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CherEs membres, collègues, amiEs, soutiens, et alliéEs
Alors que les gouvernements continuent de mener leurs politiques morales, racistes, paternalistes, anti-migratoires, anti-féministes sur nos corps et au détriment de nos existences, l’urgence de nos luttes n’a jamais été aussi forte.
Depuis sa création en 2009, le STRASS s’est imposé, au fil de ses actions, comme un interlocuteur incontournable et expert sur le travail du sexe, prenant part aux débats nationaux et gouvernementaux sur les sujets nous concernant.
Cependant le travail reste énorme, le vote récent de la pénalisation de nos clients fait violemment reculer nos conditions d’existences, tandis que les lois sur le proxénétisme continuent de nous empêcher de disposer de nos revenus, de louer un logement, nous expose aux discriminations et nous oblige à toujours plus de clandestinité.
Aussi nous fédérer est-il un impératif dans la lutte pour l’accès aux droits pour toutEs.
Nous avons besoin de nous unir pour combattre.
Veuillez trouver notre appel à nous rejoindre, à nouveau ou pour la première fois, quelque que soit le temps que vous pouvez consacrer aux actions du STRASS. Tout soutien -ponctuel, permanent, lointain, silencieux ou actif- nous est précieux.
Les informations pour nos collègues travailleurSEs du sexe souhaitant nous rejoindre se trouvent sur le lien ci-dessous et dans le formulaire en pièce jointe:
http://strass-syndicat.org/agir/devenir-membre-du-strass/
Nos alliéEs non-travailleurSEs du sexe peuvent nous soutenir par don par ici:
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Au plaisir de se retrouver nombreuxSEs et solidaires pour cette année 2017
Mon bar favori encore envahi de dominas, soumis(e)s, flics et magistrats, fin de soirée déjantée chez Jo, artiste de Pigalle mais d’abord, les absurdités...
The post Absurdités, crudité et boxon généré appeared first on Paris Derrière.
Perdu dans la forêt dense et touffue des amateurs vérifiés qui postent sans relâche sur Pornhub, j’étais à la recherche d’un coin tranquille pour bivouaquer. J’étais là, ne sachant plus où donner de la bite, coincé entre la énième vidéo mal filmée d’un amateur paumé et une recherche sans issue vers de nouvelles vidéos de Krissy Lynn.
En vérité, je n’étais pas seul. Manon arpentait aussi ces sentiers en quête de nouvelles essences à coller dans son herbier sauvage. On a vu Danika Mori en même temps, tombant à la renverse de concert, époustouflés par ses capacités hors-normes aux vertus masturbatoires insolentes.
Vous ne l’apercevrez pas ailleurs fouler du pied le tapis rouge des AVN Awards, ou apparaître dans un gonzo cheap. En tout et pour tout, elle est active sous ce nom sur trois internets : sa chaîne Pornhub et ses comptes privés Twitter et Instagram. Si on ouvre les recherches à d’autres avatars, on découvre une présence encore active sur Cam4 sous DanikaRed, plus vraiment sur Chaturbate avec Kiki9lives ou sous son ancien compte Redliight17. Rien de mainstream, que de l’indé.
Danika n’opère pas seule, c’est avant tout un couple ; un pur produit indépendant conçu pour le bonheur des fappeurs-voyeurs de leur temps. Un Graal extrême sans culpabilité, certifié du Label Rouge amateur.
Arrivée il y a seulement sept mois sur Pornhub et 47 vidéos plus tard, le choc pour les simples mortels que nous sommes est très violent. Danika Mori la joue intensément et sans concession. Les tags puissants s’enchaînent avec une souplesse folle au rythme infernal du sexe gargantuesque de son mec qui bande dur et cogne fort. Elle encaisse, en redemande, met du squirt sur le feu pour affoler le jeu et repart de plus belle.
Son créneau c’est l’anal, qu’elle pratique comme d’autres font du sudoku. Tellement rodée que tout passe sans effort, du premier doigt à son poignet entier en passant par cet engin de malheur à la largeur hors du commun.
Vous verrez rarement sa tête, comme celle de son mec qui tient le plus souvent la caméra, ce couple donne dans le porn fétichiste des corps dilatés. Une mélodie en hard majeur qui met à mal la concurrence. Danika sonne vrai, borderline et grisante, pour insulter la pureté de son corps explosif.
On l’aime jusqu’à plus soif, ouvrant bien grand la bouche pour attraper ses dernières gouttes. Les yeux écarquillés comme son fondement avalant chaque seconde et chaque centimètre. Des va-et-vient à l’infini de notre vice à notre historique. Une symphonie dantesque frappée du sceau de la modernité.
Quelle vie les amis ! C’est un sacré bordel dans l’actu en ce moment. Les accros à Twitter ne savent plus où donner de la tête. Ça tire dans tous les sens. Trump fait pas mal parler de lui depuis qu’il est président. Évidemment, la sphère porno commente les décisions de « l’homme orange » comme ils l’appellent. Mais les actrices et les acteurs se prennent aussi la tête entre eux et ont des sujets propres au divertissement pour adultes sur lesquels s’offusquer.
Pas mal de photos des AVN Awards encore. On va faire un dernier tour sur cette thématique, puis on n’en reparlera plus jusqu’à l’année prochaine. Bien content d’avoir aussi des marronniers.
