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« Ô ton con Qu’il sent bon J’y fouille Tant de la gueule que du blair… » Paul Verlaine Cunnilingus vient du latin cunnus, con, c’est-à-dire sexe féminin et lingere, lécher. Dans le passé… Le cunnilingus a été tabou dans la société occidentale jusque récemment. En revanche, il a une place importante dans le taoïsme...
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Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.En fait, c’est pas tout à fait vrai. Disons que malgré tout ce que pourrait laisser entendre mes différents billets sur ce blog et mon ouverture aux choses du cul, je ne suis pas une amatrice de porno (je vais parler ici principalement des films pornos, pas des photos et autres matériaux à caractère pornographique). Je m’y intéresse pourtant, je peux citer quelques noms d’acteurs et de studios, je sais ce qu’est un tag et ce qu’on trouve chez Kink, Dorcel ou Erika Lust. Je peux même me vanter d’avoir une culture porn plus étendue que pas mal de mes amis mâles – qui passent pourtant beauuuucoup plus de temps que moi sur les tubes.
Sauf que voilà, le porn, je le regarde d’un oeil très distant, observateur, en essayant de comprendre le quel est le fuck du truc et le pourquoi tout ce chahut.
Car moi, le porn, ça ne m’excite pas.
Enfin, pas vraiment. Je vous expliquais il y a quelques mois que j’avais beaucoup de mal à trouver du porn qui me plaise. Et comme je suis une grosse flemmarde, je ne prends pas non plus la peine de chercher. Si le contenu me tombe dans les mains je vais regarder, ou pour l’esthétique et et l’attrait érotique (j’ai déjà acheté des DVDs d’Erika Lust ou de X-Femmes), mais je me lasse vite, et je n’y trouve que rarement de l’intérêt.
Le vrai mystère, pour moi – et qui est pourtant tout le point de l’existence du porn – c’est la visée masturbatoire.
J’ai essayé, promis. Ça m’est arrivé de me toucher devant du porn. Et je ne nie pas y avoir parfois trouvé une certaine excitation, Mais je n’y trouve pas plus d’intérêt que ça. Le fameux «PMO» (pour Porn-Masturbation-Orgasme) n’a aucun sens pour moi, et je ne vois pas d’intérêt de me faire chier à chercher du porn quand j’ai envie de me toucher : j’arrive très bien à prendre du plaisir sans ça. C’est un peu comme si je n’avais jamais vraiment aimé l’alcool et que je ne comprenais pas les gens qui ont besoin d’en consommer pour s’amuser.
Cette approche ne m’empêche pas du tout de comprendre l’intérêt ni l’existence du porn, mais j’avoue qu’elle me donne parfois de la difficulté à concevoir qu’on ne puisse plus atteindre l’orgasme sans porno, et encore moins qu’on puisse y développer une «dépendance» (oui, la consommation de porno peut devenir une habitude néfaste… ou plutôt ce fameux PMO qui devient une routine dont il est parfois difficile de se détacher). Je ne suis pas non plus une anti-porn, et je ne valide pas ces mouvements, bien loin de là ! Ce qui me «dépasse» c’est plutôt la (sur)consommation que certain.e.s peuvent en faire.
Je ne sais pas pourquoi je n’ai jamais développé d’intérêt pour le porn en tant que support masturbatoire – j’ai pourtant passé du temps sur les Internets à un très jeune âge pour satisfaire ma curiosité sur le sujet du sexe et de la sexualité, je traîne sur Tumblr, j’adore lire des textes érotiques, mais je crois que l’esthétique porn, le fait d’imposer une vision et un son à mon esprit n’allume pas chez moi les bonnes synapses – comme si je n’avais pas développé ma sensibilité érotique par ce biais (et pourtant, je trippe sur des photos ou scènes de films !), comme si je préférais activer d’autres sens ou simplement me concentrer sur les sensations…
Je n’ai pas de conclusion à cet article. Je réalise simplement à échanger avec ceux qui m’entourent (dont mon mec, qui est un gros consommateur des tubes) que toute cette frénésie me dépasse, et que je n’ai pour le porn qu’une curiosité distante par rapport à la majorité des gens. Je ne suis pas non plus une masturbeuse compulsive – il m’arrive parfois de rester plusieurs semaines sans ressentir le besoin de me toucher. Ceci expliquant peut-être cela… ?
