34713 éléments (3171 non lus) dans 75 canaux
Important message à relayer s’il vous plait, le 25 et 26 Avril 2014 se tiendra à Buc (dans le 78) le festival « Ma Sexualité n’est pas un Handicap« . Ce festival est une très très bonne initiative que je soutien à 100% sur la sexualité et le handicap. Cliquez sur l’image pour être redirigé sur le […]
Cet article Ma sexualité n’est pas un handicap est apparu en premier sur NXPL.
Selon une information révélée par le site dozodomo.com, la chaîne de télévision japonaise Asashi a censuré un plan du dessin animé Doraemon : Nobita no Himitsu Dôgu Museum (2013), de Teramoto Yukiyo, montrant aux téléspectateurs la petite culotte d'un des personnages. La chaîne a ajouté un jet de lumière pour dissimuler le sous-vêtement blanc de Shizuka. Cette censure a étonné les fans qui ne comprennent pas le problème, le personnage de Shizuka étant très souvent présenté nu dans les scènes où elle prend son bain. Il semble en réalité que l'affaire a servi d'argument aux défenseurs du projet de loi Tokyo’s Youth Healthy Development Ordinance qui vise à protéger les jeunes Japonais de contenus jugés choquants.
Au bureau, on n’est pas plus à la pointe ou en retard que d’autres, dès qu’on peut, on essaye de finir ce maudit 2048. Certains ont réussi, d’autres butent encore contre ce petit enfoiré de 1024 qui n’arrive pas à rencontrer son frère jumeau. La vie au Tag est douce, parfois ponctuée d’éclats de rire quand quelqu’un glisse sur une peau de banane dans le vaste Projet Internet. Globalement tout fonctionne, je raconte mes histoires de runner que tout le monde fait semblant d’écouter, Jizzou a des délires de vegan, Margot de Pop-up Urbain masturbanise au calme et Le Serbe relève parfois la tête de ses parents 4Chan/Reddit pour insulter un chien coquin : « c’est plus possible, faut arrêter avec Doge maintenant ! ».
Tout ça pour dire qu’on a reçu un mail de Fier Panda qui disait « Salut ô taulier du tag ! On avait 5 minutes à perdre alors on a créé boobs2048 :) Bon jeu ! ». De quoi remettre une pièce dans le juke-box de la dépendance et tenter la dernière fusion de boobs pour atteindre 2048.
CLIQUE-MOI SALEMENT POUR JOUER
Si vous n’avez pas peur du old, vous pouvez également jouer à Fappy Guy.
Editor in chief of Art magazine Prussian Blue, Guillaume de Sardes is also a writer and a photographer.
Fervent support of IRÈNE, he will have an exclusive serie in our next issue. Be ready to be surprised!
Marre de Google, Facebook, Twitter, qui utilisent nos données sans encadrement ? Liza del Sierra, notre Liza nationale, nous sensibilise sur le sujet avec l’UFC-Que Choisir. Une vidéo commence à tourner fort sur lesdits réseaux, elle promeut la pétition « Je garde la main sur mes données », lancée par l’association de défense des consommateurs.
Entre deux tests d’aspirateurs et de tablettes tactiles, l’UFC en appelle au porno en la personne de Liza pour donner un peu de relief (du 95D quand même) à sa campagne pour la protection des données, un noble combat s’il en est. Le recours au porno va leur assurer des reprises sur le Huffington Post et les autres médias qui ne crachent jamais sur du clic. Un peu comme nous.
La culture porn se répand et on est bien content que Liza trouve une exposition plus large avec ce buzz du jour. En plus, la réalisation a tout bien fait comme dans le porno avec un sens de la justesse dans le jeu d’acteur du monsieur de l’UFC, qui est un hommage vibrant aux meilleurs comédiens du X.
Seulement à la rédac, on avoue un gros faible pour la version masculine et interactive de la vidéo, avec le beau Marco et son épilation impeccable du pubis.
Quand on ne parle pas de Kink, on écrit sur James Deen et Stoya. Aujourd’hui ne fera pas exception puisqu’Erika Lust (une autre habituée des brèves) annonce qu’elle va tourner avec le couple cet été.
I'm happy tho announce that @stoya and @JamesDeen will be soon in Barcelona!
— Erika Lust (@erikalust) March 25, 2014
Vendredi passé, on se faisait l’écho du déménagement de la plus suédoise des Barcelonaises dans le quartier d’affaires branché de la capitale catalane, preuve que son business lui rapportait assez de mailles pour régler un loyer sans aucun doute très onéreux.
Dans cette veine de bonnes nouvelles, Lust balance donc, rapido en un tweet et une microbrève, le booking de James Deen et Stoya pour un tournage durant la période estivale. Elle nous promet du différent et du très spécial. La mise en majuscules de ces derniers caractères nous fait dresser le mât de la curiosité bien haut.
