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La chaîne de télévision américaine CNN a-t-elle diffusé une demi-heure de porno transsexuel à la place d’une émission de cuisine dans la soirée du jeudi 24 novembre ? Malgré les articles publiés par de nombreux titres états-uniens comme Mashable, Esquire et Variety que nous avons également relayés sur notre compte Facebook, la réponse est non. Toute cette affaire n’existe que parce qu’Internet pousse les rédactions à se précipiter sur les sujets croustillants ; attirer beaucoup de visiteurs implique d’être le premier sur la brèche, quitte à passer un peu vite sur la vérification des informations. C’est déjà arrivé, ça arrivera encore.
Tout a commencé avec une série de tweets d’une certaine @likearose, une habitante de Boston : “Heuuu il y a du porno sur CNN en ce moment-même” a-t-elle simplement affirmé dans la nuit du jeudi 24 novembre, captures d’écran à l’appui. Quelques heures plus tard, un porte-parole de la chaîne a confirmé le problème à la Fox et rejeté la faute sur RCN, le responsable local des diffusions par câble. Comme son bouc-émissaire a nié en bloc, CNN a fait machine arrière deux heures après sa première déclaration : “En dépit des articles de presse qui affirment le contraire, RCN nous assure qu’il n’y a pas eu d’interruption.” Malheureusement, il était déjà trop tard.
L’une des captures d’écran de @likearose
La version numérique du quotidien britannique The Independent a publié un article consacré à l’affaire avant même que CNN ne prenne la parole. Quand celui-ci a été retweeté par le Drudge Report, les reprises ont commencé à fuser ; l’International Business Time, le New York Post, le Sun se sont emparés du sujet. Tous ces papiers affirment que l’ensemble des 300 000 abonnés de RNC dans la région de Boston ont été concernés, des chiffres avalés et recrachés par des sites d’information du monde entier. En réalité, le problème n’a touché qu’un seul foyer.
Buzzfeed a réussi à contacter @likearose, qui a expliqué : “J’ai tweeté parce que je voulais savoir si quelqu’un à Boston avait le même problème. Je pense que c’était une erreur de diffusion qui n’a touché que ma maison.” Jeff Carlson, le directeur de RCN Boston, a laissé entendre qu’elle était effectivement seule dans le coup : “Nous n’avons reçu aucun autre signalement que le tweet de cette unique cliente”, a-t-il affirmé à Buzzfeed. On ne sera sans doute jamais ce qui s’est passé chez @likearose, mais quelque chose nous dit qu’il y a un amateur de transsexuels MtF et des problèmes de synchronisation entre appareils sous son toit.
Aujourd’hui, @likearose a supprimé son compte Twitter, CNN se dépêtre difficilement de l’affaire et les médias tempèrent les articles qu’ils lui ont consacré, un peu honteux. Une seule personne a bénéficié de l’emballement : Riley Quinn, l’ancienne performeuse transsexuelle qui est apparue sur l’écran de @likearose. “Hé CNN merci pour le passage à l’antenne gratuit” a-t-elle tweeté vendredi 25 novembre.
Hey @CNN thanks for the free airtime.
— Riley Quinn (@TSRileyQuinn) November 25, 2016
Notre délégation de la Sarthe aborde dans cette journée d'étude les risques de cyber-violence chez les jeunes : des phénomènes récents, en plein développement mais encore méconnus, dont les victimes sont insuffisamment prises en charge.
Cette journée d'étude vous est proposée avec les soutiens de l'Agence Régionale de la Santé des Pays de la Loire et de la Mission Départementale aux Droits des Femmes et à l'Egalité.
Infos pratiquesGrand Atelier, salle EVE
Avenue René Laennec, Le Mans
Participation aux frais de 10 euros par participantE.
Inscription obligatoire (places limitées !) Pour vous inscrire, télécharger notre bulletin et renvoyez-le par courrier électronique ou postal (les adresses sont indiquées dans le bulletin).
Le Mouvement du Nid est agréé en tant qu'organisme de formation.
Organisée par la délégation du Mouvement du Nid de la Sarthe, cette journée d'étude s'adresse aux acteurs-trices médico-sociaux et éducatifs, aux bénévoles associatifs, aux parents...
IntentionLa matinée sera consacrée à l'approfondissement du rapport des jeunes à l'identité virtuelle, en particulier sur les réseaux sociaux. Nous analyserons ce que recouvre la notion de cyber-violence, afin d'en montrer les aspects sexistes et sexuels, et les risques encourus par les jeunes. Nous examinerons des situations concrètes de cyber-harcèlement, de chantage sexuel, et d'entrée vers la prostitution. Ce sera l'occasion d'étudier comment l'identité virtuelle travaille le rapport au corps, notamment par la pornographie.
