Actualité X y » décembre 24, 2014 (3198 non lus)

Canaux

34739 éléments (3198 non lus) dans 75 canaux

Radio/sons (113 non lus)

Sexo anecdotique (669 non lus)

Actu et info sexe (635 non lus)

Ecrits / bds / Edition (109 non lus)

BDSM/cuir/latex/ (29 non lus)

feminisme (791 non lus)

Libertinage (19 non lus)

Info LGBTI (833 non lus)

« Expand/Collapse

décembre 24, 2014
23:28
Outing de Florian Philippot: «Closer» condamné pour «atteinte à la vie privée»
» ‎ 360Â°

Tags: [éditer]

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2014/12/24/photos-volees-de-philippot-closer-condamne-pour-atteinte-a-la-vie-privee_4546017_3236.html|Le magazine people, propriété du géant Mondadori devra payer 20’000 euros de dommages et intérêts. Il avait révélé au grand jour l’homosexualité du numéro 2 du Front national par des images volées qui le montraient bras dessus bras dessous avec son compagnon. La décision devra aussi être publiée en une du magazine.

16:56
«Closer» condamné plus sévèrement pour Florian Philippot que pour Julie Gayet
» ‎ Yagg societe

Tags: [éditer]

Saisi en référé, le TGI de Paris exige que le magazine «Closer» verse 20000 euros à Florian Philippot, alors que 15000 euros de dommages-intérêts avaient été accordés à Julie Gayet.
Lire la suite et discuter

16:35
La guerre de Troie a lieu tous les jours
» ‎ Féministes radicales

Tags: [éditer]

Enlevée à l’enfance comme une esclave, mariée de force puis encore enlevée comme un trophée, puis assiégée au même titre que ses tortionnaires pour être « libérée » par le clan d’hommes qui l’avait mariée de force, et enfin accusée devant les siècles d’avoir causé toute cette violence et même la fin d’une civilisation …

Hélène est la victime exemplaire des crimes des hommes : déportation, séquestration, viol, transactions et pactes entre les hommes qui veulent posséder l’esclave, vengeance armée contre l’esclave en cas de désaccord entre eux, puis, pour blanchir le déchaînement de haine misogyne, diffamation publique sans limite et fabrication méthodique d’une réputation d’une violence inouïe, pour faire d’une cible contemporaine une cible pour les générations d’hommes à venir.

Renommée par l’ennemi Hélène de Troie, deux fois enterrée dans son nom, par l’ennemi Grec pour être haïe à jamais, par l’ennemi Troyen pour être possédée à jamais.

Combien d’Hélène je connais … Assez pour expliquer la mort de toutes les civilisations passées et avenir.

Et pourtant, elles n’ont fait que tenter (elles ont échoué) de se libérer du joug d’un homme, en recourant à la justice ou aux soins.
Mais la « justice » est la loi des hommes : elle est issue du code Napoléon – colon meurtrier et haineux des femmes. Et les soins sont des protocoles hérités du génocide des Sorcières et de la persécution des Hystériques du 19ème siècle.
La machinerie de guerre.
Qu’est une femme victime de viol par inceste face au psychanalyste ? « Une névrosée qui veut du Père et du Phallus ». Hélène.

Qu’est une femme victime de violences masculines dans la famille face à un psychologue formé à la systémique ? « La coresponsable dans la responsabilité circulaire propre au système familial ». Hélène.

Et une femme victime de viol face à un juge ? « Une plaignante peut-être consentante ». Hélène.

Et une femme victime de violences conjugales face au Juge aux affaires familiales ? « Une revancharde ». Hélène.

Et une mère témoin des violences paternelles contre ses enfants face au JAF ou au Juge pour enfants ? « Une mauvaise mère qui déplace le « conflit conjugal » sur les enfants ». Hélène.

Et une mère alertée par les comportements inquiétants du père contre ses filles face à l’enquêteur social ? « Une mère aliénante ». Hélène.

Et une femme victime (de pression sexuelle donc) de viol conjugal face au sexologue ? « Une frigide à rééduquer ». Hélène.

Et une femme en pleine dissociation post-traumatique face à un psychiatre ? « Une psychose hystérique ». Hélène.

Et une femme en danger, paralysée par les injonctions contradictoires et consciente de l’incapacité des forces de l’ordre à la protéger, face au policier ? « Une femme amoureuse qui ne sait pas ce qu’elle veut ». Hélène.

