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Content copyright © 2015 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Et oui Nnotre gros bébé ne fait pas ses nuits … il n’arrive pas à tenir jusqu’au matin … il a besoin de faire pipi très souvent conclusion mon Maitre doit le sortir à minuit, à 4h et à 8h en plus des sorties la journée. Autant vous dire que je suis sur les rotules. je dors pas assez, je suis irritable, je grogne, je suis jalouse en plus. Indiana est là depuis deux semaines et je commence à fatiguer. je l’aime pas de soucis mais je fatigue à cause de mes nuits qui sont entrecoupées. Certe ce n’est pas moi qui le promène mais quand il réclame à sortir mais cela me réveille aussi. Et quand I/ils reviennent cela me réveille aussi. il, Indiana, demande beaucoup d’attention. Dès que Monsieur s’occupe de moi il demande à ce que l’on s’occupe de lui aussi. Il va falloir mettre ma vie de petgirl de côté pendant un certain temps. je ne sais pas encore combien de temps mais il va falloir un temps d’adaptation. Etant donné que je vais être amené à le promener quand Monsieur n’est pas là si je veut qu’Indiana m’obéisse il ne doit pas me considerer comme son égal tout de suite. Donc je vais devoir vivre sur deux pattes. Ensuite il ne doit pas me considérer comme son égal car pour lui je ne serai qu’une femme donc il risque de vouloir s’accoupler et ce n’est pas possible non plus. Si je veux avoir de l’autorité sur Lui quand Monsieur n’est pas là, je dois pouvoir me faire obéir.
Intimacy.
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Picture by Harley Weir
Vu sur Donjon, Tour Sud
J’ai évoqué la sortie des deux recueils Donjon ici, et plus particulièrement de mon propre texte, Naissance d’une Domina, dans la tour Sud. Je viens à présent de terminer la lecture de cette Tour Sud. C’est à nouveau (comme pour ma récente lecture du collectif Osez 20 histoires de sexe à plusieurs) un avis mitigé […]
Cet article provient de Littérature érotique
Après 16 mois de travail qui n'auront servi au final qu'à revenir au statu quo, le Sénat vient de rendre son verdict en rétablissant le délit de racolage et rejetant la pénalisation des clients de la prostitution.
Nous dénonçons avec la plus grande vigueur un vote qui ne peut être qualifié autrement que de machiste et réactionnaire, a déclaré Grégoire Théry, secrétaire général du Mouvement du Nid, à la sortie du vote. Le Sénat a choisi de protéger l'impunité complète des "clients" et préfère encore pénaliser les personnes prostituées plutôt que de remettre en cause ces hommes qui imposent un acte sexuel par l'argent.
Il faut croire que les sénateurs UMP n'ont pas peur du ridicule et qu'ils n'ont aucun scrupule à abandonner les victimes à leur sort 16 mois après l'adoption du texte à l'Assemblée nationale, a renchéri Claire Quidet, porte-parole de l'association. Car après avoir expliqué pendant toute la discussion générale que la prostitution était une violence et que la situation actuelle des victimes de la prostitution était dramatique, une majorité de sénateurs a voté pour le statu quo, c'est à dire un retour en arrière de 10 ans.
Le Mouvement du Nid rappelle que dès le 8 juillet 2014 en commission spéciale, 75% des sénateurs ayant voté pour la pénalisation des clients étaient des femmes alors que 75% des sénateurs ayant voté contre étaient des hommes. Il rappelle aussi que dans son classement mondial sur l'égalité femmes-hommes, publié en octobre 2014, le Forum Economique Mondial indiquait que la Suède, la Norvège et l'Islande, trois premiers pays au monde à avoir dépénalisé les personnes prostituées et pénalisé les clients, faisaient partie des quatre pays au monde les plus avancés en matière d'égalité femmes-hommes.
Il note enfin que la Suède comptait, dès 1999, 48% de femmes au Parlement au moment de l'adoption de sa législation abolitionniste.
Dans cette continuité, le Mouvement du Nid tient à saluer la mobilisation remarquable de nombreuses sénatrices de tous bords qui se sont exprimés avec cohérence, force et clarté lors du débat. De Laurence Cohen (CRC) à Chantal Jouanno (UDI), en passant par Michelle Meunier, Claudine Lepage, Maryvonne Blondin (PS) et plusieurs de leurs collègues CRC et socialistes, les discours des sénatrices abolitionnistes auront marqué les débats et ringardisé les très rares discours de justification d'un maintien du délit de racolage a ainsi tenu à souligner Jacques Hamon, président du Mouvement du Nid. Ce sont ces voix fortes et claires que l'Histoire retiendra très prochainement. Ces sénatrices, ont d'ailleurs pu compter sur le soutien et la détermination de la Secrétaire d'Etat aux droits des Femmes, Pascale Boistard, mais aussi de plusieurs sénateurs, dont Roland Courteau et Philippe Kaltenbach, qui se sont honorés par leur mobilisation contre l'exploitation des plus vulnérables par les clients de la prostitution.
