33875 éléments (2252 non lus) dans 75 canaux
La mode est un puissant carcan qui enferme hommes et femmes dans des apparences bien distinctes. Certains hommes aiment mettre des jupes (j’en ai déjà interviewé quelques-uns), mais dans l’espace public il reste très très rare de croiser un homme qui laisse apparaître mollet ou cuisseau.
Lors des fortes chaleurs de cet été 2013, des conducteurs de trains suédois avaient revêtu la jupe, pour protester contre l’interdiction qui leur était faite de porter des shorts. Un porte-parole de leur compagnie avait déclaré « si un homme préfère porter un vêtement de femme, par exemple une jupe, c’est OK ».
Affiche du défilé Frisse/Esmod Lyon
En France, la jupe pour homme, c’est moins détendu. Très attachés au concept d’altérité sexuelle, les coincés de l’ourlet voient d’un mauvais oeil que les limites posées à chaque genre puissent devenir poreuses. La jupe doit être réservée aux femmes, ces êtres désirables, alors que les hommes virils ne devraient pas pouvoir être rendus sexys par une jupe qui mettrait leur fessier en valeur. Et c’est bien dommage.
C’est aussi un constat qu’a fait Frisse, une association qui lutte pour une meilleure santé sexuelle, « comprenant la lutte contre les grossesses non désirées, les IST, les dysfonctions sexuelles et la coercition. » En association avec l’école de mode ESMOD Lyon, Frisse organisait ce jeudi un défilé « mâles en jupes contre les discriminations ».
D’où est venue cette collaboration entre féministes et étudiants en mode? Je n’ai pu me rendre sur place, mais Danièle Authier, coordinatrice à Frisse, a répondu à mes questions. « Nous travaillons avec Esmond Lyon depuis 2012. Le travail s’élabore à partir d’ateliers réunissant les élèves autour de santé sexuelle et psychotropes (puisque dans la majorité des lieux de rencontres sexuelles ou amoureuses, on trouve à minima de l’alcool). A l’occasion de ces ateliers, il est proposé de créer un media de transmission d’un message à un public plus large. Ainsi en 2012, nous avons travaillé sur la valorisation du préservatif féminin et les élèves ont défilé devant plus de 300 personnes avec leurs créations customisées avec des présos lors d’un défilé intitulé « les préservatifs font leur show ». »
Photo de la manifestation – Yannis AITADDI
Cette année, ce seront donc les « mâles en jupes », pour faire de la jupe un habit moins sexiste. « Ce défilé « mâles en jupes contre les discriminations » reflète une volonté commune de rappel aux questions du « vivre ensemble avec nos différences » après les débats houleux liés au mariage pour tous. Cela se veut aussi un écho solidaire aux luttes menées en Inde et en Iran pour signifier qu’être en jupe n’est pas quelque chose de dégradant. Par ailleurs, nous rappelons dans l’affiche, que les hommes ont toujours porté des robes et qu’elles sont alors des symboles de pouvoir ou d’autorité (juge, religieux etc…) alors que la longueur des jupes des femmes ne servirait qu’à mesurer leur disponibilité sexuelle. »
Une affiche sulfureuse : la marque de chaussures Louboutin, a fait interdire en Belgique une affiche très similaire à celle du défilé, car elle faisait partie d’une campagne anti-Islam des nationalistes flamands. Aucun amalgame? « L’affiche est celle d’une étudiante en art graphique de Vancouver, qui a été détournée par un parti belge pour envoyer un message islamophobe, nous ne craignons donc pas l’amalgame. Le défilé est un acte militant de revendication contre le sexisme et toutes les formes de discriminations. Quant au côté sexy des hommes en jupes, il n’y à qu’à voir les réactions des femmes dans le métro lorsqu’elles croisent un homme en kilt ! Ca me surprend chaque fois : depuis le classique « slip ou caleçon ? » à « t’as vu ses poils de jambe », en passant par l’attendrissement « mais il doit avoir froid », avec plein de commentaires qui soulignent le côté viril : il assume quoi ! » La jupe, c’est tout sauf banal.Dorcel, chercheur de buzz. Le patron du porno français fait comme tout entrepreneur, il tente d’attirer le chaland dans son commerce. Pour cela, il vient de récupérer le chanteur Allan Théo (boys band à lui tout seul tellement il était beau) pour le faire turbiner dans son usine à porn.
Hier, l’équipe internet du groupe annonçait, avec une vidéo mystère, l’arrivée du chanteur. Mais pour ceux qui suivent l’actu porno, il n’y avait pas grand suspense. Pourquoi ? Faisons un retour en arrière.
Reprenons tout au début. Il existait, dans le monde merveilleux des stripteaseuses, des jumelles nommées Éva et Ava Twins. Elles se produisaient ensemble pour des spectacles érotiques que le parfum d’inceste rendait très populaires. Un jour de mars 2013, elles ont arrêté. Éva a changé de voie. Désormais, il fallait l’appeler Sophie et nous apprenions, stupéfaits, qu’elle avait pour mari le séduisant Allan Théo. Ils s’étaient unis le 18 avril 2011 (source Facebook).
Le bon vieux temps des strips entre soeurettes
Sisi la famille
Sophie se lançait à corps perdu dans le fitness, nous pensions qu’elle entamerait une carrière de coach sportif. Ava de son côté continuait le strip et préparait en secret un duo avec Allan. C’est à la fin septembre que l’histoire a viré porno. Ava Twins est devenue Ava Courcelles. Elle a voyagé à plusieurs reprises à Budapest pour rejoindre Hervé Bodilis. Dorcel partageait les clichés de leur dernière recrue et derrière nos écrans, l’idée d’Allan Théo en acteur porno nous traversait l’esprit.
Depuis plusieurs années, l’ancienne gloire des adolescentes cherchait à revenir sous les projecteurs. Il y avait ces reportages dans les émissions comme Tellement Vrai et ce clip sulfureux où il s’exhibait sans pudeur. Les shows Eropolis ne suffisaient plus. Il a fait le saut.
Bon bah dans un mois il va faire très très chaud :-)
— Allan THEO (@allantheoperso) September 29, 2013
Je ne le cache pas, j’étais plutôt perplexe à l’idée de voir l’idole de Charlie et Lulu la teub à l’air. Mais, les photos et le trailer de la scène tournée par Bodilis ont provoqué chez moi une gaule naissante. Je ne m’attendais pas à ça. Ce porno, à l’esthétique classieuse, frôle la sortie de route. Allan Théo couche avec sa femme, mais surtout la sœur jumelle de cette dernière reçoit les assauts de Mike Angelo tout à côté, sur le même canapé. Le tag inceste est exploité à nouveau par Dorcel (rappelez-vous des Lane Sisters !). Et puis Ava lèche le visage d’Allan Théo sur l’affiche promotionnelle de la vidéo. Je m’attends au pire.
Le taulier du Tag m’a envoyé au front et j’ai visionné les 17 minutes du film. L’image est filtrée à mort (usage du filtre Brannan pour les utilisateurs d’Instagram), donnant une ambiance encore plus étrange à ce gonzo familial. Ava Courcelles montre de bonnes dispositions au métier d’actrice (#squirt), même si son jeu de bassin pourrait s’améliorer. En matière anale, rien à dire. Quant au couple, la performance est minimale. Sur la fin, Allan arrive à bander dur pour une petite levrette comme il faut. Le reste du temps, il honore sa femme en se mordant les lèvres, comme nous honorons nos copines quand la rigidité nous manque.
Malgré les défauts inhérents à une première fois, la scène vaut le coup d’œil. J’ai été particulièrement excité par la proximité des deux sœurs, même si aucun contact n’a été filmé. Pour le reste, ça fait du bien de voir des gens se bouger pour ajouter du piment dans nos branlettes. Nous parlions de l’ennui provoqué par les sex tapes de ces célébrités américaines obscures. Alors, pour une fois, qu’une personne plutôt connue se jette dans l’explicite, nous ne pouvons que saluer et encourager l’initiative.
Comme on vous annonçait cet été, et avec un peu de retard sur le calendrier, nous lançons aujourd’hui Le Tag Parfait en anglais. Nous gardons le même nom, la même url, seule la homepage change en fonction de la langue de votre navigateur avec bien entendu un retour possible dans la langue de votre choix grâce aux boutons EN/FR situés en haut à gauche du menu.
Ooooorrh clique !
La partie anglaise est un mélange d’archives (les articles phares du Tag et ceux qu’on estime intemporels), de traductions de la version française et de contenu propre (qui est ensuite traduit en français). Nous sommes encore en rodage avec l’ami Duff qui officie depuis l’Amérique du Nord, mais nous allons essayer de réduire à 24h le temps de traduction dans les deux sens, histoire de travailler quasiment en flux tendu sur l’actualité.
Alice, notre traductrice
Pour la publication sur Facebook, on va essayer de contenter le maximum de monde en scindant la com en deux, d’un côté par langues, de l’autre par pays, pour ne pas exclure les français à l’étranger. Pour Twitter, comme on ne peut pas faire cette petite manip, on va juste communiquer le soir et la nuit en anglais. Quant à Google +… oh well…
C’est une nouvelle étape dans notre développement, on fonce droit vers l’inconnu, on compte donc sur votre soutien pour en parler autour de vous et nous aider dans cette nouvelle étape.
On passe maintenant à la suite, la V4 et les tournages ; toujours chauds comme des couscous.
Le Tag parfait veille sur les réseaux H-24 pour dénicher les infos croustillantes en exclusivité mondiale (au moins). Aujourd’hui, enfin plutôt hier, on en a appris une bonne. Une version XXX de Spring Breakers est actuellement en préparation. À l’affiche du film produit par Digital Playground et réalisé par Shylar Cobi, nous retrouvons trois actrices connues de nos services : Kiera Winters, Sienna Day, Rilynn Rae. Comme acteur, Tommy Gunn (brraaa brraaaa) est présent sur le set.
Vous serez d’accord avec nous, des filles avec des cagoules roses qui braquent des gens, ça rappelle fortement le film dont la première partie bien vicieuse avait fait lever la quique de certains dans l’équipe.
<3 Vanessa <3
Le tournage s’est achevé hier, cinq jours de travail pour les actrices. Pas mal d’images sont tweetées par Rylinn et Sienna sans jamais dévoiler le titre de la parodie. Une communication mystérieuse qui rappelle étrangement celles du film original. Harmony Korine avait diffusé, bien avant la sortie, des clichés en bikini de Selena, Vanessa, Ashley et Rachel pour exciter les spectateurs. Shylar Cobi, réalisateur de quatre films chez Vivid, serait-il le nouveau maître du ramdam porno ? On attend confirmation sur XBiz.com.
Quelques photos du tournage en provenance de Twitter :
Même le New York Times se met à parler de sex tape. Jusqu’où ira la culture porn ? À l’occasion de la sortie de la vidéo de l’actrice qui jouait Fifi Brindacier, Tami Erin, le célèbre journal, par les mots d’Alex Williams, titre sur l’ennui que représente cette catégorie de porno devenue banale.
Les trois derniers exemples de sex tapes affligent n’importe quel amoureux du genre. Aucun frisson ne parcourt l’échine à l’annonce du leak. Qui sont Melissa King, Farrah Abraham ou Tami Erin ? Elles ne sont même pas connues dans nos contrées. Quant à la sincérité des scènes, il y a de quoi pleurer. Tout est produit, préparé pour être diffusé, c’est une énorme machination pour flouer les tendres fappeurs que nous sommes. Le journaliste Alex Williams regrette le temps où Pamela se touchait sur le pont du bateau, devant un Tommy joyeusement défoncé, tremblant avec sa caméra.
Terminées les sex tapes de l’amour sûr
Même si on détestait la patineuse, la vidéo de la lune de miel de Tonya Harding avait échauffé nos esprits : « Oh mon Dieu ! On va voir une fille qui passe à la télé baiser pour de vrai… Quel spectacle merveilleux, ce doit être ! » Qui se dit encore ce genre de choses en apprenant qu’une vidéo des ébats de la mère et du beau-père de Kim Kardashian existe ? Quelles conséquences sur la vie publique de Hulk Hogan a eu son 5 à 7 filmé avec une amie de sa femme ?
La sex tape n’effraie plus personne, elle est un outil de communication comme un autre dans la stratégie du vedettariat de bas étage. Un beau moyen de gagner de l’argent également. Colin Farrell, en 2005, aurait pu toucher 5 millions de dollars pour la diffusion de ses galipettes avec la playmate Nicole Narain. Mais le cours chute. Farrah Abraham aurait empoché 10 000 dollars à la signature et 120 000 de royalties dans sa collaboration avec Vivid.
Encore une fois, nous le répétons : la sex tape est morte. À quand les preuves de tendresse intime entre Selena Gomez et Vanessa Hudgens, qui hantaient nos rêveries humides l’an dernier ? À quand les ébats de Brad Pitt et Jennifer Aniston révélés au public ? À quand la partie de débauche homo des membres de 1D ? À quand les amours triangulaires entre Laury Thilleman, Shy’m et Maxime Dereymez de Danse avec les Stars ? On veut vibrer, bon sang !
La semaine dernière Gamelink faisait une proposition assez alléchante à Miley Cyrus en lui offrant la coquette somme d’un million de dollars pour faire du porn. Malheureusement pour nous, cette proposition est restée lettre morte.
Adieu Hannah MontanaA moins que vous soyez tombé dans une faille spatio-temporelle (et vous avez bien de la chance), vous avez forcement vu que l’ancienne enfant-star de Disney était enfin sortie de sa crise d’ado pour débarquer en plein dans une énorme crise existentielle qui a abouti au renouvellement de son image, façon rébellion puérile de cool kid hystérico-pseudo-porno. Tous ses derniers clips et ses apparitions live (comme sa tristement célèbre performance aux derniers VMA) ont choqué les gens au point d’en arriver à un déluge de réactions disproportionnées. Sans déconner les puritains : LEAVE MILEY ALONE!
Ils sont choqués par quoi au juste ?
La sexualité est partout dans les médias et Miley ne va pas plus loin que toutes ces pubs porno-chic. Ou rien de plus qu’une Rihanna, une Britney Spears, une Christina Aguilera ou Madonna… Elle suit gentiment sa voie : direction les dollars. Miley Cyrus n’est au final qu’une adorable marionnette décérébrée, manipulée par des rapaces de l’industrie qui lui font croire qu’elle pourra un jour dominer le monde avec ses seuls attributs physiques (du moins ce qu’il en reste). Qu’attendre de plus quand on a déjà vendu son âme à Disney ?
Quand je vois l’évolution de Miley (si on peut vraiment appeler ça une évolution), la seule question qui me ronge le crâne est : Qu’est-il arrivé à Hannah Montana ?
Réponse : tout le monde s’en cogne !
C’est quoi ton porn Miley Cyrus ?Revenons au côté porn de la force, nos chères têtes blondes n’ont pas à chercher bien loin pour savoir où elle puise ses dernières inspirations.
On peut déjà imaginer le nuage de tags de son futur porn. Du twerking (raté), une langue bien pendue (et flippante), des marteaux (piqués à Kink ?), un foam finger en forme de teub, un goût prononcé pour la fessée, un fétichisme des ours en peluches, des poupées géantes, des animaux empaillés, de la beuh, une pool party et un délire sapphique aux couleurs pastels, teinté de culture Afro-américaine…
La scène pourrait par exemple commencer dans une salle de bain et si on se réfère aux paroles intenses et shakespeariennes de « We Can’t Stop », on tient à n’en pas douter une orgie interracial sous coke réalisée par Seymore Butts.
« To my home girls here with the big butt
Shaking it like we at a strip club
Remember only God can judge ya
Forget the haters cause somebody loves ya
And everyone in line in the bathroom
Trying to get a line in the bathroom
We all so turned up here
Getting turned up, yeah, yeah »
Pour le titre, ça ne devrait pas trop poser de problème, vu qu’on a l’embarras du choix : « Bang Herz« , « She can’t stop« , « Anal Montana« , « Orgy in the U.S.A« …
Quant au casting, c’est son problème, mais je lui conseille vivement de suivre la tendance #amat.
Chère Miley…Comme l’ont fait Sinead O’Conor et Annie Lennox, voici ma lettre ouverte à Miley Cyrus :
Cocotte, je ne suis pas (encore) Dieu mais je vais quand même te juger d’un point de vue purement artistique : arrête, tu fais de la merde.
J’en ai déjà trop vu, trop écouté. Maintenant, tout ce qu’il me reste à faire est de trouver une solution pour évacuer cette putain de bile qu’il me reste dans la bouche, de nettoyer mes oreilles au death et mes yeux avec du porn.
Est-ce que tu crois vraiment en tout ça ?
Es-tu seulement capable d’expliquer où tu vas, ou même de décrire ce que tu fais ?
Miley, sérieusement, arrête de te prendre pour quelqu’un d’important ou d’essentiel et dis enfin oui au porn pour le bien de l’humanité. Je t’assure, tu continueras à briller comme avant et sans user tes cordes vocales cette fois. Je te prédis un avenir radieux, où tu pourras arrêter de nous saouler pour mieux te jeter corps et âme dans le SEXE. Plus besoin d’exhiber ta langue de deux mètres (même si elle pourrait t’être utile pour la suite…), plus besoin de nous envoyer ta diarrhée musicale ou de tenter une carrière dans le twerking.
Le porn te tend les bras, par pitié, Miley, fais-le ! Ça donnera peut-être des idées à Selena Gomez…Peace, love and get lost.
Duff
Traduit de cet article par Gonzo & Le Serbe
L’animateur de NRJ, Guillaume Pley s’inspire ci-dessus d’une autre vidéo similaire (et du même goût), « How to get girls to kiss you ».
MadmoiZelle.com, ainsi que de nombreuses personnes choquées par cette vidéo sur les réseaux sociaux, rappellent que l’article L-222-22 du code pénal réprime ce genre de comportement :
« Constitue une agression sexuelle toute atteinte sexuelle commise avec violence, contrainte, menace ou surprise. »
Selon MadmoiZelle.com, l’animateur n’a pas grand mérite, puisqu’il choisit des filles en position de vulnérabilité :
« Elles sont seules, elles sont...
On croirait Elise, le personnage de ce documentaire animé produit par Arte, tout droit sortie du magazine Elle. En 2012, le féminin disait de la fellation qu’elle était « le ciment du couple » (non sans agacer). Elise raconte fièrement avoir inventé la « suçothérapie », une pipe tous les deux jours administrée à son compagnon « entre 9 heures et 10 heures », pendant deux mois. Un agenda mis en place pour ne pas le perdre et parce qu’il lui avait avoué avoir des doutes sur ses sentiments pour elle.
« Un homme ne refusant que très rarement de se faire sucer, je trouvais que c’était une...
Inutile de tourner autour du pot plus longtemps, le business de la sexcam représente l’avenir du porno. Chaque jour, nous constatons la part grandissante du live show et des filles nues s’exhibant devant leur écran. La preuve, XBiz, le taulier des news de l’industrie du X, annonçait la première scène d’une webcameuse inconnue avec un mec, qui a eu lieu le 19 octobre.
Olivia Young est une jeune femme de 19 ans. Brune, menue, avec de jolis seins, elle possède une petite notoriété avec ses 2 000 followers sur Twitter et ses vidéos qui traînent sur les tubes. Ses shows sont diffusés, entre autres, sur la plateforme fondée par Eric John, acteur, réalisateur, producteur, etc.
Les seins de sexcameuses sont assez similaires aux autres seins.
Il s’agit d’Erotique Entertainment. Le principe est simple. Tu prends un flux de modèles – il en existe plein –, tu choisis, tant qu’à faire, celui qui relaie des cams de porn stars. Mais, pour te démarquer, tu crées tes propres shows. Tu engages des filles renommées et tu donnes rendez-vous aux internautes pour un live exclusif où Riley Reid et Asa Akira te manipuleront l’engin. Pour la bonne bouche, tu filmes le tout avec une vraie caméra et tu vends le résultat sur Clip4Sale. Double jackpot ! En effet, l’accès à tes webcams est payant.
Les sexcameuses deviennent, elles aussi, des stars dans les cercles autorisés. Alors, quand l’une d’elles va chevaucher un gars pour le plaisir des internautes, la nouvelle circule et XBiz.com la sort. Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle notoriété dans le porno. Bientôt, le Tag Parfait traitera bien plus d’informations provenant du milieu de la cam que de la pornographie traditionnelle. Les actrices dominent encore en termes de célébrité. Mais il suffit de constater la fulgurante ascension de Khaleesi Candy, modèle française de Cam4, sur Twitter pour voir le futur. Elle possède plus de 31 000 followers en plus treize mois d’existence quand Liza del Sierra, actrice internationale et très active dans le Twittgame, en compte 48 000.
« Fuck le porn tradi », semble-t-elle nous dire.
La cam est populaire tant chez les internautes que chez les modèles et producteurs. Presque gratuit (dans le cas des Cam4 et autres MFC) pour le spectateur, l’exhibition en live rassure les modèles, pas de maladies, pas de contraintes, on reste au chaud à la maison (sauf pour certaines qui travaillent dans des studios où les horaires doivent être moins souples). Pour les producteurs, c’est un spectacle unique que le piratage ne menace guère. Mater un show sur un tube se compare difficilement à l’excitation du moment, à l’interaction avec la fille. Puis il n’existe pas vraiment de copies des cams vendues à grande échelle, car la qualité du streaming en rend les débouchés commerciaux peu bénéfiques face à la HD et la 4K.
