Salut Stoya, comment vas-tu ? Moi, je vais bien, il fait un peu plus chaud à Paris alors je suis moins de mauvaise humeur. Que deviens-tu ? On te voit pas trop souvent sur le grand internet en ce moment. J’ai bien aimé Stoya Web Whore chez Digital Playground même si j’étais quand même un peu jaloux de ton threesome avec James Deen et Erik Everhard. Je sais que la distance n’aide pas, et que tu essayes de profiter de la vie, mais pense quand même à mon coeur qui reste fragile depuis notre séparation.
Sinon, j’ai bien lolé sur tes photos avec Buck Angel aussi, alors garçon, fille ? On sait plus très bien, ptdr. Non sérieux Stoya, tu fous quoi en ce moment ? Si tu t’ennuies, passe à la maison, on se matera un épisode de Sons of Anarchy en mangeant des bonbecs, on fera l’amour au ralenti comme quand on avait 16 ans, on se racontera nos vies, on se fera des confidences, tu me parleras du dernier mec qui t’a draguée et je ferais semblant d’avoir des aventures pour me la raconter. On s’enervera mutuellement comme au bon vieux temps… On trainera dans l’appart, je te ferais l’hélico avec mon zgueg, et je porterais tes sous-vêtements pour te faire marrer.
Si l’actu porn de Stoya reste mince, on la retrouve quand même dans cette petite pub pour la dernière nouvelle d’Adam Wilson « Flatscreen » qui raconte l’histoire d’Eli Schwartz, un loser. Stoya chauffe son nerd avec des bouquins, ma bite explose en mille couleurs instantanément. Elle a ce pouvoir incensé de faire fondre même le plus blasé des fappeurs, cette femme mérite un autel en forme de pouce géant dont je serai l’unique propriétaire, car je ne partage pas, faites pas chier.