Toujours est-il que, pornophiles ou pornophobes, partagez vos expériences !
Qu’il soit nommé «pieu» ou «épine», «gourdin» ou «asticot», «anguille» ou «nouille», le pénis met toujours les lexicographes en joie. En témoigne un livre répertoriant plusieurs centaines de citations et de mots d’esprit : «Les Mots qui font mâle», aux éditions Hoebecke. Florilège…
Dans un ouvrage tout entier consacré aux «Mots qui font mâle», Jean Feixas et Emmanuel Pierrat répertorient les manières les plus inventives de défendre son cas. Il y a ceux qui vantent la taille de leurs attributs. Certains désignent leur sexe en usant d’unités de mesures équivalentes à 25 centimètres : le chibre, par exemple, serait – à l’origine – l’équivalent d’un empan, c’est-à-dire la distance séparant l’extrémité du pouce et celle du petit doigt. Vantardise
Le lexique recensé dans l’ouvrage des «Mots qui font mâle» rassemble par ordre alphabétique environ 200 mots pour désigner les organes génitaux masculins, d’aiguille à zob en passant par les plus étonnantes métaphores. «Doigt sans ongle», «merveilleuse fontaine», «tringle à frissons», «orage», «plût-à-dieu», «Salvum me fac» («Ce qui fait mon salut»)… Chaque mot est illustré de citations empruntées à des poèmes anciens ou des textes licencieux parfois Très Bien Tournés. Les verges mettent en verve et ça fait… des saillies.
La vantardise bien sûr est de mise parmi les auteurs de textes écrits à la gloire du «glaive» : nombreuses sont les métaphores conquérantes assimilant le sexe à une arme de destruction massive. «Fléau», «gourdin», «mandrin» ou «mitrailleuse»… Pour faire céder leur proie, les beaux parleurs affirment toujours posséder des «arguments» massue.
Le problème avec l’argument : mieux vaut qu’il soit de taille. S’il n’est pas convaincant, l’homme s’expose à la risée. Les mots pour désigner le pénis sont pour moitié moqueurs : «hochet», «sucre d’orge», «pissette», «poupon», «robinet», «virgule», «zizi»… Dans les sociétés qui assimilent le sexe à la guerre, la métaphore du combat perdu d’avance revient souvent : il est vain de se croire le plus fort à ce jeu-là, car les «proies» peuvent facilement prendre leur revanche sur ceux qui les déçoivent. En les épuisant.
Ce que les métaphores guerrières dissimulent – quoique à peine – se ramène donc toujours à l’expectative d’une défaite. L’arc trop tendu débande. Le poignard s’émousse. Le pieu ramollit. De façon récurrente, les hommes partent au front «certains d’être vaincus».
Aucune arme aussi massive soit-elle ne résiste à sa propre puissance de feu. Programmé pour s’autodétruire, l’homme finit toujours par capituler. Ce que les proies soulignent avec une morgue teintée de rancœur : la défaite de l’homme ne signe-t-elle pas leur propre impuissance à ressusciter le désir ? Au fond, personne ne gagne.
La proie reste sur sa faim quand son chasseur ne peut plus la «tuer d’amour». Qui possède qui dans cet univers de mâles attrapés par la queue ? Les voilà piégés, pareilles à de pauvres bécasses prises au collet. Les «pantaines» sont des filets étrangleurs pour capturer les oiseaux dont la forme fait penser à un sexe de femme…
L’homme n’est finalement rien d’autre que la nourriture «délicieuse» des femmes dans cet univers de faux-semblants. Même les femmes qui, en théorie, ne savent rien de la chose reprennent vie, au moins le temps de donner leur avis sur les vits : «Ceux que je préfère…»
Le pénis ranime les mourantes. Le pénis est la lumière dans les ténèbres. Le pénis est un don de Dieu. Le pénis est dédié aux femmes qui – tels des saints – montrent leurs seins afin que vers elles montent les flammes des cierges et des vœux.