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À trainer dans un salon avec des milliers de personnes qui vous touchent, vous embrassent, qui vous roulent de grosses pelles, on en oublie les gestes qui sauvent de la grippe. Une épidémie s’est donc répandue chez pas mal de monde.
AVN flu is the worst
— Shyla Jennings (@shylajdotcom) January 25, 2017
I didn't go out late/ drink or participate in any AVN orgies… And I'm still sick AF….
— Leigh Raven (@leighravenx) January 24, 2017
Anyone else get sick after AVN? 🤒
— Kendra Sunderland (@KSLibraryGirl) January 23, 2017
Certains ont résisté aux microbes, comme Janice qui s’en félicite.
my face after not getting sick at AVN but being smart enough to not book shoots until a couple days after pic.twitter.com/lE0EsSJX3V
— jg (@thejanicexxx) January 24, 2017
Tout le monde était bien fatigué après ces jours intenses.
Me after AVN pic.twitter.com/dvhfLD6HgP
— ✨Holly Beth✨ (@LittleHollyBeth) January 24, 2017
Et au final, tout est revenu à la normale.
Back to fucking & sucking
✨— Gina_valentinaxxx (@GValentinaxxx) January 25, 2017
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Lexi Belle était présente à la cérémonie des AVN, elle a été discrète, comme une petite souris toute mignonne. Je ne l’avais pas remarquée, elle ne tweete plus beaucoup.
AVN 2017
vintage velvet gown and vegan heels pic.twitter.com/xdwtRTMp5S— Lexi Belle (@OMGitsLexi) January 23, 2017
Sinon, j’ai trouvé le plus joli couple de la soirée (ils ne sont pas ensemble, enfin je crois).
With the one and only @AnaFoxxx she wins awards, shatters glass ceilings & reps how she's supposed to! ✊ @avnawards pic.twitter.com/Tu5D8siv56
— King Noire (@KingNoire) January 24, 2017
À la recherche des Cités d’Or, Esteban et Zia n’ont rien trouvé sous la jupe de Carter.
i can't bring them anywhere @AidenAshley @SpencerStumby pic.twitter.com/tRiLKJl4cW
— Carter Cruise (@CarterCruise) January 26, 2017
Sous les jupes, sous les robes, aux AVN comme aux Xbiz, on se dévoile sans complexe et sans pression.
If you've ever wondered what I'm like in real life. This sums it up perfectly pic.twitter.com/k7m8DEzgoV
— Lelu Love (@lelulovexo) January 29, 2017
Qui, parmi vous, a déjà eu une porte d’ascenseur à l’effigie de son bouli ? Notez la finesse de l’emplacement, comme si Abella s’ouvrait en appuyant sur un bouton… Bravo le bon goût !
Loved your elevator @Abella_Danger !! @avnexpo pic.twitter.com/1RCGPnk6bq
— bonoONE (@bonoONE) January 23, 2017
Encore un coup de fap sur la scène entre Buck Angel et Valentina Nappi. Dana Vespoli et Evil Angel font du bon boulot ensemble.
CONGRATS ON WINNING @avnawards BEST TRANSSEXUAL SEX SCENE @BuckAngel @ValeNappi!
WATCH GIRL/BOY 2 BY @danavespoli: https://t.co/xxxujjBAky pic.twitter.com/Mvvk372roS
— Evil Angel (@EvilAngelVideo) January 26, 2017
Justin Roiland est un des créateurs de Rick & Morty (très bonne s’il en est). Il se trouve que Riley Reid est complètement fan de la série. Elle avait exprimé cette admiration sur Twitter et depuis ce Justin et elle sont super copains.
Porn has a NEW FACE pic.twitter.com/nerFTT7Cw4
— Justin Roiland (@JustinRoiland) January 20, 2017
Conclusion de Ferrara qui nous rappelle que ces cérémonies sont juste là pour faire plaisir à tous les poids lourds de l’industrie.
Les AVN c'est comme l'école des fans! Tout le monde gagne
— manuel ferrara (@manuelferrara) January 23, 2017
Le jour de la remise des prix, la Women March avait lieu. Les actrices pornos sont engagées bien souvent et Jessica Drake a traversé le continent pour être présente aux deux événements. En plus, elle a porté un drapeau américain plutôt dévasté. Est-ce que cela a un lien avec l’élection de Trump ? Qui sait ?
So @thejessicadrake uses her platform and privilege to do the Women's March AND SLAY the AVN Award Show in the same day #goals pic.twitter.com/nGVhIXierU
— Avery Black (@AveryBlvck) January 23, 2017
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Trump n’en finit pas de révolter bon nombre de ses concitoyens et d’habitants d’autres pays. Dans le porno, ça réagit pas mal à chaque annonce qu’il fait.
Lee Roy Myers, le fier patron de Wood Rocket, l’a pris en grippe direct et continue de lui faire tweeter n’importe quoi.
.@realDonaldTrump #MAGA #GoldenShowerPOTUS pic.twitter.com/yu7VwpNQWj
— Lee Roy Myers (@leeroymyers) January 21, 2017
Anna de Ville a son mot à dire. Oui, on peut être une Anal Queen et avoir des opinions politiques. Va falloir changer d’état d’esprit si vous pensez le contraire.
