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Calée dans un énorme fauteuil de cuir noir, des volutes de cigare flottant au-dessus de sa tête, elle écarte suffisamment les cuisses pour me permettre de deviner la présence du gode qu’elle a soigneusement harnaché à son bassin. Vêtue d’un complet de tweed, les cheveux gominés et lissés par en arrière, elle fume et me débite son évangile en me regardant me déshabiller.
« La nature même de la fessée est la répétition – une cuisante répétition.
La crainte et l’expectative rendent chaque claque plus facile, mais aussi plus difficile. La simple promesse d’une correction peut marquer la chair plus fortement que la main.
Faire rougir les fesses est une belle et bonne chose, mais les meilleures fessées se font sentir dans la moelle des os et le grincement des dents plutôt que sur la peau.
Quand ma main souffrira de chaque impact, quand tes soupirs seront plaintifs et oppressés, quand tu soulèveras ton derrière pour recevoir le prochain outrage, je pourrai me dire qu’enfin, nous y sommes.»
Je répondrais bien «Amen» si ce n’était de ce foutu bâillon.
Vu sur Sex toys, Guide pratique érotique, Christian Foch et Anne Hélary
La publication de ce livre au format de poche va de pair avec un regain d’intérêt récent pour les sextoys. Sex toys, Guide pratique érotique tombe donc à pic et peut répondre à une demande d’information actuelle sur les différents sextoys existants et sur leur utilisation. Les deux créateurs du site Chambre69, boutique de sextoys […]
Cet article provient de Littérature érotique
La promesse du porn augmenté en Google Glass vient de refaire violemment surface. Après le coup de semonce de Google en direction de MiKandi, le store Android pour adulte ; voilà que ce dernier réplique avec le meilleur ambassadeur de l’industrie du porn en la personne de James Deen. Si Google refuse que MiKandi sorte une application pour ses lunettes, peuvent-ils les empêcher d’utiliser celles-ci pour tourner un POV ? Apparemment non, c’est en tout cas ce que montre ce premier essai quasi-SFW entre James Deen et Andy San Dimas qui testent ensemble les possibilités offertes par cette technologie.
Le store MiKandi en chie pas mal pour contourner les règles de Google et proposer des applications comme Tits and Glass. Un jeu du chat et de la souris à coups de TOS (Terms of service) que nous narre Arikia Millikan sur Motherboard. Une drôle d’histoire qui finit avec James Deen sur un canapé après ce premier tournage (qui n’est pas un porn, contrairement à ce que laisse entendre son titre).
Concrètement les Glass apportent une vision POV presque parfaite puisque la caméra se situe au niveau de l’oeil, même si cette technologie existe déjà chez les stalkers ou les pornocrates hongrois, avec une qualité d’image parfois supérieure. L’intérêt réside ici dans l’interactivité qu’offrent ces lunettes et le fait qu’elles peuvent se connecter à d’autres objets comme une seconde paire afin obtenir une vision en double POV. Astuce qui devrait rendre zinzin les amateurs du genre.
On attend maintenant la suite avec impatience en espérant que les géants du net commencent à nous lâcher la grappe. Ça commence à être douloureux cette tenaille virtuelle, tout le monde n’est pas à fond dans le CBT (Cock Ball Torture), on aimerait bien pouvoir fapper en paix. OK Glass ?