Voilà un tout petit peu de l’armée d’hommes dressée contre les femmes. Tous, collectivement, soudés par les pactes virils propre au contrat social, ils mènent une guerre d’usure contre chaque femme isolée l’une de l’autre, assiégée par au moins un viril.
Les ruses de guerre.
A toute guerre virile, son manuel et son récit de vainqueur. Son Malleus Malleficarum*. La pornographie a cette double fonction.

Ainsi : qu’est une femme face à un homme porno-imbibé ? Une cible. La Hélène mythique qui mérite qu’un viril l’assiège pour la « libérer » (d’elle-même, afin de pouvoir la posséder) puis lui fasse une réputation digne des crimes qu’il commet contre elle.

Puis, à toute guerre virile, ses ruses de guerre.

Au milieu d’un siège millénaire, juste après un coup de force, proposer l’accalmie : l’agresseur en chef détache un régiment pour jouer les ambassadeurs de paix auprès des assiégées … la ruse du Cheval** de Troie est l’une des plus efficaces car toute opprimée choisira l’espoir plutôt que la haine et, à plus ou moins long terme, la mort.

L’amour hétérosexuel chez les hommes a cette fonction de ruse de guerre. La ficelle est énorme quand même : dans une culture virile de haine des femmes, haine profonde et argumentée qui est transversale à toutes les « Grandes » civilisations passées et actuelles, comment croire que cet « amour » soit autre chose qu’un intérêt prédateur ? Au plan global, le mythe de l’Amour des hommes pour les femmes n’est que cela : un mythe. Au plan local (dans « la tête des hommes »), c’est une structure subjective ajustée à la structure objective comme dirait Bousieux, c’est à dire que le mythe de l’amour sert leurs intérêts dominants, qui sont la prédation et la bonne conscience dans la domination. Il s’agit alors d’un mélange (à proportion variable selon le degré de psychopathie et de sociopathie de l’homme) d’intérêt sadique pour la proie (« amour » pour « la différence », pour « la féminité » qui regroupe un ensemble de signes de faiblesse ou de force inoffensive) et de simulacre d’amour pour forcer le siège et annexer une femme. Agiter l’alibi de l’Amour pour La Femme afin de faire la guerre et mystifier toutes les femmes sur le sens réel qu’a le rapprochement des corps, voilà une technique virile aussi ancienne qu’efficace.

Une autre ruse est de faire passer les coupables pour les victimes dans une mise en scène sidérante. Or, dans un système pervers, quelle plus belle figure de la souffrance humaine que celle du bourreau ? Ulysse pleurant la mort d’un autre homme : voilà qui effacera la douleur des milliers de femmes et filles capturées, déportées chez l’ennemi, séquestrées, violées, réduites en esclavage quand les grecs ont envahi Troie. Une larme pour un massacre, une jérémiade pour un charnier… l’histoire des hommes est jonchée de ces équations abjectes. Une seule douleur tonitruante pour recouvrir un crime de masse … une douleur théâtrale. Oui, théâtrale, car totalement improbable : quel soldat, quelle machine à tuer serait capable d’une douleur si humaine ? Le seul motif d’une telle émotion est égocentrique : Ulysse se pleure lui-même, et pleure son honneur mâle bafoué, il refuse la défaite que lui promet ce meurtre. C’est son ego qui a été tué, son alter-ego. Et d’ailleurs, quel ami sincère serait capable de traîner à terre sur des kilomètres le corps de l’être aimé ? Comment peut-il prétendre convoquer le monde entier au deuil de son ami en profanant son corps ? Au plan stratégique, ce théâtre de la Douleur n’est pas la conséquence d’une douleur impossible à réprimer mais un acte d’intimidation, une démonstration de force. L’agresseur use du terrorisme émotionnel pour paralyser, par l’empathie, toute personne qui souffre réellement de cette guerre, et pour paralyser, par la peur, toute personne qui ressent la violence qu’il y a dans ce simulacre.

Les hommes, en tant que caste dressée au silence des émotions et du dialogue avec l’opprimée, manient les sentiments des opprimé-e-s comme des armes et leurs propres émotions comme des hameçons. Ils sont coutumiers de ces théâtres des Douleurs et des Colères divines. Les guerriers se déguisent en humain ou en dieux pour entrer dans l’âme de leur victime, et mener leur guerre de l’intérieur.

