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— Seattle Erotic Art (@seattle_erotic) March 22, 2016
Much gratitude to our thoughtful sponsor, Nubile Films.
Main post image: Lorelle Rayner, Lui Magazine, in this NSFW gallery on Portraits of Girls.
The post Sex News: X-Art smacked in court, Martin Shkreli’s porn PR guy, the culture of Silicon Valley VC sex abuse appeared first on Violet Blue ® | Open Source Sex.
C’est la nouvelle du jour, Pornhub se lance officiellement dans la VR avec le studio BadoinkVR. Dans un spot oscillant entre humour et lourdeur, ils introduisent un présent où les hommes peuvent profiter de la réalité virtuelle porno en toute circonstance sans supporter le lourd regard de la société (mais plutôt l’enthousiasme débordant des autres mâles de leur meute).
L’annonce est belle, le contenu gratuit, l’ambition sérieuse mais la réalité nous a refroidi aussi rapidement qu’on a visionné leur publicité. Si il existe bien une chaîne BaDoinkVR sur le tube porno, elle est surtout compatible avec les Google Carboard. Si vous possédez un Samsung Gear VR (comme dans la publicité), n’essayez pas de regarder Pornhub avec l’application Samsung Internet Beta – comme ils le suggèrent – vous allez vous tuer les yeux et la compatibilité avec la VR est une vraie blague. Pour profiter pleinement des extraits gratuits du studio BadoinkVR, il faudra les télécharger à l’ancienne. Dès lors, quelle différence avec leur site officiel ? Pas grand chose en fait et on est très loin de la promesse plug&play de la vidéo. Dommage.
Alors que les premiers casques Oculus Rift commencent à être livrés et que Samsung fait des pubs immenses pour son casque dans la rue, l’industrie du porno redouble d’effort pour initier le grand public à la réalité virtuelle. Ils ont raison car ça vaut vraiment le coup mais il s’agirait aussi de ne pas trop forcer le destin au risque de décevoir tout le monde.
Fallait l’inventer la Nikita, la
Tatouée
Dont l’téton est musique
Aux frissons sans arrêt,
Comme un pic effronté
À l’effet tequila !
Fallait l’inventer, sûr, et faudrait lui
Légionner l’honneur quand d’un rictus
Nikita,
La moderne Emmaüs,
Par le cul te céleste
Un giclant infractus.
Fallait l’inventer la joueuse de cardiaque
Qui pique ton cœur,
Nikita ma
Légion d’honneur ; qui demande et te rend
Comme un jeu chaque claque.
Si Nikita n’existait pas
On aurait la santé
De fer, OK, mais
Pour en fer quoi ?
Image en une par Philippe Lesage
Brian Watson est historien. Comme tous les historiens, ce résident du New Hampshire de 25 ans a un domaine de prédilection : la sexualité, la pornographie et l’obscénité, auxquelles il a consacré son mémoire de fin d’études. Sous le pseudonyme vertexoflife, il dispense ses connaissances en la matière au cours d’Ask Me Anything (AMA) qu’il organise sur Reddit depuis 2013. “Histoire de la sexualité”, “Histoire de la pornographie 1400-1800”, “Histoire de la pornographie et de la littérature libertine en Europe, 1500-1850” : l’homme connaît son domaine. Il y a trois jours, Brian Watson s’est à nouveau exposé aux questions des Redditors à l’occasion de la sortie de son premier livre.
Dans Annals of Pornographie: How Porn Became Bad, l’autoproclamé “historien résident de Reddit” s’intéresse à l’évolution de la perception de la pornographie. “Je parle (…) de la manière dont elle est passée de blague pointue partagée dans les cercles de l’élite et des classes supérieures en tant que moyen de moquer l’Eglise et la société à un type de travail à l’effet “indésirable” sur le peuple”, explique-t-il dans son nouvel AMA. Les Redditors ont été plutôt réceptifs : l’appel au papotage de Brian Watson a reçu près de 4 000 upvotes. Au cours de la discussion plus de mille messages y ont été échangés.