Faut pas croire : les bancs publics, les baisers timides, tout ça, c’est terminé. Les ados ont changé, les villes aussi. Tiens, je suis passée devant en voiture encore l’autre fois : Le jardin de la ville, pardon, il a un nouveau nom, il s’appelle Le théâtre de verdure. Vous allez me dire : C’est beau ! Vu comme ça, si c’est juste une histoire de mots… Moi, je pense que non, je préfère l’ancienne dénomination. Ça allait avec le cadre, deux entrées, un vieux portail, un portillon, qui se faisaient face. Un bassin, des carpes, des nénuphars, des chats aussi, les chats de la ville. Et puis des platanes entourés de pierres taillées en rond, ça faisait des sièges à l’ombre. Et puis des bancs de fer contre les haies. Et puis une aire de jeu pour les petits, avec des tobogans. Un peu plus haut, y avait un petit jardin bien ombragé avec des bancs (pour flirter) et un bac à sable (pour dissuader de flirter). C’était animé, c’était plein, de vieux, de jeunes, de mamans, de passants, de chiens en laisses qui n’avaient pas le droit de pisser mais parfois des insolents levaient la patte… La mairie a investi, ça a dû coûter des années d’impots, mais c’est beau. Un portail comme celui du Parc de la Tête d’Or à Lyon et en face le même, un parking souterrain et dans le nouveau parc des gazons magnifiques au pied des platanes, des allées de promenade, mais plus de poissons, plus de bassin aquatique et les chats sont en chatterie à l’Ecole du chat… Je suis passée à seize heures en voiture et y avait pas grand monde au jardin. La première question que je me suis posée c’est : Où flirtent les jeunes alors ? Où se donne-t-on rendez-vous, quand on habite en ville ? À la plage ? Mais c’est l’été, c’est la saison. Dans les parkings ? Dans leurs chambres ? Au fond je connais la réponse…
Bon, après, l’adolescence, c’est un concept, c’est comme un phénomène de société, quoi qu’on en dise. Je me souviens avoir lu les Histoires d’amour de l’Histoire de France. Tu peux les chercher les ados : à douze ans on les promet, même avant, à treize on les présente, à quatorze on les accouple et hop un p’tit prince ! Faudrait interroger aussi les gens qui ont eu quatorze ans pendant la guerre, pour comparer. Observer le sujet de quatorze ans dans des pays différents, avec d’autres cultures, aussi. J’ai pas toutes les réponses. Un jour, peut-être je ferai une enquête.
Bref, le jardin de la ville. Et l’école. Pour observer les ados, les comprendre, du moins les entendre, les écouter, c’est à l’école qu’il faut aller. Ça tombe bien, j’y suis. Dans le bureau, vous vous souvenez, le moche, le préféré des profs et aussi de leurs élèves. Aujourd’hui j’ai écouté et conseillé une belle jeune fille. Elle ne savait pas comment dire à sa mère qu’elle voulait voir sa meilleure amie tous les jours. J’ai demandé si l’amitié ne pouvait s’accomoder d’un peu de distance. Elle a dit non, elle a dit « je peux pas vivre sans mon amie ». Je lui ai dit que c’est cette phrase qu’elle devait dire à sa mère, que moi j’ai entendu toutes les phrases contenues dans une seule, j’ai bien entendu l’histoire d’amour et partant, une fille avec une fille. Elle a dit que ce qui est difficile, c’est d’imaginer ce que pense sa mère, le soir, si elle dort avec l’amie. J’ai répondu que sa mère pense la même chose que si elle dort avec un garçon. J’ai dit qu’elle pourrait de temps en temps passer un week-end sans dormir avec sa copine. Alors elle a dit : « Mais moi j’en ai envie ». J’ai entendu tout l’amour. J’ai dit : Tu aimes, c’est juste aimer quelqu’un. Elle a souri, elle a dit qu’elle allait parler à sa mère. Plus tard dans la journée sa mère a appelé, elle voulait remercier. C’est quand même pas si mal les nouveaux parents. Il y a les ados amoureux et les ados qui baisent. Un peu à cause de la télévision, à cause du Net, finalement à cause de la liberté. Ils racontent que souvent ça se passe sur les rails de l’ancienne voie ferrée envahie par les ronces. Que ça suce, que ça se fait payer, que parfois ça a douze ans. Je dis que c’est triste ça, que ça me semble tôt. Je dis que c’est dommage d’anticiper la sexualité, qu’il faut attendre la maturité des corps et des esprits. Je ne leur dit pas que la littérature érotique est pleine de Lolita et de jeunes dévergondés qui baisent sans scrupule et en y prenant grand plaisir. La littérature c’est pas la réalité, la littérature c’est autre chose. On en parlera une autre fois, d’ailleurs. Bref, l’adolescence c’est en pack avec la sexualité, c’est comme ça. C’est l’idée, ça va avec. Sans compter que ça peut commencer tôt cette histoire. Mais laissons les pipes rémunérées du côté des rails. Revenons au bureau. Depuis la fenêtre l’an passé, j’ai vu une scène, pendant la récré. Un attroupement et des gestes et puis le bruit des verbes hauts. Deux garçons de Troisième venaient d’échanger un baiser. Indignation générale, surtout chez ces jeunes messieurs. On a parlé. Avec les indignés pour leur dire que ce n’était pas un sujet pour s’indigner. Avec les palucheurs provocateurs, pour rappeler que la cour c’est pas le jardin de la ville et qu’on ne s’embrasse pas en public, beh oui, c’est l’école, y a la loi quoi. Entre nous, avec les parents, pour constater que l’évolution des mentalités, c’est pas gagné.