Bref, la webcam se développe toujours un peu plus. Attendez-vous à découvrir de plus en plus de filles provenant des internets, plutôt que de la production filmée des studios pornos.
Fabian Thylmann, le patron de Manwin – et donc de Youporn comme vous allez le lire partout, mais c’est comme si on vous disait que Martin Bouygues était seulement le patron de TF1 – vient de revendre pour 100 millions de dollars (73 millions d’euros) ses parts dans sa boite à Manwin. En effet, le patron allemand de 35 ans qui avait racheté Mansef en mars 2010 pour 140 millions de dollars vient de refiler le bébé à l’actuelle équipe dirigeante composée de Feras Antoon et de David Tassilo.
Dans une lettre adressée aux employés du groupe, Fabian raconte que ce fut l’une des décisions les plus difficiles qu’il ait eu à prendre dans sa vie. Des larmes qui cachent assez mal la véritable raison de cette vente sachant qu’il est poursuivi depuis un an pour évasion fiscale, au moment où le groupe est en pleine restructuration interne.
Dans l’univers semi-opaque de l’empire Manwin, cette décision ne change rien à la stratégie du groupe, avec plus d’une centaine de sites, huit tubes, plusieurs studios, des parts dans Playboy TV et une main mise assez exceptionnelle (terrifiante pour certains) sur le business du porno en ligne, le groupe continue son bonhomme de chemin en contrôlant tous les maillons de la chaîne : production, distribution (gratuite ou payante) et communication (les tubes Pornhub et Youporn sont devenues des marques plus que des tubes). Seule petite différence notable, il sera dorénavant plus difficile de mettre un nom sur cet empire.
Bonne chance pour la suite Charles « Thylmann » Kane.
« La terre n’est pas une mère nourricière, mais une amante. » C’est le postulat de base de l’écosexe ou sexécologie. Ce mouvement de pensée a été initié, il y a quelques années, par deux Américaines :
Les premières rencontres de ces « adeptes » ont eu lieu cet été à Madrid, Essex, Londres et… Bourges (Cher). Sarah, Rémi, Kasper, Victor, Hélène et Nadège nous racontent leur expérience et ce n’est pas du tout ce que vous croyez.
Le stage d’écosexe de...
Au cœur de la tourmente, il est bon de rire parfois. Malgré les tensions autour de l’affaire Leonarda, un petit malin, féru de culture porn, a instillé un peu de détente dans le débat. Un hacker a piraté le site officiel de la FIDL, le syndicat étudiant qui appelait aujourd’hui à manifester en soutien à la jeune Kosavare expulsée.
Voir leur site diriger certains liens vers Cam4 n’a pas dû plaire aux responsables de la FIDL. Cependant, le hacking se voulait discret, quelques liens touchés, notamment ceux pour adhérer, pour prendre contact et trouver le comité de sa région. FIDL.org, après une fermeture nécessaire pour effacer les preuves de l’intrusion, vient de rouvrir. Mais qui a pu commettre ce qui représente tout de même un délit ? Serait-ce le couple des arnaqueurs à l’éjac’ faciale ?
En tout cas, ceux qui ont cliqué au moment où la presse, le Lab d’Europe 1 en premier, a répandu l’info ont pu assister au show explicite d’un couple. En pleine action, sans doute tippés pour baiser (selon l’expression en usage), ils pratiquaient une levrette, vue de côté, fort bien exécutée. Un mec bandait dur dans une vignette du top 6 et semblait tapoter quelques petits mots gentils à ses visiteurs. Le reste était bien ordinaire. Voilà ce que les curieux ont vu grâce à la FIDL, enfin plutôt à cause du pirate à l’humour porno.
La proposition de loi renforçant la lutte contre le système prostitutionnel est tombée cette semaine. Elle prévoit enfin la suppression du délit de racolage passif, recèle peu de surprises (la pénalisation des clients était prévue depuis longtemps) mais donne quelques enseignements. Cinq réflexions que m’inspirent cette loi :
1) La peine encourue : de l’argent… et un stage.
La disposition la plus controversée de cette loi est la pénalisation des clients. Controversée, car elle est combattue par de nombreux acteurs, du Syndicat du Travail Sexuel (Strass) aux Solidaires Etudiants, qui considèrent que cette disposition ne fera qu’accentuer la précarité des prostitué-e-s, le fait que les prostitué-e-s doivent se cacher étant un facteur d’aggravation des violences.
Les clients de la prostitution encourront donc une amende de 1500 euros, mais pas de peine de prison. S’y ajoutera un « stage de sensibilisation aux conditions d’exercice de la prostitution, sur le modèle des stages de sensibilisation à la sécurité routière ou aux dangers de l’usage des produits stupéfiants. Ce stage pourra avoir lieu auprès d’associations agréées, et aura pour objectif de faire connaître aux clients de la prostitution les conditions de vie et d’exercice de la prostitution, ainsi que la réalité du phénomène de la traite des êtres humains aux fins d’exploitation sexuelle et du proxénétisme. »
2) Les fournisseurs d’accès à Internet sont des proxénètes
Le gouvernement du Royaume-Uni veut que les fournisseurs d’accès à Internet bloquent par défaut les sites pornographiques. En France, il faut s’attendre à ce que ce soient les sites proposant des services sexuels qui soient bloqués par les FAI : « L’article premier propose que lorsque des sites internet hébergés à l’étranger, contreviennent à la loi française contre le proxénétisme et la traite des êtres humains, les fournisseurs d’accès internet devront empêcher l’accès à leurs services. »
Seuls les sites d’escort girls seront-ils bloqués ? Les services de shows par webcams vont-ils aussi en pâtir ? Dans tous les cas, cela risque de populariser un peu plus en France les alternatives pour un accès internet plus confidentiel…
3) Combien de prostitué-e-s en France : 20 000 ou 400 000 ?
Cette proposition de loi propose quelques chiffres : « Les personnes prostituées seraient, en France, au nombre de 20 000 environ, dont 85 % de femmes. À l’inverse, 99 % des clients sont des hommes. La prostitution est donc un phénomène sexué. »
Ce texte cite pour étayer ses chiffres un rapport d’information parlementaire de 2011, qui mettait lui-même ces chiffres en doute : « cette évaluation prendrait essentiellement en compte la prostitution de rue, qui, dans des pays comme le Royaume-Uni ou la Suisse ne représenterait que de 13 à 15 % de la prostitution totale. D’autre part, le chiffre de la prostitution en France semble très inférieur à celui des autres pays européens, notamment l’Allemagne, où l’on compterait 400 000 personnes prostituées. »
4) Les prostitué-e-s : tous des étrangers ?
Le texte braque aussi ses projecteurs sur la prostitution « étrangère » : « un renversement historique s’est produit en l’espace de dix ans : alors que seulement 20 % des personnes prostituées dans l’espace public étaient de nationalité étrangère en 1990, elles en représentent aujourd’hui, et depuis les années 2000, près de 90 %. ». Encore une fois, on peut douter de ces chiffres : ils sont issus l’activité policière de répression du racolage. Une police qui, si l’on en croit les données disponibles sur les contrôles au faciès, concentre justement ses efforts sur les personnes d’origine étrangère…
Le volet le plus important de cette proposition de loi concerne les aides proposées aux prostitué-e-s, financées par les « recettes provenant de la confiscation des biens et produits issus du proxénétisme et d’un prélèvement sur le produit des amendes forfaitaires prévues pour le recours à la prostitution. » Les prostitué-e-s en situation irrégulière pourront aussi bénéficier d’un permis de séjour temporaire, mais seulement en cas d’inscription dans un « parcours de sortie de la prostitution ». Pourquoi en avoir fait un prérequis si la prostitution est dépénalisée ?
5) Le corps humain : un sanctuaire
Enfin, les rédacteurs s’appuient sur une disposition du droit français qui limite le droit à disposer de son propre corps :
« Ainsi, la non-patrimonialité du corps humain, l’un des principes cardinaux de notre droit, fait obstacle à ce que le corps humain soit considéré comme une source de profit ». Qu’on ne puisse pas vendre un rein est une chose, qu’on ne puisse prêter le concours de son corps (ou de son esprit) contre rémunération en est une autre.
Cela en vient à considérer que les prostitué-e-s ne sont, dans le cadre de leur activité, que des corps dont on profite, et non des personnes qui fournissent un service qualifié – ce qui est le cas des travailleurs qui prêtent leur corps et leur cerveau à leur employeur contre rémunération. Alors les prostitué-e-s ne sont-ils que des corps dont les clients abusent ? Aucune étude chiffrée ne peut le dire. Le débat continuera donc : considérer par définition le travail sexuel comme une violence faite aux femmes, c’est faire l’impasse sur d’autres situations plus consensuelles qui existent bel et bien. Ecoutez Marla en parler ici sur France Inter.
C’est, je l’avoue, le sujet sur lequel j’arrive le moins à avoir un avis. La seule solution que j’imagine serait de réglementer le métier, de le réserver, sur concours, à des personnes ayant des compétences en soin, en hygiène, en psychologie, et qui pourraient effectivement, s’occuper de partenaires, donner du bonheur, avec imagination et sécurité. Connaissant quelques prostitué-e-s, je vois bien qu’il en existe qui effectivement sont dans la location du corps, et d’autres qui exercent un travail actif, avec des compétences.
Et si ce projet de loi sanctuarise le corps humain, le droit à disposer de son propre corps est pourtant (heureusement) promu par le ministère du droit des femmes lorsqu’il réaffirme le droit à l’avortement.
A lire aussi : l’université d’été des putes
A lire aussi : Prostitution, les abolitionnistes gagnent du terrain
Pour sa huitième édition, le Porn Film Festival met le BDSM et le transgenre à l’honneur dans les salles intimistes du plus vieux cinéma d’Allemagne. Une quinzaine de longs métrages, une dizaine de courts métrages et autant de documentaires… une programmation dense, agrémentée d’expositions, de conférences et de débats autour de la pornographie. Quelques grands noms sont de la partie ; Aiden Starr fait partie du jury de cette année. L’égérie queer Jiz Lee, qui partage la tête d’affiche du dernier film de Dana Vespoli avec Manuel Ferrara, sera également présente.
Le Porn Film Festival revendique son esprit définitivement curieux et cinéphile. Un objectif : désacraliser le sexe, tabou insensé des sociétés qui encouragent la liberté d’expression. Pour les organisateurs du festival, ce combat peut être gagné par le biais de la pornographie. « Quelle est la différence entre art et pornographie ? L’art coûte plus cher ! » proclament-ils sur leur site officiel. Une petite provocation qui résume parfaitement l’esprit sympathique et progressiste du Porn Film Festival, qui s’ouvrira le 23 Octobre avec la projection du documentaire de Christina Voros sur notre bien-aimé Kink. Egalement à noter, une retrospective sur Kouichi Imaizumi, acteur pinku eiga et réalisateur talenteux qui sera présent pour l’occasion.
Dans le monde, des personnes passionnées cherchent toute leur vie à atteindre un but, le Graal de leur existence. Peu importe les méandres de la destinée, elles restent concentrées sur leur objectif sans jamais faillir. Jon Haneke est un de ces héros du quotidien.
Encore une fois, l’équipe d’EFukt fait des prouesses. Elle a suivi les tribulations d’un « guerrilla masturbator », Jon Haneke, « systems analyst » chez Mattel, dans les hôtels les plus divers des États-Unis et d’ailleurs. Selon leur source (que nous n’avons pu recoupée), durant 22 ans et quelque 3425 tentatives, Jon n’a jamais réussi qu’à dégouter les femmes de ménage, qui s’enfuyaient en s’excusant de n’être pas plus loin. Aucune n’a jamais trouvé ce bonhomme se branlant à poil dans son lit assez attirant pour abandonner son poste et l’aider à terminer.
Aucune ? Pas tout à fait, car patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. Ah ! le beau dicton qui illustre à merveille ce montage cocasse et désopilant des zinzins d’EFukt. Jon, pour accomplir son destin de branleur taré, ce « ninja fapping in the dark » négocie avec son hétéroflexibilité. Après toutes ces années, il n’allait pas chipoter.
Cliquez pour voir ! Qualité 4K inside
Ces personnes excitées par l’exhibition de leur verge dans des endroits inappropriés se regroupent sur internet sous le tag #flasher. EFukt en rigole (et nous aussi par la même occasion), mais il n’y a rien de moins agréable que de se voir infliger une nudité non désirée. On en fait les frais tous les matins au bureau quand le taulier débarque et expose ses parties dans un hélicoteub endiablé. Le plus souvent, les cockflashers sortent leur machin dans le bus ou leur voiture et attendent qu’une femme les repère pour jouir.
Selon l’article 222-322 du Code pénal français, l’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. À bon entendeur, rangez vos zgegs !
Toujours plus loin dans la course à la haute résolution, le format 4K arrive dans le porno grâce à Huccio. Phantom, la fameuse gamme de caméras, avait lancé en avril 2013, la Flex4K, un joujou à 165 000 dollars capable de filmer en 4096 x 2160 pixels et 1000 images par seconde.
Aujourd’hui, la très bonne HD des familles propose du 1920 x 1080. La 4K (prononcé Four Kay, sinon ça fait gâteau breton) augmente la largeur par 2 et la hauteur par 2, ce qui fait 4 et c’est assez énorme (CMB). Une qualité d’image visiblement incomparable, c’est du moins ce que disent les responsables du studio Huccio, qui ont inauguré hier le premier site pornographique entièrement en 4K. Leurs productions semblent dans la même veine que X-Art.
Plus de détails, une impression d’immersion dans la scène, la 4K donne la gaule aux geeks. Mais soyons sérieux deux minutes. Qui possède le matos pour regarder de telles vidéos ? Certes, des téléviseurs compatibles sortent à 699 dollars sur Amazon, ça reste quand même cher pour se tripoter devant Chloe Foster (oui, j’aime beaucoup Chloe, mais pas au point d’investir autant). Et puis, tant qu’à y être, il faudra encore changer de box pour choper la fibre, acheter des disques durs externes toujours plus gros, un nouvel ordinateur : la ruine en un mot.
Inévitablement, ce format Ultra HD va se répandre et bientôt le 1080p deviendra comme le 320p, une bouillie informe de pixels qui bougent comme sur les tubes. En attendant que nous renouvelions tout notre parc d’écran, que le cinéma et la télévision s’adaptent, je me demande à qui Huccio vendra ses vidéos.
Si vous êtes tentés, un extrait de 4 minutes est offert en s’inscrivant gratuitement. La seule différence, quand l’équipement adéquat manque, tient dans les ralentis. Mais si vous en voulez, il y a Mandingo Massacre 8 qui en propose d’étonnants. La pipe en slow mo, y a que ça de vrai !
Du 22 au 25 janvier se tient le XBiz 360. Lors de ce grand rendez-vous de l’industrie porno américaine, mêlant business, récompenses et conférences, les gars de MiKandi vont jouer les vedettes. En effet, Jesse Adams et Jen McEwen ont produit le premier porno filmé par une paire de Google Glass.
Spécialisée dans les applications mobiles destinées au public adulte, la société MiKandi fait sensation en travaillant sur l’utilisation perverse des fameuses lunettes révolutionnaires. Lors de l’événement, il s’agira simplement d’une présentation des perspectives du marché et d’un point technique sur les difficultés rencontrées pendant le tournage. Bref, un truc de businessmen et de geeks. Mais l’annonce sur XBiz News, partenaire de MiKandi dans la production de porn sur lunettes, a fait remonter à la surface la vidéo de nos désirs. Nous devons l’avouer, nous étions passés complètement à côté. Elle date pourtant du 23 juillet.
Eh bien oui ! La version explicite du 1er porno Google Glass existe. Le clip SFW disponible sur Youtube ressemblait à une plaisanterie, James Deen et la belle Andy San Dimas avaient-ils vraiment tourné la scène ? La réponse éclate aujourd’hui dans les excellentes 4 minutes 34 secondes qui suivent. Si vous étiez au courant, vous auriez quand même pu nous le dire :/
document.createElement('video');Google Glass, c’est la promesse du POV ultime, d’un porno sans équipe de tournage, où les émotions seraient partagées entre deux âmes complices, unies dans les joies de la chair : une relation à deux, sincère, mais avec des lunettes ridicules. Google Glass, c’est le porno qui nous fait rêver. D’autant que MiKandi a sorti « Tits and Glass », l’appli dédiée qui permet les échanges entre utilisateurs de leurs propres scènes. Mieux que Snapchat ou les MMS, le futur du tag #amateur est assuré. Le porno risque, comme pour le Minitel, de faire les grandes heures du nouveau gadget de la firme de Mountain View.
« Vous aimez les seins ? Nous, carrément ! Et ce mois-ci, c’est le mois de la sensibilisation au cancer du sein. Alors, aujourd’hui nous allons goûter des nichons. Voilà le principe : pour chaque paire de seins au milieu de laquelle on frottera nos têtes, on donnera 20 dollars à la Fondation contre le cancer du sein. »
Cette annonce constitue le début de la vidéo, s’ensuit une centaine de frottage de tête dans des seins. En anglais, on appelle (apparemment) ça le « motorboating ». Selon les auteurs de la vidéo, c’est « l’acte de pousser sa tête entre deux larges seins, puis de la...
proximity : owen & vex (tease) from Four Chambers on Vimeo.
If you haven’t yet been introduced to the work of Four Chambered Heart (Four Chambers), then you’re in for a treat. This is porn unlike any other. If you’re like me and already a fan, you’ll love these two recent short teaser videos. What is really remarkable about these teasers – aside from the chemistry, filthiness and superb cinematography – is the fact that both videos would not violate most adult content prohibitions (which is a topic necessary to explore when ‘no porn’ is invoked to censor content*). The videos in this post are technically SFW.
This is one of the ways indie porn looks in the Internet era. This is not ‘mainstream’ porn, it is not part of the porn industry, and it is important – and not alone. This is part of the actual, wider world of porn; it is ignored by both the mainstream porn industry and anti-porn pundits alike. And it is awesome.
In Proximity: Owen and Vex (teaser; above) a very sexy couple fucks each other so hotly it’s impossible not to get a little turned on – while feeling both inspired and envious. The video in this post is a teaser, and you can see the full version by donating to the indie porn innovators at Four Chambered Heart here.
Proximity features Owen Gray and Vex Ashley, and the music is by Sorrows – ‘Paramount’ – from their Art Is Dead E.P.
In Exchange: Kim and Vex (teaser; below), two beautiful girls exchange a fluid. It’s ridiculously hot.
Exchange features Kim Lucille and Vex, with the song About You by XXYYXX.
Previously: [Video] Primavera from Four Chambers
* One of my goals is to someday establish the difference between ‘content that is inappropriate for some viewers’ and ‘things the person or people in power simply doesn’t like.’ This would help eliminate many kinds of discrimination.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Vice U.S. nous parle de masturbation. L’auteur de l’article, Conner Habib, revient sur les dernières affaires liées à cette pratique bien connue par nous et par vous. Conner passe de la légalisation de l’acte en Suède à cette femme qui se masturbait dans le métro en insistant sur le ridicule documentaire « Porn on the brain » et autres tentatives britanniques pour nous empêcher de nous branler.
L’idée de Vice se résume facilement. À travers toutes ces infos, c’est du contrôle du corps par la société dont il est question. La masturbation n’est pas encore considérée comme une activité aussi saine que le footing, pratique qui provoque portant bien plus de dégâts aux genoux que le fap en produit à vos parties génitales.
Conner rappelle qu’au 18e siècle, en Angleterre, un livre contre l’onanisme avait défrayé la chronique. Des problèmes de santé inquiétants résultaient de la masturbation, l’auteur, un soi-disant docteur qui n’existait pas, vous vendait une cure réparatrice. Une belle arnaque. Ce scandale avait donné lieu à un débat politisé. Tout cela confirmait le désir des pouvoirs publics, religions comprises, d’interdire au bon peuple le plaisir d’une branlette par une stigmatisation appuyée sur des propos scientifiques. Exactement comme David Cameron, étonnant, non ?
Le mouvement féministe prouve que la conquête de la liberté passe également par celle du corps et du plaisir. Alors, face aux censeurs qui veulent culpabiliser les fappeurs et les fappeuses et obstruer le développement de la pornographie sur l’Internet, fappons pour la liberté !
Mr Skin, le site de référence des stars nues, lance Mr Man, la version masculine avec tout plein d’acteurs à poil dans des films. Pour une modique somme, le site vous promet des kilomètres de teubs déroulées sur pellicule. Sans payer, vous ne verrez seulement que pectoraux et abdominaux dessinés à la perfection. Rien de plus.
Tout ce beau monde est bien classé et bien tagué. Penis, balls, butthole ou shirtless, on sait tout pour chaque apparition dénudée dans un film. Chaque acteur a sa petite fiche descriptive, mieux qu’IMDB. Par exemple, pour David Boreanaz, c’est dans These Girls, sorti en 2005, que son personnage Keith Clark montre son engin face caméra. Et Viggo Mortensen, j’aimerais savoir si on aperçoit son trou du cul quelque part… Oui, dans Eastern Promises ! Et il y a deux vidéos qui le prouvent. Je ne suis pas loin de lâcher mes 12 dollars fois 12 mois.