Ainsi : qu’est-ce qu’un homme qui geint en haut d’une grue ? Au bord d’une fenêtre devant sa femme et ses enfants ? Un conjoint violent qui fait du terrorisme émotionnel et prend en otage la justice et l’humanité de ses victimes. Au plan local, Ulysse traînant sur la longueur le corps d’un être cher, et, au plan global du rapport de force entre femmes et justice aux « affaires » ( = violences) familiales : Ulysse dans son cheval de Troie.

Qu’est-ce qu’un conjoint violent attentionné au chevet de sa femme, qui s’inquiète auprès de chaque médecin des contre-indications mortelles des médicaments prescrits ? Un assassin déterminé. Ulysse …

Qu’est-ce qu’un conjoint violent qui offre des cadeaux à ses enfants ? Un simulateur. Ulysse dans son cheval de Troie.

Qu’est-ce qu’un père violent attentionné qui accompagne sa fille chez le gynécologue ? Un traqueur. Ulysse …

Qu’est-ce qu’un homme « pro-féministe » qui mecsplique aux femmes leur oppression ? Un paternaliste. Ulysse …

Qu’est-ce qu’un appel à l’égalité au cœur d’une société saturée de pornographie et de crimes ciblés ? Un traquenard. Un pacte non de paix mais de silence sur les crimes en cours. Une armée d’Ulysse dans leur cheval des démocraties guerrières.
Morale de l’Histoire.
Le sexisme est une interminable guerre contre Hélène de Troie, et contre Cassandre, l’infatigable Voix de la Vérité.
La propagande porno-sexo-scientifique*** est une vaste opération de blanchiment. Les dominants blanchissent leur guerre : une guerre menée par des hommes, qui a pour but d’accaparer un pouvoir d’homme (pouvoir de tuer pour avoir le pouvoir, pouvoir de violer pour avoir le pouvoir) en accusant une femme et donner à la victime un visage d’homme ; puis, grâce à ces figures, tragique du Hercule blessé, et répugnante, d’Hélène la sorcière, expliquer l’escalade de violence.

____
à Lire & relire
Andrea DWORKIN
chapitre 7 du livre Woman Hating

http://www.feministes-radicales.org/wp-content/uploads/2010/11/Andrea-DWORKIN-Woman-Hating-A-Radical-Look-at-Sexuality-1974.pdf

Barbara EHRENREICH & Deirdre ENGLISH
Witches, Midwives, and Nurses: A History of Women Healers. 1973

extrait :

https://www.marxists.org/subject/women/authors/ehrenreich-barbara/witches.htm

Barbara EHRENREICH & Deirdre ENGLISH:
For Her Own Good : Two Centuries of the Experts Advice to Women. 1978
Dont le chapitre 4 :
“Complaints and Disorders. The sexual Politics of Sickness”

Ehrenreich, Barbara & English, Deirdre For Her Own Good_ Two Centuries of the Experts Advice to Women -

A lire : “Suppressed Histories Archives – Restoring Women to Cultural Memory”,
site de Max Dashu qui est une chercheuse incroyablement érudite :
http://www.suppressedhistories.net/

et plein d’articles d’histoire des Sorcières sur :
The Secret History of the Witches:
http://www.suppressedhistories.net/secrethistory/secrethistory.html

Pour finir, en beauté et en joie :
l’article de Mary DALY
« Be-Witching : Re-Calling the Archimagical Powers of Women »
https://drive.google.com/file/d/0B-HtMFdIaxajSkhsd3RNWjJsTFE/edit

A voir aussi :
l’oeuvre d’une des rares sorcières qui resta célèbre en france (car elle fut récupérée par l’Eglise pour se blanchir du génocide) :
Hildegarde DE BINGEN
quelques recettes tirées de ses principes herboristes :
http://lesjardinsdhildegarde.com/05-01.html

____

* (traduit en français par « le marteau des sorcières » – voir p.488), un traité de sorcellerie écrit par deux jésuites, et qui a servi aux inquisiteurs de l’époque à accélérer la persécution des femmes (il a fait l’objet de 29 éditions entre 1486 et le 17ème siècle). Le système d’aveu est strictement le même que celui utilisé par les pornographes contre les actrices : brutalité sexuelle, torture mentale et sexuelle, aveux extorqués sous la douleur et par la persuasion.