Parfois, je me dis qu’ils échapperont à notre vigilance et feront des bébés école dans les toilettes. Je voudrais pas, je voudrais qu’ils soient encore petits, comme quand ils jouent au ballon, comme quand les filles se coiffent, quand les garçons les font crier en sautant dans les flaques pour les énerver. Comme quand elles disent que je suis belle aujourd’hui et quand je réponds que c’est des sales gosses, que je suis belle tous les jours et que ça les fait marrer. Je veux pas qu’on les abime. Le sexe c’est beau, l’amour, la baise, c’est génial mais y a un temps pour tout. Je sais que j’ai faux, qu’ils ont une vie sexuelle et si ça me plaît pas c’est pareil. Que sûrement ça vient de ma culture cette idée que c’est mieux d’attendre. J’aurais pas fait une bonne hippie. Finalement je suis un peu comme ces gens rétrogrades. Parce que dans l’adolescence y a le sexe. Etpicétou. C’est une sexualité plus ou moins contenue, qui se contente ou pas de la masturbation.
Faut vivre avec son temps. Faut protéger les vieux jardins dans les villes. Faut accepter le parcours découverte des ados toute protection offerte. Moi je me dis qu’entre les moutards et les profs, l’école a pas fini d’avoir du taf.
Je republie ce texte, un peu modifié, qui me semble toujours utile.
Quand on est une femme/fille, très vite on t’explique comment les choses vont se passer.
Si tu sors tard/avec ces mecs/en boite, il va t’arriver "quelque chose". (et tu l’auras un peu cherché puisqu’on t’avait prévenu).
Ce quelque chose est assez simple ; un inconnu va violemment t’écarter les cuisses et te rentrer son pénis dans le vagin. Et toi tu grandis avec cela. Tu grandis avec l’idée que tu vas être violée.
C’est compliqué de faire comprendre cela. On va m’expliquer qu’il faut prévenir les filles ; on ne peut les laisser dans l’ignorance. Mais comment donc. Tout le monde a parfaitement intériorisé, admis, trouve normal que les femmes risquent d’être violées. C’est comme cela faisons avec. Et si cela t’arrive c’est pas faute d’avoir prévenu. c'est ce que l'on appelle la culture du viol. Il serait extrêmement complexe qu'on réalise collectivement que le plus grand risque couru par les femmes en matière de viol est avec une connaissance à leur domicile ou chez le violeur. Personne n'a envie d'expliquer aux femmes qu'elles doivent se méfier avant tout de ceux qu'elles connaissent. Les femmes de plus de 40 ans qui ont eu un premier rapport forcé après 18 ans déclarent dans 35% des cas que l’auteur de l’agression était un conjoint ou un partenaire; celles qui ont connu un épisode de violence sexuelle avant 18 ans incriminent principalement leur père, beau-père ou une personne de la famille (27% des cas), voire des personnes connues d’elles (31%) (Contexte de la sexualité en France (CSF) de 2006 ). Alors on fait planer le mythe du violeur inconnu de la rue.