En parcourant la discussion, on apprend beaucoup de choses intéressantes sur la pornographie. Par exemple, à en croire l’historien, la première “porn star” s’appelait Nell Gwyn : au 17e Siècle, elle a inspiré “des peintures érotiques, des poèmes et des histoires pendant près de 50 ans”. On découvre également que l’Eglise catholique était “féministe et libertaire en son temps”, notamment parce qu’elle a développé le mariage devant un prêtre pour empêcher les relations clandestines, et donc les hommes qui prennent la fuite pour s’épargner l’union éternelle après avoir mis leur dulcinée enceinte.
L’historien a répondu à un grand nombre de questions très intéressantes, que nous vous conseillons de lire sur place. Le jeune homme entretient également un blog très fourni. Si son ouvrage vous intéresse, vous pouvez vous le procurer ici au format numérique. N’hésitez pas : Annals of Pornographie: How Porn Became Bad a été publié à compte d’auteur. Un spécialiste dans le genre de Brian Watson mérite bien de gagner un peu de sous.
Après trois ans de tournées incessantes et douze articles des Inrocks plus tard, La Femme s’est enfin décidé à lâcher un single accompagné d’un clip sensuel, excitant et hypnotisant le 17 mars dernier. Dans un monde peuplé de ribambelles de groupes synth-pop pour la plupart sans intérêt et d’une recrudescence un peu poussive et malhonnête du synthéthiseur dans la pop musique, me voilà soulagé.
Venons-en au clip, qui par son côté cheap complètement assumé, son symbolisme oriental et son montage halluciné parvient à devenir totalement captivant. Il est réalisé par Marlon (leader du groupe) en collaboration avec son ami Aymeric Bergada Du Cadet et compte un guest de qualité en la personne de Nassim Si Ahmed – acteur de la web-série En passant pécho (pour laquelle j’ai une affection toute particulière).
On guette avec attention les prochains mois avant la sortie de l’album, prévue pour septembre 2016.
«Nice to meet you!» Elle tend une main aux ongles vernis de rouge, esquisse un sourire et rabat un long pull sur ses épaules: Jessy est coquette et ce matin, elle est venue au rendez-vous vêtue d’une robe malgré le froid. Sa présence attire les regards et des paroles malveillantes, mais elle regarde fièrement l’appareil photo qui saisit son assurance au milieu de la foule. Jessy a choisi d’exister, et ce n’est pas ces quelques commentaires sournois qui la freineront, elle dont la frêle silhouette est debout en dépit d’une histoire inimaginable.
LA MORT, SI PRÈS
Cette histoire commence au Liban, dans un de ces camps de réfugiés misérables dans lesquel croupissent certains Palestiniens depuis 1948, année de la création de l’Etat d’Israël. Nous sommes en 1991 et une famille accueille son deuxième fils, une fierté dans cette société où la naissance d’un enfant mâle est toujours préférée à celle d’une petite fille. Cet enfant, c’est Jessy. Les années passent. Un jour – elle a cinq ans –, son père la surprend qui se maquille devant un miroir avec les affaires de sa mère. Premiers coups, premières insultes: le calvaire commence pour ce petit garçon qui n’en est pas un, dont l’existence même provoque haine et dégoût. Car Jessy est née dans une société patriarcale où des milices armées font régner leur loi en s’appuyant sur l’islam et le nationalisme palestinien. Dans ce milieu ultra-conservateur, elle devient victime de mille persécutions.