To any women who voted for Trump: I hope u understand the negative impact you have helped inflict on women's rights. https://t.co/EyHLG2gmV8
— Anna de Ville (@AnnadeVilleXXX) January 23, 2017
D’ailleurs Aurora Snow, ancienne actrice maintenant journaliste, a interrogé quelques personnes du milieu pour savoir ce qu’ils pensaient du nouveau président.
Porn in the Age of Trump: Fear and Loathing at AVN in Las Vegas https://t.co/cq0DDFJCHM via @thedailybeast
— Aurora Snow (@MissAuroraSnow) January 24, 2017
Avec sa décision de bannir les citoyens de plusieurs pays des USA, Trump a visé directement Arabelle Raphaël. D’origine iranienne et citoyenne française, Arabelle doit se poser bien des questions sur son avenir au pays de l’homme orange.
I'm a French citizen of an Iranian immigrant father and Tunisian French mother. I live in the US.
— arabelle raphael (@ArabelleRaphael) January 28, 2017
Lee Roy, encore lui, copie sans pression #TraduisonsLes, sans même utiliser le hashtag. Quelle insolence !
Translation: #WelcomeToCanada https://t.co/uENQUA7krs
— Lee Roy Myers (@leeroymyers) January 28, 2017
Trouble Films s’engage dans la « résistance ». Elles résistaient déjà au porno mainstream et aux stéréotypes, un nouveau combat à leur arc.
I wanted to make it clear that TROUBLEfilms is 100% involved in the resistance against rising global fascism let by Trump, Putin, & the GOP.
— TROUBLEfilms (@TROUBLEfilms) January 29, 2017
Je laisse la conclusion de ce triste chapitre à Marcelo.
The Orange man is a dangerous scumbag
— Marcelo (@MarceloSlave) January 27, 2017
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Pas la peine de faire appel à Trump pour que la planète porno s’offusque. Les bails internes sont nombreux et les clashs ne mettent pas longtemps pour exploser.
Il y a eu cette histoire d’une actrice porno qui s’attaquait à la fine fleur de la cam. Comme quoi, il n’y a pas que les vieux producteurs qui ne pigent pas l’importance du phénomène et le renouveau qu’il apporte à l’industrie.
I was gonna stay out of it but this chick pissed me off… Last I checked you need hella personality to be a truly successful camgirl 🤔 pic.twitter.com/hJNl8SYFOb
— Raquel Love (@LoveRaquelxo) January 23, 2017
Whoa! Wtf am I reading? Porn stars spitting on cam girls? This isn't a fucking war. We're all sex workers. No one is "better"..check yo self
— Melody Kush (@MelodysMixtape) January 23, 2017
The AVN Awards were sponsored by both CB & MFC. It's the money that we worked hard to make that funded this event. Your host was a cam girl.
— Melody Kush (@MelodysMixtape) January 23, 2017
I'm so sick of seeing drama regarding the cam world vs the pro porn world. They're both unique. They're both awesome. They both are valid.
— • Eliza • (@SoVeryEliza) January 26, 2017
Autre affaire, une actrice a refusé de tourner avec un acteur afro-américain. Janice, toujours prompte à s’offusquer, est partie au quart de tour.
girls who leave set because they "don't do IR" when they find out the talent is black…. sorry but do u see how INSANELY RACIST THIS IS
— nymphadora tonks (@thejanicexxx) January 25, 2017
Suivie de près par Rizzo, qui est ma nouvelle chouchou avec ses punchlines.
"Who's the racist girl in porn?!"
Ummmm… a lot of them considering a bunch come straight outta high school from Indiana.
— ☾☾☾rizzo ford☽☽☽ (@rizzoford) January 26, 2017
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Rashida Jones, vous savez la meuf sympa dans Parks & Recreation. La fille de. Et bien, elle n’est pas si sympa que ça avec le porno. Elle avait produit un documentaire pour Netflix sur les pro-am XXX (Hot Girls Wanted). On voyait de jeunes débutantes se lancer dans le porn, notamment les prods de Floride. Le regard porté sur ces parcours était aussi sombre que celui d’Ovidie dans son dernier doc. Les actrices et réalisatrices n’étaient pas vraiment jouasses que Rashida remette le couvert avec un autre docu.
To the feminist pornographers that participated in Hot Girls Wanted 2, I hope you can undo the damage of the first https://t.co/q3tTjNweZx
— Jacky St. James (@jackystjames) January 28, 2017
Clearly she's an expert. I'm just a man making lesbian porn for men. #OK https://t.co/qj91P88BRJ
— Jacky St. James (@jackystjames) January 28, 2017
Not all lesbian porn is made by straight men https://t.co/0SFUpgiMfm
— Bree Mills (@TheBreeMills) January 27, 2017
Maitresse Madeline a même fait un « à dérouler »
Hey @iamrashidajones "female friendly" porn? That's ur new doc? As a women in porn I reject that term completely. WTF does it even mean?
— Madeline Marlowe (@MaitresseM) January 28, 2017
Amazing how Jones acts like the reason porn ppl didnt want to work with her is anything other than bc the first series was biased garbage. https://t.co/6YPpFRzgrn
— Blath. (@blathh) January 28, 2017
Jacky a ouvert le traitement de texte de son Tumblr pour faire une lettre ouverte, tellement elle était vénère.
Cause I’m Tired of Civilians Acting Like Feminism in Porn Doesn’t Exist…https://t.co/VDtbRVp8OG
— Jacky St. James (@jackystjames) January 29, 2017
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Entre tous ces tweets sérieux, il y avait quand même pas mal de bonne rigolade et de belles personnes.
