive, démanteler le patriarcat et la suprématie blanche, et promouvoir la dignité, le respect et la guérison des jeunes et des adultes marginalisé-es ».
Extrait de : Ensemble pour l’éducation à la sexualité : Rapport sur les résultats Juin 2021, Action Canada pour la santé et les droits sexuels.
Plaisir et éducation à la sexualité?« Les programmes d’éducation à la sexualité qui mettent le plaisir au centre de leur enseignement sont ceux qui partagent le plus de contenu en lien avec les relations saines et la violence sexuelle (…) Ces constats sont congruents avec la littérature qui suggère que les conversations autour du plaisir sont fondamentales (…) et contribuent à prévenir les violences sexuelles en aidant les personnes à être en contrôle de leurs expériences et à comprendre ce qu’elles font, ce qu’elles veulent et ce qu’elles ne veulent pas. »
Extrait de : School context and content in Canadian sex education, 2020, Dana S. Levin et Amy C. Hammock.
Le billet L’éducation à la sexualité au Canada – Données de recherche apparaît en premier sur SEX-ED +.
Cet article Jusqu’à -70% économisés sur les sextoys pour le Black Friday ! est apparu en premier sur Madmoizelle.
« Avant de rencontrer mon ami, je n’avais jamais eu d’orgasme. Je faisais l’amour pour mon partenaire et non pour moi. Ça me suffisait de donner du plaisir sans jamais en recevoir. D’ailleurs, je ne savais pas comment en prendre, même seule. Aujourd’hui, c’est différent. Cet homme m’a fait découvrir ce que le mot « orgasme » signifiait. Il m’a appris à jouir même si parfois, j’ai encore du mal à me laisser aller. En revanche, il ne parvient pas à savoir à quel moment je jouis, et c’est là mon problème. Il m’a dit récemment : « Je ne sens pas quand tu jouis, tu n’es pas comme les autres femmes qui ont des convulsions au vagin. » Depuis cette conversation, je ne me sens pas bien. Mon ami est le seul homme avec qui j’aime faire l’amour. Pourtant, il n’éprouve rien lorsque j’ai un orgasme, et ça me culpabilise… »
Exprimer son orgasmeMon premier conseil est le suivant : exprimez-vous plus clairement afin d’éviter tout malentendu. En premier lieu, au moment où vous avez un orgasme, dites-le à votre ami. En étant informé, il aura au moins la certitude que vous prenez du plaisir, ce qui lui prouvera qu’il sait vous en donner, même s’il ne le ressent pas directement. Lui signaler lui permettra également de ressentir vos réactions physiques et/ou mentales au moment de la jouissance.
Évidemment que vous n’êtes pas comme les autres femmes, mais il ne faut absolument pas le prendre comme un reproche. C’est une qualité, et j’ai bien...Lire la suite sur Union
Cet article Mon ami se plaint de ne pas ressentir mes orgasmes. Que puis-je faire pour le rassurer ? est apparu en premier sur Union.
« Bonjour docteur, j’ai récemment découvert votre revue et j’en suis ravie. Les conseils, les articles, les récits et les actualités me permettent d’éviter la monotonie dans mes relations avec mon partenaire. D’autant plus qu’il est possible d’en apprendre sur soi, ses pratiques, ses envies et on peut également se confier. Vraiment top, merci ! En parlant de confidence et de conseils, je viens solliciter votre avis sur un problème qui me perturbe : lorsque mon homme me pénètre, ça me fait mal et, en plus, je ne ressens pas de plaisir. Que puis-je faire pour changer ça et pour amener mon ami à s’intéresser au problème, et qui plus est, ressentir un plaisir me traverser pendant nos rapports ? Merci de votre compréhension. »
Laisser son corps s’ouvrir aux plaisirs orgasmiquesLorsqu’une femme éprouve du désir, cela provoque des modifications au niveau de ses organes sexuels. Ces changements corporels ont pour but principal de faciliter les rapports. L’essentiel d’entre eux concerne la circulation sanguine et les sécrétions vaginales, qui augmentent de façon notable, tandis que les fibres musculaires de l’entrée et de la paroi du vagin s’étirent et s’assouplissent.
Nécessaires à une pénétration agréable et sans douleur, ces réactions locales sont plus ou moins rapides. Si le coït a lieu trop tôt, le vagin...Lire la suite sur Union
Cet article Que puis-je faire contre des douleurs à la pénétration et l’absence de plaisir ? est apparu en premier sur Union.
L'excellent «Sortir de l’hétérosexualité», de Juliet Drouar, et des conseils actualité, BD et jeunesse: Payot Libraire nous fait sa sélection de novembre.
L’article Lectures au-delà des genres est apparu en premier sur 360°.