Avec 11 millions de visiteurs mensuels, Mr Skin, là où se trouve chaque actrice nue de la création, cherche à augmenter son audience. Son patron Jim McBride a une façon bien à lui de faire cracher nos cartes bleues. Il appâte le fappeur avec une vidéo qui se coupe pile au moment opportun. L’exemple de Phoebe Cates enlevant son haut de bikini, illustre moment de nudité cinématographique, fout bien les boules. Bref, McBride n’a pas fini d’alimenter ses serveurs en naked stars, comme on dit aux States.
http://www.letagparfait.com/fr/wp-content/uploads/mrmantrailer_v01_hd.m4vLa Grande-Bretagne, dans sa lutte contre le porno, n’est jamais à court d’idées. Depuis quelques mois, l’ATVOD, le CSA local pour les vidéos à la demande, cherche à bloquer les sites pornographiques offrant du contenu explicite sans avertissement d’interdiction aux mineurs. Vous savez, ce filtre très dissuasif :
Vraiment, j’hésite à entrer
Le projet de l’ATVOD va loin. Il s’agit de retenir les revenus des sites ne respectant pas la loi de 1964, en impliquant les banques directement. Cette loi est légitime – le projet moins –, elle interdit de montrer des images non censurées sans crier gare. Mais empêche-t-elle vraiment les moins de 18 ans d’accéder aux vidéos ?
L’organisme de régulation britannique désire que les sociétés de cartes bancaires immobilisent les versements (via les abonnements, le téléchargement payant, etc.) aux pornographes étrangers outrepassant la loi en vigueur. Nous pensons notamment aux tubes comme XHamster. Couper les vivres reste la seule solution lorsque les actions en justice s’appliquent difficilement, les criminels du porno étant domiciliés hors des frontières de la mère patrie des Windsor.
Voilà une belle mesure restrictive et extrême qui ferait atteindre le point Godwin à quiconque. Mais nous n’en sommes pas encore là. L’association pour les droits de l’Homme, Open Rights Group, se fait entendre. Une telle décision mérite que la démocratie joue son rôle, clame en substance un des membres. D’ailleurs, le Parlement serait plutôt contre le projet. Qui jugerait que tel ou tel site a suffisamment averti l’internaute ?
Hier, l’ATVOD a tenu une réunion avec les organismes bancaires et son responsable s’est montré très satisfait : « une rencontre très positive ». David Cameron nous la mettra-t-il à l’envers avec sa vision du porno qui « corrompt la jeunesse » ?
Danny Wylde vient de raccrocher. L’acteur porno prolifique, né à Los Angeles, arrête le X à l’âge de 27 ans. Dans un article publié samedi dernier sur son blog, Danny explique qu’il doit quitter la scène pour des raisons médicales. En effet, l’abus de médicaments contre les troubles de l’érection lui promettrait des problèmes de santé sur le long terme.
Danny Wylde a donc annoncé sa mort professionnelle avec un RIP gravé sur une croix. L’amateur de vampires, que son dernier roman met en vedette, aime jouer avec le macabre. Pour un fan de métal, rien de plus normal. Sa carrière a débuté en 2006 et il comptait bien la continuer pour une dizaine d’années. Très impliqué dans son milieu, Danny militait contre la Mesure B, agissait pour une sexualité libérée des tabous (lui qui tournait pour des productions gay). Et, il faisait entendre sa voix au PASS, le comité qui veille sur la santé des acteurs.
En commençant dans le BDSM pour Kink, il fut cantonné à l’alternative porn. C’est grâce à Dana DeArmond, son ancienne petite amie, que Danny a pu tourner dans le mainstream porn. Depuis, il a participé à presque 300 scènes. Il portait également ses propres projets en compagnie de Lily LaBeau.
Post-death self portrait. « figuring it out » – C Zeischegg pic.twitter.com/9fdVjZ9JFm
— Danny Wylde (@dannywylde) October 14, 2013
En arrêtant ainsi le porno, Danny Wylde nous permet d’entrevoir un des secrets de fabrication de l’industrie. Les acteurs ne bandent pas tous sans aides médicamenteuses. Le Français Phil Holliday jure ses grands dieux qu’il n’a jamais eu recours au Viagra et autres dérivés, nous le croyons volontiers. Mais quand on voit les chibres en béton armé de quelques-uns, défier le soleil sans sourciller, nous, garçons sensibles et un peu mous, sommes rassurés d’entendre la confession de l’ami Danny.
Pour la suite, on ne s’inquiète pas trop. Débordant d’activités, le jeune retraité écrit, fait de la musique, sait utiliser une caméra, donc il ne devrait pas tomber dans la dépression du chômage. De plus, Future Sex Shock, sa boutique de films, continuera d’être alimentée.
Il est certain que Danny va vite rebondir ; par contre, son profil LinkedIn, pas sûr qu’il serve à quelque chose.
Blowjob-a-rama:
Dans cet extrait, le réalisateur Jean-Jacques Annaud révèle les coulisses des scènes érotiques du Nom de la roset. Ce documentaire explore les ressorts esthétiques, sociologiques, artistiques du fantasme sexuel et c’est un beau et complexe voyage
Déjà nommée Best New Starlet et Female performer of the year par les AVN Awards et les XBIZ Awards simultanément, Skin Diamond continue de rafler les récompenses et célèbre sa notoriété sans cesse grandissante face à l’objectif du plus sulfureux des photographes. Terry Richardson saisit l’ex-mannequin de Louis Vuitton, qui sait mieux que jamais comment captiver son public. Le photographe nous a habitué à un travail de qualité, que l’on retrouve dans cette série de clichés. Malheureusement, toute l’énergie déployée par l’actrice ne parvient pas à faire oublier le côté égocentrique de l’artiste, qui commence un peu à tourner en rond…par contre, il reste la plastique et l’attitude de Diamond. On ne risque pas de s’en lasser.
Pornhub Network lance un nouvel outil pour trouver la vidéo parfaite, même si vous ne savez pas ce vous cherchez. PornIQ promet l’impossible. Souvent le fappeur se voit bien embêté une fois sa braguette descendue : Qu’ai-je donc envie de mater ?
PornIQ se présente très simplement. « Vous désirez quoi ? », affiche-t-il sur sa page d’accueil. Sous cette question, que personne n’avait jamais posée à un fappeur, plusieurs icônes orientent votre choix. Le bouton refresh en fera apparaître d’autres si aucun ne vous convient. European Delights, I like kinky, College Hotties, Fuck Around Town, etc. Aimant bien me balader en ville, je clique sur le bonhomme qui marche. Une série de catégories s’offre à moi : Gloryhole, Euro, Beach Fuck, Amateur. J’adore le fait maison. PornIQ, très attentionné, s’inquiète du temps dont je dispose pour ma branlette. Moins de 5 minutes, entre 5 et 20, plus de 20 minutes. Aujourd’hui, mon planning est serré. Entre 5 et 20, histoire d’éviter trop de trailers dans les réponses. Dernière étape, l’ultime décision, à quelle playlist recourir pour assouvir mes bas instincts ? Public Pickups, Fake Taxi ou Changing Room. Les cabines d’essayage ont toujours eu ma préférence. Je clique et vous m’en voyez pleinement satisfait.
Le test est concluant. Pour un fap occasionnel, PornIQ semble correct. Sans envie particulière, j’ai atterri sur une thématique dont j’avais oublié l’intérêt qu’elle suscitait en moi. Une bonne surprise. Cependant, l’usage fréquent risque de lasser l’utilisateur. Si les vidéos se comptent par dizaines, par centaines, les playlists, elles, se limitent à trois pour chaque parcours. Si vos goûts ne raffolent pas vraiment des voyages en éclectisme, l’expérience utilisateur à moyen terme deviendra terne.
Même Batman donne son pouce en l’air
PornIQ utilise PornMD, le moteur de recherche qui compile tous les tubes appartenant à la nébuleuse Manwin, ce géant du porn qui se positionne sur tous les maillons de la chaîne (de la production de contenus à la diffusion). Pornhub Network est le fer de lance de la société, c’est sous ce nom que toutes les nouveautés sont lancées. Il y a eu l’application mobile, la pub censurée au Super Bowl, les statistiques de tags par pays, les campagnes de pub mainstream, etc. Fabian Thylmann, le grand patron, s’inspire de Google et pousse ses ingénieurs à l’innovation algorithmique pour conserver sa mainmise sur une partie de l’industrie et la majorité des tubes.
En tout cas, avec PornIQ, Pornhub Network propose une nouvelle façon de chercher le support adéquat à nos branlettes. Nous ne pouvons qu’applaudir cette volonté de nous rendre le fap plus aisé.
Treats! sort son sixième numéro. Je voulais vous en parler, parce que les photographies qu’on y trouve me rendent zinzin. La ligne du magazine se définit comme une publication numérique et papier de beaux arts, ses membres s’enorgueillissent de représenter l’ultime point de vue, le goût sûr, en matière de photographie, design, architecture, musique et bla-bla-bla. Sachez que je n’en retiens que les filles toutes nues. Je ne dois pas être le seul.
En faisant appel à des photographes de renom comme Steve Shaw et David Bellemere et en choisissant des modèles en vogue, Treats! surfe sur le ramdam pour affirmer son désir d’influencer. En tout cas, ça influence pas mal mes faps depuis quelques semaines.
Tout avait commencé avec les photos magnifiques et épurées d’Emily Ratajkowski. Ah ! Douce Emily, que n’aurais-je pas fait pour toi à une époque ? Mais il en va des filles de l’Internet comme des burgers : on en découvre un délicieux, on en abuse puis on se lasse. Alors, on cherche un nouveau burger qui sera aussi bon.
Ma comparaison est nulle, mais les gars de Treats! tentent quand même de me proposer une nouvelle Emily chaque mois. Habiles, la semaine dernière, ils essayaient de me séduire avec une Émilie dans un jacuzzi. Bien joué le coup du même prénom. Hier, il s’agissait d’une Julia. Mais où sont les articles sur l’architecture et la musique ? Est-ce que la couverture avec Robin Thicke compte pour la rubrique musicale ?
Bref, à force de modèles sublimes sans vêtements, je commence à perdre la tête. Si en plus, on rajoute les photos que le magazine Lui diffuse. Je ne donne pas cher de ma santé mentale. Pour l’instant, je pars me réfugier dans un livre sans images, ça va me reposer.
Avant de déconnecter, si vous voulez me faire plaisir, vous pouvez vous rendre sur la boutique de Treats! et m’offrir un tirage papier d’Emily. Ça ne coûte que 395 dollars…
Le goût sûr de Treats!, les haters apprécieront
Wood Rocket s’apprête à envoyer sur orbite les six premiers épisodes de sa parodie de Game of Thrones, sobrement intitulée Games of the Bones. Elle représentera fidèlement l’esprit de la série (dans les limites d’une production porno) puisque Lee Roy Myers, le réalisateur, se décrit comme un grand fan de la Khaleesi, des familles Lannister, Stark, Greyjoy et autres.
Wood Rocket avait fait parler de lui en janvier 2013 avec la parodie de Bob l’éponge. Pour rappel, le site est entièrement gratuit. Du porno traditionnel est mis en ligne comme sur les tubes. La première scène de chaque film maison est en accès libre et il y a ces séries humoristiques que Funny or Die relaie sur ses pages.
Lee Roy Myers aime les chats et le porno
Dur d’y voir clair dans l’histoire de Wood Rocket. Myers est un des fondateurs, mais pas moyen de retrouver trace des autres. Et puis, nous aimerions bien connaître le modèle économique du site, proposer du porno sans abonnement n’est pas monnaie courante. La boutique seule ne doit pas suffire pour financer la production des vidéos. D’ailleurs, les mises à jour sont rares ces derniers temps. Lee Roy, si tu nous lis, nous souhaiterions discuter de tout ça avec toi. Comme tu viens de Montréal, il y a des chances que tu comprennes le français, sinon on va devoir t’envoyer un mail, ce qui est moins romantique, tu en conviens.
Dans son travail, Myers veut nous faire marrer ; c’est sa marotte dans le porn. En parodiant, les Simpson, Friends, Parks and Recreations et un tas d’autres séries, la galéjade envahit la gaudriole et c’est pas mal de rire la teub à la main ou la main dans la culotte.
Prévue en août, Game of Bones à du retard, mais pas de panique, le réalisateur nous promet une sortie imminente. En attendant, comme pour les films hollywoodiens, la photo d’une White Walker est révélée pour adoucir notre impatience.
Getting ready to release the first 6 episodes of Game of Bones. It’s probably my best parody. #winteriscumming #woodrocket
— Lee Roy Myers (@leeroymyers) October 8, 2013
Game of Bones sneak peek (NSFW): White Walker boobs. #woodrocket #winteriscumming pic.twitter.com/AcRDvJ7p1D
— Lee Roy Myers (@leeroymyers) October 8, 2013
UPDATE :
Voilà, la sortie de Games of Bones est annoncée pour le 25 octobre et le teaser donne bien l’ambiance du film. Les mecs ont fait un trône en godemichets quand même.
Cliquez sur l’image pour voir le teaser sur le site de Wood Rocket
Wang Xiaobo, mort en 1997, est un écrivain culte en Chine, tout spécialement auprès des étudiants. Des sites, des forums lui sont consacrés et l’anniversaire de son décès donne lieu à de nombreuses commémorations.
C’est pourquoi la publication en France de son roman « Le Monde futur » est un événement important, d’autant plus que son œuvre la plus connue, « L’Age d’or », est quasiment introuvable.
Trois trous dans son permis d’historienLe narrateur, historien, écrit la biographie de son oncle, écrivain, qui n’a rien publié de son vivant et, comme Wang Xiaobo, n’est...
TheWorstDrug est un fabuleux site de gifs porno en plein écran qui vous permet ensuite de mater la vidéo en rapport. Une façon différente d’appréhender sa pause café en naviguant depuis votre clavier. Le site marche tellement bien qu’il a eu l’honneur de finir sur Techcrunch en mai dernier, un joli tour de force pour une start-up porn qui génère pour le moment peau de zob question revenus.
Certainement inspirés par ce concept novateur de gros gifs dans la tronche, les coquins de Fier Panda ont lancé de leur côté Boobsroulette. On pouvait reprocher à TheWorstDrug sa frontalité, se retrouver face-à-face avec une énorme teub dégoulinante pouvait causer quelques dégâts dans les coeurs sensibles. Avec Boobsroulette c’est seulement du gif labelisé nichons que vous avez. Des gros, des petits, des mous ou des bien ronds ; Boobsroulette est une balle anti-stress pour les yeux.
« C’est coquin et c’est gratuit », tel était le slogan de l’expo Sex in the city en 2011. Cette année, Solidarité Sida réorganise cet événement sur la place de la Bastille à Paris. Vous avez jusqu’au 20 octobre pour vous y rendre.
L’association organisatrice des Solidays remet le couvert avec l’exposition qui cartonne à chaque édition du festival. Cette fois-ci, c’est pour tout le monde et dans la rue. Le principe est simple, traiter de ce tout ce qui tourne autour du sexe et du plaisir. Sex in the city souhaite libérer la parole sur la sexualité et faire découvrir des choses nouvelles.
Des bénévoles font démonstration de sextoys, répondent aux questions, partagent dans une ambiance détendue et colorée. C’est ce que disent MC Solaar et Antoine de Caunes dans une vidéo promotionnelle. En fait, il y a plein de choses à voir et à apprendre : les pratiques sexuelles, les zones érogènes, l’utilisation ad hoc d’un gode-ceinture, d’un chapelet anal ou de poudre à fessée.
Naturellement, ils en profitent pour rappeler les moyens de contraception efficaces et pour communiquer sur la prévention de ces satanées MST dont on se passerait bien.
Il faudra donc se rendre à Paris pour savoir stimuler les fosses poplités et pratiquer un rimjob efficace avec une digue dentaire. Pour les autres, tant pis pour vous !
La digue dentaire ne freinera pas mon amour
Axel Braun réalise des films pornos depuis 23 ans. Il vient de décréter, unilatéralement, lui-même, que c’est terminé, il n’engagera plus d’acteurs ou d’actrices de moins de 21 ans. Vous ne verrez plus de starlettes le lendemain de leur majorité se mettre à quatre pattes devant la caméra d’Axel. Il a dit stop.
Axel Braun est le fils de son père, Lasse Braun qui sortait du porno en Espagne sous le régime de Franco. Plutôt courageux le garçon. Les plus vieux d’entre vous doivent se souvenir de lui et de Body Love (le film avec Catherine Ringer). Comme son père dominait le porno européen, Axel se résolut à conquérir l’Amérique. Projet mené à bien puisqu’aujourd’hui il fait partie de l’écurie Vivid en tant que réalisateur officiel des parodies de films de super-héros. Un poste gagné par la qualité de ses scénarios respectueux des comics d’origine, comme le soulignait le crew des Haterz.
Axel et sa femme, la sœur de Belladonna
Désormais, Axel, dans la force de sa réussite et de sa maturité professionnelles, peut se permettre de dicter sa loi. Ainsi, il trouve normal de laisser trois ans de plus aux apprentis artistes de la levrette pour se décider. Il envisage ce délai comme une occasion pour eux d’acquérir un niveau d’éducation plus élevé. « Si la loi ne te juge pas assez responsable pour boire de l’alcool, alors tu n’es probablement pas prêt pour faire un choix de carrière avec de si fortes répercussions sur ta vie », l’argument a du sens.
Braun qui refuse les talents de moins de 21 ans n’empêchera pas les autres de filmer des teens, ce tag si populaire. Il insuffle simplement un peu d’éthique dans son porno.
L’industrie semble d’ailleurs en quête d’introspection, de prise de conscience ces derniers temps. Avec les acteurs touchés par le VIH, les productions songent à des moyens pour mieux protéger ceux qui risquent leur santé pour elles. En ce moment, les féministes du X lancent une réflexion pour amener des comportements plus responsables et respectueux dans le milieu. Sans doute cela débouchera-t-il sur un label Max Havelaar porno. Ce ne serait pas plus mal et peut-être qu’un jour, un mouvement de fappeurs conscientisés naîtra. Leur exigence : des branlettes équitables avec des conditions de travail saines et une rémunération juste.
« Fap conscient, pour des branlettes sans remords » pourrait être un bon slogan.
Traînes en feu, mariés qui pataugent dans la boue ou recouverts de peinture… Une nouvelle tendance arrive des Etats-Unis : le « Trash the dress » (TTD). Autrement dit : oublie les poses de mariés sages et figés exposées sur la cheminée de pépé et mémé, et viens bousiller ta robe (et/ou ton costume).
Barbouillée de peinture, perchée sur des skisArmée de tubes de gouache, Caroline, 27 ans, a choisi de « trasher » sa robe, il y a quelques mois, sur une plage des Côtes-d’Armor. Son fourreau est passé du blanc au multicolore lors d’une bataille de peinture avec...
Excerpt above from new X-Confessions short film I Fucking Love IKEA.
I’ve long wanted to see exactly what Erika Lust (Lust Cinema) has just released: her new series X-Confessions selects user-submitted sexual fantasies and recreates them, beautifully and explicitly, on video, in short and stylish vignettes. She just released X-Confessions: Volume 1 and it includes four different stories, with more volumes on the way. I’ve gotten a sneak-peek of the videos – along with the exclusive images in this post to share with you – and everything about these super-sexy vignettes is top-notch.
Ms. Lust writes,
Even outside the commercial sites, you find the same limited views of sex: on Tumblr, Vimeo channels, sex blogs and porn tubes.With X-Confessions, I want to claim a new way of seeing and understanding eroticism, a new era where we all participate in breaking the clichés, where creativity and innovation go hand in hand with eroticism, where man and woman share roles, where there are no wank-friendly labels like Gay, Hetero, Lesbian, Interracial, Anal, Blowjobs, MILFS, Big Cocks, Big Boobs, Small Boobs…
Together with all of you, I want to create a place where we redefine eroticism and end the dictatorship of bad porn.
The four vignettes in Volume 1 are completely fun while maintaining the edginess of real fantasies – Ms. Lust does not consider herself part of the porn industry, and nothing here is done halfway because she’s worried about pleasing mainstream porn’s distributors or reviewers.
All are filmed in Spain with some very delicious looking European porn performers, a hell of a lot of style, and sex that has chemistry which (I think) puts typical porn fare to shame. The four videos in X-Confessions Vol. 1 are around 8-15 minutes long each, and are titled: I Fucking Love IKEA, Hold Me So Tight It Hurts (erotic bondage), Sit Down, Shut Up and Watch and Let’s Make A Porno.
The quality is delightfully high in these shorts, and I’m so very thrilled to see this series arrive with such a strong entry. I love that Lust is so front and center about how women want to see good, hot hardcore and that our participation in the conversation on every level is a necessary revolution saying she pledges,
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.…to create new waves in adult cinema, to show all of the passion, intimacy, love and lust in sex: where the feminine viewpoint is vital, the aesthetic is a pleasure to all of the senses and those seeking an alternative to porn can find a home.
Remy Lacroix, actrice porno américaine aux fesses plus rondes que les Ballons des Vosges, lance un nouveau site. La meilleure starlette 2013 aux XBiz Awards tourne seulement depuis 2012, elle n’a pas mis longtemps pour devenir incontournable.
En jouant pour les plus prestigieux réalisateurs et les meilleures productions, sa carrière roule à toute vitesse sur l’autoroute du porno. Du haut de ses 1m57, nous pensions qu’elle contemplait sereine, son doux sourire aux lèvres, la montagne de billets amassée par toutes ces scènes anal sans craindre pour l’avenir.
