34713 éléments (3171 non lus) dans 75 canaux
Cet article J’ai vécu le cauchemar de toute fellation : j’ai vomi sur le pénis de mon mec. Et j’ai survécu. est apparu en premier sur Madmoizelle.
Cet article J’ai vécu le cauchemar de toute fellation : j’ai vomi sur le pénis de mon mec. Et j’ai survécu. est apparu en premier sur Madmoizelle.
Comment faire pour trouver un amant (même pour une relation courte) ? Qu’on se comprenne bien, j’aime mon mari. Il est l’homme de ma vie, mais j’ai un besoin vital, après plus de vingt ans de mariage et de relation exclusive avec lui, de respirer un autre air, d’être vue et désirée par quelqu’un d’autre ?
La réponse de notre sexologueIl me semblait que l’explosion d’internet et des sites de rencontres coquines avait grandement facilité les choses ? Pour ceux et celles qui, comme vous, ressentent le besoin de pimenter leur vie sexuelle.
Certes, ce n’est peut-être pas une bonne idée de le faire à partir de l’ordinateur familial… Il pourrait garder des traces difficiles à effacer quand on fait ce genre de recherches.
De plus, au-delà de votre mari, on peut toujours craindre l’intrusion des enfants, toujours plus à l’aise et plus rapides que leurs parents dans ce domaine. Mais rien ne vous empêche de vous rendre dans un café internet. Vous pouvez, bien sûr, passer par les voies plus anciennes. Celles des petites annonces papier, mais elles ont moins d’avantages… En particulier celui de ne pas permettre d’avoir des photos ou des conversations instantanées.
Ce qui reste d’actualité également, c’est d’aller dans certains bars, y compris l’après-midi, ou dans des clubs de danse, ou même dans une boîte échangiste. Il est très facile d’entrer quand on est une femme, même si l’on n’est pas accompagnée. Ce type de rencontres garantit, presque à 100 %, qu’il...Lire la suite sur Union
Cet article Comment faire pour trouver un amant quand on aime son mari ? est apparu en premier sur Union.
Cet article Bonjour le gouvernement, où est la reconnaissance de l’endométriose comme affection longue durée ? est apparu en premier sur Madmoizelle.
Cet article Bonjour le gouvernement, où est la reconnaissance de l’endométriose comme affection longue durée ? est apparu en premier sur Madmoizelle.
Après un processus de sélection de plusieurs mois, le département de la cheffe du gouvernement Vaudois a révélé le nom de la future déléguée cantonale pour les questions LGBTIQ+. C’est Catherine Fussinger qui occupera ce poste.
L’article Vaud: une nouvelle déléguée cantonale pour les questions LGBTIQ+ est apparu en premier sur 360°.
« Threesomes » est le thème du concours Pornhub de février. La catégorie porno correspondante est à son apogée. Le plan à trois, c’est le fantasme préféré des français·es. Or, ces deux dernières années, la pandémie a freiné les rencontres et donc les possibilités. Mais une solution innovante a été trouvée ! La technologie vient au secours de nos couples désemparés ! Voici venu le temps des poupées sexuelles siliconées. Les « sex doll threesomes » font émerger la nouvelle tendance de l’année. Prêts à expérimenter cette étrange réalité ?
La « sex doll » comme objet pornographiqueLes usages changent au cours de l’histoire… Inventées et bricolées par des marins, les poupées sexuelles furent longtemps associées à la solitude. Il s’agissait de fabriquer des corps en tissus pour combler le manque de toucher : pouvoir saisir, embrasser, câliner, pénétrer. D’abord poupées de voyages, les « sex dolls » deviennent parfois compagnes de vie, comme au Japon. Selon Agnès Giard, elles sont choisies comme « rabu dōru » (« love dolls ») et, à grand renfort d’animisme, considérées comme des personnes désirées. Des jeunes femmes fantomatiques plutôt que des jouets… Corps syncrétiques animés et emplis pour enchanter le quotidien ou « doudous next level » (N’importe Cul).
Simultanément, les sextoys se sont industrialisés et démocratisés. Ils sont même devenus ce qu’il y a de moins tabou dans le sexe : privilège des objets au sein d’une société capitaliste ! Du tissu au plastique (cheap puis vinyl), les « sex dolls » ont évolué vers plus de réalisme visuel. Aujourd’hui, avec le silicone, le TPE et les apports de la sex-tech, elles sont devenues des sextoys anthropomorphes en quête de réalisme tactile. Corps à caresser et tripoter.
