Dans les placards de Mélodie s’accumulent des dizaines de paires de chaussures : « Et bien sûr, j’ai une affection plus particulière pour les talons aiguille. Très haut ! Pas moins de 10 centimètres. Cela correspond à l’image que j’aime donner de moi dans ma vie libertine : bourgeoise et pute à la fois. Je trouve que le talon aiguille colle parfaitement à ces deux images. »
Mélody et son mari Stéphane ne se posent pas la question du fétichisme, comme elle aime l’expliquer : « Pieds, chaussures, ongles bien vernis… Tout ça fait partie de la séduction, du jeu avec le désir et de l’excitation. Je ne connais pas, dans les milieux libertins, une femme ou un homme qui ne soit pas sensible à cette partie du corps. Les hommes adorent voir des femmes bien chaussées, les femmes quant à elles adorent mettre en valeur cette partie de leur anatomie. »
Pour elle, le fait de mettre ou de retirer une chaussure, de la faire glisser sur le pied sont des actes lourdement chargés d’érotisme, de raffinement et de subtilité. La chaussure à talon donne plus de grâce à la femme qui se baisse, plus d’élégance à celle qui marche, plus de finesse et de sensualité : « C’est l’accessoire qui met le plus en valeur le corps d’une femme, il l’embellit. Les talons font ressortir sa cambrure, ses seins, ses hanches… Ils lui donnent une démarche plus sexy et plus gracieuse. »
Mais dans le couple, et dans leur univers...Lire la suite sur Union
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