Remy est prudente, elle a 25 ans et la retraite approche. Et puis les jeunettes poussent derrière. D’autres PAWGs (Phat Ass White Girl) pratiqueront tout aussi bien le hula hoop. C’est l’implacable rythme de la vie. Alors pour voir venir et conserver ardente sa communauté de fans, Remy ouvre une page sur Camster.com.
Camster, site de webcams, sexcams, livecams (on ne sait plus comment les appeler), offre à ses modèles la possibilité de faire une fanpage. À cet endroit dédié, Remy Lacroix propose du contenu vidéo et photo exclusif et amateur. Pas seulement des enregistrements de session cam. À nous les balades à poil à la montagne et les pipes sur le lit conjugal. Mais surtout, ce porno maison d’une actrice au top dans l’industrie prouve, une fois de plus, que la diversification des ressources financières devient une nécessité dans la profession.
Le phénomène débute sur ce site. Peu d’actrices aussi connues que Remy ont pris cette option complémentaire de carrière. Signalons Abella Anderson, qui possède également ce côté pionnier.
Plus de renseignements quand j’aurais volé les codes de la carte bancaire du Tag, afin de mieux savoir si l’accès à la petite vie de Remy nécessite de raquer en sus de l’abonnement aux sexcams. Le mystère demeure. Mais si les porn stars se mettent à l’amateur, que restera-t-il aux jolies filles du Cap d’Agde ?
Food porn – flickr/Muffet
La santé publique, ça devrait être l’affaire de tous. Enfin, c’est ce que j’aimerais penser. Je savais déjà que les listes de donneurs de moelle osseuse manquent d’hommes, alors que ce don sauve des vies et est sans danger. C’est aussi le cas de Nutrinet, la grande étude française visant à mieux évaluer les relations entre la nutrition et la santé.
Les hommes moins à l’aise
En effet, Nutrinet manque d’hommes, alors qu’on peut penser que les hommes mangent autant que les femmes! Est-ce un problème général sur le bénévolat? D’après le professeur Serge Hercberg, qui pilote cette étude, « toutes les études dans le domaine de la santé qui font appel à la population dans son ensemble trouvent plus d’écho auprès des femmes par rapport aux hommes. Ceci est d’autant plus vrai lors des études sur la nutrition. Par exemple, dans le cadre de l’étude SU.VI.MAX que nous avions lancée en 1994, nous avions eu plus de deux tiers de femmes parmi les volontaires. Le même phénomène se produit pour NutriNet (plus de 70 % de femmes). Je pense que les femmes sont plus sensibles aux préoccupations « santé » et surtout de nutrition et s’engagent plus facilement que les hommes, qui se retranchent également plus sur le fait de n’avoir pas suffisamment de temps… Peut être également que les hommes, qui mangent globalement « moins bien » que les femmes- par exemple, ils boivent plus d’alcool – sont moins à l’aise pour parler de leur alimentation. »
Mets du gras, mets-en partout mets-en par-là (enfin évitez quand même)
L’étude Nutrinet, qui propose aux volontaires de détailler 3 jours par an leur alimentation, ainsi que de répondre à des questionnaires santé et mode de vie, permet de croiser des milliers de données, et donc forcément des différences hommes/femmes dans l’alimentation. Est-ce que les chercheurs ont analysé cet aspect en regardant le contenu de nos assiettes? « Oui les hommes mangent globalement plus que les femmes, ce qui est normal car leur métabolisme de base est plus important. Ils ont aussi tendance à s’éloigner plus que les femmes des recommandations nutritionnelles (plus de sel, de gras, d’alcool…). Les femmes ont globalement un équilibre nutritionnel un peu plus favorable que les hommes. Par exemple elles mangent un peu plus de fruits et légumes surtout rapportés à leurs apports énergétiques totaux. »
Allons plus loin : manger et sexe ont tant à partager! Il y a d’ailleurs des pervers qui font régulièrement la promotion du « food porn », ou BDSM pâtissier… Alors professeur, est-ce qu’il y a un lien entre ce qu’on mange et sa sexualité? « Il n’y a pas de lien direct connu, mais on s’intéresse aux relations entre alimentation et qualité de vie, dont la sexualité fait partie ».
Alors si vous voulez aider la science et améliorer notre santé à tous, inscrivez-vous à Nutrinet, que vous soyez un homme ou une femme! « Participer c’est simple, confidentiel, sans lien commercial et ça permettra de faire progresser la recherche ». Merci professeur!
Pour rejoindre l’étude, cliquez ici!
Vous « vapotez » depuis que l’on vous a dit que la cigarette électronique, c’est tendance, et que ça pourrait bien vous aider à arrêter de fumer. Vous vapotez malgré le fait que les effets sur la santé sont encore méconnus. Et parce que vous avez entendu quelque part, mais vous ne savez plus où, que ce nouvel objet est mille fois moins toxique qu’une clopinette classique.
Seulement, vous êtes un vapoteur célibataire. Et dans votre âme de grand séducteur, vous regrettez l’époque bénie où vous enflammiez les cœurs de charmantes inconnues – ou de beaux ténébreux – en...
Les gens dénoncent l’escalade des pratiques hardcore dans le porno, mais quand la littérature érotique devient zoophile, ça, le monde s’en tamponne… Ni documentaire à la télévision, ni recherche universitaire pour savoir si les lecteurs et les lectrices verront leur cortex modifié par ces dérives nées d’un esprit malade. Surtout que l’affaire qui nous intéresse concerne la cryptozoophilie et la paléozoophilie ; bien obligé de créer ces deux néologismes pour dénoncer Christie Sims, Alara Branwen et leurs ouvrages sexuels incluant humains, monstres et dinosaures.
Aujourd’hui, sur les réseaux, le buzz s’emballe. Internet découvre sur Amazon des nouvelles impliquant des rapports charnels entre femmes et sauriens du jurassique ou créatures fantastiques. Tout le monde s’en amuse, mais nous préférons nous méfier. Oui, on ne rigole pas avec ce genre d’histoire. Depuis quand les fantasmes sont-ils un terrain de jeu où l’esprit pourrait vagabonder sans limites sur le territoire de l’absurdité ?
Et si un adolescent tombait sur ce passage par exemple : « une langue de reptile, raide et chaude, se précipitant pour lécher la chair tendre et nue si soudainement exposée. Azog pantèle à chaque coup, mais se détend doucement au rythme de son corps se réchauffant sous l’enivrante sensation de la peau de la bête contre la sienne. » (traduction maison) Alors ? Ce n’est pas un peu dangereux pour un jeune en construction de s’imaginer coucher avec un velociraptor ? Quel avenir pour sa sexualité ?
Christie Sims et Alara Branwen en rajoutent en prêtant à leurs héroïnes des passions contre nature avec des Trolls, des griffons, des centaures et aussi Satan. Non, elles vont trop loin, beaucoup trop loin. Nous ne voulons pas cautionner ça. Si ce n’était pas la qualité exemplaire des couvertures, nous n’aurions même pas parlé de ces sottises.
Nous vivons donc dans un monde où la cryptozoophilie et la paléozoophilie deviennent des pratiques courantes et acceptées. Rigolez maintenant, vous ferez moins les malins quand votre fille se ramènera avec un T-Rex au repas dominical.
En juillet dernier, le conservateur David Cameron a annoncé un plan pour lutter contre la pornographie sur Internet. Il voulait notamment limiter l’accès, en Grande-Bretagne, à certains sites.
L’étude de la neuropsychiatre de l’université de Cambridge Valérie Voon sur les effets de la pornographie sur le cerveau des humains le confortera sans doute dans ses idées.
Le système de la récompensePsychiatre et éditorialiste au Guardian, Norman Doidge résume les conclusions de ce travail (qu’il a pu consulter mais que nous n’avons pas lu car l’étude n’est pas encore accessible) :
« Les...
Buy King of Bitcoin for the cover alone. Or buy it because Kayleen Knight is an indie smut author with many cougar-themed dirty novels under her belt, and the world always needs more of these.
Buy it because it exists, and it is glorious.
Buy it so you can put the cover on your Kindle Fire in full color, scream like a girl and throw your panties at the screen like the King of Bitcoin is the new Beatles.
I will. Because the real King of Bitcoin will wear tighty-whities and have an attendant harem of buxom babes (who are probably assassins and so much more butch then him). This is the future.
Excerpt:
(…) He straightened his shirt, which was already pressed neatly. “No, Bradley, bitcoins. As I was saying, bitcoins are a cryptocurrency, the most popular of many, and they allow users to send and receive payments over a decentralized encrypted network. They are the future of currency as we know it, so it would in fact behoove you to listen.”
Brad stretched back further in his chair, sneering at the tall, thin, impossibly serious, Atlas. Instead it was Brad’s cheerleader girlfriend Kayleigh who spoke. She sat at the front of the class, and Atlas had to concentrate not to be distracted by her long creamy legs clearly visible to him under the desk. (…)
Synopsis:
19-year old Atlas Fawkes is a bitcoin true believer. It’s 2019, and he’s been eulogizing the new anonymous online currency for five long years, using all his spare cash to ‘mine’ for bitcoins. But why won’t people listen to him? The fools!
When an extraordinary turn of events proves Atlas right, and bitcoin becomes the only way to trade, he suddenly finds himself holding the keys to the kingdom. What will he do with his new-found wealth? How will he repay those who mocked him so relentlessly?
Warning: King of Bitcoin contains many adult themes, very strong language, and scenes of an explicit graphic sexual nature. Lots of silly things happen, and you should not attempt to use this book as a get-rich-quick manual.
It’s $3.99; you get 30 pages of satire/self-help: Here’s King of Bitcoin for Kindle; King of Bitcoin at Bitmit (25% off for Bitcoin purchases). Found via this tweet (thank you!)
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Ce soir, à la télévision britannique, est diffusé Porn on the Brain. Basé sur l’étude qui montre des réactions similaires entre des accros au porno et des individus ayant d’autres types d’addiction, le documentaire à charge s’annonce bien énervant pour toute personne sensée aimant la pornographie.
Si j’ai bien lu les résumés, le docu se présente en deux parties. Une où l’on apprend que le porno influence notre cerveau au plus profond de sa mécanique. Une autre où la jeunesse perdue par le porno témoigne. Un homme se trouve au centre de la narration, Martin Daubney, l’ancien patron de Loaded, un magazine où les paires de seins servent à vendre des exemplaires sans qu’on ne se pose trop de questions. Désormais, Martin a un fils de quatre ans et les boules lui remontent quand il envisage le rapport de son gamin à la pornographie. Panique totale à bord.
L’homme qui a peur pour sa famille
L’ex-pseudo pornographe tremble pour les générations futures et se rachète une conduite. Voilà un point de départ idéal pour mener une enquête sans objectivité, garantie pièces et main-d’œuvre.
L’étude en neuroscience du professeur Valerie Voon consolide le documentaire dans une image scientifique, bien entendu, inattaquable. Seulement, l’étude n’est toujours pas publiée. Ce qui, dans le domaine de la recherche universitaire, signifie qu’aucun des collègues de Voon n’a validé ses protocoles et ses conclusions. Conclusions qui, rappelons-le, prouveraient l’influence déterminante du porno dans la modification du comportement et des goûts sexuels. Ce n’est pas rien. Pour l’instant, tout le monde discute donc sur du vent et les papiers que vous pourrez lire dans la presse ne se fondent que sur de l’opinion.
Justement, ces opinions sur le porno sont faciles à avoir surtout quand elles l’identifient à de la drogue. Mais les preuves manquent encore pour accuser formellement l’industrie du X de créer une génération de psychopathes aux mœurs sexuelles complètement tordues. La partie où Daubney recueille les témoignages d’ados semble édifiante et digne d’un micro-trottoir dans le journal de 13 heures de TF1. Exemple : ce jeune homme de 19 ans, matant du porn 12 fois par jour, qui gare sa voiture précipitamment pour rallier les toilettes d’un pub afin de se masturber. Ce garçon paraît avoir des problèmes bien plus importants que la pornographie.
Le documentaire a l’air d’une blague. Chris Chambers du Guardian l’avoue à demi-mot dans une critique parue hier. Cet homme de bonne volonté, le seul écrivant un papier équilibré et éclairé, cite le professeur Field questionné dans le docu. Ce psychologue donne son avis : « le chocolat et la course à pied peuvent se transformer en drogue ». Alors tant que plusieurs études ne valideront pas que le porno a de réelles conséquences, ce ne sera qu’un débat d’opinions. À l’instar des jeux vidéo violents, le porno n’est pas responsable de tous les maux de la Terre. Et s’il l’est, bien malin celui qui le prouvera.
La rageUn phénomène plus global participe de cette stigmatisation du porno. On l’a rappelé précédemment, David Cameron mène une fronde contre le porno. Chaque jour, un article sort dans la presse pour désigner ce divertissement à but sexuel comme la pire des épidémies. Tout le monde y va de sa petite étude à la noix, de son témoignage alléguant la culpabilité des pornographes. En vrac, on a pu lire que le porno produit du sexisme, que des étudiants accros au gonzo criaient à l’aide, que les NoFap créent des infographies pour prouver le bonheur de vivre sans les tubes. Vous en voulez encore ? Les gamins utilisent Facebook pour voir un mec s’enfiler une bouteille dans le derrière. Les pop-ups agressent les ados suisses et les perturbent. Une prostituée belge accuse le tag #anal de fabriquer des clients maniaques et avides de sodomie. Voilà ce que l’on peut lire à propos du porno ces derniers temps. Rien de positif, que de la peur. On dirait du Marine Le Pen interdit aux moins de 18 ans. Comme si on lisait partout que Marseille n’était peuplée que par des bandits sans personne pour soulever l’absurdité de tels propos.
Pour conclure le #CoupDeGueule du taulier, Gonzo :
Si ces bons messieurs veulent une étude, ils n’ont qu’à venir tâter de nos entrejambes. Vous êtes plus de 200 000 à nous lire chaque mois, une génération biberonnée au porno censée s’échouer comme le Concordia sur les récifs de la décadence. Pas de bol, jusqu’à preuve du contraire, aucune génération n’est née plus cinglée qu’une autre. La réalité est d’une banalité sans nom, l’humain évolue à une vitesse beaucoup trop lente pour tirer le signal d’alarme. Ni le porn, ni les jeux vidéo, ni la télé, ni Internet ne changeront ça. Laissez donc les outils de communication et le divertissement en dehors de vos délires et si le porn ressemble à de la dope, on tend le bras pour s’en refaire un petit.
« C’est la seule fille qui m’a trouvé cool quand je lui ai montré ma collection de figurines. »
Thomas « Duff64 » rayonne en racontant comment il a (enfin) trouvé une copine, Morgane « Ganou ». Parce qu’à 22 ans, être passionné de mangas, jeux de rôle papier et jeux vidéo, c’est chaud pour pécho.
L’amour et la séduction chez les geeks, c’est comme la traversée d’un donjon obscur, sans épée de feu +5 à la main, et une nana en guise de trésor de fin de niveau. Il faut donc looter, se trouver une zone pour farmer avec succès.
Select your characterSur Internet, Thomas...
Le « crowdfunding », c’est l’alternative aux moyens de financement classiques. Mais les contenus pornographiques étant bannis des sites de crowdfunding « classiques » comme Kickstarter, ses promoteurs ont inventé le leur : Offbeatr.
Lancé en août 2012 par Extra Lunch Money, une startup américaine basée à Los Angeles, Offbeatr fait simple : vous donnez de l’argent au projet que vous souhaitez soutenir.
Si le projet est accepté par l’équipe d’Offbeatr, il est alors soumis au vote des internautes, moyennant des frais d’inscription. En engrangeant suffisamment de votes, le projet devient...
Stoya – oui l’actrice porno, vous en connaissiez une autre ? – met son grain de sel dans le débat sur la capote dans le porn US. Les tournages ont repris le 20 septembre avec la fin du moratoire. La Free Speech Coalition (FSC), qui se charge toujours de savoir qui a chopé quoi dans l’industrie américaine, a mis en place un nouveau protocole de prévention. Désormais, les acteurs doivent se faire tester tous les 14 jours.
Alors depuis les contaminations avérées de trois acteurs, qui coquinaient ensemble en dehors des plateaux, le monde du porno américain n’en finit plus de se houspiller. La AIDS Healthcare Foundation (AHF) et son président Michael Weinstein n’en loupent pas une pour tacler la FSC. Et vice-versa.
Un bel exemple fut la conférence de presse organisée par la AHF. L’objectif de mobiliser les médias contre l’industrie négligente ne faisait pas de doute. Les acteurs infectés convoqués, un ancien performeur contaminé, tout incitait à se focaliser sur la terrible situation des porteurs du VIH. Les larmes coulèrent, les appels à la protection retentirent. Bref, tartiné de pathos, le discours de la AHF fut bien distillé. Rajoutons à cela le témoignage accablant de Cameron Bay dans le Huffington Post, pointant des comportements ambigus. La police, sur le qui-vive, se préparait à débarquer dans chaque studio de la région pour inculper et mettre en prison ces irresponsables.
Heureusement, la tendre Stoya propose un peu de douceur. Elle apaise les esprits et nous rappelle qu’en matière d’infections sexuellement transmissibles (IST), seule la réduction des risques existe. Pas l’annihilation complète du danger. Il en est du sexe comme de la route, la prévention ne peut éviter la totalité des accidents. Le péril, tapi dans un coin, surprend toujours sans que l’on puisse forcément l’anticiper et l’empêcher.
La AHF affirme le contraire. Capotes partout, IST nulle part. Sauf que les producteurs moins scrupuleux offriront toujours de l’argent pour du sans capote à des actrices désœuvrées et cela sans contrôle médical. De plus au pays des libertés individuelles, ce genre de volonté ne s’accepte pas facilement. Pourtant, avec le débat en cours, quelques réalisateurs et studios de production changent d’avis et opèrent systématiquement avec la protection de caoutchouc. D’autres encore laissent le choix dans le port. Tu ne le sens pas, tu le dis et les cinq mecs prévus pour le gang bang enfilent une capote. Une capote chacun, entendons-nous bien…
Stoya, elle, en qualité de contract girl (le CDI du porno, où tu n’as pas à courir le cachet, vu qu’un gros montant tombe chaque mois sur ton compte), n’aime pas le préservatif. Ça lui irrite les muqueuses lors des va-et-vient prolongés qu’impose le sexe filmé. Donc, elle préfère sans, pour offrir un beau spectacle. Elle l’exprime ainsi, je n’invente rien.
Le témoignage de la porn star nous incite à penser que, sur le sujet, chacun voit midi à sa porte. Mais surtout que les arguments avancés cachent souvent des desseins politiques ou corporatistes, loin de la préoccupation sanitaire des acteurs et actrices. En tant que membre impliqué et reconnu de ce milieu, Stoya rappelle pour conclure que les décisions doivent tenir compte de l’avis de ceux et celles qui prennent les risques. Décideurs, descendez de vos tours d’ivoire et abandonnez vos conflits ! Consultez les performeurs !
L’éducation sexuelle des débutants dans le milieu se faisait à une époque. Il y avait une entrée au porno. Sharon Mitchell, une ancienne actrice, prodiguait conseils, recommandations et bons comportements. Son œuvre préventive s’est conclue en 2011, remplacée par le système PASS et ses tests sans empathie. Stoya semble regretter ce temps de dialogue et de bienveillance, car le danger naît principalement de la conduite des acteurs et actrices. Peu importe au final les débats sur tel ou tel test VIH ou leur fréquence, ce qu’il faut c’est prendre soin de ceux et celles qui offrent le spectacle. Ce sont eux qui priment dans l’histoire.
Environ 9% des Américains âgés de 18 à 50 ans utiliseraient leurs smartphones durant l’acte sexuel selon un sondage Harris Interactive de juillet 2013. Le chiffre peut faire sourire mais si l’on réduit le panel des sondés aux 18-35 ans, il progresse de 11 points pour atteindre les 20% !
Téléphoner, envoyer des SMS, partager ses « impressions » sur Twitter, nos lubies téléphoniques nous poursuivent jusque dans notre intimité et la démocratisation des smartphones promet de nouvelles pratiques. L’appli Sexy Vibes, qui transforme le smartphone en vibromasseur, a déjà été...
Don’t despair having an unsexy Kindle: a new Kink Your Kindle post is here. My newest picks for the season’s hottest lit-smut and must-have explicit sex books will kinkify your little Kindle – with no one the wiser.
Every pick on the list below has explicit sex, and the range spans from true-love romance with hardcore sex all the way to some seriously filthy porn – all with superlative writing. Expect compelling stories, top notch authors, tense sexual realism, and exciting characters. Look for well-crafted narratives, erotic power play and no dull climaxes.
Don’t forget me! I have a new book!
Want more books to choose from? Find more in some of my previous Kink Your Kindle lists:
This caught my eye: W4B Magazine has a mini-feature on the great Alberto Vargas (click on the image to get to the gallery feature). In case you’re not familiar with his work, Vargas was a famous 1940s-50s pin-up artist – who, I just discovered, had some pieces that were naughtier than the pin-ups typically featured as examples of his work. Oh, and the feature has a bit of interesting biographical info I didn’t know, either :)
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.On se sent vieux à partir du moment où l’on ne comprend plus des jeunes en train de se draguer dans les transports en commun. Alors imaginez l’affolement des parents tombant sur certains SMS de leur progéniture !