¡ Hola guapo y guapa !
On sait que Lust adore filmer la complicité des gens qui s’aiment, s’effacer avec sa caméra pour laisser libre cours à la course des corps. Deen et Stoya devraient donc nous livrer leur intimité sur un lit proche d’une baie vitrée par laquelle la lumière les noiera sous un feu nourri de perversité. Enfin, on imagine, parce qu’on n’a pas plus d’infos.
Cette coopération entre eux et Lust annonce, par voie de conséquence, une tournée européenne du couple. Deen avait déjà participé à du Public Disgrace (Kink) en Espagne. X-Art emploie du monde à l’Est aussi et on connaît l’amour de James pour ce studio. Dorcel a-t-il pris contact avec les deux stars ? Bref, l’été sera chaud dans le porn européen. On ne remerciera jamais assez Mindgeek et Digital Playground d’avoir libéré Stoya des menottes luxueuses de la contract girl qu’elle était.
En patientant jusqu’aux fêtes de la Saint-Jean, James ne se fait pas du mouron et embrasse tendrement Lily LaBeau dans une voiture. La vie est dure.
Ou le récit intime d’un après-midi presque comme les autres…
N’ayant pas eu envie d’aller voter (oooouh pas bien…) ni de sortir me promener sous la pluie, je me suis demandée comment j’allais bien pouvoir occuper mon weekend…
La plupart de mes soupirants n’étant pas disponibles ou juste récemment décédés des suites d’une trop forte dose d’adrénaline, il a fallu que je trouve un remède à ma frustration.
C’est pourquoi, lorsque ma très chère amie et collègue Alexia m’a dit qu’elle avait reçu un petit colis surprise pour moi de la part de la boutique Neoplaisir, contenant deux sextoys tout beaux tout neufs, j’ai tout de suite accepté de me dévouer corps et âme pour le CCF, j’aime mon travail!
Il aurait été idiot de refuser une si belle offre n’est-ce pas?!
Petit problème cependant et pas des moindres, squattant depuis peu le canapé chez une amie vivant en colocation avec deux personnes, difficile pour moi de trouver un moment pour m’isoler.
Je décide donc d’user de la ruse la plus merveilleusement commune dans ces cas là, j’ai nommé le je-vais-me-faire-couler-un-bain-les-amis-ça-va-me-détendre-je-suis-trop-fatiguée… Sous-entendu je vais aller m’enfermer à double tour, armée de mes jouets et de mon ordi pour foutre de la musique à fond et me masturber jusqu’à plus soif! Mouhahahaha! (j’imite terriblement bien le rire satanique).
Une fois la porte fermée à clé, dans cette salle de bain préalablement chauffée où le bain (brûlant) aux huiles essentielles n’attend que moi, je mets en marche ma playlist Sex with Nick Cave et je m’installe confortablement… Let’s begin’!
Je décide de commencer par le Sqweel2 meilleure vente DU MONDE du sextoy oral d’après ce qu’il y a écrit sur la boite et dont la forme un peu ridicule me rappelle les moulins à eau de chez Playskool! Oui oui, ceux pour les bébés qu’on ventouse sur les rebords des baignoires et ça ne me donne franchement pas envie du tout. Ce petit accessoire est censé me rappeler les effets du cunnilingus avec toutes ses petites langues en silicones rose bonbon qui vibrent et tournent sur mon clitoris adoré. Autant vous dire que c’est de la publicité mensongère!!
Je ne sais pas comment on peut comparer ce truc a un cunnilingus à moins qu’ils aient oublié de préciser “realisé par un poulpe sous anesthésie dentaire”…
Bon j’exagère, je suis un peu dure avec ce joujou, globalement c’est marrant mais pas vraiment efficace. Je pense que c’est plus le truc “fun” à garder dans sa salle de bain au milieu des canards. Bref. Passons aux choses sérieuses.
Après ma déception du moulin, je m’attaque à celui que l’on nomme Ze Holy Grail du vibro, celui qui rend folle toutes les actrices porno dans les films, celui qui ferait éjaculer n’importe quelle femme frigide sur cette planète, j’ai nommé le Smart Wand de chez Lelo. Oh my god! Oh my god! OH MY GODE!
Moi qui pensais que les actrices sursimulaient leurs orgasmes avec cet objet, que c’était bien m’enfin pas moins bien qu’un autre vibro quelconque… QUENENI très chères! C’est merveilleux!
Déjà l’objet est très beau, présenté dans une superbe boite blanche très classe, c’est hyper doux au toucher et ça donne vraiment envie de s’en servir.
Par contre il ne faut pas oublier de le charger pendant deux heures avant utilisation…donc prenez votre mal en patience, ça vaut le coup!
J’ai donc augmenté petit à petit les vitesses de massage de la baguette magique qui sont toutes très très puissantes…et que de sensations! J’ai commencé à me sentir très détendue puis à me tortiller dans tous les sens, jusqu’à l’apothéose, l’orgasme ultime avec éjaculation ainsi que de nombreux autres orgasmes très intenses.