L'après-midi, l'étude de cas pratiques permettra de faire le point pour aider les jeunes à se protéger et à déjouer ces risques de violences.
Parmi les thématiques de prévention développées par le Mouvement du Nid, celles de l'égalité filles-garçons, de l'éducation à une sexualité libre et sans violences, du respect de chacun, et de l'estime de soi ; elles sont essentielles pour favoriser des attitudes responsables et donner des signaux d'alerte chez les jeunes.
Programme
9h00 / 9h30
Accueil
9h30
Ouverture de la journée, par madame Leïla Louhibi, Déléguée Départementale aux Droits des Femmes et à l'Egalité.
9h45 / 11h00
Risques et enjeux de l'identité virtuelle chez les jeunes, par M. Victor Portier, Responsable formation à l'association E-Enfance, qui lutte contre les cyber- violences (harcèlement, sexismes et toutes autres formes de violences...)
11h15 / 12h45
L'impact du discours pornographique chez les jeunes, par M. Olivier Sorel, chercheur en psychologie à l'ARCA de Tours (Observatoire sur les violences)
12h45h / 14h00
Déjeuner libre
14h00 / 15h15
Le rôle d'Internet dans le développement de la prostitution chez les jeunes, par Mme Christine Laouénan, journaliste, écrivaine, formatrice
15h15 / 16H30
Repérer, accueillir, accompagner les jeunes victimes de violences sexuelles, par Dre Judith TRINQUART, médecin légiste et spécialiste de la prise en charge médico-judicaire des victimes de violences sexuelles, secrétaire générale de l'association Mémoire Traumatique et Victimologie
16h30 /17h00
Table ronde des différents intervenantEs
17h00
Conclusion
Le Mouvement du Nid-France a besoin de vous : aidez-nous à accompagner et soutenir les milliers de personnes prostituées que nous rencontrons chaque année ! La plupart sont des mamans, qui assument la subsistance et le bien-être de leurs tout-petits.
Avec votre don, vous offrez la possibilité d'un avenir loin de la violence de la prostitution. Pour elles et leurs enfants.
Certains jours, j'aurais voulu me tuer. Mais il y avait ma fille, c'est ce qui m'a retenue. Un jour, elle m'a dit : "Maman, est-ce que tu vas mourir ?" La prostitution, j'ai arrêté net.
Ariane.
(Ariane a connu plusieurs années de prostitution dans des bars à hôtesses. Lorsqu'elle a commencé, elle n'avait que 20 ans.)
Cher donateur-trice et ami-e,
Savez-vous que de jeunes mamans sont parfois prises au piège de la prostitution ? Pour la plupart à peine elles-mêmes sorties de l'enfance, devenues responsables de la subsistance et de l'avenir d'un tout-petit, la prostitution leur apparaît comme de l'argent vite gagné.
Dans la peur permanente des agressions, elles endurent des actes sexuels répétés, auxquels elles ne "consentent" que faute, pensent-elles, d'alternatives pour subvenir aux besoins de leur famille. Cette situation devient une véritable ornière, un piège qui se referme sur elles.
Si la prostitution a pu les "dépanner" sur le court terme, elle entraîne bien vite des conséquences insurmontables : marginalisation, séquelles physiques et psychologiques, "racket" par un "mac" (ou même un réseau) qui a repéré la nouvelle venue... quand il n'est pas responsable de sa situation.
Faut-il accabler ces femmes ou au contraire les aider à sortir de cet enfer ? Au Mouvement du Nid, nous leur ouvrons les portes d'un autre avenir.
Les bénévoles de notre association agissent au plus près d'elles pour les épauler et les aider à sortir de l'impasse. Nous rencontrons plus de 5 000 personnes dans l'année, auprès de qui nos bénévoles instaurent la relation humaine dont elles ont besoin pour engager le processus qui les mènera loin de la prostitution.
Depuis le vote de la loi du 13 avril 2016, nous disposons d'un nouvel outil avec la création des "parcours de sortie". Les personnes prostituées ne s'y trompent pas. L'augmentation des demandes d'aide pour sortir de la prostitution, signalée par toutes nos délégations départementales, en est la preuve.
Mais nos moyens sont insuffisants et votre soutien financier est essentiel pour développer nos actions, notamment en faveur des plus jeunes femmes prostituées. Avec votre don, vous nous permettez de venir en aide à davantage de victimes de la prostitution, vous offrez la possibilité d'ouvrir la porte de la cage et d'avoir un avenir. Pour elles et leurs enfants.
