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Le calme avant la fête. Adriano et Ludovic m’ont donné rendez-vous au MAD à Lausanne, au bar qui le dimanche devient le lieu pour les homosexuels pour trinquer tout en se déhanchant. Enfin, pas que pour les gays et lesbiennes: «Nous avons réussi à faire des soirées Gameboy et Bordello un événement festif que même les hétéros apprécient. Ce sont des soirées libertines», précise Ludo. Ou est-ce Adriano? Les deux organisateurs ont l’air de se couper la parole, mais en fait non.
Ils parlent presque d’une seule voix. L’un finit les phrases de l’autre. Les deux, sans surprise, sont Gémeaux. Ludo est plutôt introverti, Adriano extraverti, ensemble ils forment un duo explosif pour préparer des soirées aussi festives que changeantes: «Il faut toujours se renouveler. Nous changeons à chaque fois de DJ. La clientèle est éternellement insatisfaite, rien n’est jamais acquis.», explique Adriano.
Un vrai challenge
Voilà pourquoi le MAD, qui a voulu poursuivre l’aventure des soirées homosexuelles, a misé sur ces deux personnes à l’énergie aussi débordante que communicative. Ludo travaille à la poste le jour, Adriano tient le Metropolis à Morges et le Bedroom au 2e étage du MAD. Ils ont accepté le challenge de faire les soirées Gameboy et Bordello car ils avaient envie de passer de l’autre côté du bar.
«C’est facile de critiquer un endroit, mais étais-je seulement capable moi de réaliser ça? Je l’ai fait car la curiosité m’y a poussé», confie Adriano. Pour Ludo l’hyperactif, «c’était l’occasion pour me changer les idées à la sortie du travail, une soupape, un exutoire.» Ils ont mis les idées sur la table, mélangé tout ça et ont lancé la première Gameboy en décembre 2013. Et le succès est là, la fête bat son plein, les jeunes se pressent avec leurs amis hétéros pour la nuit.
«Nous avions ce projet en commun avec Ludo. On voulait que les soirées soient hyper festives». Un duo, un risque de friction? «Non, ça aide d’avoir un partenaire, affirme Ludo. Nous nous motivons l’un l’autre!» A deux, c’est toujours mieux.
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Ils vous recommandent…
Adriano et Ludo, vu le peu de temps qu’ils ont pour se détendre, ont choisi trois restaurants où ils apprécient se rendre pour satisfaire leurs papilles: «C’est aussi un moment pour nous de nous relaxer.»
Si vous êtes pendulaires, ils conseillent La Bruschetta à l’Avenue de la Gare 20 à Lausanne. Pizza cuites au feu de bois, orechiette à la cime di rapa sont les plats qui les rendent heureux «On vient aussi surtout pour l’accueil chaleureux de Filomena. En deux mots, elle est Ab-Fab!»
Pour les plaisirs d’ailleurs, on reste à Lausanne mais il faut aller à l’Avenue d’Echallens 82, à L’Indochine. Salade de bœuf, nems aux légumes et autres spécialités d’Asie pour voyager le temps d’un repas.
Amateurs de viandes, passez par la Croix-sur-Lutry au restaurant La Croix. Au 338 route des Monts-de-Lavaux, Adriano et Ludo aiment s’y asseoir pour manger de la bonne chaire, surtout sur la terrasse pour contempler le vert paysage et le lointain.
Vu sur Formule tout compris, ChocolatCannelle
Comme je n’ai pas le temps de lire en ce moment (je n’ai pris que le temps d’écrire en début de semaine), aucune chronique de livre… Je vous propose, pour combler le vide laissé sur ce blog, de lire un court texte de mon cru. Il s’agit d’une historiette proposée pour l’AT des éd. La […]
Cet article provient de Littérature érotique
Apparue en février 2014 en Guinée, la nouvelle épidémie du virus Ebola s’est rapidement étendue à ses voisins d’Afrique de l’Ouest. Faisant des ravages en Sierra Leone et au Liberia également, on craint maintenant une expansion mondiale du virus, avec un cas aux Etats-Unis et quelques cas suspects non-avérés en France.
