Ce qu’il est bon de culbuter une femme mariée dans son lit conjugal.
Ce qu’il est furieusement bon de pouvoir en disposer à ma guise de cette femme dans son environnement intime, familial, transgressif au cube; un environnement où le Maitre en mouah confie sa pouliche à l’étalon en mouah…
Quel shoot pervers puissant!
Qu’est-ce que je disais? Ah oui, ce qu’il est délicieusement bon de la restreindre cette jeune épouse impétueuse, d’énerver sa libido déjà exacerbée par petites touches innocentes, régulières, de plus en plus appuyées… J’aime, que dis-je?… j’adore épuiser ses résistances une à une, la fatiguer sans la toucher, la plonger dans ses pensées les plus piquantes…
Pourquoi je fais ça? Ah mais c’est pour rendre son corps incandescent de désir, de soif, d’appétit… Et aussi pour lui rappeler le genre de femme qu’elle est… quand ce n’est pas de lui faire crier à pleins poumons des obscénités…
« Allez, plus fort… »
« Monsieur!? »
Ce goût vif de la perversion orale élevée au rang des Beaux-Arts génère en mouah des énergies puissantes, féroces. Les effets se multiplient dans ma tête comme des lapins de faïence; tout mon corps réagit fortement, j’ai des soupirs qui sonnent le tocsin en do majeur pour rameuter les troupes, mon sexe durcit, j’en ai le sourire fendu jusqu’au Wisconsin.
Squeeze me baby, ’till the juice runs down my leg
Robert Plant, The Lemon Song
Squeeze me baby, ’till the juice runs down my leg
The way you squeeze my lemon, I
I’m gonna fall right out of bed, bed, bed, bed, yeah
Et soudain, ces furieuses envies de prendre, de griffer, de mordre, de grogner, de marquer…
Culbuter une femme mariée dans son lit conjugal… je vais en faire un « fétiche », je crois bien.
Il m’est bon La jeune épouse prend place dans son lit conjugal et attend avec ferveur que son Maître prenne possession de tout ce qu’elle lui offre… Photo : R/Valmont, printemps 2018.J’aime, que dis-je?… j’adore utiliser des lieux qui lui sont familiers à cette jeune professionnelle patronne bcbg haute perchée habitée par des pulsions sombres qui méritent d’être… examinées de plus près.
— « À genoux, ma chérie. »
— « Oui Maître. »
Il m’est bon de lui faire prendre des postures très particulières ici et là dans son appart, dans un couloir ou dans un coin, de la bousculer sur des angles du mur complices, avant de l’emmener dans la chambre à coucher, la fameuse pièce conjugale en question.
Ce que j’aime…. euphémisme, dis-je, ce que je jouis de prendre mon temps pour goûter tout le pervers de la situation. De lui souligner au crayon rouge à lèvres où nous sommes, dans quel contexte (elle gémit)… De dégager ses cheveux qu’elle ne puisse s’y réfugier, en lui rappelant à voix haute et les yeux dans les yeux tout ce qu’elle est.
Qu’est-elle? Risquons une réponse crédible : une belle chienne lubrique pour son Maître, elle, l’épouse pleine de vigueur, assaillie de pensées insistantes, elle, trente ans plus jeune que son mari, un homme trop occupé par la Science et le service public…
Je dois donc me sacrifier une fois de plus pour la Cause.
Comment? Que voilà une taboire de bonne question.
Tout ce que je sais c’est qu’il m’est bon de la faire ramper cette perverse en la regardant s’approcher… de lui dicter le rythme, « stop on ouvre les jambes, je vous prie »… de l’exhiber en la filmant… de la filmer en l’exhibant… « on relève les fesses stop allez on offre la croupe stop voilà, comme ça c’est parfait, ma belle délurée! »
Elle fait des « non », la nana, lorsqu’elle sent que le Maître prend possession de son corps après avoir accaparé toute son attention. C’est comme un baroud de déshonneur parce qu’elle rend les armes dans les secondes qui suivent…
Pendant que je l’ouvre avec mon doigt insistant, je lui chuchote : « T’as quelque chose pour mouah, touah… je le sais, je le sens… »
L’effet est immédiat.
— « Monsieur, est-ce que je peux jouir?! »
— « Oh oui ce qu’elle peut jouir ma belle esclave sexuelle bien gorgée, toute gorgée de tout ce qu’elle porte en elle… (elle gémit, se cabre, se livre, toute gonflée, la catapulte est prête) tout ce flot vigoureux de pensées accumulées… (elle crie, elle coule) de besoins inassouvis… de désirs lancinants… (elle se donne pleine d’ardeur) de manques douloureux… »
Deux anges passent.