Des mots sont inventés ou détournés tous les jours. Un moyen pour les jeunes de se différencier des adultes, et de coder leurs conversations intimes. Après avoir lu ces quelques définitions ci-dessus, vous saurez « parler jeune 2013 » pour l’amour, la drague et plus.
Main post photo: Tiffa Bly in this gallery by Julien Vallon on Nowearland.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.
Le financement communautaire, ou crowdfunding, est en plein essor. C’est le cas dans la musique, les maisons de disques ne financent plus de carrières montantes et les artistes s’appuient sur leurs fans pour enregistrer leur album ou partir en tournée.
Les projets liés au sexe et à l’érotisme ne sont pas en reste. Dorcel avait fait le premier film porno co-produit par les internautes, et aujourd’hui c’est Imperfect qui fait appel aux financeurs pour réaliser la première BD éro-porn co-produite.
Alors est-ce que le sexe sur papier glacé fait cliquer les foules ? Jérôme (dessin) et Scebha (scénario), à l’origine du projet Imperfect, m’ont expliqué leur démarche.
Pourquoi ce financement-là plutôt qu’un éditeur « classique » (au sens un éditeur classique de BD érotico-pornographique)?
Jérôme : A l’heure actuelle, il est très difficile de présenter un projet BD à des éditeurs. Ils en reçoivent tellement, peu répondent, et la plupart du temps, c’est un message non personnalisé et négatif. Aussi, à moins d’être un grand nom de la BD, les planches ne sont pas très bien payées. Le domaine du X dans lequel nous nous engageons réduit encore plus le public et donc l’espoir de trouver un éditeur qui pourrait avoir confiance en ce projet. Car oui, la BD est un métier, et on a besoin d’argent pour en vivre ! Nous comptons sur l’intérêt des lecteurs afin d’être, pourquoi pas, repérés par un éditeur.
Scebha : Jérôme et moi avions d’abord envie d’un soutien public avant de proposer notre projet aux éditeurs. Nous avons eu envie de tester pour ainsi dire l’impact d’un tel projet et de nous présenter aux éditeurs avec cette force que serait le fait de réunir 7000€ et d’avoir déjà l’argent nécessaire à la confection de l’ouvrage. Si malgré ce soutien public nous ne trouvions pas d’éditeur, nous éditerions le projet grâce à l’argent récolté sur Ulule via un imprimeur / diffuseur.
Que retirez-vous de cette expérience? Comment réagissent les gens?
Scebha : Actuellement l’expérience n’est pas terminée. De mon point de vue de scénariste et gestionnaire de la communication, c’est un travail de chaque jour. Même si Imperfect ne repose pas uniquement sur le X, il en contient beaucoup. Nos cibles sont en premier lieu les amateurs de X mais aussi et surtout ceux recherchant une véritable histoire dans ce genre. La production porn actuelle reste, dans l’ensemble, assez vulgaire et le scénario n’est qu’un prétexte à l’enchaînement de pratiques plus ou moins grossières. Dans Imperfect, j’ai vraiment essayé de faire en sorte que le sexe fasse progresser l’histoire : le sexe devient un moteur du scénario au lieu d’un ajout salace superfétatoire.
Quant aux réactions du public, elles sont bonnes. Beaucoup manifestent leur enthousiasme vis-à-vis du projet et nous soutiennent énormément en partageant nos liens sur Facebook. Certains se montrent très généreux financièrement. Evidemment, Imperfect est un projet clivant car il contient un rapport forcé dès le chapitre 1. Mais contrairement au hentai, nous ne sommes pas dans l’apologie mais dans la dénonciation. Nous montrons le viol dans toute son horreur et sa cruauté. On nous a dit récemment à propos du projet : « je ne soutiens pas le viol d’une femme ». Mais nous non plus, nous ne soutenons sûrement pas le viol, nous le dénonçons, nous le montrons dans ce qu’il a de plus abject. Il fait partie de la nature humaine au même titre que la violence.
Pensez-vous que le fait que la BD tourne autour du sexe facilite ou complexifie la levée de fonds?
Jérôme : Le cul fait vendre ! On est au 21ème siècle, tu ouvres ta télé, internet, tu sors dans la rue, on ne voit que ça et on consomme. On pourrait penser donc que vendre du sexe facilite les choses, mais hélas, il n’est pas vraiment encore entré dans les moeurs publiques. Tout le monde veut et fait du sexe, mais peu en parlent ou osent en discuter en public. Le sexe est pour la plupart du temps intime et privé et c’est là que ça se complique. Les gens préfèreront peut-être découvrir Imperfect en secret, plutôt que de s’afficher avec ce projet.
Scebha : Je ne pense pas que le fait que la BD tourne autour du sexe facilite ou complexifie la levée de fonds. J’ai eu l’occasion de remarquer que la question était surtout de bien cibler le public. Le fait qu’il y ait du sexe n’est pas forcément une aide, car il y a aujourd’hui une mentalité puissante qui s’est développée : celle d’avoir du sexe sans limites et gratuitement via des plateformes comme youporn et les nombreux forums consacrés. Ce qui marche le plus n’est pas forcément ce qui se vend le mieux. Nous ne doutons pas que si Imperfect est édité, qu’il connaît un certain succès, il se retrouvera très vite sur des plateformes de téléchargement illégales. Mon but est que, la qualité scénaristique aidant et via le talent graphique de Jérôme, les gens souhaitent posséder Imperfect dans leur bibliothèque.
Pour en savoir plus : consultez la page Facebook d’Imperfect, ou financez-le sur ulule!
Une sorte d’épiphanie pornographique personnelle survint le jour où je découvrais Francesca Lé dans la scène 7 de F for Francesca, production d’Evil Angel réalisée par Jonni Darko : le bukkake pouvait avoir de l’intérêt.
À fond dans le cliché de l’actrice X vulgaire et assumée, Francesca suçait les grosses bites du porn US avec passion, abnégation et grand professionnalisme. Son visage noyé de semence, elle ne tiquait pas et jouait l’affamée sans sourciller. Assistant à une telle performance, je me suis penché sur cette actrice incroyable jusqu’alors invisible à mon regard.
Francesca en 1993, dans New Wave Hookers 3
Francesca Lé a tout de la MILF parfaite, en brune. Ça change un peu. Elle est née en 1970 et tient la comparaison avec la jeune garde du X en ayant conservé et entretenu (on ne veut pas savoir comment) un physique très attrayant. Sa carrière dans le porno débute en 1990. Elle prit congé des plateaux de tournage quatre ans plus tard. Elle gagnait déjà des prix, alors que tu n’avais pas encore découvert la branlette. Cette absence n’empêche pas Francesca de revenir, au début de ce siècle, devant et derrière la caméra avec son mari, l’acteur Mark Wood. Tous deux forment LéWood, un studio de production fondé en 2002.
La signature chez Evil Angel, qui distribue désormais leurs scènes, a mis la lumière sur ce couple moins glamour que Stoya et Deen ou Kross et Ferrara. Lé et Wood sont deux ouvriers du porn, appliqués et fertiles. Leur spécialité ? La domination et l’humiliation de jeunes actrices que Francesca offre à son mari. Le résultat est toujours intense, sachant que cela fait des années qu’ils bossent dans le milieu, qu’ils tournent presque quotidiennement et qu’ils vivent ensemble. LéWood valait bien un hommage.
La journée de travail débute pour le couple
Parallèlement, Francesca papillonne de-ci, de-là. Kink l’engage régulièrement, notamment pour la série Everything Butt, où elle abuse, ici aussi, d’un grand nombre de filles dans le respect et la confiance, valeurs essentielles à la firme de San Francisco. Angell Summers et Anissa Kate ont connu son intraitable domination et s’en sont remises.
Désormais, Lé manipule beaucoup plus la caméra que des queues (oui, elle était facile). Son mari la juge, d’ailleurs, meilleure que lui en tant que réal’. Il ne va pas s’en plaindre. C’est quand même dur de filmer et baiser en même temps.
Dur de trouver les mots justes pour évoquer Lily Labeau. Égérie de l’alternative porn, elle a tourné aussi bien pour des gonzos un peu bidons que pour les grosses productions esthétiques comme Wasteland. Avec son petit ami, le prolifique Danny Wylde, elle produit du porno dans la sincérité, ce tag qui touche les fappeurs comme aucun autre.
Lily Labeau, c’est un trouble. Grande, élancée, elle joue dans la même catégorie que les Tori Black et Stoya mais en blonde. Enfin depuis quelque temps avec son crane rasée, Lily affolerait un peu moins les sens, si ce n’était cette flamme persistante dans son regard si particulier : la source de la tension. Dans la plupart de ses scènes, le tag sincérité nous saute dessus, son sourire prouve à chacun cet amour du travail bien fait qui l’anime. Évidemment, actrice n’est pas un métier toujours rose, mais Lily offre une démarche authentique.
Photo par Van Styles
Peeperz rend hommage à cette démarche artistique et unique avec un article à la gloire de Lily , nous invitant à lui vouer un culte bien mérité.
Au Tag Parfait, on l’adorait déjà. Chaque occasion est bonne pour parler d’elle. Avec environ 200 scènes au compteur, Lily prend le virage de la production perso, histoire de renflouer les caisses du couple. Avec Danny, ils ont sorti un film en compagnie de notre Lou Charmelle nationale et alimentent une chaîne sur Clips4Sale. Il faudrait qu’on l’interview pour mieux connaître sa démarche et parler de sa collaboration féconde avec Kink, de ses projets, etc.
En attendant de vérifier si elle parle français comme son pseudo peut le laisser entendre, nous rajoutons quelques vidéos à la sélection de Peeperz.
Une dernière vidéo provenant d’Inside Adult, où Lily narre sa première expérience uro, sous la douche avec son keum. Un témoignage touchant, plein d’amour — voire romantique — qui donnerait presque envie d’essayer. Impossible d’intégrer la vidéo, alors cliquez pour voir.
Photo de une par Lou Noble.
Is the Sealab 2021 Sex Video really a hardcore porn scene with Sealab characters? Yes.
Is it high quality? Er, no.
Is it paced like a German existentialist film? Yes.
Will this ruin Sealab for you? If you are a Sealab fan, this is nothing.
(image at post bottom via)
74% des Français déclarent réprouver les stéréotypes sexistes, mais plus de deux sur trois sont incapables de les identifier. « Les stéréotypes sont aujourd’hui banalisés et même intériorisés [...], il faut tomber dans la caricature pour que cela interpelle spécifiquement », rappelait en mars l’étude menée par Mediaprism et le Laboratoire de l’égalité.
Chaque jour apportant son lot de contrariétés féministes, d’articles, notes de blogs dénonçant ces stéréotypes, tempêtant, sans que cela ne change grand-chose, j’ai pris à la lettre les recommandations de...
Les commentaires sur les tubes sont souvent d’un niveau intellectuel bien plus poussé que sur Youtube ou sur les sites d’infos. Peu de trolls, des pouces rouges mérités quand ils tombent, que de l’amour, de l’exaltation et quelques infos pour répondre à cette question qui taraude la Terre entière « who da hell iz dat girl ?! ».
Il faut tout de même en vouloir pour lâcher son com’ sur un tube, il faut tout d’abord avoir un compte, puis surtout avoir l’envie de s’exprimer, la tronche blindée d’endorphines. C’est d’ailleurs à ça qu’on reconnait une bonne vidéo, au nombre de commentaires laissés par les fappeurs dont la capacité à s’émerveiller ferait tirer une larme à n’importe quel modérateur.
Dans cet éco-système où il fait bon vivre, un certain Limerick_Larry, 77 ans, tire son épingle du jeu. Cet homme qui se balade sur les petits chemins de Pornhub est un poète, il siffle au grès du vent ce que lui inspire ses actrices favorites. Un fappeur délicieux qui fait rimer l’improbable, « sapphic » avec « graphic », « fist » avec « list ». Voici quelques-uns de ses poèmes qu’un habitant d’internet a gentiment compilé pour vous.
Une nouvelle étude scientifique vient d’être reprise par les médias. Quand elles ne parlent pas de sexualité, les études relayées au grand public traitent de porno. L’université de Cambridge au Royaume-Uni en a produit une belle. En plus, elle est facile à résumer : l’activité cérébrale des accros au porno ressemble à celle des alcooliques et autres toxicos quand ils aperçoivent l’objet de leur dépendance.
SUPER ! ET ALORS ? Ça semble normal que des accros allument les mêmes lumières dans le cerveau. Les chercheurs ont-ils comparé les drogués avec un mec ou une nana qui voit son partenaire de jeu se déshabiller devant lui ? Le sexe, le désir doivent aussi générer des réactions similaires… Donc pour être clair, les scientifiques n’en disent pas plus que l’encéphale des uns fonctionne comme celui des autres. Quand l’addiction existe, tout le monde réagit pareil.
Le taulier devant Snapchat
Le problème tient dans la reprise par les médias. C’est dans les journaux qu’on trouvera les conclusions iniques. Encore une fois, en associant le porno à la drogue, on envoie un beau message à tous ceux qui n’aimaient déjà pas les contenus explicites.
D’ailleurs, l’annonce de cette étude coïncide avec la volonté du premier ministre britannique de filtrer le porno. En ce moment, cette culture, comme nous la traitons ici, fait les gros titres. Depuis quelques semaines, chez nos voisins d’outre-Manche, on débat sur la nécessité d’aborder la pornographie sur Internet dans l’éducation sexuelle à l’école. Ils ont l’air plutôt contre. Et aujourd’hui même, se déroule le XBIZ EU, une conférence des professionnels du porn. Rien à voir avec les salons érotiques. Pourtant, des menaces ont été proférées à l’encontre de Radisson, l’hôtel qui accueille l’événement et des manifestations antipornos ont eu lieu hier, dimanche.
Un bel état d’esprit quant au porno à Londres. Ce n’est pas ça qui va faire remonter la valeur de l’action Eurotunnel.
« J’ai un plan », dit l’avocat Archibald Seymour Slovovitz. « Croyez-moi : le plan le plus fou de toute l’histoire de la castration. »
Dès le prologue, le ton est donné. « Orgasme à Moscou », roman d’Edgar Hilsenrath disponible en français depuis 2013 aux éditions Attila (1979 pour la version originale en allemand), c’est l’histoire d’une jeune Américaine, fille du patron de la mafia new-yorkaise, qui connaît son premier orgasme lors d’un voyage de presse à Moscou, en pleine guerre froide. Le responsable : un certain Sergueï Mandelbaum, dissident juif fauché au physique peu avantageux...
Soyons fiers ! C’est une étude française qui a emporté le loufoque Ig Nobel (« Ig » comme ignoble) en psychologie cette année. Si vous n’aviez jamais entendu parler de ces prix amusants, leur définition est ainsi donnée par leurs organisateurs :
« Les prix Ig Nobel couronnent des prouesses qui font rire les gens au premier abord, et les font ensuite réfléchir.
Ces prix ont pour but de rendre hommage à l’originalité et d’honorer l’imagination ainsi que d’attiser l’intérêt des gens pour la science, la médecine et la technologie. »
Chaque année donc, les prix sont remis aux...
Le microporn, comme le microblogging à son époque émergente, commence à faire parler. The Cut, le pendant féminin du magazine New York, s’étonne et tente d’analyser cette alternative à l’excitation sur pornos industriels. On sent l’envie de buzzer sur un truc soi-disant révolutionnaire.
Les 140 caractères sont une manière différente de communiquer. Les 6 secondes de Vine sont une façon neuve de se montrer. Et évidemment, le cul s’invite à la fête, une nouvelle production porno affleure alors, sous-entendu que le microporn ne concerne que les images animées. Les amateurs s’en donnent à cœur joie et les actrices X motivent leur auditoire avec des #DailyBush. Mais, sur Internet, il n’y a pas seulement Vine pour s’exprimer et heureusement. Apple – une application pour tout, sauf pour le porno – feinte les petits films de boules en filtrant les tags.
Le #DailyBush, on ne va pas supporter ça très longtemps
Sur Tumblr ou le reddit GoneWild, le microporn s’exprime à plein régime. Chaque semaine, Abitboule nous présente une sélection de GIFs issus de son scrolling intensif. Les utilisateurs de la plateforme récemment acquise par Yahoo emploient les meilleurs extraits de scènes provenant du porno professionnel pour en révéler l’essence, le moment magique d’une éjac’, d’un regard ou d’une triple péné’.
Sur GoneWild, les GIFs sont amateurs, mais toujours des productions de microporn. BobbyBretzel en a fait sa spécialité en donnant du mouvement à ses exhibitions. Blanc_Asian partage des faciales plutôt bien réalisées. Et Cherry-Crush promeut ses scènes – qu’elle vend – avec des dizaines de GIFs de toutes sortes. Sur le subreddit dédié aux couples, les vidéos de courte durée fleurissent comme des perce-neige sous l’avalanche de milliers de photos.
Figure imposée sur Reddit par DatassNB
Amanda Hess oublie de compter au nombre des supports de microporn, Snapchat, les MMS et même Whatsapp. La journaliste nous parle de ces gens comme vous et moi qui se lancent à corps dénudé dans ce moyen d’expression succinct au vu et su de tout le monde. Mais chaque jour un grand nombre d’échanges de productions pornographiques se déroulent gracieusement à l’abri de l’œil public. Snapchat offre 10 secondes de microporn, les MMS vont jusqu’à 22 et Whatsapp seulement 8. Le porno devient personnalisé, le frisson est plus fort et la réciprocité donne une touche très Système d’échange local (SEL) à tout ça. Tu me troques deux boobs et un fingering contre une éjac’ : marché conclu. C’est le retour à la tension.
Qu’il sélectionne les meilleurs moments des films porno pour la beauté de l’art, qu’il serve à promouvoir une activité pornographique commerciale ou qu’il manifeste simplement la créativité d’individus anonymes, le microporn existe depuis pas mal de temps. Souvenez-vous des premières vidéos à l’époque du 56kbits et des modems qui grésillent, elles ne duraient guère. Le microporn est né avec Internet. Rien de révolutionnaire donc, mais beaucoup de plaisir.
La quête du tag parfait s’avère difficile, on le répète assez souvent. Moult fois, j’ai galéré à naviguer entre les tubes pour trouver une vidéo complète de HotKinkyJo. Pareil pour obtenir une vue d’ensemble de l’œuvre de Cayenne Klein, c’est compliqué. Alors, comment faire ?
Plusieurs solutions s’offrent au fappeur, à la fappeuse.
Il existe les agrégateurs de tubes comme TubeGalore. On tape son mot-clé et les résultats s’affichent, peu importe le site d’origine. Cependant, il s’agit là d’un emploi plutôt poussé en matière de fap. Tout le monde n’a pas cet irrépressible besoin de tout connaître sur un tag ou une actrice. Et le design façon frame peut rebuter.
Pas très funky, mais efficace
Sex.com propose son astuce perso. Utilisez Google Vidéos ! Nous sommes déjà habitués à faire des requêtes dans la barre Google. Il suffit simplement de désactiver le safesearch, d’aller dans l’onglet Vidéos (pas Youtube, hein !), d’écrire son désir du moment et BIM ! Toute une liste de vidéos cochonnes provenant des tubes les plus populaires et qui travaillent leur SEO : Xhamster, Redtube, XVideos, Pornhub, Youporn, etc.
Si nous nous en tenons à la présentation de Sex.com, cette solution semble la panacée, l’agrégateur universel. Nos équipes ont testé cette nouvelle manière de trouver son bonheur de fap. Les conclusions sont mitigées.
Le négatif : les résultats sont pollués par plusieurs éléments. Tout d’abord, les clips Youtube. Pour la recherche « Ariel Rebel », ni nudité ni même téton de la jolie Québécoise dans la 1re page. SERP de boloss ! Pour la requête « Cayenne Klein », Youtube vient contrarier notre ardente volonté de branlette en proposant de l’équitation comme premier choix. Ajouter le mot « porn » améliore grandement les réponses.
Essaye encore !
Ensuite, quelques pièges menacent encore, les vidéos supprimées et les sites complètement pourris remplis de pop-up, de faux liens. Faire confiance aux tubes reconnus évite ces désagréments. Également, les torrents gâchent la prospection sur HotKinkyJo en un rien de temps. Le simple pseudo de l’actrice à l’anus en caoutchouc et vous devez atteindre le bas de la page 3 pour trouver la cavité tant désirée.
Enfin, la durée des vidéos ne s’affiche pas toujours. Quelle déception de tomber sur un trailer quand on souhaite savourer un film dans sa narration entière… Il y a donc quelques faiblesses sur Google Vidéos en matière de porno, en comparaison des agrégateurs de tubes.
Le positif : le design de Google est familier, on se sent à l’aise et les réponses sont claires. Toute l’expertise des algorithmes Google au service du pron, c’est plutôt appréciable. Pour la requête « HotKinkyJo porn », le 1er résultat offre une compilation de 72 minutes regroupant ses plus beaux moments de bravoure. Par bravoure, il faut entendre prolapsus et fist anal. Le 2nd résultat expose sa première production professionnelle, soit 49 minutes de bruits bizarres. Pas mal. Pour la recherche « Cayenne Klein », la page 1 est également de qualité.
Merci Google, je suis satisfait de ta réponse
En matière de tags, Google Vidéos fait bien le job. Big Boobs, Blowjob, MILF satisfont le chaland. Pour les mots-clés ayant des occurrences dans le langage courant du style facial, teens ou ebony, l’addition de porn suffit à faire son bonheur.
