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N/nous habitons près du bois de Vincennes. Ce bois de Vincennes est un vrai bonheur. IL y a des arbres fruitiers, cerises, fraises, noisetiers. N/nous faisons du doggysitting. Donc N/nous allons les promener dans le bois. je m’entraine également à courir dans le bois. Et le soir, quand il se fait tard, à l’abri des regards, alors Monsieur Laurent du 80 me sort pour faire mes besoins. Loin des regards indiscret, je suis promenée et je peux enfin me laisser aller dans la nature. quelque soit le temps, je suis protégée et couverte. Quel doux frisson de sentir l’herbe sur ma chatte. Fini la femme civilisée, vive la chienne purement organique.
S’il y a un moment que j’aime c’est celui ci. Le moment de la toilette. Monsieur Laurent du 80 se dirige dans la salle de bains. Il fait couler l’eau et quand elle est à bonne température et à bonne hauteur Il vient me chercher. IL m’installe dans la baignoire ou je peux patauger et jouer. IL reste avec moi et me parle beaucoup. IL commence ensuite à mettre du savon sur un gant. Et avec le gant Il nettoie chaque partie de mon corps, soigneusement. j’aime ce contact doux et rugueux sur ma peau. Le temps semble s’arrêter et ces moment sont si précieux. Cela fait parti des moments que j’aime. Ensuite Il me fait sortir du bain, mais avant Il a pris la peine de poser une grande serviette sur le lit. IL m’a appris a m’essuyer toute seule. IL aime me voir me frotter sur la serviette. me tortiller pour faire disparaître la moindre goute d’eau.
Le VIH/sida reste encore la principale cause de décès chez les femmes en âge de procréer dans le monde, selon le Programme des Nations Unies sur le VIH/sida.
L'OMS dans un communiqué ce lundi annonce que 2,1 millions d'adolescents-es sont porteurs du virus du Sida, une augmentation de 33% depuis 2001 et seule une petite minorité a accés aux traitements...
Pour le Programme des Nations Unis pour le VIH/Sida, les jeunes femmes de 15 à 24 ans représentent 22% des nouvelles infections dans le monde chaque année avec des taux d'infection deux fois supérieur à ceux observés chez les jeunes hommes de leur âge.
Mardi 26 Novembre 2013Le rapport d'experts 2013 fait le point sur les données épidémiologiques, scientifiques et thérapeutiques de l'infection par le VIH en France.
Sous la direction du Pr Philippe Morlat, ce rapport, rendu public en septembre 2013, rassemblait des experts du monde médical, des sciences humaines et sociales et des associations de lutte contre le sida. Il presente les recommandations sur la prise médicale des personnes vivant avec le VIH.
Mardi 26 Novembre 2013Cette pièce de théâtre destinée aux collégienNEs, basée sur une mise en scène aussi dynamique qu'ingénieuse, est la grande nouveauté en matière de prévention et de sensibilisation à l'égalité Femmes-Hommes et la lutte contre les violences.
La délégation du Mouvement du Nid du Nord Pas-de-Calais est une actrice experte de la prévention des violences et de la promotion de l'égalité auprès des jeunes. En 2012, ses militantEs ont organisé plus de 50 actions de prévention, rencontrant au total 5600 jeunes du collège au lycée, dans un esprit de partenariat avec les organismes responsables, des acteurs de terrain et des familles.
Dans le même temps, le Mouvement du Nid - France souhaitait au niveau national se doter d'un nouvel instrument pour diversifier et améliorer ses pratiques de prévention. Il manquait encore le ton juste pour toucher les filles et garçons dès 13 ou 14 ans... Nous avons alors fait appel à la Compagnie Tic Tac & Co, avec qui nous avions déjà construit la pièce Au bout de la nuit (lire ci-dessous). On change quoi ? se veut une sensibilisation théâtrale à dimension artistique, humaine et éducative, pour des relations plus harmonieuses et égalitaires entre les filles et les garçons.
C'est avec une grande joie et beaucoup de curiosité que les militantEs du Nord Pas-de-Calais accueillent la grande première d'On change quoi ? au Collège Franklin de Lille le lundi 25 novembre 2013 (une autre séance aura lieu le jeudi 5 décembre). Deux représentations sont prévues, à 10h00 et 13h30 ; le spectacle dure 50 minutes, il est suivi d'un débat d'une heure encadré par notre équipe et celle du collège. Rendez-vous très bientôt sur la page de notre délégation pour un bilan et des photos !