C'est urgent ! Merci de votre soutien.
Jacques Hamon, président du Mouvement du Nid-France.
Comment nous adresser votre don ?En ligne, sur la page de notre partenaire Hello Asso
Votre don par chèque à l'ordre du Mouvement du Nid, à envoyer à l'adresse suivante :
Mouvement du Nid
8 bis rue Dagobert
BP 63
92114 Clichy Cedex
Si votre adresse ne figure pas sur votre chèque, n'oubliez pas de nous la joindre à votre courrier si vous souhaitez recevoir un reçu fiscal !
Informations sur la réduction fiscaleNotre association est reconnue d'utilité publique, nous pouvons recevoir vos dons et vos legs.
Votre don vous donne droit à une réduction fiscale de 66% jusqu'à 20% du revenu net imposable. L'excédent éventuel peut être reporté sur 5 ans. Un reçu fiscal à joindre à votre déclaration de revenus vous sera adressé en février 2016.
Après réduction fiscale,
un don de 20 euros ne vous aura coûté que 6,80 euros ;
un don de 40 euros, 13,60 euros ;
un don de 200 euros, 68 euros.
Contactez-nous !
Secrétariat du Mouvement du Nid :
nidnational@mouvementdunid.org ; 01 42 70 92 40
Photo : Mikel Garcia Idiakez via Flickr.
Parmi les trucs cools d’Instagram, il y a le fait qu’on peut y découvrir facilement tout plein d’artistes et leur travail. Je me suis intéressée aux comptes Instagram qui proposent des dessins érotiques et j’ai découvert qu’il y a beaucoup d’artistes talentueux présents sur la plateforme. Ce n’est pas évident de trier, mais je vous propose une liste des 10 comptes que je préfère actuellement et vous mets en garde : vous allez vous sentir excités, c’est sûr !
1. Apollonia SaintclairApollonia SaintClair affirme que l’encre est son sang et qu’elle dessine pour son propre bien et pour notre plaisir.… Lire la suite
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Vous êtes témoin ou victime d’une agression sexuelle ? Une application mobile – HandsAway – permet d’alerter toutes les personnes branchées aux alentours afin qu’elles puissent vous venir en aide.
Créée par Alma Guirao, une parisienne de 29 ans elle-même victime de plusieurs agressions, HandsAway permet de réagir soit en intervenant soi-même si on se trouve pas loin de l’endroit où l’alerte est lancée, soit de décrire l’agression et de prendre des enregistrements, soit de «créer un dialogue avec la victime». Empruntant son vocabulaire aux Etats-Unis, Alma Guirao se définit comme Street Angel n°1 et invite tous les utilisateurs-ices de HandsAway à participer eux-mêmes à ce mouvement citoyen : «Une victime ou un témoin d’une agression sexiste peut 1. Géolocaliser le lieu de l’agression et 2. Prévenir instantanément les street angels à proximité. Une notification/push sera alors envoyée.»
«Dans l’application, un utilisateur peut : 1. Définir le type d’agression sexiste (verbale ou physique), 2. Indiquer le lieu de l’agression sexiste (rue ou transports en commun) 3. Préciser la gravité de l’agression sexiste (en écrivant ou en enregistrant un message).
«HandsAway a également mis en place dans l’application, une partie éducative sur le rôle du Street Angel», précise la notice d’utilisation, afin de prévenir tout risque de débordement… L’application fonctionne sur l’ensemble du territoire français. Questions à la créatrice de HandsAway.
Quel est votre parcours ?
Je suis née dans Paris intramuros et y vis toujours, une vraie TITI parisienne. Je suis issue d’une famille modeste avec des parents fonctionnaires. Mon parcours scolaire : BAC littéraire option théâtre puis des études professionnelles de photographie. J’ai eu ensuite l’idée de ma première entreprise: Dessine-moi un soulier. Le premier site internet de personnalisation de chaussures made in France. La société est toujours sur ses rails et continue de grossir, avec à la tête mon ancienne associée.
Quand avez-vous eu l’idée de créer cette application ?
J’ai eu l’idée de créer HandsAway après une agression sexiste de trop (1), il y a maintenant un an. J’ai mis 6 mois à développer l’application, en termes de développement, TEST et lancement.
Que vous est-il arrivé ?
La dernière agression sexiste que j’ai subie c’était dans le métro à Paris. Un homme a sorti son sexe pour l’exhiber. J’ai été paralysée et extrêmement choquée, je n’ai pas su quoi faire. Je ne me sentais pas légitime d’aller porter plainte ! J’ai senti un réel vide en termes d’actions et de possibilité pour lutter. Un cri de colère car c’était la goutte d’eau qui avait fait déborder le vase! Je ne vous parle pas des insultes, des commentaires sur mon physique ou encore d’un homme qui m’avait suivi… «Il fallait agir.»
