34713 éléments (3171 non lus) dans 75 canaux
Il y a deux types de dessins animés porno : ceux qui nous font fuir la queue entre les jambes et les jambes à son cou – autrement dit la queue à son cou, ce qui semble un peu étrange, mais passons -, et les autres. Alors forcément, quand @T0rv4ld nous a twitté « un des premiers cartoon porno », on a hésité à cliquer. La peur des tentacules, la tentation du tentacool… Toi aussi tu connais ça ?
Finalement, pas de pieuvre géante dans ce cartoon assez exceptionnel, il faut le dire, mais un scénario des plus classiques : un keumé qui baise une meuf puis un keumé… OHWAIT, puis un âne et une vache ?! On ne se refait pas…
L’ami Wiki nous offre quelques infos précieuses : le film daterait de 1929 (année érotique) ; et si les auteurs du chef-d’oeuvre restent encore inconnus, mais on suspecte quelques animateurs issus de trois grands studios de l’animation américaine, d’être coupables de l’hérésie. Mieux, le film aurait été réalisé en hommage à Windsor McCay, roi des rois de la bande-dessinée et de l’animation moderne. Pour le coup, on vous avouera qu’on ne comprend pas.
Mais qu’on a bien rigolé quand même.
Vu sur Carnet sexuel d’une femme de chambre, Éric Mouzat
Léna agit avec une déconcertante et troublante décontraction. Un service sexuel contre une coquette somme d’argent ? Mais bien sûr ! Léna a justement besoin de régler les frais d’inscription à l’université, tandis que le sexe est de toute manière à chaque fois une partie de plaisir. Aucune hésitation de sa part, pour devenir cadeau d’anniversaire, conteuse [...]
Cet article provient de Littérature érotique
Malgré sa gueule de bois, l’équipe des éditions et de la librairie La Musardine remercient du fond du cœur toutes celles et ceux qui sont venus célébrer l’été avec nous hier (19 juin 2012) au 122 rue du Chemin Vert, à l’occasion d’une fête que l’on surnomme déjà « la soirée de tous les records ».
Furent en effet battus :
Le record d’affluence à une soirée Musardine ;
Le nombre record de gens réunis dans un lieu parisien pour faire la fête un soir de match de la France d’Euro 2012 et n’ayant rien, mais alors rien à branler du foot ;
Le nombre record de bouteilles descendues : rouge, blanc, rosé, toutes couleurs confondues, sans parler du saladier de punch et du saladier de Blue Lagoon descendus en un temps record eux aussi ;
Le nombre record de litres d’alcool absorbés par un garçon de 18 ans dans une soirée Musardine, sensé tenir le bar de surcroît ;
Le nombre record de blagues de cul proférées par l’assistance avinée ;
Le nombre record de jolies filles draguées par un nombre record de jolis garçons ;
Le nombre record de jolies filles draguées par un nombre record de vieux libertins relous ;
Le nombre record de jolis garçons dragués par un nombre record de vieux libertins relous ;
Le nombre record de compliments équivoques récoltés par notre miss VPC (officiellement : Vente Par Correspondance, officieusement : Vicious Pussy Cat) ;
Le nombre record de livres offerts dans une soirée Musardine à une assistance apparemment très motivée par notre grand jeu concours et dont voici, en photo, les heureux lauréats de la première place (monsieur) et de la seconde place (madame), on les applaudit bien fort !
Le nombre record d’auteurs de la collection Osez 20 histoires présents dans une soirée Musardine ; de mémoire, Anne de Bonbecque, Servane Vergy, Nora James, Alexandra Otero, Octavie Delvaux, Dora B, Miss Kat, Cali Rise, sans oublier Daniel Nguyen dans le rôle de celui qui s’arrange toujours pour être seul gars entouré de jolis nanas ;
Le nombre record de stagiaires présents sur place pour assister logistiquement le personnel de la Musardine, rapidement trop bourré pour assurer ;
Le nombre record de livres dédicacés dans une soirée Musardine par un seul homme, battu par le stakhanoviste Jaap de Boer (à gauche sur la photo), mais Marc Chalvin (à droite) s’est bien défendu aussi ;
Le nombre record d’absences douloureuses parmi nos plus fidèles habitués bloqués ce soir là par des impondérables : revenez nous vite !
Le nombre record d’éditeurs en littérature érotiques présents dans une soirée Musardine : l’on vit en effet Claude Bard (la Musardine), Franck Spengler (Blanche) et Thierry Plée (Tabou) se serrer mutuellement la louche, avant de se concerter avec gravité sur une stratégie commune à établir pour préparer le livre érotique à traverser la crise financière, les mutations du marché du livre, la situation en Grèce, les textos de Valérie Trierweiler et le nouveau film de BHL ; résolutions furent prises, contrats furent passés, alliance sacrée fut scellée, les tauliers sont de retour, on va voir ce qu’on va voir ;
Le nombre record de tournées payées par la patron au troquet d’à côté après la soirée pour fêter le Prix Evian 2012 du meilleur essai érotique de Marc Dannam, on applaudit bien fort le patron ! Et on applaudit bien fort Marc Dannam !