Plus que l’aspect belliciste des métaphores sexuelles – ce que l’ouvrage «Des mots qui font mâle» met en lumière c’est donc surtout l’ambiguïté de ces rapports de force : les chasseurs ont besoin des proies autant que les proies des chasseurs pour entretenir la mascarade. Sans elle, il n’y aurait plus de course-poursuite, plus de combat, plus d’enjeu peut-être. Peut-être qu’au fond le désir dépend de ce jeu de simulation qui consiste à mimer tantôt le chasseur, tantôt la proie, tantôt le vainqueur, tantôt l’effroi ?
Mais peu importe qui joue quoi, femme ou homme, instrument pénétrant ou absorbant, outil qui perce ou qui avale, les rôles sont interchangeables et les pénis les plus conquérants ne sont finalement jamais que des «cœurs» à prendre, tous tremblants.
Dans la main des vierges, le sexe des hommes frémit puis se flétrit. Il est comme un fétu de paille et les proies le contemplent avec une feinte indifférence, parfois même du dédain : «Je ne désire pas attirer des choses petites comme vous».
L’image de l’ambre ici est intéressante : elle convie tout un imaginaire du magnétisme, figuré par dans ces pierres d’ambre – connues pour posséder les pouvoirs électrostatiques. Ambre en Grec se dit «électron» : lorsqu’on les frotte, elles attirent la limaille. Et c’est justement dans ce registre de l’attraction «naturelle» que les hommes et les femmes brodent le plus souvent la métaphore des sexes qui se dirigent les uns vers les autres, soumis à l’inévitable conjonction, de même que les astres pris au piège de leurs gravitations respectives. Lorsqu’une femme accapare un homme, elle s’attriste de priver ses sœurs d’un bel aimant ? D’un bel amant ? Les femmes elles-mêmes ne sont que des brins de paille.
On peut donc lire ce lexique des «Mots qui font mâle» moins comme une illustration des rodomontades masculines ou l’expression de leurs angoisses que comme une sorte de petit théâtre dans lequel des êtres se courent après, se fuient ou se repoussent, simulent toutes les affres d’une guerre des sexes qui n’est qu’un jeu de rôle. Jeu de rôle dont ils ne sont pas forcément conscients d’ailleurs… Raison pour laquelle les hommes et les femmes ont si souvent besoin, pour justifier le désir, de l’ancrer dans le domaine du sacré (ou du biologique, ce qui revient au même) afin de donner une apparence de légitimité à la répartition trop stricte des rôles dans lesquels ils se cantonnent : la plupart des citations répertoriées par Jean Feixas et Emmanuel Pierrat trahissent cette sorte de réflexe idéologique qui consiste à dire des sexes mâles et femelles qu’ils sont complémentaires et aussi indispensables l’un à l’autre que l’eau au moulin, l’anchois au saladier, la cage au perroquet, le bonnet au Saint-Esprit ou le pied à la chaussure…
Dans la France de l’ancien régime, le vagin est nommé «petit cas» et le pénis «Ce qu’il y faut».
Traduisez : si l’homme met «ce qu’il y faut», le cas est réglé. La paix règne et les vaches sont bien gardées. Arrive la révolution française. Suivant un subtil changement de paradigme, dans la France du XXe siècle, l’ordre divin devient celui de «la nature». Aux décrets du ciel on substitue ceux de l’ADN. Mais qui peut être dupe d’un tel tour de passe-passe ? Personne bien sûr. A part l’immense majorité de la population qui continue de dire que la science et la religion n’ont strictement rien à voir. Je plaisante… bien sûr.
A LIRE : Les mots qui font mâle, de Jean Feixas et Emmanuel Pierrat, éditions Hoebecke
LIRE AUSSI : «La chose, la chose, c’est tout ce que tu sais faire» (analyse du mot chose et cas pour désigner le sexe). «J’ai envie de te… ?» (décryptage critique de la langue amoureuse). «Les mots pour le faire, les mots pour le dire» (langage de la sexualité).