— « Monsieur, est-ce que je peux jouir?!!! »
— « Oh que oui qu’elle peut jouir encore ma belle esclave sexuelle bien gorgée avec tous ses fantasmes sombres qui implorent la lumière (elle explose)… tous ses traumatismes enfouis qui cherchent à conjurer le sort… toutes ses confessions les yeux fermés, la bouche pliée… à peine audible… »
— « Monsieur…?!! »
Je la regarde se démener cette sauvageonne au bout de mes doigts amphibies. Je souris à ses supplications, son souffle me transporte comme un grain de pollen en chaleur, j’écoute le rugissement de son débit. Je sens la puissance de ses jets, la chaleur de ses éclats d’O.
Dans un lit king, on peut répéter l’opération plusieurs fois, à des endroits différents.
Tu sais pourquoi?
Ce que je veux Ce que je veux… Photo : d…, été 2017.Ce que je veux, c’est qu’à son retour du boulot en soirée, son mari constate que sa chambre à coucher sent le cul. Que les draps de son lit sentent le cul. Que sa femme sent le cul.
Je veux que le mari sache que sa chambre à coucher est le théâtre de mes perversions. Qu’il s’en imprègne, que ça l’excite et le rende honteux dans le même souffle.
Je veux qu’il imagine toutes les postures que sa femme a prise pour un autre homme dans sa propre chambre pendant son absence. Je veux qu’il ait tout le matériel requis en main afin qu’il puisse bien imaginer, qu’il puisse clairement entendre dans sa tête et partout sur les murs, les cris de sa femme, ses cris de plaisir et de douleur, ses soupirs, ses râles, l’expression de ses pensées les plus secrètes, ses confessions les plus perverses…
Je veux, en entrant dans la chambre conjugale, qu’il aperçoive du coin de l’oeil les draps souillés, des tâches liquides encore fraîches sur le matelas, le linge fripé par terre, sans oublier des objets ayant servi à avilir sa femme, et qui traînent encore sur la table aménagée pour l’occasion.
Ah, la négligence…
Je veux lui rappeler que sa femme, celle qu’il aime, avec laquelle il est marié depuis plus de vingt ans, avec laquelle il a eu des enfants, je veux lui rappeler, dis-je, que sa femme est une réelle chienne en chaleur pour un autre homme qui en fait usage des manières les plus… bestiales, avilissantes, humiliantes… et qu’elle en redemande, les yeux brillants et pleine de gratitude.
Bref, je veux que sa femme soit pour lui à la fois objet de fierté et sujet de honte coupable.
Il m’en fait la confirmation plus tard avec ce texto absolument délicieux : « Merci Monsieur de vivre vos perversions sexuelles avec ma femme. »
Je vous en prie, Monsieur. C’est un rrréel plaisir.
Au souper La jeune épouse porte avec fierté la marque des ardeurs de l’étalon. Photo : R/Valmont,Au souper, juché sur la branche de l’arbrisseau qui surplombe la véranda, le colibri distingue bien dans la salle à dîner le mari qui observe en silence la chevelure en bataille de sa femme. Il note ses sourires évasifs, sa bouche encore tremblante et rougie, ses regards perdus dans l’abîme des rêves où s’entremêlent dégoût, honte jouissive et plaisir coupable.
Il remarque sur son corps des marques encore fraîches, des zébrures brûlantes, des marques de mes doigts.
La cerise sur le gâteau : elle sent vraiment le cul.
Elle a d’ailleurs eu pour consigne de ma part de conserver sur son corps et ses vêtements tous les fluides, les siens, les miens, sans se rincer, sans se laver, sans se poudrer. Ajoutées à tout le reste, toutes ces odeurs corporelles et charnelles finissent par rendre fou de désir le mari qui n’a plus qu’une idée en tête… et ce n’est pas de dévorer les asperges!
Pourtant, il n’ose pas. Pas maintenant. Il est singulièrement troublé par la vision qu’il a de la femme de sa vie. Et il a également une érection toute aussi singulière…
– « Je te resers des patates, ma chérie, ou tu es rassasiée? »
L’article Culbuter la jeune épouse dans son lit conjugal est publié dans le site cercle O - L'échange de pouvoir érotique.