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Suite à l’hystérie qu’a provoquée chez moi l’écoute de Written in Scars au mois de novembre 2015, la rédaction de Ladies Room a fait des pieds auprès de BMG afin que puisse m’être accordée une interview avec Jack Savoretti. Résultat : ce mardi 26 janvier 2016 dans cet hôtel parisien, je n’en menais pas très large.
Pourquoi ? J’ai déjà fait des interviews pour Ladies Room, parfois trèèèès à l’arrache – remember La Fiancée, Marie Notte ou Maxence – mais le plus souvent par mail, parce que je ne suis pas très à l’aise à l’oral. Pour interviewer Jack Savoretti, j’ai eu en face de moi trois éléments perturbateurs :
- Jack Savoretti est mignon. TROP MIGNON. Il aurait été boutonneux et aurait pué de la gueule, ça m’aurait permis de ne pas être rouge comme une écrevisse tout au long de l’interview.
- Jack Savoretti est un artiste confirmé qui s’est quand même hissé à la 5e place des charts anglais durant l’année 2015 avec Written in Scars. De suite, ça impressionne. C’est pour cette raison que j’ai fait vérifier mes questions auprès de l’attachée de presse pour être sûre de ne pas balancer de conneries.
- Jack Savoretti parle anglais. J’ai voulu faire la maline en l’interviewant dans cette langue, bien qu’un interprète ait été proposé. Et pour vous dire, j’en ai plus que chié pour faire le rendu de l’interview, même en ralentissant la bande sonore de mon fichier au maximum.
Vous remarquerez dans cette interview que je fais pas mal de [NDLR]. C’est parce que j’ai fait mes petites recherches quand j’ai réécouté la bande. Sinon, l’interview s’est bien passée, j’ai réussi à le mener là où je voulais en venir – ou pas.
Ladies Room : Bonsoir, pouvez-vous vous présenter ?
Salut, je suis Jack Savoretti, je suis auteur-compositeur-interprète.
Pouvez-vous m’en dire plus ?
Qu’est-ce que vous voulez que je dise de plus ? [Bonne ambiance pour commencer, tavu].
Depuis combien de temps jouez-vous de la musique ?
Written In Scars est mon quatrième album et je joue depuis 10 ans environ.
Y a-t-il des auteurs ou des lectures qui vous ont inspiré lorsque vous avez commencé à écrire des poèmes ?
En fait, je ne connaissais rien à la poésie quand j’ai commencé à écrire. C’est très étrange, parce que ça m’a permis d’écrire de manière très libérée. Je ne connaissais aucune règle, aucun poème, aucun auteur. Cela m’est venu par instinct. J’ai lu un bouquin génial [c’est ce que j’ai compris] une fois à l’école et j’ai commencé dès lors à m’y intéresser.
J’ai commencé à écouter la poésie dans la musique, dans les paroles, par exemple dans des chansons de différentes périodes (Simon & Garfunkel, James Taylor…). C’est ce genre de poésie que je me suis mis à adorer.
Quelle est la première chanson que vous avez jouée à la guitare ? Est-ce que vous vous en rappelez ?
Non. Je me rappelle que la première chanson que je jouais à la guitare venait d’un groupe qui s’appelait Sublime [groupe de punk-ska américain qui a officié entre 1988 et 1996, puis avec un nouveau chanteur depuis 2008. A ce moment de l’interview, il cherche justement le titre de la chanson, et d’après ce qu’il essaie de chercher et mon enquête sur le groupe, j’ai supposé que c’était Live At E’s, chanson qui date de 1991]. C’est le premier groupe que j’ai essayé de copier.
Avez-vous choisi les musiciens avec lesquels vous avez enregistré Written in Scars ?
J’ai toujours voulu travaillé avec les personnes avec lesquelles j’ai collaboré sur Written In Scars. Toutes ces personnes, c’étaient avant tout des musiciens, que ce soient les auteurs, les producteurs, etc.
Comment les avez-vous choisis, ces musiciens ?