Je ne saurai que trop vous le conseiller Mesdames, Mesdemoiselles, seule, avec un ou plusieurs partenaires, je crois qu’il est plus que recommandé de l’avoir chez soi!
C’est donc comblée et heureuse que je suis allée me lover dans mon bain où je me suis endormie en rêvassant à ma prochaine journée pluvieuse en si belle compagnie…
Réalisatrice peu prolifique, Mariana Rondón n’en connaît pas moins un joli succès en Amérique latine. Cinq ans après la sortie de Cartes postales de Leningrad où des enfants s’inventent un monde pour se protéger des horreurs de la guerre, la cinéaste revient avec Pelo Malo, où elle raconte l’histoire d’un garçon de neuf ans.
Il s’appelle Junior, vit à Caracas avec sa mère et son petit frère de deux ans. Mignon, de constitution délicate, il est obnubilé par ses cheveux qu’il a frisés comme son père alors qu’il les aimerait tellement lisses comme ceux de Marta, sa jeune maman. Dans l’espoir de dompter cette toison rebelle qui lui pourrit l’existence, il s’enferme dans la salle de bains, passant des heures devant la glace à se coiffer et se recoiffer, allant jusqu’à enduire ses boucles épaisses de mayonnaise ou d’huile pour mieux les aplatir.
Les angoisses d’une mère
Ce comportement coquet déplaît fortement à Marta, qui y voit le signe d’une potentielle homosexualité. D’autant que Junior n’aime pas le sport, veut être chanteur, danse avec sa grand-mère qui lui apprend des chansons kitsch et joue à la poupée avec une copine acariâtre et peu gâtée par la nature, rejetée par les autres enfants. Il adore aussi regarder le concours de Miss Venezuela à la télévision et s’intéresse de trop près à un voisin plus âgé qui se balade en débardeur sous sa fenêtre.
Autant dire que le gamin, ne correspondant pas à la norme, a du mal à se couler dans le moule ardemment souhaité par sa mère. Ce qui provoque entre ces deux êtres des relations particulièrement conflictuelles. Certaine qu’il va souffrir dans une société dominée par la masculinité, Marta s’ouvre de ses angoisses à un médecin, usant par ailleurs de divers moyens pour essayer de viriliser son rejeton. Tandis que ce dernier, aspirant à un amour maternel qui lui est refusé, lutte pour assumer une différence qu’il ne fait que pressentir.
Les obsessions capillaires de Junior et ses petits travers servent naturellement de prétexte à la réalisatrice pour stigmatiser l’homophobie et l’intolérance. Mais elle s’y prend avec finesse, évoquant l’orientation sexuelle de Junior par petites touches, sans rien dramatiser, ni vouloir absolument illustrer son propos par l’image. Pas question non plus pour Mariana Rondón de tomber dans les bons sentiments ou la compassion. Certes bienveillante, elle peut aussi manifester une certaine dureté, sinon se montrer cruelle dans le dénouement d’un récit singulier aux personnages attachants et parfaitement interprétés. A commencer par Samuel Lange Zambrano (Junior) et Samantha Castillo (Marta). Ils contribuent largement à la réussite de ce film bien écrit, bien mis en scène, qui a reçu le Coquillage d’Or au Festival de San Sebastian.
Gagnez vos entrées pour l’avant-première en présence de Mariana Rondón (réalisatrice) et de Marité Ugas (productrice) @ Cinémas Les Scala, Genève, mercredi 2 avril à 19h45. Tentez votre chance en envoyant vos coordonnées à guillaume@magazine360.ch
Il faut croire que tout ce qui sort de l’ordinaire est désormais suspect d’être gay, en Russie. Comme cette initiative d’une école d’anglais d’Irkoutsk, qui a organisé une flash-mob sur le thème de la Saint Patrick, dimanche sur le parvis d’un centre commercial. Selon l’agence Interfax, les «déguisements historiques» irlandais des participants, et notamment des kilts portés par certains d’entre eux, ont vite fait d’attirer l’attention de quelques jeunes désœuvrés. Résultat, une grosse bagarre et une belle pagaille.
«représentants d’une orientation sexuelle non traditionnelle»
Selon la police, les agresseurs ont cru avoir eu affaire à une gay pride sauvage. Les élèves de l’école «ont été pris pour des représentants d’une orientation sexuelle non traditionnelle» – le terme consacré par la loi contre la propagande homosexuelle – a expliqué une source des forces de l’ordre (avec peut-être une pointe de complaisance).
L’école a confirmé que certains élèves et professeurs avaient été blessés légèrement, tout en soutenant que c’est plus simplement les tenues exotiques portées par les flash-mobbers qui «n’était pas au goût de ces masses grises».