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Il a suffi que N/nous prenions conscience du danger que représentait la trop grande fusion de N/notre couple pour que les événements se précipitent, en effet, à partir de demain Maître se lance dans une nouvelle direction professionnelle qui l’éloignera de la maison toute la journée.
Bon, je reconnais que mes sentiments sont assez ambivalents car N/nous n’avons eu qu’une journée pour se faire à cette idée mais je pense que si tout se passe aussi rapidement, c’est que N/nous sommes sur la bonne route. Les bonnes surprises de la synchronicité !!!
Cet article 23 août 2016 – Les événements se précipitent est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.
Thanks to our sponsor in Holland, Abby Winters.
Much gratitude to our thoughtful sponsor, Nubile Films.
i saw the best minds of my generation destroyed by spending hours trying to figure out the best way to censor a sliver of a nipple
— Estelle X ⚡️ (@TheEstelleX) August 20, 2016
Main post image via Dangerous Minds.
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CherEs membrEs,
Quelques mots sur les derniers mouvements internes au STRASS
Tout d’abord il est nécessaire de revenir sur le dernier événement qui a frappé la communauté des TravailleurSEs du Sexe : l’adoption du projet de loi « lutte contre le système prostitutionnel» le 6 Avril 2016.
Votre syndicat, ainsi que de nombreuxSEs TravailleurSEs Du Sexe mais aussi toutes les associations de santé communautaire alliéEs et organismes locaux et internationaux ont montré sans faiblir pendant 3 ans leur opposition à ce texte de loi inique pour notre population, en apportant les expertises sur les conséquences de la pénalisation des clients, tant sur la santé que sur notre autonomie mais aussi au sens strictement constitutionnel.
Ce contexte politique d’une extrême violence a demandé de réfléchir à des stratégies d’action pour se faire entendre et défendre nos droits, d’être mobiliséEs sans discontinuer durant toutes ces années de débat autour du projet de loi.
Et comme dans tout contexte de lutte politique, des désaccords et différences d’appréciation sur les actions à prioriser sont apparus. Des conséquences sur les structures et des changements d’orientation des personnes peuvent survenir au cours de tout événement difficile. Notre syndicat n’y a pas échappé et le STRASS a subit des débats internes houleux. S’en sont suivi la démission de La Secrétaire Générale ainsi qu’un autre membre du CA, démissions éditées et commentées par eux même sur internet. Notre Coordinatrice a également exprimé et commenté son souhait de ne plus faire partie du STRASS.
Etant farouchement attachéEs à des valeurs de solidarité et d’autonomie, nous souhaitons que toute personne sensible et concernée par nos luttes puisse s’exprimer de la manière qui lui convienne, aussi nous demeurons accueillantEs et compréhensifVEs envers tousTEs ceuxCELLES qui se rallient comme à ceuxCELLES qui se délient.
Le STRASS n’a pas pour priorité de dénoncer et de commenter les mécontentements, qui existent dans toute structure et entre les personnes, raison pour laquelle il n’y a pas eu et il n’y aura pas de réponses aux commentaires au sujet de ces désaccords, sur les réseaux sociaux de la part des membres du Conseil d’Administration.
Nous souhaitons cependant ré-affirmer haut et fort que le STRASS défend :
Nous avons, à la suite de ces problèmes internes, eu des déboires de communication car nos listes de diffusion et nos réseaux sociaux étaient administrés par les personnes démissionnaires qui restent silencieuses face à nos relances pour la restitution des codes d’accès.