** on peut faire une analyse anti-spéciste de la guerre de Troie, car les hommes ont toujours utilisé leurs propriétés et cibles (enfants, femmes, animaux) pour mener et justifier leurs guerres.

*** parmi les savoirs patriarcaux (en plus des religions) les plus virulents : toutes les sciences humaines (dont économiques et politiques) et animales qui édictent les intérêts dominants en matière de gestion des ressources vivantes, la médecine, l’histoire, le droit.

15:20
Journal d’une PMA: Quatrième essai d’insémination pour un couple de Françaises [Libération]
» ‎ Yagg societe

Tags: [éditer]

Jeanne et Maïwen renseignent depuis plusieurs mois leur journal de bord et racontent comment elles tentent d'avoir un enfant.
Lire la suite et discuter

14:15
La municipalité de Zurich recherche des parents d’accueil homosexuels
» ‎ ASSOCIATION STOP HOMOPHOBIE | RELAIS - INFOS

Tags: [éditer]

Zurich a lancé une campagne ciblant les couples homosexuels pour l'accueil d'urgence d'enfants, la ville manquant de familles d'accueil. La Suisse romande semble plus réservée face à une promotion ciblée.

13:21
C’est Noël, le gouvernement dit son amour pour les familles homoparentales
» ‎ Yagg societe

Tags: [éditer]

Dans un jeu mis en ligne sur le site du gouvernement pour les fêtes, l'exécutif défend son bilan en faveur des familles homoparentales.
Lire la suite et discuter

13:19
À tous ceux qui n’aiment pas Noël (et je sais que vous êtes nombreux)
» ‎ Le ticket de Metro d'Ovidie

Tags: [éditer]

Je me suis longuement posé la question de l'intérêt d'un article sur "le shopping de Noël", "les cadeaux de Noël sexy", "les meilleurs vibros de l'année 2014", ou encore le très dispensable jeu de mots "un Noël très hotte". J'ai fini par abandonner l'idée car non, vraiment non, moi-même je n'offrirais pas de gode à Noël. Si vous l'avez fait, grand bien vous fasse, je ne vous juge pas, mais en ce qui me concerne, je ne donnerais pas de conseils que je n'écouterais pour rien au monde. Non, je n'ai pas acheté de gode, je suis allée au supermarché pour trouver les ingrédients nécessaires au repas de réveillon. Et dans l'interminable queue en serpentin qui menait aux caisses, j'ai pris le temps d'écouter les discussions autour de moi : "Je ne n'en peux plus", "Vivement que les fêtes soient terminées et qu'on passe à autre chose", "Quelle horreur", "Si je pouvais je me ferais une soupe et je prendrais un Stilnox"…

13:19
Holiday Kink: Full story ‘It’s A Secret, Santa’
» ‎ violet blue ® :: open source sex

Tags: [éditer]

It’s the last perfect day to grab a copy of my new, seasonal special ebook Holiday Kink ($2.89 $2.99). It was released less than a week ago, and we all hope you enjoy our little labor of love. (Our indie collection sees all sales split with the authors.)

To tempt you into tasting a little Holiday Kink, Alison Tyler has allowed me to share her story “It’s A Secret, Santa”.

It’s A Secret, Santa
by Alison Tyler

Anyone who knows me—I mean, really knows me—understands what I want for Christmas.

But nobody really knows me.

That’s always been my problem. I appear friendly enough. In fact, I am friendly enough. Friendly enough to have been promoted to head of customer service at the company where I work. Friendly enough to have hosted more bridal showers, baby showers, and bachelorette parties than I can count on my fingers, toes, and any other convenient body parts.

But “friendly” doesn’t always equal having friends.

See, there’s a difference between joking with your co-workers over a Friday evening margarita, and confessing to the hunk in the neighboring office that what you really want, what you really need, is for him to bend you over his desk and spank your bare bottom with a ruler.

If only people still used rulers.

Why did I want Derek to spank me? Why do people want anything? One of my girlfriends—the one whose bachelorette party I’d most recently hosted— shared once that she liked to touch herself while her fiancé watched. My college roommate had told me in a moment of drunken honesty that she needed to be tied down in order to get off. People have yearnings. They have desires. They have bosses who say things like…

“You’ll plan the holiday party again, won’t you, Julianne?”

