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J’ai découvert la marque YESforLOV et vais vous donner mon avis sur différents produits de cette marque qui se donne “le plaisir comme vocation”. Mon premier test s’est porté sur l’huile de massage enivrante et je dois dire que ce ne fut pas désagréable de détendre mon corps avec cette huile, avant de m’envoler dans les bras de Morphée.
Ces derniers jours, j’ai pu recevoir un pack super cool de la part de YESforLOV avec différents produits cosmétiques que je vais pouvoir tester pour vous (et pour moi bien sûr).… Lire la suite
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La prostitution : un « métier » qui dérange C’est dit-on le plus vieux métier du monde. Est-ce un métier ? Y fait-on carrière ? A-t-on la vocation ? Et s’il est si vieux, comment se fait-il que nous soyons toujours aussi mal à l’aise avec ? On le considère dégradant. Insultant. Pour ceux qui le pratique....
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Safia Bahmed-Schwartz, artiste multi-talents, est de retour sur Youtube – après seulement un mois d’absence – avec un clip chargé d’érotisme en plan fixe. Au milieu d’une clairière encerclée d’arbres répétitifs, la chanteuse se déshabille et roule des hanches au soleil levant. Les images ont été réalisées à « Paris-intra muros, nous a indiqué la chanteuse, dans un gros moment de solitude ».
La chanson est en effet une reprise de la Solitude de Barbara, sortie en 1972. Un morceau puissant, où la solitude est personnifiée pour mieux témoigner des dégats qu’elle peut provoquer. Une mélancolie remise au goût du jour par ce chanté/parlé toujours aussi lançinant désormais propre à Safia, dans un mood presque hip hop, puisque la jeune femme en est fan – l’instru trap/oldschool de son morceau JTM en témoigne. Le tout est servi remixé à coup de beats minimalistes pour une approche plus club par le rappeur et beatmaker Jorrdee, le fossoyeur du rap Français.
On vous conseille également d’aller faire un tour sur l’e-shop de Safia. Vous y trouverez le bouquin qu’elle a consacrée à Booba, des cartes postales détournées de la ville de Paris à la sauce Porte de Clicli, des posters…
Vu sur 4-5-6 L’Or et la cerise de JIP, polar érotique
Tous les six mois, un nouveau roman de JIP, jusqu’à la fin de la tétralogie.…
Cet article provient de Littérature érotique
En cette année 2001, la machine pop embrassait le porn à plein tube cathodique dans une France qui ne connaissait pas encore les regrets. Les images défilaient, explicites ; on suait des idées, salement. Les jugements n’existaient pas, la télévision toute puissante nourrissait nos fantasmes.
Symbole de cette perversion, Alizée mangeait des fraises et croquait la pomme dans Gourmandises. Encore adolescente, underage comme auraient pu tagguer les tubes s’ils avaient existé, elle se prélassait sur sa nappe de pique-nique entre deux bottes de foin. Cette vision Hamiltonienne de l’adolescence, cette odeur enivrante et piquante du mois de juin quand on se roule dans les herbes hautes, suivait Moi… Lolita – préliminaires plutôt sages de la Lolita qui s’encanaillait comme une Cendrillon moderne.
En ce temps là, l’atmosphère était lourde et tendue comme un après-midi orageux et Alizée prenait la forme d’un dernier avertissement d’une France encore plongée dans l’insouciance. Son sourire en coin, son regard vicieux auraient pourtant dû nous mettre en alerte : le loup allait faire éclater sa rage en septembre, l’Hexagone perdrait ses illusions au printemps suivant. Sans entendre le tonnerre au loin, on se prélassait doucement, portés par les dernières vagues des orgasmes sportifs des étés précédents. La vie était belle comme le buste de Laetitia Casta dans toutes les mairies ; la croissance avait la même bosse que nos jeans.
