34713 éléments (3171 non lus) dans 75 canaux
Dans son nouveau livre Après Charlie, l'auteure et militante québécoise Djemila Benhabib part des assassinats des dessinateurs pour brosser le paysage de l'avancée de l'islam radical aujourd'hui. Elle a achevé l'écriture d'Après Charlie juste avant le 13 novembre. C'est un hymne à la laïcité et à la démocratie et une ode aux journalistes qu'illumine la figure de Charb.
- Charlie Hebdo, libertés et MahometDecordoue s’en est allée. Je quitte le navire avec une pointe de tristesse, tant je m’étais dévouée à mes tâches. Bon délire que de chaque semaine chercher les gifs les plus cool pour une assemblée de pornophiles passionnés. Une de mes dernières sélections, faite avec émotion. I’ll be back.
Deux copines à la peau douce et un tapis en poils de mouton, qui dit mieux ? En termes de tendresse, personne n’est à la hauteur. Dani Daniels et Skin Diamond, pour cause, se connaissent comme personne. Ce n’est pas au vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces, alors on ne va pas se mettre à raisonner les deux mignonnes.
Dani Daniels & Skin Diamond – Club 59 – Elegant Angel
Un méli-mélo de corps, de mouvements saccadés, de résines et de contractions musculaires, c’est ainsi qu’on les aime nos gifs. Une orgie parlante pour un résultat parfait, et puis de quoi mater sous tous les angles. Si c’est Asa Akira qui se taille une bonne part du gâteau, Katsuni n’est pas en reste. Un dimanche comme on les envie.
Il s’en passe des choses dans les vestiaires des pom-pom girls ! Qui l’eut cru, que dans ces petits casiers innocents se cachaient des godes ceintures de la taille de la bite de Danny D. En même temps quelque part ce n’est pas entièrement dénué de logique, le matin on fait des pyramides avec les copines, le soir on s’entraîne plus profondément pour être bien sûres de maîtriser. Normal.
Lacey Duvalle & Madison Luv – Loveable Lacey #1
Ce gif nous a fait penser à un personnage de dessin animé. Des « Zébulon » à ma droite, des « Lumière » à ma gauche, le seul indice que nous avions était « personnage sans pied »… et qui culbute. Beaucoup trop facile une fois qu’on a dit ça, la bonne réponse était évidemment « Culbuto », un poto de Oui-oui le garçon au beau taxi. Haaaa l’enfance. Merci Jennifer White pour cet instant nostalgie.
Oui, le côté artistique de nos frasques sexuelles manque à cette sélection. En voilà une : ici on a carrément l’impression de se trouver dans un Dolan. Une branlette espagnole à quatre mains, doublée d’un regard pétrifiant sur fond de film vidéoprojeté. Une mise en abyme comme on n’en fait plus.
Emmanuelle London & Danni Cole – Orifice Space – Big Tits At Work
A l’adolescence, Maman peut clairement aller se faire foutre. Qu’à cela ne tienne, Brazzers en a fait une série de films. Quand sa fille écoute attentivement ses conseils en matière de rapport bucogénital, la reine mère se met à la pratique. On ne dévoile pas le reste de ce porn mais on ne niera pas l’adage qui associe âge et expérience.
Janice Griffith & Eva Notty – It’s Too Big – Brazzers
« Au revoir »
Image à la Une: Anna Polina
Cet article 2016-09 est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.