On change quoi ?
Entre Fanny (14 ans), et Nathalie, sa marraine, entre Melchior (15 ans) et l'assistant social de son collège, Philippe, se tissent des liens. Par mail, webcam, texto ou portable, ces adolescentEs s'interrogent, se révoltent parfois, partagent leur mal-être, leurs joies. Entre jeunes et adultes, on parle...
Cette création, que l'on doit à l'équipe expérimentée d'Au bout de la nuit, met en scène Philippe et Nathalie, tandis que Fanny, Melchior et leurs amiEs, interprétés par de jeunes comédienNEs de grand talent, sont présents par vidéo interposée. L'ensemble peut s'installer dans une salle de classe.
Avec pudeur et humour, On change quoi ? aborde de nombreux sujets, et obtient un effet d'identification maximal pour le jeune public : l'amitié, les relations amoureuses, la sexualité ; l'égalité et le sexisme ; les difficultés, voire les drames, comme la jalousie et le chantage affectif, mais aussi les violences sexuelles et le risque prostitutionnel. On change quoi ? parle de respect, de la confiance en soi, de la parole qui libère, des sentiments qui s'expriment, de la petite voix intérieure qui protège. Le ton est actuel, comme celui de notre brochure « Filles-Garçons, on change quoi ? » dont cette pièce représente l'adaptation.
Le Mouvement du Nid et la prévention jeunesse
Pour connaître nos outils à destination de la jeunesse, consultez sur ce site :
notre rapport d'activité 2012 ;
nos publications 12-25 ans ;
notre rubrique Prévention Jeunes ;
la présentation d'Au bout de la nuit, pièce de théâtre destinée aux lycéenNEs et adultes.
Sallie Tisdale a écrit des choses positives sur la pornographie au début des années 1990. Son livre, Talk Dirty to Me: An Intimate Philosophy of Sex, lui a valu bien des insultes et des menaces. Ah ! la joie d’être une femme qui parle de cul dans notre société pleine de tolérance. 20 ans plus tard, Salon la questionne sur l’évolution du sexe à travers internet et encore une fois Tisdale fait la part belle à la positivité.
En résumé, Sallie Tisdale affirme qu’internet n’a rien changé au sexe, « ce sont les mêmes schémas que l’on a toujours vus ». Certes, les discours haineux, répressifs existent et la notion de vie privée se fait méchamment bafouer avec les affaires de revenge porn. Admettons-le, Internet n’est pas encore un havre de paix, mais le réseau contient des criques sereines, souvent pornographiques, où tout un chacun peut explorer sa sexualité, son identité, son orientation. Il aide aussi à comprendre que le sexe et les pratiques considérées comme en dehors de la norme ne le sont pas. Oui, internet ouvre les esprits. Internet est un lieu d’échange, d’apprentissage et c’est ça qui est bon.
De l’interview de Sallie Tisdale, nous retiendrons que la pornographie sur internet sert le bien, même si une large partie de la production reste trop stéréotypée pour le féminisme dont Sallie se revendique.
En tant que représentants de la société civile congolaise, du Gouvernement de la République Démocratique du Congo et de l’Organisation des Nations Unies en RDC, nous tenons à montrer notre engagement et notre solidarité dans l’élimination de toutes les formes de violences à l’égard des femmes.
Les violences physiques, et en particulier les violences sexuelles dont sont victimes un trop grand nombre de femmes, sont les plus visibles et les plus marquantes.
Dans les pays en conflit, le corps des femmes devient une arme de guerre et la République Démocratique du Congo n’a...
On parle du point G de la femme mais celui de l’homme, le point P (non pas les magasins hein !), reste encore un tabou et tout plein d’aprioris. On va donc tenter d’y voir un peu plus clair !
L’organe que l’on qualifiera de point P c’est la prostate. C’est une glande sexuelle masculine (les femmes ont également une prostate dont la glande la plus importante associée est la double glande de Skène mais là n’est pas le sujet). Elle pèse entre 15 et 20 grammes soit approximativement la taille d’une noix, située à environ 7 cm de profondeur derrière la paroi supérieur du rectum (oui je sais mon schéma n’est pas très joli). Sa fonction principale est de sécréter une partie du liquide séminal qui est l’un des constituant du sperme. Puis, lors de l’éjaculation, elle se contracte pour expulser son contenu. Je ne m’éternise pas sur le côté physiologique, je préfère parler de plaisir…
Ce petit organe que finalement peu d’hommes savent situer et le rôle qu’elle tient, est une zone extrêmement sensible. La prostate est étroitement liée aux sensations de plaisir ressenti durant l’orgasme et/ou l’éjaculation.