Par exemple, Lance Hart qui parle vasectomie de manière plutôt divertissante et convaincante. À deux doigts de prendre rendez-vous pour me faire couper.
Clearly getting a vasectomy does NOT effect your cum shot
See Exhibit A
Also Thank you @PReedXXX <3#getbabyproofed pic.twitter.com/7SeXAT1YsM
— Lance Hart (@lancehartfetish) January 25, 2017
Dans l’alt porn, on s’échange des petits conseils bien utiles. Je vais fouiller les réponses à des fins personnelles.
Another question: what do u guys eat if ur planning to do butt stuff later? I'm hungry
— ♡Chew♡ (@Sleepy_Chew) January 25, 2017
Isabelle Dresler fait du porn en marge aussi et elle a l’air de bien aimer ça.
You caught me guys, I really am only making gay porn for the dicks. pic.twitter.com/QwYw481YWu
— Isabel Dresler (@isabeldresler) January 27, 2017
Ces pornos différents travaillent pour la plupart beaucoup leur image. Et le résultat est toujours d’une esthétique très réussie. Surtout quand Moth est impliquée.
playing in water and light with @ryanbreadd shot by the amazing @JoeyKimTV – video soon pic.twitter.com/LDQ271awco
— moth + rust (@mothandrust_) January 28, 2017
Feeling grounded with @JoeyKimTV and @mothandrust_ in Red Rocks, NV pic.twitter.com/MXnooEn2h0
— ryan (@ryanbreadd) January 29, 2017
Il y a aussi des propositions artistiques plutôt osées.
one time i made art on snapchat pic.twitter.com/fvD2pzMDSR
— Lux #NoDAPL (@luxliv3s) January 25, 2017
La rule 34 s’illustre toujours dans les méandres de l’Internet. Ici, clown et ballbusting s’entremêlent dans un torrent de vice. Tout un site sur cette belle thématrique.
A huge thanks to @Norah_Nova and @OliverStar03 for the twisted #clownporn and #ballbusting !!! … pic.twitter.com/mXC738hS8G
— Eric Jover (@ballbusting) January 27, 2017
Dans le plus mainstream, on n’est pas déçu non plus. Regardez Bree Daniels faire le petit chat. C’est-y pas mignon ?
— Bree Daniels (@BreeDaniels1) January 28, 2017
Coulisses de tournage, c’est la bonne humeur avec Owen et Charlotte.
. @GothCharlotte and @willhavocxxx and buttsex tonight @BurningAngel pic.twitter.com/l8nZw04cL3
— Owen Gray (@veryowengray) January 30, 2017
Ça rigole aussi chez les Sins avec une cascade de squirt. Faut le voir pour le croire !
This is what Americas all about @KissaSins @adrianachechik pic.twitter.com/mbWwyht0QE
— Megan Rain (@littlesexbuddha) January 28, 2017
Encore Megan qui nous montre que se faire sucer en train de mater de la VR est une excellente idée. À tester.
I was having fun while watching @blairsbananas suck that cock!!! pic.twitter.com/iJucEHy6Bf
— Megan Rain (@littlesexbuddha) January 29, 2017
Chez Brazzers, on exploite le penchant pour le souvenir des fappos trentenaires avec une parodie des Powers Rangers. Dommage que Wood Rocket l’ait fait avant.
This happened today!! @Brazzers @XCorvus777 @kimmygrangerxxx @kj_fetishmodel @MsAbigailMac @LucasFrostxxx pic.twitter.com/TqMWZ7E041
— Sophia Knight (@Sophia_Knight) January 29, 2017
Tandis que Digital Playground réhabilite Mortal Kombat. Faciality au menu.
Watch him FINISH ME #MortalKombat at @DPxxx pic.twitter.com/MbQ8KKCYO3
— Aria Alexander (@ariaalexanderxo) January 29, 2017
Blair Williams a percé grâce à ses talents oraux et sa souplesse d’esprit et de corps. Elle participe ici à une sorte D’œil de Links américain.
Watch "Jack Jimminy: Porn Extra" at 8pm on https://t.co/bxWld7qZbM@blairsbananas loves it almost as much as she loves bananas…. pic.twitter.com/3TNXGM5r1v
— DromeBox Labs (@DromeBoxLabs) January 30, 2017
Une nouvelle production vient d’apparaître. Elle a piqué pas mal de trucs à Greg Lansky, mais je n’ai pas encore vu une vraie scène. Je réserve donc mon jugement.
#BaebzOfficial #ThirstyThursday Another Baebz Bombshell Pepper❌⭕️ pic.twitter.com/4du7M0pdOC
— BAEBZ Official (@BaebzOfficial) January 26, 2017
Deux astuces données gratuitement par des actrices à l’attention des Twittos. Pensez à bien vous comporter sur les réseaux les amis, ça ne sert à rien d’être méchant, moqueur ou impoli. Tout ce que vous arrivez à faire, c’est rendre le climat moins bienveillant. Et ça, ça casse les couilles !
Tip: Don't send this to anyone you don't know.
— arabelle raphael (@ArabelleRaphael) January 25, 2017
Porn girls aren't real. If she disappears from social media, she doesn't want to be found. I know you loved her, but you didn't know her.
