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Brian Sloan est un zinzin du sextoy et vous le savez. Sa dernière connerie vraiment sérieuse est de proposer le premier masturbateur conçu pour les militaires. Un sextoy indispensable aux fappeurs les plus déterminés que nous sommes : le silicone ultra résistant utilisé est garanti à vie et testé dans les conditions les plus extrêmes. Il résiste à tout : à la chaleur, aux chocs, aux champignons (?!), au sable, à l’accélération… Brian compte bien vous vendre sa dernière trouvaille dans cette vidéo-performance d’une minute et seize secondes. De la pure violence comme on aime.
NDLR : Ceci est le troisième numéro de la série Bouillon de Kub’Ture initiée par Storia Giovanna.
Vous le savez, la culture, j’adore ça. Que ce soit à travers le patrimoine immatériel que j’ai reçu de mes familles, mon éducation, et même mon boulot, j’estime qu’il est nécessaire d’élargir son horizon quotidien à travers la pratique ou les objets culturels. J’en veux pour preuve le fait que seulement le fait de pratiquer le chant et la danse m’a en partie prémunie d’une vie de handicap assez lourd. C’est pour ça que je préconise l’ouverture culturelle au plus grand nombre et que je suis ravie que le lycée où je travaille puisse offrir l’option audiovisuel et théâtre au baccalauréat.
Aujourd’hui, je côtoie des artistes, des professeurs d’art comme des intermittents du spectacle, des artistes amateurs comme des sans talents mais éclairés, et je me pose cette question :
À quoi sert le ministère de la Culture en France en 2017 ?
Je me pose cette question, d’autant plus que nous Français en venons presque unanimement à nous plaindre de la gestion de la politique culturelle en France. Si les non-utilisateurs lambda trouvent que trop d’argent est investi dans la culture (mais gueulent quand le musée est trop cher ou que leur ville est morte), les artistes, quant à eux, dénoncent le manque de moyens.
C’est pour cette raison que je me demande si, en 2017, la France a réellement les moyens de soutenir une politique culturelle digne de ce qui se passait dans les années 1970 et 1980 (en termes de moyens, on s’entend).
Cette fois, ce n’est pas une personnalité politique ou issu d’une haute administration, mais l’éditrice d’Actes Sud, Françoise Nyssen, qui, nonobstant donc une pratique de la culture avérée, se fait déjà défoncer pour avoir fondé une école Steiner-Waldorf dans le Sud (avec toute la polémique que peut créer cette pédagogie en France). Ce qui est déjà un “progrès” par rapport à certaines nominations un peu plus problématiques (genre Audrey Azoulay). Bref, ne boudons pas notre plaisir, Actes Sud reste quand même une maison d’édition super en vogue, on peut se douter que son éditrice a quand même deux-trois notions de connaissances sur la gestion d’un projet culturel.
Mais avant 1959 et sa création par le général De Gaulle, le ministère de la Culture était un secrétariat d’Etat sous l’égide du ministère de l’Instruction publique. Cela n’a pas empêché les différentes Républiques et même l’Ancien régime de mener des politiques culturelles hors du simple cadre du mécénat d’Etat.
L’action et les pratiques culturelles ont évidemment explosé depuis qu’un ministère y est dédié, certes, mais à titre personnel, je me demande, comme beaucoup d’autres choses, si l’Etat français a encore les moyens humains et financiers de mener la politique culturelle qu’il mène depuis 60 ans.
Par exemple, la presse dans son ensemble ne devrait-elle pas relever du ministère de l’Intérieur ? Certaines pratiques du ministère de l’Education nationale ? D’autres du ministère de l’Economie et des Finances ? C’était déjà le cas avant qu’un ministère y soit dédié, et l’éparpillement des enjeux du ministère de la Culture dans d’autres structures permettait certes la construction d’une politique culturelle commune à travers l’instruction publique. Cependant, peu de moyens, mis à part les différentes formes de mécénat publics et privés, auraient pu permettre la démocratisation des arts et de la consommation d’objets culturels telle qu’elle s’est amorcée au XXe siècle.
Pour que les arts restent démocratisés au niveau où ils en sont actuellement en 2017, il est donc nécessaire que le gouvernement qui vient de s’instituer laisse une place tant idéologique que budgétaire à la Culture.
Il est vrai que, depuis le départ de Jack Lang du ministère, aucune politique culturelle n’a pu s’ancrer durablement dans la société française, tant la culture a été considérée depuis la présidence de Jacques Chirac comme n’étant nécessaire ni à l’économie, ni à la société. Si des moyens en constante augmentation lui sont pourtant alloués, il me semble que c’est davantage pour consolider ce qui a été construit entre les années 1970 et les années 1990 que pour faire une politique durable de relance de la culture.
Bref, moi qui suis enfant d’une époque où la culture en France était développée partout, la réflexion actuelle autour de la politique culturelle me fait me poser des questions. Faut-il consolider tout ce qui a été créé, au risque de ne plus voir les évolutions des pratiques culturelles ? Faut-il tenter à tout prix de conserver un patrimoine qui peut souvent être voué à la ruine ? Faut-il tout effacer et recommencer ? Tels sont les enjeux, selon moi, d’un ministère de la Culture que j’espère renouvelé dans sa réflexion et dans ses missions.
