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Le mois de mai est arrivé, apportant avec lui le soleil, la chaleur, les jolies filles en robes légères et les jours fériés. Mais le joli mois de mai, celui pendant lequel nous sommes censés faire ce qui nous plaît nous apporte aussi une obligation : celle de fapper.
Point historique : après un discours aux Nations Unies à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le SIDA 1994 (le 1er décembre, chaque année, rappelez-vous), Jocelyn Elders, premier chirurgien général des Etats Unis de sexe féminin ET de couleur noire, est questionnée sur la masturbation. Sa réponse :
« Je pense que c’est quelque chose qui fait partie de la sexualité humaine et qui devrait peut-être être enseigné ».
Suite à cette déclaration, sa carrière se brise : Jocelyn Elders sera débarquée de son poste le 31 décembre de la même année. C’est pourtant cet événement, qui sonne le départ du Masturbation May : le staff de Good Vibrations (magasin de sextoys), décide de maintenir l’attention sur ce débarquement injuste et de parler de la masturbation comme d’un sujet normal, de la même manière que le voyait Jocelyn Elders, et non pas comme d’un sujet tabou et/ou stigmatisant.
La masturbation : des avantages pour les hommes comme pour les femmes
Rappelons que la masturbation apporte de nombreux avantages, prouvés scientifiquement, aussi bien pour les hommes, qui peuvent réduire jusqu’à un tiers les risques de cancer de la prostate, que pour les femmes, pour qui la masturbation peut permettre de relâcher la tension pré-menstruelle et les crampes qui peuvent être associées à cette période.
Sans parler des avantages pour le couple : pas de risque de transmission de MST, de grossesse non désirée… Sans oublier le principal objectif, se mettre bien à l’endorphine : détente, relaxation, plaisir, swag, bon teint, bonne mine…
Conjointement à ce mois de mai, il existe, un National Masturbation Day, le 28 du mois, à l’initiative de la sexologue Carol Queen, qui voit en la masturbation et en l’orgasme des « droits constitutionnels inaliénables ». Un jour à redoubler d’effort pour garantir ses libertés, donc.
Enfin, si vous vous sentez l’âme d’un(e) athlète, vous pouvez toujours filer à Philly, où se déroule depuis hier – jusqu’au 27 mai – le Masturbate-a-thon. Rien à voir avec la stimulation manuelle d’un poisson quelconque, mais une véritable épreuve d’endurance, créée en 1999, dont le but est aussi de recueillir des fonds pour des associations. Pour vous donner une idée de l’enjeu sportif, essayez de penser à battre l’un des records établis lors de cette manifestation :
- plus longue masturbation : 10 heures et 10 minutes (Sonny Nash, un modèle de porno gay)
- plus grand nombre d’orgasmes : 83 (Big D. Hardie pour les hommes, Loooo-C pour les femmes)
- record de distance d’éjaculation : 4m33 (là encore Big D. Hardie, décidément un forçat)
Un bien beau logo pour une manifestation sportive
En tout cas, vous savez maintenant ce qu’il vous reste à faire de votre joli mois de mai : fappez bien, fappez juste !
=> Event Facebook (pour rejoindre le mouvement).
Tweet below, sexual trauma survivor warning ahead: presented in light that I have reported to police my very real death and physical violence threats over the years, and that the context of this woman fabricating, posting online and lying about an online sexual violence threat was the basis for her being the featured speaker at a ‘rape culture protest event’ – an event held based on her “threat.” How do we solve this problem?
My skepticism toward the “I receive rape and death threats” meme appears well founded: kowb1290.com/meg-lanker-sim…, uwyo.edu/uw/news/2013/0…
— iamcuriousblue (@iamcuriousblue) May 1, 2013
Le label ClekCleckBoom revient à la Machine du Mouline Rouge après deux mois d’absence sous l’étendard de son Paris Club Music. French Fries, The Town, Jean Nipon, The Boo, Ministre X, Coni et Manaré se retrouvent pour célébrer le succès de leur première compilation et tenter de lancer une bonne fois pour toute ce printemps qui se fout royalement de notre gueule. Au programme, techno et ghetto house ; et si ces mots ne vous parlent pas, ils ont préparé un teaser pour vous expliquer tout ça.
La soirée se passe le 8 mai prochain et pour l’occasion on vous fait gagner 2×2 places, il suffit juste de nous envoyer un mail et on tirera au sort les gagnants.
PREVENTE : 12 euros (+ frais de loc)
SUR PLACE : 15 euros
Mecredi 8 mai – La Machine du Moulin Rouge / 90 bd de Clichy – 75018 Paris / 23h30 – 6h00
Joshua est mannequin. Joshua est beau gosse. Et comme beaucoup de jeunes éphèbes, il se fait prendre en photo pour le magazine Vanity Teen. Un magazine qui prend une fois de plus le prétexte de la mode pour montrer des beaux garçons qui font boum boum dans la culotte des filles. Mais aussi et surtout un tag teen pour les garçons qui aiment les garçons, légèrement sur la tangente du barely legal. Car dans la mode, la question de la limite d’âge n’est pas vraiment une préoccupation. Passons.
Pourquoi diable retient-on Joshua ? Parce qu’il est bien tombé. Sur Martin Fernández en l’occurrence. Devant sa caméra, Joshua fume sa clope comme un gigolo, même ton grand père ne resterait pas indifférent devant une telle diablerie. Il faut dire que le jeune homme semble tout droit sorti d’un film de Gregg Araki. Un genre de mash-up parfait entre James Duval (Nowhere, Doom Generation) et mon cher et tendre Joseph dans Mysterious Skin. Le coté homosexuel affirmé, mais qui sait aussi mettre à genoux quelques donzelles.
Joshua motive le fap, que la boussole de ton orientation sexuelle pointe au nord ou au sud. La chaîne Youtube de Vanity Teen représente un filon à creuser si tu as le courage de te mater 425 tests vidéo mode inintéressants avant de tomber sur ton nouveau it-boy. Je n’irai pas plus loin, je reste avec Joshua et son papier peint de mémé.
Quel est le point commun entre Sasha Grey et Vladimir Poutine ? Une Lada.
Le départ de Sasha Grey avait causé l’émoi de toute une rédaction. Mais Jizzou, après bien des désappointements, va avoir des nouvelles de sa belle Sasha. L’info, complètement WTF, est encore fraîche et nous vient tout droit de la glorieuse Russie : Sasha Grey s’apprête à participer à un rallye automobile qui consiste à relier Moscou depuis Vladivostok, soit le tracé du Transsibérien, un voyage qui équivaut à plus de 9000 kilomètres. La nouvelle a aussi été partagée par la concernée sur Twitter, photo de l’échange avec drom.ru à l’appui :
Excited to announce that @dromru is bringing me to Russia for a rally, watch out!!! We’re going to… instagram.com/p/Ys-aU4v_pY/
— Sasha Grey (@SashaGrey) 29 avril 2013
Ce qui est plus marrant encore, c’est le véhicule avec lequel Sasha va effectuer cette folle traversée : loin des bolides du Gumball 3000, elle concourra sur une LADA Kalina. Malgré le nom tout doux de l’auto, ce rallye ne devrait pas forcément l’être, ne serait-ce que pour la fiabilité du véhicule – les blagues du type « Pourquoi y a-t-il le chauffage sur la vitre arrière des Lada ? Pour ne pas se geler les mains quand on la pousse. » seraient-elles fondées ? – mais aussi pour l’état des routes russes, celle reliant les deux villes étant praticable seulement quelques mois par an.
Sasha a l’air enchantée, d’autant plus que les gars de chez drom.ru ont prévu de lui faire découvrir leur pays, sa culture, sa cuisine (« Cuisiner et conduire, deux de mes choses préférées ! » s’est d’ailleurs exclamée Sasha, enchantée on vous dit). À la rédac’, le Fan Club de Sasha a été rouvert, Jizzou a déjà tapissé le bureau de posters de Lada, et nous nous apprêtons à suivre cette course qui s’annonce déjà passionnante avec plus de dévotion encore que le Tour de France.
Enfin, à condition que l’info soit vraie, parce qu’à lire les commentaires, il apparaît que le 1er avril a tendance à se prolonger pendant tout le mois, au pays du tag de teub, alors on attend le départ, dont la date est de toute façon inconnue pour l’instant.
@dromru Cooking and racing. Two of my favorite things! Yes please!
— Sasha Grey (@SashaGrey) 28 avril 2013
Et le rapport avec Poutine ? Il a fait ce même rallye en 2010. Et il a eu besoin de trois Lada. Quand on vous dit qu’elles sont pas fiables.
Ce jeudi le collectif « Pas de pitié pour les navets » (cousin germain de Panic! Cinéma, mais spécialisé dans le film de mauvais goût dans le plus large sens du terme), accompagné des québécois de douteux.org fait sa soirée annuelle Spéciale Sexe, avec la projection – en exclusivité européenne – de Tout le monde tout nu 3 : La quête de l’orgasme de Simon Predj. Kaléidoscope d’archives vidéos de tout acabit (films éducatifs, pornographie, home movies, publicités, dessins animés, séries télé…), qui nous feront visiter l’essence même de notre quête de l’orgasme : la séduction, l’érotisme, les massages et les mutants. Un voyage étourdissant.
C’est quand, c’est où, c’est combien ?
- C’est jeudi, on a dit, le 2 mai 2013. (event Facebook)
- C’est à La Cantada II, 13 rue Moret (bah bravo Moret), dans le 11e arrondissement de Paris, métro Ménilmontant.
- C’est 3 euros (collation comprise)
- Le film dure très exactemet 1h52, si vraiment vous voulez tout savoir (et la bande annonce est juste en dessous). On espère vous y voir nombreux.
C’est dans le très sérieux Journal of Sexual Medecine qu’est parue cette étude menée aux Pays- Bas, qui portait sur un échantillon de 4600 personnes, hommes et femmes confondus, âgés entre 15 et 25 ans. Les participants à cette étude – réalisée en ligne – devaient répondre de leur consommation de porn, mais aussi de leur activité sexuelle, à savoir si elle était plutôt « à risque » ou « aventureuse » (comprendre pour cette dernière des relations avec des partenaires rencontrés online, ou multiples, ou des relations tarifées).
Cette nouvelle étude révèle que seulement 0,3 à 4 % (ça fait une jolie fourchette tout de même) des comportements « à risque » auraient un rapport avec une consommation de porn et Gert Martin Hald, le psychologue à l’origine de cette étude s’en félicite :
« La pornographie n’est pas le grand méchant loup que l’on croyait être, et peut-être devrions-nous nous intéresser à d’autres facteurs. Elle [la pornographie] explique une partie du comportement sexuel, mais cette partie reste faible ».
Ce bon Gert n’est pas le seul à se féliciter des résultats de cette étude : dans les colonnes du Huffington Post américain, trois pornstars – Dana Vespoli, Allie Haze et la grande Nina Hartley – se réjouissent. Pour Dana Vespoli (ex-femme de Manuel Ferrara et mère de son fils, mais aussi membre de l’écurie Evil Angel) :
« L’idée que la pornographie influence les comportements sexuels est absurde, de la même manière qu’écouter Marilyn Manson ne te fait pas devenir serial killer ».
Marilyn Manson : serial lover, à la rigueur
Nina Hartley, dans le porn game depuis trente ans, et avocate du diable depuis au moins autant d’années, y voit un point commun avec les études qu’elle a menées de son côté :
« Ça change de voir un article qui traite de l’influence de la pornographie sur le comportement qui va au-delà de l’habituel « Porno : Danger ou Menace ? » qu’on trouve dans les médias. Le porno est juste un facteur dans la socialisation des jeunes adultes, et mon expérience eux m’a montré qu’il avait une influence plutôt positive dans leur vie ».
Enfin, pour Allie Haze, cette étude lui rappelle pourquoi elle a voulu entamer une carrière dans le porn :
« C’est cool de voir que des gens commencent enfin à voir le porno de manière positive. Je ne suis pas arrivée dans le porn pour influencer les gens, mais pour les inspirer, pour qu’ils soient informés et aient confiance en eux quand ils explorent leur sexualité ».
Ces réactions semblent faire écho à cette étude publiée – toujours dans le Journal of Sexual Medecine – en novembre dernier, qui annonçait que les porn stars avaient une plus haute estime d’elles-mêmes, une meilleure qualité de vie et une meilleure vision de leur corps, ce qui contredit entre autres certaines déclarations de Dimitri Largo, dont nous avions déjà parlé ici.
On se demande bien ce qu’il se passe dans la tête de la team Blackberry depuis quelques années. Non content de produire des téléphones uniquement adaptés aux gens dotés de mini-pouces, ils veulent maintenant griller votre historique avec leurs nouveaux modèles Z10 et Q10. C’est la terrible découverte qu’a fait Sosof, membre du forum Crackberry, dédié aux fanatiques de RIM (my ass).
Dans ces nouveaux modèles s’est nichée une option assez débile de messagerie instantanée qui permet d’avertir automatiquement tous nos contacts qu’on est en train d’écouter tel morceau ou mater telle vidéo. Les réseaux sociaux sont friands de ce mouchard qui n’intéresse absolument personne à part quelques stalkers en manque. Cette option aurait pu rester au stade du petit plaisir coupable à fredonner du Sexion d’Assaut tout en avertissant la Terre entière, sauf que ces terminaux peuvent également accéder aux tubes pornos. Vous pouvez alors avertir vos contacts que vous vous octroyez au bureau un petit pleasure time sur du SHEMALE SUCKS COCK AND GETS ASS FUCKED HARD.
Dans internet, personne ne vous entendra fapper (sauf sur Blackberry)
La force du porn en ligne est de pouvoir rester anonyme, votre historique ne vous jugera jamais contrairement à votre maman qui risque de se poser des question en vous voyant enchainer Hawaiian Assfucked and Inseminated sur Pornhub avec 16 and Pregnant; 37 Weeks sur Youtube depuis le couteux portable qu’elle vient de vous offrir. Merci Blackberry de rester donc en dehors de tout ça, des réseaux sociaux, d’internet, du stalking, laissez-nous tranquille.
