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Quel gamer n’a jamais rêvé de voir ses héros et ses héroïnes virtuelles devenir un jour des pornstars ? C’est exactement ce que propose l’artiste Fugtrup avec son tumblr rempli jusqu’à la gueule de gif animés. Grâce à une modélisation 3D, il place les personnages de jeux célèbres (Mass effect, Left 4 dead, …) dans des situations scabreuses. Les scènes pornographiques ne sont pas très recherchées. On y trouve de la pénétration violente, des fellations en pagaille et des rapports anaux. Mais l’intérêt vient bien du choix des personnages. D’une part, parce qu’ils sont issus de jeux vidéos célèbres, et d’autre part, parce qu’ils sont souvent d’origine extra-terrestre. On peut donc assister à d’extravagantes unions contre-nature entre différentes espèces. Créatures bleues, transsexuels, monstres musculeux : tout ce petit monde s’accouple dans des chorégraphies mécaniques bien rigolotes. Ce qui frappe, c’est la facilité avec laquelle on peut réaliser des scènes pornographiques en image de synthèse.
Une petite sélection des animations (certaines sont assez lourdes, votre navigateur aura peut-être un peu de mal!) :
Alyx Vance et Gordon Freeman s’octroient une pause pendant Half Life 2
En fait, Fugtrup utilise le logiciel Source Filmmaker, de la célèbre plate-forme de jeux-vidéo Steam. Elle permet de réaliser son propre film en 3D. Evidemment, il s’agit d’une utilisation détournée et pas les auteurs des jeux n’ont pas trop envie de voir leurs personnages tourner dans des pornos. Pour trouver les modèles « nus et prêts à performer », il faut donc se tourner vers des forums spécialisés où l’on peut s’échanger les fichiers : https://digitalero.org
En exemple, l’héroïne « Crystal Maiden » en version topless, du jeu Dota (Defense of the Ancients) :
Si Fugtrup travaille pour le fun (il accepte parfois de satisfaire des souhaits de fans), il précise qu’il met 3 à 4 heures pour réaliser chaque animation. Ce n’est donc pas aussi simple qu’il n’y paraît. Mais le détournement des personnages de jeux vidéo dans des situations porno est un véritable genre. Pour Mass Effect qui est un jeu très connu, on peut trouver des milliers d’images porno situées dans l’univers SF du jeu. Comme c’est une pure création de l’esprit, tout et n’importe quoi peut être imaginé. Il serait dommage de rester cohérent. Pourquoi donc ne pas imaginer des « crossovers » entre les jeux, comme ci-dessous où la Lara Croft de Tomb Raider s’invite dans Mass Effect :
Vu sur Publications de mai à octobre dans la collection e-ros
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Cet article provient de Littérature érotique
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Parce qu’en France, il existe de nombreux spécialistes capables de vous conseiller, vous, lectrices et lecteurs, de vous dénicher la perle rare parmi tous les ouvrages qui paraissent et d’organiser des animations culturelles de quartier, je parle de NOS EXPERTS, NOS LIBRAIRES, lalibrairie.com est née !
Lalibrairie.com, qu’est-ce que c’est ?
Une idée qu’elle est très bonne !
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Les lectures recommandées par VOS libraires, des zooms sur une thématique, un éditeur, une collection, un auteur…
Il était grand temps que les libraires indépendants réagissent et se rassemblent pour contrer Amazon et Cie au lieu de rester à pleurnicher seuls dans leurs coins « je sais plus quoi faire, y a plus rien à faire, c’est trop tard, je ferme » !
Plus de 800 librairies ou maisons de la presse déployées sur tout le territoire français se sont regroupées en créant un site qui combine un savoir-faire technologique à une plate-forme logistique : lalibrairie.com.
Ce chiffre est amené à augmenter ! Pourquoi ?
Parce que nous, vous comme moi, lectrices et lecteurs passionnés, vous allez changer vos comportements. Au lieu de rester figés sur votre ancien réflexe « jefilecommandersuramazon », vous allez prendre l’habitude de vous rendre sur lalibraie.com afin d’acquérir l’ouvrage que vous rêvez de lire et dont vous parlerez ensuite avec votre précieux libraire.
Parce que nous, vous comme moi, allons parler de lalibrairie.com à notre libraire si elle ou il ne le connaît pas encore afin qu’elle ou il rejoigne les rangs, aux membres de nos familles, à nos amis et à nos copains, à nos collègues et à nos voisins et tout ce petit monde diffusera à son tour l’information autour de lui.
REGROUPONS-NOUS POUR PROMOUVOIR LA DIVERSITÉ CULTURELLE DANS NOTRE PAYS !
Et avouez que participer au « lien social plutôt qu’à l’évasion fiscale », c’est plus que kiffant !
Lalibrairie.com, j’en parle autour de moi, alors pourquoi pas vous ?
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Tous ensemble, changeons nos habitudes !
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Main post image: Tony Kelly Photography.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.C’est toujours quand je m’y attends le moins que l’homme qui habite en face de chez moi se met à se masturber devant la fenêtre de sa chambre.
La première fois que c’est arrivé, j’en ai perdu tous mes moyens. Je crus d’abord qu’il ignorait que je pouvais le voir, alors je fis celle qui n’avait rien vu et je fuis illico ma propre chambre en éteignant la lumière derrière moi. Ce qui me troublait particulièrement, c’était que ce type n’était pas un parfait inconnu. Je l’avais déjà croisé sur le trottoir, je l’avais même déjà salué à quelques reprises alors qu’il rentrait chez lui avec sa femme. Il me semble même avoir enseigné à son fils il y a une dizaine d’années, quoique je n’en sois pas certaine – je crois bien l’avoir déjà croisé à une rencontre de parents. À ce moment, j’étais convaincue qu’il serait mort de honte s’il avait su que je l’avais vu se polir l’engin.