Genève, le 11 février 2016. © Magali Girardin
Enfermée et torturée par sa famille, abusée sexuellement, déshabillée de force devant tout le quartier, frappée à d’innombrables reprises, Jessy frôle la mort. Elle tente de se suicider. Et survit aux tentatives de meurtre de sa famille, entre un frère qui n’arrive pas à passer à l’acte malgré les pressions et un père au couteau duquel elle échappe de justesse. C’est dire que la présence dans un café de Genève de cette petite femme à la voix douce est un miracle. Le miracle de la volonté, pour être plus exacte, car Jessy n’a pas renoncé un seul jour à l’espoir de devenir la femme qu’elle est. Dans le camp de réfugiés de sa naissance, elle a cherché à entretenir sa féminité envers et contre tout, allant jusqu’à entamer seule un traitement hormonal qui ne se prend que sous surveillance médicale.
UNE DOUBLE ÉPREUVE
Outre sa transition identitaire, Jessy affronte un autre défi: elle est Palestinienne dans une société où ces réfugiés, parqués dans des camps, privés de droits politiques et croupissant dans une misère entretenue par un chômage galopant, sont des citoyens de seconde zone. Certaine que le savoir la sauvera, elle s’accroche désespérément à ses études et décroche son bac, même si elle est exclue de la remise des diplômes. Jessy n’obtiendra jamais le grand certificat calligraphié que les parents palestiniens accrochent fièrement au salon pour montrer la réussite de leurs enfants. Mais elle ne s’arrête pas là. Elle s’inscrit à l’université alors que dans sa famille ou son quartier, personne n’a jamais franchi les portes d’une haute école. Jessy bataille pour être admise, fait des passes la nuit pour pouvoir étudier le jour elle qui, privée de tout soutien, rêve de devenir infirmière. Le jour J, les portes se ferment: il n’y a pas de place dans la salle d’examen pour Jessy. Mise à la porte par le ministre de l’Education auprès duquel elle est venue se plaindre, elle est au désespoir, puis le désir d’apprendre, ce désir qui ne la lâche pas d’une semelle, prend le dessus. Jessy s’inscrit dans une seconde université, y affronte la haine des étudiants dont la violence est encouragée par le corps enseignant… et perd sa bourse d’études, durement acquise, un an avant la fin de son diplôme.
Non contente de la persécuter, la famille de Jessy menace maintenant de la livrer à une faction islamiste. Chassée par les habitants de son quartier, elle sent le souffle de la mort plus près que jamais et s’enfuit pour Beyrouth. Là, elle commence à voir apparaître une autre vie. «Grâce à des associations LGBTIQ comme Proud Lebanon, Helem ou Mosaic, j’ai rencontré d’autres personnes transsexuelles, des réfugiés syriens et irakiens notamment. Je me suis aussi engagée dans des campagnes de prévention pour avertir par exemple des dangers de la prise d’hormones sans surveillance médicale», explique Jessy.
Et puis, à Beyrouth, elle a connu la tendresse, et la simple évocation de son amoureux illumine son visage, même si, dit-elle, la distance risque de mettre fin à cette relation. «Je ne veux pas me contenter d’être une femme. J’ai besoin d’un homme à mes côtés pour être complète», dit-elle avec passion. Au mot mariage, ses yeux brillent: «Je rêve de construire une famille.» Hélas, Beyrouth ne peut lui offrir cette nouvelle vie: Jessy doit se prostituer pour survivre et reste victime d’abus et de violences. Convaincue que son salut est ailleurs, elle cherche asile à l’étranger à travers les bureaux du Haut-Commissariat pour les Réfugiés (HCR) et de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA). Après plusieurs semaines d’attente, elle apprend qu’elle ira en Suisse. Le 27 novembre 2015, avant d’entrer dans l’avion, elle appelle une dernière fois sa mère. «Je lui ai dit maman, je pars en Suisse, un pays dans lequel je serai en sécurité. Elle a pleuré et m’a dit: tu seras toujours mon fils.»
