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Au fond du net en feu c’est bien du bleu
qui dans mes yeux regarde pendant qu’le rouge
qui d’Amarna la langue
à d’Amarna les mèches
me lèche et tète
la croissance…
Au fond du net
en moi s’émeut le parigot
quand d’mon alcôve au prix d’l’essence,
quand j’ai la chance d’aimer en POV
la niña del fuego !
D’avoir l’Espagne au regard bleu qui regar-
de ma queue ma piaule et mon égo couler sur la niña de rojo certes
mais del leche !
Il s’était juré de jamais le faire, mais quand il s’est fait larguer, il s’est créé un compte sur Tinder. Il a choisi une photo assez neutre. Pas trop beau gosse pour pas décevoir les filles. Pas moche non plus pour que ça matche. Et il s’y est mis. A mater les profils de filles dispos autour de chez lui. Swipe à gauche, je jette. Swipe à droite, pourquoi pas.
La première fois, ça l’a étourdi, toutes ces photos de meufs qui, d’une manière ou d’une autre, étaient prêtes à baiser. Et toutes là, à deux pas de chez lui. Il aurait jamais pensé qu’il y en aurait autant.
Depuis,...
Il y a quelques temps, je vous racontais mon premier rendez-vous webcam avec une jeune actrice porno : Alice Leroy. Si vous ne la connaissez pas encore, cela ne saurait tarder. Elle a commencé les tournages il y a environ un an, à tout juste 19 ans, avec l’objectif clairement affiché de jouer dans la cour des grands. Avec Dorcel, B-Root, Blue One déjà inscrits sur son CV, elle est sans aucun doute la révélation de l’année 2015. Lors d’un entretien, elle m’a raconté ses débuts dans le monde du X, son ressenti et ses envies pour l’avenir.
La plupart de nos lecteurs te connaît en tant que camgirl et actrice porno. Comment te définis-tu personnellement ?
Je suis actrice avant tout. J’ai d’abord commencé par la webcam sur Cam4 mais je n’ai fait que 2 ou 3 shows, et j’ai arrêté tout de suite. J’ai préféré attendre de faire des tournages, car c’était mon but. C’est là que je m’éclate le plus. J’aime jouer la comédie. J’adore quand on me dit que pour le prochain tournage il va falloir aller dans une région que je ne connais pas du tout et rencontrer les nouvelles personnes avec qui je vais travailler.
J’aime l’ambiance et la proximité qu’il se créé avec l’équipe. Je préfère ça qu’être seule devant ma webcam. Quand on est en tournage, même si on joue la comédie, il y a quelque chose de fort qui se passe avec les autres acteurs. Le dernier tournage que j’ai fait était pour Blue One, pour un film qui va être proposé à Canal +. Pour moi, c’est une super opportunité et ça signifie qu’il va y avoir de la comédie et que ce sera très pro. En plus, se faire maquiller et pomponner, c’est un vrai bonheur. J’aime aussi quand on me choisit mes tenues, et que je ne suis pas obligée de venir avec mes vêtements que je porte déjà tous les jours. Je me sens vraiment actrice dans ces cas-là.
Avec @Lexie_Candy et @TonyCarreraxxx qui joue à ou est Charlie pour #blueone pic.twitter.com/7LvyQYfyju
— Alice Leroy (@AliceBabydollX) December 3, 2015
As-tu pensé à développer davantage ton côté camgirl en faisant des shows publics, ou tes propres vidéos sur Manyvids par exemple ?
Je me suis réinscrite sur Francolive après ma première scène car on me l’a conseillé. C’est vrai que la webcam permet d’être plus proche des personnes, et c’est aussi un bon moyen d’être active entre deux films. Je trouve important d’être proche des gens qui te regardent. Bien sûr que tout le monde ne va pas venir regarder mes shows même s’ils apprécient mes scènes, mais c’est bien de proposer autre chose pour ceux qui veulent en voir plus.
Je ne fais que du privé cam-2-cam pour l’instant et j’avoue que connais assez mal les sites publics comme Chaturbate, mais je les trouve intéressants. Ils permettent aux gens qui n’ont pas les moyens de payer des tokens de pouvoir voir du contenu, et finalement cela réunit plus de monde. En tout cas je réfléchis à m’inscrire sur ces sites en ce moment. Pour ce qui est de faire mes propres vidéos, ça ne m’intéresse pas. Je me vois pas faire ça toute seule dans ma chambre. Je préfèrerais à la limite faire une scène porno où je serais seule à l’écran, mais avec tout le monde sur le plateau.