Gourmandises à l’écran résonnait alors comme un jeu érotique dangereux assumé. Ce clip que n’aurait jamais osé tourner un vieux pornographe s’appuyait sur des codes porno qui prennent un sens évident quinze ans plus tard. Des teens qui se frolent, deux hommes qui n’attendent que de défaire leur braguette, des close-up fétichistes et au milieu de cette orgie imaginaire : Alizée, la Lolita en trophée diabolique.
Ce qui aurait pu rester un sombre clin d’oeil aux films érotique de M6 perdait son innocence d’apparat au fil d’un montage à peine subliminal après le Hit Machine. Dans Gourmandises, il s’agissait de représenter l’interdit, le sexe avec une mineure à l’écran (Alizée avait alors 16 ans). Les fruits juteux et fendus étaient des sexes offerts, le dépucelage “couteau dans la pastèque” tachait en rouge-fruits le drap blanc sans aucune subtilité, tout comme cette éjaculation brutale couleur diabolo menthe. Le tout était entrecoupé de séquences d’Alizée qui répétait à l’envie que ces baisers étaient de vraies gourmandises. Qui aurait osé la contredire ?
Assourdis par cette production dance et aveuglés par ces contrastes violents, on restait passifs. Elle devenait dans nos têtes la petite soeur de Clara Morgane qui excellait sans complexe dans la Collectionneuse. On passait de Canal à M6, de Clara à Alizée, de TF1 à MTV, d’Evelyne Dhéliat à Slave 4 U sous une chaleur accablante : celle de notre frustration cathodique.
Personne ne parlait de pornification et pourtant le sexe était sur toutes les chaines hertziennes. Britney finissait en partouze, John B. Root réalisait French Beauty pour Canal+, Loana tournait sa sextape à poil dans la piscine de Loft Story. On n’était pas encore à poil sur Youtube, on baisait seulement sur petit écran, devant toute la France.
Belle année.
En quelques jours, j'ai pu assister à plusieurs scènes très caractéristiques de la relation des hommes au féminisme.
Si vous interrogez beaucoup de hommes dits de gauche en 2016, ils se diront tout à fait féministes mais viendra le moment où il faudra transformer l'essai. Viendra le moment où il faudra assister à du militantisme féministe. Viendra le moment où il faudra écouter les femmes parler de sexisme. Et là ces fameux hommes de gauche auront beaucoup de mal.
Il y a quelques jours donc, une femme s'est plainte d'avoir été agressée sexuellement à Nuit debout à Paris. En tant que militante féministe, qui travaille plus particulièrement sur les violences sexuelles, ce genre de récit me met chaque fois en colère. Je me souviens à ce moment là de toutes les femmes qui ont été limitées dans leurs mouvements, leurs loisirs, leur vie car elles ont été agressées sexuellement. On sait très bien que tant que la société n'aura pas définitivement pris en compte ce problème comme un problème systémique et non pas individuel que cela perdurera. On fait donc avec. On sait qu'aller dans une foule nous expose à des risques. On sait qu'inviter quelqu'un chez soi nous expose à des risques. On sait qu'aller chez un homme nous expose à des risques. On sait que côtoyer des hommes nous expose à des risques. C'est ainsi.
Suite à ce témoignage d'autres femmes sont intervenues pour témoigner de la même expérience à Nuit debout.
Et, aussitôt, comme à chaque fois (COMME A CHAQUE FOIS) un homme est intervenu pour dire qu'il n'avait pas constaté ce genre de comportements et que ca n'était pas l'esprit de Nuit debout. J'ai donc un message à adresser aux agresseurs sexuels. Messieurs, soyez un peu responsables. Portez de grands panneaux avec marqué "agresseur sexuel" et sonnez le clairon avant d'agresser que tout le monde soit prévenu. Certains ne font apparemment pas confiance aux femmes agressées ; peut-être feront-ils confiance aux agresseurs ?