— Lily Cade (@lily_cade) January 29, 2017
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Embarquons pour l’autoroute de l’exhib avec un florilège de natures dévoilées par des personnalités majeures dans le domaine. Tchou tchou les fappos !
From my first shoot with #ATKHairy #babybush pic.twitter.com/8P9y7KisMg
— Nenetl Avril (@nenetlavril) January 28, 2017
Pan's Winter Pond
Mask from Danielle's Leatherhttps://t.co/gkM4Tb8xjUhttps://t.co/PnvIVwHWi6https://t.co/55GOdihS7N pic.twitter.com/aOK20A4N4j— Alice X (@Alice_Exx) January 28, 2017
I'm back from true Private on @MyFreeCams pic.twitter.com/05WN2L0Lw5
— Jezabel Vessir (@JezabelVisser) January 29, 2017
Here's a throwback of ya girl being sassy pic.twitter.com/4rmc87An8E
— Leigh Raven (@leighravenx) January 29, 2017
— ♡ Jenna Jade ♡ (@jennajadecb) January 29, 2017
Got some new lingerie pic.twitter.com/wiMyFJBReK
— ryan (@ryanbreadd) January 26, 2017
RIP American Apparel. You served us naked girls well, your expensive yet slutty basics will be missed pic.twitter.com/PLUllIBx83
— Vex Ashley (@vextape) January 26, 2017
Hope everyone is having a fantasssstic day
A photo posted by Lilo (@lilocious) on Jan 21, 2017 at 2:22pm PST
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On termine avec deux bonnes blagues. Une de la star Snapchat Emily Rinaudo et l’autre de Carmina, la star du Tag Parfait.
Remember Boo from Monsters Inc?.. This is her now. Feel old yet? pic.twitter.com/TF5ff9tEiw
— emjayxo (@emily_rinaudo) January 27, 2017
Le numéro 8 va vous étonner. #nsfw pic.twitter.com/mmk2wjjMZa
— Carmina (@carm_ina) January 19, 2017
Dans un ouvrage brassant l'histoire des utopies libertaires, un chercheur remet en cause l’idée reçue : n'en faire que selon ses "désirs" rend malheureux. Petit parcours critique, du libertinage du XVIIIe siècle jusqu'à Mai 68.
Dans L’Amour libre, brève histoire d’une utopie (réédition d’un livre paru en 2008) Michel Brix, chercheur à l’Université de Namur, concentre son analyse sur les utopies qui reposent sur le libre échange des partenaires. Ces utopies postulent que le malheur existe parce que les humains sont frustrés. Pour que règne le bonheur, il faut donc s’attaquer aux doctrines morales qui briment les passions amoureuses et aux interdits qui frappent les penchants sexuels. On pourrait croire que ces utopies «permissives» sont plus sympathiques que les autres. Hélas. Michel Brix le démontre avec brio et une bonne dose de vitriol. L’utopie est mortifère en soi, dit-il. Qu’elle encourage ou réprime la sexualité, peu importe : il ne s’agit jamais que d’un programme d’épuration.
L’utopiste veut notre «bien» (par la force s’il le faut)
Sa démonstration s’appuie sur le prédicat suivant : l’utopie est un monde dans lequel le Mal n’existe plus. Platon, «le premier grand utopiste de la pensée occidentale» oppose ainsi le monde des essences, celui des Vérités parfaites, au monde réel qui en est la «copie dégradée, corrompue». Dans le monde réel, les humains ont des corps pesants. Ils sont malades, ils vieillissent, ils souffrent de la faim, de la soif et de l’ignorance ; ils se trompent et s’entre-tuent quand ils ne sont pas anéantis par des catastrophes naturelles. Dans le monde des essences, ils volent telles des entités pures, détachées de toutes contingences, en direction du Beau. C’est de cette bipartition du monde que dérivent les utopies, explique Michel Brix, car «les utopistes –forts de l’assurance platonicienne que l’on peut séparer le bon grain des Idées de l’ivraie des impuretés terrestres– construisent sur terre la république parfaite, délivrée du Mal».
L’utopiste veut éradiquer le mal (mais quel mal ?)
Le problème, c’est que chaque utopiste a une idée bien à lui de ce qu’est le mal. Pour Thomas More, par exemple, il faut punir l’adultère d’esclavage ou de mort. Platon, dans La République, préconise au contraire que les femmes des guerriers soient mises en commun ainsi que les enfants nés de ces unions libres (1). Non sans incohérence, Platon ajoute 50 lignes plus loin que les «chefs» de la République auront pour devoir de lier par mariages des individus sélectionnés pour créer une race parfaite. Les enfants hors union seront exclus du système et les handicapés tués à la naissance. Michel Brix souligne le hic : «Recourant s’il le faut à l’eugénisme […], l’utopie transforme les individus en êtres supérieurs, angéliques, proches autant que possible des dieux ou même semblables à eux ; ces hommes nouveaux meurent très tard, ou parfois même ne meurent plus du tout. Ainsi –allant plus loin encore que Tommaso Campanella et ses «solariens» à la santé parfaite–, le situationniste Raoul Vaneigem […] proclame, après Antonin Artaud : «On ne meurt pas parce qu’il faut mourir ; on meurt parce que c’est un pli auquel on a contraint la conscience un jour, il n’y a pas si longtemps».»
