Prince Albert (piercing du gland), piercing des tétons, des lèvres du vagin, du clitoris… Inspiré de certaines pratiques tribales, repris dans le monde sadomasochiste et homosexuel, aujourd’hui, et depuis quelques années déjà, ces bijoux érotico-esthétiques ont conquis un plus large public. En dehors du côté purement visuel, le piercing génital permettrait aussi d’augmenter les sensations sexuelles. Objet de curiosité, de fantasmes et de surprise, une chose est sûre, le nombre d’adeptes ne cesse de se multiplier.
En occident, et pendant des décennies, le piercing (principalement celui des oreilles) n’avait qu’un but esthétique. Aujourd’hui, il se pratique sur des zones corporelles plus étendues et les motivations ont nettement évolué. On se perce la langue, les tétons, le capuchon du clitoris, le gland, les bourses, le haut des lèvres (piercing Christina), la vulve (piercing du triangle), le périnée… Ces déplacements sur certaines parties du corps ont un but esthétique, mais aussi érotique : mettre en valeur une région plus intime. Stimulant sexuel, le piercing peut participer également à un plaisir ou une jouissance plus intense, autant sur le plan cérébral que physique.
Le piercing vertical du capuchon, par exemple, est généralement effectué de façon à ce que le bijou repose directement sur le clitoris, ce qui provoque souvent une stimulation permanente de l’organe érectile et une amélioration des sensations et du...Lire la suite sur Union
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