En fait, je me baladais avec ma guitare et j’ai rencontré ces personnes dans le bus, à Londres. Avec un des musiciens [dont je n’ai pas compris le nom], on s’est mutuellement demandé de rejoindre chacun le groupe de l’autre. Quand, durant une longue période, on prend l’habitude de rencontrer certains musiciens sur la route, dans les studios, on arrive à se constituer une « dream team », et c’est ce que j’ai pu faire pour Written in Scars.
Créez-vous une atmosphère spécifique lorsque vous décidez d’écrire un album ?
Oui, bien sûr. Je fais en sorte – j’espère ! – que chaque album reflète une atmosphère différente, des humeurs et des vibrations diverses… Je fais ça de telle sorte que l’auditeur se souvienne de quel album il s’agit. Cela représente une grande partie du processus de création.
Quels artistes avez-vous écoutés pendant que vous avez écrit Written in Scars ?
J’ai pas mal écouté du Ennio Morricone et du Serge Gainsbourg, parce que c’est vers ce genre de sons que je voulais me diriger. J’ai également écouté un album d’un groupe qui s’appelle Broken Bells pour m’inspirer.
A l’heure actuelle, avez-vous des artistes ou des auteurs qui vous inspirent dans ce que vous créez ?
Je suis inspiré par pas mal de vieilles références, de références classiques [rhââââ, la trentaine et ses ravages sur la création]… Je suis inspiré par des artistes comme Nick Drake [L’auteur-compositeur ? Le poète ?], Bob Dylan, Paul Simon, The Doors, et des artistes plus actuels tels que Broken Bells, Ben Harper, Sublime [et une tripotée d’autres références que, même en réécoutant la bande au ralenti extrême, je n’arrive pas à saisir]…
J’ai une question spéciale de mon mari, joueur de guitare : il aimerait savoir quel est votre marque de guitare préférée…
Je trouve que les guitares Martin vraiment magnifiques. Il y a beaucoup d’autres guitares géniales, comme les Lowden ou les Gibson [c’est là que tu t’aperçois que ce mec est un gros folkeux], mais j’adore l’aspect « entreprise familiale » et traditionnel de Martin.
Vous avez fait une reprise de Bob Dylan, Nobody ‘Cept You. Comment avez-vous découvert Dylan ?
J’ai découvert Bob Dylan quand j’étais petit, mais cette chanson au studio de Jackson Browne à Los Angeles [lors de l’enregistrement de son deuxième album, Harder Than Easy, en 2009]. Les ingénieurs du son m’ont fait découvrir cette chanson, et je lui ai vite donné beaucoup d’importance dans mon univers musical. C’est ainsi que j’ai décidé de la reprendre.
Quel est votre album préféré de Dylan ?
Je trouve Desire (1975) assez génial. L’album m’a conquis suite à la sortie du film Hurricane Carter (1999) quand j’étais môme [lui comme moi avions 16 ans], dans la BO duquel était la chanson Hurricane [qui ouvre l’album Desire]. J’aime beaucoup les arrangements au violon durant tout l’album Desire, mais surtout ce violon fou sur One More Cup of Coffee… Il me semble que Lay Lady Lay était également sur cet album [cette chanson est en réalité tirée de Nashville Skylines, 1969. Jack Savoretti raconte ensuite une anecdote selon laquelle Dylan, pour Desire, aurait recruté un violoniste dans la rue alors qu’il se rendait au studio d’enregistrement. En fait, Dylan collaborait à l’époque avec la violoniste Scarlet Riviera depuis les Bootleg Series (1975), laquelle a fait toutes les parties de violon sur Desire. C’est là où tu te dis que Wikipedia est ton ami]… J’aime également Nashville Skylines [ah ben tiens !] et surtout John Wesley Harding [sur lequel on retrouve All Along The Watchtower, 1967] qui est vraiment un bon album.
Comment votre famille vous inspire-elle dans votre écriture ?
Elle m’inspire de différentes manières. Que ce soit à travers mes enfants ou mon père, ma famille est au cœur de ce qu’il y a de plus important pour moi, et par conséquent, elle prend une part prépondérante dans mon écriture. Je ne saurais pas vous dire comme cela se traduit réellement, par contre.