Contrariez un désir, il devient vicieux
Toute utopie dérive «peu ou prou» d’une vision binaire du monde : le mal, le bien. Il faut choisir. De cette obligation, Michel Brix dénonce l’aspect arbitraire, voire oppressif : la première partie de son livre expose –dans l’ordre chronologique– les utopies de l’amour libre, leurs idéaux et leurs aberrations. Il commence par l’utopiste Charles Fourier (1772-1837) dont le projet, a priori, ne peut que séduire. S’inspirant des libertins qui, au XVIIIe siècle, prétendent que la quête du plaisir correspond aux décrets divins –«l’amour est un devoir, l’ennui seul est un crime» (2)–, Fourier affirme que les passions sont faites pour être vécues. En réaction au dolorisme chrétien et aux discours d’abnégation, Fourier pense que l’ascétisme provoque le malheur. Pour être heureux, en harmonie avec dieu et l’équilibre du monde, il faut que les humains réalisent leurs envies, «sans en réprimer aucune», même celles «de l’abondance, du luxe voire du superflu». Cette morale en apparence hédoniste (qui préfigure le consumérisme naissant) cache cependant une forme pernicieuse d’encadrement autoritaire.
Le programme de Fourier pour réformer le monde
La société idéale de Fourier –le «Phalanstère»– est une organisation qui doit permettre à l’individu de se livrer «aveuglément à ses passions», dit-il. Dans son ouvrage Le Nouveau monde amoureux (3), Fourier prône à la fois l’égalité entre les sexes et l’abolition du mariage, synonyme d’esclavage de la femme. Les phalanstériens seront priés de changer de partenaire toutes les nuits. «Les amants «exclusifs» seront les cibles de persécutions qui les dissuaderont […] de se fermer égoïstement au reste de la communauté», explique Michel Brix. Chaque soir, lors d’une Bacchanale à laquelle personne ne pourra se soustraire, les hommes et les femmes se livreront à des orgies chorégraphiées par des prêtres(ses) chargés d’assembler les partenaires en fonction de leurs fantasmes. «Le phalanstère sera un foyer d’expérimentations insatiables». Les copulations y laisseront la place à des interactions d’un raffinement érotique inouï, touchant à l’art et à l’extase. «Les individus les plus beaux – les plus sollicités – seront invités à faire preuve d’un esprit de charité, ou de philanthropie, sexuelle qui les apparentera –dixit Fourier, bien sûr– à des saints». Il sera interdit de se refuser sexuellement plus de deux ou trois fois. Il sera également interdit de s’unir trop souvent à la même personne. Moyennant quoi, le monde –contaminé par cette explosion de plaisir– se métamorphosera en jardin d’Eden, assurant l’avènement d’une «société d’abondance, où s’accroîtront sans cesse les richesses» (sic).
Les surréalistes adoptent Fourier comme leur inspirateur
Fourier, en son temps, ne provoque guère que le fou rire. André Breton le cite d’ailleurs dans son Anthologie de l’humour noir. Mais André Breton le considère aussi sérieusement comme un inspirateur du surréalisme. Il dédie ainsi une Ode, en 1947, au réformateur («Fourier es-tu toujours là») puis un hommage appuyé dans des Entretiens réalisés en 1952 : Breton y chante «la plus grande œuvre constructive qui ait jamais été élaborée à partir du désir sans contrainte». Que Fourier ait mis en place un système coercitif d’échanges sexuels obligatoires, les surréalistes l’ignoraient probablement… Ils ne retiennent de son utopie que ce qui «colle» avec leur propre programme : déchaîner les forces d’Eros, afin que l’humanité –libre, enfin, de se soumettre au «jeu libre des passions» (comme dit Klossowski)– se débarrassent des carcans mentaux ou moraux qui l’empêche de trouver son salut. Le programme est alléchant, servi par une prose admirable. On ne peut que succomber à la lecture de l’Amour fou : «Il n’y a jamais eu de fruit défendu. La tentation seule est divine.» Mais… il y a toujours des mais.
«Il est interdit de se refuser»
La femme idéale des surréalistes se doit d’être émancipée, c’est-à-dire ouverte aux désirs masculins. Breton, Aragon, Benjamin Péret ou Marcel Noll condamnent «chez une femme la pudeur, l’absence d’expérience sexuelle ou toute autre forme de «manières»», ce qui les pousse à condamner, par exemple, la seconde femme de Charlie Chaplin qui, lors d’un procès en divorce (1927), reproche à son mari de lui avoir imposé la pratique de la fellation. Les surréalistes prirent «d’une seule voix la défense de Chaplin dans un manifeste, Hands off love, où ils dénoncèrent vigoureusement la puérilité des dégoûts de Mme Chaplin : «Si la libre discussion des mœurs pouvait raisonnablement s’engager, il serait normal, naturel, sain, décent, de débouter de sa plainte une épouse convaincue de s’être inhumainement refusée à des pratiques aussi générales et parfaitement pures et défendables». Pour les surréalistes, une femme qui refuse de sucer est donc inhumaine ? Michel Brix souligne avec acuité la perversité de cette logique qui assigne à la femme le double statut de déesse et d’esclave sexuelle : c’est la muse muselée, asservie au devoir de satisfaire les «manies» de ceux qui chantent sa gloire. Gare à elle si elle se refuse. Un piédestal est si vite retiré : «Si tu ne suces pas, c’est que tu es coincée». On connaît la chanson.