I don’t know what took me so long to find her, but as of tonight I’m crushed out on model and makeup artist Beauty Foster (also @BeautyFoster, beautyfoster.wix.com for booking inquiries, and Formspring). ::swoon!
Above video: “beauty foster in heaven above you” recently featured in tsurufoto nudiezine #20 ($4). Image below via Beauty Foster.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Les ados et le porno, c’est l’éternel débat, cousin du fameux : « Les jeux vidéo sont-ils l’ennemi du bien dans la jeunesse ? »
Que les ados regardent des films pornos, ça n’est un secret pour personne. En 2005, la chercheuse en philosophie Michela Marzano et le médecin Claude Rozier publiaient « Alice au pays du porno », une étude menée auprès de jeunes âgés de 15 à 19 ans.
Ils indiquaient alors que 58% des garçons et 45% des filles avaient vu leurs premières images pornographiques avant 13 ans.
Récemment encore, anecdote amusante : un chercheur canadien en sociologie a dû...
Legendary erotic jewelry designer Betony Vernon has a new book out, The Boudoir Bible (Kindle; hardcover). I don’t have a copy yet, but the book has been described to me by friends as the Vernon’s own tome about making the most of a refined sex life, with Vernon’s pro-kink, sex-positive point of view throughout.
It’s no secret that I’ve always wanted pretty much everything Vernon makes. And what I think will be really cool is the book launch event coming up here in SF on Tuesday, April 30, 2013 from 6:30 PM to 8:30 PM (PDT). The “Conversation & Book Signing with Betony Vernon” is with Jimmyjane + Arkitektura’s Design Assembly – and Vernon will be interviewed by Jimmyjane’s own Ethan Imboden. Vernon and Imboden are at the top of the high-end sex toy design genre, and I think it’ll be really interesting. Oh – and it’s free.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.THE PLEASURE PALETTE: “Creating a new design language for sexuality”
Conversation & Book Signing with Betony Vernon
Jimmyjane + Arkitektura’s Design Assembly
Tuesday, April 30, 2013 from 6:30 PM to 8:30 PM (PDT)
San Francisco, CA
Register here on Eventbrite.
Stoya, la belle Stoya, est cette semaine en couverture du célèbre hebdomadaire new-yorkais « The Village Voice », qui lui attribue le titre de Prettiest girl in New York et lui consacre un article de quatre pages (pour la version en ligne). Pour nos lecteurs qui ne seraient pas familiers dela langue de Shakespeare ou qui auraient simplement la flemme de tout lire, voici un petit condensé des meilleurs extraits de cet article à rallonge – et qui se répète parfois – sur la plus belle girl next-door de Brooklyn, qui achèvera de convaincre ceux qui se demanderaient encore s’ils sont amoureux d’elle, ou convertira ceux qui ne la connaissent pas encore.
Autant d’éléments qui font de Stoya une actrice à part, que l’on chérit depuis la première heure. Bon week-end à tous et bonne lecture.
Sur Twitter, nous avons vu passer un nom. Et encore. Et toujours. Le même. Avec les mêmes mots-clé. Le nom : Anicha White. Le tag : #dediboobz. Intrigués, nous avons voulu en savoir plus sur le nouveau phénomène qui tente d’affoler le web, du podcasteur à plus d’un million d’abonnés au présentateur télé branché. Vous savez, le stalking c’est un peu notre petit porn à nous, on résiste difficilement à la tentation.
Alors Anicha White, c’est quoi ton porn ?
Née le 10 septembre 1988 à Biarritz (soit 24 ans, et non pas 22 comme c’est écrit un peu partout), Anicha White commence la webcam sur Streamate.com en 2008. Installée à Londres pour ses études, elle bouge pour Koh Samui, en Thaïlande, en mai 2011. Elle continue la cam (on la retrouve sous le pseudo sexanicha, maintenant introuvable), en profite pour changer de seins pour un insolent bonnet DD/E et lance en 2012 ses chaînes Dailymotion (The Anicha White’s Show) et Youtube — fermées depuis.
Ce sera finalement un double D, bouyaka
Le 25 juin 2012, elle ouvre sa page Facebook, où on peut admirer sa vie en Thaïlande. Son site officiel, malheureusement “nettoyé” de tout contenu, hébergeait ses shows, comme peut en témoigner cette archive vidéo envoyée par elle-même sur Freeones. Depuis septembre 2012, plus de signe de vie numérique ; si ce n’est pour ses fans, qui continuent de se refiler l’adresse de cette française aux “fake boobs” qui pratique le deep throat sur gode géant (c’est sa catchline, on n’invente rien).
7 gold le shot, comment ne pas résister ? Source : Facebook
Always Coca-Cola… Source : Facebook
Mais depuis mi-avril 2013 c’est l’emballement, elle lance ce concept de #dedibooz, internet cherche un nouveau panneau publicitaire à son égo et ne pense qu’à ses seins (en oubliant son principal atout : sa voix). Peu de traces de sa vie antérieure, si ce n’est des vidéos sur les tubes, un thread Freeones et quelques liens cassés. Pourtant, elle annonce au HuffPost ne pas vouloir parler de son activité et se concentrer sur celle – moins explicite et plus mainstream – des dédiboobz “J’ai de plus en plus de followers mineurs donc je ne fais pas de publicité pour mon activité d’animatrice webcam” avec un modèle économique à venir de 2 € la dédicace (dont 1 euro pour la lutte contre le cancer du sein, ok).
Comme on est interdit aux mineurs et qu’on aime les cam girls, on ne résiste pas à l’envie de vous refiler le bon plan qui va suivre, Anicha White officie sur LiveViolet tous les jours, sauf le dimanche, 7h à 11h du matin (d’un fuseau horaire qui nous échappe). Voici comment elle se décrit :
“Elle aime avoir plein de mecs qui la mate se masturber et faire la chienne, elle aime aussi l’erotisme et les mecs sympas, elle fait des prives TRES rarement, et pas avec ceux qu’elle ne connait pas encore”
Enjoy.
Bonus track : 10 façons de te sucer par Anicha White
Après la xBox 360, qui permet depuis octobre dernier de surfer sur l’Internet, DONC sur des sites à vocation fappienne (YouPorn en avait d’ailleurs profité pour se faire un peu de pub), le porn/game passe la vitesse supérieure avec l‘arrivée d’un service de streaming (donc payant) spécialisé dans le film pour adulte, qu’il soit gamer ou pas.
Ce service, c’est SugarDVD – entreprise spécialisée dans la location de DVD à distance, mais qui streame déjà sur PS3, Wii U (!) ou Android – qui compte l’offrir. Le choix de la console, lui, ne parlera qu’aux plus technophiles d’entre nous : il s’agit de la Ouya, une console financée via Kickstarter à hauteur de 8,5 millions de dollars alors que les développeurs n’en demandaient que 950 000. Autant dire que les attentes sont hautes, alors que les premiers tests sont assez décevants.
Ouya : la future FapBox ?
La subtilité de SugarDVD, c’est d’attaquer sur deux fronts : d’un côté, celle de l’app officielle, qui doit être validée par le store de la console, comme chez Apple – qui bloque systématiquement le contenu porno – mais aussi celle d’une application qui peut être lancée à partir d’un navigateur, ce qui lui permet de contourner toutes ces restrictions et de tourner notamment sur iPad ou sur cette Ouya, si l’app venait à être refusée sur le store. Ceci dit, la console revendiquant un côté extrêmement libre du fait d’une conception open-source, un tel blocage serait assez étonnant.
Maintenant, là question qui se pose à l’heure du FapTube est « pourquoi paierais-je ? ». Pour nous faire passer à la caisse, SugarDVD se définit comme étant le Netflix du porn, et promet d’offrir un catalogue de films impressionnant, qui vous permettrait de transformer votre console à 99$ en filmothèque quasi-infinie en 1080p dans votre salon. Reste maintenant à savoir si cette console particulière trouvera son marché, auquel cas cette app pourra éventuellement créer un niche. Ça fait tout de même pas mal de conditions à remplir… le fap devant son PC a donc encore de très beaux jours devant lui.
In case you missed it: The site is NSFW Vine, twitter is @NSFWVine and tag is #NSFWVine – it is all user submitted. It launched in January and sadly hasn’t updated since February – but I see it has a low subscription base, so I wonder if they just didn’t get enough word out? As an Android user and Apple anti-adult-content conscientious objector, I find it highly amusing to see the latest iOS darling deliver unto us a channel of mostly hot, mostly amateur porn. Also, this is a PSA letting you know that if you see my name on Vine it isn’t me. As with Instagram, I can’t wait for the disappointment of seeing 50 versions of my username snarfed on Vine by people who barely post by the time Vine’s Android version comes out (and no, we droidies can’t pre-reg – nor can I see Vine’s ToS to find out if NSFW Vine was being naughty).
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Fini le fap calé au coin du Starbucks, dans un café ou dans un parc parisien ? Non, pas encore. Pas en France, en tout cas, enfin ça dépend (Ronald McDonald si tu nous lis…). Mais au Royaume-Uni, le Premier ministre David Cameron a annoncé dans une tribune au Daily Mail vouloir bloquer le porn à partir des hotspots du pays, afin d’agir contre « l’attaque silencieuse contre l’innocence ».
Si dans l’idée le projet de protéger les enfants est forcément louable, ça pêche un peu sur le plan technique, puisqu’outre cette annonce tonitruante, David Cameron n’a pas donné plus de détails sur comment ce porn allait être filtré. Ah, les effets d’annonce… Le Telegraph explique de son côté que malgré des discussions qui durent depuis plusieurs mois, on ne sait toujours pas si le blocage serait de la responsabilité des FAI ou des propriétaires des hotspots, qui devraient se conformer à un « code de bonne conduite ».
Proteck ya web
C’est là toute la difficulté de cette mesure qui fait plaisir aux mères de familles qui ne verraient en Internet qu’un Malin numérique pervertissant leurs enfants : elle n’est pas aussi facile que ça à mettre en place. Si le filtrage se fait à la source, au niveau du FAI ou du hotspot, on empiète dangereusement sur les libertés individuelles, fondamentales, d’accéder au contenu que l’on veut (la fameuse neutralité du Net), et l’on instaure une espèce de police de la pensée, qui déterminerait à notre place si tel ou tel contenu peut être vu. Big brother is watching you.
Et si la bonne idée n’était pas plutôt de responsabiliser les parents ? Leur apprendre à installer des filtres sur les terminaux de leurs enfants ? Parce qu’en soit, on voit déjà les limites d’un tel blocage : personne ne pourrait accéder à du contenu porn sur un hotspot, mais en 3G, aucun problème ! C’est d’ailleurs la solution qu’on vous propose pour accéder au Tag quand le wifi ou le réseau de votre boite vous en empêche.
Xavier Berne, journaliste à PC INpact, rappelle que « la question du blocage des sites porno est un vieux serpent de mer outre-Manche ». Mais ce n’est pas une raison pour annoncer n’importe quoi, David.
I was unable to blackout this website today for the CISPA Blackout due to a long, annoying-on-many-levels story involving *someone else* getting massively hacked. So I thought I’d do something to raise awareness and make a point. I think that the women in these galleries would agree with my feelings about CISPA for the following reasons:
* The women in these galleries have given clear, legal consent for their images to be shared. CISPA permits sharing of your data between companies (Apple, Amazon, Facebook, etc.) without your consent.
* The women in these images know what viewers are doing – hopefully enjoyably – when they look at, and think about, the images and women in them. There are hundreds of Federal agencies that can easily obtain your data under CISPA and companies have stated they cannot protect your data under the Act. It is unclear exactly what will be done with your data. At least the porn models know what you’re doing with their pictures.
* The women in these images have signed contracts with the companies holding license to distribute the images and have legal standing to hold the companies accountable if the companies misbehave or act negligently with the images. CISPA grants companies immunity to share your data and information without your knowledge or consent.
* The women in these images want the images to be shared in the manner which they were initially agreed upon at the time of the shoot. CISPA facilitates unmonitored sharing and changes the data protection, privacy and data sharing Terms you agreed to when you signed up with, say, Google.
* The women in these images would be at risk in potentially serious ways if the data associated with them vis-a-vis their modeling work and their real-life online accounts was compiled into a dossier without their knowledge and passed around to Federal Government agencies without their knowledge and consent. Like porn, apparently Federal Government agencies apparently will know a cyberthreat when they see it: the terms used in CISPA to obtain info on individuals is not defined. Much like the term “porn” is used to label “things I don’t like” (See: Apple, China, Morality in Media) it is likely that “cyberthreat” will be used the same way.
* The potential for the women in these images to be nonconsensually exploited (or worse) by U.S. Federal Government employees (from the TSA to Immigration, the FBI and more) behind closed doors is very real. Think about it. The TSA. All it takes is one bad person with this unchecked access to ruin a girl’s life.
The ACLU has pretty much the most badass rundown of what CISPA is in their CISPA Explainer series. Check out my article today explaining what you can do about it. This expose on Federal security practices is also worth reading.
You know how anonymity protects the lives and safety of at-risk individuals everywhere – journalists in Syria, female rights activists in Egypt, that gay or trans kid who might actually get killed after school, human rights activists in China, those who IWF (Internet While Female) or IWS (Internet While Sexy)… CISPA, and legislation like it, carves a huge hole out of the back of any safety net these people have.
This wouldn’t be so upsetting for me if the data the U.S. Government wasn’t just proven to be the worst at data security of any American industry.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.La Google Glass, on sait à peu près ce que c’est, et on en nourrit déjà de nombreux fantasmes. Voilà de quoi rajouter une grande pierre à notre édifice bâti de scenarii tous plus pervers les uns que les autres : le spécialiste du porn BDSM veut s’inviter dans le Glass-game.
C’est en tout cas ce qui apparaît dans les réponses de Peter Acworth, le big boss de kink.com, dans une interview donnée au très sérieux Silicon Valley Business Journal, puisqu’il estime que l’accessoire de Google « ouvre de nouvelles opportunités pour les films basés sur la réalité ».