Google Vidéos aide donc les fappeurs dans leurs recherches et plutôt efficacement. Malgré la guerre que le tout-puissant maître des Internets mène contre le porno, il sert grandement les consommateurs de ce genre de divertissement. Les multiples pénalités reçues par le Tag prouve le désamour de Google, mais rappelons-nous aussi de la dernière version de Penguin qui avait affecté les tubes et de cette peur que les pornographes s’emparent des Google Glasses.
Le Tag Parfait devient BFM TV le temps d’une news. Le site de revenge porn, You Got Posted vient de fermer. Actu brûlante.
Le revenge porn, le porno revanchard en bon français, c’est votre ex qui balance les photos faites ou échangées dans l’intimité sur Internet. La plupart du temps, vos clichés où vous écartez les jambes sans culotte, vos MMS où vous montrez votre queue bien dressée sont accompagnés d’une photo de votre visage ou de vous, souriant, à côté de Mickey lors d’une visite à Disneyland. Bref, le cauchemar absolu.
Des malins, comme Hunter Moore, programment et monétisent des sites au design peu soigné pour accueillir ces trahisons de pixels. You Got Posted était un de ceux-là, un des plus populaires. Sous chaque série, le lien vers le Facebook de la personne était placé en évidence. Joie. Une pétition a été mise en ligne en février 2013, une plainte à la police fut déposée à la même époque. Mais ce n’est pas cette initiative qui a dû faire désactiver le site.
Bye bye FDP !
Depuis plusieurs mois, une campagne contre le revenge porn est organisée aux États-Unis. Au départ, le témoignage d’Holly Jacobs a ému l’Amérique. Elle lance End Revenge Porn pour protester contre ces abus de confiance. Début septembre, le projet de loi 255 fait la navette dans les institutions californiennes. Le 13 septembre, on apprend que la « bill » attend sur le bureau du gouverneur d’être signée. Si la loi passe, poster des photos de son ex sur Internet deviendra illégal. De vraies poursuites pourront être entamées. Jusque-là, les avocats peinaient à prouver la culpabilité de celui ou celle qui postait. Et les propriétaires de sites ne s’en sortaient pas trop mal non plus, vu qu’ils n’étaient que des hébergeurs (jurisprudence YouPorn et autres tubes).
Désormais, ce beau monde pourra être condamné entre six mois et un an de prison et 1 000 à 2 000 dollars d’amende. Le gouverneur de Californie, Jerry Brown, a un peu moins d’un mois pour apposer son paraphe et rendre la loi effective. Seulement, cette loi ne concerne que les clichés pris par celui qui révèle l’intimité de son ex. Les selfies envoyées par MMS sont disqualifiées, ce qui est dommage puisqu’il s’agit de la majorité des photos incriminées.
You Got Posted qui ferme, cela peut s’interpréter comme une sage décision de Kevin Bollaert (le propriétaire) pour éviter les ennuis sérieux. Pour le soutenir, vous pouvez envoyer vos courriers remplis de mots doux à l’adresse indiquée sur les pages qui répertorient les propriétaires de site.
Post images courtesy of friendly and fun French production company Dorcel Club.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Je m’appelle Hélène, je suis professeure de langues en Ecosse près de Glasgow. Je suis un peu écolo mais surtout très radine.
J’ai découvert la coupe menstruelle il y a sept ans grâce à un copain – oui, un homme.
Il avait bossé avec des féministes et en parlait ouvertement. Il nous parlait d’un produit qui coûtait 15 euros, qui allait nous éviter d’acheter d’autres produits tous les mois et qui durait dix ans.
On a toutes vécu çaUne de mes copines présentes ce jour-là, Marie, refuse toujours d’en entendre parler. Julie l’a essayé et l’utilise. Sam est intéressée mais...
L’Asia Adult Expo a eu lieu du 29 au 31 août dernier à Hong Kong. Vous allez me dire que ça vous fait une belle jambe. Vous n’avez pas tort, mais il s’agissait d’un salon professionnel où les vendeurs de sex toys faisaient de l’œil, et un peu plus, à un marché chinois très prometteur.
Point de stars du porno agitant leurs fesses face au crépitement des flashs des téléphones portables et des tablettes tenus à bout de bras. L’ambiance est plutôt au serious business. C’est la première année que le salon se déroule dans le fameux parc des expositions de la baie de Hong Kong. Avant, Macao, seule, accueillait les professionnels du sex toy. Mais choisir Hong Kong, c’est faire montre de plus d’ambition. Tenir boutique dans l’ancien protectorat britannique ouvre grandes les portes d’un marché chinois qui – même si les entreprises ne ciblent que les 10 % les plus riches – représente tout de même 135 millions de personnes. Ça en fait du plug anal et du cockring.
« Prendre des vaginettes pour des champignons », vieux proverbe chinois
Un journaliste du Time, le magazine américain, s’est fendu d’un reportage exotique sur l’Asia Adult Expo où les clichés vont bon train. Son article débute par une description étonnée du directeur général d’une marque de sex toy (Je Joue). Eh oui ! Le gars a l’air normal même s’il trimballe des œufs vibrants dans son attaché-case. Heureusement que la presse existe pour me rassurer, je pensais que les fabricants de godemichets avaient le regard fou, portait des Birkenstock, des chemises hawaïennes trop grandes et agressaient les gens dans la rue en éructant comme des possédés : « achète mon vibro, salope ! »
Ensuite, on comprend que la Chine est un danger pour le monde avec ses contrefaçons mal faites qui sèment la terreur dans les conseils d’administration. En une semaine, raconte le monsieur respectable de « Je Joue », des Chinois, ces vils personnages, vendaient des copies de son dernier joujou qu’il avait mis des années à produire. Sur le salon, il n’a pas à marcher longtemps pour constater que ses produits sont disponibles chez des concurrents locaux. Vraiment, la Chine, c’est trop des méchants, ils ne font que copier, je serais président du monde, je les mettrais au coin à genoux sur un réglet.
Sont forts ces faussaires chinois !
Cette image d’une production chinoise composée seulement de contrefaçons dangereuses me fait bondir chaque fois. Même le responsable de « Je Joue » l’avoue. Il s’en fiche des copies, lui, il cible les gars friqués, alors il positionne sa marque au prix fort, celui de la qualité. Les pauvres utiliseront les doigts, à l’ancienne. Puis le marché du jouet sexuel débute à peine là-bas. Il y a encore de la place !
Enfin, comme un signe de dédain ultime, le journaliste conclut avec l’exemple d’un créateur asiatique qui fait des vibromasseurs en forme de cornet de glace et des boites pour capotes en forme de burger. Sauf que l’artiste du sex toy est japonais.
Merci, cher Dan Kedmey de ne pas t’être intéressé aux exposants chinois et de perpétuer, comme un Jean-Pierre Pernaut en chapeau de cowboy et santiags, l’image d’une Chine hostile, sans innovation et sans talent.
Ce que la Mesure B est au comté de Los Angeles, le projet de loi AB 640 l’est pour l’État de Californie dans sa totalité. Le lobby de l’association AIDS Healthcare Foundation avait bien fonctionné jusque-là. Leur but : protéger la santé des performeurs en obligeant à porter le préservatif sur les tournages.
Pourtant, le Sénat californien vient de rejeter ce projet de loi. Le lobby de la Free Speech Coalition (FSC) aura été le plus fort. Pour l’organisation qui gère les intérêts de l’industrie porno aux États-Unis, la santé des acteurs et des actrices peut être garantie autrement. La menace du Sexode et ses 5 ou 6 milliards de dollars prêt à quitter l’État ont dû aussi faire pencher la balance.
Le système PASS surveille les tests sanguins des travailleurs du porn et il n’a pas été encore pris en défaut. Les derniers cas de VIH ont été contractés hors des plateaux de tournage. C’est l’argument principal du FSC avec celui qui affirme que la production porno deviendra underground, si la loi passe, rendant les contrôles plus compliqués.
Avec le rejet du projet AB 640 par les sénateurs, les studios peuvent donc rester en Californie et l’image d’Épinal de la porn star californienne sera conservée. Peter Acworth, le patron de Kink, doit pousser un grand soupir de soulagement. Sa société s’identifie beaucoup à San Francisco avec ses locaux emblématiques, l’Armory. Un déménagement aurait été préjudiciable en terme d’image puisque le bâtiment est quasiment le logo de Kink.
This article is a must-read, and is one of my longreads picks of the week. Annalee Newitz knocks it out of the park in The Bizarre Evolution of the Word “Cyber” – a big, juicy read that looks at how the term “cyber” went from “cybersex” to “cyberwar” within the past decade. It’s a must-read with a well constructed and thought-provoking conclusion, and certainly one of Annalee’s best. Includes commentary from Ben Zimmer, R.U. Sirius, Richard Holden, Bruce Sterling, and me.
Snip:
Today, cyber means war. But back in the 1990s, it meant sex — at least, the kind of sex you can have in a chat room. Why did the word change, and where did it originally come from?
It all started with “cybernetics,” an obscure term popularized by a mathematician named Norbert Weiner in the 1940s.
(…) Ben Zimmer, who writes about linguistics for the Wall Street Journal, agreed with Holden, noting that the seemingly-incongruous ideas of cybersex and cyberwar “grew up side by side.” The earliest recorded use of the term “cybersecurity” came in 1989, the exact same year when the word “cyberporn” was coined. (read more, io9.com)
Main post image: Heavy Metal tribute artwork by the talented Artgerm.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Le magazine américain Time titrait le 13 septembre sur le Sexode. Avec la contrainte de filmer avec préservatif dans le comté de Los Angeles, le mouvement d’exode dans l’industrie pornographique commence à faire parler de lui. Même si le terme est un peu fort pour décrire des millionnaires qui se barrent pour conserver leurs revenus, de plus en plus de tournages sont délocalisés dans les comtés avoisinants pour contrer la Mesure B.
Dans l’article de Josh Sanburn, plusieurs responsables de studios pornographiques confirment l’exode ou du moins la sérieuse envie d’installer leurs bureaux ailleurs, où la loi n’interdit pas de filmer du sexe sans protection.
Des procès sont en cours, ce qui fait que les décisions de déménagement définitif ne sont pas encore prises. Même de gros acteurs du milieu comme Vivid n’hésiteront pas à trouver refuge à Miami, Las Vegas, Phoenix ou le Nevada. Ces endroits attirent les pornographes, en plus de ne pas être soumis à la Mesure B, car il n’est nul besoin de demander de permis pour filmer en intérieur. Une liberté de plus.
Le Sexode pourrait coûter cher à Los Angeles et à la Porn Valley de San Fernando. L’industrie offre du travail, environ 10 000 emplois, et génère, selon les estimations, 5 milliards de dollars à l’année. Certes, Hollywood fonctionne toujours, mais le porno qui taille sa route, c’est un peu du rêve américain qui s’effrite. Les pornstars de nos fantasmes, elles sont californiennes quand même.
Vraie porn star de style californien
Manuel Ferrara le rappelait sur son blog, c’est en Californie que sa carrière a pris un tournant décisif. Quand les Françaises partent se faire un nom, c’est à L.A. qu’elles vont. C’est à L.A. que le succès est associé. Personne n’a envie de débarquer à Phoenix pour faire du porn !
Sasha Grey est mélomane. Et Sasha Grey est francophile. En la voyant tweeter dans un français impeccable, on criait déjà cocorico, on écrivait au Ministère de l’Intérieur pour demander la naturalisation de notre belle pour l’épouser encore plus vite.
J’ai fait une playlist Spotify pour #JulietteSociety France. Connectez-vous pour voir tous mes sélections! http://t.co/Xm16dQaF3M
— Sasha Grey (@SashaGrey) September 16, 2013
Comme nous même donnons modestement dans la playlist Spotify, nous avons cliqué sur le lien. Cinquante-sept morceaux, et quelques titres qui nous sont familiers : le Tandem de Vanessa, du Sébastien Tellier, du SebastiAn, qui tous deux ornent les murs du bureau, on s’est sentis en confiance, se demandant même si Sasha ne nous lisait pas en loucedé.
Il y en a pour tous les goûts : des gros classiques de Marvin Gaye, Minnie Ripperton ou du Velvet Underground à l’extrait du dernier Daft Punk, en passant par les plus énervés Dantzig et Black Flag et les plus smooth Chet Baker et Thelonious Monk. On était bien, vantant l’éclectisme de Sasha, lovés dans nos fauteuils, whisky et cigare à la main, en train d’écouter du jazz en tamisant la lumière.
Et puis, folie du mode aléatoire, des accords venus droit de l’Enfer se sont mis à résonner. Les mots sont sortis : « Tourner le temps à l’orage / Revenir à l’état sauvage ». Jizzou s’est tout de suite réfugié sous son bureau et nous nous sommes tous regardés, dans l’espoir que quelqu’un se décide à zapper cette piste 31, le nouveau nombre du Diable.
Sasha, qu’as-tu fait ? Pourquoi Johnny dans cette playlist au demeurant plutôt sympathique ? Même sur Ace of Base on chantait en chœur mais là, vraiment, on a du mal. Et puis on a réfléchi. On a croulé sous les posts en Français, sur Tumblr, sur Instagram. On la connaît, notre Sasha, elle n’a pas le tweet aussi facile. En pleine promo pour la sortie de son livre The Juliette Society (elle sera d’ailleurs à Paris du 30 au 2 octobre), on imagine qu’un CM a pris le contrôle du vaisseau Grey. Alors on lui pardonne et on retourne écouter sa musique (de la noise qui tâche), celle qu’elle fait (vraiment) avec ses doigts.
[Edit] Le Livre de Poche, son éditeur français nous dit que c’est bien Sasha qui aurait choisi notre Johnny national. Incompréhension.
La Harvard Business School domine le classement des écoles de management les plus réputées au monde. Il y a cependant un domaine dans lequel elle ne brille pas : l’égalité des sexes. Pourtant, lors de la dernière remise des diplômes, selon le New York Times, « l’école était devenu un bien meilleur endroit pour les femmes ». Une expérience antisexiste y est conduit depuis deux ans. Artificielle et controversée selon certains étudiants. Indispensable pour les autres.
Jusqu’alors, les femmes avaient beau intégrer l’école avec les mêmes notes que les hommes aux tests d’entrée,...
Spermatozoon race – flickr/Dimit®i
Les hommes sont-ils séduits par un mode de contraception qui leur soit propre ? Certains s’y intéressent : c’est un homme qui m’a envoyé le lien vers les tests de la méthode Risug en regrettant qu’elle ne soit pas déjà en usage ou au moins en cours de développement en Europe. Et qui m’a donné envie de m’intéresser aux nouvelles contraceptions masculines.
D’aucuns diront « on a déjà le préservatif ». Néanmoins, de nombreux hommes affirment encore que le latex leur donne des complexes ou que ça gâche tout. J’ai donc enquêté sur la question, discutant longuement avec plusieurs hommes, en entretien, par mail ou en chat, sur leur rapport à la contraception.
Etre père malgré soi, c’est un vrai risque !
Si 40% des femmes françaises connaîtront un avortement dans leur vie, il se trouve aussi qu’un certain nombre d’hommes devienent pères malgré eux.
Une partie de ces pères involontaires en sont finalement très contents. Leur discours tient entre le chevaleresque « j’assume si ça arrive » (ce que nombre d’entre eux font d’ailleurs) et l’égocentrique « de toutes façons, ce n’est pas mon corps, c’est aux femmes de s’en occuper ».
Une autre partie de ces pères sont traumatisés. Ils ne peuvent plus avoir de relation sexuelle pendant des années. Un témoin de cette enquête (qui a duré 5 mois), qui ne souhaite pas que son prénom soit mentionné, a même élaboré un mode relationnel sexuel non pénétratif assez développé. Il juge ainsi ses duos érotiques moins risqués. La contraception a cessé d’être un enjeu, il a fait de cet handicap un outil de recherche et il trouve, aujourd’hui, au contraire, que c’est une façon de développer une sexualité paritaire.
Les hommes ont peur de la pilule… comme les femmes !
Lorsqu’ils sont interrogés sur une nouvelle contraception masculine, les hommes trouvent l’idée rassurante, voire fantastique. En revanche, ils n’ont vraiment pas envie prendre une pilule masculine. Leurs arguments sont souvent liés aux risques que courent les femmes avec la pilule. Plusieurs conseillent à leurs amies de préférer le DIU (stérilet) ou une technique non hormonale. Ils ont peur d’avoir une libido en berne, de subir des effets secondaires, etc. En fait, les mêmes arguments que la plupart des femmes qui refusent de prendre la pilule : personne, ni les hommes ni les femmes, n’a très envie d’avoir un enfant non souhaité. Mais personne non plus ne souhaite prendre des médicaments toute sa vie.
On parle d’une méthode mécanique, les hommes pensent à une méthode hormonale
Les hommes à qui le préservatif convient ne recherchent pas d’autres solutions contraceptives. Ils sont heureux comme ça ; c’est facile, relativement peu coûteux, ça protège des IST en même temps. L’idée d’une petite opération ou d’un médicament n’a aucun sens pour eux.
Pour les hommes qui n’ont pas trouvé de plastique à leur taille, en revanche, l’idée plait.
Ce qui est également intéressant, c’est qu’alors que j’avais expliqué ce qu’est le Risug, le fait qu’il s’agisse d’une intervention mécanique, réversible et peu coûteuse, les hommes ont tous réagi sur la pilule (méthode hormonale).
Des hommes intéressés, surtout chez les plus jeunes
Comme tous les hommes de moins de 45 ans interrogés, Stéphane serait client de nouvelles solutions si leur innocuité était démontrée. Son témoignage est assez représentatif : je vous le livre ici publié en intégralité.
Au contraire, plusieurs hommes de plus de 50 ans ont trouvé mes questions saugrenues en affirmant que la contraception était une affaire de femmes et qu’il serait bien malvenu de la part des hommes de s’en soucier.
Ces différences générationnelles (à confirmer, car l’enquête n’est pas statistiquement représentative) laissent penser que la génération actuelle de trentenaires et de quadragénaires est un important public potentiel… Mesdames et Messieurs des laboratoires, à vos paillasses !
Vous êtes dans un dossier
Voir le témoignage de Stéphane
Voir l’article « des nouvelles contraceptions masculines dans l’indifférence générale »
Une photo du dernier labo qui a fait des recherches sur la contraception masculine? (« Lab » – flickr/howzey)
Lorsque le ministère de la santé parle de contraception, il s’adresse exclusivement aux femmes. Pourtant, dans la relation sexuelle, l’homme aussi peut agir afin d’éviter la conception.
Outre les préservatifs et la vasectomie (qui reste très difficile à obtenir en France), d’autres techniques sont en cours de développement. En première intention, on pense au serpent de mer qu’est la pilule contraceptive pour les hommes. Naturellement, les hommes se montrent aussi peu enthousiastes que les femmes à l’idée d’ingérer quotidiennement des hormones, avec les risques que cela peut avoir sur leur santé ou leur libido.
Une nouvelle technique réversible
Une nouvelle méthode verra peut-être prochainement le jour : le Risug.
Il s’agirait d’injecter dans le canal déférent un gel qui rend les spermatozoïdes infécondants lors de leur passage. Cette technique aurait l’avantage d’être totalement réversible, et des pays tels que l’Inde ou les Etats-Unis sont en chemin pour l’utiliser prochainement. Verra-t-on des laboratoires français travailler sur ce nouveau protocole ? Non, selon Cécile Ventola, chercheuse dont les travaux sur la contraception masculine sont en cours à l’Inserm :
« Cette technique est soutenue par le Population Council (une ONG qui travaille sur les techniques de contraception) qui a été l’un des seuls acteurs innovants dans le domaine contraceptif : stérilet, implants, et actuellement des essais pour un anneau contraceptif qui diffuserait également des antirétroviraux). Les laboratoires ne font plus de recherche d’après mes connaissances, j’ai l’impression que les innovations viendront plutôt des organismes publics ou des fondations. Pour ce qui est des essais en France sur le Risug, il n’y en a pas à ma connaissance. »
Des médecins ultra-conservateurs
Pourant, nombreux sont les hommes qui ne veulent pas ou plus infliger la pilule aux femmes. Autant que ceux qui aimeraient maitriser leur contraception eux-mêmes. Si cette technique Risug était mise au point et disponible en France, rencontrerait-elle du succès ?
« Je pense que l’offre peut avoir un impact sur la demande, parce qu’on peut imaginer que l’arrivée d’une alternative masculine sur le marché contraceptif séduise de nombreux couples : les solutions hormonales sont perçues comme de moins en moins confortables et de plus en plus dangereuses, et l’évolution des mentalités en termes d’égalité femmes-hommes va également dans le sens d’un plus grand partage des responsabilités.
Je serais beaucoup moins optimiste en ce qui concerne l’institution médicale. J’effectue actuellement une recherche auprès de médecins généralistes et de gynécologues et je ne peux que constater à quel point l’idée d’une responsabilité naturellement et exclusivement féminine est ancrée profondément dans les représentations et pratiques des médecins. Les hommes sont jugés incapables et indifférents par principe.