Le virus, mortel à 50%, a tué près de 4900 personnes, sur un peu moins de 10000 personnes contaminées, d’après l’Organisation Mondiale de la Santé, dont on sait que les chiffres sous-estiment la réalité.
C’est donc un certain mouvement de panique qui traverse le monde. La Sierra Leone a été confinée pendant trois jours, les pays occidentaux contrôlent les arrivées des vols d’Afrique de l’Ouest, chaque cas suspect de fièvre est immédiatement traité… Au Texas, l’université de Navarro a même refusé certains étudiants pour la simple raison qu’ils venaient d’Afrique…
Premières victimes : les femmes
Cependant, si le virus fait des milliers de victimes, ce sont les femmes qui sont en première ligne. Elles sont en effet beaucoup plus touchées par Ebola que les hommes. Au Liberia, 75% des malades sont des femmes ! En moyenne, sur les différents pays touchés, elles représentent entre 55 et 60% des personnes souffrantes.
Les femmes sont en effet plus exposées au risque de contamination. Ce phénomène n’est en fait pas étonnant, quand on se penche sur les conditions de vie et la place des femmes dans cette épidémie.
Les femmes sont en effet très nombreuses dans les métiers de la santé et sont donc majoritairement exposées au virus.
Mais surtout, la plupart de ces femmes se concentre dans les métiers moins haut placés : elles ont plus tendance à être infirmières que médecins. De plus, le personnel de nettoyage des hôpitaux est également majoritairement composé de femmes, et elles sont exposées au virus de manière importante. Les personnes exerçant ces professions bénéficient de moins de soutien et de protection que leurs collègues masculins, la plupart du temps médecins.
Mais même en-dehors du corps médical, les femmes sont les plus exposées au virus. Au Liberia notamment, ce sont elles qui soignent les personnes malades dans leur famille. Aussi, beaucoup d’entre elles vendent des produits sur les marchés, au Liberia, mais aussi entre la Guinée et la Sierra Leone, ce qui fait d’elles des victimes potentielles. Enfin, quand les personnes de leur entourage meurent, ce sont elles qui s’occupent de l’enterrement et font la toilette mortuaire. Le rôle de ces pratiques dans la propagation du virus est non négligeable. Il faut dire qu’il est facile de contracter la maladie, qui se transmet par le sang, le sperme, les sécrétions vaginales, mais aussi la sueur et la salive. C’est pour cela qu’il est capital de désinfecter les draps et vêtements des malades, ce qui n’est pas toujours possible, et explique également l’expansion du virus.
La lutte contre Ebola doit cibler la population féminine en priorité
Comment est donc envisagée la lutte dans un futur proche ?
L’ONU a dit s’inquiéter de la progression du virus, et a annoncé qu’à ce rythme là, celui-ci va « gagner la course »… Dans les pays occidentaux, on prend en charge chaque cas suspect, on a soigné quelques individus atteints (notamment aux Etats-Unis et en Espagne), on contrôle l’arrivée des vols venant d’Afrique. Les Américains ont également déployé une force militaire de 3000 personnes pour aider à endiguer le virus. Mais il s’agit à la fois de précaution et d’action. Il faut y ajouter la prévention et l’information. Il faut absolument limiter au maximum la transmission du virus pour stopper l’épidémie. Et donc cibler les femmes, premières victimes.