L’avenir des « love dolls » (comme compagnes) est dans les « sex robots » high-tech (pour plus d’interactions, d’AI et de VR), s’aventurant toujours plus loin dans la vallée de l’étrange (« uncanny valley »)… Inversement, suivant l’évolution des sextoys dédiés au plaisir féminin, les « sex dolls » (surtout pour le plaisir masculin) se détournent de leurs fonctions de substitut pour se concentrer sur le plaisir tactile qu’un jouet low-tech peut apporter. Cependant, à la différence des sextoys classiques (aspis à clitos ou vibros connectés), les « sex dolls » semblent déborder du plaisir solitaire pour devenir objets pornographiques.
Pour les couples, les « sex dolls » permettent de concrétiser ou d’expérimenter leurs fantasmes de « threesomes » ! Sur Pornhub, c’est précisément cet usage expérientiel de la poupée sexuelle siliconée qui permet d’entrer dans la catégorie prisée des plans à trois. Montrer et publier ce nouvel usage des « sex dolls » fait, le plus souvent, partie intégrante du fantasme transformant la poupée en objet porno.
Laissons de côté les « sex dolls » aux formes non humaines (animaux, chimères, monstres, persos de fantasy ou de jeux vidéos, etc.), souvent utilisées comme outils anti-solitudes, pour nous focaliser sur la tendance porno du moment : les « sex doll torsos » ! Jouets pornographiques réalistes. Ces objets se situent donc à mi-chemin entre les sextoys classiques (simples jouets dédiés au plaisir) et les « sex robots » (personnes artificielles sociales). Jeux sérieux prenant corps.
C’est la marque californienne Tantaly qui a su le mieux profiter des confinements. En misant sur les reviews d’influenceuses pornos en couple, la start-up sextech a inondé Pornhub de ses « sex dolls torsos » ! Leur singularité vient notamment du soin apporté aux conduits vaginaux et anaux (tous texturés différemment). La plus célèbre influenceuse porn des States, Morgpie, a lancé le mouvement avec Britney avant de buzzer avec Monica ! On y voit Morgpie et son mec tester le torse siliconé : elle branle la simili-vulve en léchant la bite de son mec qui s’agite entre les seins artificiels ; Morgpie et son copain vont ensuite répandre leurs fluides liant ainsi leurs corps à celui de la poupée, déjà pleine de lube et de sueur…
Threesomes virtuels et jeux de couplesScénarios un peu ridicules ? Mina et Jade (du podcast N’importe Cul) notent que les gros studios du porno mainstream utilisent les « sex dolls » de manière plutôt comique. Les couples indépendants, à l’inverse, l’utilisent comme un jouet sexuel extraordinaire. Fun mais à prendre au sérieux ! Les « sex doll torsos », en hypertrophiant les parties les plus sexualisées, relèvent aussi de l’imaginaire hentai. Sans les visages, on évite l’étrangeté dérangeante et on assume concrètement le fantasme sexuel. Dans les threesomes virtuels, les « sex dolls torsos » mettent en avant, par contraste, les visages du couple réel. Ce sont la production, la publication et la catégorisation de la vidéo porno qui réalisent finalement le threesome. Lui donnant sens et postérité.
Les « sex doll torsos » donnent corps aux fantasmes des couples. C’est l’incarnation ludique de leurs désirs coquins. Ce corps siliconé, en illustrant ce dont on a envie permet d’aider l’expression de ce qui nous excite. Les gestes montrent ce qu’on veut ! Ainsi, les « sex dolls » peuvent pimenter la communication. Boussole porno nous guidant dans l’exploration de nos envies sexuelles. Ruka et Edo (Obokozu) font de l’unboxing de Jennifer une intro (comique) suivie d’une review (sérieuse et passionante) : la « sex doll torso » est l’occasion d’une conversation sur la cartographie corporelle du plaisir. Le test de la poupée permet ainsi de mettre en exergue les visages. D’abord par la parole (les commentaires, bien plus nombreux que dans une vidéo porno habituelle) puis par les plaisir oraux. Enfin, cette vidéo de « sex doll threesome » finit par une faciale !
Les « sex doll torsos » semblent désinhiber et dédramatiser les envies sexuelles, transformant vite les descriptions (abondantes chez Obokozu) en dirty talk. Dans sa vidéo avec la sexdoll Monica, Morgpie amène la poupée à son mec pour qu’il communique mieux ce qui l’excite. Pour expérimenter ensemble. Elle utilise son propre sextoy pour jouir et gicler. Un équilibre est trouvé. Dans une vidéo plus ancienne, le couple « collegeluv » baisent, ensemble, un torse de mec : lui encule le silicone et elle, après s’être excitée avec son vibro, s’empale sur la bite artificielle… C’est ainsi qu’ils expérimentent un threesome MMF et que lui peut se faire à l’idée de la baise bisexuelle ! Mais, contrairement aux autres couples cités, ils ne montrent pas leurs visages, rendant la différence entre leur corps et celui de la poupée (même si elle est cheap) plus ténue. Plus étrange. Illusion seulement rompue par la voix.