Je n’ai pas rencontré beaucoup d’urologues, mais je pense que même si la réversibilité de la vasectomie est un vrai problème en France, ce qui posera le plus problème, c’est l’idée que ce soient les partenaires masculins qui deviennent responsables de la contraception. Et notre chère spécialité de gynécologie médicale renforce considérablement cette représentation des choses, notamment en se présentant comme la « médecine des femmes par les femmes », et en créant des lieux exclusivement féminins autour des enjeux contraceptifs. Et le problème est aussi que la contraception n’est pas perçue comme une activité noble en médecine, quelle que soit la spécialité, parce que ça n’est pas pathologique et qu’il n’y a personne à sauver. »
Et l’action publique ?
Des médecins désintéressés et promoteurs du statu quo, des laboratoires qui ne veulent pas se tirer une balle dans le pied : seule une action publique ou politique pourrait faire évoluer les choses. Autant attendre la semaine des quatre jeudis.
«Il faut savoir que l’évocation de la contraception masculine est souvent perçue comme anti-féministe. C’est un comble mais c’est lié à une vision du couple comme union antagoniste, où une responsabilité masculine serait une prise de pouvoir forcément délétère pour les femmes. Donc les politiques, quand ils ne sont pas tout simplement indifférents (parce que c’est quand même un des plus gros impensés contemporains), sont très précautionneux. La contraception masculine bouleverserait une répartition des rôles que l’on veut immuable, surtout dans le milieu médical, alors je suis assez pessimiste.»
Pour ma part, je suis optimiste. Que ce soit une position anti-féministe ou féministe, j’avoue que je me contrefiche de l’étiquette : je souhaite que chacun soit libre dans son corps et sa sexualité. Voire même que les gens puissent se reproduire sans contraceptifs, soyons fous !
Vous êtes dans un dossier
Voici l’intégralité de l’interview de Stéphane, 40 ans, qui a l’avantage d’être concise et d’être très représentative des autres entretiens que j’ai pu avoir sur les nouvelles contraceptions masculines :
Te soucies-tu de la contraception te concernant et que penserais-tu d’un contraceptif masculin ?
Je m’en soucie et trouverais formidable la création d’un contraceptif masculin. Ne voulant pas d’enfant, ou, sans être définitif là dessus, n’ayant jamais rencontré la personne ou vécu la relation qui m’inspire l’envie d’en faire, je me soucie bien évidemment de la contraception. Préférant les relations suivies aux coups d’un soir, les plupart des relations que j’ai vécues ont été basée sur le schéma classique « on fait un test, on tombe la capote, tu prends la pilule ».
Au delà des considérations relatives à la parité (pourtant bien légitimes), ce n’est pas toujours facile à vivre. J’ai toujours tendance à chercher à vérifier si la pilule est bien prise, pas oubliée un soir, etc. Pouvoir être seul responsable de ça, et non plus dans le rôle du vérificateur, serait un soulagement. Et un rôle nouveau, pas inintéressant à expérimenter.
Une fois réglé le problème des IST, envisagerais-tu de prendre en charge la contraception ?
Oui, ce serait un soulagement, mais je viens d’y répondre, en fait.
Est-ce que tu serais client du Risug, sous réserve qu’il soit testé?
Je serais client en théorie, mais très méfiant dans la pratique. Je note que de plus en plus de filles abandonnent la pilule, de plus en plus jugée comme une saloperie qui détraque le corps (et de récentes affaires médicales l’ont montré). Nombre de filles qui l’arrêtent disent retrouver une libido supérieure. Je ne voudrais pas que ça m’arrive. Je pense donc être un utilisateur potentiel, mais pas un expérimentateur du truc. Bien que volontiers expérimentateur, l’idée d’être cobaye d’une expérience qui touche au corps (et que je ne maîtrise pas) me déplaît. J’ai déjà bien assez de soucis comme ça avec mes kilos en trop et mes consommations excessives d’alcool et de tabac pour me plomber avec un truc supplémentaire! Mais d’un point de vue théorique oui, je trouve ça chouette.
Vous êtes dans un dossier
Voir l’article « de nouvelles contraceptions masculines dans l’indifférence générale »
Voir l’article « ce qu’en pensent les hommes »
So after seven years, two public censorship battles, 11,308 photos and 6,724,739 views, @Flickr wants to wipe me off their service – again.
— violet blue ® (@violetblue) September 14, 2013
Remember the first time?
Forbes: Flickr Censors Violet Blue (2007)
Below is the email I got from Flickr, and below that is my response to Flickr. I am open to any and all suggestions.
—
September 11, 2013
Hi violet.blue,
In joining Flickr, you agreed to abide by the Terms of
Service and Community Guidelines:
http://www.flickr.com/guidelines.gne
http://www.flickr.com/terms.gne
URL links from your profile page or photostream to a
website/blog that has nude/adult content is a violation of
the Flickr Community Guidelines and Yahoo! Terms of Service.
We ask that you please remove all URLs that are in violation
of the Community Guidelines.
If we continue to see inappropriate activity in your
account, we will take further action that may include
termination without another warning.
Regards,
Flickr Staff
—
September 15, 2013
Hi Flickr support,
You have not provided me with the specific alleged violation or a timeline for action.
I ask that you do so.
In 2007, Flickr’s general manager Stewart Butterfield responded to alleged violation of Flickr’s Community Guidelines, went through every page in my account, and personally approved of every visible page. Butterfield apologized for the problem, which was on Flickr’s side.
My profile page – and the links there now – were included in his approval.
Thomas Hawk: “Violet Blue has published an email she received from Flickr Chief Stewart Butterfield regarding the recent censorship/moderation of her (…)”
www.flickr.com/photos/thomashawk/540942460/
In 2010, Flickr once again notified me alleging that I was in violation of its Community Guidelines. Once again, Flickr was incorrect and admitted its mistake.
My account was flagged as “screen shot” and Flickr’s 5-year Community Manager Heather Champ informed me that because there were previous “warnings” (Flickr’s 2007 mistake) on my account, I received the harshest penalty.
Upon review, Ms. Champ stated that one image in my account would be in violation of the content moderation policy, though she did not state that this image was the reason my account was flagged. However, the image had been personally approved to be marked as Ms. Champ found it by Mr. Butterfield.
Flickr had officially, publicly approved the item – as well as my profile page, which is now in question.
Ms. Champ apologized and restored my account. Ms. Champ also personally, officially took the time to approve the content and settings of every page in my account. Ms. Champ restored my account.
Three years later, at present, I have received your notification now that Flickr intends to terminate – not suspend – my account despite the fact that it had approved of the page in question multiple times by its Management.
I am happy to provide case numbers and .pdf copies of all my email exchanges from Mr. Butterfield and Ms. Champ.
I can only assume that since the profile page has been previously approved and the links unchanged, that this action by Flickr is a response to either Community abuse against me from within the system, or somehow related to reporting I have recently done for CBS Interactive about Flickr’s parent company, Yahoo. The reporting triggered global negative press, and prompted at least one Yahoo property to change its policies and issue an apology to its users.
I will be publishing this email and your notice. I ask:
* Please put me in touch with Flickr PR so I may reach out to Flickr for comment as press for an upcoming article on this issue: my timeline for publication is Tuesday September 17, 8am PST.
* Please provide me with a copy of Flickr’s cancellation and refund policies.
Regards,
Violet Blue
—
Flickr’s email was sent to me while I was trying to get through Istanbul as embassies were being emptied and I had to connect with the US State Department over its safety warnings in regard to my travel, and then got stuck in New York whilst re-entering the country under extreme security. I did not see it until yesterday.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Main post image: Anja Rubik by Paola Kudacki for Industrie #6 2013
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Le magazine Genside a tourné une vidéo pour se moquer (gentiment) de HBO, dont les séries télévisées sont réputées pour leurs scènes chaudes. Disponible sur le câble sur abonnement, la chaîne américaine n’a pas les mêmes contraintes que les grands « networks », sur lesquels on ne verra jamais le moindre téton, censure oblige.
J’ai lu avec attention le billet de Renée Greusard publié sur Rue89 et titré « Le pharmacien fait de la prévention quand il vend un test de grossesse. Vraiment ? », revenant sur le projet d’autoriser les grandes surfaces à commercialiser ces produits.
Je suis d’accord sur le fait que tout ce qui peut faciliter l’accès des femmes à une meilleure maîtrise de leur fertilité est bon à prendre. Et, en tant que femme de 29 ans, je ne peux que m’associer à votre vision des choses.
Terrifiées au point de venir le jour du rapportJe suis professionnellement au contact de femmes bien plus...
While I’ve always been a bit frustrated with Brooklyn-based porn photographer Ellen Stagg‘s technical implementations and marketing approaches, I’ve nonetheless remained a huge fan of her work since as far back as 2010. Stagg has a talent like no other, and her photosets of fetish models, porn performers and erotic models of all kinds are among the sexiest and smartest in the genre. If you doubt me, or just want to ogle superhot women photographed by a skilled pro, check out Stagg’s blog and her art website (she has a Tumblr too, but it’s censored, and you can find the uncensored versions of many of the same photos on her blog).
Ms. Stagg also has a paysite, and while I’ve never seen the inside, I’m guessing it’s got the gorgeous women in her photos in more detail, and probably going much further with their erotic displays than the blog teasers that Stagg provides. In all, the models that Stagg features in her work represent the exact kind of diverse sexiness I desperately wish I could find more of in porn and erotica – and that’s saying a lot.
But, here’s the point of this post: Ellen Stagg has announced she’s doing pre-sales on a 2014 cosplay calendar she shot with burlesque troupe, Wasabassco. The calendar’s release date is Friday, Oct 4th, though try as I might, I can’t find a single photo from the calendar to show you what the contents might be like – I have no clear idea what’s in this thing, if it’s softcore-only, if it’s worth buying for cosplay fans, etc.
Update 9/14: Ellen Stagg commented on this post and left a link to this video, which reveals some pretty sexy stuff for the cosplay calendar! Yay! Check it out:
[/update]
So I was hard pressed to do a post about it with no content to show you – until I caught something over on Stagg’s Facebook page. The first 100 pre-sales for The Wasabassco 2014 Cosplay Calendar get a free 6-month membership to her paysite StaggStreet.com. The calendar is $25; if you joined StaggStreet at the $38.00/90 days deal, six months would cost $76. I’d probably contact Stagg before you buy a calendar though, just to make sure you’re within the first 100 pre-sales.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.J’avais 14 ans. C’était tard le soir, trop tard pour une ado qui allait au collège le lendemain. J’écoutais le Doc et Difool en cachette sous ma couette, avec mon Walkman, un objet que ne connaissent probablement plus les enfants d’aujourd’hui.
« Lovin’ Fun », c’était de la libre antenne. Trash. Les auditeurs racontaient tout de leur vie. Par le menu. Parfois, on appelait une copine trompée pour la récupérer ou les parents, pour résoudre un conflit.
Il était surtout question de sexe. L’inconnu. Je me souviens d’un garçon qui avait raconté un cunnilingus. Il avait découvert, trop...
Depuis le 6 septembre, le moratoire empêche l’industrie porno et ses employés de travailler sur leurs chaînes de production. Chômage technique. Hier, Mark Schechter s’est exprimé sur le cas de la troisième personne infectée par le virus. Pour faire le point, il y a eu Cameron Bay, première à déclarer avoir été contaminée. Ensuite Rod Daily a annoncé sa séropositivé sur Twitter. Lui, est directement relié à Bay. Il reste ces deux nouveaux cas de performeurs à propos desquels l’anonymat est respecté. Ce serait une femme et un homme.
Marck Schechter est le patron de l’agence Adult Talent Managers (ATMLA) qui représente, entre autres, Cameron Bay. Il parle au nom de la 3e actrice, celle dont le cas a déclenché l’arrêt des tournages. Il ne s’agirait pas forcément d’une actrice sous contrat avec lui. De toute façon, sa volonté de rester dans l’ombre doit être respectée, comme a insisté Schechter dans son communiqué. Il rassure aussi le milieu en précisant que la contamination n’a pas eu lieu sur un plateau de tournage. Chaque partenaire professionnel et privé de première génération (directement en contact avec l’actrice) a été contacté et informé de son exposition possible au virus.
La Free Speech Coalition cherche à savoir si les deux nouveaux cas ont un lien avec Bay et Daily. Ces investigations et le retour des analyses des partenaires amènent à la fin de la semaine prochaine l’éventuelle levée du moratoire.
En attendant, le milieu du porn patiente comme il peut. Pour remplir le frigo, certaines actrices font des solos devant la caméra. D’autres vont à Disneyland. Et certaines partent, pépèrement, un test négatif dans la poche, tourner à Mexico. D’ailleurs, le site people Radar Online rapporte que les productions continueraient à tourner en lousdé. Information à prendre avec des pincettes. Par ailleurs, ATMLA lance une collecte de dons pour payer les frais médicaux de Cameron Bay, premier cas de cette série d’infection. Il faudrait 25 000 dollars pour couvrir son traitement. À quand une mutuelle professionnelle pour les gens du X ?
Le système PASS, qui s’assure de la santé des performeurs X, résiste malgré tout à cette épreuve. Aucune contamination sur les tournages n’a été détectée, c’est positif pour l’industrie et pour contrer les attaques qui veulent imposer le port du préservatif. Acworth, le boss de Kink.com le dit, l’obligation encouragerait le développement de productions underground bien moins contrôlées. Le danger réside là aussi.
Le Tag Parfait est un petit navire qui navigue dans les eaux françaises mais qui se prépare à traverser l’Atlantique. En tant que capitaine, j’aime que le pont soit bien lustré et que mon équipage soit paré en cas de gros temps. Cette traversée est ambitieuse, il faut que tout le monde soit à son poste avant de hisser la grande voile et mettre le cap à l’ouest. En face, des fruits inconnus et des amazones nous attendent.
Nous recherchons donc un(e) stagiaire pour de la rédaction et de la communication, disponible à partir d’octobre pour une durée de trois mois. Le profil recherché est le suivant :
- Qualités rédactionnelles
- Très bon niveau d’anglais (être bilingue est un plus)
- Grammar nazi
- Maîtrise des réseaux sociaux
- Connaissance du milieu porno
- Motivation sans faille
- Autonome
- Sens de l’humour
- Ne pas être en clash avec un membre de l’équipe (essentiellement Saint-Sernin en fait)
- Aimer faire ripaille
Stage conventionné à temps plein sur Paris. D’octobre à décembre inclus. Indemnités : 550 € / mois.
Merci de nous adresser CV et lettre de motivation à letagparfait@gmail.com. Blagues lourdes et tentatives de corruption, s’abstenir.
Entendu ce mercredi matin sur France Info, un reportage sur l’arrivée possible des tests de grossesses dans les supermarchés.
Je me dis « oh, super », ce sera plus simple. Sur ce, une membre du Planning familial dit dans le micro, avec des mots plus développés, ce que je pensais.
Tout ce qui peut aider les femmes à avoir accès plus facilement à une maitrise de leur corps et de leurs grossesses est bon à prendre.
A l’origine de cette possible évolution, un amendement présenté dans le cadre du projet de loi Consommation que Benoît Hamon devrait valider par « un avis favorable ».
Elle...
BehindKink.com, le blog de Kink, ouvre à nouveau. Le site qui montre et parle des coulisses du studio BDSM bien connu s’est refait une beauté. Mais surtout, Mickey Mod (le chouchou d’0dd) a pris les rênes et dirige la ligne éditoriale.
Mickey Mod est un acteur maison. Il compte apporter à BehindKink, une vision plus en phase avec les performeurs. Pour cela, les vidéos et reportages sont mis à l’honneur. La nouvelle version du site tient toujours à informer sur ce qui se passe à l’intérieur de l’emblématique Armory Building. Kink a aussi pour mission, selon Mod, de démystifier le BDSM et son univers.
Le BDSM expliqué aux adultes
Kink fonctionne à plein régime (sauf durant les moratoires évidemment). Ils ont tout un tas de séries et différents sites thématiques. Entre les trans qui séduisent, les machines qui te baisent, les humiliations en public, les combats de lutte féminine, les électrocutions et les jets d’eau, ça fait énormément d’infos à traiter et de pratiques à expliquer.
Les premières vidéos à la sauce Mickey Mod sont en ligne. On trouve le témoignage d’un couple d’acteurs SM, l’interview d’un nouveau réalisateur de la partie gay du site, les coulisses d’une scène de bondage, etc. Le format est plutôt court, parfait pour faire une petite pause au boulot en mangeant un Kinder Bueno.
And now for something different… Boxcover sneak peek of Girl/Boy! @DanaVespoli @ManuelFerrara @EvilAngelVideo pic.twitter.com/Oijx1eMaQI
— Jiz Lee (@jizlee) September 9, 2013
Olivier Ghis, le sémillant rédacteur en chef du Journal du Hard, a réalisé le documentaire À poil mais stylé qui tisse les liens entre porno, mode, luxe, accessoires et esthétique du corps. Est-ce que le porno inspire les tendances ou les tendances inspirent le porno ? Comment des industries a priori différentes arrivent à flirter ensemble ? C’est à ces questions qu’Olivier répond à travers un conséquent travail d’archives et d’entretiens avec entre autres Fred Coppula, Ovidie, Tristan Arnoud, Francis Mishkind, Liza Del Sierra, Axel Braun ou bien moi-même (y’a aussi Jizzou pour ses fans).
Diffusé une première fois samedi dernier à 23h00 (on a complètement oublié de vous l’annoncer, désolé), il revient le lundi 16 septembre à 2h00 sur CANAL+ (en crypté), mais vous pouvez aussi le regarder sur « CANAL+ à la demande » ou bien par des voies moins conventionnelles qui commencent par « tor » et finissent en « rent ». Enfin, pour lire du Olivier Ghis malheureusement sans sa voix si singulière, allez lire cette interview publiée sur Toute la Télé.
Le 26 novembre sort le film le plus « pété » de l’année. Michael B. Skow a l’esprit bien tordu et il a imaginé un nouveau tag : Siamoises. Misha Brooks et Rilynn Rae interprètent ce couple inhabituel de sœurs rattachées l’une à l’autre par les hanches. Comme la boite de production est Girlfriends Films, les siamoises sont lesbiennes. Mais pas question d’inceste. Un tabou levé à la fois. Donc, ne comptez pas sur des contacts sexuels entre les héroïnes de « Conjoined ».
Le porno, c’est aussi fait pour aller trop loin : un exutoire pour nos fantasmes inavouables. Nous laissons à d’autres le soin de mettre en scène les pratiques sexuelles, les situations difficilement réalisables dans la vraie vie. Et d’ailleurs voudrions-nous réellement participer à un bukkake ou nous taper une shemale ?
Siamoises, mon œil !
Skow l’a bien compris et cette vision du porno l’entraîne à produire des films souvent à la limite, choquants. Il y a ce film, toujours pour Girlfriends Films, nommé Daddy’s Girls. Mais le titre ne suffit pas, la question de l’inceste n’est pas la seule à être traitée ; le handicap, la maladie, le viol le sont aussi. Bref c’est zinzin. Mais c’est une voie du porno, celle de transgresser les règles.
Au fond, la démarche de Skow est celle d’un artiste qui repousse plus loin les interdits de la société et qui fouille les désirs secrets de ses contemporains. Si vous rajoutez une touche de frères Farelly pour le côté décalé, les festivals de films indépendants américains pourraient sélectionner « Conjoined ». Du porno en compétition à Sundance, la révolution serait en marche.
Michael B. Skow lui-même
Quelle sexualité ont les siamois ? Que ressentent-ils ? Quand l’un jouit, l’autre le ressent-il ? Voilà ce que notre esprit peut produire lorsqu’un reportage sur des siamois passe sur NRJ12. Skow en a fait un scénario. Dans l’entretien avec le HuffPost, le réalisateur promet qu’il ne s’agit pas d’une pantalonnade montrant des monstres de cirque. Les actrices confirment en précisant que le film est touchant, car il laisse la place aux personnages de développer des sentiments.
Nous attendons, donc, le 26 novembre pour découvrir cette nouvelle règle 34 de Michael B. Skow et nous faire notre propre avis. D’ailleurs, si vous avez des idées de tags dans le style, n’hésitez pas ! Nous transmettrons.
Comme nous l’expliquait Saint-Sernin mardi 4 septembre Rob Daily acteur porn gay annonçait via son Twitter qu’il était infecté par le VIH suite à une relation avec Cameron Bay hors plateau de tournage. Cameron Bay comme expliqué dans l’article cité plus haut, a annoncé fin août qu’elle avait contracté le virus du SIDA, une bombe dans l’univers du porno qui n’avait pas connu de vrai cas de contamination du VIH depuis 2010.
Une nouvelle secousse vient remuer l’univers du porno le vendredi 6 septembre, en effet Joanne Capachero, directrice de la Free Speech Coalition (association qui chapeaute l’industrie du X aux Etats Unis), annonce un nouveau cas d’acteur ayant contracté le virus du SIDA. Soit la troisième infection en trois semaines. A ce jour, ni le genre, ni le nom, ni le lieu de vie de l’acteur n’est révélé : « Pour le moment nous n’avons pas de preuves pour déterminer si c’est une transmission sur un tournage ou hors plateaux, nous prenons toutes les mesures possibles pour déterminer la source et protéger les performeurs » a déclaré la Free Speech Coalition. L’association appelle a un nouveau moratoire (suspension des tournages) afin d’enrayer l’infection.
Ces trois dernières nouvelles donnent du grain à moudre aux défenseurs de la Measure B, qui rend obligatoire le port du préservatif sur les tournages de films X. Michael Weinstein pro-Measure B et directeur président de l’AIDS Healthcare Foundation revient sur le devant de la scène en s’exprimant sur les dernières infections, indiquant qu’un acteur porn l’aurait contacté et qu’il pense qu’il est la quatrième personne en lien avec les tests positifs des derniers jours.