Yes, Sir,” I told him with a nod. Right then, I decided I would do more than plan the heck out of that party. I’d get what I wanted for Christmas.

#

I started by sidling into Derek’s office at the end of the day. We were the only two employees left at work. That way, if he said no, I wouldn’t have to walk past any of my co-workers with my cheeks all red from embarrassment. And if he said yes, well, my cheeks might be red for a different reason entirely.

“How would you like to do me a huge favor?” I asked from the doorway.

“Try me.”

That’s exactly what I wanted to do. I wanted to try him, to test him, to climb up on his desk overseeing the security cubicles and tell him exactly how naughty I’d been all year long. Nobody had seen me being naughty, of course. The naughty stuff had occurred in my head only, but that didn’t make the deeds feel less real.

“Wanna be my Santa?” He looked at me, blue eyes curious, mouth set. I couldn’t tell if he liked the idea or not. So I continued, in a rush, “Not for me. Not specifically.” God, Julianne. Take your high-heel out of your mouth and speak for chrissake. “For the party.”

“Would I have to wear a costume?”

“Of course.” The fantasy didn’t work with him in his charcoal suit.

“With a padded belly?”

I considered the question. In my daydreams, he didn’t have a padded belly.

Hmm. Maybe I could cast him as Santa in Santa’s younger days. Infosec Santa. That sounded good to me. “No belly, just the suit and the white beard.”

“What would I have to do?”

“You know the drill. While everyone else gets inebriated on vodka-spiked punch, you pass out the holiday swag before they pass out on the floor.”

He stood and came toward me. To my surprise, he shut his office door and flipped the lock. We were standing so close together, closer than we ever had been before. I noticed that his eyes were not truly blue, but a blue gray, almost steel.

“What’s on your list this year?” he asked, taking me by surprise. “It’s a! it’s a secret, Santa.” My voice was barely a whisper.

“You can tell me.”

Part of my brain said, “No, no, you can’t.” But my pussy said, Yes, yes, you can. I hate when my pussy talks.

“It’s a…” I started again, uselessly.

“Secret. You said that. But how can I give you what you deserve if you don’t confess your desires first.”

Had he just said deserve? And confess? And desires? My knees felt weak. Derek seemed to sense my discomfort. He led me to his sofa and sat me on the edge. I blinked rapidly, wondering whether this was for real, or simply one more of the many fantasies about him I’d engaged in without his consent during the year.

Derek sat at my side. He put a hand on my knee. I started to shake. “You know, Santa keeps a pretty strict list,” he told me.

“Really?”

“You bet.” He was reaching for me, pulling me over his lap, sliding up my no-nonsense navy-blue skirt.

I shut my eyes. This couldn’t be happening, but in case it was, I decided to enjoy every second. He settled his hand on my panty-clad ass and I moaned. “So I expect you to tell me what you want for Christmas before you end up on my naughty list.”

“I’m already on your naughty list,” I said.

“You think?”

“Because all I want for Christmas is a spanking.”

Oh, god, I’d said the words. Said them aloud. But he couldn’t have been surprised. I was laying across his lap after all, my face pressed into the cool maroon leather of his office sofa, my body stretched and waiting. He cupped the cheeks of my ass through my panties and then said, “I’m going to take these down. Proper spankings always occur on the bare.”

Had he read my mind? My thoughts? My fantasies?

“Your diary.”

Oh, holy fuck. Derek was the security lead at our office. He’d checked on my computer countless times. And I was the nitwit who kept personal files close at hand.

“!gave me a very clear idea of what you need. But I could have spelled it out for you just by watching the way you sashay around the office.”

Sashay? Me? In my skirt suits and sensible shoes?

“The way you walk screams SPANK ME with every step.”

I couldn’t believe what he was saying, but I couldn’t argue either. Not in such a vulnerable position.
“Now, you’re going to hold still, Julie.”

I nodded, but somewhere deep inside me took the time to love how he said my name.

“And I want you to count each blow.”

Carefully, he slid my knickers down to my knees. Then he started to laugh. Was he really looking at my ass and laughing? What was there to laugh about? I started to push up, but he pushed me right back down.
“I never pegged you for the sort of girl to get a tattoo on her ass.”

My cherries! I’d forgotten all about them. I started to explain. “I was 18, with some girls from my dorm!”

“I don’t care why you have them. I’m just going to enjoy making them redder.”