Quel bonheur de redécouvrir les joies du Petplay, quel bonheur de pouvoir recommencer à vivre comme une petgirl, doucement mais surement. Tous ces mois ont été vécu comme le vivrait une femme qui est enceinte et qui attend enfin le moment de pouvoir tenir son enfant dans ses bras. Parce que soyons honnête, la grossesse c’est certes le bonheur de sentir la vie grandir en soi mais c’est aussi les vertiges, les nausées, les nuits blanches, les hormones qui travaillent à donf, le corps qui change, le sentiment d’être énorme comme une baleine, les vergetures, la peur de ne plus pouvoir perdre tous ces kilos. Donc avec certes des moments difficile mais aussi beaucoup de bons moments. Donc pendant toute la durée de l’éducation d’Indiana, fini de vivre nue, fini de faire pipi comme une petgirl, fini de manger dans ma gamelle. Manger à table, marcher tout le temps à deux pattes, aller aux toilettes…. Bref une vie tristement humaine. Pourtant je ne regrette rien. Car maintenant je peux dire que je revis une merveilleuse renaissance. j’ai un Maitre merveilleux et j’ai un compagnon à 4 pattes. Cartes il y a encore beaucoup à faire mais je peux à nouveaux déambuler à quatre pattes et cela n’a pas de prix. Son éducation a pris du temps mais cela en valait la peine. Certes, je ne peux pas encore manger dans ma gamelle mais cela va venir…
IL avait déjà fallut faire des choix et des aménagements vis à vis des enfants mais Nnous avions encore des moments à Nnous. Car avoir des enfants c’est certe beaucoup de bonheur mais c’est aussi des devoirs et des responsabilités. Et ce jusqu’à la fin. Entre ma grande qui est revenus vivre à la maisonn et la petite que Nnous avons tous les week-end autant dire que chaque moment vécu en petgirl étaient précieux. Mais, àpartir du moment ou Nnous avons pris Indiana, il a fallut faire des choix et des sacrifices. Sacrifice car le temps de son éducation je ne pouvais plus vivre comme une petgirl. Plus du tout. Ce fut long, vraiment long mais c’est maintenant derrière Nnous. Mais cela en valait la peine. Toutes ces semaines, tous ces mois de patience, d’éducation, d’amour pour ce petit être pour qu’il se sente heureux, aimé et qu’il apprenne ou était sa place, ma place, notre place vis à vis de Monsieur, de moi. alors ces derniers moios j’ai arreté d’écrire car ma vie n’avais plus de sens BDSMement parlant.
Bonjour à Ttoutes et Ttous
Vous êtes nombreux à Nnous écrire et je Vvous en remercie, avec votre accord voici un premier temoignage que j’ai reçu et dont j’ai eu l’autorisation de le difuser sur ce blog. N’hésitez à m’en envoyer d’autres car il n’existe pas une façon de le vivre mais des milliers. Et surtout donnez moi Vvotre accord pour le diffuser :
Bonjour à tous et à toutes, je tiens à préciser que tout ce que je vais dire est N/notre vision du Petplay et je ne parle qu’en mon nom. Je suis loin de détenir la vérité absolue et j’en apprends encore tout les jours
N/notre relation D/s est basée principalement sur le cérébral, néanmoins je ne rechigne jamais sur une petite fessée.
Je suis avec Mon Maître une chienne, je me comporte donc comme le dit animal, je marche à quatre pattes, je mange dans une gamelle, j’ai des jouets, je dors dans un panier.
Je ne me sers pas de mes mains car j’ai des pattes, la position à quatre pattes n’est pas naturelle pour l’être humain, il faut donc quelques équipements pour éviter les genoux bleus et gonflés. J’ai ce qu’on appelle une queue, que je porte en permanence, elle prolonge la courbe de ma croupe et me permet aussi « d’exprimer » une petite partie de mes émotions, je la remue quand je suis contente ou excitée et au contraire elle se glisse entre mes jambes lorsque je suis effrayée ou que j’ai fais une bêtise.
Il faut savoir que c’est un travail de longue haleine pour éduquer un chiot, je me considère encore comme cela, je suis impulsive, irréfléchie, fofolle et hyperactive. Mon Maître me protège, me cajole et dois me porter une attention constante car je m’ennuie assez rapidement et j’ai tendance à faire des conneries plus inventives les unes que les autres.
