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Vu sur Elfes et plaisirs, Sasha
Je redoutais à double titre Elfes et plaisirs : je n’avais pas aimé un autre titre de Sasha et je ne suis pas friande de fantasy. Finalement, j’ai trouvé la lecture d’Elfes et plaisirs assez agréable. Titiana est une jeune elfe qui doit passer par une initiation aux plaisirs, d’abord au bord d’un lac avec […]
Cet article provient de Littérature érotique
Lors du vernissage de l’exposition du photographe Pascal Coignard hier soir, les modèles fétiches du fétichiste ont posé en tenue de rigueur. Le charme...
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Une fois n’est pas coutume, je vais vous parler des mes livres parus aux éditions HACHETTE.
Pour celles et ceux qui me suivent, mes deux romans romantiques et érotiques sont en vente libre en France comme à l’étranger, sur toutes les librairies en ligne.
Je vous laisse chercher les liens, il suffit de demander, entre autres, à Google.
N’hésitez pas à laisser vos commentaires sur les librairies en ligne où vous avez acheté le roman, merci !
Voici les couvertures et les résumés :
LES LIAISONS TRÈS DANGEREUSES
Ana a 25 ans. La jeune femme est mariée depuis peu à l’héritier d’une entreprise qu’elle connaît depuis l’enfance. Tous les deux sont issus de familles de la grande bourgeoisie provinciale. Ils vivent dans une belle propriété entourée d’un grand parc arboré. La jeune femme aimerait que son mari passe plus de temps avec elle mais surtout, qu’ils aient une sexualité plus pimentée.
Journaliste, Ana effectue régulièrement des allers-retours à Paris. Un matin, elle reçoit un mail de [A]. Au travers des mots qu’il lui a écrits, elle reconnaît ce blogueur avec qui elle avait échangé deux ans auparavant et qui avait disparu du jour au lendemain sans explication. Piquée par la curiosité et l’envie de le séduire, Anastasia va lui répondre. Qui se cache derrière l’énigmatique L_Etre_A ?
Parallèlement, un créateur de parfums de luxe prend contact avec elle. Alors qu’Ana lui avait demandé une date pour une interview, Alexander lui propose tout autre chose. Il a 40 ans, est marié et recherche une éveilleuse pour parcourir avec elle des chemins interdits.
Les défis s’enchaînent. Entre ceux d’[A] et ceux d’Alexander, Ana est entraînée dans un tourbillon de sensualité érotique de plus en plus dangereux. A force de jouer avec les feux de la séduction et de l’amour, ne risque-t-elle pas de se perdre ?
Les liaisons très dangereuses, Cali Rise, éditions HACHETTE
LE MASQUE DU PLAISIR
Emanuela est cheffe de projets dans la pub, métier qu’elle adore. A 25 ans, cette vierge romantique vit avec sa sœur jumelle dans un grand appartement parisien. Pour augmenter le trouble de ceux qui les fréquentent, les deux orphelines portent toujours les mêmes vêtements créés par Giulia.
Les jeunes femmes vivent à cent à l’heure et participent régulièrement à des fêtes déjantées où elles se permettent toutes les audaces. Lors d’une soirée masquée dans un château situé en banlieue, Emanuela rencontre un inconnu vêtu comme Giacomo Casanova.
Les cheveux gris, mi-longs et bouclés, l’homme pose sur elle son regard hypnotique, dès que les deux sœurs pénètrent dans la pièce où il se trouve. Moqueuse, Giulia, qui a repéré le manège, défie sa sœur : « si tu ne séduis pas cet homme, il finira dans mon lit ! » Emanuela qui la connaît par cœur sait qu’elle ne plaisante qu’à moitié : même si Giulia est lesbienne, elle ne déteste pas coucher avec des hommes quand ils lui plaisent physiquement.
Manu croit reconnaître en ce Casanova au sourire conquérant l’inconnu qu’elle a rencontré dans une fête précédente et dont elle rêve depuis toutes les nuits. Même silhouette, même voix. Mais ses souvenirs sont-ils fidèles à la réalité ?
Alors que l’homme aux cheveux gris lui promet qu’ils se reverront, il disparaît sans lui avoir demandé son prénom et encore moins son numéro de téléphone. Pour qui la prend-il ? Emanuela n’a pas l’intention d’en rester là ! Mais comment démasquer quelqu’un qui aime à ce point jouer avec l’amour et tous ses artifices ?
Le masque du plaisir, Cali Rise, éditions Hachette
Manifestation d’absurdité dans un monde absurde, éruption de liberté dans des paysages étriqués, danse anarchique au sein d’une architecture mesquine, les clichés de cette série intitulée «Le Philosophe» sont le fruit d’événements improvisés, nés de la recherche, au gré de voyages improvisés par deux artistes, de lieux propices à la perturbation, à la réinvention.
