34739 éléments (3198 non lus) dans 75 canaux
Maison de luxe suédoise fondée en 2003 avec l’idée simple que les sextoys doivent être efficaces, mais aussi beaux et élégants, LELO s’est lancée à conquête du plaisir accompagnée de trois designers.
Toujours à la recherche du design chic, des détails métalliques sur des produits au toucher doux, des jouets lourds et puissants avec une technologie toujours au point, LELO s’inscrit clairement comme une des marques phares de jouets pour adulte. Et si l’on devait retenir un mot pour la marque, ce serait innovation. Cette rigueur a conduit la marque à grandir, puisqu’il s’agit aujourd’hui d’une firme présente dans le monde entier, et LELO jouit d’une excellente réputation. Jouets innovants, masseur puissant, galet vibrant ou encore préservatifs, ils avancent sereinement direction votre table de chevet.
Pour fêter leurs 15 ans, ils nous ont envoyé une belle grosse malette, oui ils sont comme ça, c’est eux qui nous offre des cadeaux. Un bonne douzaine de produits dans une nouvelle collection aux parfums BDSM, rangés dans une valise qu’on aimerait bien amener avec nous en vacances au bassin d’Arcachon… Menottes, cravache télescopique, boule de geisha, plug anal et j’en passe… La véritable panoplie du sale. Les finitions sont superbes, tout en noir et acier, c’est un peu plus dark que ce qu’on a l’habitude de voir de la marque qui penche plus souvent dans le côté bonbon de la force, mais sérieusement, ça fait envie et on vous incite à aller jeter un coup d’oeil !
Le kinbaku, un peu plus connu en occident sous le nom de shibari, est une pratique d’origine japonaise qui consiste en l’attachement d’une personne à l’aide de cordes et de noeuds définis. À l’origine pratique de torture, depuis quelques siècles déjà la technique s’est mise au service de l’érotisme.
Si il reste difficile de détacher (mdr jeu de mot) le kinbaku des pratiques sexuelles, aujourd’hui il s’agit d’un art qui fait partie de la pop-culture nippone, et se démocratise en occident. On ne pratique plus seulement dans des caves sombres, le shibari s’affiche en photographie, dans des expositions ou dans les magazines de mode.
Dans Planète Kinbaku, Nathanaël Friloux nous montre comment cette pratique si esthète et underground s’ouvre à un plus grand public, et comment les pratiques évoluent pour répondre aux envies de ces nouveaux aficionados des cordes.
Un petit tour autour du globe, passant évidemment par le Japon, mais aussi par différente capitales européennes, nous mène à la rencontre d’encordeur·ses et d’encordé·es de tous les horizons, Gorgone, Misungui, Alex DirtyvonP et bien d’autres encore.
Le documentaire sera mis en ligne dès le 22 juin 2018 sur le site de documentaire à la demande Spicee.com. Il sera accessible au prix de 4,90 €.
Pour prolonger le plaisir, il sera possible d’adhérer au Planet Kinbaku Club et accéder aux vidéos performances des grands riggers (attacheurs, attacheuses) et modèles du documentaire tels que Hajime Kinoko, Akira Naka, Gorgone, Misungui Bordelle, Alex DirtyvonP, Calamity Steph…
– de 5,99€ à 12,99 € le pack thématique
– 19,99 € toutes les vidéos, une vingtaine soit 7 heures de performances diffusables y compris à l’occasion de soirées, évènements en galerie, etc.
La plateforme du Planet Kinbaku Club sera alimentée régulièrement en nouvelles performances. L’accès se fera soit depuis le site de Spicee.com, soit sur la boutique en ligne de Guindala Production.
Cadeau pour les lecteurs du Tag Parfait, avec le code promo : CORDES, vous pouvez regarder le doc pour 1€ seulement et accéder à tous les contenus de Spicee pendant 3 mois.
C'est avec regret que le Planning Familial et l'IPPF* apprennent l'annonce du retrait des Etats-Unis du Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies (CDH), organe dédié au renforcement, à la protection et au respect des droits humains et des libertés fondamentales pour toutes les personnes.
Mercredi 20 Juin 2018 2018-0620-USA-CDH-ONUPour terminer cette première saison, on vous propose ce grand entretien avec Eric Fassin. Professeur de sociologie à l’Université Paris-8 Vincennes-Saint Denis dans le département de Science Politique et celui des Études de genre, chercheur au Laboratoire d'études de genre et de sexualité du CNRS, Eric Fassin est incontournable pour qui s’intéresse au genre. Et en plus, il s’exprime clairement sur ces sujets parfois difficiles à appréhender. On lui a donc demandé un cours particulier.
Dans la première partie de cette conversation, on prend le temps de revenir sur les concepts dont il a été beaucoup question dans le podcast cette année. Que faire de l’expression “masculinité toxique” et “masculinité positive” ? Est-ce qu’on peut changer son désir ? Comment sont nées les études de masculinités ? Pourquoi on parle de masculinités au pluriel ? Pourquoi la chercheuse Raewyn Connell est tellement importante quand on veut étudier ces sujets ? Qu'est-ce que c'est la masculinité hégémonique exactement ? Pourquoi le masculinisme, c'est pas l'équivalent du féminisme ?
Retrouvez la suite de cet entretien jeudi 28 juin.
RÉFÉRENCES
Eric Fassin : « Au-delà du consentement : pour une théorie féministe de la séduction », Raisons politiques, vol. 46, no. 2, 2012, pp. 47-66.
Séminaire « Actualité sexuelle. Politiques du genre, de la sexualité et de la filiation », animé par Éric Fassin, Michel Feher et Michel Tort.
"Masculinités, colonialité et néolibéralisme". Entretien avec Raewyn Connell (2013, Contretemps).
CRÉDITS
Les couilles sur la table est un podcast de Victoire Tuaillon, produit par Binge Audio. Production : Joël Ronez. Rédaction en chef : David Carzon. Réalisation : Quentin Bresson. Chargée d’édition et production : Camille Regache. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Direction artistique : Julien Cernobori. Éditrice : Albane Fily. Générique : Théo Boulenger.
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.