34789 éléments (3251 non lus) dans 75 canaux
Un bon coup… de crayon ! Salo, le salon du dessin érotique se déroulera pour la 6ème année consécutive du 15 au 18 juin à...
The post Salon du dessin érotique : un beau Salo ! appeared first on Paris Derrière.
La vie n’est pas un long tube tranquille : tu te poses pépère devant ton ordi, le lube à portée de mains, tu crois que ça va glisser tout seul. Mais voilà, le porn c’est la vie : tu cours, tu sautes, tu tombes amoureux, parfois tu tombes tout court. Et puis tu te relèves, prêt pour le prochain round, des claques t’en veux encore. Alors, opé pour ce base jump dans les entrailles des tubes ?
– Allo poto, tu fais quoi ?
– Rien, et toi ?
– Rien. On se touche la nouille ?
– J’arrive.
Retour vers le futur avec la DeLorean du porn : coupe tecktonik, dumbphones et musique au mètre. Matt Hughes et Kai Cruz se tapent du fun entre juicy boys dans un décor tuning. Manque juste un petit piercing à l’arcade et on est bien.
Félix et Jude. On dirait les noms de personnages d’un feuilleton à l’eau de rose. Un peu de douceur twink dans ce monde de brutes épaisses donc. Bon, on est quand même pas là pour enfiler des perles : torses lisses comme la peau de Ken, mais le slip s’enlève et y a d’autres joujoux à l’intérieur. Une baise passionnée qui donne bien envie de participer.
Une loutre aux yeux bandés attend sagement sur un sling, le cul bien ouvert et le sourire aux lèvres. Un bear qu’on dirait sorti de Blade avec son pervers imper’ rapplique pour remplir le cul de notre otter déter. S’ensuit un accouplement inter-espèces véner : qui de l’ursidé percé ou du mustelidé attaché va succomber en premier ?
Ohlala le corps parfait de Luke Hudson sous nos yeux gourmands. Après s’être goulument fait dévorer le dicklit par Scott DeMarco, Luke se fait déboîter la mâchoire en cadence. Les deux compères enchaînent avec une séance de rodéo qui nous laisse apprécier l’anatomie de Luke sous toutes ces coutures. We want more!
Frank Pig, salope magnifique, subit les pires outrages de la part de Harley Everett. Speed bag humain, sounding et godage, chaînes et claques, le corps de Frank Pig n’est plus qu’un champ de baise, ouvert à toutes les dégradations possibles. Urinoir, crachoir, regard noir.
Clichy, le 31 mai 2018
Le Mouvement du Nid se félicite que le parquet de Paris ait pris la décision d'ouvrir une information judiciaire à l'encontre du site de petites annonces sur Internet Vivastreet.
Cette demande d'instruction fait suite à la plainte déposée par l'association en 2016. Le Mouvement du Nid salue la volonté du parquet de se saisir de cet enjeu.
Pour la Présidente du Mouvement du Nid, Christine Blec, « Avec la loi du 13 avril 2016, la France s'est dotée d'outils essentiels pour lutter contre le système prostitutionnel. Mais malgré cet arsenal législatif, il fallait renforcer l'action de la justice en matière de lutte contre le proxénétisme. Tirer profit de la prostitution d'autrui est condamnable partout en France. Il n'y avait aucune raison pour qu'Internet fasse exception, alors que depuis plus de dix ans, 60% de la prostitution est promue par ce biais ».
Pour Lorraine Questiaux, chargée de mission juridique, "le fait que le Parquet ouvre une information judiciaire marque un tournant et montre une volonté de faire évoluer le traitement par la justice de ces affaires. Il a fallu 18 mois après le dépôt de notre plainte pour qu'un juge soit saisi. Nous restons vigilant·e·s. La qualité de l'instruction de cette affaire sera déterminante pour la suite ».
Si l'ambition de l'Etat est la même que la nôtre - à savoir, réduire le nombre de victimes de la prostitution -, cela passe nécessairement par la lutte contre le proxénétisme sur internet. L'offre de prostitution en ligne n'a cessé d'augmenter ces dix dernières années. En 2015, notre enquête Proscost dévoilait ainsi que 62% de la prostitution serait désormais « promue » par le biais d'Internet.
Aujourd'hui, de nombreux sites Internet font non seulement office d'intermédiaires entre les personnes prostituées et les acheteurs de sexe, mais en tirent en plus des profits considérables.
Chaque semaine, des articles de presse font état de condamnations de proxénètes, y compris sur mineur.e.s, qui ont utilisé des sites d'annonce pour promouvoir la prostitution des personnes qu'ils exploitaient. Dans toutes ces affaires, les sites Internet ont non seulement favorisé cette exploitation, et son ampleur grâce au public qu'ils touchent, mais ont aussi eux-mêmes tiré un profit financier direct de cette exploitation.