A l'inverse, et il faut aussi le souligner, si le délit de racolage a été rétabli par un amendement UMP, ces défenseurs sont restés quasi invisibles. En effet cet amendement n'a été voté que grâce au recours de l'UMP au scrutin public qui lui a permis de faire voter en groupe près de 150 sénateurs alors qu'on n'en comptait pas plus de 5 en séance.
A l'issue de ce vote au Sénat, et en se félicitant de la détermination de l'Assemblée nationale et du Gouvernement, le Mouvement du Nid reste mobilisé et confiant pour la suite du processus parlementaire qui ne pourra maintenir ce retour déshonorant au statu quo alors que des dizaines de milliers de victimes de la prostitution attendent d'être enfin reconnues comme telles et soutenues dans leurs efforts de reconstruction et d'accès aux droits.
Un étranger partenarié avec un Suisse devrait avoir accès à la naturalisation facilitée. C’est en tout cas l’avis des commissions parlementaires. Elles ont ouvert une consultation de trois mois après un vote positif au National, ce lundi. Le projet de révision y été accepté par 13 voix contre 7, et 4 abstentions.
Cinq initiatives parlementaires de la gauche et du centre relevaient le caractère discriminatoire de la situation actuelle. Elles préconisent que les couples gay et lesbiens, comme les couples hétéros, puissent entreprendre les démarche pour obtenir un passeport à croix blanche après 3 ans d’union et 5 ans de séjour en Suisse.
A terme, la réforme nécessitera une modification de la Constitution, et donc un vote populaire.
Entre 2010 et 2013, 266 étrangers vivant en partenariat enregistrés ont été naturalisés au l’issue d’une demande ordinaire. Dans le même temps, 2780 contrats étaient conclus par des couples de même sexe, dont 1262 couples mixtes.
Sans grand étonnement, le sénat a réintroduit la pénalisation du racolage lors des discussions de ce 20 mars portant sur la loi de lutte contre le système prostitutionnel – ré-intitulée pour l’occasion loi de lutte contre la traite des êtres humains à des fins d’exploitation sexuelle, contre le proxénétisme et pour l’accompagnement des personnes prostituées
Sans grand étonnement, car ce qui anime les motivations, tant des députéEs que des sénateurs et sénatrices, et sauf exception, n’a jamais été l’intérêt des travailleuses du sexe : alors que les unEs parient sur le délit de racolage public, les autres préfèrent parier sur la pénalisation des clients. Au fond, le but recherché reste cependant toujours le même : maintenir une répression sur le travail sexuel afin de légitimer l’isolement des travailleuses, leur éloignement des centre-villes.
Nous ne sommes pas dupes de ce qui est considéré comme un revirement. Le ton des débats de ce jour, les mensonges qui y ont été débités, le refus de mettre en place de véritables mesures sociales de lutte contre la précarité ou de régularisation des sans-papiers – le simple fait de proposer des APS d’1 an au lieu de 6 mois a suscité beaucoup de débats – est une preuve de plus s’il en fallait qu’aucune des revendications des travailleuses du sexe, ni des associations qui travaillent avec elles, n’ont été entendues.
Nous nous interrogeons sérieusement sur l’intérêt, pour les organisations abolitionnistes, de pousser pour le vote de cette proposition de loi, qui n’apporte aucune réponse aux problèmes que nous rencontrons en tant que travailleuses du sexe.
Nous exigeons que le gouvernement renonce à cette proposition de loi, et mette en revanche à l’ordre du jour la proposition de loi déposée par Esther Benbassa qui visait à l’abrogation du délit de racolage public, votée par ce même Sénat il y a tout juste un an. Nous ne céderons ni au chantage qui consiste à conditionner l’abrogation du délit de racolage public à la pénalisation des clients, ni à celui qui consiste à maintenir le délit de racolage public pour ne pas voter la pénalisation des clients : pendant que nos parlementaires vont et viennent entre deux mauvaises alternatives, les travailleuses du sexe vont et viennent, elles, entre arrestations et précarité.
Cet article PENDANT QUE LES PARLEMENTAIRES FONT DU SURPLACE, LES TRAVAILLEUSES DU SEXE CONTINUENT DE SUBIR LA RÉPRESSION est apparu en premier sur Strass Syndicat du travail sexuel.