La résolution de ces problèmes d’outils de communication a, en plus de nuire gravement à nos priorités envers les TravailleurSEs Du Sexe, demandé une grande disponibilité et des démarches chronophages mais les problèmes sont sur le point d’être résolus en presque totalité. Il demeure des listes et outils dont nous n’avons pas recouvré la gestion. Afin de nous prémunir et de vous préserver de toute tentative frauduleuse de communication, seuls les listes et outils ci-dessous sont la propriété du syndicat et administrés par le nouveau Conseil d’Administration
Membres : strassmembres@googlegroups.com
Pages Facebook :
Strass – Syndicat du Travail Sexuel : https://www.facebook.com/Syndicatdutravailsexuel/
Toulouse : https://www.facebook.com/strasstoulouse/
Reims : https://www.facebook.com/strassreims/
Strass : https://www.facebook.com/Strass-885069584850357/
Groupes Facebook :
Strass Syndicat du Travail Sexuel: https://www.facebook.com/groups/STRASSsyndicate/
Bordeaux : https://www.facebook.com/groups/388113357910318/
Limoges : https://www.facebook.com/groups/321358081290251/
Lyon : https://www.facebook.com/groups/171228776335512/
Marseille : https://www.facebook.com/groups/398435563548544/
Montpellier : https://www.facebook.com/groups/475693749125993/
Nantes : https://www.facebook.com/groups/266300770141454/
Paris : https://www.facebook.com/groups/1630214047290867/
Rennes : https://www.facebook.com/groups/333603506727737/
Strasbourg : https://www.facebook.com/groups/625322184159338/
StrassLatinas : https://www.facebook.com/groups/468908873217629/
Toulouse : https://www.facebook.com/groups/433254610053016/
TWITTER : https://twitter.com/STRASS_Syndicat (STRASS_Syndicat)
YOUTUBE : https://www.youtube.com/user/SyndicatSTRASS
Les Outils de communication ci-dessous sont obsolètes ou corrompus :
strassmembres@yahoogroups.com
strassca@yahoogroups.com
strassparis@yahoo.groups.com
Si notre site http://strass-syndicat.org/ subit une attaque, nous vous en informerons par mail ou sur les réseaux sociaux.
En attendant de vous retrouver, nous vous rappelons les fiches pratiques sur notre site, notre permanence du jeudi au local du 8 rue des Dunes à Belleville entre 17h00 et 21h00 et la possibilité de nous contacter via les numéros à votre disposition sur notre site ainsi que par mail et sur les réseaux sociaux.
Bon été, bon courage.
Solidairement.
Mylène Juste
Secrétaire Générale pour le Strass
Elsa Jean, Van Wylde – Wanted Affection
Marley Brinx, Johnny Castle – Perfect View
Carmen Callaway, Chad White – Ice Cream Thief
Alexa Nova, Preston Parker – Bounty Hunters: Alexa Nova
Cayla, Nick Larsen – Sensual Tease
Bree Daniels, Jenna J. Ross – Seduced
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Il existe des «relations parallèles qui durent toute une vie» et ne s’achèvent qu’avec la mort de l’un des partenaires. Pourquoi les femmes acceptent-elles de rester si longtemps dans une situation qui les fait souffrir ?
Beaucoup de Français sont bigames en secret. Ainsi que le dévoile Marie-Carmen Garcia, sociologue, auteur du livre Amours clandestines, les histoires d’amour parallèles sont nombreuses et elles durent parfois très longtemps… pour le plus grand malheur des maîtresses. Il est difficile pour une femme de ne pas pouvoir vivre avec celui qu’elle aime, ni partir en voyages avec lui, ni rien partager d’autre que des «moments volés». A la différence des amants cachés qui s’accommodent tant bien que mal de la situation (ils se mettent en couple), les amantes cachées restent souvent célibataires, dans l’attente du jour où l’homme marié divorcera. Ce jour-là ne vient parfois jamais.
Le temps ne joue pas en faveur de la maîtresse qui désire être épousée
Sur la longue durée, les infidélités mettent rarement le couple en péril. «Progressivement, en effet, la “raison” prend le pas sur la “passion”», explique Marie-Carmen Garcia. Pour le dire plus clairement : plus les mois passent et plus l’homme se stabilise dans la double vie alors que sa maîtresse, elle, perd confiance et foi en elle-même. L’homme considère que sa relation numéro 2 lui apporte un équilibre précieux. Il trouve agréable de pouvoir passer de l’épouse à la maîtresse, et inversement. Deux femmes l’aiment : n’est-il pas comblé ? La maîtresse, elle, ne parvient que rarement à construire une vie parallèle, afin de compenser. Elle s’obstine à rester seule. Elle développe, inévitablement, une image négative d’elle-même : il est difficile d’assumer le rôle de la «seconde», celle qu’on cache, celle qu’on nie. Arc-boutée dans l’attente, les maîtresses attendent que leur relation soit «officialisée»… en vain. Mais pourquoi s’obstinent-elles ?
Parce que le mari aime son amante
«Si une femme s’estime, pourquoi accepte-t-elle de tenir le “second rôle” ?» Marie-Carmen Garcia avance plusieurs réponses à cette question. Il s’avère, tout d’abord, que l’homme marié affirme souvent aimer sa maîtresse bien plus que son épouse, et cela avec une grande sincérité. Si on lui demande : «Aimez-vous votre épouse ?», il hésite fréquemment : «Je ne sais pas», «Je ne suis pas sûr». «Aimez-vous votre amante ?». «Oui». «Les tergiversations étaient moindres lorsqu’il s’agissait du partenaire clandestin. Cela ne signifie pas que celui-ci soit aimé sans l’ombre d’un doute. Cela signifie que l’amour pour le partenaire clandestin fait partie des registres de justification les plus courants pour expliquer la poursuite d’une relation cachée». Lorsqu’une personne mariée poursuit une relation parallèle longue durée, c’est toujours au nom de l’amour. La maîtresse, qui se sent sincèrement aimée, n’a pas le courage de rompre.
