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Cet article La pénurie de capotes est réelle, mais pas pour les raisons que vous imaginez est apparu en premier sur Madmoizelle.
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Les médecins sont fréquemment confrontés à des problèmes de santé sexuelle chez leurs patient.e.s. Pourtant, seulement 50% des écoles de médecine aux États-Unis offrent une formation en éducation à la sexualité. Ce qui sous-entend que 50% des écoles n’offrent pas d’éducation à la sexualité aux futur.e.s professionnel.le.s de la santé ! En raison du manque de standardisation de l’enseignement de l’éducation à la sexualité, les futur.e.s médecins (à l’exception des futur.e.s urologues et obstétricien.ne.s) ne se sentent pas adéquatement préparé.e.s à traiter les patient.e.s qui ont des problèmes de santé sexuelle. Cette étude montre que le manque d’éducation a des impacts concrets sur le sentiment de compétence et de préparation des futur.e.s soignant.e.s. Ce qui ultimement a des impacts sur la qualité des soins reçus (ou pas) par les patient.e.s.
Les futures recherches sur ce sujet devraient se concentrer sur les meilleures façon d’intégrer l’éducation à la sexualité dans les cursus des écoles médicales.
La mission d’un ou une professionnel.le de la santé est d’offrir les meilleurs soins possibles à ses patient.e.s, quels que soient leurs corps, leurs identités ou leurs expériences. Mais est-ce que cet objectif est réaliste lorsque l’apprentissage est limité à certains types de corps?
Il est aussi important de connaitre le fonctionnement physiologique et sexuel des corps cisgenres que des corps trans, intersexués ou qui ont eu des mutilations génitales. Parce que ces corps là existent, et doivent comme les autres être respectés et soignés au besoin par des professionnel.le.s qui ont la compétence nécessaire pour le faire. C’est pourquoi il est important d’enseigner la diversité des anatomies et d’avoir du matériel pédagogique représentatif de la multiplicité des corps.
Parce que des professionnel.le.s de la santé bien formé.e.s = de meilleurs soins pour tous.tes.
Pendant l’automne 2020, SEX-ED + a fait circuler un questionnaire afin de comprendre à quoi ressemble l’éducation à la sexualité pour les étudiant.e.s des professions médicales. L’objectif était de mieux comprendre leurs réalités afin de développer des outils pertinents et adaptés à leurs besoins. 28 personnes de pays différents ont répondu: médecins, sexologues, infirmières, gynécologues, intervenant.e.s en Planning, etc.
Il y a un problème? Essayons de mettre en place des solutions!
Il est certain qu’un problème complexe ne sera pas réglé avec une seule initiative, mais SEX-ED + pense être en mesure d’apporter sa contribution. Comment? En rendant ses modèles 3D disponibles à toutes et tous via une base de données en ligne, consultable gratuitement.
Le site web est en train d’être traduit en Anglais et sera rendu disponible au cours des prochaines semaines. Restez alertes!
Le billet Éducation à la sexualité dans les écoles de médecine apparaît en premier sur SEX-ED +.
Les médecins sont fréquemment confrontés à des problèmes de santé sexuelle chez leurs patient.e.s. Pourtant, seulement 50% des écoles de médecine aux États-Unis offrent une formation en éducation à la sexualité. Ce qui sous-entend que 50% des écoles n’offrent pas d’éducation à la sexualité aux futur.e.s professionnel.le.s de la santé ! En raison du manque de standardisation de l’enseignement de l’éducation à la sexualité, les futur.e.s médecins (à l’exception des futur.e.s urologues et obstétricien.ne.s) ne se sentent pas adéquatement préparé.e.s à traiter les patient.e.s qui ont des problèmes de santé sexuelle. Cette étude montre que le manque d’éducation a des impacts concrets sur le sentiment de compétence et de préparation des futur.e.s soignant.e.s. Ce qui ultimement a des impacts sur la qualité des soins reçus (ou pas) par les patient.e.s.
Les futures recherches sur ce sujet devraient se concentrer sur les meilleures façon d’intégrer l’éducation à la sexualité dans les cursus des écoles médicales.
La mission d’un ou une professionnel.le de la santé est d’offrir les meilleurs soins possibles à ses patient.e.s, quels que soient leurs corps, leurs identités ou leurs expériences. Mais est-ce que cet objectif est réaliste lorsque l’apprentissage est limité à certains types de corps?