On sent vraiment que tu apprécies de travailler en équipe. Avec qui as-tu particulièrement aimé travailler ?
Récemment, avec Kris Bakelit, pour le magazine Union. On s’est bien entendus, on a beaucoup ri et le tournage s’est super bien passé. Sinon j’ai aimé travailler avec Pascal Lucas, le premier réalisateur avec qui j’ai tourné pour Dorcel, il était très professionnel et c’était intéressant pour moi qui commençais… La scène que j’ai faite avec Nikita Bellucci aussi m’a beaucoup plu, on s’était éclatées car c’était une scène « déconne », et j’ai adoré. J’ai aussi bien accroché avec Titof car on a pas mal de points communs comme la passion des jeux vidéo, en plus on aime les mêmes films. C’est quelqu’un de très sympa.
Tu arrives à prendre du plaisir ou tu es vraiment à 100% dans le rôle ?
Pendant une scène, c’est difficile de ne pas prendre son pied ! Je connais des acteurs qui font trop la part des choses et considèrent les scènes uniquement comme un travail, peut-être pour ne pas s’impliquer émotionnellement. Du coup il passent complètement à côté du plaisir, et c’est dommage.
As-tu trouvé ça difficile de prendre ta place dans le milieu du porno français ?
C’est très dur de se lancer aujourd’hui en France. Quand on veut tourner, on a vite fait de faire le tour des prods et si on n’est pas prêt à voyager à l’étranger pour travailler, ça devient vite compliqué. Moi je n’ai pas encore voyagé par exemple. Ce qui est certain, c’est que si tu veux bien commencer, il ne faut pas aller vers la facilité et faire de l’amateur, parce que ça te crame sur le peu d’autres productions qu’il peut y avoir. Il faut réussir à garder l’image que les grosses productions veulent que tu aies, tout en réussissant à travailler assez. L’amateur est très demandé sur Internet et c’est pour ça que les grands noms produisent de moins en moins. En plus ça nous enlève un peu de travail à nous actrices. Certaines femmes peuvent se dire « Tiens, il me faut un peu d’argent, je vais faire une scène » et c’est comme ça que les productions amateurs peuvent prendre une nouvelle fille à chaque fois, en la payant peu comme elle débute. La plupart ne feront même jamais de deuxième scène.
Alice dans « Harcèlement Sexuel » chez Dorcel
Et en tant que femme, est-ce que c’est plus dur ?
Sur les tournages, les actrices sont mieux traitées que les acteurs. Les réalisateurs se rendent bien compte que s’il n’y avait pas d’actrices, il n’y aurait pas de pornos. Il faut être forte psychologiquement et être sûre de soi quand on fait du porno, ou même de la webcam, car c’est dur à porter. Certains spectateurs vont confondre le rôle que tu as dans les films et la personne qui les joue, et sous prétexte que tu interprètes un objet de désir dans les films, ils vont penser qu’ils ont tous les droits et te dire ce qu’ils veulent. Comme si tu étais dans le « domaine public » quelque part… et finalement je vais prendre moins mal un « Salope ! » reçu sur mon compte Twitter d’actrice porno, qu’un « Salope ! » lancé dans la rue alors que je ne fais rien de spécial. Je reçois comme tout le monde malheureusement des messages insultants, ou des propositions malhonnêtes. Une fois, j’ai eu une attaque en groupe sur ma room Francolive, en provenance d’un forum de jeux vidéos, mais ce qui est formidable c’est que mes followers fidèles et mes fans prennent ma défense dans ces cas-là.
Il y a beaucoup d’actrices féministes et qui militent activement. Personnellement, je ne pense pas que faire du X ce soit dévaloriser l’image de la femme. C’est une manière de libérer les esprits et de se décomplexer sur beaucoup de points. Et puis, les normes du porno ont changé, et les rôles qu’on joue évoluent aussi. On a toujours la blonde pas très futée, mais on croise aussi des rôles de footballeur débile. Finalement c’est dans ces mises en scènes qu’on va pouvoir mettre en valeur la femme. Personnellement, j’adorerais tourner dans un porno féministe, ça me plairait beaucoup.
Alice, notre question classique : c’est quoi ton porn ?