Le nombre record de taxis parisiens chargés au cœur de la nuit d’auteurs et amis de la Musardine de retour chez eux, seuls ou accompagnés, mais ça (histoire de rendre aussi notre petit hommage (détourné) à Thierry Roland) : cela ne nous regarde pas.
A la prochaine!
Les chinois… ce peuple est un puits sans fond de surprises et de LOLs flamboyants.
Un habitant de la province de Shaanxi, au Nord-Ouest de la Chine, en creusait d’ailleurs un récemment. Il fut stoppé en plein milieu de sa tâche par une découverte surprenante, un « mysterious fleshy pink object » qui semble, selon lui, avoir des yeux et un nez. Tout excité par la perspective de révéler au monde une toute nouvelle espèce vivante, d’être reconnu comme le nouveau Darwin, le brave homme appelle la TV locale. Le reporter de choc envoyé sur les lieux a quant à lui une théorie toute différente, la Chose serait un champignon. De fil en aiguille ce Sherlock Holmes aux yeux bridés en arrive à la conclusion que c’est un spécimen rare qui est difficile à cultiver et a été utilisé par un empereur comme un ingrédient dans une potion secrète de longévité.
L’homme qui l’a trouvé prétend qu’il va le garder dans sa maison jusqu’à ce qu’un biologiste puisse venir l’examiner scientifiquement. L’affaire est donc diffusée sur les ondes, fait un barda du diable, et quelle ne fut pas la surprise des téléspectateurs avisés en découvrant que le fameux champignon n’était en fait qu’un fleshlight, un pocket pussy/anus qui avait été enterré là par son propriétaire pour des raisons qu’on préfère ignorer. Ce dernier doit être particulièrement ravi de voir que le monde a vu cette Chose dans laquelle il a eu sa teub au chaud.
Cela peut vous paraître absurde mais invoquer un fake ou autre canular serait facile, l’histoire est on ne peut plus vraie et sincère. La chaîne de télévision a fini par présenter ses excuses pour sa bourde. Il serait temps de rappeler que même si le porno est interdit en Chine, ce pays produit 70% des sextoys dans le monde. Apparemment le fait qu’ils soient AUSSI les premiers producteurs mondiaux de champignons semble avoir implanté une certaine confusion dans l’esprit de la population. Hasard ou… réalité scientifique ?
La Chine, puissance mondiale
En plein désarroi face à la politique actuelle des tubes qui part sensiblement en couilles (article à venir, qui risque de pas mal vous étonner), on ne peut que saluer l’arrivée de nouvelles prods de qualité. On vous parlait récemment de Pretty Dirty chez New Sensations, qu’on vous recommande chaudement (malgré la présence de quelques acteurs… un peu… bon… vous verrez) ainsi que de Wasteland chez Elegant Angel qui reprend le porn social là où l’avait laissé Portrait Of A Call Girl. Le studio Zero Tolerance sort en fin de semaine The Valley - leur dernier film scénarisé -, qui n’est pour une fois pas une parodie torchée (poke Scarface XXX).
Le pitch :
Le détective Marlowe (joué par Tommy Pistol, dont la performance dans la parodie de Taxi Driver était plus que remarquable) est chargé de trouver la fille disparue d’un homme riche, au plus profond de la vallée de San Fernando, où l’industrie du porno se cache sous terre, couverte par les lumières de la ville et les palmiers. Les actrices et les producteurs essaient d’influencer Marlowe qui doit garder son sang-froid afin de naviguer dans un labyrinthe de suspects dangereux. Ce polar-porn est réalisé par le talentueux Sam Hain à qui on doit – en autre – le space-porn Horizon.
On notera la présence d’Evan Stone (qui jouait déjà le dealeur dans Taxi Driver) qui est certainement l’acteur le plus crédible de la porn valley, James Deen, Katie St Ives qu’on aime beaucoup ainsi qu’Andy San Dimas — notre amour éternel. On a hâte de se mater ça, si on peut atteindre un niveau de scénar proche de celui de Taxi Driver ou de Wasteland avec une qualité d’image comme dans les films d’Elegant Angel, on devrait tenir un vrai porn scénarisé moderne et bandant, ce qui n’est pas la chose la plus évidente au monde – les années 90s-00s peuvent en témoigner.
Vu sur Les Vacances pourries
Le 21 juin n’annonce pas seulement le début de l’été. Cette date annonce aussi Les Vacances pourries, titre choisi par la jeune maison d’édition numérique Edicool pour un recueil collectif de très courts textes. Dans sa collection Les 10, qui s’est déjà illustrée ces derniers mois, dix auteurs sont réunis, chacun proposant en 1000 mots [...]
Cet article provient de Littérature érotique