(cc) Jovan J
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Les professionnels du sextoy sont des gens fascinants et créatifs. Leur but est de trouver la perle rare qui vous fera jouir à coup sûr tout en amassant le pactole nécessaire à l’épanouissement de leur petite entreprise. Il y a quelques années, qui aurait cru qu’un sextoy « aspirateur de clito » appelé le Womanizer vendu presque 200 euros allait révolutionner le plaisir féminin et devenir un best seller ? Pas moi en tout cas. J’observe depuis cet engouement avec un peu de jalousie. Les sextoys dédiés au clitoris ont l’air si efficaces que je commence à regarde mon gland avec dédain. Qui pourrait le satisfaire aussi bien ?
Dans ma veille quotidienne d’infos porno se glissent souvent des nouveaux sextoys, rien de très transcendant à vrai dire. C’est souvent des communiqués de presse pour des nouveaux modèles, des nouveaux coloris ou des tailles monstrueuses. Mais aujourd’hui, une de ces nouveautés a attiré mon oeil, jugez par vous-même :
Ce petit chapeau pour gland n’est pas fait pour sortir en hiver et protéger sa teub du froid, mais bien pour expérimenter de nouvelles sensations. Lesquelles ? Et bien le Head Teaser (c’est son nom) est simplement un vibromasseur qui permet de se faire masser le gland sans le toucher à l’aide d’une télécommande et de dix modes de vibration différents. Une astucieuse idée qui n’est pas sans rappeler le concept du Womanizer même si ici son efficacité semble limitée (j’ai pas encore testé).
Chez le constructeur Trinity Vibes, on n’a pas l’ambition de révolutionner le plaisir masculin, mais d’apporter une pierre à l’édifice du kiff. Le gland, zone la plus sensible de l’anatomie masculine méritait bien de se transformer en Snorky vibrant pour prendre délicatement son pied. Reste à savoir si ce jouet est suffisamment puissant pour vous faire jouir. D’après le distributeur officiel de la marque, vous pouvez aussi vous en servir pour vous masser des autres parties du corps, un peu comme un Magic Wand. On imagine donc que c’est possible. Au pire, ça lui fera un joli chapeau en silicone médical.
Qui qui sont les Snorky ? Qui qui qui mais oui !
Le numéro 26 des gifs gay de la semaine a fait un petit buzz sur l’internet notamment dû à la présence en photo de couverture du présentateur télé et du coup, nouvelle icône gay de la #fapteam j’ai nommé Olivier Minne. Pour surfer sur la vague d’engouement (3 commentaires sur l’article), j’ai façonné un petit truc tout mignon avec sa mouille et le corps d’un porneur mais comme la vie est faite de frustration et que ce n’est pas trop légal alors pas de miminne ici. Par contre, si vous aimez scroller, vous le retrouverez sûrement sur le Discord de la Fap Team.
Pour les moins téméraires, ici gît-fff pour l’infini et l’au-delà un sacré bondage, Billy Hart qui fait des pompes, un vidéobomb, Hugh Hunter et la mer parce que «La mer… qu’on voit baiser… le long des golfes clairs…».
Trenton Ducati est un grand malade ! Dans ce scénario, il incarne Mario le plombier pervers qui saute sur l’occasion d’harnacher son client au plafond, tombé plus tôt dans les pommes en glissant dans sa salle de bain. À même pas 15 centimètres du sol, la victime se réveille encordée et secouée comme un prunier, le tronc de Trenton, et son humour grinçant, dans la bouche.
Trenton Ducati – Bound Gods
Vu comme ça, le gif intrigue mais remis dans le contexte c’est rigolo. Voici ce qu’on appelle un gifbomb tiré d’un vidéobomb, terme connexe au photobomb. Giovanni Delagiorna fappait tranquillement sur deux cavaliers bombés quand l’étalon Black Booty a pointé sa bouille au calme. En même temps, vu comment le type fappe à fond, le canasson a bien le droit d’aller voir qui fout tout ce boucan près de son box.
Giovanni Delagiorna – Pornhub
BOUM…BAM Hugh Hunter s’ennuie en levrette. Dans cette vidéo tagguée domination, BOUM…BAM le porneur use de tous les moyens pour se tenir BOUM…BAM éveillé. Il se tape le torse en rythme pour faire durer BOUM…BAM l’érection parce qu’il faut dire que du côté de Matt Stevens, BOUM…BAM ça pachave aussi.
Hugh Hunter & Matt Stevens – Menover30
Baiser sur la plage, c’est un peu le fantasme que tout le monde réalise avant ses 30 ans et que tout le monde regrette. Sauf qu’ici c’est Hollywood, le rêve doit perdurer. Les types sont heureux, beaux, poilus, le string leur va à ravir et le sable ne s’immisce pas entre les interstices de leurs muscles saillants. Ce gif me donne une saloperie de jalousie et ce coucher de soleil d’énormes vagues chaudes.
Miguel Àngel Silvestre & Alfonso Herrera – Sense8 sur Netflix
Billy Hart se kiffe. S’il pouvait s’auto-sucer, il sortirait plus de chez lui. Pour Hart, l’enfer c’est les autres. « Mon corps, c’est mon corps ce n’est pas le tiens », il fait n’importe quoi avec sa bite et se tourne en rond pour montrer son boul. Un véritable tuto pour tous les gens qui n’arrivent pas à envoyer des nudes de leurs fesses. Ici, Billy fait des pompes à poil et faut avouer que c’est vraiment pas mal.
Billy Hart – C1R
En couverture : Colby Keller et son étrange épilation du torse