A noter que chez l’homme, l’éjaculation n’est pas synonyme d’orgasme comme on le croit souvent. Elle est généralement concomitante à l’orgasme. Cependant, les deux ne sont pas liés. L’un est la conséquence naturelle de l’autre. Il est courant d’éjaculer sans orgasme (c’est souvent le cas des éjaculations précoces) et il est aussi possible d’avoir des orgasmes sans éjaculer.
Le massage prostatique procure une excitation intense, un plaisir extatique. Les hommes qui s’adonnent à se plaisir diront que c’est divin. Elle peut être stimulée de 2 manières différentes. L’une par l’introduction d’un doigt, d’un sexe, ou accessoire adapté au plaisir prostatique, dans l’anus (avec lubrification et douceur enfin ça c’est à l’appréciation de chacun hein !) l’autre par une pression (pas trop exagérée) sur le périnée, entre le scrotum et l’anus. Cette dernière sera une stimulation plus superficielle, pour ceux qui ne sont pas encore prêts à sauter le pas.
Le massage prostatique favorise souvent l’érection et peut mener à l’éjaculation mais dans le cas ou il n’y aurait pas érection, sachez que cela n’indique en rien le degré de plaisir éprouvé. Certain préfèreront goûter le plaisir anal et génital simultanément pour ne pas court-circuiter les sensations.
Loin d’être une pratique démocratisée, le massage de la prostate est considéré, encore aujourd’hui, comme un plaisir assimilé à l’homosexualité ou au toucher rectale du médecin. Beaucoup d’hommes sont loin de passer à l’acte, et pourtant…
Je me souviens, lors d’un atelier, que l’un des participants (ayant une cinquantaine d’années) avait répondu à mon intervention sur le plaisir de l’homme : « quand on parle de prostate à un homme, c’est généralement que ça sent le sapin ! » Idée fausse qui m’a fait sourire. Il est vrai que le plaisir masculin n’est pas quelque chose dont on parle, tabou ou inconnu, un peu des deux je crois. Remarquez, lorsque l’on tape « prostate » dans les moteurs de recherches, mise à part une définition physiologique, on vous parlera surtout de cancer. C’est gai !
Dans notre société actuelle où l’acte sexuel n’est plus un simple instant de procréation mais devient une récréation, nous pouvons alors nous poser cette question : Si la nature humaine vous a dotés d’un tel organe de plaisir, pourquoi ne pas en profiter !? Il faut savoir accepter ses deux personnalités sexuelles : l’une dominante, pénétrante et l’autre, passive puisque lors de la stimulation prostatique, l’homme est pénétré. Pour autant, cela ne veut pas dire qu’il se dévirilise.
De nos jours, les fabricants de sextoys ont parfaitement étudiés les besoins de l’homme et de la femme en terme de satisfaction sexuelle. Les accessoires sont performants et parfaitement adaptés au plaisir de chacun. Les masseurs prostatique sont nombreux, vibrants ou non vibrants, les formes et couleurs varient…
Si l’envie vous vient de découvrir le plaisir lié à la prostate rien ne vous empêche de le faire seul dans un premier temps. A vous de voir si vous avez envie par la suite de partager cela avec votre partenaire. Vous ne serez pas non plus considéré comme bisexuel si vous pratiquez la stimulation de la prostate, il faudrait pour cela avoir une attirance pour le même sexe. Loin de nous les tabous et la culpabilité, l’orgasme et l’extase c’est pour tout le monde, adonnez-vous au plaisir sans a priori !
Il y a quelques semaines, un lecteur avait testé le Nexus Revo, un sex-toy anal spécialement conçu pour les hommes et leur point P. Le résultat était enthousiaste, à la limite de la nouvelle érotique! Ce même sex-toy, un autre lecteur l’a testé, avec un peu moins d’enthousiasme.Voici le résumé de son expérience, traduite par mes soins : l’original en anglais est ici.
J’ai entendu à la radio qu’il y avait des testeurs professionnels de sex-toys… Comme on a l’habitude de le dire, le cerveau est le premier organe sexuel, et je pense que toute personne équipée d’un cerveau est donc à même de chroniquer un sex-toy! Ceci dit, toute expérience sexuelle dépend de notre vécu et de notre état émotionnel : il est donc toujours difficile de faire une critique de sex-toy qui ne soit pas une opinion personnelle.