Il est hors de question pour Mon Maître de me laisser passer le moindre mauvais comportement, je sais que cela va peut être faire s’arracher les cheveux à certains mais oui Il m’éduque et me dresse. Il y a très peu de masochisme chez moi, la douleur n’est que le résultat d’une mauvaise action, j’ai dépassé une limite donc je suis punie à hauteur de la faute. Après la punition, Il remet les compteurs à zéro mais comme un chiot j’ai besoin de temps pour apprendre de mes erreurs.
La discussion est primordiale dans N/notre relation, oui je grogne, je montre les dents, j’aboie et je couine mais je reste une soumise humaine avant toute chose, avec des émotions, des peurs et des appréhensions. Je ne peux pas être une pet en h24 non plus, les obligations de la vie courante m’en empêche mais je retrouve ma place dès que je le peux. En dehors de N/notre foyer, je me comporte comme tout le monde, il y a juste des gestes et des codes que nous respectons : je ne mange jamais avant Lui et j’attends qu’Il me donne Son autorisation, je demande la permission pour aller aux toilettes, je ne fais pas la moindre chose sans lui demander au préalable Son accord.
Je ne baisse pas les yeux devant car chez N/nous tout ou presque passe par le regard, Il sait quand quelque chose me tracasse, si je suis contente ou que je suis excitée rien qu’en plongeant Ses yeux dans les miens. Je Lui dois une fidélité, une obéissance et un respect sans faille et Lui me dois Amour, protection et attention, tout les tracas de la vie quotidienne, ce n’es pas au cœur de mes préoccupations. Il fait le ménage, la vaisselle, le linge, Il me lave et m’habille quand Il le peut. Je n’ai « aucun » droits mais en contrepartie « aucun » devoir, je reste égale à moi même, Son petit animal de compagnie.
Je suis Lui suis entièrement dévouée car je Lui appartient, Il se sert de mon corps quand bon Lui semble ( c’est très très loin de me déplaire) et j’obéis à Ses désirs dans ce domaine là.
Je lui voue un Amour inconditionnel, Il est bon et sait ce qui est bon pour moi, Il prends soin de moi et m’aime de tout son cœur. Je suis une chipie et une tête de mule mais comme Il me le dis souvent c’est comme ça qu’Il m’aime , la seule chose qu’Il veut c’est que je m’épanouisse en tant que chienne, que mon côté animal puisse s’exprimer.
J’aime être à Ses pieds lorsqu’Il mange, me blottir dans Ses bras et me faire caresser, Il ne m’en demande pas plus Il est Mon Maître et je suis Sa chienne. Il ordonne, j’obéis rien de plus simple, aucun artifices dans N/notre relation, ce n’es pas un jeu pour faire monter l’excitation, N/nous avons trouvé un équilibre quasi parfait et N/nous sommes très heureux comme ça.
Voilà ma soumission envers Mon Amour, je suis dépendante de Lui et ça Lui convient parfaitement
Je tenais à vous montrez à tous N/notre mode de vie et puis vous le faire partager
On s’est fait peur, mais non: la Suisse ne deviendra le premier pays d’Europe occidentale à bloquer constitutionnellement un futur mariage pour tous, comme l’ont fait certains Etats comme la Croatie, la Hongrie ou la Pologne. Au terme d’un suspense intenable, l’initiative «Non à la pénalisation du mariage» soumise au peuple ce dimanche par le Parti démocrate-chrétien (PDC) a été rejetée par 50,8% des électeurs.
Porté par une forte participation due aux autres objets soumis au peuple et à des élections locales, le «non» s’est imposé au sprint final dans les grandes villes. Près de 70% de non ont été enregistrés en ville de Zurich, 64% à Lausanne, 60% à Berne et à Bâle, 59% à Genève. Toutefois, seuls 6,5 cantons ont refusé le texte du PDC, alors que 16,5 l’ont accepté. Les électeurs des régions rurales et des localités moyennes se sont laissées séduire par un projet apparemment frappé du sceau du bon sens traditionnel.