Peter a des idées © Peter Earl McCollough
Et d’annoncer à quoi pourrait lui servir ces lunettes : « Vous pourriez filmer le fait de draguer quelqu’un dans un bar et la ramener chez vous, par exemple ». Draguer, séduire ? Kink, entre autres, aborde souvent le sujet d’une fort belle manière, souvenez-vous, et Acworth chercherait déjà à mettre la main sur une monture.
On attend donc avec impatience la version POV de TSSeduction, meilleur site trans de tous les temps, est-il encore besoin de le rappeler ? La séduction pierre angulaire des bons fappeurs + le POV la satanée réalité en pleine gueule + l’hyper-réalité des Google Glass = hit combo.
On s’y habituera
« Ça amène le genre tout entier du POV et les films de réalité un cran au dessus », ajoute l’armurier en chef. Tu m’étonnes, Pete ! Et puis, si comme il le prédit enfin « Nous allons devenir tellement habitués à ce que des personnes en portent qu’on ne saura jamais si on est filmé ou pas », c’est toute une nouvelle génération d’avocats qui va devoir se spécialiser dans le porn, on n’est pas très sûr que ce soit légal.
Le docteur Pamela Stephenson-Connolly signe son livre « Sex Life » – flickr/Dunedin Public Libraries
Les bloggueuses sexe écriraient des choses beaucoup plus intéressantes et censées que les blogueurs sexe, qui d’ailleurs n’existeraient pas ou peu. Enfin c’est souvent ce qu’on me dit pour m’expliquer que je suis forcément une femme, même si Camille est un prénom mixte. J’aime pourtant beaucoup certains blogs de sexe tenus par des hommes, que je trouve passionnants.
Récemment un homme marié d’une quarantaine d’années m’a raconté une expérience qui correspond assez bien à ce que je constate, et qui prouverait que les garçons écrivent autant et aussi bien que les femmes… Mais que, pour ce qui est du sexe, il est mieux vu socialement que ce soit une femme qu’un homme qui écrive : ce serait nécessairement plus fin, plus intelligent. Je lui ai posé quelques questions.
Peux-tu me rappeler comment tu as été amené à ouvrir un profil fille et un profil garçon sur un site (et le type de site)?
C’était sur le premier site de rencontres auquel je m’inscrivais. C’était un site échangiste. J’ai naturellement ouvert un profil « homme ». Mais, pour pouvoir communiquer un tant soit peu, il faut payer. En revanche les profils « femme », 30 à 50 fois moins nombreux, étaient supposés bénéficier d’avantages gratuits. Pour mieux comprendre comment le site fonctionnait avant de me décider à payer, j’ai créé un profil femme discret. Il faut quand même remplir le profil un minimum, âge, vague description, on se trouve déjà à imaginer un personnage. Je me suis peu servi du profil finalement.
Plus tard j’ai découvert les blogs du site, et certains étaient passionnants. On pouvait y lire des expériences et pratiques sexuelles très variées et en discuter, surtout dans la section anglophone. Alors j’ai ouvert un blog sur mon profil homme. Contenu varié, généralement en rapport avec le sexe. Tel ou tel article ou livre m’ayant plu, tel sextoy, etc. Et aussi des textes très crus.
Si j’ai bien compris, ton profil garçon a été relativement ignoré et tes textes « filles » ont été encensés? Quelles ont été les réactions aux deux profils?
J’ai eu assez peu de réactions sur le blog homme, et encore moins sur les textes crus. J’ai su bien plus tard que ce que j’écrivais n’était pas passé inaperçu. C’était imperceptible sur le moment, je supposais plutôt avoir ennuyé, consterné ou choqué. En fait les textes crus excitent des femmes comme des hommes, mais les femmes l’avoueront beaucoup moins facilement, et encore moins en public. Écrire un blog dans le désert, même quand on n’a aucune prétention autre que sexuelle et ludique, c’est frustrant… d’autant que c’était le seul moyen de discuter avec des humains de manière moins présupposée « drague » que des conversations privées.
Pour voir, j’ai donc écrit un blog sur mon profil femme, à contenu sensiblement équivalent quoiqu’avec une plus grande proportion de textes chauds, le tout supposé venir d’une femme à la sexualité très libérée. Un personnage crédible mais sortant de l’ordinaire. Immédiatement j’ai vu affluer les commentaires publics et messages privés de remerciements, félicitations (sincères, mais pas forcément méritées), propositions, surtout provenant d’hommes. Il était beaucoup plus facile de discuter de sujets comme l’exclusivité, le ménage à trois, le polyamour, etc.
Comment l’expliques-tu ?
Les explications, j’en ai quelques unes. Il y aurait des thèses de sociologie à écrire sur les comportements sur ce type de site, qui restent fortement calqués sur les habitudes hors ligne.
D’abord, la sexualité des femmes fait plus fantasmer que celle des hommes. Une femme qui affiche ouvertement sa sexualité débridée éveille immédiatement l’intérêt… Ce qui est rare est précieux ? La sexualité féminine est intrinsèquement ou actuellement plus variée ? Ensuite, les commentaires sur les blogs restent influencés par le but premier de la présence sur un tel site : un homme qui veut rencontrer des femmes, par exemple, ira plus naturellement commenter sur un blog de femme.
Aussi, sans doute une bonne dose de conventions ou de comportements classiques dans le cas particulier des relations hétéro : la femme n’est pas censée se manifester de façon active. Une amie m’a confié qu’elle pesait soigneusement ses commentaires car les lecteurs pouvaient considérer cela comme une avance envers l’auteur, et elle comme d’autres avaient même eu des réactions de jalousie de leur compagnon. D’autre part, un homme sera réticent à répondre à un homme.
I was so amused by the tweet below by my dear, longtime friend Steve Diet Goedde that I had to share the video with you – and I want to encourage you, of course, to follow him if it makes sense for you to do so :)
I’ve lost about 25 Twitter friends since linking to my new Panda Sexpress video. Too much NSFW boobage? vimeo.com/64238011
— Steve Diet Goedde (@stevedietgoedde) April 21, 2013
The song is “Louisiana” by Duke Ellington.
The follower thing has always been so weird. People get so emotional about it, and companies try to measure it. I’ve loved meeting so many new friends through it, but I’ve seen a lot of people do lame, even terrible things with what they think is a power they’ve been somehow been bestowed by entitlement. I’ve also had people get really mad at me for not doing what they think I should. And though the news stories about fake-like rackets are relatively recent, I can tell you that since the first person with the title of “Social Media Manager” hit the socials, followers and likes have been gamed to fuck and back, and most definitely for sale if you know where to look. So I don’t worry about it too much, and cherish the real connections I get to make through the medium. And I’ve always believed this:
It’s not how many. It’s who.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Main post image: Tony Kelly Photography.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Vous comprenez, des offres d’emploi comme celles-ci sont rares. Pour deux mille euros par mois, qui n’irait pas s’installer à Pékin ? Quand on a vu l’annonce de l’Alliance de Sécurité (l’Anquan Lianmeng, quoi) sur notre Weibo, la question ne s’est même pas posée, et pour cause, on répond parfaitement aux critères :
- être âgé entre 20 et 35 ans, peu importe le sexe (c’est tout nous, ça)
- détenteur au moins d’un diplôme niveau licence (check)
- familier avec les contenus pornographiques de différents pays (bitch please!)
- connaisseur de la loi chinoise en matière de régulation pornographique (apparemment la loi c’est « tirer dans le tas », ça ne doit pas être très compliqué)
- capable d’identifier avec précision et rapidité les sites pornographiques (FAP LIFE > FAST LIFE, c’est notre devise)
- doté de compétences telles que le travail d’équipe et le sens des responsabilités (on est une belle équipe, en tout cas)
Le Tag, « familier avec les contenus pornographiques de différents pays » ?
Plusieurs locaux auraient déjà postulé, l’annonce ayant été partagée 120 000 fois et commentée plus de 20 000 fois. Mais ne rêvez pas les gars : le job, il est à nous.
Par contre, qu’est-ce qu’ils comprennent par « sécuriser internet et protéger les droits et intérêts des internautes » ? Un rapport avec la campagne de fermeture de nombreux sites porno ou érotique, ou l‘arrestation de plusieurs milliers de personnes en rapport avec ces dits sites ? La Chine, ce pays de l’internet emprisonné.
Il existait un internet avant l’internet, celui des parents et de leur hypnotique modem au chant de sirène envoûtant. Ce monde là, c’était l’internet avant qu’il devienne une culture, le tout était sérieux, moche et lent (de notre point de vue contemporain). Pour se détendre, pour toucher du doigt la promesse du cyber-sexe, il fallait s’armer de patience. Les yeux grands ouverts, on découvrait le porno et ses galeries d’images qui chargeaient avec la vitesse d’un cheval mort au galop.
Que sont devenues ces images ? Où sont passés ces gifs issus de CD-roms de cliparts ? Internet Archeologie s’est donné pour mission d’archiver ce web d’antan, afin de témoigner de notre existence passée dans les méandres de la toile. Il existe évidemment une partie marquée du sceau du triple X, qui regroupe gifs et images égarées dans les url interminables des sites persos geocities (RIP).
Quinze années se sont écoulées et si les vidéos ont remplacé les images, on remarque avec étonnement que nos régies pubs n’ont rien à envier avec le marketing hésitant de l’époque. Du pixel, de l’accroche vulgaire, des femmes qui sortent des écrans pour vous proposer leurs services. Cette illusion que le web n’est qu’une porte vers un autre monde, alors qu’on a beau se crever les yeux, aucune porn star n’a jamais traversé l’écran pour nous sucer tranquillement.
1996-2013 même combat dans la publicité porn, ça claque les yeux pour le clic, l’amour est derrière l’écran.
X-Art et sa douceur n’en finit pas de faire des émules, Ass Ventura, le spécialiste mondial du porn animalier vient de frapper fort en proposant pour la première fois une scène inter-espèce entre Prince, le célèbre paresseux star et Daisy, prometteuse starlette hardcore qu’on a pû apercevoir dernièrement dans Lick my pussy, dirty cat vol 5. Prince, qu’on surnomme déjà le Manuel Ferrara des Tropiques, montre ici tout son savoir-faire en soumettant la petite chatte Daisy à ses plus habiles caresses, dans une scène sensuelle et intense, qui ne laisseront pas les fappeurs de tous poils indifférents.
Un porn inter-espèce dont Prince est friand puisqu’il était à l’honneur de Tropical Orgy (avec notamment Toucan Rose, Koala Kink, Monkey Doll et Sneaky Snake) sorti le mois dernier. Un style bien à lui, rare chez les acteurs du zoo game mais qui peut parfois déranger, comme la superstar Fluffy Texas qui annonçait au micro d’Xbiz : « je ne tournerai jamais avec un paresseux, c’est pas que je sois raciste, mais trop lent c’est trop, j’arrive pas à suivre, désolé ».
On espère que cette scène lui fera changer d’avis :
C’est au City College de Pasadena, une université californienne, qu’Hugo Schwyzer donne ce cours intitulé Navigating Pornography. L’idée de ce cours – selon les informations du Huffington Post – est de faire regarder du porn aux étudiants, leur donner « des outils pour comprendre la pornographie comme une phénomène historique et contemporain », et « discuter de la pornographie d’une manière saine et intellectuellement réfléchie ».
Pour étayer son cours, Hugo Schwyzer a même fait intervenir James Deen seulement pour ses étudiants, la conférence publique de l’acteur ayant été annulée pour des risques de protestations. Ce genre d’initiative est à souligner, et à regarder ce que donne le cours, on regrette déjà de ne pas être à la fac pour valider haut la main ce module (et participer à des dorm parties entourés de college girls qui perdent leurs vêtements sur une partie de beer pong, évidemment).
A quand la culture porn enseignée à la Sorbonne avec Katsuni ?
Jenna Jameson revient à l’érotisme, mais (seulement) par la voie des mots. Un livre intitulé Sugar, qui devrait sortir – selon xbiz – en octobre prochain chez l’éditeur Skyhorse.
Deuxième écrit après How to make love like a porn star: a cautionary tale (autobiographie sortie en 2004), Sugar – écrit en collaboration avec Hope Tarr, auteure pour la collection Harlequin – serait « une farce folle à propos d’un ex-porn star qui fuit New York pour se réinventer », qui sera par ailleurs « la chose la plus chaude que vous aurez jamais lue ». Tout un programme.
Jenna Jameson x Green Velvet. Nouveau style.
Parce que Jenna Jameson, c’est un nom, une star fulgurante que l’on a tous classé dans notre Hall of Fame perso bien avant qu’elle ne rejoigne celui d’AVN en 2006. Jenna, c’est une carrière d’actrice dans la deuxième moitié des 90′s, mais avant tout une marque. Une avant-gardiste dans le porn-game : sur le web, avec ClubJenna.com, lancé en 2001 (le site ainsi que toute la compagnie fut rachetée par Playboy en 2006, tout en gardant l’image exclusive de Jenna). Dans la pub : elle n’hésite pas à poser vêtue d’un simple string sur un pub de quinze mètres sur Times Square pour promouvoir le dit site. Dans le business, quand elle est en 2003 à deux doigts de racheter le mythique magazine Penthouse. Même dans le jeu vidéo avec Virtually Jenna, mais aussi GTA : Vice City, dans lequel elle « interprète » Candy Suxxx ; des sextoys… bref, un business florissant qui lui rapporterait plusieurs dizaines de millions de dollars par an.
Jenna Jameson continue donc sur sa lancée, s’offrant une nouvelle promo capitalisant sur son image d’ex-porn star carriériste. Reste à savoir si ce nouveau 50 Shades of Grey parviendra à nous faire oublier cette carrière courte mais délicieuse. Verdict en octobre prochain, même si on en doute.
I came across one of Terby Wonder’s drawings last week on Flickr and saved the link; there are more splendid examples of his whimsical sexiness on his Tumblr. Light, flirty, fun – and some really cute girls!
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.« Les Nuits mélangées » est un premier roman qui va traîner dans des endroits où la littérature trouve rarement une voix juste. Léa Lescure, collaboratrice régulière de Rue89, connaît bien ces univers : boîtes de strip-tease, prostituées de métier ou d’occasion, toxicos, univers de la rue...
