Stoya, la belle Stoya, est cette semaine en couverture du célèbre hebdomadaire new-yorkais « The Village Voice », qui lui attribue le titre de Prettiest girl in New York et lui consacre un article de quatre pages (pour la version en ligne). Pour nos lecteurs qui ne seraient pas familiers dela langue de Shakespeare ou qui auraient simplement la flemme de tout lire, voici un petit condensé des meilleurs extraits de cet article à rallonge – et qui se répète parfois – sur la plus belle girl next-door de Brooklyn, qui achèvera de convaincre ceux qui se demanderaient encore s’ils sont amoureux d’elle, ou convertira ceux qui ne la connaissent pas encore.
- Elle fume beaucoup : clope sur clope, même. Des Parliament Light, pour être tout à fait précis.
- Elle crache sur les bagnoles des gens qui l’insultent : et se justifie en citant Hunter S. Thompson qui disait ne devoir sa santé qu’au fait de ne jamais garder une émotion à l’intérieur.
- Elle a refusé de se faire refaire la poitrine : deux fois, et ce alors que Digital Playground lui proposait de payer l’opération. Quand la compagnie l’a placée aux côtés d’un chirurgien de renom lors d’une cérémonie quelconque, elle s’est contentée de dire « J’ai vu votre travail, et je ne suis pas impressionnée ».
- C’est une enfant précoce : elle a quitté l’école à six ans en demandant à être scolarisée à la maison ; elle a commencé à fumer à douze ans ; première relation sexuelle à treize ans ; elle a habité toute seule à seize ans.
- C’est Britney Spears qui lui a donné envie de faire l’amour pour la première fois : c’est en tout cas en voyant une photo de Britney prôner la virginité dans Rolling Stone, en soutien-gorge et avec une peluche de Teletubby sous le bras qu’elle a décidé, à treize ans, de trouver un garçon pas trop moche et ayant l’air d’avoir plus de seize ans dans un centre commercial pour sauter le pas. « C’était pas très intéressant, mais c’était fait », commentera-t-elle simplement.
- Elle a fait plein de jobs avant d’être actrice : chez Subway (virée au bout de six jours pour avoir blindé de piment le sandwich d’un client chiant) ; dans un restau italien ; au rayon bébé de chez Burberry, ou encore assistante d’un promoteur de soirées.
- Elle met des paillettes partout : ses dessous, les murs de son appartement… partout.
- Elle sait passer incognito : vous vous souvenez de cette intervention de James Deen dans une université californienne ? Stoya était là. Dans le fond de l’amphi. Et de l’aveu même de l’enseignant à l’initiative du cours, « personne ne l’avait reconnue, en civil« .
Autant d’éléments qui font de Stoya une actrice à part, que l’on chérit depuis la première heure. Bon week-end à tous et bonne lecture.