Une des plus fameuses cosplayeuses, Sweetie Fox, vient concrétiser le fantasme de son mec. Pour cela, elle introduit une « sex doll » de Bestvibe (concurrent de Tantaly). Comme Morgpie, c’est elle qui amène le corps siliconé pour communiquer. Mais ici, c’est une mini poupée (sans les boobs). Il n’y a pas d’unboxing ou de review, Sweetie Fox amène le jouet comme part légitime d’un threesome. C’est aussi elle qui manipule la poupée. Contrairement aux deux couples précédents, elle fait tout le travail pour son mec ! Le threesome est ici un jeu de simulation… Mais aussi un jeu d’initiation : Sweetie ouvre des portes trous.
Bestvibe vend également des « sex doll torsos » avec bite et seins ! Occasion rêvée pour Dixie Moon d’expérimenter un threesome encore plus rare… La vidéo de Dixie Moon commence solo. Elle suce la simili-bite. Puis celle de son mec apparaît et elle alterne… Après un bref deepthroat réel, il encule la poupée alors qu’elle la suce ! Ici, peu de communication mais un jeu de domination : il baise sa bouche réellement et virtuellement (via la poupée qu’il encule). Renversement : il utilise Dixie comme un jouet porno ! Mais on comprend sur son profil que c’est le fantasme de Dixie…
Finissons par le jeu le plus étrange. MollyRedWolf est connue pour ses superbes cosplays. Un crush sur Trish Merigold ? Ou Ningguang ? Zelda ? D.Va ? Bref, la russe rousse transforme tes persos de jeux vidéos en déesses du sexe. Incarnant, artistiquement, tous tes fantasmes, elle peut aussi… se dédoubler ! Pourquoi ne pas la baiser avec son clone ? Elle a été si souvent autre qu’il est ironique de la voir baiser avec elle-même mais dans un autre corps. Mindfuck garanti avec ce threesome venu d’ailleurs : MollyRedWolf, lui et une « sex doll » MollyRedWolf. C’est une poupée entière (avec visage), grandeur nature et réaliste. Molly se branle avec son propre toy en jouant avec le « sili-clone » que son mec baise, rappelant qu’elle n’est pas un jouet ! Il peut donc la baiser et se faire baiser en même temps par elle. MollyRedWolf est simultanément passive (jouet porno) et active (actrice porno).
Entre roleplays et cosplays, les tendances pornos sont structurées par les jeux. Comme nos vies sexuelles par les jouets. En donnant corps à nos fantasmes, les « sex dolls » peuvent aider à mieux communiquer. Ces jouets pornos sont peut-être l’avenir des mecs en couple hétéro : les « sex doll threesomes » dédramatisent, éduquent et révèlent. Expérimentation, exploration et… satisfaction !
Si vous êtes seul·es (et pas trop pauvres), vous pouvez aussi concrétiser votre fantasme de plan à trois en vous procurant deux sex dolls ! Une avec visage et une sans ? Les possibilités sont infinies, have fun !
« Threesomes » est le thème du concours Pornhub de février. La catégorie porno correspondante est à son apogée. Le plan à trois, c’est le fantasme préféré des français·es. Or, ces deux dernières années, la pandémie a freiné les rencontres et donc les possibilités. Mais une solution innovante a été trouvée ! La technologie vient au secours de nos couples désemparés ! Voici venu le temps des poupées sexuelles siliconées. Les « sex doll threesomes » font émerger la nouvelle tendance de l’année. Prêts à expérimenter cette étrange réalité ?
La « sex doll » comme objet pornographiqueLes usages changent au cours de l’histoire… Inventées et bricolées par des marins, les poupées sexuelles furent longtemps associées à la solitude. Il s’agissait de fabriquer des corps en tissus pour combler le manque de toucher : pouvoir saisir, embrasser, câliner, pénétrer. D’abord poupées de voyages, les « sex dolls » deviennent parfois compagnes de vie, comme au Japon. Selon Agnès Giard, elles sont choisies comme « rabu dōru » (« love dolls ») et, à grand renfort d’animisme, considérées comme des personnes désirées. Des jeunes femmes fantomatiques plutôt que des jouets… Corps syncrétiques animés et emplis pour enchanter le quotidien ou « doudous next level » (N’importe Cul).