Car dans la lutte contre le virus, qui prend maintenant de l’ampleur à mesure que l’inquiétude grandit dans la communauté internationale, c’est une dimension non négligeable. Cette inégalité des genres dans la contraction et transmission du virus doit être prise en compte. L’ONG Human Rights Watch conseille donc les différents gouvernements de lancer des campagnes visant particulièrement les femmes. D’autres organisations agissent, comme l’Unicef par exemple, qui a mis en place un kit pour aider à la diffusion de l’information. Il vise particulièrement les femmes, engagées dans de nombreuses tâches à risque comme la cuisine, le ménage, la toilette et les préparations funéraires…
Mais si la prévention et les campagnes d’information sont nécessaires, le risque collatéral du mouvement de panique émergeant en Europe et en Amérique est de dériver vers la suspicion voire la paranoïa. Aux Etats-Unis, en plus de la polémique autour de l’Université Texane, d’autres protestations ont vus le jour. Le hashtag #IAmALiberianNotAVirus a fait le tour de Twitter, après qu’une photographe Libérienne ait publié une vidéo dénonçant la stigmatisation dont certaines personnes originaires du Liberia, de la Sierra Leone ou de Guinée font l’objet.
Quoiqu’il en soit, des recherches sont en cours pour élaborer un vaccin contre le virus Ebola, qui continue de faire des ravages en Afrique de l’Ouest. En attendant, il faut renforcer la prévention, qui concerne tout le monde sans exception, même si le succès de ces campagnes devra passer par l’implication des femmes.
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20141023.AFP9013/italie-hrw-denonce-des-poursuites-pour-un-baiser-gay-militant.html|Un baiser «prolongé et concupiscent» entre deux hommes, et devant des enfants, pensez donc. C’est ainsi que la police de Pérouse a qualifié le kiss-in spontané organisé par des militants en marge d’une manif des Sentinelles, un mouvement antigay chrétien, fin mars. Six personnes sont poursuivies. Human Rights Watch a réclamé l’annulation des mises en cause qualifiées de «risibles».
Peut-on porter des robes à fleurs, et arborer les couleurs du féminisme queer? Peut-on avoir aiguisé ses rimes au fil de la scène slam, à force d’arpenter Seattle côté pluie, côté nuits de goudron et racines punk, tout en affichant des millions de vues sur YouTube avec des comptines mélancoliques? Peut-on chanter ses complexes à tue-tête (surpoids, trouble bipolaire, enfance v(i)olée…) et se retrouver aux Grammys, en fuseau rouge glam, à côtoyer Queen Latifah et Madonna? Peut-on avoir puisé la force de surmonter une adolescence au bord du gouffre en joignant sa voix à la chorale d’une communauté évangélique, et devenir, au hasard d’un simple refrain («Same Love» avec le rappeur Macklemore), une icône du militantisme pour le mariage gay américain?
Oui, on peut. «Yes, we can.» Mary Lambert, 25 ans, est cette nouvelle barde de la diversité US dont le parcours sillonne à mi-chemin entre alternative et mainstream pour mieux redéfinir les normes du show-business. Bon. La voluptueuse chanteuse, ouvertement lesbienne avant même les prémices du succès, n’est pas la première à avoir fait de ses fêlures, ses luttes identitaires et sa puberté cabossée les ingrédients d’une trajectoire vers la gloire. Sans même les comparer, Peaches ou Beth Ditto, bien avant Miss Lambert, ont hissé leur freak en étendard du chic. Mais là où Mary pleine de grâce augure le franchissement d’une nouvelle étape, c’est dans la manière dont elle se ré-approprie ses blessures. Elle ne les affiche ni comme les galons de la victoire, ni comme les cicatrices de l’amazone, ni comme la preuve d’un caractère en acier trempé. Non, Mary Lambert parle de ses faiblesses sans volonté apparente d’instrumentalisation. Si elle les affiche, c’est pour mieux rappeler que nos failles et nos imperfections sont bel et bien nos traits les plus communs – à vrai dire un trait d’union entre toutes et tous.
«Au moment où vous vous permettez d’être vulnérable en disant: «Je déteste mon apparence» ou «Je me demande comment serait le monde si j’étais mort-e», les choses changent.»
