34713 éléments (3171 non lus) dans 75 canaux
Je continue ma série de fantasmes que j’avais commencé cet été (l’article est ici) et qui avait absolument ravi mes lectrices féminines. L’idée est de vous dévoiler mes fantasmes les plus intimes et de vous permettre aussi de les commenter par la suite. Vous plaisent-ils, les trouvez vous terriblement chauds ou simplement dégoutants, etc… Alors, […]
Cet article Les fantasmes d’Adam de décembre (NSFW) est apparu en premier sur NXPL.
- Sociétés
Le Gouvernement suisse a soumis au Parlement son projet de réforme de l’adoption. Il contient notamment la possibilité pour le conjoint de même sexe d’adopter l’enfant de son ou de sa partenaire, un point acquis au terme de longues tractations des deux Chambres, en 2011-2012. La plupart des pays du nord et de l’ouest de l’Europe offrent déjà cette possibilité, depuis belle lurette pour la plupart. Les gays et les lesbiennes suisses en partenariat enregistré restent, en revanche, exclus de l’adoption.
Conservateurs dans les starting-blocks
Le texte doit encore obtenir l’aval du Parlement. Il ne fait guère de doute qu’il fera, ensuite, l’objet d’un référendum. C’est ce qu’ont d’ores et déjà promis les milieux conservateurs, notamment au sein de l’UDC et du PDC, ainsi que les évangéliques, qui se tiennent dans les starting-blocks pour lancer une collecte de signatures. En 2005, le partenariat enregistré entre personnes de même sexe avait ainsi donné lieu à une votation, au terme de laquelle la loi avait été acceptée par 58% des Suisses. Les questions de parentalité avaient alors été soigneusement évitées. Les mouvements LGBT avaient attendu quatre ans pour lancer une pétition sur la reconnaissance des familles arc-en-ciel. Le nombre d’enfants ayant des parents de même sexe a été estimé entre 6000 et 25’000 en Suisse.
La réforme proposée par le Conseil fédéral ouvrira aussi l’adoption aux concubins hétérosexuels et abaissera l’âge minimal des adoptants de 35 à 28 ans. Parmi les autres objectifs de la nouvelle loi, un assouplissement du secret de l’adoption et des conditions relatives aux différences d’âges entre parents et enfant.
Cette soirée, organisée par le collectif "Forum des Droits Humains" qui regroupe 22 associations engagées dans le respect des droits humains a permis d'apporter à une soixantaine de personnes, majoritairement issues des associations membres du Forum des éléments de compréhension sur les diverses formes de violences mais surtout sur leurs conséquences.
Judith Trinquart, médecin légiste travaillant à l'Unité Médico-Judiciaire de Gonesse dans le Val de Marne est venue à Orléans parler des conséquences des violences sur la santé des personnes victimes dans le cadre du 12ème Forum des Droits Humains. Elle est secrétaire générale de l'associationMémoire traumatique et Victimologie et est en charge de la thématique de la prostitution dans cette association.
Ci-dessous, nous vous proposons un résumé de l'intervention de Judith Trinquart : vous pouvez aussi télécharger sa présentation au bas de cette page. Notons que le Dr Judith Trinquart a fait des propositions pour la prise en charge des personnes victimes de violences et plusieurs d'entre elles ont suscité des réactions de la salle. Deux points ont particulièrement intéressé la salle : l'étendue des violences et finalement une acceptation de celles-ci en particulier dans le domaine public et la découverte pour nombre des participants qu'une bonne prise en charge des victimes peut atténuer ,de manière très significative, les conséquences.
Par contre, un constat a été fait sur le peu de moyens mis en place pour lutter contre les violences. Des actions concrètes et ponctuelles de qualité existent, mais le travail reste trop parcellaire pour apporter une réponse à la hauteur des enjeux sociétaux : égalité des femmes et des hommes et baisse significative des coûts engendrés par ces violences (coûts médicaux, judiciaires, arrêt de travail, baisse de la socialisation avec ses corollaires de difficultés sociales etc...)
Notre délégation est d'autant plus satisfaite de la diffusion des enseignements de l'approche de Judith Trinquart et d'autres thérapeutes que dans la prostitution, la répétition des violences, l'existence d'un ou plusieurs traumatisme(s), le déni et le manque de considération subis par les personnes, forment le terreau de troubles psychotraumatiques qu'il faut absolument avoir à l'esprit dans l'accompagnement et le soutien des personnes.
RésuméLa première partie de la conférence est consacrée aux définitions des différentes formes de violence et nous commençons par le féminicide : meurtre perpétré car l'individu est une femme ou une fille. Les définitions se poursuivent avec les différentes formes de violences physiques, psychologiques, conjugales et sexuelles.
Quelques chiffres sont donnés :
Ce déficit en femmes dans des régions entières du globe fait qu'aujourd'hui un marché aux femmes existe pour répondre à la demande des hommes.
La seconde partie de l'exposé porte sur les conséquences de ces violences
Le psychotraumatisme ou syndrome post traumatique est décelé chez les personnes qui ont subi des violences extrêmes ou qui ont eu peur pour leur vie.
Ceci se traduit par
Pour éviter, au cours d'une agression, que l'adrénaline produite dans le corps n'aboutisse au décès, car produite en trop grande quantité, le cerveau émet d'autres substances, telles que les endorphines, qui anesthésient l'individu et provoquent ou peuvent provoquer la dissociation. La dissociation est un état se rapprochant de l'état sous drogue ; Les atteintes neuronales ne sont pas définitives, il existe une repousse neuronale, à condition d'être pris en charge et que les violences ne soient pas récurrentes.
La troisième partie de l'exposé porte sur la prise en charge des victimes de violences.
A la réception du patient victime de violences il faut apporter
Judith Trinquart demande que les auteurs soient pris en charge car dans leur grande majorité ce sont des personnes qui ont également été violentées pendant leur enfance. Ils doivent être traités pour les aider, pour éviter la reproduction et parce que moralement il n'est pas acceptable de faire du mal aux autres quand on a mal.
Un accompagnement social, psychologique, juridique devrait être proposé à tous les protagonistes. Le partenariat est donc l'organisation qui convient le mieux aujourd'hui. Il est demandé que les interlocuteurs connaissent le droit de la Sécurité Sociale et autour du handicap afin d'apporter le maximum de réponses.
Pourquoi une augmentation des violences ?Judith Trinquart explique que l'hypersexualisation, la pornographie sont en partie responsables de cette évolution.
Judith Trinquart conseille le livre "Et le viol devint un crime" : histoire de la pénalisation du viol.
Le débatLe débat a été riche et plusieurs interlocuteurs ont apporté leur contribution
Cliquez pour télécharger la présentation de Judith Trinquart ci-dessous. Ce fichier et la photo utilisée pour cet article proviennent du site de notre partenaire, Le forum des Droits Humains.
Judith Trinquart - présentation 28/11/2014La vie, c’est comme ça. Parfois, vous pensez que vous allez passer une journée normale et puis une grosse info vous tombe sur la nuque, en traître.
« Les poils d’aisselles teints sont maintenant un phénomène sur Tumblr », apprend-on dans cet article du Huffington Post, à coups de photos preuves. En errant sur la plateforme de microblogging, on en voit de toutes les couleurs. Rouge, rose, violet, vert.
Le tout accompagné de petits mots fiers. Des courts...
« Je ne me lasse toujours pas de chaque moment où je montre mes aisselles violettes. »
... ou des longs :
« Va te faire foutre la...