Qu’il soit nommé «pieu» ou «épine», «gourdin» ou «asticot», «anguille» ou «nouille», le pénis met toujours les lexicographes en joie. En témoigne un livre répertoriant plusieurs centaines de citations et de mots d’esprit : «Les Mots qui font mâle», aux éditions Hoebecke. Florilège…
Dans un ouvrage tout entier consacré aux «Mots qui font mâle», Jean Feixas et Emmanuel Pierrat répertorient les manières les plus inventives de défendre son cas. Il y a ceux qui vantent la taille de leurs attributs. Certains désignent leur sexe en usant d’unités de mesures équivalentes à 25 centimètres : le chibre, par exemple, serait – à l’origine – l’équivalent d’un empan, c’est-à-dire la distance séparant l’extrémité du pouce et celle du petit doigt. Vantardise
Le lexique recensé dans l’ouvrage des «Mots qui font mâle» rassemble par ordre alphabétique environ 200 mots pour désigner les organes génitaux masculins, d’aiguille à zob en passant par les plus étonnantes métaphores. «Doigt sans ongle», «merveilleuse fontaine», «tringle à frissons», «orage», «plût-à-dieu», «Salvum me fac» («Ce qui fait mon salut»)… Chaque mot est illustré de citations empruntées à des poèmes anciens ou des textes licencieux parfois Très Bien Tournés. Les verges mettent en verve et ça fait… des saillies.
La vantardise bien sûr est de mise parmi les auteurs de textes écrits à la gloire du «glaive» : nombreuses sont les métaphores conquérantes assimilant le sexe à une arme de destruction massive. «Fléau», «gourdin», «mandrin» ou «mitrailleuse»… Pour faire céder leur proie, les beaux parleurs affirment toujours posséder des «arguments» massue.
Le problème avec l’argument : mieux vaut qu’il soit de taille. S’il n’est pas convaincant, l’homme s’expose à la risée. Les mots pour désigner le pénis sont pour moitié moqueurs : «hochet», «sucre d’orge», «pissette», «poupon», «robinet», «virgule», «zizi»… Dans les sociétés qui assimilent le sexe à la guerre, la métaphore du combat perdu d’avance revient souvent : il est vain de se croire le plus fort à ce jeu-là, car les «proies» peuvent facilement prendre leur revanche sur ceux qui les déçoivent. En les épuisant.
Ce que les métaphores guerrières dissimulent – quoique à peine – se ramène donc toujours à l’expectative d’une défaite. L’arc trop tendu débande. Le poignard s’émousse. Le pieu ramollit. De façon récurrente, les hommes partent au front «certains d’être vaincus».
Aucune arme aussi massive soit-elle ne résiste à sa propre puissance de feu. Programmé pour s’autodétruire, l’homme finit toujours par capituler. Ce que les proies soulignent avec une morgue teintée de rancœur : la défaite de l’homme ne signe-t-elle pas leur propre impuissance à ressusciter le désir ? Au fond, personne ne gagne.
La proie reste sur sa faim quand son chasseur ne peut plus la «tuer d’amour». Qui possède qui dans cet univers de mâles attrapés par la queue ? Les voilà piégés, pareilles à de pauvres bécasses prises au collet. Les «pantaines» sont des filets étrangleurs pour capturer les oiseaux dont la forme fait penser à un sexe de femme…
L’homme n’est finalement rien d’autre que la nourriture «délicieuse» des femmes dans cet univers de faux-semblants. Même les femmes qui, en théorie, ne savent rien de la chose reprennent vie, au moins le temps de donner leur avis sur les vits : «Ceux que je préfère…»
Le pénis ranime les mourantes. Le pénis est la lumière dans les ténèbres. Le pénis est un don de Dieu. Le pénis est dédié aux femmes qui – tels des saints – montrent leurs seins afin que vers elles montent les flammes des cierges et des vœux.
Plus que l’aspect belliciste des métaphores sexuelles – ce que l’ouvrage «Des mots qui font mâle» met en lumière c’est donc surtout l’ambiguïté de ces rapports de force : les chasseurs ont besoin des proies autant que les proies des chasseurs pour entretenir la mascarade. Sans elle, il n’y aurait plus de course-poursuite, plus de combat, plus d’enjeu peut-être. Peut-être qu’au fond le désir dépend de ce jeu de simulation qui consiste à mimer tantôt le chasseur, tantôt la proie, tantôt le vainqueur, tantôt l’effroi ?