La playlist émotionnelle de Jack Savoretti
J’ai expliqué à Jack Savoretti que je passais beaucoup de temps à me fabriquer des playlists en fonction de mes émotions et que j’aimerais qu’il en fasse de même. J’avoue, il s’est bien prêté au jeu, malgré le fait que les émotions que je lui ai proposées n’étaient pas évidentes à rendre en musique.
Quand il se réveille : Peggy Lee, It’s A Good Day (1946)
Quand il pense à ses parents : Kris Kristofferson, For The Good Times (1970)
J’avoue, il a vraiment tiqué sur cette évocation…
Quand il est en colère : Bob Marley, Concrete Jungle (1973)
Quand il a envie de pleurer : Ray Lamontagne, Empty (2006)
Pour faire découvrir quelque chose à ses enfants : Half Moon Run, Narrow Margins (2015)
Pour méditer sous un arbre : Max Jury, Home (2015)
Quand il ferme les yeux pour dormir : The Doors, Ghost Song (1970-1978)
Conclusion : Ces 10 minutes m’ont paru trop longues par rapport à ma gêne de départ, mais trop courtes si je considère qu’on a bien taillé le bout de gras avec un artiste à l’univers musical étoffé et étonnant. Je tenais à remercier la rédaction de Ladies Room, les équipes de presse de BMG et surtout Jack Savoretti pour sa gentillesse et son professionnalisme.
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“Forget boring drivel about where to put a semi-colon. Playgirl’s guide was 13 pages of printouts offering a thesaurus of sorts: slang terms for every genital, sex act, STD, orientation, and bodily function — with phraseology like “Neapolitan bone ache” trotted out as an acceptable stand-in for “syphilis.”
All 276 ‘Playgirl’-Approved Terms for Penis From Their Old Stylebook (Thrillist)
“The four videos were the sort of low-budget European garbage I’d expected; the kind where excessive baby oil and tribal tattoos adorn hairless gym bodies. A quick search for “gay VR porn” turned up the same four videos (and a small handful of others) at VirtualRealGay, the brother company to straight porn VR factory VirtualRealPorn. Unfortunately for the rest of us, immersive porn is still largely a privilege preserved for straight dudes.”
A first-hand quest for the future of sex (Engadget)
“Kirkus Reviews published a piece admitting that, with only a tiny number of exceptions, they don’t review romances except those written by white authors. This isn’t about who is nice and who is mean. It’s about a fundamental injustice that is being dealt, over and over, to people of color, to queer authors, to disabled authors, to religious minorities, to trans authors–authors who don’t want a leg up; they just want the same chances.”
Speaking up against systemic racism in the publishing industry (Courtney Milan, via Cecilia Tan)
“I realized my dad was John Cleve, and he was the one writing those books with that pen name,” Chris says. Chris’ memoir, My Father, The Pornographer, out February 9, details what it was like growing up with a dad who wrote 400 books under 18 different pseudonyms. All but 30 of his books were pornography.”
My Dad Was a Porn Legend (Grantland)
im not a furry but damn @realtonytiger got cake
— heterophobia (@PapyrusFucker) November 4, 2015
“Of course, as an anthropomorphised cartoon animal, Tony the Tiger is the daddy of all furries, and so there’s a fair amount of artwork featuring him. This artwork is not always safe for work. It also seems fair to assume that Kellogg’s does not want its brand to be associated with – say – a picture of an extremely muscly Tony, naked save for his neckerchief, masturbating on an exercise bench. So three days ago Kellogg’s started blocking the furries en masse.”
Cereal offenders: Tony the Tiger begs furries to stop tweeting him porn (Guardian)
“The POP is the latest version of the revolutionary Semenette, a sex toy that doubles as an inseminating device that mimics ejaculation. Inventor Stephanie Berman had failed to conceive with her partner using the “turkey baster” method and wanted to create a toy that was both pleasurable, functional and didn’t feel like a medical aid.”
Something for the weekend, sir? The latest in sex tech (Guardian)
“One common criticism of content analyses is that the researchers conducting them tend to find what they’re looking for, and Ana Bridges, the leading author of this paper, has known affiliations with prominent contemporary anti-pornography feminists Robert Jensen and Gail Dines. Another point of concern is that these results literally stand alone: You will not find another content analysis of porn conducted in last 40 years (and there have been dozens) that report numbers anywhere near that high. There are also problems with the methodology. …”
Porn and Critical Thinking: The Importance of Using Your Head When Looking at Scientific Results (Huffington Post)
This article has great quotes from terrific sex educators; it asks us not to kink shame Kanye West, but maybe let’s also not let him off the hook for his awful sexist bullshit.