Les femmes agressées ont donc remis en place cet homme. S'en est donc suivie une longue conversation que j'ai suivie silencieusement. Comme toujours, ont complètement été mis de côté les agressions faites à ces femmes parce qu'il fallait se recentrer sur les sentiments que ressentait ce garçon qui se sentait blessé et vexé qu'on ne lui ai pas dit les choses poliment. C'est à chaque fois stupéfiant pour moi et tellement blessant ; une femme parle de son viol et de son agression mais elle devrait encore se préoccuper des sentiments des hommes qui écoutent. Ce qui devient le plus important n'est pas le fait de trouver un moyen de mettre fin aux agressions et au viol mais de ne pas blesser les hommes qui écoutent. Cet homme n'a pas eu de parole de soutien ou de réconfort face à ces femmes, il n'a pas souhaité en savoir plus sur la place des femmes dans l'espace public, comme elles le vivent et comment les hommes les y accueillent. Il a juste eu besoin qu'on lui dise qu'il était gentil. Cette indifférence là face à ce qu'avaient subi les femmes était d'une grande violence à lire. Pour lui, comme pour tant d'autres, ce qui était choquant n'est pas que des femmes soient agressées mais qu'elles soient agressives.
La deuxième conversation a eu lieu hier où une féministe demande "aux copines féministes" d'aider une de ses amies victime de menaces de mort par son ex ; elle cherchait une association pouvant fournir par exemple une aide juridique. Elle nous met un screenshot des sms de l'ex qui sont d'une extrême violence. Face à ce genre d'urgence, il n'y a pas grand chose à faire. Soit on a des idées, des conseils, des adresses et on les donne. Soit on n'en a pas et on se tait. Un homme a jugé bon de réagir à l'expression "copines féministes" et de se sentir exclu. Encore une fois cet égoïsme absolu, décomplexé, total m'a sidérée. Cet homme se sentait exclu du sujet, il voulait pouvoir dire qu'il était attristé par cette situation . Il n'a pas eu une parole de tristesse face à ce que subissait cette femme, il a simplement eu envie de parler de lui, de ce qu'il ressentait lorsqu'on ne lui demandait pas son avis et qu'on ne le sollicitait pas. La première phrase de cet homme avait été de se plaindre qu'on l'empêchait de compatir ; pourtant il n'a jamais compati, il a parlé de lui et de ses sentiments.
Et c'est cela qu'on constate chaque fois, y compris lorsqu'on parle des sujets comme le viol ou la violence conjugale. On aura toujours plusieurs hommes qui auront besoin qu'on cesse de parler du sexisme, pour parler de leur ressenti face au sexisme.
Il sont tous contre le viol, contre le sexisme, contre les violences sexo-spécifiques mais ils sont surtout pour le fait de pouvoir le dire. Ile veulent de la place pour en parler entre eux et nous dire qu'ils sont contre le viol. Enfin les viols qu'ils constatent. Les viols qu'ils valident. Il faut aussi qu'on consacre une large part à leur ressenti et leurs sentiments ce qui montre qu'ils n'en ont au fond pas grand chose à foutre de ce qu'on vit.
Une grande partie des hommes qui lira ce texte va d'ailleurs discuter de "généralités que je fais" qui "les blesse" et "les amalgame" et pas du sexisme.
On voit surgir aujourd'hui beaucoup de questionnements face à certaines commissions en non mixité à Nuit debout. Et bien c'est pour ce genre de raisons ; parce que nombre d'entre vous sont toxiques et que comme nous ne sommes pas extra-lucides, il est plus facile de vous considérer comme tous toxiques. Injustice ? Le sexisme est une injustice. Les racismes sont une injustice. L'homophobie est une injustice. La transphobie est une injustice. Exclure les hommes de quelques réunions pour un temps donné, ne constitue pas une discrimination systémique ; cela n'est donc pas une injustice. Je ne vois jamais ces amateurs de mixité manifester leur désapprobation de manière claire à la non mixité installée de fait et partout (conseils d'administrations, sénat, assemblée nationale... tip ; si vous avez envie de me montrer les quelques photos de femmes sénatrices ou députées vous venez de valider ma démonstration. Quand on peut encore sortir et exhiber ce genre de photos, c'est qu'elles sont peu nombreuses).