J’ai toujours adoré le porno érotique qu’on appelle à tort le porno « pour filles ». J’ai fini par évoluer vers des choses un peu plus hard bien sûr, et ce que j’aime par dessus tout, ce sont les parodies. Pas forcément pour les scènes de sexe, mais plus pour le côté rigolade. Ma préférée c’était une parodie de Freaky Friday vraiment réussie. Maintenant je regarde surtout du hentai, je trouve qu’on peut faire beaucoup plus de choses avec des dessins que dans la vraie vie.
Quels sont tes projets pour 2016 ?
Difficile de vous dire ça avec précision, car en général on m’appelle une semaine avant un tournage… et encore ! J’ai des choses prévues, mais rien n’est gravé dans la pierre. La période des fêtes par exemple était calme, car comme dans tous les domaines, les gens sont plus en famille qu’au travail. Ce que je peux dire, c’est que je vais essayer de commencer à voyager et travailler à l’étranger pour évoluer et grandir dans mon métier.
Quand tu parles d’évoluer, tu penses à quoi exactement ?
Et bien, j’aimerais être actrice le plus longtemps possible, mais j’adorerais réaliser. Et si je pouvais, je réaliserais ce que j’aurais envie de voir moi dans le porn. Mon rêve serait de réaliser un pornogeek, quelque chose comme Sexfighter avec Katsuni, qui est mon idole.
Katsuni, pionnière du pornogeek
J’ai récemment vu Fap to the future et je l’ai trouvé bâclé. Je pense qu’on peut aller plus loin, réaliser un porno avec une idée précise en tête et le faire bien, et pas se contenter de prendre n’importe quel prétexte ou mode geek pour en faire un film raté. On peut trouver le X partout, il faut juste avoir une bonne idée et surtout bien l’exploiter. Par exemple, on pourrait facilement adapter le personnage de Quiet du dernier Metal Gear Solid dans un film X. J’ai d’ailleurs fait ce cosplay pour le Toulouse Game Show.
Alice en Cosplay au Toulouse Game Show
Oui, je me souviens t’avoir croisée sur place…
Oui ! J’ai été très surprise ce jour-là, car on m’a reconnue pour la première fois « en vrai ». En arrivant il y a eu plein de personnes qui m’ont prise en photo car ils ont aimé mon cosplay, mais certains m’ont interpelée en tant qu’Alice Leroy. Je me suis rendue compte qu’on pouvait me reconnaître dans la rue, c’était très étrange. Je pense quand même qu’on peut croiser des actrices porno dans la rue sans s’en rendre compte. On est pas pareilles dans la vraie vie que sur un tournage.
Tu as une vraie passion pour les jeux vidéos, on peut notamment te regarder streamer sur Twitch. Est-ce que pour toi c’est un loisir ou une autre partie de ton travail ?
Quand je suis sur Twitch c’est vraiment pour mon plaisir personnel. Je préviens toujours les abonnés de mon compte Twitter car je sais que la plupart des gens qui me suivent ont un peu le même univers que moi, et me suivent aussi parce que je suis fan de jeux vidéos. Après tout les actrices ont une vie après les tournages. On est comme tout le monde.
Suisse
Zoom sur l’initiative du PDC contre le mariage pour tous
Société
Berlin: Quand les gays sont entrés au musée
Reportage
Ouganda, deux ans après
Homophobie d’Etat en Russie, par Mads Niessen
Culture
AA Bronson, maestro queer
L’Essentiel FIFDH
La country, territoire queer
Omar Sy joue chocolat
Gaymap
Fribourg saveur queer
Bienvenue chez Chantal
La Fête du slip, les arts pour célébrer les sexualités
Ainsi que, comme tous les mois, nos chroniques, rubriques et pages service…
Sexing the Unicorn: Girls who bang couples is here! It’s on Kindle, and you can also get DRM-free copies in .pdf and .epub (plus cover art) on Digita Publications — all for only $3.49! We’ve been working on this book for a year, and we’re soooo happy with the stories, the cover, the sex tips, and … the drop-dead gorgeous cocktails! Especially The Little Black Dress, created just for the book by the amazing Lesley Solmonson of the cocktail blog, 12Bottlebar.com (@12BottleBar; Nominated for Saveur’s Best Cocktail Blog 2012 and 2013).
To celebrate the book’s release, enjoy the first chapter below, the book’s introduction.
Introduction: UnicornicopiaBy Violet Blue
The first time I heard the term “unicorn” as sexual slang was when a couple I knew was trying to find out everything I knew about the straight (ish) parts of San Francisco’s sex party scene. I’m not a frequent guest to our city’s many flavors of sexy soirees, but I’m a pretty good source of information because I ask my pervy friends about things like this every chance I get. And if I have their consent, I write about their responses.