Commune par commune: beaucoup de oui en Suisse romande à l'init. du PDC: https://t.co/G3m2qpXOiX #CHvote pic.twitter.com/Y9FF8wiPi0
— RTSinfo (@RTSinfo) 28 février 2016
Définition du mariage
Drôle de texte que cette initiative du PDC, lancée en 2011 avec pour mission de corriger l’«injustice fiscale» dont souffrent, selon le parti, les couples mariés par rapport aux concubins. Leur texte inscrivait l’égalité de traitement dans la Constitution, tout en y adjoignant la phrase qui a mis le feu aux poudres: une définition du mariage comme «l’union durable réglementée par la loi d’un homme et d’une femme». Cet aspect a très vite mobilisé les associations LGBT, qui ont dénoncé une tentative d’interdire préventivement l’ouverture du mariage aux couples de même sexe.
Dans les derniers mois, les sondages donnaient une avance très confortable au «oui». Il faut dire que les opposants à l’initiative se faisaient discrets, mis à part la campagne «Avançons ensemble» mise sur pied par les associations homosexuelles.
La direction de campagne du PDC, où de nombreux élus ont exprimé leur malaise face à cette initiative, se contentait de nier mollement toute visée discriminatoire dans son texte, soulignant que la définition hétérosexuelle du mariage était déjà celle du Code civil suisse. A ses côtés, seule l’UDC populiste soutenait le texte. Ces dernières semaines, la gauche et la droite libérale sont enfin passées à l’attaque sur le coût de l’initiative PDC et sur le fait qu’elle profiterait aux classes les plus aisées.
Victoire symbolique
Président du PDC, Christophe Darbellay, a mis sa courte défaite sur le compte d’une «mobilisation des médias» contre son texte. Du côté des LGBT, cette victoire à l’arraché est avant tout symbolique. Un «oui» à l’initiative n’aurait pas été catastrophe, mais elle leur aurait compliqué leur tâche en vue du mariage égalitaire.
«Puisque la pénalisation du mariage ne peut pas arrêter le mariage pour tous, c’est le moment d’exiger l’égalité», a tweeté Michel Rudin, élu bernois vert’libéral. Son parti a déposé en 2013 deux propositions parlementaire pour ouvrir le partenariat enregistré et le mariage à tous les couples. «Maintenant, le peuple peut décider si le mariage doit être ouvert aux couples de même sexe», résume Nadine Jürgensen sur le site du quotidien alémanique «NZZ», «sans que cette question soit attachée à cet emballage fiscal trompeur.»
Merci – Danke – Grazie – Grazia !#MariagePourTous #CHvote ❤️ pic.twitter.com/brnOEw8PhZ
— Nasha Gagnebin (@nashtags) 28 février 2016
Pour ce troisième tweetchat, on va pousser des cris, perdre la tête et se détendre. Le coït, c’est tout simplement l’acte sexuel. Et si on peut grimper aux rideaux pendant, eh bien c’est encore mieux ! Ca fait partie de ce qu’on aime dans le repas nocturne ! Je vous propose donc de débattre à ce sujet durant l’Apéro Sexo Virtuel, ce dimanche 28 février à 18h !
Comment participer au tweetchat sur le coït ?– Connectez-vous sur Twitter dimanche 28 février à 18h
– Suivez le hashtag #ASV en le tapant dans la barre de recherche Twitter et/ou suivez mon compte @LadyShagass
– Répondez aux 5 questions posées en mentionnant le hashtag #ASV + le numéro de la question à laquelle vous répondez.… Lire la suite
Cet article #ASV 3 : Et si on parlait coït ? est apparu en premier sur Desculottées.
Ce soir tu rentres exténué chez nous. Il faut dire que tu n’arrêtes jamais: salsa, guitare, concert, petites amies, sorties, boulot… Par chance j’habite un petit studio proche de chez toi depuis que j’ai quitté le père de mes enfants. On aime l’appeler notre « chez nous » alors que tu n’y vis pas. Un « chez nous » que…
Cet article Texte érotique: Je vais te chouchouter … est apparu en premier sur NXPL.