La deuxième fois que c’est arrivé, il était debout devant sa fenêtre et je pouvais le voir de profil. Je l’ai observé pendant trois ou quatre secondes et j’ai ensuite éteint la lumière. Mais cette fois-là, au lieu de tourner les talons et quitter à la hâte ma chambre, j’ai plutôt fermé la porte et je me suis doucement approchée de ma fenêtre pour le regarder. La sienne étant plutôt une porte patio, je fus à même de l’admirer de pied en cap et de constater que son pantalon était autour de ses chevilles. Il finit par se tourner et je pus constater à quel point il était velu : des poils sombres et touffus couvraient sa poitrine, son ventre et son pubis. J’aime beaucoup les hommes poilus, j’aime la sensation sur ma peau. Et je pouvais voir sa queue, bien entendu. Elle était longue et bien épaisse, comme la main qui était enroulée autour d’elle et qui la caressait de haut en bas. Son regard était sérieux et concentré sur ce qu’il faisait. Le mien aussi : je n’en manquais pas une miette. J’eus une bouffée de chaleur et de désir quand je le vis renverser la tête vers l’arrière, ouvrir la bouche comme s’il faisait mine de crier. Ma main se fraya inconsciemment un chemin entre mes cuisses, sous ma culotte. Je mouillais abondamment. J’ai joui quelques instants après lui.
La troisième fois que c’est arrivé, il faisait carrément face à ma fenêtre. J’avais placé un fichu de coton rouge sur ma lampe de chevet pour tamiser la lumière juste assez pour me sentir en sureté, mais de façon à laisser aussi assez de clarté pour qu’il puisse m’observer à sa guise. Je portais un string en dentelle et un soutien-gorge transparent. Fébrile comme une pucelle lors de son premier rendez-vous, je tremblais comme une feuille. J’étais déjà sur le point de jouir au moment où mon doigt se posa sur mon clitoris et j’eus le temps de venir trois autres fois avant qu’il n’éjacule. Cette fois-là, je vis son foutre éclabousser la fenêtre comme mille gouttes de pluie opalines. Lorsque ce fut fait, nos regards se croisèrent pendant un long moment. Il ne souriait pas – moi non plus. Il sortit de sa chambre sans éponger la vitre; moi, je restai longtemps assise sur mon lit, troublée par ce qui venait de se produire, me demandant d’où pouvait bien provenir cette tendance au voyeurisme incongrue qui ne s’était jamais manifestée chez moi par le passé.
La quatrième fois que c’est arrivé, nous étions tous les deux nus. Mes mamelons étaient durs et je les pinçais pendant qu’il me regardait. Je le voyais caresser sa bite qui lentement se gorgeait de sang en relevant fièrement la tête. Je posai un pied sur la chaise de la coiffeuse et adoptai une posture qui lui permettrait d’avoir une vue imprenable sur ma chatte qui s’était éclose juste pour lui. Je le voulais dans la chambre, avec moi, je le voulais à l’intérieur de moi – je le voulais plus que tout ce que j’avais pu vouloir auparavant. Ses mouvements étaient plus lents que la fois précédente, comme s’il voulait se laisser tout le temps de me regarder. J’eus un orgasme, puis deux, puis trois en ne quittant pas sa main et son sexe des yeux. J’aurais voulu me mettre à genoux entre ses jambes et prendre dans ma bouche. J’aurais voulu le goûter. Ma bouche s’ouvrit machinalement lorsqu’il jouit, comme si j’avais pu attraper son foutre qu’il étala, encore une fois, sur la fenêtre. Les scénarios les plus fous envahirent mon esprit : s’il ouvrait sa fenêtre, si j’ouvrais la mienne…
La dernière fois que c’est arrivé, c’était le premier orage du printemps. Il pleuvait si fort qu’on voyait à peine à travers les fenêtres. J’ai fini par me retrouver, comme lui, écrasée contre la vitre et lorsque nous eûmes tous deux joui, les fenêtres étaient maculées de bave, de foutre, de cyprine, de sueur et de la brume de notre souffle oppressé. Du bout du doigt, je traçai en lettres inversées « XU∃V ∃T ∃ᒐ ». Il me répondit « MOI AUSSI ». Un étrange sentiment d’intimité partagée m’envahit, même si deux vitres, une dizaine de mètres et des trombes d’eau me séparaient de l’objet de mes désirs.
Depuis, chaque fois que je le croise dans la rue – la plupart du temps en compagnie de sa légitime – nos regards se fuient, ne se rencontrent jamais. Je souris à sa femme et je les salue, mais nous agissons, lui et moi, comme si nous étions de parfaits étrangers. Pourtant, je me sens chaque fois le rouge me monter au front et ma culotte s’imbiber de mouille. Je jette alors un regard furtif sur sa braguette dans l’espoir d’y détecter la bosse qui trahirait son désir. Parfois, elle est là. Parfois, il se place afin qu’elle soit moins perceptible. Toujours est-il que je suis continuellement dans un état d’excitation insoutenable. J’attends impatiemment que le soleil se couche, que vienne l’orage, que nous puissions nous unir fois de plus. Et surtout, je me demande si, un soir de pluie, il viendra maculer ma fenêtre ou si je serai celle qui prendra les devants et irai mouiller la sienne.