Et aujourd’hui même, nous avons la confirmation de ce quatrième cas, Michael Weinstein ne donnera pas d’information quant à cette quatrième identité néanmoins nous savons que c’est un acteur et non une actrice. C’est donc la quatrième personne en trois semaines ; le ciel s’assombrit sur la Porn Valley.
Une source neutre à propos de la Measure B : ici
Stoya qui s’exprime à ce sujet là
Qu’est-ce qui fait encore bander les bandits ? De la sextape à la webcam, de Reddit à Snapchat, la réalité tend à devenir le tag numéro un dans le coeur des fappeurs. Après des années à tourner autour du concept de gonzo dé-contextualisé (comprendre : une fille, un canapé et un mec lambda déjà au garde-à-vous sorti de nulle part), on arrive progressivement à ce flou artistique entre le porn pro et l’amat, le tout sans montage absurde. De quoi faire plaisir à notre libido solitaire.
A ce petit jeu, Manuel Ferrara est passé maitre depuis longtemps dans l’art de tenir la caméra avec sa série Raw, mais il va devoir maintenant compter sur un adversaire de taille et au sein du même studio. En effet, James Deen n’a toujours pas délaissé le porn pour Hollywood et lance sa série Sex Tapes: off set sex chez Evil Angel.
Joue-la comme Manuel Ferrara
Les filles présentes sont loin d’être des débutantes (Katie St. Ives, Riley Manson, Marie Luv ou Tatiana Kush) mais c’est promis, on va pouvoir y croire et ne pas bailler devant des performances ennuyeuses. En tout cas, c’est ce que nous laisse croire le teaser qui va suivre. Reste maintenant à s’accorder sur le terme de sextape qui ne veut plus dire grande chose, entre celles produites façon Vivid, les vraies qui leak, celles qu’on autorise pour se faire de la pub et enfin celles de votre ex qui déboulent sur les tubes quand vous cherchez (enfin) un peu d’intimité.
Depuis quelques jours, les médias glosaient sur la mort d’une ex-compagne du dictateur de Corée du Nord : Kim Jong-un. La chanteuse, Hyon Song-wol, aurait été exécutée, avec quelques camarades musiciens, pour avoir tourné une sextape.
OK. T’imagines vraiment que les filles en Corée du Nord sont des Paris Hilton en puissance ? Tu penses vraiment que, dans ce pays où tout est produit sur place, on trouve dans le Darty du coin des caméras portables capables d’enregistrer des ébats dans la chambre à coucher ? Dans mon esprit, la jeunesse nord-coréenne ne doit avoir qu’une seule passion : se filmer en train de baiser ou faire des selfies.
Le défilé des actrices porno en Corée du Nord
À la limite, les journalistes m’auraient vendu des photos déshabillées ou nues. D’accord, c’était possible. Mais un film, une vidéo porno dans un coin où le contrôle des vies est total. Allons, restons sérieux ! La pornographie existe sûrement en Corée du Nord, mais dans quelle mesure ? Le deepthroat est-il en vogue comme ici ? Le squirt a-t-il fait son apparition ? Je parie tout de même que le tabou du prolaspe continuera à persister.
Hyon Song-Wol a été condamnée et fusillée avec onze membres de son groupe. Ce qui implique, minimum, une orgie romaine. Non, ça ne pouvait pas être ce que les journalistes ont rapidement appelé sextape pour faire grimper leur rank sur Google.
L’objet du délit est disponible sur le Net. 7sur7, source de tous les buzz, relaie la vidéo (est-ce la bonne vidéo ? Invérifiable). Au Tag, on la diffuse aussi pour montrer l’absurdité d’un pays qui n’est pas seulement une usine à lol pour internet mais surtout le pays le moins démocratique du monde.
Si seulement, il s’agissait d’un véritable acte rebelle : la pornographie contre la dictature… Mais les membres de Unhasu Orchestra ont été tués pour une danse où la chanteuse prouve qu’elle a d’autres atouts que la voix. Elle fait preuve de souplesse en tenue légère avec deux camarades, c’est tout. Une vidéo choquante sous la présidence de René Coty et encore.
Belle amitié
Le dictateur en herbe prend de l’assurance et exécute pour des motifs contre lesquels l’Occident ne peut que se révolter. Mais vous ne m’ôterez pas de l’idée qu’il y a autre chose de cacher sous cette histoire. Cependant, à son prochain voyage chez Kim Jong-un, je suggère à Dennis Rodman (il revient tout juste de Corée du Nord) d’amener Kim Kardashian pour prouver à son nouvel ami qu’il n’y a rien de grave à s’exhiber en vidéo. Bien au contraire.
En théorie, les Français se fichent pas mal de savoir pour qui vote leur compagnon ou compagne. Selon un sondage [PDF] réalisé par Opinion Way pour Meetic au printemps 2012, 75% des répondants ne seraient pas gênés de sortir avec quelqu’un dont les opinions politiques sont contraires. Lorsqu’il s’agit de leur concubin, ils sont 65%.
Mais dans la pratique, malgré ce non sectarisme affiché, les couples sont plutôt politiquement homogènes. Selon le même sondage, plus de 56% des partisans UMP ou PS votent dans le même camp que leur compagnon.
Et si c’était la faute des sites...Le studio de production pornographique Elegant Angel serait à vendre. Des rumeurs courent entre deux scènes d’anal et un gang bang. Le porno, c’est du business, on le constate avec Manwin et son empire. Il faut donc parler un peu économie de temps en temps. Patrick Collins est le patron d’Elegant Angel. En ce moment, il divorce. La vente ne pourra avoir lieu que lorsque le patrimoine de chaque époux sera réparti par le juge.
Elegant Angel a été fondé par Patrick Collins et le célèbre John « Buttman » Stagliano (mentor de Rocco) en 1990. Spécialiste du gonzo, le studio offre aux fappeurs des vidéos de qualité avec les acteurs et actrices les plus renommés. John Stagliano est le propriétaire et fondateur d’Evil Angel, l’autre référence gonzoïde sur le marché. Au départ, Elegant n’était qu’une nouvelle division de la compagnie angélique. Mais Collins prend de la distance et en 1998, le studio n’a plus aucun lien avec la maison mère. Collins et Stagliano s’échangent à cette occasion des mots pas très doux.
Patrick Collins prend la pose
Les deux studios deviennent les fleurons du porno US, hardcore mais de qualité. Elegant Angel est notamment connu pour sa série Big Wet Asses et leurs introductions raffinées. Mais aussi, les productions mettant en vedette une porn star et son atout majeur dans la profession : Brianna Love is Buttwoman, Kristina Rose is Slutwoman et le mash-up, Buttwoman Vs. Slutwoman. Ils ont également révolutionné le graphisme des pochettes de DVD, avec des codes plus épurés et plus élégants. Logique. Elegant Angel propose, à l’occasion, des films scénarisés comme Wasteland.
En mars dernier, William H., réa maison depuis plus de 14 ans décide de se casser de la baraque pour rejoindre la concurrence et le multi-millionaire pornocrate Jules Jordan. Coup dur pour le studio qui perd donc un de ses fers de lance et aussi pour notre pomme car on était en train de l’interviewer et il n’a plus donné signé de vie.
Revenons à la vente du studio. Plutôt en forme financièrement, Elegant Angel est sous la tutelle de Jim et Wendy Crawford. Le couple, déjà dans le business, est propriétaire de SoCal Licensing et d’Adult Source Media qui commercialise des hentai et d’autres films pornos. A priori, les Crawford devraient se rendre acquéreurs d’Elegant Angel. Mais les infos ne filtrent pas si facilement et le montant de la transaction n’est pas connu, tout comme les investisseurs éventuellement intéressés.
Après toutes ces nouvelles économiques pas très glamours, rendons hommage à l’un des grands bienfaits que l’on doit aux artisans du studio : Remy Lacroix qui fait du hula hoop.
Présenté hors compétition à la 70e Mostra de Venise, le documentaire « Ukraina ne bordel » (« L’Ukraine n’est pas un bordel ») parle de la « vraie histoire » des Femen.
Nous savions déjà que les blondes néo-féministes (auxquelles s’ajoutent toujours quelques autres femmes moins captées par les médias) étaient de Kiev et se réfugiaient dans les pays de l’Union européenne. Surtout en France.
Nous savions déjà que leurs performances étaient très formatées. Elles prévoient l’arrivée des méchants, c’est-à-dire des policiers, qui les traînent sur le pavé comme si elles étaient...
J’étais tranquille, j’étais peinard, à traîner sur Twitter, quand une phrase m’a tirée de ma torpeur. True Blood s’arrête en 2014. J’ai accueilli la nouvelle avec une immense tristesse. Puis je me suis rappelé que les vampires je m’en fichais un peu et que depuis quelque temps, la série avait largement baissé en qualité. Alors pourquoi ces larmes ?
Parce que : le sexe.
Tout le monde y avait peut-être pensé, mais personnellement, je l’ai réalisé hier en lisant une série d’articles reprenant la mauvaise nouvelle. Dans l’un d’eux, ces mots : « (…) True Blood, cette cassette porno longue durée à l’intrigue excessivement compliquée ».
Et c’est vrai, True Blood est une série qui, comme toutes les autres, utilise des prétextes bidon pour montrer de la chair : pas un épisode sans au moins une scène de sexe. Mais ici pas de fourrage de jupons à la Mad Men, uniquement du soft porn très explicite.
Le générique plonge dans l’ambiance d’entrée de jeu. On ressent la chaleur et la moiteur de la Louisiane jusque dans sa culotte. C’est absolument sexy, collant et dérangeant. Comme une vidéo sur un tube trouvée au moyen de tags étranges et qu’on n’ose pas regarder.
Puis on rencontre Sookie, jeune blonde vierge ET effarouchée qui se fait draguer par tout le monde, et on passe 6 épisodes à se demander quand est-ce qu’elle va enfin se faire déflorer. Et quand ça arrive, c’est doux, c’est chaud, c’est sexy, même quand Bill sort les crocs et boit son sang. Heureusement, on n’a pas besoin d’attendre après Sookie pour voir du sexe. Le premier orgasme retentit à la douzième minute. S’ensuit un enchaînement d’accouplements en tous genres. On voit des pipes, des levrettes, des plans à trois. Et des choses un peu bizarres, un peu sales. Le plus grand mérite de True Blood finalement, c’est d’avoir réussi à tout rendre excitant : la mort, le sang, les animaux ; et à toujours pousser le bouchon un peu plus loin sans que personne ne bronche.
Ainsi, Éric le vampire beau gosse a tout essayé. Le sexe avec une humaine attachée sur une croix de Saint André, puis il se tape l’héroïne, puis il baise sa sœur, et enfin il roule des pelles à un monsieur vampire. Plus besoin de fanfiction où on s’imagine que le héros est flexible : il l’est.
La vraie (seule ?) différence avec un porno, c’est le mélange des genres. Dans True Blood, on ne choisit pas son tag, on les prend tous dans la face. Orgy, Interracial, Kissing, Gay, Teen, Muscle, Ebony, Milf… Tout ce qui existe sur les tubes, True Blood vous l’offre sur un plateau (mais pas en argent, ça tue les vampires).
Les fabricants de porn ne s’y sont pas trompés, True Blood excite. Pour les plus pressés, deux parodies vous aideront à satisfaire les frustrations causées par 6 saisons de True Blood. La mienne ? Le rêve avorté de #threesome avec Sookie, Éric et Bill (S04E09). J’en pleure encore.
Pour plus de vampire porn :
True booty, avec la délicieuse Faye Reagan, qu’on ne présente plus. L’orgie se passe dans une réplique du bar vampire Fangtasia. Cuir, latex, résille à tout va. On regrette juste qu’ils ne gardent pas les fausses dents plus longtemps.
Tru : a XXX parody, avec le charmant James Deen, reprend assez bien les codes de la série. On remarquera quand même qu’ils n’ont pas hésité à tuer Lafayette, probablement pour ne pas avoir à inclure de scène gay dans un porno classique.
Italy-based Marco Michieletto states in his bio that he’s not a photographer, but instead tells us “I just enjoy taking pictures.” However Michieletto prefers us to label him suits us just fine, because his talent at capturing moments of erotic beauty in photos that truly know how to perform artful acts of visual storytelling in short bursts certainly puts him in a category all his own. GQ Italy certainly agrees. He has a lot of sexy pictorals at C-Heads. His online Cargo Collective portfolio isn’t extensive, but it’s well worth investigating, and hopefully that means we’ll be watching it and his Tumblr fill out as the years go by.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.« Si seulement vous saviez combien de femmes rêvent de se faire démonter par un inconnu au chibre géant. »
Assez rapidement dans cet article, le ton était donné. Probablement parce qu’il a déclenché une polémique reprise par beaucoup de médias, il a entre-temps été supprimé.
Quand on clique sur « Comment bien baiser ? Les secrets du sexe “hard” », on tombe maintenant sur un article intitulé « Comment faire l’amour » dont le contenu n’a rien à voir avec le texte qui a choqué. L’article est cependant hébergé au format PDF sur un blog féministe.
Ces « conseils » (supprimés, donc)...
This is one of those posts where the subject isn’t sex or pornography, and so doesn’t follow the rules here per se. Yet I think you’ll agree that En Puntas (2013) by artist Javier Pérez is erotic for a few good reasons – especially if you’re inclined toward any of the fetishes the video mines for erotic tension.
The video was sent by a friend; I found some in-depth information about the piece by Pérez along with great photos of dancer Amélie Ségarra and the incredible ‘(knife) point’ shoes here.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.La dernière Die Nacht en juillet dernier nous avait emmené à Noisiel à la Ferme du Buisson plus précisément, où 3 000 personnes flottant dans l’air comme autant de ballons gonflés à l’hélium dansaient sur du Jennifer Cardini, Shonky ou Le Loup. C’était drôlement bien, il faisait plusieurs millions de degrés et beaucoup ont perdu leur dignité ce soir-là.
La dernière soirée de l’année se déroulera le vendredi 20 septembre dans un autre lieu ambitieux : un aéroport parisien. Vous y retrouverez Âme (Innervsions), Troy Pierce VS Tomas More (Items & Things), Patrice Baumel (Trouw) et Olibusta (Get the Curse) dans le hall de l’aéroport entouré de deux Concordes. Et vous pourrez vous déplacer sur le tarmac ou dans l’allée centrale qui fera office de « food-alley » où seront installés plusieurs food trucks.
Les préventes – disponibles ici – sont obligatoires et le lieu (accessible en RER ou via des navettes gratuites depuis Paris) sera dévoilé la veille. Mais comme on est des gens sympas, on vous fait gagner 2×2 places.
Il vous suffit pour ça de nous envoyer un mail et de croiser les doigts. Le concours s’arrête le mardi 17 septembre.
Dans la forêt des mot-clés les plus tapés dans Google, la sextape est l’un des plus grands séquoias, dépassant de plusieurs branches ses confrères les Pinaceae. Quant au royaume de la titraille qui déclenche des torrents de clics, elle est également placée dans le trio de tête de ce qui fait le plus péter un câble l’internaute. On a déjà fait l’essai au Tag en titrant faussement « la sextape de Selena Gomez« , on vous a regardé vous ruer tels des loups affamés espérant découvrir ce que l’univers entier aimerait avoir entre ses mains : l’intimité de la star.
Il y a fort à parier que vous avez également cliqué sur ce titre avec l’espoir de trouver Alyssa Milano nue, suçant autre chose que des glaçons. Ça vous rappelait les débuts de l’ADSL, ces vidéos prometteuses de célébrités nues. Entre temps le monde a évolué. Marre d’attendre des sextapes qui ne viennent pas, le peuple, fappeur et fier, s’amuse à rendre hommage à ses stars.
Alyssa Milano a donc tourné pour Funny or Die une fausse sextape inspirée des plus grandes œuvres de Paris Hilton pour que vous cliquiez dessus et soyez informé de l’actualité géopolitique. Le sujet est grave, le conflit en Syrie inquiète, plus de 100 000 morts, un peuple gazé, des relents de guerre froide avec une Russie protectrice et arrogante, des pays occidentaux qui peinent à prendre une voie diplomatique et un Bachar El-Assad qui fanfaronne et propose sans stresser une petite 3e Guerre mondiale à qui viendra arrêter son massacre.
Etait-il nécessaire de tourner une fausse sextape pour alerter l’opinion sur la Syrie ? Si la démarche est louable, on sait aussi comment se comporte l’internaute quand il se fait rick-roller, il quitte la page et passe à autre chose. Publiée le 3 septembre, la vidéo tape déjà les 1,3 millions de vues et fait la joie de la presse en ligne trop contente de pouvoir placer un petit « sextape » pour son référencement naturel. Mais combien d’entre eux ont dépassé la première minute et le ton monacal du présentateur ? Notre petit doigt nous dit que l’audience chute de manière vertigineuse et terrifiante.
Déçu, l’internaute aura donc vite fait d’aller vers Google comme le suggère Quentin Girard, taper « Alyssa Milano sextape » et retrouver ses émois d’antan au lieu de s’inquiéter du chant des bombes.
Une bonne idée, une bonne compréhension du web pour un résultat quasi nul. Dommage.
Normal
0
21
false
false
false
FR
ZH-TW
HE
MicrosoftInternetExplorer4
DefSemiHidden="true" DefQFormat="false" DefPriority="99"
LatentStyleCount="267">
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Normal"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="heading 1"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Title"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Subtitle"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Strong"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Emphasis"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Table Grid"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="No Spacing"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="List Paragraph"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Quote"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Intense Quote"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Subtle Emphasis"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Intense Emphasis"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Subtle Reference"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Intense Reference"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Book Title"/>
Manuel Ferrara est notre acteur porno préféré. Un exemple de réussite et de bonne conduite dans le milieu du porno. On ne va pas revenir dans ces lignes sur sa carrière ; celui avec qui toutes les actrices (et les femmes ?) rêvent de coucher le fait pour nous.
Manu vient d’ouvrir son blog en ce 5 septembre 2013. Un Tumblr tout simple, modeste, comme l’homme qui le tient. Sa photo de profil nous fait craquer. On a envie de lui faire un câlin avec son petit chien. C’est injuste, déjà qu’il baise bien… Enfin bon, Manu nous écrit en anglais. Dans le premier chapitre, il parle de sa jeunesse en banlieue parisienne et de son tout premier casting.
Gniiiiiii trop mignon <333
L’écriture est simple, le témoignage sincère, l’envie de lire le prochain chapitre forte. On imagine les anecdotes croustillantes de l’époque française, les situations rocambolesques sur les tournages de Rocco, les récits étonnants de sa vie américaine… On souhaite donc la bienvenue à Manu dans le blog-jeu.
Normal
0
21
false
false
false
FR
ZH-TW
HE
MicrosoftInternetExplorer4
DefSemiHidden="true" DefQFormat="false" DefPriority="99"
LatentStyleCount="267">
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Normal"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="heading 1"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Title"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Subtitle"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Strong"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Emphasis"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Table Grid"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="No Spacing"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="List Paragraph"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Quote"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Intense Quote"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3 Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid Accent 1"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3 Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid Accent 2"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3 Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid Accent 3"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3 Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid Accent 4"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3 Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid Accent 5"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Shading Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light List Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Light Grid Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 1 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Shading 2 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 1 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium List 2 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 1 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 2 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Medium Grid 3 Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Dark List Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Shading Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful List Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" Name="Colorful Grid Accent 6"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Subtle Emphasis"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Intense Emphasis"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Subtle Reference"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Intense Reference"/>
UnhideWhenUsed="false" QFormat="true" Name="Book Title"/>
Lily Labeau (si douce) et son mec Danny Wylde (l’est-il toujours ?) se lancent sur Clip4sale. Les plateformes se multiplient pour distribuer le porn en vidéo. Les acteurs-producteurs suivent le mouvement. Voilà pourquoi la chaîne Future Sex Shock a été ouverte. Vendre en direct, facile et rapide aux fappeurs du monde entier.
Rappelez-vous, Clips4Sale est la Mecque des fétichistes comme l’écrivait Gonzo. On y trouve les niches les plus délirantes. Et surtout, les gens achètent. Ce qui amène les pornstars réputées à vendre leurs productions par ce biais, comme on fait son petit marché chez les maraichers et les artisans de St Paul de Vence.
Danny Wylde promeut sa chaîne sur Twitter avec un compte spécifique, un logo chiadé et il y a même une vidéo un peu étrange… Ambiance orgie masquée qui pourrait virer au glauque dans un petit appartement californien.
Tous ces efforts pour une simple chaîne sur Clips4Sale ? La preuve est donc faite que les supports traditionnels (VOD, DVD) ne promettent plus les perspectives financières d’antan. On peut retrouver une petite partouze en présence de notre tendre Lou Charmelle en quelques clics pour la somme de 13,99 dollars.
Pourtant, il ne faut négliger aucun marché. Parallèlement, un DVD du couple avec Lou Charmelle et Phil Hollyday à Ibiza sort sur les sites spécialisés.
Les stars du porno bossent dur pour assurer leurs revenus. Entre autopromotion sur les réseaux, production et vente aux consommateurs, il faut se lever de bonne heure pour gagner sa vie dans l’industrie. Innover, toujours innover, le mantra des porn businessmen du XXIe siècle.