Don’t Kink-Shame Kanye (Daily Beast)
“As a Dominatrix I now run a small business like so many other “vanilla” entrepreneurs. Without a house dungeon to handle booking and advertising, I spend a good portion of my days answering emails, running advertisements, tweeting, traveling, and updating my website. In this way, my job feels like so many others, and not unlike my old job in tech, only instead of working in e-commerce I now trade in fantasies, secrets, fetishes, and self-acceptance.”
My First Year as a Dominatrix Or: How I Learned to Stop Worrying and Love Myself (The Rumpus)
“Sexsomnia.” It sounded too much like a passing trend. It was a little too perfect, a little too catchy. However, despite how it sounds, it’s a very real medical diagnosis for sexualized behavior during sleep. And it can include anything from light touching to full-on intercourse, sometimes straining relationships to the point of divorce or even resulting in charges of sexual assault.”
Coming to Terms With Sexsomnia (Motherboard/Vice)
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Janvier est quasiment terminé mais à la rédac on n’en démord pas, on fappe, on fappe à longueur de temps. Les jours passent mais ne se ressemblent pas, on trouve tous les jours de nouveaux gifs plus excitants les uns que les autres. Une fois n’est pas coutume, on vous présente la sélection de cette semaine, toute fraîche et toute belle. Bon dimanche !
Au premier coup d’oeil sur ce gif on n’a bien évidemment que remarqué cette levrette vibrante qui va et qui vient au creux des reins de Sandee Westgate… Et puis en y regardant mieux, on a remarqué cette fesse gauche qui fait un peu sa life, ce mouvement de peau et ce muscle un peu lâche qui suit le mouvement docilement. De la poésie.
Sandee Westgate & Jared Grey – Pornfidelity
C’est dans une drôle de position qu’on retrouve Aidra Fox : elle se risque au torticolis pour faire jouir sa copine Ashlyn Molloy, franchement on ne peut pas lui en vouloir. Et puis cet angle nous permet de tout observer jusqu’aux moindres recoins, c’est aussi jouissif que si on était à la place de Mlle Molloy. On profite autant qu’elle, merci Aidra !
Aidra Fox & Ashlyn molloy – Just Us Girls – Badoink
Yay, encore du boule. Celui-ci vraiment on l’aime, à la fois parce qu’il a du vécu (voir ces marques rouges témoins de multiples fessées) et parce qu’il bounce comme jamais. Ce POV est magnifique : on adore les tresses de Caroline Pierce expressément faites pour l’occasion et dûment tirées par ce bon monsieur. C’est un travail d’équipe, on ne le dit pas assez.
Caroline Pierce – Bangbros
Le porno, pas romantique ? Mais détrompez-vous ! Dans « I only want you », Mick Blue se dédie corps et âme à son unique August Ames : il lui offre des fleurs, une chambre d’hôtel, rajoute des pétales sur le lit, et lui offre la levrette de sa vie. C’est aussi ça l’amour, on le sait, ça finit toujours au pieu.
Mick Blue & August Ames – JoyMii
Oui, on sait que cette position est décriée par de nombreuses « vraies » lesbiennes, mais qu’importe, parce qu’on peut mater comme on le veut et que ces deux corps entrelacés c’est un plaisir qui ne se refuse pas. Jana Jordan et April O’Neil ont en tout cas l’air de bien se faire plaisir dans cette promiscuité, c’est tout benef.
Jana Jordan & April O’neil – Girl Play – Elegant Angel
Fap et Honneur
Image à la une : Jana Jordan
Presque dix ans que le mariage pour tous est une réalité en Espagne, et on en est encore là… L’image d’un couple d’hommes utilisée par une chaîne populaire de restaurants pour une campagne de pub a provoqué des hurlements au sein de la droite ultracatholique espagnole.
