Cette semaine je me suis retrouvé en plein milieu d’un gang bang super chaud avec Riley Reid chez Jules Jordan. A force de naviguer dans les eaux douces du porn indépendant, j’en avais un peu oublié les eaux troubles du gonzo californien où il y a plus de bites en érection qu’à une 3e mi-temps. J’ai pris une gifle en matant le teaser avec la ferme intention de regarder cette performance en entier. Comme je ne pouvais pas garder ça pour moi, il fallait que le prime time du Tag Parfait voie aussi le nouveau sacre de Riley Reid.
En provenance des profondeurs abyssales d’une baignoire plus grande qu’un appartement, voici le petit boule compact de Riley Reid. Un mélange rare de douceur et de fermeté, capable d’encaisser sans peine l’attaque d’un escadron complet de teubs sous Viagra. Mais no spoil…
Pas de bon fap, sans bon teasing, lingerie, petits bisous et hanches qui roulent sous nos yeux. Je m’arrête souvent dans un porn à cette vision soft du genre, j’ai ma petite décharge d’adrénaline dans les veines, mon coup de pression visuel, je suis content. Bon en vérité c’est faux, je m’arrête seulement là si je suis au bureau. Quand je suis seul, c’est que du sale, parce qu’on n’est pas non plus là pour compter les tatouages de Small Hands (c’est le nom du type à droite).
Entrons dans le vif du sujet. 8 mecs, 1 fille, ça fait beaucoup de possibilités mais peu de place. Comme on est très loin de se retrouver dans un gang bang où les mecs finissent par se frotter entre eux (ça existe, et c’est très plaisant à regarder), il faut bien les occuper. En temps normal, voir toute une équipe de foot se faire sucer à la chaîne me laisse indifférent, mais quand c’est Riley, c’est différent. Cette envie et ce bonheur dans les yeux, ça vaut tous les gang bang du monde.
La scène annonçait la couleur : double pénétration, double anal ! Pour les amateurs du porn des pays de l’Est, c’est le minimum syndical, pour les autres, c’est peut-être beaucoup de pression pour un si petit corps. Riley fait du hardcore, mais a su faire monter gentiment la pression marche après marche. A l’instar d’Asa Akira et son premier gang bang, on a autant envie de le regarder qu’elle de le tourner. Et ça, ça change le fap.
Au final, qui aurait cru que la douce Riley, celle qui fait des petits teasing sous la douche, la girl next door des années 2010 allait finir en DPA à se faire réanimer par quelques gaillards TBM de la porn valley ? Pas moi, jusqu’à tomber « par hasard » sur cette scène. J’en ai encore les neurones qui font des 8.