Voilà bientôt huit ans que je « rewrite » – que je récris si vous préférez – des romans pour une célèbre collection (que nous appellerons ici, pour ne pas nuire à son prestige en en dévoilant les dessous, « H. »), au rythme de trois par mois – deux petits (d’environ 150 pages) et un gros (entre 300 et 350 pages).
(Je préfère ne pas faire le calcul du nombre de pages rewritées en huit ans, ce serait effrayant. Quoique, pourquoi faire sa chochotte ? A peu près 60 000. SOIXANTE MILLE. Une vingtaine de « A la recherche du temps perdu ». Maman !)
L’ennemi du rewriter, c’est...