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Bonne nouvelle pour tous les amateurs de cam : Chaturbate vient d’inaugurer le tag “Recommended”. Grace à cette nouvelle fonctionnalité, les inscrits se verront proposer une gamme personnalisée de rooms au sommet de leur page d’accueil. “Peu importe ce qui vous fait décoller, les tatouages, les twinks, le cosplay ou les cumshots, vous trouverez une sélection de “Recommended broadcasters” conformes à vos fantasmes personnels !” proclame fièrement le post de blog qui annonce la nouveauté. Même si on ne sait exactement comment il fonctionne concrètement.
A vous d’en déduire nos goûts
Le tag « Recommended » va servir aux tippeurs comme à celles et ceux qui les font tipper. Chaturbate affirme que grâce à son nouvel algorithme, les diffuseurs moins populaires pourront être trouvés sans efforts par les internautes. Peu importe le nombre de spectateurs déjà présents dans la salle : ce qui compte, assure le site de cam, ce sont les qualités de l’artiste en présence. “C’est particulièrement avantageux pour les diffuseurs débutants et ceux qui ont une personnalité ou un look unique, car il est possible de mettre ses talent spécial en évidence sur son profil, explique-t-on sur le blog de Chaturbate. Comme ça, les fans vous trouveront plus vite !”
La nouvelle fonctionnalité est toujours en phase beta. De fait, Chaturbate a besoin de vos retours pour la peaufiner : direction support@chaturbate.com pour toute remarque ou recommandation. Et si vous préférez parcourir le site à l’aveuglette pour y dénicher la perle rare, il est possible de désactiver le “Recommended” dans les options de votre compte.
L’Inter-LGBT annonce aujourd’hui que la Marche des fiertés de Paris aura un troisième parrain aux côtés de la présidente d’Amnesty International France Geneviève Garrigos et du photographe Quentin Houdas. Il s’agit du militant trans et photographe Axel Léotard. Il édite le magazine d’art Corridor Elephant et est l’auteur de Mauvais Genre récit autobiographique dans lequel il raconte sa transition sorti en 2009 chez Hugo et Cie et de Osez… changer de sexe, guide sur la transition publié chez la Musardine en 2013.
Il sera dans le carré de tête de la Marche qui partira du quai du Louvre à 14h samedi 2 juillet.
Il y aura donc finalement bien une personne trans parmi les parrain et marraine de la Marche des fiertés qui porte cette année un mot d’ordre en faveur des droits des personnes trans. Lors de la conférence de presse qui s’est tenue jeudi 23 juin, l’Inter-LGBT avait été questionnée par Yagg sur cette absence. L’interassociative avait alors affirmé que des difficultés de disponibilité était entrées en jeu.
L’Inter-LGBT annonce aujourd’hui que la Marche des fiertés de Paris aura un troisième parrain aux côtés de la présidente d’Amnesty International France Geneviève Garrigos et du photographe Quentin Houdas. Il s’agit du militant trans et photographe Axel Léotard. Il édite le magazine d’art Corridor Elephant et est l’auteur de Mauvais Genre récit autobiographique dans lequel il raconte sa transition sorti en 2009 chez Hugo et Cie et de Osez… changer de sexe, guide sur la transition publié chez la Musardine en 2013.
Il sera dans le carré de tête de la Marche qui partira du quai du Louvre à 14h samedi 2 juillet.
Il y aura donc finalement bien une personne trans parmi les parrain et marraine de la Marche des fiertés qui porte cette année un mot d’ordre en faveur des droits des personnes trans. Lors de la conférence de presse qui s’est tenue jeudi 23 juin, l’Inter-LGBT avait été questionnée par Yagg sur cette absence. L’interassociative avait alors affirmé que des difficultés de disponibilité était entrées en jeu.