La narratrice est une étudiante de bonne famille (Manon) qui va tester, puis plonger dans les relations sexuelles tarifées, sous le nom d’Irina. La mise en abîme de cette jeune femme échappe aux clichés victimaires, au procès des clients ou au romantisme. Elle trouve du plaisir parfois...
Il est des histoires qui, déballées sur un coin de table, percutent l’auditoire par leur caractère invraisemblable. Les « je connais un mec qui », auxquels répondent rapidement des « mais nan ? ». A mon tour de vous en raconter une, qui par son seul titre « la torsion testiculaire » pourrait faire plier de douleur la moitié de la planète.
Lors d’une journée de travail habituelle, une trentaine de minutes après la pause déjeuner habituelle, je suis tranquillement assis sur mon fauteuil de bureau habituel. Sans le moindre signe avant-coureur, une douleur vive se fait sentir au niveau de...
Update, April 11: Clarification and correction on the “Apple gay image censorship” story (below) from @ImageComics from @comiXology – apparently we didn’t have the whole story, and SAGA’s ‘response’ to Apple was… not completely clear.
Big @vibratex news: Hitachi brand name no longer associated w/ Magic Wand. New package, better motor, same strength. twitter.com/toolshedgirl/s…
— Laura Anne Stuart (@toolshedgirl) April 9, 2013
C’est Gizmodo qui révèle cette info, Torrent Freak vient de faire une découverte intéressante en jetant un oeil aux stats de ses serveurs. Au Vatican, patrie du Saint-Pape, on télécharge aussi illégalement. Mais pas n’importe quoi, des séries comme tout le monde mais également du porn BDSM. Les voix du Seigneur seraient-elles devenues pénétrables ? On est donc allé voir ce que donnaient ces porn bénis par les plus hautes autorités clericales. Alors Jorge Mario Bergoglio, aka le Pape François, c’est quoi ton porn ?
Lea Lexis and Krissy Lynn
Lea Lexis est Roumaine, Krissy Lynn est Américaine, les deux se retrouvent dans cette scène pour Kink à la rubrique Whipped Ass, spécialisée dans le porno lesbien bondage et dominant. Un choix plus qu’étonnant quand on connait la position du Vatican sur les homosexuels. Quoi qu’il en soit, le Pape a du goût. Voici une petite heure de soumission et de délicieuses tortures, les amateurs apprécieront.
Tiffany Starr opening Sheena Shaw
Plus étonnante cette scène entre Tiffany Starr, porn star transsexuelle et Sheena Shaw, actrice qu’on retrouve souvent avec des objets dans le fondement. François retourne chez Kink, mais cette fois-ci pour TS Pussy Hunters micro-site spécialisé dans le porn lesbien uniquement avec trans. Un choix cohérent avec la première vidéo, bien que TS Seduction soit aussi de très bonne facture, mais avec des hommes. Le Pape a peut-être besoin d’exprimer son côté féminin, s’identifier pour mieux connaitre le monde ? Voilà une ouverture d’esprit que nous saluons.
BDSM Sklavin Züchtigung im dunklen Hobbykeller teen fesselspiele
Ambiance BDSM, teens et fessées au menu de ce porn allemand qui se révèle après téléchargement être en 3D. Pape du présent, mais aussi Pape du futur, François découvre le monde d’une main à travers ces lunettes 3D active. Question goût, on repassera, 6 minutes où il ne se passe rien — certainement une erreur — on l’imagine pestant et fouettant un cardinal après s’être fait entuber par le grand Internet.
Le porn du Pape est ouvert, dominant mais curieux, sensible et féminin. Le Pape fantasme, se prend pour une autre, insensible aux hommes, il préfère s’évader entre les coups de rein d’une shemale douce et attentionnée. Bon fap François, n’oublie pas que Dieu tout là-haut te regarde.
There are many astonishing data points about Thom Puckey‘s sculptures, and (warning) some of you may find them disturbing. Most of his work over the past decade is life-size, realistically detailed female subjects with different kinds of guns – sculpted flawlessly in marble (often monochrome marble, to be exact). Puckey explains,
My project: marble figures, life size, female, nude, formally posed, and with attributes in the form of weapons (modern firearms and knives of varying types and sizes). My techniques are anachronistic, following closely those of the late 18th / early 19th century. (…)
The nudity in my work is the area where I allow two types of obsession with the female nude to overlap with each other. The ‘classical’ obsession and the cultural obsession which surfaced in the 1960s and which has grown and grown ever since then. The one where the taboo is disguised and allowed by ‘responsible’ artistic tradition, and the other where the taboo is pushed against and aside by ‘irresponsible’, incorrect, commercial and sexual interests. I play directly into these two types of approaches to the nude, I temper the particular obscenity of the one with the particular obscenity of the other. I allow posed 19th century-like formalities bring a kind of order to 20th and 21st century violent indecency. The presence of modern weapons in the sculptures makes them seem contemporary in a cheap kind of way, this I realise. I like this suggestion of cheapness, I play into it. Chicks and guns. At the same time I let the matter overlap with the threatened, threatening, violent female figure of history and myth, from the Papin sisters, through to Diana, Lucretia, Judith and so on.
He will be doing a solo exhibition of his work at the end of this year in Holland: Thom Puckey – Solo Exhibition. Stedelijk Museum ‘s-Hertogenbosch. New works in marble (November 2, 2013 – January 31, 2014). “The exhibition will feature several existing marble works from public and private collections in the Netherlands and abroad, as well as two completely new and ground-breaking marble sculptures, specially made for the show.”
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.La guerre des tubes aura-t-elle lieu ? Si une saine compétition est actuellement en marche entre les différents acteurs des tubes pour rendre l’expérience utilisateur plus agréable, tous souffrent du même mal : comment retrouver une bonne vidéo dans cette jungle où amat, homemade, vidéos promo et quantité hallucinante de merdes cohabitent ?
Avec plus de 735 000 vidéos différentes disponible en ligne d’après l’analyse de PornWatchers, un fappeur pourrait théoriquement regarder 16 années de porno non stop sans tomber deux fois sur la même vidéo, c’est pourtant pas ce que l’on constate quand on traîne sur ces sites, la faute à leur moteur de recherche peu efficace qui patauge dès qu’il a plus d’une requête entre les mains.
Un chercheur d’or affine ses recherches
Comme monter un tube à l’heure actuelle coûte une somme dingue en bande passante et que la concurrence est quand même là depuis 2007, beaucoup préfèrent se lancer dans l’agrégation de contenu plutôt que dans cette folle aventure. Ils ont alors l’avantage de ne pas gérer de droits ou de jouer à cache-cache avec les autorités. Leur priorité demeure l’interface, le moteur de recherche et la visibilité des niches et sous niches. Certains jouent sur un seul de ces paramètres, d’autres préfèrent s’attaquer aux trois d’un coup, c’est le cas de PornWatchers.
Dans un entretien accordé à Xbiz, les types de cet agregateur expliquent leur démarche :
“Avant PornWatchers, on perdait trop de temps à chercher du porno à cause des textes inclus dans les vidéos qui trompaient les moteurs de recherche. Avec PornWatchers on peut enfin accéder à des milliers de vidéos cachées, avec un niveau de précision inégalé qui bute sa mère ”
Les mecs te lâchent ça en plein aprem, professionnels on est donc allé voir. PornWatchers regroupe les principaux tubes disponibles sur le marché et a décidé de pousser la recherche assez loin dans le filtre jeu. Tout est paramétrable, taille des seins, couleur des cheveux, âge, durée, position, tenues, “niveau” (c’est mal traduit mais on se comprend), pratique… La recherche du tag parfait dirigée par la NASA.
Les filtres marchent bien, mais sûrement trop, car après avoir coché ces cases : black / POV / Anal / Petits seins / Teen, on s’est retrouvé face à 3 vidéos dont aucune n’était un POV. Bien joué, y’a encore quelques potards à tourner avant de lancer votre machine infernale.
L’interface est tout de même sympathique, fluide et dynamique mais ne résout pas le principal problème des tubes : leur contenu qui se dégrade au fur et à me sure que ce business devient sérieux.
A l’origine de ce livre, un mémoire d’un master en criminologie. Nina Califano a à peine retravaillé son texte pour qu’il soit publié sous le titre, « Sexualité incarcérée ». Dès la quatrième de couverture, on comprend que ce mémoire n’est pas comme les autres : de sa recherche, il est sobrement dit qu’elle « fut particulièrement distinguée ».
Les vrais éloges sont dans la préface. Un travail « exemplaire sur le plan scientifique » ; « un mémoire de recherche d’une qualité exceptionnelle qui devait absolument être mis à la disposition du plus grand nombre ».
Quand j’ai rencontré...
It’s time… Best Women’s Erotica 2013 is on shelves both virtual and actual, and I’m delighted to see it has glowing 5-star reviews. My new book Voracious just came out, too! So starting right now, I’m looking for the best erotic short stories written by women for the 2014 edition of the leading series for explicit women’s lit: Best Women’s Erotica 2014.
I’ll update this post with a link to the official listing on Erotica Readers and Writers Association. It’s a tight deadline, and this is the open call. Please read the entire specs in this post; a few things are different from past years – and this will actually be my last Best Women’s Erotica. (I need a break, and I think the form factor needs a reinvention…)
But I’m so excited to put this one together! Tell all your writer friends, send me your hottest erotica…
Or – tell me about a super arousing short you’ve read (or written and have permission to allow a reprint) in a collection within the past year. I will consider it for the book, which is an unusual break from tradition; I really want the best of the best for this one.
Call For Submissions
Best Women’s Erotica 2014
Editor: Violet Blue
Publisher: Cleis Press
Deadline: July 1st, 2013
Please note: Publisher has final right of refusal on all submissions. Payment is upon publication, plus 2 copies of the book; pub date is November 2013.
Best Women’s Erotica is a legendary and groundbreaking yearly series, and it is the best-selling women’s erotica collection, period. Every year BWE raises the bar for explicit erotica written by and for women, penned by the most exciting female authors, from around the world.
This edition (BWE 2014) is selected and edited by Violet Blue (tinynibbles.com, about.me/violetblue, @violetblue). In this edition, we are looking for fictional stories that seek to push the boundaries of female sexuality, present realistic fantasies and situations, and break taboos. The sex acts depicted must be explicit and must be realistic in detail.
A strong focus on character, predicament, and compelling situations is desired – smart, literate erotic fiction. The desired orientation within the main sexual element of the stories is primarily heterosexual, yet bisexuality and lesbian encounters are welcome and encouraged. The primary focus of sexual activity must be on the female experience; female pleasure is the main element. A playful, clever approach is welcome, as are intense scenarios.
The BWE editions 2006 – 2013 edited by Violet Blue have won awards, and are very different from other women’s erotica books – please read a few stories from any of those years of Best Women’s Erotica or the introductions for examples of tone. The easiest way to do this is to read free chapters from Best Women’s Erotica on Amazon.com.
Established authors and new writers are welcome to submit.
Desired themes include: Women’s sexual fantasies and experiences of all kinds, such as taboo sex acts, fantasy scenarios (real or imagined), bondage, fetish, male anal penetration (such as strap-on play), first-time experiences, light S/M, exhibitionism, power-play, voyeurism, public sex, seduction, role-play, spontaneous sex, spanking, erotic punishment, sexual surprise, emotional honesty, desire, longing, lust, passion, female fierceness, power (and power struggles), deviousness, meaning, themes that involve the Internet and technology, and sublime humor. Above all, include explicit sex.
What not to send: Dark themes (such as breakup, jealousy, infidelity and death) must be exceptional in content for acceptance and are *least* desired. Do not send sci-fi, poetry, slash or fantasy fiction.
Paste your story submissions into emails and send to: cleisbook at gmail.com
Rules: If you send an attachment, I will delete your email immediately. I am not accepting paper submissions. Only three submissions per author. Word count: 2500 to 4500 words is the desired range. No simultaneous submissions (you will be disqualified with no hesitation if you submit the story to multiple publications). Reprints that you have rights to use and excerpts from already-published, full-length books will be considered.
Required: You must include your name (and pseudonym if you are using one), a short 150-word bio, mailing address and main contact email address with your submission. Payments are made by check or PayPal only; state your preference when you send me your stories.
Authors must be female; sorry, no male authors writing under pseudonyms allowed (female transgender authors are warmly welcome here). Please don’t hassle me about not allowing male authors: this is the format of the “Best Women’s” series, and the series belongs to Cleis Press.
Because of the volume of submissions every year (literally hundreds!) I probably won’t be able to respond to your submissions until August.
Please only use the cleisbook at gmail.com address for correspondence about this book. Emailing me at a different address, Tweeting or Facebook messages will get lost.
Best Women’s Erotica 2013 is incredible. I got to work with some truly amazing authors (and enjoyed publishing a few newcomers for their first time). BWE authors become part of my network of colleagues, and I invariably involve authors in extra publicity about the book and other book projects. Do understand that I get a lot of stories, and I do read each and every one. If you email and demand a confirmation email, you may not get one simply due to the volume of submissions I’m trying to get through. I appreciate your patience in advance!
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Honoured Websites: THREE! FTMFucker.com (@ftmfucker), pornographiclove.com, WolfHudsonIsBad.com (@wolfhudsonisbad) #fpa2013
— Jiz Lee (@jizlee) April 6, 2013
Main post images via: Karo Mrozkova & Maritza Veer by by MIchael Donovan for Vision China
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.A day ago, I was curating an Eye Candy post while I had some hacker friends hanging out in my living room; I put the imagery I was culling onto my big TV so everyone would have a nice distraction (and I could get input from the guys for a fresh perspective). I was screen sharing onto the MacBook I have running my TV, and when I came across an astonishing gallery collection from Russian photographer Andrew Lucas, we all stopped in our tracks to ogle the incredible visuals. It all started with his Animal Planet set…
Many of the photosets I love are from 2009, so these aren’t new – apologies if you’ve seen Andrew Lucas’ work before. But if you haven’t, do set some time aside to really take it all in. I put a few of my favorites in this post, but I’m barely scratching the surface here… This is his professional website. Enjoy.
Don’t miss this other gallery collection of his stunning work.
I just came across this very sweet video of the extremely sexy Lass Suicide by Nathen Atia. I have those exact panties!