“We’re looking for parties with unicorns,” they explained. With what? I asked, hoping it wasn’t an offensive term of some kind, for this was about ten years ago. They explained that they’d heard the term for single girls cruising for couples was unicorn, and I immediately knew what—and who—they were looking for.
History has a hard-on for multiples. While I’d been spending my time trying to unravel the whys and the hows of poly’s past, my own libido had been left lacking. Penning posthumous postulates on long-dead players had percolated my own passion. Until the concept had consumed my brain.
Lisa and Sam wouldn’t know what hit them.I only needed the duo to say yes. I lugged my books to the library and spent the day footnoting. Each time I took a breather, I thought of what I really wanted to be doing. Sam looked like he’d be a watcher. I could imagine him sitting at the foot of the bed, staring as I dined on his girlfriend. Tugging his cock while he soaked in our succulent Sapphic samba. When we’d had our fill, we’d turn our attention to him. He would not go unrequited.
Passage after passage amped my determination. My studies might be dry, but I was ungodly wet. I employed every ounce of willpower not to quit my research early. I was only hopeful that Lisa would be able to convince Sam, to explain exactly what I was offering.—Alison Tyler, “A Very Progressive Party”
Of course, unicorn has meant other things in sexual slag terminology, but once I asked other friends about the term I felt uncool because I’d clearly been out of the loop. This wasn’t a new name for girls who bang couples, and I should know these things—especially because, I realized, some of my close friends are unicorns.
I was also completely intrigued. I’d always wanted to be a unicorn, but I’ve never had the guts to actually try it. But hey, now I at least knew what to call this glamorous sex kitten role, one that I simultaneously envied and lusted after.
For me, unicorns came to inhabit a realm of futuristic, cyber-sexual coolness. My unicorn friends lived sex lives I’d only fantasized about, or read about in erotica collections. Their adventures were dirty, filthy, and incredibly cosmopolitan, and I couldn’t believe the adventures they described to me were real—but they were.
Then Ward started a new tactic. “Maybe we’ll find a unicorn,” he insisted.
“Or a fairy,” I responded. “A wood sprite. A nymph. A phoenix. A leprechaun.” I opened my eyes wide at him. I was being snarky. Ward didn’t seem to mind.
“You don’t even know what a unicorn is,” he said, smiling in that way that hinted he was about to share something good.
“White fur,” I described to him. “Long twisted horn of gold. Accidentally left off the ark?”
Ward started undressing me. “A unicorn,” he began, “is a bisexual woman who goes to sex parties in search of couples to fuck.”
“And why would a girl like that be called a unicorn?”
“Because those types of women are rare. And precious.”
He had my dress off, and he was tugging my panties down. Talking about sex is fierce foreplay to Ward. If we couldn’t go to a sex party, at least we could discuss one. He flipped the clasp of my bra like a pro. One more tug, and I was entirely naked.
“Why would we want a unicorn?”
“Because I know the thought of fucking another woman makes you come like nothing else. And, yes, because I’d love to see you do it.”
—Emilie Paris, “I Don’t Believe in Unicorns”
Two of my unicorn friends liked to pair up to cruise and hunt together. They had outrageous sexual escapades that would otherwise be too dangerous for one girl to go at alone, in high-rise hotel rooms and parking lots alike. Though most often they preferred hunting in San Francisco’s hipper sex parties, prowling for tech professionals and artists, so they could hook up with young, stylish, and open-minded couples.
The more I dropped the term “unicorn” around my friends, the more I found out a surprising number of my single friends were unicorns, hooking up with straight couples anytime they wanted. I found I knew unicorns of different genders. Their stories showed me that San Francisco really does have straight couples that are eagerly open-minded—and who are definitely not as hetero-centric as couples in the traditional “swingers” scenes.
Because I’ve been going at it five minutes or more—more aroused than ever, because I know my ordeal is close to its “end,” if you’ll forgive me—when I hear the door click-squeak open, and I pull back, instinctively moving to cover myself with my hands. The vibe comes away from Trina’s clit as my fingers leave her pussy and my tongue leaves her ass.