Mais peu importe qui joue quoi, femme ou homme, instrument pénétrant ou absorbant, outil qui perce ou qui avale, les rôles sont interchangeables et les pénis les plus conquérants ne sont finalement jamais que des «cœurs» à prendre, tous tremblants.
Dans la main des vierges, le sexe des hommes frémit puis se flétrit. Il est comme un fétu de paille et les proies le contemplent avec une feinte indifférence, parfois même du dédain : «Je ne désire pas attirer des choses petites comme vous».
L’image de l’ambre ici est intéressante : elle convie tout un imaginaire du magnétisme, figuré par dans ces pierres d’ambre – connues pour posséder les pouvoirs électrostatiques. Ambre en Grec se dit «électron» : lorsqu’on les frotte, elles attirent la limaille. Et c’est justement dans ce registre de l’attraction «naturelle» que les hommes et les femmes brodent le plus souvent la métaphore des sexes qui se dirigent les uns vers les autres, soumis à l’inévitable conjonction, de même que les astres pris au piège de leurs gravitations respectives. Lorsqu’une femme accapare un homme, elle s’attriste de priver ses sœurs d’un bel aimant ? D’un bel amant ? Les femmes elles-mêmes ne sont que des brins de paille.
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Dans la France de l’ancien régime, le vagin est nommé «petit cas» et le pénis «Ce qu’il y faut».
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A LIRE : Les mots qui font mâle, de Jean Feixas et Emmanuel Pierrat, éditions Hoebecke
LIRE AUSSI : «La chose, la chose, c’est tout ce que tu sais faire» (analyse du mot chose et cas pour désigner le sexe). «J’ai envie de te… ?» (décryptage critique de la langue amoureuse). «Les mots pour le faire, les mots pour le dire» (langage de la sexualité).
Et voilà que débarque, par surprise, un nouveau rendez-vous (s’agira-t-il d’un « one shot » ou d’un rendez-vous régulier, nul ne le sait encore ?) à Paris. En tout cas, le moins que l’on puisse dire est qu’il suscite la curiosité et pas mal d’enthousiasme dans la communauté fétichiste et BDSM parisienne ces derniers jours et que son nom a le mérite d’être subtil et original.
La soirée « L’Art et la Matière » est une soirée (entrée gratuite) ouverte à toutes les personnes qui s’intéressent aux univers fétichistes et/ou BDSM. Il s’agit d’une soirée axée uniquement sur les contacts, les rencontres et les dialogues qui se font le plus simplement du monde dans un tout nouvel espace bar et restaurant autour d’un verre ou d’un repas (vous n’êtes pas obligés de manger). Aucune tenue ne vous est imposée pour participer puisqu’il s’agit d’une soirée où vous ne pourrez pas pratiquer mais uniquement nouer de nouveaux liens entre photographes et modèles par exemple mais également entre organisateurs de soirées, simples participants, créateurs de mode fétichiste, gérants de galeries d’art alternatif, spécialistes du shibari et personnes à la recherche de cours en ce domaine, boutiques d’accessoires BDSM, nouveaux venus souhaitant obtenir des informations sur tous les aspects du milieu fétichiste et/ou BDSM…
Alors si vous souhaitez faire de nouvelles rencontres, obtenir des réponses directes aux questions que vous vous posez sur le milieu fétichiste et BDSM ou trouver des partenaires pour de nouveaux projets artistiques, associatifs voire commerciaux, il vous suffit de compléter et d’envoyer le petit formulaire présent sur la page mentionnée à la fin cet article. Vous recevrez en réponse l’adresse précise de la soirée « L’Art et la Matière » afin de pouvoir vous joindre à la centaine de personnes qui devraient assurer de leur présence ce rendez-vous.
Pour obtenir votre invitation gratuite et l’adresse précise cliquez ci-dessous :
http://www.moderniterelative.com/lart-et-la-matiere/