He was saying all the right things. At least, he was until he stopped talking. The first blow took me by surprise. I’d never been spanked before—not outside of my X-rated fantasies. But I’d received enough imaginary spankings to believe I knew what to expect. This was different. This was real. This was— “One,” he prompted me, and I echoed him, softer, “One.”

He struck me again, on the other cheek, and I felt myself growing wetter. “Two,” I managed to squeak out. Who knew counting could be so difficult?

He spanked me faster then, hitting three, four, and five in rapid succession. I decided I’d lied to him. All I wanted for Christmas wasn’t only a spanking. I wanted a spanking, yes, but being spanked made me want something more. Luckily, I could feel from my position that Derek might want something more, too.

He started spanking me harder. I could imagine the handprints he left on my ass with six and seven. I was tearing up at eight, breathless at nine. He hesitated before landing the hardest blow of all.

“Ten,” I gasped.

“I’ve been waiting to get you like this for months,” Derek murmured as he pushed me off his lap.

“Why didn’t you say anything?”

“I wanted a green light from you.”

“I—“ I stammered. I thought I’d said things, thought I’d been flirtatious. Now, I made sure he understood what I wanted. I shimmied out of my skirt and bent over the edge of the sofa. Derek took up his proper position behind me and slid his cock between my thighs. I groaned. The sensation of being fucked after being spanked was better than I’d ever imagined. He filled me up, and then pulled back, thrust forward, and stayed sealed to me.

“Will you still be the Santa?” I asked as I teetered on the brink.

“No.” He pinched my clit. “Make Paul do it. I only want to play Santa for you.”

All I’d wanted for Christmas was a spanking.

Well, that and a fucking.

Oh, yes, and a man who could do both exquisitely. But maybe my fantasies weren’t limited to the holiday season.

Luckily, Derek and I made plans for the office holiday party, and beyond.

#

Holiday Kink ($2.89, $2.99) is a 7-story collection I put together so we’d all have some hot erotica on hand through the season. The stories are from a handful of my favorite erotica writers, and the stories alternate with some of my favorite holiday cocktail recipes and sex tips I selected especially for holiday sex predicaments.

Seven stories crafted by accomplished authors — Holiday Kink is one collection of smart, explicit erotica to pervert the usual circumstances of cheesy cheer into unforgettable erotic escapes. These dirty little quickies are perfect for sharing.

The office’s reluctant ‘nice girl’ gets volunteered to recruit a holiday party Santa… and she ends up over the security team lead’s lap.

A boyfriend comes home late on Christmas Eve, only to find his girlfriend dressed as a cheesy elf-slut, fast asleep after gorging on the sex toys he left wrapped under the tree…

Public sex, rough dominance, chance encounters, mean girls with strap-ons, oral service, and very explicit sex deck the halls of this seven-story holiday collection.

I hope you love it! You can get Holiday Kink at my Digita Publications store or find Holiday Kink on Amazon. This 7-shot is the second book in my new series after I teamed up with other former Cleis Press authors to make our own indie erotic books, on our terms, sharing profits, and to stop getting swindled by greedy publishers (ahem). The first book, Filthy Housewives, was our first strike in taking back our power, our art (and our profits!) after Cleis sold its entire back catalog of our work without telling us.

This collection of twisted holiday erotica from skilled authors delivers much more than sexy stories with seasonal decorations on top. Instead, these stories twist the holiday trappings for sexual impact, and cast our yearly traditions into arousing set pieces. Each story is a kinky escape, and each chapter alternates with recipes for holiday aphrodisiac drinks and sex tips for holiday frolic.

This book contains adult situations, including spankings, domestic discipline, backdoor play, bisexual men and women, and explicit scenes. The book also depicts dominant sexual relationships, kinky sex toys and BDSM practices.