Genève, le 11 février 2016. © Magali Girardin
«ICI, JE ME SENS VIVANTE»
Le 27 novembre 2015, Jessy atterrit à l’aéroport de Genève. «En descendant de l’avion, j’ai senti que l’oxygène revenait dans mon corps», raconte-t-elle dans un murmure. Un interprète marocain mandaté par la Confédération l’amène à Lausanne, où elle dort cinq nuits dans un hôtel. Jessy vit ensuite quelques semaines dans un centre où elle dispose de sa propre chambre, même si elle est obligée de côtoyer d’autres réfugiés qui ne se privent pas pour faire des commentaires très désobligeants. En revanche, elle loue la gentillesse et le respect des autorités. «On m’a demandé si je préférais être appelée monsieur ou madame, vous vous rendez compte? Ici, je me sens vivante!» A la mi-février, son vœu d’obtenir un appartement individuel a enfin été exaucé et les autorités vont lui chercher un logement dans les prochaines semaines. Le combat de cette femme au courage extraordinaire n’est cependant pas fini. Jessy souhaite désormais insuffler à d’autres l’énergie qui l’a portée tout au long de ces années. A l’avenir, elle espère reprendre des études pour défendre les droits des personnes transsexuelles au Proche-Orient. «Rencontrer des militants a représenté un tournant dans ma vie et je voudrais donner à d’autres ce que j’ai reçu. Je n’ai qu’une chose à dire aux gens qui vivent la même chose que moi: battez-vous. Ne revenez pas en arrière. N’écoutez personne. Et soyez forts, forts, forts!», conclut-elle, les mains soudain serrées en deux poings.
UNE RECHERCHE-ACTION«Je n’ai qu’une chose à dire aux gens qui vivent la même chose que moi: battez-vous.» Jessy
L’accueil de réfugiés comme Jessy est un défi complexe. D’autant que les associations qui s’occupent de la problématique LGBTI et celles qui traitent d’asile sont très peu en contact, ce qui augmente la vulnérabilité de ces personnes déjà stigmatisées. Pour y remédier, la Coordination asile.ge et la Fédération genevoise des associations LGBTI mènent depuis janvier et jusqu’à décembre 2017 une recherche-action sur les besoins spécifiques des personnes LGBTI relevant du domaine de l’asile à Genève. Il s’agit de les identifier, d’élaborer des actions en leur faveur et de sensibiliser les divers intervenants à leur situation. Les initiants du projet souhaitent faire participer les réfugiés LGBTI en leur permettant de s’exprimer et d’évaluer les actions et le projet. L’association EnQuêtesplateforme d’anthropologie se chargera de la recherche, de la méthodologie, de l’évaluation et de la collaboration avec les institutions cantonales. La première rencontre entre les acteurs concernés a eu lieu à la mi-février. «Les secteurs de l’interprétariat, de la médecine et de la psychiatrie sont intéressés», se réjouit Anne Avry, coordinatrice du projet.
» Contact les jeudis de 14h à 18h, dans les locaux de l’association 360 à Genève: 36 rue de la Navigation aux Pâquis • Par téléphone au 076 663 78 29 • Sur le site lgbt.asile.ch
http://www.illustre.ch/magazine/je-me-fache-je-me-venge-et-je-pardonne|Admirée ou méprisée, l’Allemande Tomi Tomek s’est érigée en défenseure passionée de la cause féline, avec son association SOS chats. Dans une interview à L’Illustré, cette femme de 64 ans lève le voile sur son itinéraire, de Berlin à Neuchâtel, et sur sa vie privée, notamment sur son histoire d’amour avec Elisabeth, sa compagne depuis trente-six ans. Leur couple n’est pas passé inaperçu au Val-de-Travers. «Face aux réactions stupides, on a choisi de faire face: on a organisé une fête géante dans la forêt avec un grand feu, une sorte de sabbat des sorcières. On a tourné ça en positif, pour se marrer. C’est ce que j’aime, chez Elisabeth! Quand on l’attaque, elle se défend avec humour.»
