Cette semaine, on a convié la monstrueuse parade pour un défilé qui met la fashion week à l’amende. Hybridités désossées, bâtards sensibles et impuretés en mutation : c’est parti pour un roller coaster au jardin des délices. « Métamorphose, métamorphose, Il est minuit, mon corps frémit… »
Un éphèbe encordé fait la chenille sur le sol, prisonnier de ses doux liens. Jean et rangeos, le master arrive pour faire gémir et se tortiller cette créature. Et quand il le chope par les boules c’est carrément un autre membre qui pousse de son entrejambe.
On monte dans les tours avec Sebastian Keys et son automatic lover. Cyber-baise syncopée pour notre hominidé qui teste toute les positions pour encaisser la cadence infernale de cette machine du diable. Allez, on met la gomme et de l’huile de cul : slave to the rythm…
Il fait beaucoup trop chaud sous le lycra de Spiderman. Pour calmer ses ardeurs, il saute sur son twin et lui met la misère. Frotti frotta sur les draps, ça va se finir avec de la toile partout ça… Oink, oink : look out, here comes the Spiderpig!
Cooper Reed se fait livrer un sextoy maousse. Cadeau bonux ou erreur de livraison, deux boîtes arrivent à la maison. Roulement de tambour, avalanche de polystyrène, TADAAM ! Johnny Rapid et Tyler Sweet sont déballés pour la plus grande joie du maître de maison qui ne tarde pas à en essayer toutes les options.
Concours canin d’une autre espèce : qui sera le chiot le plus obéissant et gagnera le droit de rentrer à la maison pour apporter les pantoufles de Daddy Steele ? Badine, chatouillage de queue, va chercher, pas bouger : dressage en règles des trois puppies par un master qui ne donne pas sa part au chien quand il s’agit de grogner de plaisir. Who’s Daddy’s good boy?
Image en une : La Chenille d’Edogawa Ranpo