Holiday Kink – Table of Contents

Introduction: A Keepsake by Violet Blue
It’s A Secret, Santa by Alison Tyler
Kinking The Classics: The Flirty Eggnog Bar
Unwrapped by Ayre Riley
Good Housekeeping: Tips For Sex With Sweets
Sweets For The Sweet by Dante Davidson
Kinking The Classics: Hot Spiced Christmas Wine
A Very Naughty Elf by Felix D’Angelo
Good Housekeeping: Tips For Giving Sex Toys
Santa’s Favorite Elf by Molly Laster
Kinking The Classics: Holiday Sangria
Mandatory Fun by Alison Tyler
Good Housekeeping: What To Do When They’re All Tied Up
The Naughtiest Christmas by Xavier Acton
About the Authors, About the Editor

We’re all really proud of Holiday Kink and Filthy Housewives. Thank you for your support!
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.
This tinynibbles.com feed is for personal, non-commercial use only and is held within federally registered trademark Violet Blue® (R).
The use of this feed on any website other than Violet Blue's Tiny Nibbles: Open Source Sex breaches copyright, violates U.S. Federal Trademark law, and the Federal Trademark Dilution Act. If this content is not in your news reader, it makes the page you are viewing copyright infringement, theft and trademark violation.

13:05
Hibernation ?
» ‎ Libertin Goormand

Tags: [éditer]

Le moins que l'on puisse dire en regardant sur le cadre de droite "Tous les billets", c'est que le cru 2014 n'est pas terrible...
Un teaser et un billet d'une série qui reste à compléter : on est proche du néant.

Les raisons demeurent depuis 2 ans professionnelles et familiales, mais j'ai l'espoir que la tendance s'inverse... prochainement.

Ce sera en tout cas une des résolutions de 2015, mais comme vous le savez ce genre de bonnes résolution demeurent pour certaines, éphémères...

Nous verrons !

Merci en tout cas à la poignée de lecteurs qui passent ici, je vous souhaite à toutes et tous de bonnes fêtes de fin d'année.
Que 2015 vous apporte tous les plaisirs qui vous font envie !

Twitter Facebook
Flux RSS fourni par Libertin Goormand
Billet : Hibernation ?

11:29
Gilbert a redonné de la couleur à la Riviera
» ‎ 360Â°

Tags: [éditer]

Au début étaient 9m2. Non, on ne parle pas ici d’un studio parisien hors de prix, mais d’un bar. Trop petit? Pas pour Gilbert. Au contraire, l’occasion était trop belle. Depuis qu’il a ouvert le Baretto à Montreux il y a quinze ans, et jusqu’à aujourd’hui, le gay le plus connu de la Riviera après Claude Nobs a toujours voulu faire se rencontrer les gens. Quoi de mieux qu’un petit endroit où la promiscuité est reine?

Ne te presse pas, ne t’inquiète pas. Prends le temps de sentir les fleurs.

«Je ne voulais pas d’un bar glauque où les clients restent assis, éloignés les uns des autres avec les yeux rivés sur leur portable.» Gagné! Hétéros et homos s’y pressent, se compressent, discutent. Et Gilbert officie en tant que barman mais aussi comme entremetteur: «Je présente les clients aux autres, en fonction des affinités. Et c’est ça qui rend l’ambiance agréable au Baretto. Il y a une âme qui se dégage, qui habite l’endroit.»

Militant en catimini

En 2008, le Baretto, où il b pour les intimes, déménage à Vevey. Petite ville un peu trop «traditionnelle» (comprendre: pas forcément ouverte à accueillir un lieu gay), mais qui a très vite adopté il b, et Gilbert, indissociables: «Le bar marche parce qu’il est ouvert à tout le monde. Les gens de chez Nestlé y viennent, hétéros ou homos.» Mais attention, pas question que le client soit roi: «Si une personne tient un discours homophobe, c’est dehors! Il faut leur faire comprendre, éduquer les gens.» Derrière son sourire permanent de 59 ans, Gilbert cache aussi un homme qui exige que ses clients se tiennent bien. Sans la règle en métal.

Et ses deux cancers n’ont réussi à lui faire perdre ni son énergie ni sa joie, contagieuses: «Au contraire, cela m’a rappelé qu’il y avait une fin, et qu’il était nécessaire de profiter de la vie, sans excès, de rencontrer des gens, et tout faire pour que le temps passé soit le plus agréable.» C’est de la chaleur humaine qu’il donne au bar, pour que les gens savourent l’instant. Une phrase du golfeur américain Walter Hagen qu’il aime citer: «Vous êtes là pour une courte visite, ne vous pressez pas, nous vous inquiétez pas et prenez le temps de sentir les fleurs sur le chemin.»