Simultanément, les sextoys se sont industrialisés et démocratisés. Ils sont même devenus ce qu’il y a de moins tabou dans le sexe : privilège des objets au sein d’une société capitaliste ! Du tissu au plastique (cheap puis vinyl), les « sex dolls » ont évolué vers plus de réalisme visuel. Aujourd’hui, avec le silicone, le TPE et les apports de la sex-tech, elles sont devenues des sextoys anthropomorphes en quête de réalisme tactile. Corps à caresser et tripoter.
L’avenir des « love dolls » (comme compagnes) est dans les « sex robots » high-tech (pour plus d’interactions, d’AI et de VR), s’aventurant toujours plus loin dans la vallée de l’étrange (« uncanny valley »)… Inversement, suivant l’évolution des sextoys dédiés au plaisir féminin, les « sex dolls » (surtout pour le plaisir masculin) se détournent de leurs fonctions de substitut pour se concentrer sur le plaisir tactile qu’un jouet low-tech peut apporter. Cependant, à la différence des sextoys classiques (aspis à clitos ou vibros connectés), les « sex dolls » semblent déborder du plaisir solitaire pour devenir objets pornographiques.
Pour les couples, les « sex dolls » permettent de concrétiser ou d’expérimenter leurs fantasmes de « threesomes » ! Sur Pornhub, c’est précisément cet usage expérientiel de la poupée sexuelle siliconée qui permet d’entrer dans la catégorie prisée des plans à trois. Montrer et publier ce nouvel usage des « sex dolls » fait, le plus souvent, partie intégrante du fantasme transformant la poupée en objet porno.
Laissons de côté les « sex dolls » aux formes non humaines (animaux, chimères, monstres, persos de fantasy ou de jeux vidéos, etc.), souvent utilisées comme outils anti-solitudes, pour nous focaliser sur la tendance porno du moment : les « sex doll torsos » ! Jouets pornographiques réalistes. Ces objets se situent donc à mi-chemin entre les sextoys classiques (simples jouets dédiés au plaisir) et les « sex robots » (personnes artificielles sociales). Jeux sérieux prenant corps.
C’est la marque californienne Tantaly qui a su le mieux profiter des confinements. En misant sur les reviews d’influenceuses pornos en couple, la start-up sextech a inondé Pornhub de ses « sex dolls torsos » ! Leur singularité vient notamment du soin apporté aux conduits vaginaux et anaux (tous texturés différemment). La plus célèbre influenceuse porn des States, Morgpie, a lancé le mouvement avec Britney avant de buzzer avec Monica ! On y voit Morgpie et son mec tester le torse siliconé : elle branle la simili-vulve en léchant la bite de son mec qui s’agite entre les seins artificiels ; Morgpie et son copain vont ensuite répandre leurs fluides liant ainsi leurs corps à celui de la poupée, déjà pleine de lube et de sueur…
Threesomes virtuels et jeux de couplesScénarios un peu ridicules ? Mina et Jade (du podcast N’importe Cul) notent que les gros studios du porno mainstream utilisent les « sex dolls » de manière plutôt comique. Les couples indépendants, à l’inverse, l’utilisent comme un jouet sexuel extraordinaire. Fun mais à prendre au sérieux ! Les « sex doll torsos », en hypertrophiant les parties les plus sexualisées, relèvent aussi de l’imaginaire hentai. Sans les visages, on évite l’étrangeté dérangeante et on assume concrètement le fantasme sexuel. Dans les threesomes virtuels, les « sex dolls torsos » mettent en avant, par contraste, les visages du couple réel. Ce sont la production, la publication et la catégorisation de la vidéo porno qui réalisent finalement le threesome. Lui donnant sens et postérité.
Les « sex doll torsos » donnent corps aux fantasmes des couples. C’est l’incarnation ludique de leurs désirs coquins. Ce corps siliconé, en illustrant ce dont on a envie permet d’aider l’expression de ce qui nous excite. Les gestes montrent ce qu’on veut ! Ainsi, les « sex dolls » peuvent pimenter la communication. Boussole porno nous guidant dans l’exploration de nos envies sexuelles. Ruka et Edo (Obokozu) font de l’unboxing de Jennifer une intro (comique) suivie d’une review (sérieuse et passionante) : la « sex doll torso » est l’occasion d’une conversation sur la cartographie corporelle du plaisir. Le test de la poupée permet ainsi de mettre en exergue les visages. D’abord par la parole (les commentaires, bien plus nombreux que dans une vidéo porno habituelle) puis par les plaisir oraux. Enfin, cette vidéo de « sex doll threesome » finit par une faciale !