L’équipe part sur le banc de touche ces prochains jours, mais ne laissera en aucun cas tomber les Graphics Interchange Format de la semaine pour autant. Certains retournent dans les couches de leurs mères, d’autres partent sur la côte Bretonne. Pour l’occasion, le Boss et Margode se mobilisent pour contribuer à rendre les images plus belles et plus diverses. Ce qui permettra également de calmer l’orientation pro-Natasha Nice qu’ont pris les gifs ces dernières semaines.
Vous risquez de voir souvent passer ces prochaines semaines du PornFidelity par ici car ils viennent de débarquer en force sur les tubes. Pour fêter ça, voici une petite bougie qui s’éteint avec de la bave. Au fait, si vous ne connaissez pas Charlotte Sartre on vous conseille de préparer vos meilleurs blagues sur Jean-Popaul et d’accrocher votre coeur, elle débarque et prend une sérieuse pente goth-bdsm.
Charlotte Sartre – Dark Perversions #2 – Porn Fidelity
Lubrifiée comme jamais, cette teub ruisselle comme un poteau dans la tempête. Mais n’ayez pas peur, c’est bien une tempête d’amour que cet engin s’apprête à subir sous les attaques répétées et incessantes d’Alexis Adams dont la beauté des seins n’égale que celui de son magnifique strabisme (les vrais savent).
Alexis Adams – Jealous Sister Joi – Lubed
On t’as grillé Hello Marry, on le voit ton écran, soit tu simules soit tu peux le dire que tu fap sur des démos de Battlefield 1, y’a aucun mal à ça. En attendant, si la 1ère option est la vraie, tu es la Comédia Del Arte du vibro à toi toute seule, spécialement durant le passage où tu trembles vers la fin de la vidéo, qui est somme toute très beau.
Hello Marry – Watching a Porn Video – Pornhub
Les parodies vont bon train en cette période électorale : Wood Rocket forcément, Badoink/Pornhub puis maintenant Cam Soda. J’ai naturellement sélectionné la production de ces derniers car c’est de loin la plus DIY et la plus bancale des trois. Ce qui lui confère un charme tout particulier, entre les débats géopolitiques un peu brouillons et les décors et accessoires sur le point de lâcher prise.
Donald Trump and Hillary Clinton Fucking Bernie Sanders and Megan Parody – CamSoda
Pas de blagues sur les dwarfs à relever ici, pas de référence à Passe-partout et compagnie. L’envie m’est passée à partir du moment où je me suis découvert un petit sentiment d’affection pour ce passage super mignon.
Source Inconnue
Photo de couverture : Donald Tramp – The XXX parody
Le WHAT THE FUCK ? FEST*** ! approche à grands pas. Les 8, 9 et 10 juillet prochains, la première édition du festival qui entend “valoriser les diversités de discours et de représentations des identités et expressions sexuelles” investira le Cirque Electrique. L’idée nous plaît tellement que nous avions évoqué l’événement dès le mois de mai dernier, avant même que sa programmation ne soit révélée. Maintenant que l’on sait ce qui va s’y passer, nous avons décidé d’en remettre une couche.
Tout commencera très vite la vendredi 8 juillet à 19h. Après un vernissage sur le thème des “corps transcendés exprimant le foisonnement de nouvelles identités au-delà des normes cultivées par notre société”, le WHAT THE FUCK ? FEST*** ! proposera à ses visiteurs de se plonger dans un shooting porno grâce à la réalité virtuelle. Dès 21h, on enchaînera sur Porn Art & Fun, une sélection de treize courts métrages sur le thème du sexe. A 23h, la phase musicale de la soirée d’ouverture commencera avec un concert de Martin Poppins, suivi d’un DJ Set de MARKUS ₵HAK.