Cliquer sur l’image pour découvrir le portfolio.
Disruption, irruption de l’humain dans l’inhumain, la démarche du duo EPECTASE s’apparente ici à l’art de rue, voire au land art, à un art non autorisé, intrusif, pas très éloigné du tag. De lotissements privés en forêts plantées, de parkings en immeubles de bureaux, les décors sont ceux de la planification institutionnelle. Cantonnés à leur rôle utilitaire, ils deviennent inhumains. EPECTASE y ramène le corps, doté d’une sensualité bizarre, à la fois vieille France et futuriste. Entre poésie dada et controverse punk, le corps ici mis en scène veut éveiller la vie.Inscrits de plain-pied dans la réalité
Corentin Fohlen et Jérôme von Zilw, photojournaliste pour l’un et documentariste pour l’autre, se réinventent en marge d’une réalité souvent grave, celle du monde dans lequel ils sont inscrits de plain-pied, en créant au sein d’EPECTASE des œuvres sérielles. L’un sera derrière l’objectif, l’autre devant ; ils choisiront pour décor l’architecture étriquée des petites zones pavillonnaires, la nature morne et domestiquée des champs de betteraves ou des forêts alignées, l’environnement balisé des centres commerciaux; ils instilleront au cœur de cet univers banal et statique, d’où l’homme semble à la fois absent et omniprésent, l’extravagance de leur imaginaire absurde.
L’agent constant de ce joyeux dynamitage est un corps, en monstration, en tension, en traction, en suspension, en imminence de chute, un corps que nul artifice ou trucage ne vient seconder. Au cœur de ces rencontres la poésie s’installe, la vie surgit, l’imaginaire se déploie. C’est EPECTASE.
» Bien plus à voir lors d’une exposition durant tout le mois d’avril à l’Atelier Yann Arthus-Bertrand, 15 rue de Seine, 75006 Paris.
» Tout savoir sur les artistes rendez-vous sur Epectase.org
Oui j’ai peur… une peur qui me prend parfois sournoisement… qui alors que tout va bien s’insinue dans mon esprit et qui me fait paniquer. Il suffit d’un rien. Nnous sommes en ligne et tout à coup cela coupe. je rappelle une fois, deux fois, trois fois … dix fois impossible de le rejoindre. Et j’imagine le pire. IL a eu un malaise, Il a été agressé et Il n’est plus en état de répondre. Il est seul et personne peut le secourir. Alors je me fais déjà des films que le téléphone se met à sonner que c’est l’hôpital ou la police… Vvous me direz pourquoi je me fais ces films… c’est depuis que j’ai failli le perdre par deux fois en 2009. Déjà à l’époque j’avais mis du temps pour ne plus avoir peur pour Lui de tout et de rien. Mais cela revient. Et je n’y peux rien. je suis donc attentive à l’écoute et je guette. Jusqu’à ce que ce stress parte. En faite quand Nnous ne sommes pas ensemble, le téléphone est rassurant. je ne considère pas que Monsieur me surveille, m’espionne mais qu’Il reste près de moi à tout moment. je peux ainsi Lui parler de tout de rien et je suis rassurée de l’entendre. Il m’entend vivre, parler avec mes clients, me prendre parfois la tête, ronchonner et moi je l’entend aussi de son côté s’activer, ,travailler. Parfois les bruits sont trompeurs on croit entendre quelque chose et en faite c’est tout autre chose. je ne peux pas me passer de l’avoir au téléphone. je Lui parle de tout et en faite je n’ai besoin de personne d’autre que Lui. Nnous avons bien sur des ami(e)s et Nnous apprécions d’avoir de Lleurs nouvelles. Dans ma vie vanille j’avais des amies et parfois comme toutes les personnes vanille j’avais tendance à raconter des choses à mes amies que mon conjoint ne savait pas. Maintenant c’est fini. Monsieur sait tout de moi, mes états d’ames, mes contrariétés, mes joies et mes peines. Il y a des choses que je dis à mon Amie Tyka et Jérôme mais Monsieur en sait plus. Et c’est ce que j’aime dans cette relation. Le côté fusionnel. je peux dire que je connais Monsieur, comme Il peut dire qu’Il me connaît. Quand Nnous serons vieux et à le retraite Nnous n’aurons pas l’impression d’être Ddeux étrangers l’Un en face de l’autre comme cela arrive souvent dans les couples vanille. Parce que dans la vie vanille qu’on le veuille ou non on passe beaucoup de temps loin l’un de l’autre. Entre les heures de bureau, la pause déjeuner et le temps de trajet du matin et du soir sans compter ceux qui ont leur temps pour eux, du genre lui va au foot, elle fait du shopping avec ses copines et bien il reste plus beaucoup de temps à passer ensemble. Si en plus il y a des enfants ….