Reich, la révolution par l’orgasme (le bon orgasme)
La troisième utopie recensée par Michel Brix est mise au point par un Autrichien, Wilhelm Reich (1897-1957), tour à tour élève de Freud, militant communiste puis créateur de systèmes fonctionnant à l’énergie vitale cosmique (orgone) permettant de faire tomber la pluie ou de guérir les cancers. Condamné pour charlatanisme, Reich meurt en prison aux USA. Sa théorie est très proche de celle de Fourier : le Mal est indissociable de la frustration, qui génère des troubles psychiques tels que «la perversion appelée «sadisme» (4), les inégalités homme/femme, l’oppression et la haine. Pour Reich, «la continence charnelle serait une faute contre Dieu, qui nous a dotés d’organes sexuels […], explique Michel Brix. C’est pourquoi il conviendrait d’assimiler la chasteté à un blasphème.» Pour se libérer, non seulement il faut jouir mais accéder au «bon» orgasme, dont Reich s’évertue à définir un modèle idéal, en termes de spasmes et d’acmés proche de la commotion. «Pas question de parler ou de rire pendant l’étreinte», indique Michel Brix. Pas question non plus de rester avec la même personne plus de 4 ans car le désir s’émousse. Le mariage est une pathologie. Le nombre minimum d’orgasmes requis pour être révolutionnaire est estimé à 3000. Encore faut-il que ces 3000 orgasmes se distinguent des frottements génitaux dont les «opprimés» se contentent (5).
«Faites l’amour, pas la guerre»
En 1957, Reich meurt et Guy Debord (1931-1994) fonde l’Internationale Situationniste qui se veut le moteur d’une révolution mystique dont le but ultime «ne consiste pas à implanter un nouveau système économique, mais à assurer le triomphe de la loi du désir. C’est la quête enfin devenue possible des plaisirs sans limites qui abolira l’ancien ordre répressif et instaurera –ou réinstaurera– la vie édénique.» En 1967, Raoul Vaneigem, dans le Traité de savoir-vivre à l’usage des jeunes générations, invite «la jeunesse des pays occidentaux […] à briser tous les conditionnements» tels que le couple, le travail, la maladie mentale (6) ou la vieillesse. «On croit vieillir, on croit que le temps file et s’envole. Erreur, explique Vaneigem : l’«illusion» du temps procède de notre refus de vivre. Nous nous réfugions –s’il faut en croire les situationnistes– dans le rêve d’un temps qui passe, pour échapper à la conscience douloureuse de nos frustrations. Le temps s’écoule ? Non : nous nous écoulons lentement dans le temps, comme des corps qu’on laisserait, sans réagir, se vider de leur sang. […] La quête des plaisirs, enfin libérée de toute censure, doit nous permettre de nous émanciper à jamais de la propension à nous laisser mourir.» Assimilant la faiblesse et la finitude à des préjugés bourgeois, les situationnistes proclament qu’il est possible d’être éternellement jeune et désirant. «Vivre sans temps morts» devient le nouveau diktat (7). Pour le meilleur ou pour le pire ?
Méfiez-vous de ceux qui veulent notre émancipation
Lire l’ouvrage de Michel Brix provoque cependant le malaise car sa démonstration, d’abord rigoureuse, s’enlise dans le règlement de compte. Sa critique devient acerbe, voire anachronique : faisant fi de tout contexte historique, il critique les propos de Reich, de Breton ou de Vaneigem sans les placer en perspective, ni reconnaître la part d’aspirations légitimes qui ont suscité la naissance de ces utopies. Pourquoi tant de sévérité à l’égard de nos rêves de jeunesse ? Pourquoi tant de haine contre ces «maîtres» dont les pensées nous ont portés quand nous en avions besoin et qui ont fondé nos choix de vie ? On se sent perturbé, voire coupable à la lecture de ce qui devient presque une diatribe, dont il faut démêler la pertinence de la partisanerie.
Pour finir, Michel Brix condamne de façon péremptoire la prostitution, accuse sans nuances les femmes échangistes d’être soumises aux désirs masculins et affirme que le mariage protège les femmes car même si elles vieillissent et deviennent laides, un homme continuera à vivre avec elles. «À l’évidence, sans le mariage, les femmes ne possèdent plus aucun recours contre l’affaiblissement du désir physique et se trouvent ainsi livrées à elles-mêmes dans un monde entièrement soumis au fantasme amoureux masculin et où elles peuvent tout au plus prétendre – tant qu’elles inspirent le désir – au rang d’esclaves heureuses.» Cette apologie du mariage –pour le moins discutable– ne doit cependant pas décourager le lecteur. Même tendancieuse, la critique de Michel Brix est roborative, mieux encore constructive. Dans la deuxième partie de L’Amour libre, prenant pour prétexte l’analyse de ces deux anti-utopistes que sont Baudelaire et Sade, le chercheur propose en effet une vision réconciliée du monde : à l’utopie préférez l’anti-utopie, suggère-t-il. L’utopie est une croisade contre le mal. L’anti-utopie… fera l’objet d’un autre article.
A LIRE : L’Amour libre, brève histoire d’une utopie, Michel Brix, éditions Molinari, deuxième édition revue et augmentée (deux articles consacrés respectivement à Michel Onfray et Houellebecq ont été rajoutés), 2016 [2008]. Ce livre constitue la suite d’un ouvrage publié en 2001 «L’Héritage de Fourier», dans lequel Michel Brix faisait déjà l’historique des utopies basées sur le principe de l’amour libre.