La deuxième journée du WHAT THE FUCK ? FEST*** ! commencera à 14h avec une conférence sur le porno trans au bar-restaurant le Nouveau Tigre. Pendant ce temps, les projos reprendront du service : entre 14h15 et 18h15, toute une gamme de courts métrages sera projetée au public. Le long métrage When we are together we can be anywhere sera également montré, en présence de sa réalisatrice Marit Ösberg. Entre 18h15 et 21h, séance de rattrapage pour les spectateurs qui auraient loupé la session VR de la veille. En soirée, on abandonnera les écrans pour une série de performances artistiques, avant de se laisser porter par un DJ set d’ODM.
La dernière journée du festival s’ouvrira à 14h sur Yes, we fuck !, un documentaire consacré à la sexualité des personnes handicapées. Pendant la projection, une conférence consacré au “monde cuir gay” sera menée en présence de Hugues Fischer, Mister Leather France 2013. Entre 14h30 et 18h30, WHAT THE FUCK ? FEST*** ! vous proposera de découvrir en exclusivité le film en réalité virtuelle Viens !, “une expérience à 360° et une installation spéciale”. Dès 16h, une ciné-rencontre permettra aux participants d’entrer en contact avec les acteurs et réalisateurs d’une petite dizaine de courts métrages. Au même moment, les audiophiles se laisseront pénétrer la cochlée par l’installation sonore Super Sexouïe. La soirée de clôture commencera à 19h30 avec une nouvelle série de courts métrages, suivie à 21h d’un DJ set de Maïc Batmane.
Pour assister au WHAT THE FUCK ? FEST*** ! rendez-vous sur la billetterie en ligne du Cirque Electrique. Le pass trois jours vous coûtera une petite cinquantaine d’euros, la soirée d’ouverture une dizaine d’euros, la soirée performance 16 euros.
Au CCF, on donne de notre personne ! Vendredi 3 juin dernier, lorsque vous étiez tous en train de profiter de votre première soirée du weekend, sous une température presque acceptable, Claire, Joe et Mrs Rose montaient dans un taxi, toutes 3 vêtues de cuir et de latex. Pourquoi, vous demanderez vous ? Pour se...
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Cette année, le festival Erosphère du 10 au 17 juillet, se met à la page du slow sex à travers divers ateliers. L’idée, c’est...
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Si les histoires de coeur finissent mal, c’est la faute aux femmes et aux archétypes. Dans un ouvrage roboratif qui énumère les principales raisons de l’échec amoureux, Florence Lautrédou tape sur les contes de fée.
Un jour, un psychanalyste lui dit : «L’amour ? Une pathologie. Suffit de voir comme les gens souffrent.» Florence Lautrédou (qui vient juste de rompre), opine lugubrement du chef. Oui, certainement, l’amour fait mal. Mais le non-amour fait encore plus mal.
Vous préférez rompre ou vous accrocher ?
Plutôt mourir que rester coincé(e) dans un mariage convenable. «On ne peut nier le caractère pathologique du couple ancien régime, ce forceps du binôme amoureux qui a témoigné de son caractère mortifère. Outre les violences conjugales, destinées aux femmes, il a conduit des générations de mal appariées à développer des maladies graves et autres modes d’expression d’émotions négatives retournées contre soi. Cancers, maladies auto-immunes, pathologies de dégénérescence funestes ou encore, radical, l’accident mortel seul au volant en rentrant à «la maison» qui met fin au calvaire, tous résultats d’une souffrance chronique, éprouvée jour après jour dans le désert de la maltraitance conjugale, dans le vide affectif d’un faux foyer, dans la détestation de soi et de ce qu’est devenue sa vie. Affaire dangereuse. On meurt du non-amour. Notre culture s’emploie à nous le signifier, pourtant, depuis des siècles de production littéraire, cinématographique, musicale, et… nous fonçons tête baissée dans la catastrophe».