Lass Suicide is on Twitter here.
« Aujourd’hui c’est vendredi et je voudrais bien qu’on m’aime, je sens que je vais finir chez Pornhub et ses sirènes, et ses sirènes. » L’attaque des bactéries mutantes enfouies dans la glace depuis plusieurs millions d’années n’a pas réussi à nous ébranler, on est de retour, on est chowwww et pour fêter la fin de ce semi-coma, un petit tour dans les requêtes Google s’impose. On vous avait laissé avec quelques interrogations métaphysiques le mois dernier, cette fois-ci plus de réel, plus de concret, le fappeur sur Google veut des réponses claires et nettes.
les zamoureux de jacquie et michel (<3)
atelier du chat de cul xxx porno (diéthylamide de l’acide lysergique)
baise en jeans brutal (nouvelle campagne de pub pour Diesel)
bite de cheval animal dans la chatte russe (trop de précision dans ta requête)
cam4 c’est bien (c’est pas mal oui)
elle suce la bite d’un chat (non, non, non et non)
effacer un objet dans une photo en ligne camfuze (la photo de ta copine ?)
donnez moi un compte brazzers (le mec s’adresse directement à internet je crois)
comment optimiser l utilisation d un fleshlight ? (en commençant par y insérer ta quine)
faire jouir un garçon sous md (vouloir c’est pouvoir)
femmes bése en et chenge d’un truque porno (si vous comprenez cette phrase, ne prenez pas la route)
j ai envie te matter des photos sex hardcors (Google, ce nouveau psy)
jada stevens pompe a essence (à ne pas approcher de Jada Fire)
je voudrais consulter les vrais site pornographique aidez moi (www.google.com)
le nom de l’acteur porno star gay dans vintage video gay black police police (Eddy Murphy?)
porno avec gay qui bande beaucoup (ça n’existe pas, désolé)
pinocchio teens porn deflore (Geppetto n’as-tu pas honte ?)
piercing prince albert monstrueux sur sexe (on ne préfère pas savoir)
photo chate qui degeule le sperme xvidéos (une touche de finesse dans ce monde de brutes)
milf hot mom sistertrouvez des personnes, des lieux ou d’autres choses (comme tes clés ?)
telephone letagparfait (0899 655 255)
xhamster mon mari sais que tu peur (nous aussi)
Click through to watch this one. This video was pulled from its primary channel due to (IMO ludicrous) protests from French feminists, and I’m delighted to have found it for you on the artst’s channel. Louis Vuitton 2013 by James Lima is stunningly, arrestingly beautiful, sexy and completely haunting – I love it.
J’ai eu la veine d’être plutôt épargnée : j’ai été en forme tout au long de ma grossesse, je n’ai pas gardé de séquelles physiques inesthétiques (du type vergetures ou ventre qui pendouille) et les dix-sept kilos pris (oui, quand même) sont tous repartis en quatre mois.
Ce que je n’avais pas vu venir, c’est que mon corps n’allait plus m’appartenir.
Quand on aborde le corps dans la grossesse, on évoque souvent les désagréments esthétiques, les douleurs, la fatigue, la baisse de libido, l’effet « culbuto »... Ce sont des réalités (ou pas, selon) et je m’y...
Le paysage pornographique français continue gentiment à s’étioler d’années en années. Dans les couloirs, il se murmure que 2013 sera l’année où le porno hexagonal finira sa course sur la bande d’arrêt d’urgence, faute de carburant. Laissant filer au loin les indéboulonnables Dorcel et Jacquie et Michel (et quelques projets par ci par là). Un constat qu’on n’est pas loin de partager, les initiatives se faisant de plus en rares. Le climat est à la dépression mais Jacquie et Michel continue son insolente progression.
On n’a jamais été des grands fans (fappologiquement parlant) de J&M et de leur porn du terroir mais il faut bien admettre que leur stratégie à contre-courant fonctionne, au point que ce matin dans la veille porno qui ressemble de plus en plus à un cimetière de dépêches inintéressantes et de buzz foireux, est apparue cette vidéo étonnante.
Jennifer, charmante blasian (black + asian) de 18 ans en 1ère S décide de se lancer dans le porn et fait donc appel — comme si c’était une évidence et faut croire que ça va le devenir — à Jacquie et Michel. L’acteur Rick Angel (pourtant trainé dans la boue par une grande partie du milieu) en brave soldat de l’écurie J&M descend à Valence (dans la Drôme) à sa rencontre. La vidéo commence dans le malaise le plus complet.
La fille ne sait pas trop où se mettre et nous non plus, trop jeune, trop inexpérimentée, trop timide pour être sincère ; on se dit que tout ça va finir dans le fossé ou sur Motherless. On s’accroche au volant, on sert notre ceinture, la preview déroule calmement (10 minutes tout de même, merci Jacquie et Michel) et retombe sur ses pattes à la faveur d’un bouli incroyable élevé au coupé-décalé (et à une fille pas si timide que ça). Honnêtement fappable, sans aucune moquerie. Le choc.
Des questions jaillissent : si Jacquie et Michel est devenue la porte d’entrée du porn français, pourquoi se resigner à rester dans le franchouillard et ne pas élever le niveau ? Qui es-tu Jennifer ? Penses-tu en rester là ? Pourquoi être tentée par le porn alors que son paysage est sinistrée ? Es-tu plutôt Skin Diamond ou Ana Foxxx ? Aucune réponse à ces questions dans la preview qui va suivre, mais certainement un nouveau regard sur notre « fierté » nationale.
[EDIT] Décidément le porno est un jeu de dupes, Jennifer s’appelle Bella chez MyDorcelExperience et a 22 ans sur le papier, 20 ans en vidéo et vient de Pantin.
Image en une : la Drôme, ce beau département
On a bien réfléchi et le tag cahuzac n’est pas ce qu’on fait de plus excitant. Pendant que Twitter se creuse les méninges pour trouver les meilleurs jeux de mots possible ou dénoncer le gouvernement avec la force de la vacuité, le porn avance. Xhamster vient de faire peau neuve et se rapproche doucement du dernier sextube à la mode qui pourrait un jour lui faire de l’ombre, l’attrayant fapdu – quitte à faire mentir sa catchline « just porn, no bullshit ».
Cette mise à jour importante ne semble pas toucher au point noir d’Xhamster qui reste la lenteur désespérante de ses serveurs, ni expliquer pourquoi ils ont comme mascotte depuis cinq ans un foutu hamster, mais rend son interface bien plus sympathique et dynamique. Au menu :
- Encore plus de 2.0 (partage, aspect communautaire).
- L’accès à une vraie messagerie.
- Une recherche avancée plus intuitive et puissante.
- La possibilité de virer en un clic les étonnantes pubs de leur régie Exoclick « Trouve une congar près de chez toi et baise-la ce soir ! »
- Le mode random aux faux airs de faproulette.
- Encore plus de rencontres et de sexcams.
A la recherche du tag parfait
Rien de très révolutionnaire, mais suffisamment pour assoir durablement Xhamster comme tube préféré des fappeurs (toujours en tête devant Xvideos et Pornhub). Reste à savoir quand l’industrie porno (en dehors de l’empire Manwin et de quelques sites, mais pas des moindres : Naughty America, X-Art, Joymii…) prendra clairement conscience que l’avenir se joue sur les tubes et les abonnements globaux et non dans le pay-per-view. 2013 devrait – on l’espère – marquer ce tournant majeur dans l’histoire du porn en ligne, ce sera de toute évidence quitte ou double.
Quand Marie-Paul Ross parle de sexe, elle ne minaude pas. C’est normal, elle est sexologue. Elle est aussi religieuse, Sœur de l’immaculée conception.
La religieuse s’est lancée dans la mission de la promotion d’une sexualité saine. En Amérique latine d’abord, puis au Québec où elle a obtenu son diplôme en sexologie et a fondée un institut. Elle reçoit aujourd’hui des patients souffrant de déviance sexuelle, des partenaires trompés, et donne des formations pour atteindre « le calme érotique ».
Dans son dernier livre, « Je voudrais vous parler d’amour... et de sexe » (Michel...
This video is a hot little discovery. While not explicitly sexual in nature, Crucible (one of the ways we get by) by Four Chambers is both moody and delicious, and definitely inspires a bit of lust from this side of the screen. If you want serious turn-ons, check out posts like this on their Tumblr. Four Chambers is here on Twitter, and here on Tumblr and I’m so glad I found this indie, DIY porn maker and their videos (“We attempt to make interesting sensual erotica with a focus on creativity and aesthetics. Pornography can be beautiful.”) They included these details about the video:
music: ‘merely one of the ways we choose to get by’ – rogue pharmacist
from the album indie rock superhero
featuring kiff, lovisa, vex.
I danced for the Devil; I saw him, I wrote in his book.
I am so crushed out on these girls…!
Here is everyone (@ohvex @kiff_gg @lovisagrey) post shoot + kitties yesterday: twitter.com/fourchambered/…
— Four Chambers (@fourchambered) March 4, 2013
This video is so incredibly sexy, it’s driving me to distraction tonight. “Mine” by Alvaro de la Herrán stars model Marina Jamieson as the romantic counterpart of male model Garret Neff, in a sexually charged video that focuses on the art of male domination and female submission.
Herrán wisely explains,
GQ Spain proposed a film to me inspired by the characters of the book that I see in all books shops, but it’s clear to me that in a contemporary sexual relationship a kiss hides more than a tongue.
Un atelier pour faire des sextoys soi-même ? Par l’odeur du latex, alléchée, j’y suis allée. C’était au Fablab de Gennevilliers, vendredi 22 mars dernier, de 13h30 à 18h.
Finalement, il n y a pas eu tellement de latex, mais plutôt du bois, des tournevis, de la fraiseuse et de la découpeuse.
13 heures. En charge de l’atelier, peu avant les réjouissance, Clément rappelle l’essentiel. C’est quoi un Fablab ?
« C’est un atelier participatif où l’on met à disposition du public des outils à commande numérique, des machines, une découpeuse laser ou des fraiseuses numérique.
On forme...
La planète vient de tomber amoureuse. Sur les autoroutes de l’information, les cœurs des citoyens de tous pays s’emportent au même instant, pompent une émotion que chacun partage et ce matin, l’amour coulait dans nos veines. L’amour coule toujours et il s’appelle Emily Ratajkowski.
Âgé de 21 ans, l’amour se balade à poil dans le clip de Robin Thicke, Blurred Lines. Une vidéo musicale, au passage, qui restera dans les annales de l’histoire de la culture pop. Une nouvelle frontière est franchie. Les filles nues dans les clips existent depuis des lustres, cantonnées à un rôle décoratif malheureusement. Mais, dans ce cas, les corps sont donnés au spectateur sans ambiance pesante, avec une simplicité troublante et une attitude désinvolte qui leur donnent du caractère. Les modèles ont une personnalité. Et elles nous plaisent pour cette raison. Notamment, la fameuse Emily Ratajkowski.
L’amour est né là
Connue des habitués du Net et de Tumblr, l’Américaine aux origines polonaises nous fait chavirer. Nom d’une pipe en bois, quel corps, quels yeux, quelle poitrine ! Ses photos vont hanter vos nuits pour longtemps. Et ses vidéos, n’en parlons pas. Elle conduit des voitures avec Taio Cruz, mange des burgers à Memphis et a tourné dans une série Nickelodeon. Mais en string aux côtés de Pharell et de TI, Emily dégage une présence qui va faire d’elle la nouvelle Kate Upton. Kate range ton absence de taille, les lèvres ourlées (et siliconées ?) d’Emily vont te renvoyer dans l’oubli.
Proud Daddy
Le mannequinat la branchant plus, le regret s’empare de l’amateur de sofporn. Quid d’une série dans MET-ART, FemJoy ou FTV ? Quid d’une vidéo avec Erica Fontes et Caprice pour X-Art ? Et la puissance de la frustration s’amplifie quand le doux songe d’une collaboration avec l’excellent Petter Hegre nous envahit. Oh ! les bons faps qui n’existeront pas…
D’ailleurs Emily, notre Emily à toutes et tous désormais, ne vous rappelle-t-elle pas Luba ? A-t-elle une sœur jumelle également ? Terry Richardson la shootera-t-elle ? Tant d’espérances, si peu de réponses.
En attendant, admirons la belle vidéo du GQ turc dont elle fait la couverture ce mois-ci.
Le reste se passe de commentaire :
En bonus tout de même, le gif comme la cerise sur le gâteau.
German lingerie company Blush Berlin decided to use their brand for some risky (and chilly) activism – with the above video filmed in Red Square and posted yesterday. Bravo! They write,
On the first anniversary of the Pussy Riot concert in the Cathedral of Christ the Savior, the Berlin based Lingerie label blush supports the free pussy riot movement with a sexy protest march through icy Moscow (-15° C). Support Freepussyriot.org! (Music by Peaches and Simonne Jones)
If you haven’t seen the erotic photography of Bart Ramakers, do yourself a favor and visit his website. Better yet, go look at his Flickr, which is how I discovered his work many years ago. He has graciously given me permission to repost the photos in this post (click to enlarge). This is a small set he shot in a the former prestigious Banque Centrale de la Dyle (Belgium, est. 1923), a set and setting that completely nails a number of my prurient interests all in one go. (Model: Raphaella, MUA: Nastia, Location: Il Giardino, Diest).
La photographe américaine, Elizabeth Moran, est allée voir les gens de chez Kink.com. La fameuse (certains diront la meilleure) société de production porno, pour les fétichistes du BDSM et autres sexualités à base de corde et de torture électrique, fut ravie d’accueillir cette Texane habitant San Francisco dans sa belle bâtisse.
« Ça serait cool, a-t-elle pu dire, de photographier les plateaux de tournage, les décors, mais sans les acteurs ni les actrices, histoire de laisser libre cours à l’imagination du spectateur. »
Et voilà, une série de photographies représentant l’absence qui fait le tour du Web avec le mot-clé porn dans le titre, sans être hashtaggé NSFW. Rien de mieux pour filer la gaule aux webmasters qui comptabilisent le nombre de clics.