A LIRE EGALEMENT : un dossier sur «Pourquoi le sexe stresse ?». Première partie : «Six applis pour suivre son activité sexuelle» ; deuxième : «Datasexuels, les obsédés de la performance» et dernière : La méditation clitoridienne rend-elle heureux ?
NOTES
(0) Le mot «utopie» est créé au XVIe siècle par Thomas More. Il accole deux mots grecs (ouk-topos : «non-lieu», «nulle part») pour en faire le titre d’un livre, publié en 1516 –L’Utopie–, dans lequel ce terme désigne «une île imaginaire où un gouvernement idéal règne sur un peuple heureux.» Ce n’est bien sûr pas la première fois qu’un penseur imagine à quoi pourrait ressembler «le meilleur des mondes».
(1) Ces enfants nés d’unions libres «ne connaîtront pas leurs parents et leurs parents ne les connaîtront pas» (Source : La République, de Platon, traduit et annoté par Robert Maccou, Flammarion, 1966, p. 212).
(2) «Fragment d’Alcée», dans les Poésies érotiques d’Évariste de Parny (Paris, Veuve Duchesne, 1778).
(3) Cet ouvrage fut publié un siècle et demi après la mort de Fourier, et pour cause : il s’agissait pour les fouriéristes de ne pas choquer les éventuels donateurs qui apporteraient les fonds nécessaires à l’établissement d’une phalange d’essai, première étape sur la voie de la réforme universelle.
(4) La Fonction de l’orgasme, cité par Charles Rycroft, Wilhelm Reich, trad. Annie Louaver, Paris, Seghers, 1972, p.47-48.
(5) Pour en savoir plus : L. De Marchi, Wilhelm Reich. Biographie d’une idée, trad. Paul Alexandre, Paris, Fayard, 1973, p.227.
(6) «La maladie mentale n’existe pas» (Source : Le Traité de savoir-vivre à l’usage des jeunes générations, réédition de 1992 : Paris, Gallimard «Folio-Actuel», p.77)
(7) «[L]’ennui est toujours contre-révolutionnaire» (Source : troisième fascicule de L’Internationale situationniste).
New Level Of Pornography est l’initiative de deux suédoises, Zara Kjellner et Alicia Hansen. C’est un site qui permet à différents artistes d’exprimer leur autre vision de la pornographie. Sortir des stéréotypes masculino-centrés de la pornographie habituelle et proposer un regard plus féminin du désir et parfois également décalé.
Il y a un problème identifié ? Plutôt que de s’en plaindre, essayer de trouver une solution. Voilà une manière de voir les choses que j’aime. La plateforme New Level Of Pornography est une pierre à l’édifice supplémentaire dans la tentative d’explorer différents regards sur la pornographie.… Lire la suite
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« Oubliez un moment que vous avez été abandonné(e) dans une flaque de sperme sur un pauvre matelas sans drap mis à même le sol d’une chambre éclairée par une lampe à lave – Fermez vos yeux et laissez-nous vous emmener sur un lit de roses où le ciel est toujours bleu, où les licornes volent et où l’argent pousse sur les arbres. » On connaissait Asa Akira comme porn star, on l’a découverte auteure, la voilà désormais dans le monde merveilleux de la bougie. Oui, oui.
Avec cette délicieuse sélection de fragrances à l’eau de rose et d’eucalyptus, la ligne Candles by Asa Akira vous assure une recette subtile de « deux queues dans ses fesses en même temps » pour la bougie After Anal. L’actrice propose également une sélection d’incandescents du Daddy Issues aux fragments de tabac à la Yellow Fever garnit de jasmin et de thé vert. A chaque fantasme sa bougie.
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Avec une durée de 40h, chaque bougie accompagnera aisément les ambiances joviales et donnera une note dorée à votre intérieur. Cadeau à offrir à mamie pour son anniversaire, sûre que ça lui plaira, surtout celle qui s’appelle High Class Hooker.
Vous savez que je ne rate pas l’occasion de sortir dans les soirées les plus décadentes dès que j’ai l’occasion, cette fois ci, voici que l’on est sorti avec toute l’équipe (largement étendue) de NXPL à la Nuit Dèmonia Winter Party qui a eu lieu en décembre de l’année dernière (2016). Voici ce qu’il s’est…
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Le Conseil constitutionnel s'est prononcé sur l'introduction de la notion d'identité de genre dans différentes dispositions pénales réprimant notamment la diffamation ou des discriminations.
Ces dispositions utilisaient jusqu'à présent les notions de sexe, d'orientation sexuelle et d'identité sexuelle. Le législateur, qui a maintenu les notions de sexe et d'orientation sexuelle, a substitué à la notion d' « identité sexuelle » celle d' « identité de genre »
Le Conseil constitutionnel s'est prononcé sur l'introduction de la notion d'identité de genre dans différentes dispositions pénales réprimant notamment la diffamation ou des discriminations.
Ces dispositions utilisaient jusqu'à présent les notions de sexe, d'orientation sexuelle et d'identité sexuelle. Le législateur, qui a maintenu les notions de sexe et d'orientation sexuelle, a substitué à la notion d' « identité sexuelle » celle d' « identité de genre »