Il y a huit pathologies d’échec amoureux…
La catastrophe est-elle une fatalité ? Non. Normalienne, agrégée de lettres modernes et psychanalyste (1), Florence Lautrédou analyse dans un très beau livre – L’Amour, le vrai – les raisons pour lesquelles ça ne marche pas. Elle en trouve huit. Il existe en effet huit schémas récurrents d’échec : toujours les mêmes, dit-elle, en suggérant à ses lectrices d’identifier celui qui leur correspond. Toute thérapie repose, au préalable, sur un diagnostic. Le fait que Florence Lautrédou s’adresse avant tout aux femmes est d’ailleurs loin d’être innocent : les femmes sont les principales coupables et les premières victimes des ratages en amour. Pourquoi ? Parce qu’on enseigne aux femmes, depuis la «tendre» enfance, que leur seule raison d’être c’est «trouver un gentil garçon» pour «faire sa vie en couple». Les femmes ont presque toutes grandi dans l’idée qu’elles ne valaient rien pour elles-mêmes. Ce qui les rend particulièrement «stupides» en matière de sentiments. Elles sont trop dépendantes.
... Et ce sont huit pathologies féminines
Florence Lautrédou ne mâche pas ses mots : «La psyché féminine sur l’amour est marquée du sceau de cette imbécillité» qui consiste à se croire «nulle» quand on n’est pas en couple. La vie des femmes tourne entièrement autour de ce principe – l’Amour – qui seul donne sens à leur existence. C’est du moins ce qu’on leur fait croire, à grand renfort «de passif transgénéalogique, d’inconscient collectif de souffrance et d’humiliation, et, surtout, d’un substrat culturel de contes et de légendes, d’histoires de princesses de château ou de télé qui fausse dès la naissance la perception des femmes sur elles-mêmes, sur leur valeur, forcément inférieure, et sur la nécessité d’une relation amoureuse pour l’établir. Clarissa Pinkola Estés s’est livrée à une analyse implacable de ces croyances accrochées à la psyché féminine. Elle a décortiqué un à un chacun de nos conditionnements ancrés dans un référentiel consensuel de contes, légendes, traditions populaires, qui déterminent le destin amoureux de la femme, pour souvent la réduire».
Quel archétype préférez-vous ?
Avec des mots précis, Florence Lautrédou dissèque les huit archétypes auxquels les femmes s’identifient le plus souvent et qui les conduisent à gâcher leur relation : «Martyre, Mentor, Sauveuse, Vierge, Princesse, Ange, Esclave, Mère, Servante, Victime, Prostituée, Femme fatale». Pour illustrer chacun de ces archétypes, Florence raconte des histoires à la vérité troublante, qui sont celles de ses innombrables patientes. Prenez la Mentor, par exemple, c’est l’archétype de la conformiste qui refuse de coucher le premier soir : par principe ou par peur ? En se «donnant», elle craint de perdre toute valeur aux yeux de l’autre. Elle ne songe donc qu’à l’épouser et le piéger dans une «relation sérieuse», dont elle règle le timing. «Aucun homme, sauf un non-homme justement, n’acceptera de se voir ainsi encadré», note Florence, avec ironie. Autrement dit : la castratrice qui veut tout contrôler finit forcément par payer. Elle attire les faibles, faciles à castrer. La Maman qui veut materner, elle, attire les mâles infantiles. La Martyre attire les sadiques. La Princesse attire les machos. etc. Dans ce petit théâtre des archétypes oppressifs et limitants, les femmes se condamnent à ne rencontrer que leur pendant mâle «pour des chorégraphies aussi brutales qu’éculées».