Ce n’était peut-être pas mon jour
Tout cela pour vous dire que mon expérience avec le Nexus Revo, un sex-toy anal masculin, fut contrastée. Lorsque je l’ai eu dans les mains, en regardant sa forme et sa taille, je m’étais dit que ce serait du plaisir garanti. Comme je ne pouvais pas le tester tout de suite, au fil des jours, mes attentes ont augmenté, et quand j’ai finalement rempli mon devoir de critique de sex-toy, mon impression fut assez tiède. Qui sait, ce n’était peut-être pas mon jour.
Pourtant, le packaging était prometteur. Une boîte élégante, un sac de velours noir contenant ledit vibrateur, un petit mode d’emploi. Il manquait quand même deux choses essentielles : des piles pour le faire fonctionner, et du lubrifiant. Je pense que les sex-toys font de beaux cadeaux d’anniversaire ou de Noël, et il est dommage que le Revo ne puisse pas être utilisé tout de suite si vous n’aviez pas été prévoyant. Pour ce qui est du lubrifiant, je reste en réalité partagé sur le fait qu’il faille fournir un échantillon ou non. Car souvent, les petites pochettes de lubrifiant laissent croire qu’une petite goutte suffit, alors qu’on ne peut jamais vraiment mettre « trop » de lubrifiant. Si j’hésite sur le lubrifiant, je n’ai pas de doutes sur les piles : pas d’excuses, fournissez-nous en deux ! Ce n’est pas pour ce que coûtent les boîtes de piles ! (Note de Camille : contrepèterie inside)
Accessible aux débutants
La forme du Nexus n’en impose pas trop, ce qui le rend accessible aux débutants. Sa tête est plus large que sa base, ce qui peut ressembler à un défi pour la personne qui essaye un sex-toy anal pour la première fois. Mais une fois qu’on a passé délicatement les muscles de l’anus, le reste du voyage est une formalité.
La base comprend quant à elle les piles et le vibrateur, ce qui la rend un peu encombrante mais fait office de poignée. Elle est pourvue de petits picots, qui simulent agréablement le périnée. Petit inconvénient : elle n’est pas waterproof, donc le nettoyage doit être fait avec précaution.
Je ne peux pas me prononcer sur la texture et le toucher de la matière, pour la bonne et simple raison que j’ai testé le Revo avec un préservatif. Et dieu sait si la matière et la texture jouent un rôle primordial – parfois, même si la douceur est au rendez-vous, le jouet peut causer des irritations. Mais sur cet aspect-là, vous devrez vous faire une idée par vous-mêmes.
Nous n’étions pas faits l’un pour l’autre
Venons-en à la vibration. Le Revo peut entrer en rotation, en vibration, ou les deux à la fois, à l’aide d’un bouton unique. Pour moi, la vibration était trop forte. La rotation était agréable, mais ne m’a procuré qu’un plaisir limité. Peut-être était-ce dû à la longueur du sex-toy ? Tout l’intérêt de la rotation est de venir stimuler le point P (autrement dit la prostate), donc tout dépend de l’anatomie de chaque utilisateur. Car finalement, le plaisir maximum, je l’ai eu lorsque tous les moteurs étaient éteints.
En résumé, le Revo et moi, on n’a pas vraiment accroché. Ce n’était pas lui, ce n’était pas moi, c’est juste que je pense que nous n’étions pas faits l’un pour l’autre. En matière de sex-toys, tout est question d’alchimie, donc le meilleur moyen de savoir, c’est de faire votre choix et d’essayer !
One of my readers performed a test of the Nexus Revo, an anal dildo specially designed for men. As he is not fluent in french, here is his original report in english.
I’ve heard lately on the radio that there are professionals sex toys critics nowadays. According to the old saying, that the biggest sex organs in the human body is the brain, I believe that anyone who is equipped with one is entitled to review sex toys for a living or simply for fun. I don’t know where to put the line between a professional critic and my personal opinion when it comes to describe my intimate experience with a specific toy. As much as I appreciate the trust of all you readers out there I’d like to take a moment and remind myself that any of my sexual experiences was subjected to my emotional and mental states as well as my personal preferences and that my opinion about any sex toys is as any good as any other opinion. You don’t need a college degree to know if you enjoyed or not.