Smug Alert sur San Francisco
Le studio Kink est dans la tendance. James Deen, la nouvelle coqueluche des adolescentes américaines, est leur figure de proue : un homme doux et dur, le yin et le yang du fantasme féminin. James Franco, la nouvelle coqueluche d’Hollywood et de Sundance réunis, prépare un documentaire sur ces professionnels du godemichet actionné par vérins hydrauliques. Le patron Peter Acworth voit la police débarquer pour des histoires non élucidées de drogue et de stand de tir illégal. Kink sent le soufre, mais son image scintille au sommet de la branchitude.
Parler de Kink, ce parangon de vice, c’est s’encanailler à peu de frais. Dépasser une limite sans la franchir.
Double autoportrait. Laquelle est Elizabeth Moran ?
Le travail d’Elizabeth Moran se penche sur les lieux vidés de leurs occupants. Elle parle de rendre visibles les couches invisibles du porn. Au final, pas d’excitation, pas de pensées enflammées par des fantasmes personnels projetés sur cette cuisine, ce lit, ces toilettes pour hommes ; au final, Moran expose la froideur du lieu de tournage, cette mise en scène glaciale réchauffée par les projecteurs, enfin dans la lumière. La sensibilité de Moran tend à montrer que le porno est un métier, le rendu artistique d’une scène où l’actrice est pendue par les pieds, pratiquant une fellation (par exemple), cette émotion suscitée dans les slips et les culottes est contradictoire aux conditions nécessaires de son élaboration. Pour faire simple, encore une fois, nous constatons que le porno n’est pas très funky.
Par contre, l’exploration d’un open-space par Moran, un autre de ses projets, gagne en chaleur lorsqu’il est mis en regard de la forteresse Kink. Les bureaux en désordre, les salles de réunion inoccupées, où sont-ils tous passés ? Que font-ils ? Un pissing gang bang avec la directrice des ressources humaines ?
Elizabeth Moran : site officiel – Tumblr
Don d’orgasme – flickr/Roberto Poveda
Ca fait maintenant plusieurs années qu’Arthur Vernon poursuit sans relâche une idée : désacraliser le sexe pour que, débarrassés de ce poids moral, nous nous adonnions en toute liberté au sexe récréatif. Je ne sais pas si ce jour arrivera avant la fin du millénaire, mais Arthur Vernon a l’air décidé à y consacrer une grande part de son énergie.
Il a commencé en 2010 avec un livre, « Comment je me suis tapé Paris ou l’origine de la misère« , où il exposait, sous couvert d’une romance sexuelle avec l’héritière Hilton, les prémices de ses théories. Il continue cette année : après son spectacle humide « Les rêveries d’une jeune fille amoureuse » (en décembre dernier à la Folie Théâtre, et de retour à partir du 16 mai), il déroule, dans un essai théorique intitulé « La Vie, l’Amour, le Sexe », sa construction argumentée : pour une société plus heureuse, il faudrait en finir avec l’exclusivité sexuelle au sein du couple, et donc le mariage tel qu’il est conçu aujourd’hui en France.
Tu poses que chaque individu suit deux principes fondamentaux, assurer sa propre survie, puis transmettre ses gènes. Mais le mariage « pour toute la vie » n’est-il pas aussi une façon pour les humains de s’assurer le soutien d’un allié pour assurer sa survie?
Je suis parfaitement d’accord que le mariage « pour la vie » soit une façon de s’assurer du soutien permanent d’un allié sur le long terme. Mais je ne suis pas d’accord sur le fait que ce soit nécessaire « pour assurer sa survie » – c’est biologiquement faux. La seule règle biologique sur le sujet est la suivante : à l’origine de l’humanité, il était nécessaire, pour que le très jeune enfant survive, qu’il soit accompagné par un adulte (sa mère) et que comme celle-ci ne pouvait assurer seule la survie de leur duo (protection, recherches de ressources), la présence d’un autre adulte (le père) était nécessaire sur les premiers mois/premières années de sa vie : d’où les mécanismes hormonaux prévoyant l’attachement entre le père et la mère (ocytocine). En dehors de cette contrainte originelle (qui n’est donc plus d’actualité aujourd’hui dans les mondes modernes), il n’existe pas de contraintes biologiques de vivre à plusieurs. C’est donc la société qui fixe ensuite les règles.
Je te pousse un peu : le mariage et son exclusivité sexuelle, ça permet à tout le monde d’avoir une part du « gâteau sexuel ». C’est une des théories de Michel Houellebecq : la libération sexuelle aurait accru la misère sexuelle de ceux qui ne parviennent pas à tirer leur épingle du jeu de la séduction.
Je ne pense pas que le mariage permette de mieux répartir la quantité de sexe entre individus, bien au contraire. Si le sexe est désacralisé, si on admet donc la multiplicité des partenaires sexuels, si le sexe devient un acte banal mais sublime, alors le critère de beauté ne sera pas un critère dominant du choix du partenaire sexuel : il y aura plein d’autres critères (la fantaisie, le style, l’originalité, la différenciation, ou même, la valeur érotique de l’instant, le contexte, etc. soit tout ce qui permettra de varier les plaisirs). Dès lors, beaucoup plus de monde aura accès au « gâteau sexuel » – et c’est aussi toute la raison de la lutte contre l’exclusivité sexuelle (donc le mariage) qui est la première barrière aujourd’hui à cet épanouissement de masse. Pour résumer, le mariage, tel qu’il est aujourd’hui défini (avec son obligation de fidélité), confisque le sexe.
Hommes et femmes auraient donc tout à gagner à l’ouverture du couple que tu prônes… Mais pourquoi attribuer l’effet Coolidge (le désir se réveille face à de nouveaux partenaires, poussant à les multiplier) aux seuls hommes? Pour favoriser la diversité du patrimoine génétique transmis, les femmes ne seraient-elles pas aussi biologiquement être attirées par la multiplicité des partenaires?
L’effet Coolidge n’est pas une invention personnelle, c’est l’appellation scientifique d’une qualification biologique qui signifie qu’un mâle ignorant s’il sera ou non le géniteur d’un enfant va multiplier les réceptacles pour multiplier ses chances de transmettre ses gênes, alors que la femelle est sûre à 100% que l’enfant sera d’elle. L’effet Coolidge est donc par définition propre aux mâles (je ne peux pas changer un concept scientifique !). Ce qui ne signifie absolument pas que les femmes n’ont pas intérêt à changer de partenaire également ! La biologie ne doit pas faire oublier le circuit de la récompense (la partie du système nerveux central qui relie certains groupes de neurones à l’origine de fortes sensations de plaisir et de satisfaction), dont on sait aujourd’hui qu’il est un moteur extrêmement puissant du désir sexuel. C’est en application de ce comportement (par opposition à la biologie) que les femmes peuvent avoir tout autant (voire plus) envie que les hommes de changer de partenaire sexuel, et tant mieux !
Arthur Vernon sera en dédicace au Salon du Livre de la Porte de Versailles, ce dimanche 24 mars à 14h00.
Voilà comment ça se passe : il l’appelle quand elle est au bureau. Elle part s’isoler aux toilettes. La dernière fois, il a exigé qu’elle presse très fort son sein entre ses doigts. Elle envoie la photo-preuve. Bip-Bip. Il a aussitôt accusé réception : « Tu es une bonne chienne. Ce soir, tu pourras remuer la queue... mais pas la tienne... »
Thysminia et Déphysios, couple BDSM le jour et la nuit, ont adopté l’appli Pair, rebaptisée Couple il y a deux ans. C’est lui qui en a fait un instrument de contrôle et d’épanouissement amoureux :
« Dernièrement, ils ont ajouté une...
Photo: Tony Kelly Photography.
Si Twitter n’était pas là, on serait passés à côté. J’avoue, je ne lis pas ELLE. C’est donc parce que le réseau social s’est agacé, que j’ai découvert le dernier numéro de l’hebdomadaire féminin et son gros dossier (trois pages) : « 40 ans, quel amant ? ».
Le premier « tweet » venait de Elodie Drouard, @elodienelson. Elle montrait ce passage du dossier où il est dit qu’une amante de 40 ans, « ça nous tente » :
« Parce que, si on n’est pas encore sortie avec une fille à 40 ans, c’est qu’on a raté sa vie. Enfin, c’est ce que disent de nombreux magazines féminins. Et pourquoi...
J’ai 30 ans cette année, je suis réalisateur de films documentaires, et j’ai un handicap moteur. Mais pas un petit ; je suis même carrément lourdement dépendant. Je parle, je respire, un peu, je bouge un peu ma main droite, assez pour déplacer mon fauteuil, et c’est tout.
Pour plusieurs raisons, je m’intéresse depuis longtemps aux questions de sexualité. J’ai d’abord été militant au Planning familial quelques années, et j’ai, entre autres passé un an à travailler sur les questions sociales relatives au
handicap et à la sexualité.
Un peu comme beaucoup de gens, pendant ces...
This is Chi by Alexander Tikhomirov, and I find it very soothing late at night. Also, Alexander Tikhomirov is on Tumblr, and he works in conjunction with vpmshop.ru (Вроде по моде).
Le photographe et réalisateur Jonathan Leder (également fondateur et rédac chef du magazine érotique Jacques Magazine) s’apprête à sortir American Ecstasy, long métrage indépendant et dérivant sur les eaux de la tentation, du plaisir et de la violence avec Britany Nola (Playmate de novembre 2012), Amy Hood, Lindsay Roan et d’autres actrices dont nous ne savons pour le moment que très peu de choses. Le premier trailer coup de poing vient de sortir et semble mélanger films porno d’époque et production récente, dans un climat malsain et excitant sous fond de torture et de jouissance.
Le site officiel ne nous apprend pas grand chose de plus, ni de date de sortie mais cette énigmatique description qu’on vous laisse le plaisir de traduire :
They come from the middle of nowhere. They flee fine families and broken homes in search of experience and dreams. They travel the same interstates and back roads as we do. Trigger the same bells entering 24-hour convenience stores. Veer off at the same rest stops headed for places like the Adirondacks, Woodstock, Myrtle Beach and Tampa. And then they vanish. In the wake they leave trails run cold, memories of fresh faces and promising smiles later recalled by strange passersby.
These young women are now heroines of the American Ecstasy (…). An anthology film exploring tales of resilient women snared in a single terrifying, hallucinatory nightmare, fates left gasping in the gloved hands of a mad everyman, this is the movie that will prove, once and for all, that the most monstrous of highway predators is America itself.
Le Powerful yogurt (yaourt puissant, en français), est un yaourt censé durcir les abdos des mecs. On imagine le gars pousser un cri d’ours au moment où il plonge sa cuillère dans le pot. Ses fabricants, la marque Powerful men, disent vouloir s’adresser à des « mecs normaux ».
« On ne parle pas de Rocky Balboa mais de mecs normaux, comme vous et nous, qui font du sport de temps en temps, qui prennent soin d’eux, qui aiment être beaux mais qui boivent aussi des bières en mangeant des ailes de poulet. »
Ne me demandez pas pourquoi manger des ailes de poulet est (apparemment) un symbole de...
More great – and new – eye candy from Wolf Magazine. This is Aleksandra Rastovic in The Devil’s Dance by Tyler Kandel (visit his site, too).
C’est un beau livre qui m’a donné envie d’explorer ce thème de l’amour au Japon. Il a été écrit par Agnès Giard, tenancière entre autres des jolis 400 culs, blog consacré à la sexualité sur Libération.
« Les Histoires d’amour au Japon » est un voyage. A travers les mythes, les légendes et les histoires populaires du pays, Agnès Giard explore le concept typiquement japonais du « koi ». Pour comprendre ce terme, Takeo Funabiki, un anthropologue japonais, lui explique :
« L’amour au sens occidental voire chrétien du terme n’existe pas dans notre pays. »
Avant de développer...
Bordel, quand Fort Boyard rentre sur la piste. La Boule, flanqué de Passe-Partout et Passe-Muraille, vient foutre le zbeul à l’Opéra, une boîte de Chambéry. Ça swag sur la gauche, ça swag sur la droite. Barely legal sur les genoux, bouteille de Ricard sur la table… Ça doit pas fourrer souvent à Fourras.
Merci Zafinho (certainement un des meilleurs comptes Twitter à suivre et également auteur de cette petite excursion en République Tchèque) pour cette découverte et les légendes qui vont avec. Vous ne regarderez plus jamais Fort Boyard de la même façon.
« HOP HOP HOP OÙ TU COURS COMME ÇA TOI VIENS FAIRE UN TOUR SUR LES GENOUX DE TONTON LA BOULE »
« On vous baise on vous laisse à l’hôtel » aurait déclaré La Boule selon des témoignages de participants à la soirée.
La Boule part dans un freestyle d’anthologie « Bouteille de Pastis, on s’enjaille, ramène moi ta fille que jl’entaille »
La Boule est innarêtable. Ses victimes tentent de serrer les cuisses, d’enlever son bras, il regarde ailleurs et…
« QUATRE PATTES J’CONNAIS AP’ MÊME COMPLÈTEMENT RABATTE »
[Edit] Témoin (ou victime) sur place, Barb Prieto-Lavault confirme la malice sans limite de l’affreux jojo du Fort Boulard.
@ovasselon il m’a mis la main entre mes cuisses (véridique)
— Barb Prieto-Lavault (@barbuchelabuche) 15 mars 2013
@ovasselon @la_charp et quand je me suis approchée pour lui claquer la bise, il m’a demandé de lui faire « un vrai bizou sur la bouche » bouak
— Barb Prieto-Lavault (@barbuchelabuche) 15 mars 2013
La suite en images par ici, âmes sensibles, s’abstenir.
Après une première édition réussie en 2011, le Festival Pigalle remet le couvert du 21 au 23 mars 2013. Sous la bannière « Bon chic, mauvais genre », le Festival détourne et retourne Pigalle : lieu de fête, de création, de débauche et d’interdits. Une nouvelle édition avec plus de spectacles, de soirées, d’événements adaptées au quartier et à ses multiples facettes (nos foies peuvent en témoigner tous les week-ends). Pendant trois nuits et deux jours : des parcours secrets, du cinéma, du clubbing, des concerts, des expositions, des performances, une radio éphémère… Qu’on vous invite à découvrir.