Si vous avez peur, vous êtes déjà des proies
Ainsi que Florence l’explique la peur motive la plupart des femmes : peur de la solitude. Peur de l’échec. «La peur emprisonne dans des schémas de réassurance irréels», ajoute-t-elle. «Quelles que soient les injonctions culturelles, familiales, sociales reçues par les hommes et les femmes, il est d’abord primordial de se reconnecter à l’instinct. Cette vérité vaut davantage pour les femmes, soumises à des modèles de féminité aliénants». Quelle solution ? Sortir du rôle qu’on s’est donné, dit-elle. Trouver d’autres modèles d’identifications : Vampirella, Wonder-woman, Magicienne ou Amazone, peu importe. «Les femmes auront aussi intérêt à lâcher certains archétypes pour en intégrer d’autres, plus favorables à leurs projets, y compris sentimentaux. Car plus une femme recontacte sa puissance féminine, grâce au bon choix d’archétypes, plus elle s’ouvre à la possibilité d’une vraie rencontre amoureuse. Ces schémas, très mécaniques, valent pour tous les types de couples, hétérosexuels autant qu’homosexuels, tant les mêmes polarités s’y retrouvent à travers les jeux de rôle de la relation, assortis des potentialités de simulacres et autres stéréotypes funestes». Conclusion : vous voulez être heureuse en amour ? Prenez pour role model des héroïnes que vous admirez, des icônes de fiction positives.
A LIRE : L’Amour, le vrai, de Florence Lautrédou, éd. Odile Jacob, 2016.
NOTE 1 : Elle a créé The Eye Opening Project, un collectif de professionnels des domaines de l’art, de la psychologie, de la science et de la spiritualité, qui promeut le recours à l’inspiration et aux ressources intuitives dans nos vies. Elle est l’auteur de Cet élan qui change nos vies. L’inspiration.
CET ARTICLE FAIT PARTIE D’UN DOSSIER EN DEUX PARTIES : la première partie s’intitule «L’amour, c’est quand on le fait sans préservatif ?».
POUR EN SAVOIR PLUS : «Filles, garçons : quels jouets ?» ; «La domination masculine» ; «Toutes les femmes sont des catins» ; «Faire l’amour pour faire plaisir ?».
L’été sera chaud ou ne sera pas. Vous en doutez ? La preuve par 7. Déluge ou canicule, peu nous importe, on se réchauffera les corps ailleurs qu’à Paris Plage. Au ciné Vend. 01 juillet à 20h : LUTINE à la Boutique des Arts Ménagés de Causette – PARIS 11ème Le synopsis : Une réalisatrice décide...
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C’est avec énergie et combativité que la Pride de Nuit s’est élancée hier soir de la Fontaine des Innocents à Paris, avec en tête de cortège la banderole portant le mot d’ordre «PS, la fierté c’est pas son genre». Un mot d’ordre contestataire qui a donné à cette deuxième édition de la Pride de Nuit une teneur festive et hautement revendicatrice, doublée d’une envie de redonner un nouveau souffle au combat militant LGBT.
Avant la marche, plusieurs militant.e.s issu.e.s des associations signataires de l’appel de la Pride se sont succédé.e.s au micro pour rappeler les nombreuses revendications de cette marche: le changement d’état civil libre et gratuit pour les personnes trans, l’ouverture de la PMA aux couples de femmes, aux femmes célibataires et aux personnes trans, la mise en place d’une véritable politique de la lutte contre le VIH et contre la sérophobie, mais aussi la défense des droits des travailleurs et travailleuses du sexe, la lutte contre les violences racistes et islamophobes, et la solidarité avec les sans-papiers et les réfugié.e.s.
Environ 3 000 personnes étaient présentes selon les organisatrices, soit largement plus que lors de la première édition. La marche a traversé le Marais pour rejoindre la place Baudoyer vers 22h où une dernière prise de parole de la militante d’Acceptess-T Giovanna Rincon a eu lieu (photo ci-dessous). Avec beaucoup d’émotion, elle a rendu hommage aux militant.e.s LGBT turques réprimé.e.s par la police à Istanbul ce dimanche et à une amie trans décédée du sida quelques jours plus tôt.
On s’étonnera de la faible présence policière visible durant la Pride de Nuit alors que les contraintes sécuritaires sont sans précédent en ce qui concerne la Marche des fiertés qui doit se tenir dans quelques jours, samedi 2 juillet, et dont le parcours a été raccourci de moitié.
