34713 éléments (3171 non lus) dans 75 canaux
Le Tag Parfait est à la recherche d’un-e stagiaire en rédaction à temps plein pour une durée de trois mois minimum à partir du mois de septembre. Auprès du sémillant Gonzo et de son affreux sbire Serbe, il ou elle sera chargé-e d’aider au développement des projets du Tag Parfait : alimenter le Bon Fap et le Tumblr, gérer les Gifs de la semaine, rédiger des petits articles (ou plus si affinité)… Le tout au sein d’un bureau lumineux et bonne ambiance au coeur de Paris, métro Strasbourg St-Denis.
Notre stagiaire idéal-e :
– Est doué-e de qualités rédactionnelles, c’est à dire d’une écriture fluide et d’un bon niveau d’orthographe ;
– Consomme régulièrement de porn ;
– Connaît le porno et son univers, même si ce n’est pas sur le bout des doigts ;
– Maîtrise les réseaux sociaux ;
– Est naturellement curieux-se ;
– Aime internet, les gifs, manger et rigoler.
Et surtout, il ou elle est conventionné-e.
Si cette offre vous intéresse, merci de nous faire parvenir un CV et une lettre de motivation à hello@letagparfait.com.
J’ai participé à un vernissage de Frédéric Fontenoy, un photographe que j’aime beaucoup il y a quelques jours. A l’occasion de cette exposition était aussi présenté son tout nouveau livre « Inside » qui retrace son travail entre 2008 et 2016. Comme j’aime beaucoup la photo érotique et son travail, je vous en touche un mot. Le…
Cet article Inside Frédéric Fontenoy 2008-2016 est apparu en premier sur NXPL.
Au Tag Parfait, on aime bien penser au futur. C’est la raison pour laquelle nous ne ratons jamais une occasion de vous parler de l’avenir des prophylactiques. On a vu passer des projets fous de capote au graphène, au collagène, à l’hydrogel. Lelo vient de commercialiser HEX, un contraceptif pénien renforcé par une structure en polygones. Ce nouveau venu devait “révolutionner le monde des préservatifs pour de bon” – on attend encore, déçus. Il y a quelques jours, une autre capote conçue pour tout changer, le Galactic Cap, a été présentée au public. Nous sommes au regret de vous annoncer que nous l’avons aussitôt classée dans la catégorie “sans espoir”.
Le Galactic Cap original
Le Galactic Cap est à l’étude depuis 2011 à l’initiative du producteur cinéma et vidéo Charlie Powell. Au mois de mai 2014, nous vous l’avions brièvement présentée dans une Cumpilation. Elle se présentait alors sous la forme d’un petit capuchon en polyuréthane à coller sur le sommet du gland. Le public a financé son développement par le biais d’une campagne de crowdfunding à 100 000$. Malheureusement, ce dispositif souffrait d’un manque de fiabilité tel qu’il a été abandonné et remplacé par un tout nouveau modèle homonyme. Le Galactic Cap édition 2016 est un réservoir autocollant conçu pour être placardé sur le pénis depuis la verge jusqu’au gland. Lors de l’éjaculation, le sperme est réceptionné par le préservatif grâce à un trou positionné sur le méat urétral.
Le Galactic Cap version 2016
Parce qu’il ne couvre pas l’intégralité du sexe comme un préservatif classique, le Galactic Cap prétend laisser plus de place au plaisir. Le problème, c’est qu’en maximisant la surface de contact entre organes génitaux, la création de Charlie Powell rend ses utilisateurs plus vulnérables aux IST qu’une capote classique. Le producteur le dit lui-même : “Si vous avez peur du Sida, vous devez enfiler un préservatif intégral.” D’ailleurs, la campagne de communication qui entoure le Galactic Cap le présente comme un dispositif anti-grossesse et non comme un prophylactique. “C’est vraiment un préservatif pour couple” insiste Powell. Les concubins qui se laisseront tenter devront éviter de recouvrir l’engin de lubrifiant artificiel : seules la salive et la cyprine sont bénignes pour l’adhésif du capuchon galactique. Adieu le sexe anal ! Tout ça pour 25 dollars pièce. Oui, 25 dollars.
Le Galactic Cap semble n’avoir qu’une seule qualité, empêcher une grossesse. Il ne protège pas des IST, il est coûteux et visiblement compliqué à utiliser. L’avantage de la capote classique, c’est qu’elle peut être enfilée relativement rapidement, même dans l’obscurité. On doute que l’invention de Charlie Powell puisse être équipée efficacement dans un moment de tension. Quant au moment où il faut la décoller du pénis, on frissonne d’inconfort en y pensant. Une fois de plus, la conclusion est la même : le bon vieux préservatif au latex n’est pas prêt d’être détrôné.
Elena Vanni et Deborah Piccinini sont devenues dimanche le premier couple de même sexe à conclure une union civile reconnue au niveau national. Les deux femmes de 45 et 46 ans se sont dit «oui» à la mairie de Castel San Pietro, près de Bologne. Les deux femmes ont été acclamées par une centaine d’amis et de nombreux journalistes. «On est émues, merci d’être là, c’est beau de partager avec vous tous ces moments», a lancé l’une d’elles.
Castel San Pietro, une petite ville de 20’000 habitants, est la première à ouvrir ses registres. Les communes ont six mois pour mettre leur service d’état-civil au diapason.
Le texte de loi, objet de tergiversations politiques depuis plus de dix ans en Italie, est entré en vigueur officiellement samedi, après la signature de son décret d’application par le président du Conseil, Matteo Renzi. Le texte prévoit l’égalité en matière de pension, de succession ou encore de régularisation pour le conjoint étranger. En revanche, il ne règle pas les questions d’homoparentalité.