«En tant que société, nous avons oublié comment aimer quelqu’un qu’on ne connaît pas. Comment réparer ça? En commençant par avoir l’honnêteté d’accepter ce qu’on ressent», déclare-t-elle au blog AfterElle.com. «Au moment où vous vous permettez d’être vulnérable en disant: «Je déteste mon apparence» ou «Je me demande comment serait le monde si j’étais mort.e», les choses changent. La plupart des gens, en fait tout le monde probablement, a ressenti ce genre de choses. Alors pourquoi ne pouvons-nous pas les dire? Lorsqu’on est honnête avec qui l’on est, on jette des ponts, et c’est ce que j’essaie de faire.»
«physiques atypiques»
Créer du lien en revendiquant sa vulnérabilité? Désamorcer, surtout, le discours de l’ascension et de la réussite que produit la toute puissante société du spectacle. Soyons clair: il n’y a pas d’unijambiste, de grand brûlé ou de trisomique 21 dans les clips de Mary Lambert. Plutôt des «physiques atypiques» tous assez bien peignés, quelques gosses à coiffure afro, emos à mèches rebelles et butch farouche. Mais peu importe, le message est là: awkward is beautiful.
Il faut dire que, en matière d’antécédents filppants, Mary fait dans le lourd. De l’excommuniation de sa famille par la communauté pentecôtiste ultra-religieuse lorsque sa mère fait son coming out (Mary a six ans), jusqu’à son propre rejet par l’église évangélique quand, à 17 ans, Mary elle-même se découvre lesbienne après avoir rencontré sa première petite amie au sein de la paroisse, depuis ce viol collectif dont elle a fait un poème où un corps démembré flotte sur la rivière jusqu’à la drogue et la dépression dont la musique l’a sauvée, il y a de quoi vider quelques camions de valium. «Je m’enfermais dans ma chambre, j’allumais mon petit keyboard et je chantais: I’m loved, I’m loved, I’m loved.»
Premier frisson
Depuis, Mary Lambert met en refrain les affres de la dictature corporelle («Body Love»), ses questionnements sur l’identité Femme, l’amour au féminin («She keeps me warm»), la jubilation à dire tout haut les petits bizarreries qui froissent la bonne société («Secrets»). «Heart on my sleeve», le titre qui donne son nom à un premier album à paraître ce mois, raconte l’émotion de la première fille, de la première fois, du premier frisson. Une production ultra clean, ultra efficace, ultra positivante, en écho à des années balafrées, souillées, évaporées. Au bout du prêche pour l’acceptation de soi, le salut par la pop. ça redonne un peu la foi, tout simplement.
Le Club Sexpress avait déjà connu la roue à cunnilingus mécanisée (autrement connue sous le nom de Sqweel). Lelo propose quelque chose d’un peu plus subtil : il s’appelle ORA2, et pour nous raconter par le menu s’il tient ses promesses, c’est notre chroniqueuse Pimprenelle qui s’y colle.
« Vous avez un coliiiiiis !“
Zut, j’ai loupé le facteur, j’espère que mon gardien n’a pas fait attention à l’expéditeur ! Heureusement le colis est discret. J’attend tout de même d’être chez moi, tranquille, pour l’ouvrir. C’est la 1ère fois que je reçois un sextoy de chez Lelo. Et là, tout de suite, j’adhère ! Moi, la fan des smartphones à la pomme, des couvertures de magazine avec vernis sélectif, j’apprécie déjà le packaging de l’ORA2. Noir, elegant, parfait !
J’ai hâte de l’essayer. J’ai promis à mon homme de le faire avec lui, alors je dois patienter. Bon, sauf qu’il est parti pour une semaine. Et puis, c’est marqué “sextoy oral”, alors pour une fois que je peux me faire un cuni toute seule, ça serait pas très juste de devoir attendre (franchement, vous les hommes, une petite pipe en toute autonomie ça ne vous tenterait pas ?)