Photos Xavier Héraud
C’est avec énergie et combativité que la Pride de Nuit s’est élancée hier soir de la Fontaine des Innocents à Paris, avec en tête de cortège la banderole portant le mot d’ordre «PS, la fierté c’est pas son genre». Un mot d’ordre contestataire qui a donné à cette deuxième édition de la Pride de Nuit une teneur festive et hautement revendicatrice, doublée d’une envie de redonner un nouveau souffle au combat militant LGBT.
Avant la marche, plusieurs militant.e.s issu.e.s des associations signataires de l’appel de la Pride se sont succédé.e.s au micro pour rappeler les nombreuses revendications de cette marche: le changement d’état civil libre et gratuit pour les personnes trans, l’ouverture de la PMA aux couples de femmes, aux femmes célibataires et aux personnes trans, la mise en place d’une véritable politique de la lutte contre le VIH et contre la sérophobie, mais aussi la défense des droits des travailleurs et travailleuses du sexe, la lutte contre les violences racistes et islamophobes, et la solidarité avec les sans-papiers et les réfugié.e.s.
Environ 3 000 personnes étaient présentes selon les organisatrices, soit largement plus que lors de la première édition. La marche a traversé le Marais pour rejoindre la place Baudoyer vers 22h où une dernière prise de parole de la militante d’Acceptess-T Giovanna Rincon a eu lieu (photo ci-dessous). Avec beaucoup d’émotion, elle a rendu hommage aux militant.e.s LGBT turques réprimé.e.s par la police à Istanbul ce dimanche et à une amie trans décédée du sida quelques jours plus tôt.
On s’étonnera de la faible présence policière visible durant la Pride de Nuit alors que les contraintes sécuritaires sont sans précédent en ce qui concerne la Marche des fiertés qui doit se tenir dans quelques jours, samedi 2 juillet, et dont le parcours a été raccourci de moitié.
Photos Xavier Héraud
Écrire avec Clarissa Rivière a été un vrai plaisir. Nous nous sommes plongées sans peine dans cet univers de dentelles et de corsets, racontant tour à tour les aventures de nos deux héroïnes, Claire et Juliette. Au début, nous avions chacune notre personnage (je vous laisse deviner qui est qui), mais rapidement, nos idées se … Read More →
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* Malena – Zaula
* Apolonia – Yerula
* Kika – Tercare
* Dolly Little and Hope Harper – When Girls Play
* Anny Aurora and Kimberly Brix – Redhead Girlfriends
* Ira – A Ballerina Returns
* Leocadia – Tantalizing Lips
* Katy Kiss – Sexed Up
* Jessi – School Girl Spanked
* Tiffany Doll – Saddle Up
* Kimmy Cumlots – Kawaii Girl
* Isabel Dean – I Want To Be Your Sex Toy
* Harmony Reigns – Daphne’s Mischief
* Bethany Benz – Tea and Coffee
* Kylie Quinn – Bet My Boots
* Adel C. – Fragile
* Aislin – In The Mood
* Niki Mey – Improper Thoughts
* Davon Kim – Wild Side
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J’aime la douceur de mon Maître. La tendresse de son regard, ses sourires, ses paroles et son humour souvent ironique. J’aime savoir qu’Il veille sur moi à chaque minute de mon existence, que ce soit pour me faire une surprise, prendre soin de moi avec un thé glacé préparé juste pour moi ou même pour me punir lorsque j’ai quitté la route qu’Il m’a tracée.
Eh oui, car même Ses coups de cravache sont l’un des symboles de l’Amour qu’Il me porte. Ils représentent les efforts, l’attention et la confiance qu’Il met en moi et en mes capacités. Tout ce qui vient de mon Maître me prouve une seule et unique chose : Il tient à moi et me protégera chaque jour de N/notre vie…
Cet article 28 Juin 2016 – Mon Maître est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.