La non mixité est nécessaire aux féministes. Elle est vitale. Beaucoup de femmes ce matin témoignaient de leur expériences de réunions mixtes pour parler du sexisme ; toutes ont témoigné qu'une immense partie de la réunion s'est passée à re-expliquer que le sexisme est une réalité. Très peu de temps est consacré à la lutte contre le sexisme ; on passe plus de temps à en expliquer l'existence et à rassurer les hommes présents.
Je ne saurais pas expliquer la violence que cela peut constituer pour moi car j'ai au fond fini par l'intégrer je crois. Je parle (généralement) des sujets validés par les non féministes ; les violences sexuelles. Lorsque mes articles étaient ouverts aux commentaires, on passait un temps assez monstrueux avec des habitué-es, à expliquer aux nouveaux venus qu'ils n'étaient pas visés. C'est là qu'est la violence ; je parle des dizaines de milliers de viols vécus chaque années par des femmes et des hommes sont tellement passionnés par le sujet qu'ils préfèrent parler d'eux et de leur resenti. Comment voulez-vous ensuite ne pas avoir l'impression d'une profonde et totale indifférence ?
La non mixité permet de passer à l'essentiel : trouver des moyens de lutte, trouver des moyens d'action.
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Empowerment : acquérir plus de pouvoir pour améliorer ses conditions sociales, économiques, politiques ou écologiques. C’est une notion née des luttes féministes du début du XXème siècle aux Etats-Unis. Le mouvement “Nuit Debout” serait une tentative d’empowerment, par exemple. Aujourd’hui, Camille Emmanuelle invente le concept de “sexpowerment”, qu’elle définit comme “le pouvoir que les femmes...
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Questionner et critiquer les normes corporelles et sexuelles qui nous façonnent, rassembler des personnes qui cogitent et bricolent avec leurs corps et leurs cerveaux, transgresser des frontières mentales et physiques et se construire de nouveaux imaginaires voilà ce que l’on propose pour politiser nos identités. À plein, pendant trois jours, on souhaite interroger les rapports de domination et visibiliser des modes de résistance.
Le Festival féministe et queer Rature prend ses quartiers au Galpon du 22 au 24 avril pendant le temps fort migration: Films, discussions, ateliers, théâtres, perfos, concerts autour des questions de genre et des féminismes, ainsi qu’une grosse teuf, sont au programme. Pour une ambiance cosy, le foyer du théâtre sera ouvert pour accueillir les repas collectifs, un infokiosque, et prendre un verre.
Il y aura notamment le concert vendredi (au Galpon) de Vices et Râlements Déviants, du hip hop transpédégouine et féministe particulièrement percutant, un duo composé d’un mec trans et d’une gouine, qui ont des paroles militantes sur les questions de transphobie, de sexisme, de racisme et l’hétérosexisme! Et samedi (au théâtre de l’Usine) l’excellent duo King’s Queer, avec son electro punk performative et engagée, suivi d’une grosse fête!
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La suite de mes pérégrinations dans le Paris CULturel, érotique et HOThentique, entre nudité et humidité à l’expo L’Art du nu. Suivez moi, on...
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Parler de sexisme et d’homophobie dans les écoles suisses? Les élèves sont prêts… mais pas encore la direction des établissements, surtout en Valais. Ainsi un atelier auquel avaient souscrit 40 étudiants sur les 250 que compte le collège des Creusets, à Sion, a été brusquement déprogrammé par le recteur, raconte le quotidien local «Le Nouvelliste».
Présenté par le Programme de prévention du rejet des minorités sexuelles (Premis), «A quoi servent les injures? Entre sexisme et homophobie» devait aborder les discriminations avec des ados de 16-17 ans. Il était fixé au 7 avril, dans le cadre d’une journée consacrée à la santé, avec 11 autres ateliers sur des thèmes comme l’anorexie ou le stress.