«Qu’on ne t’attrape pas sans mari!» dit l’annonce, où un garçon à nœud papillon saisit le bras d’un bodybuilder pour profiter d’une offre promotionnelle.
Le visuel n’a pas fait sourire tout le monde. Une pétition lancée par la plateforme HazteOír a récolté plus de 10’000 signatures en ligne pour que l’entreprise VIPS retire cette pub, rapporte le blog LGBT DosManzanas.
«Pas naturel»
«Ce qui peut paraître une campagne inoffensive représente un énorme danger: on normalise une image de la famille qui n’est pas naturelle, proclame l’initiateur de la pétition. Et le pire, c’est que VIPS, un groupe qui gère des établissements familiaux, se prête à ce jeu.» Sur HazteOír, structure proche de l’Opus Dei et reconnue d’utilité publique par le gouvernement de droite, la chaîne de restauration est accusée d’«exclure et d’ignorer» les familles hétéros. Un comble.
La chaîne VIPS, qui manage plus de 300 restaurants, a réagi avec fermeté. Pas question de retirer l’annonce. «Respecter les personnes en valorisant la diversité est le premier principe du groupe. Cette philosophie guide notre entreprise au jour le jour et il en a toujours été ainsi.»
L’Amérique a réchappé à «Snowzilla», une tempête de neige d’une intensité historique, le week-end passé. Ces dernières heures, un nouveau cataclysme a frappé le pays (et le monde, par la même occasion): Grindr était dans les choux.
Le site aux millions de photos de torse sans tête et de profils vides affichait un bref message attribuant l’interruption à une panne de serveur.
Orphelins de leur joujou préféré, les internautes gay américains se sont largement tournés sur Twitter pour commenter «Grindrzilla» ou «Gaypocalypse» et pour se moquer de leur propre addiction à l’application. Quelques uns des tweets les plus drôles ont été compilés par le bloggeur David Quinn sur Chicago Now:
Il y a d’abord les prophètes de l’apocalypse…
Grindr is down I repeat Grindr is down sex is over it no longer exists
— WeWantLookingSeason3 (@looking4evah) 30 Janvier 2016
«Grindr est down, je répète Grindr est down le sexe c’est fini ça n’existe plus»
ATTENTION HETEROS:#Grindr's down so don't be alarmed if you see the gays running around in a panic on the street. pic.twitter.com/wf9F9PQIPg
— jonathan luke (@jonathanlukw) 31 Janvier 2016
«HÉTÉROS ATTENTION
Grindr est en panne, gardez votre calme si vous voyez des gays affolés courir dans la rue»
Les inconsolables…
I think @Grindr's down. I've deleted and re-installed and nada. How am I supposed to get ignored by semi-alright looking boys now?!
— Scott Balfour (@scottbalf) 30 Janvier 2016
«Comment je vais faire, pour être ignoré par des gars même pas bien foutus maintenant?»
Certains tentent d’autres expériences quelque peu téméraires…
I just matched with a chicken schnitzel named "Alexandra" on Tinder. This is what happens to gay men when @grindr is down.
— Nick Rippon (@nickrippon) 31 Janvier 2016
«Je viens de matcher avec une escalope panée prénommée Alexandra sur Tinder. Voilà ce qui arrive aux gays quand Twitter est en panne.»
D’autres s’efforcent de voir le bon côté des choses…
Grindr outage…productivity just increased dramatically around the world
— Bill Johnson (@20Bill11) 30 Janvier 2016
«Grindr en panne… on signale un spectaculaire pic de productivité à travers le monde»
Enfin, il y a les malins qui ne s’avouent pas vaincus:
*sends nude by carrier pigeon*#grindr #GrindrDown pic.twitter.com/5hwfDOMF9E
— Jon-Michael Poff (@JMPoff) 30 Janvier 2016
«@JMPoff *envoie un pic de lui nu par pigeon voyageur*»
La panne a frappé l’Europe dans la nuit, obligeant des milliers de mecs de ce côté-ci de l’Atlantique aussi à renoncer à leur app favorite.
Nous notons un affaiblissement des plans culs gay ce soir à cause du beug général Grindr. Haha je hurle.
— $achouxel ✌️ (@Sachouska) 31 Janvier 2016
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