La notice c’est surfait
J’hésite à prendre un bain, car l’ORA est amphibie, mais je me dis que je tenterai ça plus tard. Allez, inspection de l’engin! Trois boutons, un au milieu, un + et un -. Les notices de sextoy, c’est comme celles des MP3, ou autre appareil, ça me gonfle, alors j’essaye tout de suite. Une petite excroissance ressort du sextoy, reste à bien le placer (pas si evident). Les boutons sont sur le côté, pour qu’on puisse metre quelques doigts dans la poignée et se server du pouce pour appuyer dessus par exemple.
Petite puissance pour commencer, bon, ça chatouille, c’est agreable, c’est sympa mais,comment dire… j’ai l’impression d’être une frigide du clito parce que franchement à part me donner envie de plus, ça me fait pas grand chose. Même à une plus grande vitesse. J’ai l’impression d’avoir la petite bosse (qui doit faire office de langue j’imagine) qui tourne, super ça excite, mais qui repart… et zut, ça refroidit.
En fait la notice c’est pas surfait
Au bout de quelques minutes j’arrête, et je regrette que mon homme soit si loin… Mais comme je suis têtue (et un peu vexée quand même, d’habitude je suis plus “réactive” que ça) je scrute à nouveau l’ORA2. Et je vois que sur la boite il y a marqué “10 modes de stimulation”. J’assume ma couleur de cheveux sur le coup ! Et tout de suite ça change tout, la petite bosse (ça doit avoir un petit nom, genre la langouillette ?), tourne en 1 cercle complet pour 1 mode, un ½ cercle pour un autre, un ½ cercle et des vibrations, 1 cercle entier et des vibrations, des vibrations constantes, des vibrations modulables, bref, yen a pour tous les gouts. Et à chaque fois on peut appuyer sur + ou – pour faire varier l’intensité.
C’est marrant de les tester, mais à mon avis, mieux vaut rester sur le même si on veut que ça soit efficace, histoire de se concentrer sur soi et pas sur les boutons ! Une fois qu’un orgasme pointe le bout de son nez, on peut activer l’arme fatale : la fonction Sensetouch (là on voit bien que j’ai potassé la notice du coup), un petit appui sur le bouton central et zou, la stimulation est comment dire…stimulante !
Conclusion ? Le sex oral avec un sextoy je n’avais jamais fait. Je préfère tout de même une vraie langue, mais quand on n’en pas sous le clito, l’ORA2 fait parfaitement l’affaire, et ça change des rabbits ou autres. A utiliser pour se faire plaisir en solo et tout en douceur, ou pour se chauffer en couple.
Je range ORA dans sa petite pochette noire (la classe quand même), et je me dis déjà que je vais le tester sous ma douche, ou avec mon homme, ou tiens, pourquoi pas, dans la douche avec mon homme!
À travers le papier déjà, on peut sentir distinctement cette calligraphie fruitée qui est la sienne.
Toute cette bombance de saveurs et de fragrances.
Je souris. J’ouvre l’enveloppe et la tiens entre mes doigts.
Je lis :
« Bonjour mademoiselle,
« J’ai parcouru votre profil et ce que vous proposez pourrait correspondre à la candidate recherchée.
« Celle que je souhaite a du cran. C’est une passionnée et une persévérante. Elle a un fort souci du détail mais aime se laisser surprendre. Elle ne craint pas les défis, même qu’ils la stimulent. Lorsqu’elle entreprend quelque chose, elle le fait avec énergie.
« Si je me fie à mon instinct, je serais intéressée à vous rencontrer lors d’une entrevue afin d’évaluer une éventuelle collaboration.
« Bien à vous,
« LF
« cc: Monsieur »
La Favorite du Maître a des standards élevés. J’aime ça.
C’est une passionnée et une persévérante. Elle a un fort souci du détail mais aime surprendre… et se laisser surprendre.
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