Dans l’espace public, un homme a beaucoup plus de risques d’être tué qu’une femme ; pourtant on ne va jamais lui souligner que s’il sort de chez lui, il risque de finir avec un couteau planté dans la plèvre. Ainsi en 2011, 360 000 hommes ont été victimes de violences physiques hors ménage (300 000 femmes), 80 000 hommes ont été victimes de violences sexuelles hors ménage (210 000 femmes). Je n'ai pas trouvé de source pour la France mais vous avez ici le nombre de victimes d'homicide selon le sexe au Canada. Pourtant on n'éduque pas les garçons à avoir peur dans l'espace public et qu'ils courent des risques réels ; ce risque fait partie de leur vie et doit être assumé.
Imaginez Messieurs que vous preniez un métro bondé et que vous ne sachiez pas si un mec ne va pas vous coller sa bite contre la cuisse.
Que vous passiez devant un lieu rempli d’hommes et que vous ne sachiez pas si on ne va pas vous aborder (mais on nous a vendu que c’est flatteur).
Le pire est que les femmes ont intériorisé cela. Certaines vont faire un détour de 300 mètres pour éviter un magasin dont le patron se fend de remarques salaces. Certaines vont participer aux blagues de cul, qui se jouent contre elles, en espérant que cela améliorera les choses. Certaines adoptent des stratégies dans le métro – je me colle contre la porte et je mets mon sac devant – pour éviter les agressions sexuelles (oui une main au cul n’est pas un impondérable mais une agression). Combien de femmes me lisent en pensant que j’exagère alors que cela leur est arrivé à toutes ?
On vit dans un état de tension, plus ou moins intégré, plus ou moins géré.
Vous vous imaginez qu’une femme vous raccompagne chez vous parce qu’ "il pourrait arriver des choses". Vous imaginez en France en 2013 ne pas avoir la liberté de ses mouvements parce qu’on te fait planer le risque du viol ?
Risque qui existe mais qui existe autant avec des proches qu’avec des inconnus.
Risque qui existe mais qui ne doit pas, jamais, empêcher une femme de faire ce qu’elle veut.
Vous imaginez ce que c’est de faire grandir des générations de femmes avec la peur ? Avec la culpabilité ? C’est ce qu’on fait. Mais pour leur bien. Toujours pour leur bien.
Je rappelle que cela n'est pas parce qu'on ne connait pas cette peur qu'elle n'existe pas. Si vous ne la vivez pas en tant que femme, tant mieux pour vous. Rappelez vous seulement toutes les fois où on vous a dit de ne pas vous habiller ainsi, de ne pas sortir à cette heure, de ne pas faire telle activité. Que vous n'ayez pas cédé à ces injonctions, tant mieux ! Mais elles n'avaient pas à être dites à partir du moment où l'on n'explique pas aux hommes les dangers qu'ils courent.
Ce n'est pas nous qui nous construisons en victimes c'est nous tous, femmes comme hommes à répéter aux femmes de "faire attention" qui les construisons comme telles. (merci tanxx pour l'expression).
La liberté de mouvements des hommes n'est pas bridée malgré les risques d'agression. On ferait rire tout le monde si une femme proposait à un homme de le raccompagner chez lui. Et pourquoi pas ?
On me rétorquera qu'il faut bien prévenir les femmes. Ok. prévenons les que seulement 17% des viols sont le fait d'inconnus et qu'elles courent moins de risque à sortir dans la rue que rester chez elles avec une connaissance ou aller chez lui.
Tant qu'on continuera à alimenter des stéréotypes sur le viol (commis par un inconnu la nuit) à faire peser sur les victimes la responsabilité de leur agression (tu es sortie, tu étais habillée trop sexy, tu as bu, tu as flirté) sans demander une seule seconde aux hommes de réfléchir sur leurs propres comportements alors tout ce qui pourra être entrepris contre le viol restera lettre morte.