Les « sex doll torsos » semblent désinhiber et dédramatiser les envies sexuelles, transformant vite les descriptions (abondantes chez Obokozu) en dirty talk. Dans sa vidéo avec la sexdoll Monica, Morgpie amène la poupée à son mec pour qu’il communique mieux ce qui l’excite. Pour expérimenter ensemble. Elle utilise son propre sextoy pour jouir et gicler. Un équilibre est trouvé. Dans une vidéo plus ancienne, le couple « collegeluv » baisent, ensemble, un torse de mec : lui encule le silicone et elle, après s’être excitée avec son vibro, s’empale sur la bite artificielle… C’est ainsi qu’ils expérimentent un threesome MMF et que lui peut se faire à l’idée de la baise bisexuelle ! Mais, contrairement aux autres couples cités, ils ne montrent pas leurs visages, rendant la différence entre leur corps et celui de la poupée (même si elle est cheap) plus ténue. Plus étrange. Illusion seulement rompue par la voix.
Une des plus fameuses cosplayeuses, Sweetie Fox, vient concrétiser le fantasme de son mec. Pour cela, elle introduit une « sex doll » de Bestvibe (concurrent de Tantaly). Comme Morgpie, c’est elle qui amène le corps siliconé pour communiquer. Mais ici, c’est une mini poupée (sans les boobs). Il n’y a pas d’unboxing ou de review, Sweetie Fox amène le jouet comme part légitime d’un threesome. C’est aussi elle qui manipule la poupée. Contrairement aux deux couples précédents, elle fait tout le travail pour son mec ! Le threesome est ici un jeu de simulation… Mais aussi un jeu d’initiation : Sweetie ouvre des portes trous.
Bestvibe vend également des « sex doll torsos » avec bite et seins ! Occasion rêvée pour Dixie Moon d’expérimenter un threesome encore plus rare… La vidéo de Dixie Moon commence solo. Elle suce la simili-bite. Puis celle de son mec apparaît et elle alterne… Après un bref deepthroat réel, il encule la poupée alors qu’elle la suce ! Ici, peu de communication mais un jeu de domination : il baise sa bouche réellement et virtuellement (via la poupée qu’il encule). Renversement : il utilise Dixie comme un jouet porno ! Mais on comprend sur son profil que c’est le fantasme de Dixie…
Finissons par le jeu le plus étrange. MollyRedWolf est connue pour ses superbes cosplays. Un crush sur Trish Merigold ? Ou Ningguang ? Zelda ? D.Va ? Bref, la russe rousse transforme tes persos de jeux vidéos en déesses du sexe. Incarnant, artistiquement, tous tes fantasmes, elle peut aussi… se dédoubler ! Pourquoi ne pas la baiser avec son clone ? Elle a été si souvent autre qu’il est ironique de la voir baiser avec elle-même mais dans un autre corps. Mindfuck garanti avec ce threesome venu d’ailleurs : MollyRedWolf, lui et une « sex doll » MollyRedWolf. C’est une poupée entière (avec visage), grandeur nature et réaliste. Molly se branle avec son propre toy en jouant avec le « sili-clone » que son mec baise, rappelant qu’elle n’est pas un jouet ! Il peut donc la baiser et se faire baiser en même temps par elle. MollyRedWolf est simultanément passive (jouet porno) et active (actrice porno).
Entre roleplays et cosplays, les tendances pornos sont structurées par les jeux. Comme nos vies sexuelles par les jouets. En donnant corps à nos fantasmes, les « sex dolls » peuvent aider à mieux communiquer. Ces jouets pornos sont peut-être l’avenir des mecs en couple hétéro : les « sex doll threesomes » dédramatisent, éduquent et révèlent. Expérimentation, exploration et… satisfaction !
Si vous êtes seul·es (et pas trop pauvres), vous pouvez aussi concrétiser votre fantasme de plan à trois en vous procurant deux sex dolls ! Une avec visage et une sans ? Les possibilités sont infinies, have fun !
Étoile du panthéon des drag queens superstars internationales, Sasha Velour arrive pour la première fois en Suisse avec son nouveau show Smoke & Mirrors sur la scène du Volkshaus de Zurich.
L’article Sasha Velour: «Je ne cherche pas à adoucir mon drag» est apparu en premier sur 360°.