«D’où est-ce que vous venez?» «On vient d’Internet.» Cela devait rester une simple blague, lâchée à la face d’un journaliste lors d’une interview prise à la rigolade. Peut-être Syd tha Kyd et Matt Martians, les membres du groupe The Internet, ne mesuraient-ils pas à l’époque la portée générationnelle de leur remarque. Toujours est-il que l’idée – et le nom – sont restés. Cinq ans plus tard, The Internet s’est imposé sur la scène musicale américaine par son subtil mélange de hip-hop et d’electronica, ses claviers abrasifs et ses riffs de guitare blottis contre des rythmiques fortement laidback, et ses harmonies héritées d’un bop qui sent bon le vinyle et les dimanches après-midis langoureux que l’on souhaite ne jamais voir finir.
Si leur troisième album, Ego Death, n’a finalement pas remporté le Grammy Best Urban Contemporary, catégorie dans laquelle The Internet était récemment nominé, il continue de planer sur ces douze plages un parfum de «cigarettes and sex on your breath» terriblement addictif. The Internet? Syd tha Kyd et Matt Martians s’y sont rencontrés, littéralement, à la grande heure de MySpace. Le cheveu ras et le débardeur à fleur de peau, Syd, même pas vingt ans, s’illustre alors comme producteur improvisé au sein d’une meute de jeunes rappeurs baptisée Odd Future. Elle a fait ses armes dans un studio de fortune, assemblé dans la cave parentale.
«Je voulais être Pharrell»
«Quand j’ai commencé à faire de la musique, je voulais jouer le rôle du producteur qui assure les secondes voix dans les refrains», dit la Californienne dans un entretien pour Time. «Je voulais être Pharrell [Williams], franchement, celui qui fabrique les beats et qui s’affiche entourés de jolies filles dans les clips.» C’était sans compter sur les affinités musicales que Matt et Syd vont se découvrir. Ensemble, ils s’enivrent de soul et de RnB première vague, remontent les origines de la culture ghetto pour en extraire toute la veine mélodique. Outkast, Erykah Badu (en particulier l’album «Baduizm»), mais aussi Jamiroquai ou Amy Winehouse («In my bed») fournissent la sève qui coule dans leurs première maquettes. Ils ont d’abord l’intention de les proposer à d’autres interprètes; et puis Syd se met au micro. Miracle. Chaleur, flow acidulé, sensualité rentrée: la voix de Syd tha Kyd agit comme un élixir.
Sur Ego Death, il est question de désir, de stupre, de rupture. De filles, aussi, auxquelles Syd fait la cour avec une galanterie effleurée ou une insistance assumée («Now she wanna fuck with me, Live a life of luxury, […] Such beautiful company»), voire une malice saupoudrée d’un nuage de poudre comme à l’époque Cocaine, l’un des premiers titres de The Internet.
Icône gay, Syd? Tha Kyd ne rejette pas le qualificatif, qu’elle juge flatteur, mais pas indispensable non plus. Sa sexualité n’offre qu’un ton parmi d’autres dans la garde-robe identitaire de The Internet, représentant d’une nouvelle garde hip-hop au sein de laquelle la diversité des orientations et des genres est en train de se normaliser. «Personnellement, je n’ai jamais cherché à porter l’attention sur ma sexualité, non pas parce que je n’en suis pas fière, mais parce que je pensais que cela ne devrait pas compter, et je continue de le penser», déclarait récemment Syd tha Kyd au blog australien Faster Louder. «Je n’aborde presque jamais le fait d’être gay. Mes chansons parlent de femmes, mais ça, ça vient simplement du fait que j’écris à propos de ce que je connais le mieux.» Touché.
La proposition de loi pour le renforcement de la lutte contre le système prostitutionnel est en cours d'un vote laborieux au Parlement français et en butte à des sénateurs en majorité hostiles à ce qu'on responsabilise les prostitueurs-acheteurs, à ce que l'on remette en question ce “droit de l'homme” à s'approprier le corps des femmes, d'enfants et d'hommes.
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