D'un côté, des féministes qui refusent que soit créé le statut d'assistant(e) sexuel(le) en France en arguant qu'il s'agit de prostitution, et que la prostitution est une violence faite aux femmes.
De l'autre, des personnes qui défendent la création de ce statut, souvent des personnes en situation de handicap physique, qui récusent qu'il s'agit de prostitution et qui font valoir le droit à une vie affective et sexuelle.