Il est aussi important de connaitre le fonctionnement physiologique et sexuel des corps cisgenres que des corps trans, intersexués ou qui ont eu des mutilations génitales. Parce que ces corps là existent, et doivent comme les autres être respectés et soignés au besoin par des professionnel.le.s qui ont la compétence nécessaire pour le faire. C’est pourquoi il est important d’enseigner la diversité des anatomies et d’avoir du matériel pédagogique représentatif de la multiplicité des corps.
Parce que des professionnel.le.s de la santé bien formé.e.s = de meilleurs soins pour tous.tes.
Pendant l’automne 2020, SEX-ED + a fait circuler un questionnaire afin de comprendre à quoi ressemble l’éducation à la sexualité pour les étudiant.e.s des professions médicales. L’objectif était de mieux comprendre leurs réalités afin de développer des outils pertinents et adaptés à leurs besoins. 28 personnes de pays différents ont répondu: médecins, sexologues, infirmières, gynécologues, intervenant.e.s en Planning, etc.
Il y a un problème? Essayons de mettre en place des solutions!
Il est certain qu’un problème complexe ne sera pas réglé avec une seule initiative, mais SEX-ED + pense être en mesure d’apporter sa contribution. Comment? En rendant ses modèles 3D disponibles à toutes et tous via une base de données en ligne, consultable gratuitement.
Le site web est en train d’être traduit en Anglais et sera rendu disponible au cours des prochaines semaines. Restez alertes!
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Cet article « Tu gémis comme dans un porno » : exprime-t-on notre plaisir différemment à cause du X ? est apparu en premier sur Madmoizelle.
J’ai beau être marié depuis huit ans et honorer ma femme trois fois par semaine, j’ai toujours un problème.
En effet, lorsque je me masturbe, je ne parviens à éjaculer que si je place ma verge entre mes jambes car j’en suis incapable avec mes mains. Même chose lorsque ma femme me fait une fellation : je ne peux pas jouir dans sa bouche. En revanche, je n’ai aucun problème à éjaculer dans son vagin. J’en viens à me demander si je ne suis pas vicieux, et même si je suis normal. Qu’en pensez-vous ?
La réponse de notre sexologueHonorer votre femme trois fois par semaine après huit ans de mariage ne fait pas de vous un vicieux !
Vous êtes simplement un peu au-dessus de la moyenne des couples stables. En ce qui concerne votre question sur la masturbation, vous n’êtes pas « anormal ». Dans la mesure où vous parvenez à éjaculer dans le cadre d’une pénétration vaginale.
Tout le reste, comme la fellation, la sodomie, ou encore les caresses manuelles ou buccales, ne sont pas exactement des rapports sexuels, au sens du coït, mais plutôt des variantes de comportement sexuel. Ces variantes sont très pratiquées, et beaucoup d’hommes et de femmes y trouvent d’ailleurs un plaisir très intense. Mais il n’y a aucune obligation précise à ce sujet.
Votre façon de vous masturber n’est qu’une particularité individuelle qui ne devrait pas vous empêcher d’avoir une vie sexuelle satisfaisante. Vous vous êtes sans doute masturbé à l’adolescence et vous avez sûrement découvert, à cette occasion, que vous pouviez vous...Lire la suite sur Union
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Cet article Entre surmenage et harcèlement, Amouranth, streameuse « hot tub », nous invite dans sa vie pas si rose est apparu en premier sur Madmoizelle.
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Aujourd’hui, la santé occupe une part importante de notre quotidien. Et si le sexe avait des bienfaits sur votre santé ?
Prévenir les risques pour le périnéeLes rapports sexuels contribuent à entretenir le muscle du plancher pelvien. Ainsi, certaines femmes peuvent souffrir de fuite urinaire à la suite d’un accouchement. Les scientifiques ont remarqué que plus une femme avait de rapport et plus le risque d’affaiblissement du périnée était faible.
pour le cœurAvoir des rapports sexuels deux fois par semaine limiterait les risques cardiovasculaire. Pour les femmes, cela jouerait également un rôle positif sur les risques d’hypertension.
pour la prostateLes études tendent à montrer que plus un homme aurait de rapports sexuels et plus son risque d’avoir un cancer de la prostate serait faible. Des hommes ayant pas ou peu de relations sexuelles auraient 2 fois plus de chances de contractés le cancer de la prostate que ceux ayant eu une activité sexuelle abondante
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