The reason I’m explaining all of this is because I’d like to give you my opinion today about the Nexus Revo anal vibrator with which I had a controversial experience. When I first got this toy into my hands, it seemed to me like a guaranteed pleasure. Just looking at its shape and size I immediately started to imagine how it would feel like and couldn’t wait to test it. My expectation level was rising as the days passed by. Yet a couple of days later, when I finally fond the time to fulfill my duty as a sex toy critic, I had a mild impression. To be honest, I was simply disappointed. My body had little reaction to this toy. Nevertheless, I do not think that my personal body reaction deserved this toy a negative review. I believe that it has a lot of potential and a lot of you readers will enjoy it. Who knows, maybe it was simply not my day.
The packaging
Starting with the package, the Nexus Revo arrived in a very elegant dark cardboard box. Inside the box I’ve found a short and simple to understand instructions manual, an elegant black cloth bag to keep the vibrator save from dust and of course one purple gray curved anal vibrator.
All in all I’ve found the packing very elegant and pleasant. Still, a couple of minor things were still missing to my opinion. I believe that sex toy are by definition a potential birthday, Christmas or valentine day gifts and as such I expect them to be ready for use the moment you get them out of the box. Therefore, I expected both lubrication and batteries to get a proper attention.
As far as lubrication is concerned, I am controversial whether it should really be provided with the package or not. I’m not a big fan of the tiny samples you sometimes get with toys. Lubrication – especially with anal toys – should be used generously and those miniature bags might give the wrong impression that one drop should be enough. On top of that, the type, brand or flavor of lubrication is also a matter of personal preference. Therefore in this sense, I do not hold the manufacturer accountable to provide the lubrication, however I think it is their responsibility to make it very clear on the package that this toy is not complete without it.
Regarding the batteries my opinion is a bit more conservative and I think that there are no good excuses here. If the toy is not rechargeable – and the Nexus revo is not – please give us for that price also couple of batteries and don’t send us to the kiosk at the corner of the street in the middle of the night.
The design
As I already mentioned before, I’ve found the shape and size of the Nexus Revo very good. It’s not too big and therefore I believe it would be pretty suitable for people with little experience, yet it’s not too small either and provide enough pressure when inserted.
The main shaft of the Nexus-Revo has varying width, where the tip is the widest part of it and the basis of the shaft is narrowest. The tip being widest might impose a little bit challenging for those who try an anal toy for the first time. Yet, once you’ve gently passed the anus muscles at the beginning the rest of the journey is much easier. On the other side the basis of the shaft being thinnest, allows it to rest inside the body comfortably once fully inserted. The round design of the shaft makes it very easy to clean and does not accumulate or catch dirt.
The base of the Revo contains the controls, the battery compartment and a vibrating component which makes it a little bit bulky. The relatively big base allows a good hand grip of it yet gets a little bit in the way, when sitting in such position that the Revo is pressed against the surface on which you’re sitting.
At the front of the base you can find small points sticking out which should stimulate the back of the genital area and the testicles. The structure of the battery compartment’s door unfortunately is not water proof. The manufacture recommends the use of a wet cloth for cleaning but I admit that I was using running water with a lot of caution, not to get any drop inside the electrical parts.
Unfortunately I cannot provide any feedback regarding the materials and texture or the Revo. This is due to fact, that I was testing the Revo using a condom. From my previous experience with other anal dildos and vibrators I came to realize that the material and textures are playing a huge role if a specific toy fits me or not. While many toys feel very similar in the hand, when inserted anally – also when using ample amount of lubrication – some may cause irritation or burning reaction while others will go in smoothly. This is obviously a question of personal chemistry and therefore, you will have to find for yourself.
Functions and operation
The Revo is operated by a single button and can switch between different states of operation from rotation of the tip of the shaft to vibration – either constant or pulses – of the base unit and the combination of both of them.
I think it could have been nice to have an option to control the intensity of the vibration. For me it was a little bit too intense. On the other hand, the rotation of the tip of the shaft felt nice, yet the sensation was mild and it seemed that my body did not react on it very strongly. I had the most fun when all engines were off. Sometimes less is more, but each of us has different body and different needs.
All in all
Before closing this article, I’ve noticed on Nexus’ webpage that they offer the next generation of Revo model called “Revo 2”. From the technical description it seems that the younger brother of Revo 1 while keeping the same design addresses some of the issued referred to in this article.