Plusieurs enquêtes journalistiques ont ainsi montré que le site Internet Vivastreet :
• Consacrait sa rubrique payante Erotica (dont le nom a changé depuis) à des offres de prostitution (France Inter et Le Monde). Cette rubrique comporte 7000 annonces.
• Tirait « entre 11 et 21 millions d'euros de profit annuel » de cette même rubrique, ce qui la plaçait au cœur de son « modèle économique » (Le Monde).
Dans un pays abolitionniste, il était impensable qu'un site tirant profit de la prostitution reste dans l'impunité. Cela va dans le sens de l'histoire. Aux Etats-Unis, le site Backpage a été fermé par le FBI en mars dernier pour les mêmes raisons, et une loi a été votée (la loi « SESTA-FOSTA »), permettant aux victimes de trafic sexuel via des sites de petites annonces de se retourner contre les sites. La semaine dernière, le parlement anglais a aussi publié les conclusions d'un rapport d'enquête sur le proxénétisme en ligne qui a pointé la responsabilité de Vivastreet.
Le code pénal (article 225-6) qualifie de proxénétisme « le fait, par quiconque, de quelque manière que ce soit : • De faire office d'intermédiaire entre deux personnes dont l'une se livre à la prostitution et l'autre exploite ou rémunère la prostitution d'autrui • De tirer profit de la prostitution d'autrui, d'en partager les produits ou de recevoir des subsides d'une personne se livrant habituellement à la prostitution ».
Par ailleurs (article 225-7), « l'utilisation, pour la diffusion de messages à destination d'un public non déterminé, d'un réseau de communication électronique » est reconnue comme une circonstance aggravante du proxénétisme.
RDV dimanche 3 juin à partir de 14h30 sur la Place de Trocadéro pour soutenir la lutte des argentines pour le droit à l'avortement.
Le 13 juin prochain sera un jour historique en Argentine, puisque les député.e.s devraient enfin voter pour ou contre le projet de légalisation de l'avortement, présenté par la Campagne nationale pour le droit à l'avortement légal, sans risque et gratuit, fondée il y a 13 ans.
Rone est cet artiste qui opère sur la scène électronique française. On reconnaît le style Rone à quelques particularités, pistes instrumentales et mélodiques, qui monte en puissance et en rythme. Des titres évaporés et brumeux, angoissés parfois, il nous offre Wave dans la continuité, du chill à l’excellence avec ce nouveau titre.
Mais c’est le clip qui nous intéresse le plus. Réalisé par Greg Brath, qui a pour habitude de faire des projets de design à l’esthétique minimale, le clip est clairement beau.
Il évoque un éveil, d’une femme jouée par la comédienne Naomi Weijand, Dans une beauté simple et lisse. Les regards se croisent au fond d’une pièce dépouillée, sur un lit un homme en sous-vêtements, le danseur Callum Sterling, attend et invite sa partenaire à avancer. Alors commence un deuxième éveil, celui des sens et de la sensualité. Tout se passe dans un élan de découverte. Une étrangeté apparaît, un avatar en image de synthèse, comme un public devant cette scène charnelle. Puis d’autres avatars… Quand les corps commencent à s’emmêler, ils se mêlent, comme un affichage qui bug, les corps réels deviennent virtuels.
Et puis après l’éveil vient le réveil. Une femme plus âgée assise sur un tapis, équipée d’une combinaison connectée à une application “Second Love” saisit sa tablette et note son partenaire virtuel, le paie.
Il y a une réflexion sur l’industrie du sexe : la réalité virtuelle, le sexe connecté, les travailleur·ses du sexe… Le clip nous laisse un goût doux-amer, cette sensualité virtuelle aussi douce qu’étrange, et ce retour brutal au réel. On sait que toutes les nouvelles technologies sont appliquées au sexe, à l’érotisme et au porno, des lunettes stéréoscopique à la réalité virtuelle, en passant évidemment par le cinéma, la 3D et Internet. Alors pourquoi pas une technologie du sensoriel ?
Looks like @instagram has the reinstated #woman hashtag – but #sexworkersrights #sexworkiswork #stripper #femalestripper (but not #malestripper) etc are still banned. https://t.co/MtTuG3mnEK
— Jiz Lee (@jizlee) May 29, 2018
Find this post interesting? Support its creation on my Patreon page.
Much gratitude to our thoughtful sponsor, Nubile Films.
Because my mobility devices and my disability don’t negate my sexuality as a force of nature. #EhlersDanlosStrong ✊✊✊ pic.twitter.com/36ExHwTI1Q
— Jane Way (@janewayxyz) April 28, 2018
Photos by Ginka’s Erotic via Design You Trust.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.The post Sex News: International Whore’s Day, PornHub’s VPN, the cocky trademark mess, Instagram censorship, Hand Solo appeared first on Violet Blue ® | Open Source Sex.