Voici le programme complet (extrait du communiqué de presse)
JEUDI 21 MARS
• Les parcours nocturnes (départ à 19h, 21h et 23h)
« Lieux secrets »
Gros succès public de la précédente édition et âme véritable du festival, les parcours nocturnes seront à nouveau l’attraction vedette de la programmation 2013. En compagnie de Sylvanie de Lutèce ou Hervé Haine, les heureux élus partent sur les traces d’un Pigalle de frisson de pacotille ou de rock… Emotions et sensations seront au rendez-vous. Une tournée de lieux insolites multipliant découvertes impromptues et rencontres surprenantes… La légende de Pigalle à vivre comme si on y était.
• Cinéma – Genre! Genre! Genre! – L’Atlas (à partir de 14h pour les projections et 20h30 pour les performances live)
Cette année l’Atlas accueillera un festival de films de genre en tout genres : des projections ambiance 60’s-70’s, des courts, moyens et longs métrages, du frisson, de l’érotisme… Au générique: l’artiste Fred Elalouf « DJ Oof » et ses happenings insolites mixant joyeusement images et sons en performance live, le collectif Panic! Cinéma et leur collection de curiosités sur bobines, et, pour la première fois à Paris, le festival de Cinémabrut de Montsartoux.
Projections l’après-midi et performances décalées le soir feront revivre, le temps d’une journée, la grande époque des cinémas de quartier qui ont fait, jadis, la gloire du cinéma de genre.
• L’Atlas
Ouvert dans les années 60, l’Atlas s’est d’abord essentiellement consacré aux westerns puis est rapidement devenu une des salles porno-érotique du Pigalle période révolution des mœurs… Aujourd’hui c’est l’un des derniers cinémas X encore en activité à Paris. Grâce au Festival Pigalle, ses néons colorés vont voir défiler un tout autre public, trop heureux de pénétrer le saint des saints de cet irréductible qui fait encore vibrer le chaud quartier.
Venu de Grande Bretagne, un Bingo version déjantée, interdit aux vieux et aux ennuyeux, et qui se joue dans un joyeux bordel et en tenue incorrecte exigée. Deux sessions seront organisées dans une ambiance enfiévrée et en musique avec Marco Dos Santos qui officiera en Maître de Cérémonie puis aux platines… A la fin, une remise de lots pour les gagnants, mais l’essentiel reste de participer.
Après la passion du jeu, viendra la folie de la danse dans ce nouveau lieu de la nuit (très bien) tenu par l’ex papesse de Chez Moune (époque filles), Marco concluera la soirée Bingo par un set électro visionnaire.
VENDREDI 22 MARS
Ça ne pouvait venir que des Etats Unis, un rodéo qui brise les préjugés et mélange les genres… Il existe un véritable circuit de compétition avec ses règles et son public mais s’y ajoute une note de fraîcheur bienvenue dans un monde viril et pour tout dire assez sauvage. La compétition parisienne se déroulera perchée sur un taureau mécanique mais pour sûr : « il va y avoir du sport ! ». Aux commandes, deux hôtes flamboyants : Marc Zaffuto et Emmanuel d’Orazio de la Club Sandwich !
• Musique – Hommage à Pierre Carré – La Boule Noire (à partir de 20h30)
Nostalgie quand tu nous tiens… L’un des tout derniers personnages de Pigalle fera l’objet d’une soirée hommage sous forme de concert/bal avec l’orchestre du Petit Orchestre Parisien (formation issue du GOLEM). Une soirée placée sous le signe de la chanson populaire et qui devrait voir défiler de prestigieux invités pousser la chansonnette en souvenir du rougeoyant troubadour.
Pierre Carré et Les Noctambules, Les Noctambules et Pierre Carré, les deux mythes sont liés pour toujours désormais. Depuis plus de 40 ans, le chanteur prenait possession des lieux chaque soir ou presque avec un répertoire éclectique voire bordélique : chanson française, italienne, espagnole… Depuis que Pierre est parti, Pigalle cherche sa voix.
SAMEDI 23 MARS
ASKEHOUG, drôle de dandy décadent.
La chanson titre du spectacle sonne comme la promesse d’un règlement de comptes aussi léger que glaçant. De l’inertie du couple à la dérision d’une époque en plastique, Askehoug décortique l’humain, mi-bionique mi-animal, en maniant son scalpel d’un air détaché. Toujours dans un esprit Smart & Piggy, ce dandy décalé surprend par son groove classe et décadent, sa voix grave façon Arthur H, son chanté-parlé jazzy à la Gainsbourg, mêlé au côté hip-hop foutraque et décalé des Beastie Boys et au lyrisme désuet de Serge Lama, avec même une étonnante révérence à Jean Rochefort pour son humour, sa poésie et. une certaine ressemblance physique.
Yes ! La référence de la nightlife version Pigalle fait son come back pour enflammer le festival… Le beat qui a fait trembler l’Elysée Montmartre sera à nouveau de la party mais au Pigallion cette fois-ci. Donc un haut lieu du dance floor + une sélection musicale pointilleuse + une date en exclu + des performers dragkings = un cocktail very explosif… Aux commandes Danton Eeprom + Guests.
Danton Eeprom
Danton Eeprom fait ses débuts sur la scène berlinoise et devient en quelques années une signature remarquée de la musique électro. Son univers au background rock, qui mêle de fines compositions pop à des sonorités issues de la new-wave, lui a ouvert en grand les portes de la renommée internationale.
En 2009, le dandy de l’electro-pop sort son premier album « Yes is more », au style sombre, élégant et inclassable.
LifeLike
Laurent Ash de son vrai nom, LIFELIKE produit et compose des sons electro qui tournent sur la scène internationale. Dès ses débuts, il se positionne à l’avant-garde du mouvement électronique française et trouve rapidement sa place aux cotés des plus grands, comme Daft Punk, Justice, Alan Braxe, ou Pedro Winter. Ses productions, aux sonorités house et new-wave, déchainent les foules aux quatre coins du monde.
Kcpk
Les KCPK ont à plusieurs reprises retourné les dance floors Parisiens. Reconnu pour être de véritables performers, ces 2 érudits de la musique ont réintroduit avec talent la Cold Wave dans les endroits branchés et undergrounds de la capitale. Ils viendront partager leur passion à travers une sélection de titres exclusifs
Remain
Remain partage depuis 7 ans son sens de la fête et des rythmes au long de sets percutants qui mêlent techno, électro et minimale. Jadis DJ résident du mythique PULP, il entraîne avec lui une foule de passionnés en tout genre. Seul ou en “back to back”, il offre une explosion de basses et de beats puissants.
Billetterie et réservation – Event Facebook – Fan Page Facebook
Conçu par le photographe Keffer, le tee-shirt du Tag Parfait est une mise en abyme de tags. Christopher est fièrement porté par l’actrice Anna Polina elle-même portée par la douce Mélusine qui finira sur vous. Disponible en modèle homme et femme avec une coupe relativement serrée et en 100 % coton bio d’une douceur rare, ils sont au prix de 25 euros (hors frais d’envoi).
Comment se les procurer ? C’est très simple. Vous trouverez un petit bouton sous chaque tee-shirt, choisissez votre taille et passez par Paypal. Vous les recevrez d’ici 48h. Si vous préférez faire un virement ou payer par chèque, envoyez-nous un mail et on vous expliquera comment faire. Si vous êtes sur Paris, on peut aussi vous les passer en direct, n’hésitez pas à nous contacter. Ils sont également disponibles sur notre boutique (profitez-en pour vous faire plaisir avec une sélection sérieuse de produits plus que recommandables).
Modèle homme
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Homme S Homme M Homme L Homme XL |
Modèle femme
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Femme S Femme M Femme L |
Back to regular updates! I’m starting with a few hot quickes…
Une fatwa contre une déclaration des Nations unies ? C’est sans doute une première et on a la doit au Grand Mufti de Libye, cheikh Sadek Al-Ghariani. L’objet de la colère du plus haut dignitaire musulman libyen : les femmes, évidemment.
Le Grand Mufti s’insurge contre un projet de déclaration en discussion à une réunion de la commission de la Condition de la femme qui se tient actuellement au siège de l’ONU, à New York, et à l’issue de laquelle les représentants de 190 gouvernements doivent en principe adopter vendredi une déclaration sur « l’élimination et la prévention de...
La semaine dernière, on s’essayait à une analyse de vos historiques et on se heurtait à un problème : le manque de données recueillies. Difficile avec une cinquantaine de réponses de tirer de conclusions précises sur vos habitudes sur les tubes porno. On se disait qu’il serait interessant d’avoir accès aux logs de connexion des gros tubes, un fantasme que PornMD vient de réaliser, infographie interactive à la clé.
Tout d’abord qui est PornMD aka The Porn Doctor ? C’est tout simplement le moteur de recherche (ou l’agrégateur de contenu, comme vous le sentez) du réseau Pornhub Network. Quand vous utilisez PornMD, vous accédez au reste de la pieuvre Manwin : Pornhub, Youporn, Tube 8, SpankWire, XTube et Extreme Tube. Soit un trafic journalier absolument colossal, des dizaines de millions de visiteurs uniques par jour, une base de données sidérante, qu’ils ont décidé de rendre en partie public après six mois d’analyse.
Les mecs de Manwin sont des filous, placement produit par ici et par là, fausse pub pour faire parler d’eux, community management « humain » sur Twitter (bien que redondant), des types qui ont tout compris à Internet. Ils ont donc sorti le porn SFW le plus viral qui existe ici-bas : une infographie, de la bonne came pour tous les internautes de la planète, de quoi taper sa veine autour d’un café avec les collègues.
Voici donc par pays et par états des Etats-Unis le top 10 des tags les plus recherchés. On remarquera par exemple que le Français aime ses beurettes et l’amat, que les Italiens sont chauvins, que les Hongrois aiment Woodman et l’inceste ou que les Etats-Unis sont obsédés par les étudiantes, le creampie, les milf, les teen et le POV. Une infographie qui n’est pas non plus exempt de défauts, on aurait aimé voir apparaitre des pourcentages et quelques chiffres par exemple, mais on ne va pas non plus bouder notre plaisir, cette merde est bonne.
[Edit] Certaines données nous semblent un peu suspectes, pour le Pérou ou le Chili par exemple. Résultats à prendre avec quelques pincettes, sachant qu’on ne sait pas non plus s’ils proviennent des requêtes internes ou externes (Google et cie).
Les occidentaux ne font pas recette au Japon
Torbe ? TORBE ? C’est vraiment la crise…
Les Brésiliens se moquent des shemale
L’Amérique, plaisirs simples
Les petites beurettes <3
Qui es-tu pour juger ?
Le reste de l’infographie se trouve sur le site de PornMD
En 2004 sort de terre le site Fuck For Forest — créé par deux Norvégiens Leona Johansson et Tommy Hom Ellingsen — qui propose contre un abonnement à leur site la possibilité de voir le couple s’ébattre dans la nature, une partie des fonds récoltés servant à lutter contre la déforestation. Le site avait fait pas mal parlé de lui à sa sortie, notamment lors d’un concert du groupe Cumshots où le couple baisait sur scène, ce qui leur avait valu d’avoir en plus des tics, la justice au cul ; pas toujours évident de sauver des arbres en baisant.
Dorénavant installés à Berlin, le couple et les membres de l’association continuent leur aventure. En 2012, le réalisateur Polonais Michał Marczak s’intéresse à leur cas et leur propose de les suivre depuis les rues de Berlin jusqu’au fin fond de l’Amazonie afin de réaliser un documentaire inédit sur leur activisme pro-sexe écologique. Du porn bio sur écran pour un documentaire assez fou, qu’on vous propose de voir en avant-première lors d’une séance Panic Cinéma en association avec le Festival International de Documentaires Cinéma du réel (35e édition, du 21 au 31 mars).
La séance, en présence de Michal Marcazk, se déroulera au cinéma Nouveau Latina (20 rue du Temple, 75004 Paris) le samedi 23 mars à 22h00 pour 5 euros l’entrée (on vous conseille de réserver vos billets à l’avance).
On va bientôt avoir trois ans (le 17 mars pour être précis), alors on vous envoie trois Fap Club d’un coup. On commence le jeudi 21 mars à Rennes avec les copains de Juveniles en dj set au Moon Station à partir de 22h (jusqu’à 3h, et après on ira se la coller plus loin). On enquille le lendemain à Angers pour un retour flamboyant à la Péniche (de minuit à 6h du mat, PAF : 10 €) avec Pur Sim — l’enfant du pays. Enfin le jeudi 28 mars, on se retrouve comme tous les mois au Carmen entre le haut et la cave pour se faire des câlins bien deep. Notez qu’on aura des tee-shirts avec nous, n’hésitez pas à nous en demander, ils sont à 25 euros et ils sont très beaux.
Artwork : Ophelie Dhayere
D’autres dates sont prévues par la suite, on va essayer d’aller vous voir un peu partout, on vous tient au courant. La team du Tag Parfait sera représentée par Gonzo, Pornkid et Dickdard. De l’amour sur vos coeurs.
Event Facebook Rennes - Event Facebook Angers - Event Facebook Paris
Un jour, en conférence de rédaction, alors que nous parlions de fantasmes érotiques originaux, que nos propos voguaient entre le « hentaï » et les « furs » (une communauté de passionnés de peluches, pour résumer grossièrement, au risque de déplaire à l’un de nos riverains lui même furry, pardon, pardon), l’une de mes collègues (qui s’occupe de sujets très sérieux) a pensé tout naturellement... aux enfants.
« Tu ne voudrais pas faire un article un jour sur les fantasmes érotico-amoureux bizarres des enfants ? Quand ils trippent sur des dessins animés ou des livres pas du tout...
J’ai répondu à quelques interviews plus ou moins amusantes sur « la journée de la femme » et on m’a demandé de compléter la phrase « ce qu’il y a de plus beau chez une femme c’est… »
1/ La « beauté préventive »
« Ce qu’il y a de plus beau chez une femme c’est…. son fémidon. »
Inconvénient: Ça réduit la femme à son sexe.
