Il paraît qu’au Moyen-Âge, on se cuisinait un bon ragoût à l’ail avant de passer une nuit câline pour se procurer vigueur à l’ouvrage et fertilité. Aujourd’hui encore, on prête volontiers certaines vertus stimulantes aux huîtres, à la menthe, au gingembre, au piment ou à la grenade… Et si on surnomme la laitue « l’herbe aux eunuques » pour ses effets apaisants, la roquette fut longtemps interdite dans les potagers ecclésiastiques afin d’éviter toute envolée virile ! Quoi qu’il en soit, il est admis qu’une bonne assiette, mène à une meilleure santé physique et sexuelle.
À fuir !Le tabac et l’alcool figurent bien sûr en bonne place sur le banc des accusés, juste à côté des plats trop gras qui bouchent les vaisseaux sanguins (et bloquent l’érection). En règle générale, les repas copieux nuiront à la condition physique et donc, aux rapports sexuels. Mais si les excès sont néfastes, les privations trop spartiates ne sont pas non plus souhaitables. Ainsi, la mode du jeûne fait peser une menace sur les adeptes du régime radical : la dénutrition les guette. Sur une période courte, il n’y a aucun danger, mais au bout d’un certain moment, on observe une perte de la masse musculaire.
En effet, en l’absence des protéines qui devraient être apportées par l’alimentation, notre organisme « brûle » les muscles pour fonctionner. Il est à noter que plus on avance en âge, plus il est difficile de récupérer la masse musculaire perdue. De plus, les carences en vitamines et en minéraux nous exposent à toutes sortes de troubles qui peuvent eux aussi rejaillir sur la vie sexuelle. Qui plus...Lire la suite sur Union
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