Although from my personal and sensual point of view, the Revo and I did not fit together, I think that this toy has a lot of potential. I’m sure a lot of you readers out there will enjoy it.
I must emphasize again that when it comes to sex toys, it’s a matter of personal preference and chemistry between you and your toy, so the only way to find out if this one is for you, is to get one and try it out. Have fun!
Une lectrice a eu la gentillesse de m'offrir Film noir de Taschen dont je vais vous parler aujourd'hui.
"Oui je l'ai tué. je l'ai tué pour le fric et pour une femme. je n'ai pas eu le fric et je n'ai pas eu la femme. C'est réussi non ?" Walter Neff, Assurance sur la mort.
La période classique du film noir s'étend de 1941 à 1958 ; ces films furent longtemps conspués par la critique qui parlait de "films de criminels".
Les studios confiaient en général à leurs studios chargés des séries B le soin de réaliser des films noirs qui servaient à combler les deuxièmes parties lors des doubles programmes.
Dés 1946, les critiques français qui n'avaient pu voir pendant 5 ans des films américains, constatèrent combien les ambiances et les sujets étaient plus sombres que dans les années 30, et commencèrent à parler de film noir. En 1955, Raymond Borde et Etienne Chaumeton publièrent une grand étude sur le sujet "Panorama du film noir américain : 1941-1953" alors qu'on n'en parlait pas du tout aux Etats-Unis. Le jeunes rédacteurs des Cahiers du cinéma firent de même à la fin des années 50 et au début des années 60.
Les américains ne commencèrent à en parler qu'au milieu des 60 en se rebellant contre l'histoire imposée du cinema américain. Ainsi au début des années 70, sont publiés plusieurs essais sur le film noir américain ainsi nommé d'après les premiers critiques français.
Les racines du film noir viennent du polar hard-boiled (dur à cuire) de Dashiell Hammett, Raymond Chandler, James M. Cain, David Goodis et Cornell Woolrich. Leq écrivains naturalistes comme Zola et Hemingway eurent également une grande influence ainsi dans La bête humaine Zola associe crime et désir.
Au plan technique, les expressionnistes allemands avec leurs clairs-obscurs, leurs angles de vues déformés et leurs décors symboliques ont eu une grand influence sur l'esthétique du film noir. On peut ainsi citer Le cabinet du docteur Caligari, Metropolis, la série du docteur Mabuse ou Nosferatu.
Au niveau philosophique, la diffusion des théories freudiennes eut également leur importance ainsi que l'existentialisme. Ces deux courants contribuèrent à promouvoir la vision du monde mettant en scène l'absurdité de l'existence, et l'importance du passé dans les actes d'un individu.
Les thèmes du film noir :
- le passé hanté : les individus sont souvent marqués par un passé lourd qu'ils traînent comme un fardeau.
- le cauchemar fataliste : le film noir tourne autour d'un axe central ; la causalité. Les événements du film sont liés entre eux et mènent vers une fin prévisible. Le film noir est déterministe.
Les archétypes :
On retrouve 3 personnes archétypaux.
- celui qui recherche la vérité
- celui qui est traqué
- la femme fatale
La photographie :
- l'éclairage en clairs obscurs
- les angles inattendus
- les mouvements de caméra
- le paysage urbain
- flash back et caméra subjective
La diction :
- dialogues inspirés des romans policiers hard boiled
- une voix off
On considère comme le premier film noir Stranger on the third flood avec Peter Lorre.
1941 marque le début de la période classique du film noir avec Le faucon maltais de John Huston.
En 1943, sort Assurance sur la mort.
1944 : Adieu ma jolie
1945 : Détours
1946 : Le facteur sonne toujours deux fois, Gilda, Le grand sommeil et Les tueurs.
Entre 1947 et 1955 de nombreux réalisateur de films noirs sont mis sur listes noire et grise par la Commission des activités antiaméricaines.
1950 marque l'apogée du film noir.
En 1952, sort La maison dans l'ombre. En 1953, Un si doux visage et en 1954, Désirs humains.
Dés 1956, le film noir amorce son déclin avec Ll'ultime razzia. En 1958, La soif du mal est considéré comme le chant du cygne du film noir.
En 1967, Le point de non retour de Boorman est considéré comme un film noir dans un univers non noir.
1972 marque la naissance du film neo noir avec Hickey & Boggs. Vinrent ensuite Chinatown, Taxi driver...
Vous trouverez ici une liste non exhaustive des films noirs.
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