EDIT : l'article ne traite pas des peurs réelles, rationnelles de gens et des risques réels mais des fantasmes dans lesquels on entretient les femmes. Nous avons statistiquement plus de risques d'être violée chez nous par une connaissance que dans la rue ou dans une boite de nuit.
stats donc :
Lieu de l'agression
Domicile de la victime ou de l'agresseur : 67,7 %
Rue : 3,7 %
Bois, bord de route : 2,2 %
Transport en commun : 1,5 %
Parking : 0,6 %
Institution scolaire ou parascolaire : 3,3 %
Les agressions sexuelles sont commises le jour dans 45,7 % des cas, l
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Quand on sait que presque toutes les actrices ont dû incarner une femme prostituée (la cible à violer), on ne s’étonnera pas que presque tous les acteurs ont incarné un meurtrier voire un violeur. Pour fournir les rôles, les industries patriarcales puisent dans l’Histoire de leurs belles civilisations fémicidaires ou dans l’Imagination morbide des cerveaux virils, qui estampillent « fiction » leur réalité idéale ou leur idéal de réalité.
Il faut noter la belle proportion de rôles de « super héros » parmi les « top 10″. Cela illustre, encore et encore s’il en était besoin, l’analyse remarquable d’Andrea Dworkin du pouvoir des hommes(cf. chap. 1 de Pornography, Men possessing Women; p. 13 du livre, p. 41 du PDF en ligne). Elle décrit comment ils le mettent en scène dans leur « culture » (de la mort, de la guerre, de la violation); ils prennent leur propre corps pour allégorie de leur pouvoir matériel (établi par les armes, les exactions et le monopole économique). Dans ce mensonge naturaliste, ils attribuent au muscle et au pénis le pouvoir intrinsèque et magique de tuer, contrôler, diriger, sauver, bref, détenir pouvoir de vie et de mort sur les « faibles », les « sans muscle » et les « sans pénis ». De fait, dans leurs œuvres « civilisatrices », ils se représentent comme des dieux aux muscles hypertrophiés et à la puissance sexuelle menaçante. Ces représentations créent un mythe, le mythe de leur grandeur et de leur toute-puissance. Parmi les 5 stratégies de l’agresseur, il s’agit ici de terroriser les cibles pour briser leur esprit et leur lucidité, donc tout espoir de fuite ou même d’auto-protection. En agitant le spectre des agresseurs omnipotents, tout en faisant aux femmes une réputation de faiblesse, jalousie, rivalité et putasserie, ils isolent les victimes, les rabattent vers des « protecteurs », c’est à dire qu’ils noues précipitent directement vers des hommes qui ont le pouvoir matériel (psychique, physique, économique, et toujours sexuel) de noues briser davantage.
NB : Avis à la population. Se tenir informer des risques encourus face aux hommes et préférer le principe de précaution à la crédulité énamourée.
J’ai choisi les photos en suivant la « sélection Google » : à chaque nom, j’ai associé le titre de film qui apparaissait en premier dans la liste de recherche.
PS : en finissant de constituer ce visuel (ça m’a pris une heure !), pour la première fois depuis des mois (et, chez moi, depuis plus d’un an), j’ai eu peur d’un bruit anodin chez moi, de l’encadrement obscur de la porte du salon, de la nuit qui m’entoure et que je n’avais pas remarquée, et durant quelques secondes j’ai tenté de calmer une panique en me demandant ce que j’avais sous la main si jamais « quelqu’un » m’agressait. Je n’ai identifié la source de cette peur que peu de temps après : le matraquage permanent de ces images, pures menaces de viol et meurtres, infligé dans un contexte où les hommes noues maltraitent au quotidien, et noues tuent et noues violent, enracine en noues une peur si profonde que, revenue à la conscience, elle paraît folle, démesurée, irrationnelle … donc d’autant plus efficace pour noues paralyser.
Une gouine habillée en lutteur de sumo
A tabassé son ex-petite amie de cœur
Parce qu’elle aurait fait bye-bye à un Jos Bleau
Déguisé en barre de chocolat Snickeurs.