Adresse: il b, Place du Marché 4, Vevey / www.baretto.ch

Toute l’actualité et l’agenda des soirées sur GayMap!
Là où Gilbert aime se cacher
Gilbert est une institution à lui tout seul. Il n’est même pas besoin de connaître son nom, son prénom suffit à lui seul pour savoir de qui on parle. Si connu qu’il a ses petits endroits pour sortir incognito.
– «Il y a de l’histoire dans ses murs, le service est soigné et la nourriture de qualité. C’est intime», dit-il du restaurant de l’Hôtel des Trois Couronnes à Vevey, à la Rue de l’Italie 49 à Vevey, où Gilbert adore venir manger, et profiter de la vue sur les Alpes pour s’évader.
– Un petit verre pour se détendre? A l’Hôtel du Lac, également à Vevey, Rue d’Italie 1: «Le bar est cosi, on s’y sent bien. Je suis presque dans mon salon.»
– Marié depuis quelques années avec son «Loulou», Gilbert part toujours en ballade avec son amour pour prendre l’air et sentir les fleurs. Et puisque c’est de saison, ils s’en vont aussi à Morgins, la station valaisanne des Portes du Soleil, pour faire du snowboard et passer des soirées autour de la chaleur d’un feu de cheminée.

10:01
La menace de viol, la nouvelle insulte à la mode
» ‎ Les Martiennes (wp.com https)

Tags: [éditer]

« Elle ne mérite pas d’être violée car elle est très laide. Ce n’est pas mon type. Je ne la violerai jamais ». Cette déclaration de Jair Bolsonato, un député brésilien à l’une de ses concurrentes politiques, le 10 décembre dernier, en dit long sur la culture du viol au Brésil, mais aussi dans le […]

9:01
Prison à vie pour le «dépeceur de Montréal»
» ‎ 360Â°

Tags: [éditer]

L’apprenti acteur porno gay au narcissisme délirant a été jugé coupable, mardi, au terme d’un procès fleuve de 11 semaines. Luka Rocco Magnotta écope de la prison à perpétuité pour le meurtre prémédité de Jun Lin, un étudiant chinois qu’il avait dragué sur internet, le 25 mai 2012. Douze membres du jury populaire – huit femmes et quatre hommes – ont conclu qu’il avait prémédité son crime. Magnotta s’était vanté de préparer un meurtre auprès du journal britannique «The Sun», qui enquêtait sur des vidéos de torture sur des chatons que le Canadien avait revendiquées.

«Soulagé»
La scène du meurtre et du démembrement de son partenaire sexuel d’un soir avait été filmée et téléchargée sur internet. Les morceaux de cadavres avaient fini dans des paquets envoyés à des membres du gouvernement et à une école. Entre-temps, le meurtrier avait fui vers Paris, puis à Berlin, où il sera arrêté une semaine plus tard.

Silencieux lors des audiences, l’accusé, âgé de 32 ans, n’a pas trahi d’émotion à l’énoncé du verdict. Il serait «soulagé» d’après un de ses avocats. La défense avait tenté de le faire reconnaître comme non responsable de ses actes. Mais les experts ont exclu qu’il ait agi dans une crise de démence. Magnotta devrait passer au moins 25 ans en prison. Il peut toutefois encore faire appel du jugement.

9:00
Bonnes fêtes à toutes et à tous!
» ‎ Le Cabinet de Curiositee Feminine

Tags: [éditer]

L’équipe du Cabinet de Curiosité Féminine vous souhaite de bonnes fêtes à toutes et à tous.

On revient très vite, c’est promis !

The post Bonnes fêtes à toutes et à tous! appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.

4:44
Taïwan : Le débat sur le mariage pour tous entre au parlement
» ‎ ASSOCIATION STOP HOMOPHOBIE | RELAIS - INFOS

Tags: [éditer]

>> Taiwan parliament debates gay marriage for the first time Une proposition de loi sur le mariage préparée par le Parti démocrate-progressiste (DPP), dans l’opposition, et dont l’objectif est de légaliser les unions entre personnes de même sexe a été examiné en commission parlementaire hier. Le texte, qui avait été introduit l’année dernière, était depuis resté en souffrance au niveau Lire la suite

← décembre 23 (12 éléments) décembre 25 (7 éléments) →

TOP RSS Atom Gregarius 0.6.1 Tentatively valid XHTML1.0, CSS2.0 Dernière mise à jour: jeu. 21 nov. 2024 18:41:46 CET

Actualité X y » décembre 24, 2014

Canaux

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]

Tags: [éditer]