Qu’est-ce qui vous a frappé?
L’inaction des gens autour de moi, alors qu’il y avait énormément de monde ! Je pense qu’il faut sensibiliser le maximum de personnes, pour que les agressions sexistes arrêtent d’être banalisées et soient vraiment considérées comme des actes graves.
Votre application repose sur le principe des «street angels»… Mais ça n’existe pas en France ?
Tous les utilisateurs de l’application HandsAway sont des StreetAngels par définition. Nous souhaitons responsabiliser tous les users HandsAway. Nous nous plaignons en permanence d’un monde de plus en plus égoïste et individualiste, donc les actions d’entraide devraient être des outils attendus. Nous allons mener et pousser ce nouvel élan solidaire, «Ensemble, plus fort que seul !».
Votre application fonctionne sur le modèle de la solidarité citoyenne ?
HandsAway fonctionne sur une communauté engagée et solidaire, avec des citoyens qui souhaitent aider son prochain. Lorsqu’une femme est victime d’une agression sexiste (1), les StreetAngels à proximité recevront l’alerte et pourront La réconforter en créant un dialogue.
Peut-être serait-il utile que la police soit également connectée à cette application ?
Absolument, nous essayons de rentrer en contact avec les autorités légales. Nous souhaitons créer une cartographie nationale des agressions sexistes, afin d’avoir des données quantitatives et qualitatives pour que les autorités légales puissent agir en conséquence.
Existe-t-il une application semblable dans d’autres pays ?
Il existe une application aux Etats-Unis ainsi qu’au Royaume Uni pour partager son trajet avec ses proches. Si la personne dévie de son chemin, les proches peuvent agir. Sur le modèle de HandsAway, aucune application n’est comparable aujourd’hui. Nous allons développer également une nouvelle fonctionnalité, le premier co-piétonnage entre citoyens pour éviter les agressions sexistes. Les femmes aujourd’hui évitent de prendre les derniers transports en commun ou emprunter de court trajet tard le soir par crainte. L’idée étant de fédérer les utilisateurs HandsAway sur un même trajet afin de se sécuriser.
Quel budget avez-vous investi dans ce projet ?
J’ai fait une levée de fonds pour pouvoir développer l’application HandsAway qui demandait quelques milliers d’euros pour être développée. L’application HandsAway est totalement gratuite. Nous générons du profit avec une partie B2B. Nous avons développé le premier co-piétonnage entre collaborateurs. L’idée étant de favoriser de la solidarité, de l’éco-mobilité en transports en commun et également de la sécurité entre collaborateurs.
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(1) LE SEXISME. Alma Guirao désigne de façon très maladroite les agressions sexuelles comme des «sexistes». Pour rappel : le sexisme se définit comme un préjugé basé sur le sexe. Il consiste à attribuer aux femelles un rôle passif, des prédispositions intellectuelles inférieures, une forte propension au shopping, une irritabilité naturelle (frôlant l’hystérie), un besoin d’amour lancinant et des caractéristiques psychologiques «maternelles» (tendresse, douceur). Le sexisme consiste à donner aux mâles un rôle actif, des prédispositions aux sciences dures, une puissance physique supérieure (peu importe le physique du mâle en question), des besoins sexuels irrépressibles et des caractéristiques psychologiques «de guerrier» (indélicatesse, brutalité, voire bêtise). Il ne me semble pas que l’exhibitionnisme soit sexiste, pas plus que les attouchements : celui qui se masturbe en public ou pelote une fille ne pense pas forcément que celle-ci est tout juste bonne à faire la vaisselle… En tout cas, la question n’est pas là. Il me semble donc tout à fait déplacé de désigner HandsAway comme une application contre les agressions sexistes (la belle affaire !). Mais c’est un détail… L’essentiel est que HandsAway permette de réagir si on assiste à une agression sexuelle.
LE SEXISME EN 4 ARTICLES :
«L’érotisme c’est du sexisme-1»,
«L’érotisme c’est du sexisme-2»,
Vous savez, M. le Premier ministre, de nombreuses femmes dans plusieurs pays sont battues, réprimées et emprisonnées lorsqu'elles tiennent des propos sur leurs droits semblables à ceux que vous avez tenus à Madagascar. Ne pourriez-vous secouer également d'autres partenaires du Canada, comme l'Arabie saoudite, le Mexique, l'Argentine, Cuba, certains pays européens et tous ces pays qui bafouent les droits des femmes et des minorités sexuelles ?
- Violences