Au menu des restos du cul : carpaccio de lutteurs (saignant ou bleu), des cocks et des tails pour se rafraîchir le gosier, sucre d’orge sur son lit d’hermine, puis trou normand de Géorgie avant d’attaquer le café gourmand et sa farandole de dessert liquides. Aujourd’hui, on a grave le droit d’être en émoi, d’se mettre des doigts!
Babyface O’Connor vs Cameron Krusher-Cade, round1: fight ! Muscles tendus, élastique des speedos au bord du craquage, les fessées pleuvent et les jockstraps tombent. Après une bonne suée sur le tatami, on retrouve nos deux lutteurs au vestiaire pour un recrassage en bonne et due forme. Dayton se cramponne au porte-savon pour encaisser les uppercuts de la bite que lui assène Cameron. Coups sous la ceinture: mais que fait l’arbitre ?
Alex, gokkun boy de l’espace, nous régale avec son air de ne pas y toucher et ses pupilles éclatées. Perdu au milieu d’une forêt de troncs vibrants, il s’enfonce dans cette masse grouillante. Les bites palpitent et dégoulinent bientôt d’une sève abondante. Le regard perdu dans cette onde généreuse, Alex ne laisse pas une miette de ce cosmo du cosmos.
Capuche sur la tête et lèvres d’ensorceleur, Sloppy Throater fait monter la sauce savamment. Le short rejoint les claquettes/chaussettes, la teub pèse de tout son poids vers le bas avant que notre suceur émérite prenne les choses en main, ou plutôt en bouche. On adore le voir prendre son temps pour faire gonfler le sceptre de son roi, puis s’exciter dessus avec des mouvements de tête à faire pâlir Queen B. Une technique incomparable pour ce BJ tuto.
Kannon et Knockout nous font visiter leur intérieur décoré avec goût et raffinement. Nous explorons d’abord les escaliers ouverts sur le living room : « la moquette moelleuse et les barreaux asymétriques nous procurent une montée d’escaliers sportives au quotidien », plaisante Knockout. Nous retrouvons les deux Special K’s dans la master bedroom pour un test de matelas en toute intimité. Kannon : « j’aime ces moments de douceur perdu dans mes oreillers fleuris ». Il joint le geste à la parole tandis que son compagnon revient. Nous fermons doucement la porte, laissant les tourtereaux à leur bonheur dans ce nid délicatement aménagé.
Max Konnor nargue Armond Rizzo avec ses biceps qui font péter sa chemise de working boy. Bien décidé à ne pas laisser filer sa chance, Armond en vient aux mains avec un massage qui fait grogner d’aise le daddy. S’ensuit une baise intense où Armond se transmue en maître des fluides: larmes, sueur, salive, foutre, tout y passe. Ses couinements résonnent encore dans mes oreilles: « yes daddy! ».