Parce que «nous n’avons pas les mêmes valeurs»
Pour la plupart des hommes qui mènent une double-vie la valeur suprême, c’est la famille. Pour la plupart des femmes, c’est l’amour. Il y a donc un hiatus. Les femmes sont persuadées que l’homme, puisqu’il les aime, finira par divorcer. Elles soupçonnent parfois l’homme de mauvaise foi quand il affirme se sacrifier «par devoir» et «au nom de la famille». Mais l’homme ne ment pas. Les standards d’éducation sont différents pour les hommes et les femmes. «Les publications et les émissions qui expliquent qu’“entre chaque homme et chaque femme, il y a 0,2 % de différence génétique” et que “de ce détail découle une foule de conséquences, biologiques, hormonales ou encore anatomiques” sont légion. Dans l’univers scolaire, si la mixité a été instaurée, […] les représentations des sexes sont fondées, pour la plupart, sur une idéologie de la différence». Les filles sont éduquées à penser leur avenir en couple, les garçons à faire carrière. «Socialement, les hommes sont reconnus pour ce qu’ils font (travailler, fonder une famille, s’engager politiquement, etc.) alors que les femmes sont reconnues pour ce qu’elles sont : des femmes (“révélées” par un homme ou la maternité).»
Parce que le mari dit souvent du mal de son épouse
Si la maîtresse persévère dans le quiproquo, c’est aussi souvent parce que l’homme marié se sent obligé de dénigrer son épouse, en insistant sur le fait qu’il souffre d’insatisfaction sexuelle dans son couple : sa femme n’est pas sensuelle, ni délurée, surtout depuis qu’elle des enfants… «Les discours masculins mettent quasiment tous au centre de leur argumentation la responsabilité de leur épouse dans le fait qu’ils prennent une maîtresse». Parfois le mari prétend qu’il n’a d’ailleurs plus aucune relation sexuelle avec sa conjointe. Les maîtresses, souvent, tombent dans le panneau, y compris quand le mari leur annonce confus que sa femme va bientôt avoir un enfant… Les amantes pensent que c’est un «accident» : «Son épouse l’a bien eu. Elle voulait le garder, elle s’est donc débrouillée pour le piéger», pensent-elles. Parfois, le mari, plus honnête leur dit : «C’est quand même mon épouse, elle ne comprendrait pas que je n’ai plus de désir pour elle». Et les maîtresses hochent la tête, pleines de compassion. Le pauvre.
Si vous êtes une maîtresse…
… et que vous voulez épouser l’homme marié que vous aimez : vite. «Si dans les premiers mois de la liaison les hommes n’écartent pas l’éventualité de “refaire leur vie” avec leur amante, le constat de leur propre incapacité (selon leurs termes) de se séparer de leur épouse installe progressivement cette idée dans la catégorie des rêves déraisonnables qu’ils ont eus au cours de leur vie et qu’ils ont eu raison de ne pas réaliser». Ils cessent alors de voir en l’amante «la femme avec laquelle on voudrait partager sa vie». Ils la perçoivent comme «la femme secondaire avec laquelle s’instaure un simili de conjugalité avec des rites, des souvenirs communs, des discordes et parfois une absence de désir». Le train-train s’installe. Ils cessent de rêver à une «vie à deux» avec l’amante. «Cette dernière, chemin faisant, s’inscrit ainsi durablement, à son corps défendant, dans un “statut” de maîtresse. On a affaire à l’établissement d’une relation qui, de “conjoncturelle” et “transitoire”, passe à “installée” et “ritualisée” : les rôles se définissent, se figent, les pratiques et les discours également : progressivement se met en place un couple clandestin […] pour lequel le terme “aventure” semble de moins en moins adéquat».
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A LIRE : Amours clandestines. Sociologie de l’extraconjugalité durable, de Marie-Carmen Garcia, Lyon, Presses universitaires de Lyon, coll. « Sexualités », 2016.
Cet article fait partie d’un dossier. Première partie : «Amours cachées : pas facile d’être la maîtresse». Deuxième partie : «Marié, mais disponible : portrait-type du mâle adultère». Troisième partie : «Pourquoi les amantes sont-elles humiliées ?».