«Je ne vais pas traquer les élèves pour savoir s’ils sont victimes d’homophobie.»
Malgré l’intérêt suscité auprès des étudiants, l’atelier du Premis n’a pas sa place dans le collège, a décrété son recteur. «Mon exigence était que cet atelier traite de toutes les discriminations et pas seulement de l’homophobie. D’autant plus qu’aujourd’hui, je n’ai aucun élève en difficulté scolaire pour des raisons d’homophobie», a expliqué Benjamin Roduit au «Nouvelliste». Il assure que si c’était le cas, il aurait «lancé la machine de guerre pour lutter contre cela. Mais je ne vais pas traquer les élèves pour savoir s’ils sont victimes d’homophobie.» En outre, Benjamin Roduit a observé que le programme n’avait jamais été testé: «Je n’étais pas d’accord qu’on soit les cobayes d’un projet pilote.»
Coordinatrice de Premis, Johanne Guex a exprimé sa déception. Elle reconnaît que l’atelier prévu était adapté d’un programme destiné aux éducateurs. Selon elle, il aurait été difficile d’élargir le propos à toutes les discriminations: «Soixante minutes pour parler de l’homophobie et du sexisme à des adolescents, c’est déjà court. Les mécanismes de rejet en jeu ne sont pas les mêmes que pour le racisme et l’antisémitisme.»
Une cabale politique, selon FreysingerC’est un Oskar Freysinger très énervé qui était l’invité mercredi de «Forum», sur les ondes de RTS La Première. Pour le conseiller d’Etat valaisan en charge du Département de la formation et de la sécurité, toute cette affaire se résume à un cabale contre le recteur du Collège des Creusets, Benjamin Roduit, «qui a une foi chrétienne bien ancrée». Le dialogue a été très tendu face à la chercheuse de l’uni de Genève Caroline Dayer, qui a qualifié la mesure prise par le recteur de «décision homophobe institutionnelle» et rappelé les dégâts provoqués par l’homophobie et le sexisme dans les cours d’école. Elle a aussi souligné l’intérêt qu’ont suscité les ateliers consacrés aux questions de discrimination parmi les élèves valaisans.
Le ministre UDC a néanmoins martelé qu’il n’y avait pas de problème au niveau des étudiants homosexuels en Valais. La preuve: il a «même fait des camps de peau de phoque» (sic) avec des élèves ouvertement homosexuels quand il était enseignant. A ses yeux, la thématisation de l’homophobie sont des inventions pures et simples des adeptes du «gender». «Les psychologues ont besoin de malades», a résumé le tribun au catogan.
21 jours, cela fait 21 jours que je remplis ce journal dès mon petit-déjeuner. Il parait que le meilleur moyen d’acquérir un automatisme est de passer l’étape de ces trois premières semaines d’effort, et ensuite c’est définitivement acquis. Bon, cela fait aussi 21 journées que je passe à mouiller, jouir et être quasiment constamment excitée sexuellement. Est-ce gravé dans la pierre ? Vais-je jouir ou mouiller chaque journée du reste de ma vie ? Bon, il y a pire comme destinée mais je vais être vachement sereine durant les mois à venir (hihihi).
Pourtant la journée d’hier avait plutôt démarrer calmement, petite grasse matinée, café, puis ménage pendant que Maître se rendait à la salle de sport. C’est après le déjeuner que ça a dérapé, en fait je voulais un petit câlin de 5 minutes, j’ai même proposé à Maître de nous allonger tout habillé sur la couette en « tout bien, tout honneur », sans arrière-pensée coquine ou salace. Mais, il m’a ordonné de me déshabiller entièrement avant de me mettre au lit et évidemment, en bonne soumise, je ne peux faire autrement que me tenir bien droite, me cambrer, croiser les mains derrière mon dos et exhiber fièrement ma poitrine de petite salope. Je suis dressée pour cela après-tout non ? Vous me croirez si vous voulez, mais le petit câlin a encore dérapé…
Cet article 21 Avril 2016 est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.