2/ La « beauté Cléopâtre »
« Ce qu’il y a de plus beau chez une femme c’est… son nez! »
Avantage: On peut le dire de l’homme également.
3/ La « beauté universelle »
« Ce qu’il y a de plus beau chez une femme c’est…. son humanité. »
Avantage: La plupart des femmes sont humaines.
4/ La « beauté du partage »
« Ce qu’il y a de plus beau chez une femme c’est… son ‘Share‘ »
Inconvénient : Ça réduit une femme à son sexe (encore).
5/ La « beauté animale »
« Ce qu’il y a de plus beau chez une femme c’est…. le cochon. »
Avantage: Ça se vend bien.
6/ La « beauté militante »
« Ce qu’il y a de plus beau chez une femme c’est…. son militantisme. »
Inconvénient : Même les femmes en meurent.
7/ La « beauté salariale »
« Ce qu’il y a de plus beau chez une femme c’est…. qu’elle travaille plus pour gagner moins. »
Inconvénient : C’est plus compliqué d’être un homme entretenu.
8/ La « beauté capillaire »
« Ce qu’il y a de plus beau chez une femme ce sont…. ses poils (quand il en reste) »
Avantages: C’est anti-conformiste, bio, naturel, et pas cher!
9/ La « beauté chansonnière »
« Ce qu’il y a de plus beau chez une femme c’est… un sourire. »
Inconvénient : Enrico Macias l’a chanté et il n’est pas le seul.
10/ La « beauté sexuelle »
« Ce qu’il y a de plus beau chez une femme c’est…. le désir. »
Avantage : C’est poétique, pas trop cucul et ça peut s’appliquer à tout le monde.
Et vous?
I see someone’s having just as late a night as I am… Friend Dave Naz did a very sexy, kinky photo shoot with porn performer Brooklyn Lee and the video was uploaded three hours ago. BROOKLYN LEE X NAZ X EMS is a collaboration between Dave and Eric Minh Swenson for EMS’s film series, Take 1.
A month ago EMS and Dave Naz released a possibly tastier video, CASEY CALVERT X NAZ X EMS:
The above video Chrysalis is enchanting in the way an Andrew Blake film often is; a naturally beautiful young woman prances and preens and it’s quite sexy and nice to watch. There’s no climax, but this is the style – languid. The video is just that, but more fun is the magazine for which it was made – Wolf – which I’ve been enjoying off and on all night while I steadily watch Anons grow increasingly restless online. Wolf’s Issue #1 is very distractingly hot.
Brainy porn icon Stoya is admired by many readers of this blog – and while she’s not my cup ‘o hottie, I think she’s lovely. And I think you’ll like this fashion set where we see just enough of fashion and flesh to satisfy both categories. Beautifully photographed for POP Spring/Summer 2013. Fashiontography has the full set: Stoya by Sean & Seng.
French lingerie company Valege recently released three very creative/unsettling bra ads (like the one above). I’ve sprinkled them through this post for your amusement/discomfort.
Le pendu
Charlie Foxtrot, c’est un petit coup de cœur que j’ai eu en regardant ces vidéos de la chaine « Ici charlie Foxtrot »
Je ne savais pas du tout si c’était une fille qui avait fait cela dans son salon, une militante, une comédienne… Bref je lui ai envoyé un mail pour en savoir plus et elle m’a répondu « Pour être honnête, je ne sais pas trop où je vais avec ces petites interventions podcastiennes… Pour l’instant il s’agit plus de quelque chose que je fais avec amusement, un tutoriel de montage vidéo sur les genoux, en parallèle à mes activités… Quoi qu’il en soit, je ne vois pas d’inconvénient à répondre à quelques questions – ça sera à toi de voir s’il y a quelque chose à tirer des réponses – et suis toujours ravie de croiser la route de quelqu’un qui s’intéresse à la question du genre, surtout en France. »
Je l’ai donc bombardée de questions
1) Pourquoi « surtout en France » ? Il y a donc si peu de gens qui s’intéressent au genre ?
J’ai dit « la question du genre en France » car il m’a fallu partir en Angleterre pour pouvoir étudier les « gender studies » (la première fac spécifiquement dédiée à la question ayant ouvert à Paris l’année dernière) et ce n’est que récemment que j’ai pu voir réellement la thématique apparaître dans les médias grand public français (dont le chouette article de novembre 2012 « le genre en question », dans Télérama, je ne sais pas si tu as pu tomber dessus). Bref, sinon je suis née en Allemagne, j’ai grandi en France, et j’ai pas mal bourlingué.
2) Qu’est-ce qui t’a donné envie de faire ces vidéos ?
J’ai fait ma première vidéo parce que j’étais en contact avec David Frécinaux de l’émission « + ou – geek » et qu’il voulait une démo. Je n’avais que des vidéos de théâtre/cabaret, qui ne correspondaient pas à ce qui était demandé, et j’ai donc bricolé un podcast de dernière minute, en une après-midi, pour présenter ma démo, étant donné que je n’avais pas de matos et que je trouve qu’il vaut toujours mieux assumer d’être à la dèche technique. Je l’ai envoyé à mes amis au passage, et c’est eux qui m’ont dit qu’ils auraient bien aimé en voir une deuxième. (Pour la fin de la petite histoire, la prod de « +ou- geek » a finalement préféré prendre une chroniqueuse « Cosplay » qu’une chroniqueuse « Sexo »… ) J’ai donc continué à faire des vidéos, en les laissant disponibles aux regards sur Youtube, mais sans faire d’autre diffusion que de créer un compte Google+ associé sur lequel je publie aussi des articles ou images qui m’interpellent ou me font marrer. Pour l’instant, je n’ai pas eu de « stratégie de diffusion », sans doute en partie parce qu’il m’a fallu assumer le truc (pas tant de parler de sexe que de le faire dans des conditions techniques déplorables)
Cliquer ici pour voir la vidéo.
3) Penses-tu continuer longtemps ?
Je pense continuer tant que j’en ai l’envie, et le temps, et quelque chose à dire. À vrai dire, c’est une chouette expérience pour moi de faire des trucs rapidement, en mode « amateur », sans me prendre la tête et d’avoir autant de retours positifs! Sans compter que cela me permet de véritables interactions riches sur les réseaux sociaux (l’autre jour, par exemple, un passionnant débat sur les capotes avec une vingtaine de participants – et hélas peu de participantes – et une grande liberté de parole, c’était chouette !) ça renvoie d’ailleurs à ce que j’ai toujours apprécié dans le dialogue au sujet du sexe : on en arrive très vite à un « parler vrai ». Sans compter que c’est un sujet qui met immédiatement en lumière le ridicule partitionnement français des sciences humaines : s’il y a bien un domaine où le clivage sociologique/psychologique ne fait pas sens, c’est celui de la sexualité. Car une porte d’entrée socio ou psy qui peut faire sens au niveau théorique peut vite se révèler incomplète, voire dangereuse, au niveau individuel ou thérapeutique…
4) Comment as-tu choisi tes différents sujets ?
J’ai choisi mes trois premiers sujets (les monstres, les robots et les roux) en fonction de mes envies du moment, et parce que ça permettait une accroche facile à un public de geeks. La 4ème vidéo, sur l’identité sexuelle, je l’ai faite en réaction à l’actualité. Sans doute un peu de moutarde qui m’est montée au nez. Pour l’instant, il n’y a pas de « formule » de « Ici Charlie Foxtrot » : parfois il y a des personnages, parfois non, parfois je me bichonne, parfois je le fais en pyjama, parfois c’est drôle, parfois non… Je ne cherche pas à faire rire à tout prix. Pour l’instant, je n’ai pas envie de m’enfermer dans un projet/format : je fais ça par plaisir, je fais ce dont j’ai envie et j’attends de voir où ça m’amène! C’est une surprise pour moi à chaque fois (surtout que je n’avais jamais monté de vidéo y’a 3 mois !)
5) Est-ce un hobby ou c’est en lien avec des activités ?
Happy Friedrich – Le Fol
À côté de ces vidéos, je suis comédienne et auteur. J’ai dirigé une troupe de cabaret jusqu’à il y a deux ans, sous un autre pseudonyme, et je me consacre depuis uniquement à l’écriture et à la performance. Sans doute que ce petit side-project me permet de rediriger une certaine frustration de la scène, notamment par la création des personnages. En tant qu’auteur, j’écris tout aussi bien articles de sciences humaines que pièces de théâtre. En actu, j’ai un spectacle qui se joue dans le sud de la France et un bouquin paru sur le sujet des identités virtuelles (je suis actuellement en pleine recherche sur le thème « le rapport au corps, à l’ère du virtuel », je vais peut-être écrire un truc sur ce sujet que je trouve passionnant, et c’est aussi pour ça que je suis rarement chez moi : pour écrire, je m’éloigne des écrans) . Je suis aussi traductrice et rédac web à l’occasion pour arrondir les fins de mois. J’ai un roman en cours.
« Charlie Foxtrot » est mon nom de cabaret. Sous cette identité extravertie, je me sens à l’aise pour faire les vidéos et les performances, notamment celles qui impliquent de la nudité : je travaille également avec un ami photographe dans le cadre d’un duo qui s’appelle « Happy Friedrich« . Nous n’avons pour l’instant que peu diffusé notre travail, mais comptons mettre en ligne un projet de tarot photographié au cours du mois de mars. (Et hop, tiens, je te joins quelques photos, pour que tu puisses te faire une idée…) Après l’élitisme du milieu théâtral, la facilité de diffusion que permet le web est extrêmement rafraîchissante.
Militante, je le suis depuis longtemps, et sans doute que ça transparaît dans un peu tout ce que je fais. Mais j’essaye, en particulier dans mes projets artistiques, de maintenir un militantisme plus joyeux qu’énervé (ce qui n’est pas toujours facile, au vu de mon tempérament sanguin !) qui donne envie de s’intéresser et pas de se retrancher derrière un bouclier…
Le label ClekClekBoom fête ses deux nouvelles sorties samedi de 23h30 à 6h00 à La Machine, avec sa soirée Paris Club Music. Voilà plus d’un an que le label enchaine les sorties pour les amoureux des basses qui remuent les joues et les boulis. Le 2 mars sort Everything, le EP de French Fries et à la fin du mois leur première compil « Paris Club Music » avec les meilleures sorties du label et des tracks exclusives de Coni, Ministre X, The Town, French Fries, Manaré ou Jean Nipon. L’occasion de mettre un terme à cet hiver en affinant votre twerk.
Comme on est sympa, on vous fait gagner 2 x 2 places, il suffit pour cela de nous envoyer le mail le plus cool qui vous passe par la tête, on ne sait pas trop ce qu’on entend par là, mais soyez créatifs.
Line up :
► CONI
► MANARE
► THE BOO
► THE TOWN
► UNDERGROUND PARIS (special guest)
Japanese erotic art and culture photographer Nobuyoshi Araki is an icon, and I’m a longtime fan of his work. I’ve heard – and observed in his photos – that he seems to be a pretty eccentric character. So I’m quite excited to find the above video, Nobuyoshi Araki at work, and share it with you.
Il était 17h44 ce jeudi lorsque l’alerte Google STOYA s’est déclenchée, m’informant de la publication du premier article de la demoiselle pour Vice. Grosse claque. Stoya, les trois quarts des mecs de la planète sont amoureux de toi, bientôt ce sera les filles. Ton papier est ironiquement intitulé « Stoya on how porn chicks avoid getting preggers » : on s’imagine donc que tu va nous expliquer comment les hardeuses se débrouillent pour éviter de tomber enceintes sur les tournages, à grand renfort de capotes et autres éjacs faciales. En fait, non.
Tu as préféré nous parler de règles et de contraception, des « problèmes de filles ». Ou plutôt, de ces choses qui, dans un souci d’égalité, devraient être des problèmes pour tout le monde, mais qui n’en sont que pour les nanas. Expérience personnelle – et douloureuse – de la pilule, parcours d’une actrice extraordinaire aux problèmes ordinaires : les porn stars sont des femmes comme les autres. De maux de têtes en crises de larmes inexpliquées, de cet évanouissement à la banque à ce kyste bizarre, tu nous livres ton intimité, la vraie, pas celle de ce merveilleux corps de lait que je n’arrive d’ailleurs plus à regarder, comme d’autres victimes du syndrome too love to fap — le taulier en face de moi pourrait en témoigner.
Les détracteurs du genre clament que le porno bousille l’image de la femme. Prenez donc le papier de Stoya, et mangez-en tous : ceci est l’essence du féminisme. La dénonciation par une femme, pour les femmes, de l’injustice silencieuse qui entoure la contraception. Du fond de mon coeur d’ex-utilisatrice de Diane 35, Stoya, merci.
Image en une : Stoya – Code of Honor © Digital Playground
Lou Charmelle est douce comme une pistache qu’on dénoyaute, piquante sur la langue mais fondante au gosier, mais surtout plaisante pour plaisanter entre deux verres de Suze. Elle a décidé de quitter le métier pour explorer d’autres cieux, ce qui nous empêchera pas de penser à elle, bien au contraire. D’autant que la belle a gardé plusieurs cordes à son sac, qu’elle propose aujourd’hui à celles et ceux qui n’arriveraient pas à faire le deuil de sa jolie peau mate et/ou de son nez aquilin.
Très concrètement, Lou a vidé son disque dur et propose sur sa boutique les vestiges d’une carrière de haut-vol, entre scènes coupées et films jamais diffusés. A dénicher : une version « non-censurée » du clip de Greg Kozo dans lequel elle avait tourné, faute d’avoir pu trouver les tubes mainstream adéquats. Mais aussi et surtout son film Man Hunt, tourné à Ibiza avec Lily Labeau, Phil Holyday et Danny Wylde (le keum de Lily), et jamais diffusé en France pour cause de jurisprudence « K-pote absente ».
Direction la boutique pour les intéressé.e.s. Evidemment, il faudra payer, mais qui sait : ça viendra peut-être nourrir les projets coupés-décalés qu’elle nous évoquait en interview ? Ce serait con de mettre cinq ans de carrière à la poubelle, comme elle le dit elle-même, donc Lou fait logiquement né-tour la came aux fans… et on sait qu’ils sont nombreux parmi vous.
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