But Trina moves faster than I do, and faster than Emily—which is who it is, I see as she comes through the door with her mouth open wide, pretending (or maybe—just maybe—not pretending) to be shocked. Is she really surprised to discover Trina and me in flagrante delicto? Was there some sort of misunderstanding in the “Keep the others out” gesture Trina gave her? Or—far more likely—has Emily decided to invite herself to a threesome… and she’s just shocked to see how dirty we fuck?
“Sorry,” says Emily, but her voice has a quality that tells me she’s not sorry at all. “I thought—”
I never get to hear what she thought—or claims she thought.
—N.T. Morley, “Tahoe Tease”
Unlike the mythical creatures of daydreams and legend, my unicorn friends are flesh-and-blood real. But to see them, you’d think they stepped out of the pages of this fantasy collection of sexy fiction. They’re strong, confident women that I’m lucky to have in my life. They’re also incredibly hot, making their existence in my life seem even more unreal (and awesome).
One friend I discovered was (and still is) a unicorn is a raven-haired, Gothic, pale beauty—who is also an accomplished singer and symphony musician. Tattooed, she dresses in vintage outfits, right down to retro lingerie, and she likes to pair up with unicorn buddies and go hang out at sex parties in San Francisco’s SOMA district. None of these stories are about her, or authored by her… But they could be.
This absolutely isn’t happening, I told myself. It couldn’t be. What would the kinky couple from the infamous Secret Fire blog want with a boring little fangirl like me? Free beer? They paid. To get shown around San Francisco? Survey says nuh-uh. I live in Oakland, and I’ve only been here for a year and a half myself. I don’t get out much. I haven’t done much.
And now Andre wanted to know exactly what I had done… while his wife kissed my neck and he gently stroked my arm. It was helping my carpal tunnel, all right—which I don’t even have.
—Meadow Parker, “Bondage Blogging”
Where do these amazing women lurk? Aside from sex parties, my unicorn friends tell me that they also cruise dating and hookup sites where couples can make profiles (like OkCupid, AdultFriendFinder) or websites that advertise so-called “infidelity” dating. Once, my raven-haired friend told me a wild story of picking up a couple from Craigslist, whom she met at a downtown hotel for a wild night of trying things she’d seen in porn.
Before becoming so bold, she said she’d been first encouraged to try unicorning (there’s no other word for it) by a mutual friend of ours, who is also her main hunting pal. They’ve both told me they love virgin couples, most especially when the woman in the couple hasn’t been with a woman before.
That particular unicorn friend is a bombshell blonde. She’s the kind of friend who simultaneously relishes that fact that she’s like sexual kryptonite to certain kinds of people, but prizes connection and friendship above all (in fact, she’s one of my closest friends). She loves bragging to me about her crazy exploits; I soak them up like a sponge. And they’re numerous, because she has long blonde hair, tan lines, big breasts a tiny waist, and loves looking like a porn performer (she is one).
She’s also transgender, which isn’t really an important detail other than the fact that it’s never been a negative data point for any of the straight couples she hooks up with. This unicorn tends to end up in long-term relationships with couples—but she never lets it get in the way of going out on the unicorn hunt if there’s a good party to go to.
This bit of personal sharing about the girls in my life who bang couples is my way of explaining to you about how I came to believe that unicorns really exist. They’re definitely not the kind of unicorns I hoped were real when I was a little girl. Instead, they’re a more fitting kind of magical creature for the grown-up I’ve become.
In between the stories here, you’ll find bite-sized tidbits of sex information pertaining to unicorns, and unicorn-themed cocktail recipes. One in particular, the “Little Black Dress,” was invented by Lesley Solmonson of 12Bottlebar.com (@12BottleBar)—who won first place in a contest to create this book’s signature iconic drink.
There were more entries in the contest than I expected, and so many of them were sensual, elegant, and downright delicious… too good to leave out. If you’re interested in seeing those recipes, plus all the cocktail recipes from all of my books, look for my upcoming (and free!) mini-ebook on DigitaPub.com, Crazy Sexy Cool Cocktails.
This book is a tribute to unicorns and the couples who make them happy—and vice-versa. It’s a file packed with yearning, joy and sex-positive adventures. Here’s to hoping all of our fantasies, with or without mythical creatures, come true.
Violet Blue
San Francisco
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Samedi midi, j’ai regardé un porno. Alors non, ma chronique « Culture Q » n’est pas devenue « La vie sexuelle de Cécile M », qui risquerait de vous ennuyer un peu plus que celle de Catherine M. Mais oui, un film porno peut aussi être un objet culturel digne d’une chronique. Et j’ai envie de dire « enfin » ! Même...
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